Cryptomonnaies : Ripple (XRP) prêt à lancer son stablecoin RLUSD après l’approbation de New York

Le RLUSD est prêt à être lancé. Depuis avril 2024, Ripple a annoncé le lancement de son propre stablecoin, le RLUSD. Après plusieurs mois de tests, le jeton s’apprête à être déployé à grande échelle. En effet, Ripple vient de recevoir l’approbation du NYDFS pour le lancement de son stablecoin.

Les points clés de cet article :
Ripple a annoncé le lancement imminent de son stablecoin, le RLUSD, après avoir reçu l’approbation du NYDFS.
Le RLUSD marque l’entrée de Ripple sur le marché des stablecoins, renforçant sa position dans l’écosystème crypto.

Le RLUSD de Ripple obtient l’approbation du NYDFS

Le New York State Department of Financial Services, ou NYDFS, est une entité qui régule les activités financières dans l’État de New York. Ainsi, cette entité délivre notamment des licences aux entreprises cryptos souhaitant proposer leurs services dans l’État.

Dans les détails, Brad Garlinghouse, le CEO de Ripple, a annoncé la nouvelle sur X. En effet, il a déclaré que le RLUSD venait d’obtenir l’approbation du NYDFS

Jusqu’à présent, le RLUSD était en phase de test, avec un accès limité à certains partenaires privilégiés. Désormais, avec le feu vert du NYDFS, le stablecoin est prêt à être déployé à grande échelle.

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Le régulateur US dit oui au stablecoin de Ripple !

Selon l’annonce de Garlinghouse, les listings sur les exchanges et les partenariats seront bientôt opérationnels. Cela signifie que le RLUSD sera bientôt disponible pour un public beaucoup plus large, marquant ainsi son entrée officielle sur le marché.

« Dernières nouvelles… nous avons reçu l’approbation finale de NYDFS pour RLUSD ! Les listes des bourses et des partenaires seront bientôt en ligne – et rappel : lorsque RLUSD sera en ligne, Ripple vous en parlera en premier »

Source : X

Ripple : Un acteur incontournable de la crypto

Ripple n’en est pas à son coup d’essai. L’entreprise est déjà bien connue pour son jeton XRP et son réseau de paiement transfrontalier. Avec le lancement du RLUSD, Ripple renforce encore sa position dans l’écosystème crypto.

Le choix de lancer un stablecoin n’est pas anodin. Ces jetons, dont la valeur est généralement adossée à une monnaie fiduciaire comme le dollar, offrent une stabilité précieuse dans un marché crypto souvent volatil. Pour Ripple, le RLUSD représente une opportunité de diversifier ses offres et de séduire une nouvelle clientèle tout en proposant un stablecoin pour ses paiements.

De son côté, le XRP de Ripple semble avoir du mal à se remettre de la correction d’hier. Il est, à l’heure d’écrire ces quelques lignes, à 2,33 $.

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Magic Eden’s $5B Token Airdrop Raises Crypto Wallet Security Questions

Early traders of NFT marketplace Magic Eden’s new token ME had a lot to be thankful for – if they could access their airdrops, that is.

In the first minutes of trading Tuesday, the token’s fully diluted valuation hit $15 billion. But as more claimants managed to process their airdrops – and in some lucky cases, sell – that valuation began to crater. It eventually settled at an FDV around $5 billion.

ME’s rocky rollout stood in sharp contrast to other recent token launches. Hyperliquid’s HYPE <a href= »https://www.coindesk.com/business/2024/11/29/hyper-liquids-native-token-debuts-at-fully-diluted-4-2-b-market-cap » target= »_blank »>token</a> immediately went parabolic after launching in late November. And Move’s days-old <a href= »https://www.coindesk.com/business/2024/12/09/movement-networks-move-will-be-listed-on-binance-upbit-and-bithumb-amid-airdrop » target= »_blank »>MOVE</a> token had a far more stable rollout – even shooting up at times.

Some observers saw ME’s down-only price action as comeuppance for a crypto project whose airdrop processing procedure was highly atypical, and, according to three industry insiders, threatened to breach security best practices.

Magic Eden did not respond to CoinDesk’s questions.

Traders who managed to claim thousands of dollars-worth of ME publicly <a href= »https://x.com/SolJakey/status/1866492373259419778″ target= »_blank »>shunned</a> anyone badmouthing their « free money. » Others bemoaned <a href= »https://x.com/DegenJhoLow/status/1866492283543335291″ target= »_blank »>apparently</a> getting their wallets drained while wading through Magic Eden’s convoluted process.

It was a mixed day for Solana’s best-known NFT trading platform, which has partly weathered the hollowing-out of crypto’s digital collectibles economy by supporting newer, flashier and more highly-traded NFTs on the Bitcoin blockchain too.

Security concerns

The same wallet issues that complicated ME’s launch also could threaten user privacy, according to one industry source who asked not to be named.

Magic Eden earmarked ME tokens for NFT traders as a reward for their past business. To get their airdrop, those traders had to either import the private keys from their qualifying wallets into Magic Eden’s wallet app or create a new wallet on Magic Eden’s app and link it to their old ones. The latter action potentially creates a privacy-busting link between previously unaffiliated wallets.

