Starknet distribue 3,5M de $ aux développeurs via son programme Devonomics

Les développeurs se frottent les mains Starknet est une solution de seconde couche d’Ethereum développée par Starkware. En plus de Starkware, de nombreuses équipes et développeurs indépendants aident au développement du réseau. Récemment, Starknet a annoncé sa volonté d’aider ces développeurs.

Starknet annonce son programme devonomics

Mardi 12 décembre, les équipes de Starknet ont annoncé un programme de subvention à destination des développeurs. Intitulé « devonomics », ce programme vise à récompenser les développeurs de Starknet en leur attribuant une part des frais de réseau.

En pratique, le programme « devonomics » prévoit de distribuer 10 % de l’ensemble des frais de réseau récoltés par Starknet depuis son lancement. Cela concerne les frais collectés entre novembre 2022 jusqu’à la fin du mois dernier.

Au total, cela représente 1 600  ETH soit près de 3,5 millions de dollars. Cette distribution sera automatisée et basée sur les frais générés par chaque application décentralisée.

Sur ce montant, 8 % iront aux développeurs d’applications décentralisées et 2 % aux développeurs principaux, soit 1 280 ether pour les constructeurs d’applications décentralisées et 320 ether pour les développeurs principaux.

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

Une aide massive pour les développeurs

Depuis son lancement, le réseau apporte une attention particulière aux développeurs de son réseau. Que ce soit à travers les évènements StarknetCC, qui proposent des ateliers dédiés aux développeurs, ou bien dans la tokenomic de son jeton STRK.

Selon Uri Kolodny, PDG de StarkWare, le programme de frais vise à soutenir à la fois les développeurs établis et les nouveaux développeurs dans l’écosystème. Les paiements futurs seront effectués via les tokens de gouvernance qui devraient bientôt être lancés pour le réseau.

Cela se produira après la prochaine mise à niveau de Starknet à la version 0.13, qui introduira les paiements de frais en STRK.

Nous en avons également appris plus sur l’airdrop potentiel de Starknet. En effet, la Fondation Starknet a récemment dévoilé plus d’informations sur X (Twitter). Celle-ci a révélé sa volonté de distribuer 1,8 milliard de STRK pour plusieurs initiatives visant à récompenser la communauté et subventionner l’adoption du réseau.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Starknet distribue 3,5M de $ aux développeurs via son programme Devonomics est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Faille dans le code de Ledger : n’interagissez pas avec la DeFi

Ça chauffe pour Ledger. Ledger est l’une des entreprises fer-de-lance de l’industrie crypto française avec ses hardwares wallets. Malheureusement, une faille a été identifiée dans une partie du code utilisé pour connecter son wallet à la DeFi.

Faille de sécurité chez Ledger

NE CONNECTEZ PAS VOTRE LEDGER À LA DEFI AUJOURD’HUI.

Il y a quelques dizaines de minutes, l’internaute @MatthewLilley a alerté la communauté crypto de la présence d’une faille dans le code de Ledger.

Soyons rassuré, cette faille n’affecte pas directement les wallets Ledger, qui restent sécurisés. Toutefois, elle pourrait compromettre votre sécurité lors de l’interaction avec une application décentralisée.

Ainsi, il semblerait que la faille affecte la libraire connect-kit-loader de Ledger, qui permet de connecter son wallet à une application DeFi.

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

Origine de la faille et réaction de LEdger

Cependant, comme l’a précisé le développeur Banteg sur X, un bout de code malveillant visant à drainer les fonds a été introduit dans une librairie utilisée dans connect-kit-loader.

« Ledger demande d’utiliser connect-kit loader pour charger connect-kit, mais même si l’on suit les meilleures pratiques et que l’on épingle la version du loader, il récupère la dernière version de connect-kit >=1.0.0, <2.0.0. Cela a permis aux attaquants d’infiltrer un grand nombre de bibliothèques en compromettant uniquement connect-kit. la dernière version connue provenant de ledger est la 1.1.4. trois versions jusqu’à la 1.1.7 ont été publiées aujourd’hui, toutes doivent être considérées comme compromises. »

Explique Banteg sur X.