Usually, crypto apps are content to let their users claim airdrops within their wallet of preference. Of course, most apps don’t pair their token launch with an in-house wallet. The process doubtless boosted adoption of Magic Eden’s new wallet.

Nevertheless, CoinDesk found a number of atypical security practices within the Magic Eden wallet. It keeps a backup of users’ recovery phrases and private keys on-app with no clear route to delete that information. While this makes the service more user-friendly, it also goes against established norms in wallet design and security.

« It’s a very bad idea to store this stuff » anywhere digitally, be it locally on one’s own device or – even worse – remotely on a company’s servers, said Ogle, a pseudonymous crypto-security sleuth. It’s not clear exactly where Magic Eden is storing the wallet recovery information.

The process also opened up airdrop claimants to attack from bad actors who might pretend to be Magic Eden.

Wallets created within Magic Eden’s app cannot easily be transferred to other wallet applications. CoinDesk attempted to recover a Magic Eden-created wallet on Phantom by using the Magic Eden-provided 12-word recovery phrase. This process resulted in the control of a completely different address.

An industry source said it had to do with Magic Eden’s reliance on a different tech setup than other leading wallets. It can be overcome by importing the private key, which is nestled deeper in Magic Eden’s app settings.

Not-so-savvy users might attempt to move their Magic Eden wallets to a different app using the 12 word recovery phrase alone.

« They are not going to be finding any money in there, » the insider said, predicting such users would panic, and perhaps incorrectly assume their money was gone for good.

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Bitcoin : Microsoft dit « NON » à l’ajout de BTC dans sa trésorerie

Pas de Bitcoin pour Microsoft. Le géant de la technologie Microsoft a tenu une réunion avec ses actionnaires ce 10 décembre 2024, et parmi les propositions discutées figurait l’ajout de Bitcoin (BTC) aux réserves de l’entreprise. Mais, la direction de Microsoft a clairement recommandé de rejeter cette idée, et les actionnaires ont suivi ce conseil.

Les points clés de cet article :
Microsoft a rejeté une proposition visant à intégrer Bitcoin dans ses réserves financières, malgré la pression du National Center for Public Policy Research.
Le conseil d’administration de Microsoft a jugé la proposition inutile, invoquant la volatilité du Bitcoin comme un risque majeur pour la gestion de sa trésorerie.

Microsoft ne veut pas entendre parler de Bitcoin dans sa trésorerie

La proposition d’ajouter des bitcoins à la trésorerie de Microsoft émanait du National Center for Public Policy Research (NCPPR), un groupe de réflexion pro-marché libre basé à Washington D.C. L’idée était de diversifier les profits de l’entreprise en investissant entre 1 % et 5 % de ses bénéfices dans Bitcoin.

Le NCPPR a même souligné que l’adoption institutionnelle de Bitcoin devenait courante, citant des exemples comme BlackRock et MicroStrategy. Le groupe a également noté que Bitcoin était plus volatil que les obligations d’entreprise, mais a averti qu’ignorer complètement Bitcoin pourrait être risqué.

« L’adoption institutionnelle et commerciale de Bitcoin devient plus courante. Le deuxième plus grand actionnaire de Microsoft, BlackRock, propose à ses clients un ETF Bitcoin. »

Source

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La volatilité du BTC fait toujours peur aux grandes entreprises

Malgré ces arguments, le conseil d’administration de Microsoft a recommandé de rejeter la proposition. Dans un dépôt auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis, le conseil a qualifié la proposition d’« inutile » et a déclaré que l’entreprise prenait déjà en compte la volatilité de Bitcoin dans ses décisions d’investissement.

« Comme le note la proposition elle-même, la volatilité est un facteur à prendre en compte dans l’évaluation des investissements en cryptomonnaies pour les applications de trésorerie d’entreprise qui nécessitent des investissements stables et prévisibles pour garantir la liquidité et le financement opérationnel. »

Le conseil d’administration a insisté sur le fait que Microsoft avait des processus solides pour gérer et diversifier sa trésorerie, et que cette évaluation publique demandée par le NCPPR n’était pas justifiée.

Même si Bitcoin est désormais adopté par les investisseurs institutionnels, et même si les ETF au comptant sur BTC sont approuvés depuis avril 2024, il reste encore du chemin à parcourir pour convaincre des entreprises comme Microsoft d’intégrer Bitcoin dans leur stratégie financière. MicroStrategy restera donc encore un moment comme une exception parmi les multinationales US.

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Bitcoin : Changpeng Zhao (Binance) s’enthousiasme des réserves stratégiques en BTC

CZ toujours aussi enthousiaste pour Bitcoin et les cryptos. Après 4 mois d’emprisonnement par les États-Unis, Changpeng Zhao avait fait sa première réapparition publique lors d’une conférence à Dubaï le 31 octobre 2024. Le fondateur et ex-CEO de la plateforme Binance vient de nouveau d’apparaitre lors d’une conférence Bitcoin (BTC) qui se tient aux Émirats arabes unis, et il a tenu un discours très positif sur le secteur crypto, comme à son accoutumée.

Les points clés de cet article :
Changpeng Zhao a salué la décision stratégique des États-Unis d’établir une réserve en Bitcoin, une initiative qui pourrait avoir des répercussions mondiales.
Il a prédit une adoption massive du Bitcoin, estimant que sa valorisation pourrait un jour surpasser celle de l’or.