Un jeu de dépendances dangereux, qui peut, comme dans le cas présent, introduire des failles de manière pernicieuse.

Évidemment, les équipes de Ledger ont été identifiées sur X et la faille a également été mise en évidence sur le GitHub du projet. Par conséquent, la dépendance à la librairie vérolée devrait être retirée dans les plus brefs délais.

Tweet de Ledger – Source : X

Ledger a de son côté communiqué sur le réseau social X :

« Nous avons identifié et supprimé une version malveillante du Ledger Connect Kit. Une version authentique est désormais proposée pour remplacer le fichier malveillant. N’interagissez avec aucune dApp pour le moment. Nous vous tiendrons informés au fur et à mesure de l’évolution de la situation. Votre appareil Ledger et Ledger Live n’ont pas été compromis. »

En attendant, prudence est mère de sûreté. Nous allons laisser la DeFi pour un jour ou deux, et ne pas prendre le risque d’interagir avec une application DeFi avec notre wallet Ledger.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Faille dans le code de Ledger : n’interagissez pas avec la DeFi est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Faire battre le cœur d’Ethereum avec une zkEVM : la nouvelle idée de Vitalik Buterin

Vitalik Buterin est le co-fondateur d’Ethereum. Fréquemment, celui-ci partage ses réflexions et recherches sur son blog personnel. Au cours des derniers mois, il a publié plusieurs articles traitants des layers 2. Dans sa dernière publication, il explore la possibilité d’intégrer une zkEVM native à Ethereum.

Vitalik Buterin veut aider les zkEVM

Une zkEVM est un environnement similaire à l’Ethereum Virtual Machine (EVM) qui dispose également d’une compatibilité avec les zero-knowledge proofs.

Ces dernières sont particulièrement utilisées sur les layers 2 de type zk-Rollup. En effet, ces rollups doivent disposer d’une EVM personnalisée pour supporter les zero-knowledges.

Cependant, cela pose un problème de taille. En effet, chaque solution doit développer sa propre infrastructure ainsi que sa propre implémentation personnalisée de l’EVM.

Une situation qui n’est pas idéale selon Vitalik Buterin. En effet, le 13 décembre, Buterin a publié un article intitulé « À quoi pourrait ressembler un “ZK-EVM intégré” ? ».

« Cependant, cela les oblige à faire confiance à une vaste base de code, et s’il y a un bug dans cette base de code, ces VM risquent d’être piratées. En outre, cela signifie que même les EVM ZK qui veulent rester exactement équivalents à l’EVM L1 doivent disposer d’une certaine forme de gouvernance pour copier les modifications apportées à l’EVM L1 dans leur propre implémentation de l’EVM. »

Explique Buterin dans son article.

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

Une zkEVM intégrée : la solution de Vitalik Buterin

Ainsi, Vitalik Buterin a proposé l’idée d’intégrer une zkEVM directement au niveau du layer 1, à savoir Ethereum.

En bref, cela permettrait aux solutions de deuxième niveau de vérifier l’exécution de leurs contrats intelligents sur le réseau principal Ethereum sans avoir à compter sur leurs propres implémentations personnalisées de l’EVM.

Toutefois, l’implémentation de cette solution est accompagnée de plusieurs besoins intrinsèques : 

Intégration de l’ensemble des fonctionnalités de base d’Ethereum (vérification des blocs, validité des calculs effectués, etc.) ;

Compatibilité multiclient, en ne privilégiant pas un schéma particulier de preuve pour permettre aux différents clients d’Ethereum de s’intégrer, quel que soit leur système de preuve ;

Compatibilité avec les « presque-EVM », à savoir les EVM personnalisées qui présentent des variations mineures avec l’EVM ;

Vitesse et fiabilité, avec la possibilité de générer des preuves pour les blocs Ethereum rapidement et de manière fiable.

Comment introduire cette solution sur Ethereum ?

De son côté, Vitalik Buterin a d’ores et déjà envisagé à quoi pourrait ressembler une telle implémentation. Ainsi, dans sa publication, il explique que cela nécessiterait l’introduction d’un nouveau type de transactions appelé ZKEVMClaimTransaction.

Sans trop entrer dans les détails, ce type de transactions contiendrait l’ensemble des informations nécessaires pour que la zkEVM puisse la valider (état racine, contenu du bloc, état après la transaction, preuve, etc.)

Néanmoins, de nouveaux défis viennent de pair avec cette méthode. En effet, celle-ci s’accompagne de plusieurs défis : 

Disponibilité des données : la zkEVM intégrée doit garantir que les données propres à l’exécution de l’EVM soient disponibles afin que les prouveurs puissent vérifier l’exécution ; 

Auditabilité : la zkEVM doit être auditable afin que les utilisateurs puissent attester de la validité des preuves.

L’idée d’enchâsser une zkEVM dans le protocole Ethereum est une idée intéressante qui pourrait simplifier considérablement le développement de solutions de seconde couche. Cependant, il existe plusieurs défis qui devront être résolus avant qu’un tel système puisse être mis en œuvre.

Quoi qu’il en soit, l’intégration d’une zkEVM native à Ethereum entre parfaitement dans le cadre du changement de paradigme décrit par Buterin en octobre dernier.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Faire battre le cœur d’Ethereum avec une zkEVM : la nouvelle idée de Vitalik Buterin est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

France : 4 nouveaux PSAN viennent d’être enregistrés par l’AMF

Enregistrement validé. Les acteurs crypto souhaitant opérer sur le sol français doivent bénéficier d’un enregistrement en tant que prestataires de services sur actifs numériques (PSAN). Un sésame délivré au compte-goutte par l’Autorité des marchés financiers (AMF). D’autant plus si l’on considère les difficultés grandissantes prochainement imposées par sa version « renforcée » prévue pour début 2024. En ligne de mire, une harmonisation avec le projet de loi MiCA. Un cadre légal dont la mise en pratique effective est annoncée pour 2025. En attendant, 4 nouveaux acteurs font leur entrée dans cette arène réglementaire en cette fin d’année.

France et PSAN : version « renforcée » en approche

La France est considérée comme l’un des territoires les plus avancés en matière de réglementation du secteur des cryptomonnaies. Une situation enviée par certains acteurs des États-Unis. Ces derniers empêtrés dans l’absence de clarté chronique imposée par la Securities and Exchange Commission (SEC). Il suffit de voir comment la plateforme Coinbase a reçu un procès pour seule réponse à ses demandes répétées de règles plus claires dans le domaine.

Toutefois, être en avance en terme de réglementation n’est pas nécessairement une bonne nouvelle pour le secteur concerné. D’autant plus si cela consiste à voir passer des propositions comme celle de la Banque de France au sujet d’un système de « certification UE » imposé aux smart contracts.

La France s’impose comme un territoire à la pointe de la réglementation crypto

Car les tâtonnements se poursuivent, en espérant que bon nombre d’entre eux ne deviendront pas des lois. Dans le même temps, de nouveaux acteurs font leur entrée sur le territoire français. Et cela en toute légalité, au regard de la réglementation PSAN.

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

La France accueille 4 nouveaux projets crypto

L’annonce date du début de semaine. Et cela concerne l’enregistrement de 4 nouveaux projets crypto sur la liste blanche des projets PSAN adoubés par l’Autorité des marchés financiers (AMF) depuis le 12 décembre.

Dans les faits, cette intégration concerne la société Gemini Intergalactic Europe limited, pour l’exploitation d’une plateforme de négociation d’actifs numériques, la conservation, l’achat/vente fiat et l’échange crypto-to-crypto. Mais également OKX France Technology company Limited SAS pour le même type de services, mais sans la partie plateforme de négociation. Ensuite viennent les projets Cifralfabeto LDA (conservation, achat/vente fiat et échange crypto-to-crypto) et Jobchain SL (conservation et échange crypto-to-crypto).