Changpeng Zhao félicite Donald Trump et les USA pour leur réserve stratégique en Bitcoin

Ce 10 décembre 2024, lors d’une conférence sur Bitcoin aux Émirats arabes unis, Changpeng Zhao, alias CZ, a pris la parole pour faire quelques commentaires sur l’actualité de Bitcoin et de la cryptosphère.

Lors de cet évènement appelé Bitcoin Middle East and North Africa, le fondateur de Binance a notamment félicité la décision du président-élu Donald Trump et de la sénatrice Cynthia Lummis de vouloir mettre en place une réserve stratégique en Bitcoin pour les États-Unis.

« C’est fantastique. (…) C’est très intelligent de la part des États-Unis de faire cela, et cela a également un effet d’entraînement sur d’autres pays dans le monde. Si les États-Unis le font, tous les autres pays devront le faire. »

Changpeng « CZ » Zhao

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Une adoption exponentielle du BTC, avec une valorisation supérieure à l’or

Parmi ses déclarations, CZ a évoqué l’adoption de Bitcoin autour du monde. Il estime qu’à ce jour qu’environ « 5 à 10 % » des particuliers ont investi dans le chef de file des crypto-actifs.

« Cela en fait l’actif le plus largement détenu dans le monde. (…) Nous ne sommes pas encore parvenus à franchir le gouffre qui se situe généralement autour des 20 % ». (…) Mais dans quelques années, nous atteindrons un niveau d’adoption plus global, et nous toucherons 50 à 70 % de la population. »

Changpeng « CZ » Zhao

L’ex-patron de Binance est tout aussi optimiste en termes de valorisation de Bitcoin. Comme beaucoup, et notamment comme le 47e président US Donald Trump, Changpeng Zhao pense que le marché du BTC dépassera un jour cellui de l’or. La valorisation de la cryptomonnaie pourrait même être « bien plus importante » que celle du métal précieux, selon CZ.

Côté réserves stratégiques en Bitcoin, Changpeng Zhao a certainement raison quand il affirme que de plus en plus de pays suivront l’exemple des États-Unis. Des pays comme le Brésil, la Chine ou la Russie se posent sérieusement la question, face à cette question qui devient géostratégique.

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L’ex-roi de la crypto Sam Bankman-Fried publie son Journal de prison : son doudou lui manque

Le roi est mort, vive… Manfred ? Voilà une saga qui n’a rien à envier aux meilleures tragédies shakespeariennes, sauf peut-être un dénouement moins pitoyable. Sam Bankman-Fried, l’ancien milliardaire de la crypto, purge désormais une peine de 25 ans au Metropolitan Detention Center de Brooklyn. Et comme tout magnat déchu qui se respecte, il vient de livrer au monde un journal intime où se mêlent réflexions existentielles, bricolages douteux et nostalgie d’une peluche. Oui, une peluche. Prenons une grande respiration et plongeons dans l’univers kafkaïen d’un homme qui a perdu des milliards – mais surtout son oreiller.

Les points clés de cet article :
Sam Bankman-Fried, ancien magnat de la crypto, a rédigé un journal intime depuis sa cellule, révélant son quotidien étrange et kafkaïen.
Son récit expose un curieux mélange de troc pour des conforts mineurs et d’observations pseudo-anthropologiques sur la vie carcérale.

Manfred, les muffins et la misère

Il faut dire que SBF, comme l’appellent les initiés (ou les détracteurs), ne fait rien à moitié. Depuis son costume bleu marine froissé en guise d’oreiller lors de sa première nuit d’incarcération, jusqu’à son troc ingénieux de muffins pour un oreiller de fortune, son quotidien dans cette prison qui a aussi servi de maison à Bernard Madoff, de Jeffrey Epstein et de R. Kelly, semble tiré d’un mauvais épisode de MacGyver en détention.

« C’est quoi ce bordel, on n’a pas le droit d’avoir des oreillers ? Est-ce qu’on a le droit de dormir ? »

Source : Forbes

La peluche Manfred, son fidèle compagnon depuis ses deux ans, manque à l’appel, et cela semble peser davantage sur ses nuits que le poids de ses malversations financières.

Sam, l’homme qui jouait avec des milliards comme d’autres jouent aux dominos, découvre maintenant le troc à la petite semaine. Muffins contre oreiller. Serviettes contre un semblant de confort. Ironique, pour quelqu’un qui a manipulé le destin financier de millions de personnes.

Sam bankman-Fried, responsable de la faillite FTX

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Anthropologie pénitentiaire : Sam Bankman-Fried parmi les hommes

Mais ce journal, ce n’est pas juste un cri du cœur de 3 chapitres d’un escroc privé de son doudou. C’est aussi une plongée dans le microcosme carcéral, décrite avec une pointe d’arrogance savoureuse. Entre Harry, le codétenu homophobe fan de Bohemian Rhapsody, et les parieurs compulsifs qui redéfinissent les erreurs statistiques à chaque match, SBF se pose en observateur quasi-anthropologique.

« Un jour, Harry est venu me voir avec une nouvelle stratégie de pari. Il allait parier 100 dollars. S’il perdait, il miserait 250 dollars, puis 600 dollars, etc. jusqu’à ce qu’il gagne, et il finissait par gagner, de sorte qu’il était presque certain de gagner de l’argent en faisant cela. Je n’ai pas eu le courage de lui dire que cette stratégie portait un nom : l’erreur du parieur. »

Source : Forbes

Pour lui, la prison n’est pas seulement une punition ; c’est une expérience sociale où chacun, dit-il, devient un prisonnier au sens philosophique. Sauf lui, bien sûr. Lui, il observe, analyse, juge. Les autres se battent pour des bananes ou se zombifient à coups de « deuce », cette mystérieuse drogue imbibée dans du papier. Sam, lui, rédige des journaux et fait des parallèles entre les détenus et la société qu’il a, littéralement, volée.

« Comment peut-on se rebeller contre le système quand la première chose que le système nous enlève, c’est notre liberté de nous rebeller. Comment pouvez-vous être fidèle à votre vrai moi quand votre vrai moi a été considéré comme un danger pour la société si grand que vous devez être enfermé dans une cage jusqu’à ce que vous y renonciez finalement ? »

Source : Forbes

25 ans de prison pour Sam Bankman-Fried : le temps est déjà long

S’il y a bien une chose qui obsède notre héros déchu autant que l’absence d’oreillers, c’est le temps – ou plutôt son absence. Les jours passent sans repères, comme si le monde extérieur n’avait jamais existé. Cette absence de temporalité est pour lui la métaphore ultime de sa désintégration sociale : un homme jadis maître des flux financiers mondiaux réduit à compter les secondes sur une montre achetée pour 42,25 dollars à l’économat. Une montre, donc, plus précieuse que tous les donuts du monde carcéral.

On pourrait croire à une tentative d’humanisation. À travers ses journaux, SBF semble vouloir se positionner en intellectuel incompris, en analyste aiguisé d’un système brisé.

La publication de ce journal, vous vous en doutez bien, soulève des questions plus profondes. Pourquoi diffuser ces écrits ? Forbes lui-même s’interroge sur les motivations derrière cette initiative. Est-ce une tentative de réhabilitation publique ? Une stratégie pour attirer l’attention médiatique ? Ou simplement un moyen de conserver une forme de contrôle sur son image, même derrière les barreaux ? Ce flou alimente le débat, tout comme le rôle de son père, Joe Bankman, qui agit en messager zélé, relayant ces fragments de vie carcérale à un monde extérieur déjà sceptique. À qui profite réellement ce journal ? Certainement pas aux victimes de FTX, qui n’y trouveront ni justice, ni consolation.

Publier ses mémoires – via papa donc – et se plaindre de l’absence de son doudou, c’est jouer la carte du storytelling, de l’homme complexe, victime de son propre génie. Pourtant, les victimes de FTX n’oublieront pas. Et elles dorment probablement mieux sans oreiller que Sam dans sa cellule.

Une chose est sûre : ce journal est un témoignage est une trace de plus de la chute spectaculaire d’un homme qui voulait tout contrôler et se retrouve aujourd’hui à contempler un mur. Avec ou sans Manfred.

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Cryptomonnaies : Le stablecoin USDT de Tether approuvé à Abou Dabi

Abu Dhabi Global Market (ADGM), le centre financier international d’Abou Dabi, vient de faire une annonce qui pourrait bien changer la donne dans le monde des cryptomonnaies. L’Autorité de régulation des services financiers de l’ADGM a officiellement reconnu le stablecoin USDT de Tether comme un actif virtuel accepté (AVA). Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment pour le secteur ?

Les points clés de cet article :
Abu Dhabi Global Market a reconnu officiellement l’USDT de Tether comme un actif virtuel accepté, permettant son intégration dans les écosystèmes financiers réglementés.
Cette décision fait partie de la stratégie des Émirats arabes unis pour devenir un hub mondial de la finance numérique, malgré les inquiétudes internationales sur les risques des stablecoins.

Une reconnaissance qui ouvre des portes pour l’USDT

Avec cette approbation, les fournisseurs de services financiers agréés au sein de l’ADGM peuvent désormais offrir des services liés à l’USDT. En clair, cela facilite l’intégration du stablecoin dans les écosystèmes financiers réglementés. Et ce n’est pas rien, surtout quand on sait que l’USDT est déjà le plus grand stablecoin du secteur avec une capitalisation boursière dépassant les 138 milliards de dollars.

Cette décision couvre l’USDT émis sur plusieurs blockchains, dont Ethereum, Solana et Avalanche. Elle s’inscrit également dans la stratégie des Émirats arabes unis de devenir un hub mondial pour la finance numérique.

« L’USDT est désormais un actif virtuel accepté à l’ADGM, ouvrant la voie à une adoption encore plus large des stablecoins dans les services financiers. »

Source

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Les stablecoins : un pont entre deux mondes ?

La décision de l’ADGM reflète le rôle croissant des stablecoins comme pont entre la finance traditionnelle et les marchés d’actifs numériques. En intégrant l’USDT dans son cadre réglementaire, l’ADGM renforce sa position de centre financier pour l’innovation. Mais tout le monde n’est pas aussi enthousiaste.