Petit à petit le secteur crypto français fait son nid dans l’antre PSAN. Un exercice complexe, dont la réalisation est encore souvent inaccessible aux startups trop fragiles pour supporter le coût de cette procédure. D’autant plus si l’on considère la volonté à peine voilée de l’Autorité des marchés financiers (AMF) de tuer la finance décentralisée (DeFi). Car le fait de vouloir « harmoniser » n’a définitivement pas le même sens dans toutes les bouches.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article France : 4 nouveaux PSAN viennent d’être enregistrés par l’AMF est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Ondefy Labs présente Zyfi, le nouveau chapitre sans frais de gas de zkSync

Relai de communiqué de presse. Renommée pour ses applications décentralisées (dApps) et ses solutions de Layer 2, la blockchain Ethereum fait aussi face à une problématique récurrente : des frais de gas parfois prohibitifs. Les solutions de Layer 2, telles que zkSync, visent à offrir une alternative efficace pour réduire ces coûts sur Ethereum, une quête devenant de plus en plus essentielle pour notre écosystème. Au cœur de cette problématique, se trouve Zyfi. Explications.

Cet article Partenaire contient des liens d’affiliation vous permettant de soutenir le travail quotidien des équipes du Journal Du Coin.

Zyfi, la simplification des transactions

Née du travail d’Ondefy Labs, Zyfi se positionne comme une réponse pragmatique aux défis posés par les frais de gas. Sa proposition ? Transformer radicalement la manière dont les transactions sont réalisées sur zkSync, en éliminant les coûts traditionnels associés au gas. Le tout jeune Zify, portail vers des transactions sans frais, propose donc une solution pour développer les paiements sur la blockchain avec son API Paymaster, une solution qui a pour objectif d’éliminer les frais de gas.

Les utilisateurs de zkSync peuvent désormais effectuer des transactions en utilisant n’importe quel token ERC-20. Cette approche supprime les obstacles habituels, tels que le manque de tokens de gas.

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

Zyfi, la nouvelle arme secrète de zkSync

Contrairement aux API standards qui facilitent l’échange d’informations, l’API Paymaster proposée par Zyfi est spécialement conçue pour gérer les frais de transactions sur des réseaux blockchain comme zkSync. Elle permet une interaction directe entre le frontend des applications et le réseau blockchain, simplifiant le processus de transaction pour les utilisateurs.

Avec une architecture disruptive et une approche technique originale, les transactions sur zkSync gagnent en fluidité et en simplicité. Et, le succès semble déjà palpable puisque Zyfi c’est :

Plus de 20 000 utilisateurs connectés ;

18 millions de dollars de volume de transaction ;

Un nouveau site internet à découvrir.

Les solutions de Layer 2, telles que zkSync, jouent un rôle clé dans la réduction des coûts et la simplification des transactions, contribuant ainsi à une adoption accrue des cryptomonnaies par un public plus large, une contribution qui est bienvenue alors que le cours des cryptomonnaies semble s’animer en cette fin d’année 2023.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Ondefy Labs présente Zyfi, le nouveau chapitre sans frais de gas de zkSync est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Ethereum va « surperformer » Bitcoin en 2024 d’après JP Morgan

La girouette de Wall Street. Mais que diable se passe-t-il dans les bureaux de JP Morgan Chase, au 383 Madison Avenue à New-York ? Un coup, la banque d’affaires prône carrément la fermeture des cryptomonnaies (concept plutôt amusant) et une semaine plus tard, des experts maison envisagent de bonnes performances d’Ethereum en 2024 ! Alors oui, ceci n’est pas forcément contradictoire. Cependant, on a quand même du mal à suivre la politique officielle de la banque multiséculaire en matière de cryptomonnaie. EIP-4644, Protodanksharding, halving, ETF Bitcoin au comptant, voici la dernière analyse des spécialistes de la finance de la plus grande banque des Etats-Unis concernant le marché crypto l’année prochaine.