Aux États-Unis, le Conseil de surveillance des services financiers (FSOC) a récemment mis en garde contre les risques que posent les stablecoins pour la stabilité financière. Selon le FSOC, le marché est « fortement concentré », avec une seule entreprise (Tether) détenant environ 70 % de la « valeur marchande totale » du secteur.

« Les stablecoins présentent des risques pour la stabilité financière en raison de leur manque de normes solides en matière de gestion des risques. »

L’ADGM voit dans l’USDT un moyen d’attirer plus d’investissements et de renforcer sa place sur la scène internationale. De l’autre, le FSOC s’inquiète des risques systémiques que pourraient poser ces mêmes actifs.

Alors, qui a raison ? Peut-être un peu des deux. Ce qui est sûr, c’est que l’annonce de l’ADGM marque une étape importante dans l’adoption des cryptomonnaies par les institutions financières traditionnelles. Reste à voir comment le reste du monde régulera les stablecoins.

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Yat Siu: Fighting for Digital Property Rights

In the late 19th century, an Australian statesman named Sir Richard Torrens created a government-backed, centralized registry that guaranteed land titles. Property rights had existed before then. But they were captured in complex chains of historical deeds. Torrens’s innovation, which eventually became known as the Torrens System, provided clear, government-guaranteed ownership rights which is credited as creating the financialization of real estate by making it a secure and tradable asset.

Fast forward to the 2020s, and Animoca’s Brands – a Web3 culture VC that primarily incubates NFTs and GameFi – is looking for the “Torrens moment” in digital property rights. Leading the charge is CEO Yat Siu.

« Digital property rights can provide the basis for a fairer society, » Siu told CoinDesk recently, building on an argument he made in an <a href= »https://www.coindesk.com/web3/2024/02/08/nfts-are-the-pillars-of-digital-capitalism-animoca-founder-says » target= »_blank »>interview with CoinDesk last year</a> that « property rights and capitalism are the foundation that allows for democracy to happen. »

This profile is part of CoinDesk’s Most Influential 2024 package. For all of this year’s nominees, click here <u>[UPDATE WHEN PUBLISHING].</u>

“The roots of communism came from feelings of inequality. There’s a correlation between this, Web3 and financial literacy,” he told CoinDesk in February. “Web3 can save the capitalist narrative by turning users into stakeholders and co-owners.”

Animoca’s Return

Animoca didn’t have an easy go of it during the bear market of 2022-2023, when crypto was barely hanging on and it looked like NFTs and GameFi would be a thing of the past. As the bear market thawed, however, the sector came back to life, and 2024 has been a different year entirely, with Animoca’s impressive returns once again making it and Yat Siu some of the most influential stakeholders in crypto.

The <a href= »https://indices.coindesk.com/indices/mtvs » target= »_blank »>CoinDesk Metaverse Select Index (MTVS)</a>, a measure of the health of the sector, is up 192% in the last three months, outperforming the CoinDesk 20, an index of the largest digital assets, by 74 percentage points.

<a href= »https://cryptorank.io/funds/animoca-brands/portfolio » target= »_blank »>CryptoRank data</a> shows that Animoca portfolio companies have a collective market cap of $35.6 billion, up almost 37% in the past 30 days alone.

Siu and Animoca are approaching the coming year with newfound confidence, <a href= »https://www.coindesk.com/consensus-magazine/2023/12/04/yat-siu-the-metaverse-man-gets-real » target= »_blank »>doubling down on Hong Kong</a> with a new 28,000-square-foot office.

By the end of the next year, Siu expects substantial progress will be made around the world in establishing regulations governing digital asset ownership. This, he explained, « will empower users by providing them with explicit rights over their digital property — rights that are currently already available via blockchain technology, but poorly understood in many jurisdictions. »

The incoming Trump administration is said to <a href= »https://www.coindesk.com/policy/2024/12/04/trump-considers-pro-crypto-perianne-boring-caroline-pham-as-possible-cftc-chairs » target= »_blank »>be considering known pro-crypto personalities</a> to run the country’s top commodities regulators. And regulators around Asia, including Hong Kong, are consulting with the <a href= »https://www.elliptic.co/blog/crypto-regulatory-affairs-hong-kong-plans-to-create-panel-for-licensed-crypto-exchanges-to-facilitate-regulatory-consultation » target= »_blank »>industry to build better digital asset rules</a> — the first step in codifying crypto property rights.

What’s Next

Siu is working on more than property rights. Next up is what Siu calls the utility-driven memecoin.

« Memecoins will increasingly become more interconnected with NFTs and launch their own games, » he said, envisioning a world where IP crosses over between crypto properties in much the same way that comics become movies and games in the traditional world.

Memecoins, Siu argues, will begin transitioning from products of mere internet notoriety to utility-driven experiences, which will “enhance the intrinsic value of NFTs within our cultural framework, » he said, also predicting that NFT’s will again be a major narrative in 2025.

Siu said that this shift underscores the growing importance of the intersection of community, culture and technology.

And with the market eyeing this intersection with more confidence, Animoca may be in search of more HK real estate as 2025 comes to a close.