Les analystes de la banque d’affaires sont très optimistes à propos d’Ethereum

L’idée principale de l’équipe d’experts dirigée par Nikolaos Panigirtzoglou de chez JP Morgan est qu’Ethereum devrait « surperformer Bitcoin et les autres cryptomonnaies en 2024 ». Les raisons avancées sont multiples et la première est celle-ci :

« Nous pensons que l’année prochaine Ethereum va se réaffirmer et reconquérir des parts de marché au sein de l’écosystème crypto. Le principal catalyseur est la mise à niveau EIP-4844 ou Protodanksharding, qui devrait avoir lieu au cours du premier semestre 2024. Nous pensons que cette mise à niveau constituera probablement un pas plus important vers l’amélioration de l’activité du réseau Ethereum, l’aidant ainsi à surperformer. »

Experts de chez JP Morgan cités par la presse – Source : The Block

La nouvelle mise à jour du réseau devrait donc être un catalyseur de performance pour la seconde cryptomonnaie du marché, retrouvez d’ailleurs un article complet sur le sujet paru dans nos colonnes il y a quelques semaines.

L’autre évènement qui annoncerait un regain d’intérêt pour Ethereum est paradoxalement l’arrivée des ETF Bitcoin au comptant qui, pour JP Morgan, est déjà pricée par le marché comme on dit en finance. C’est-à-dire que les investisseurs auraient déjà anticipé le phénomène dans le prix actuel de Bitcoin et se dirigeront plutôt vers son dauphin : Ethereum. Dans le même ordre d’idée, le halving du printemps prochain va réduire la rentabilité du mining de bitcoins et pourrait tirer le prix du BTC vers le bas, toujours selon JP Morgan.

2024 pourrait être l’année de l’Ethereum selon les experts de chez JP Morgan Chase

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

La politique crypto de JP Morgan Chase plutôt difficile à suivre !

Ces hypothèses n’engagent que les experts de la banque, mais elles tendent à justifier de meilleures performances d’Ethereum l’année prochaine, quand Bitcoin marquera donc un peu le pas. Enfin, nos analystes du jour concluent en notant que le secteur de le DeFi peine à vraiment décoller, tout comme celui de la tokenisation qui reste à l’état expérimental :

 « La tokenisation évolue plutôt lentement et reste à un stade largement expérimental, entravée par la fragmentation, le manque de coopération et d’interopérabilité entre les plateformes, les retards dans l’introduction des monnaies numériques des banques centrales par la Fed et la BCE et le manque de réglementation. »

Experts de chez JP Morgan cités par la presse – Source : The Block

En guise de conclusion, on apprend que les investissements des professionnels en capital-risque dans l’industrie crypto sont à la croisée des chemins. Le léger regain d’intérêt observé à la fin de cette année est fragile et pourrait s’effondrer, mais dans le cas où il se maintient dans les premiers mois de 2024, cela pourrait être « la fin de l’hiver crypto ».

Bon, JP Morgan donne des grandes tendances, mais peine toujours à se trouver une direction officielle en matière de cryptomonnaie ! On rappellera, juste comme ça, les toutes dernières déclarations du PDG de la banque, Jamie Dimon, qui parlait de Bitcoin et des cryptos en ces termes : « les seuls véritables cas d’utilisation sont ceux des criminels, des trafiquants de drogue, du blanchiment d’argent et de l’évasion fiscale ». Avant de faire le vœu (pieu) suivant : « si j’étais le gouvernement, je fermerais tout ça ». La banque d’affaires new-yorkaise continue donc de souffler le chaud et le froid en attendant probablement de savoir d’où viendra le vent l’année prochaine.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Ethereum va « surperformer » Bitcoin en 2024 d’après JP Morgan est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Inspect : faites de X un réseau social Web3 pour améliorer votre expérience des cryptomonnaies

Découvrez Inspect, une plateforme qui repense entièrement l’expérience des amateurs de cryptomonnaies et de tokens non fongibles (NFT) sur le réseau social X. Avec une panoplie d’outils développés pour l’écosystème blockchain, Inspect fait de X un réseau social Web3 où il est possible d’obtenir des informations pertinentes en un seul clic. Explorez les multiples facettes d’Inspect, de ses fonctionnalités déjà disponibles à sa roadmap prévue pour 2024.