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Eric Wall, Udi Wertheimer and Francisco Alarcon: Upgrading Bitcoin With Covenants

Taproot Wizards, a collection of 2,108 JPEGs inscribed on Bitcoin using the Ordinals protocol, headed into 2024 on the heels of <a href= »https://www.coindesk.com/tech/2024/01/12/taproot-wizards-bitcoin-ordinals-project-that-raised-75m-to-sell-quantum-cats-collection » target= »_blank »>a $7.5 million seed funding round</a>, which was promptly exceeded by the sale of <a href= »https://magiceden.io/ordinals/marketplace/quantum_cats » target= »_blank »>Quantum Cats</a>, a digital art collection of brightly-colored felines. The sale of 3,000 NFT-like collectibles netted 300 BTC, worth around $13 million at the time and now worth more than double that.

Founded by Eric Wall, Udi Wertheimer and Francisco Alarcon, Taproot Wizards says its mission is to « make bitcoin magical again, » harking back to a 2013 meme describing BTC as « magic internet money. » The project is now turning its focus to upgrading Bitcoin itself using the proposed <a href= »https://www.coindesk.com/tech/2024/02/14/satoshi-era-bitcoin-function-op-cat-dusted-off-as-development-fervor-grows » target= »_blank »>OP_CAT protocol</a>, a program that was initially built into Bitcoin by Satoshi Nakamoto, but removed after concerns were raised about excessive memory usage and potential vulnerabilities.

There is now an initiative to upgrade the network by including OP_CAT, which could enable more sophisticated applications on Bitcoin. It works by introducing “covenants,” or rules that can determine how a specific transaction will function. The Taproot Wizards founders are among the biggest proponents of OP_CAT, and created the Quantum Cats collection as a marketing campaign for the proposal.

« CAT-based covenants would allow Bitcoin users to trade between BTC and stablecoins on-chain, borrow with BTC as collateral, bridge their bitcoin to other chains and use new types of layer 2, » says Wertheimer.

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EigenLayer’s Sreeram Kannan: King of the Professor Coins

For a crypto founder who’s attracted so much controversy, Sreeram Kannan is surprisingly sanguine.

In a wide-ranging interview after his selection as one of CoinDesk’s “Most Influential” figures in crypto for 2024, the EigenLayer founder was generous with his time, chatting more than an hour beyond our scheduled slot. I was surprised at his openness because the last time we spoke, a colleague and I had just published <a href= »https://www.coindesk.com/tech/2024/08/15/top-crypto-startup-drove-other-projects-airdrops-to-its-employees » target= »_blank »>an investigation</a> into potential conflicts of interest at his company, Eigen Labs, and in the interim Kannan had disavowed our reporting point-by-point <a href= »https://blockworks.co/podcast/bellcurve/51b7a3ba-60ba-11ef-9ea4-273c0c60d3ae » target= »_blank »>on a Blockworks podcast</a>.

This time, Kannan emerged in a different light. Whatever his misgivings about CoinDesk’s past coverage, they didn’t seem top-of-mind.

What emerged wasn’t the portrait of a defensive tech founder, but rather that of a driven, thoughtful academic-turned-entrepreneur still adjusting to a spotlight few in this industry ever enjoy. Instead of bitterness or evasion, I found ambition, reflection and a quiet kind of excitement.

Kannan seemed as astonished as anyone by how swiftly EigenLayer had transformed from a concept into one of crypto’s most talked-about experiments, telling CoinDesk that he continued to view EigenLayer as a “scrappy startup.”

Over the past 12 months, EigenLayer — which allows emerging blockchain applications to borrow Ethereum’s robust security — went from a relative unknown to an industry heavyweight. The platform raised <a href= »https://www.coindesk.com/business/2024/02/22/eigen-labs-developer-behind-restaking-protocol-eigenlayer-raises-100m-from-a16z-crypto » target= »_blank »>more than $100 million</a> from venture firms including Andreessen Horowitz and, before even fully launching, <a href= »https://www.coindesk.com/learn/restaking-101-what-are-restaking-and-liquid-restaking » target= »_blank »>drew hundreds of millions</a> of dollars in deposits from crypto users seeking extra yield. Many were incentivized by a viral points program that investors hoped would translate into a lucrative future token airdrop.

EigenLayer’s success during the bear market was striking, and Kannan may have played a larger role than any other entrepreneur in revitalizing decentralized finance on Ethereum. But not everything went according to plan.

Industry critics took issue with the <a href= »https://www.coindesk.com/business/2024/10/02/eigenlayers-token-launch-draws-scrutiny-over-supply-concerns » target= »_blank »>EIGEN token distribution plan</a> — which locked up tokens for months and barred claimants from certain geographies — as well as the platform’s <a href= »https://www.coindesk.com/tech/2024/04/10/eigenlayer-cryptos-biggest-project-launch-this-year-is-still-missing-crucial-functionality » target= »_blank »>slower-than-expected feature rollout</a> and <a href= »https://www.coindesk.com/learn/restaking-101-what-are-restaking-and-liquid-restaking » target= »_blank »>concerns about “rehypothecation,”</a> or the reuse of collateral for multiple purposes. In August, the CoinDesk investigation (that Kannan disputed in the podcast) raised questions about EigenLayer’s conflict-of-interest policies, which may have allowed employees preferential access to tokens powered by its platform.

None of this seemed to derail Kannan’s intellectual ascent. Beyond running Eigen Labs, he still holds a position as an associate professor of electrical and computer engineering at the University of Washington, though he is currently on leave, and his theory of “restaking” — letting people reuse staked Ethereum assets to secure other networks — has sparked a wave of innovation and copycats. He’s become a familiar face on the conference circuit, where he unpacks his vision of blockchains as tools for solving humanity’s endless “coordination problems.”

Blockchains, Kannan says, “are the biggest upgrade to human civilization since the U.S. Constitution.”

Academia

Kannan grew up in Chennai, in southern India. At first, he was drawn to pure math, staying in India for his undergraduate and master’s degrees. He studied telecommunications, a discipline that would later prove relevant to crypto’s distributed systems.

In 2008, he moved to the United States to earn another master’s in mathematics at the University of Illinois at Urbana-Champaign, followed by a Ph.D. in entrepreneurship. Then, postdoctoral stints at Berkeley and Stanford opened his eyes to new academic frontiers.

At Berkeley, a lecture on “Synthetic Genomics” lured Kannan into the intricate realm of reprogramming living systems. “I said, ‘Okay, that seems much more fun than trying to get people to download more and more data on their phones,’” Kannan remarked.

Computational biology became Kannan’s specialty. As an associate professor at the University of Washington, he worked with his students to develop complex mathematical models to study the structure of DNA. Then advances in artificial intelligence blindsided him. One of Kannan’s students proposed using AI for a particularly tricky DNA sequencing problem, and Kannan balked — surely a neural network couldn’t outperform his finely tuned equations. Yet, in just two weeks, the AI beat Kannan’s best benchmarks.

Kannan came to a disturbing realization: “In five or ten years, all the stuff I was doing — the mathematical algorithms — is all gone,” he said. “AI will do everything.”

Pathfinding

Confronted with AI’s relentless rise, Kannan saw two paths: go deeper into AI-driven computational biology or try something new. He chose the latter.

In 2017, a call from his Ph.D. advisor alerted him to Bitcoin’s meteoric rise. Kannan began dabbling in crypto, and a reading of Yuval Noah Harari’s “Sapiens” offered deeper inspiration. Kannan’s takeaway from the bestseller was that “the reason why humans are special is not that we are intelligent,” or “can innovate. » Instead, humanity’s strength comes from our ability to coordinate at scale.

“Coordination is communication plus commitments,” Kannan said, explaining that while the internet had solved global communication, there was still no digital-native way to ensure trust. To Kannan, the trustless architecture of blockchains could fill that void. “If you don’t trust somebody, you’re not going to be able to coordinate,” he said, framing blockchains as the next evolutionary leap in human cooperation.

He dove deeper into Bitcoin, noting its low throughput and inefficiencies. That felt oddly familiar. “This is what I had studied in my PhD: How do you optimize a peer-to-peer wireless network?” Crypto’s bottlenecks and scaling issues seemed like the perfect place to apply his telecommunications expertise.

By early 2018, Kannan had found his purpose in crypto: not just to tinker, but to use his academic experience to address fundamental human coordination and scaling problems. He was ready, as he put it, “to go all in.”

Founding EigenLayer

Kannan’s early path through crypto founderdom included a few less-than-successful pit stops, among them building a short-lived NFT marketplace. “I realized I can only really build things for which I, or some core team members, are also the consumers,“ Kannan said. He shuttered the project in under a year.

He then began shopping around ideas for new blockchain security models, including one that he proposed to Cardano, the blockchain project helmed by Ethereum co-founder Charles Hoskinson. Kannan’s work in this area eventually culminated in an idea that stuck: “restaking” — the technology that would eventually underpin EigenLayer.

Ultimately, Kannan focused on Ethereum, the most widely used smart-contract blockchain, and he formed Eigen Labs, the company behind EigenLayer. The new platform’s goal was straightforward: let emerging blockchain projects “borrow” Ethereum’s security through restaking.

Ethereum is secured by a system in which users “stake” ether (ETH) as collateral, effectively earning interest in return for helping validate the network. Misbehavior – such as misreporting transactions or going offline – risks having collateral slashed.

EigenLayer builds on that structure, allowing stakers to earn additional returns by “restaking” their ETH pledged on the main chain to secure other networks, known as “actively validated services” or AVSs.

It’s unlikely most stakers (or restakers) really understand how this all works under the hood. Most investors stake ETH because they want to earn interest. EigenLayer promised to boost yields with its restaking.

For AVS developers, EigenLayer provides an easy way to tap into Ethereum’s collateral reserves without building a new security framework from scratch. This concept of “shared security” resonated widely and helped propel EigenLayer’s sudden rise.

“It’s a crazy, 100-year project, and it upgrades the human species,” Kannan told CoinDesk.

Growing pains

As EigenLayer soared, the bright lights brought scrutiny. “There was a lot of uncomfortable attention,” recalls Kannan. The attention was “positive, initially,” but it eventually began to sour in some corners.

“I think the first time the negativity hit was after the token launch,” reflected Kannan.

Before announcing the EIGEN token, EigenLayer gave « points » to depositors, a common tactic in crypto to spark early interest. Officially, the points are just an informal tally meant to gamify the system. But people mainly racked up points because they assumed they’d eventually be able to cash them in for EIGEN crypto tokens — speculation that EigenLayer did little to quell.

Entire markets emerged around these points, even though they were not meant to hold intrinsic value and EigenLayer never directly confirmed that it would release a token.

Early enthusiasm surrounding EigenLayer points <a href= »https://www.coindesk.com/opinion/2024/04/30/why-eigenlayers-airdrop-is-controversial » target= »_blank »>turned into disappointment</a> once the EIGEN token details finally emerged in April. People who expected easy liquidity chafed at EigenLayer’s plan to lock tokens for several months. Some felt excluded by geography-based restrictions, which Eigen Labs imposed to avoid violating U.S. securities laws. Others criticized EigenLayer’s slow feature rollout and fretted over conflict-of-interest issues, including (<a href= »https://www.coindesk.com/tech/2024/11/02/ethereum-researchers-relinquish-eigenlayer-roles-over-conflict-of-interest-concerns » target= »_blank »>but not limited to</a>) those raised by CoinDesk’s investigation.

« We had these features which were coming up. We had more decentralization coming up,” said Kannan. In the EigenLayer founder’s mind, he was “trying to protect the rights of all the people holding tokens” with his conservative regulatory approach, and by blocking transfers until after the platform was ready to release its main features. But, Kannan admits, ”it just blew up in the most negative possible manner. »

Kannan attributes some of the turbulence to his academic roots. He’d stepped into a world rife with hype cycles, tribal spheres, and financialization, and he was still learning its rhythms.

Early on, he realized that building a crypto startup required a more diverse team and skill set than any academic project. In one of his earlier failed crypto ventures, “everybody was similar,” with PhDs from “Stanford, MIT, and the University of Washington.” With EigenLayer, Kannan knew he needed not just brilliant engineers but also clear communicators, community advocates, and savvy business operators.

But Kannan still had to learn how to turn intellectual rigor into practical progress — and how to communicate that progress to a restless audience. The token fiasco exposed a disconnect between Eigen Labs and its community.

Users and developers wanted more transparency, collaboration, and communication. To Kannan, those demands felt extreme even by crypto’s warped, highly financialized standards. But he eventually understood that his perception of EigenLayer, as a scrappy startup, didn’t match how others saw it, as an industry juggernaut.

Kannan recalls being at a crypto conference and having a stranger ask him how the crypto community should address a concerning trend of over-leverage in crypto markets. Kannan was confused. “That doesn’t have anything to do with EigenLayer,” he recalled thinking. “I asked him, ‘Why are you telling me this?’” The answer: “Because you’re an industry leader.”

It was a turning point. Kannan, who once saw himself as “just some startup guy,” began accepting this new reality. Influence comes with responsibility and complexity.

One EigenLayer investor reminded Kannan that as he charted new territory, he would continue facing unexpected hurdles. In founding a startup, Kannan would be forced to reckon with something he was used to from his research days: trial and error. “You will learn,” the investor told him, “So I’m going to let you make your mistakes.”

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Ray Chan: Bridging Web2 and Web3 With Memes

2024 has been the year of the <a href= »https://www.coindesk.com/markets/2024/10/07/bitcoin-nears-64k-memecoin-supercycle-trends-as-mog-popcat-surge » target= »_blank »>memecoin supercycle</a>, with demand for the tokens <a href= »https://www.coindesk.com/markets/2024/05/09/meme-coin-demand-is-stronger-than-ever-crypto-data-tracker-says » target= »_blank »>surging to unprecedented heights</a>. Memes are now a $141 billion business, <a href= »https://www.coingecko.com/en/coins/meme » target= »_blank »>according to CoinGecko</a>, making up around <a href= »https://www.coindesk.com/markets/2024/12/05/memecoins-reach-140-b-market-cap-and-gain-ground-in-crypto-economy » target= »_blank »>11% of the entire crypto market</a> (excluding bitcoin and ether).

Memeland CEO Ray Chan has become a prominent figure in the supercycle, leveraging his expertise to blend humor and culture with blockchain, bringing the culture of memes he helped create in Web2 over to Web3.

In 2008, during the Web2 era, Chan founded 9GAG, where he curated the best online memes and made them the internet’s language of humor and identity.

This profile is part of CoinDesk’s Most Influential 2024 package. For all of this year’s nominees, click here.

In 2024, Chan spun Memeland out of 9GAG and transformed it into a blueprint for how blockchain, culture and community could reshape the internet via NFTs and GameFi. While those two things aren’t anything new in Web3, Memeland has distinguished itself in a crowded field by emphasizing community and creativity over mere speculation.

Redefining the Fan-Creator Relationship

Chan’s strategy has focused on making blockchain technology accessible, fun and inherently social. In many ways, this is the bridge between Web2 and Web3, given that memes aren’t a complicated decentralized financial system like a new automated market maker created by PhDs — they’re silly pictures of dogs and cats.

Chan sees Web3 as a chance to redefine how fans and creators interact through its approach to “proof of fandom,” in which creators can interact with fans while also building an ownership layer, something that’s not possible in the Web2 world.

This synching of fans with ownership is what’s missing in Web3, and what Chan sees as bringing in the masses.

“We don’t need more investors in Web3. We need more customers,” <a href= »https://www.youtube.com/watch?v=YznL6yhrHSM » target= »_blank »>is how he put it </a>in a fireside chat at Taipei Blockchain Week in 2023.

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