L’article Inspect : faites de X un réseau social Web3 pour améliorer votre expérience des cryptomonnaies est apparu en premier sur Cryptoast.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Three Arrows Capital (3AC) : le co-fondateur Su Zhu devrait être libéré

Libération prévue. Dans la liste des catastrophes cryptos associées au dernier cycle baissier, le fonds d’investissement Three Arrows Capital (3AC) figure en bonne position. L’un de ces géants du secteur des cryptomonnaies, partis en fumée suite à l’effondrement de l’écosystème Terra. Et, après une liquidation judiciaire enclenchée en juin 2022, son principal co-fondateur Su Zhu a décidé de jouer les filles de l’air. Mais, c’est finalement à Singapour qu’il devra rendre des comptes. Et, selon toutes vraisemblances, la justice aurait décidé de le libérer sous peu.

Su Zhu devrait être prochainement libéré

Le co-fondateur du fonds d’investissement Three Arrows Capital (3AC) est incarcéré à Singapour. Cela suite à son arrestation intervenue au mois de septembre dernier. Car il s’est en fait attrapé à cette époque alors qu’il tentait de se soustraire à ses obligations judiciaires, en lien à la chute de son domine crypto. Une affaire dont le préjudice est estimé en milliards de dollars.

Le co-fondateur de Three Arrows Capital devrait prochainement être libéré

En effet, Su Zhu a finalement été obligé de rendre des comptes dans cette affaire. En particulier, car les liquidateurs du fonds 3AC cherchent à récupérer 3,5 milliards de dollars pour rembourser ses créanciers.

Mais, il s’agit d’une affaire civile et aucune charge pénale n’est retenue contre ce dernier. C’est probablement la raison pour laquelle son compte X a recommencé à publier au début du mois de décembre avec un énigmatique « gm » qui pourrait en dire long. Même si Su Zhu est déjà connu pour ses messages mystiques.

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

Où est l’argent de Three Arrows Capital ?

Car selon les dernières informations judiciaires rendues publiques par le média Bloomberg, Su Zhu pourrait être libéré au cours de ce mois de décembre.

Malgré tout, il devra auparavant faire face à un interrogatoire de deux jours devant un tribunal de Singapour. Cela afin de rendre des comptes aux avocats du liquidateur Teneo, en quête d’une piste vers les 3,5 milliards de dollars manquants.

Le gestionnaire de faillite de Three Arrows Capital cherche à localiser tout ou partie de cette petite fortune. Mais également à comprendre les raisons exactes de la faillite soudaine de ce fonds d’investissement. À voir comment Su Zhu va jouer cette partition.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Three Arrows Capital (3AC) : le co-fondateur Su Zhu devrait être libéré est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Coinbase révèle son Projet Diamond pour les richissimes institutionnels

Le groupe derrière la crypto-bourse Coinbase tente régulièrement d’élargir son offre destinée aux fortunés investisseurs institutionnels (les « zinzins », comme ils sont surnommés dans la finance). Cette fois, la plateforme d’échange de cryptomonnaies révèle son « Project Diamond » : un écosystème financier on-chain pour institutionnels, basé sur des smart contracts et la blockchain Base.

Un projet « Diamant » destiné aux clients institutionnels de Coinbase

Ce 12 décembre 2023, Coinbase Asset Management, le service dédié aux investisseurs institutionnels du groupe Coinbase, a annoncé sur son blog le lancement de son Project Diamond.

Cette dernière se veut comme une plateforme en partie automatisée, car basée sur des smart contracts, tournée spécifiquement vers les investisseurs institutionnels. Cet environnement a été notamment conçu pour faire partie du test bac à sable « RegLab », mis en place par l’Abu Dhabi Global Market (ADGM) aux Émirats arabes unis.

« Coinbase Asset Management est fier de lancer Project Diamond, une plateforme financière on-chain institutionnelle, qui est en préparation pour entrer dans le bac à sable RegLab du Abu Dhabi Global Market. (…) »

Compte X @CoinbaseInsto

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

Le Project Diamond veut offrir les avantages des smart contracts aux zinzins

Coinbase est parti sur le constat que seulement « 0,25 % du total des actifs mondiaux » est actuellement représenté sur des réseaux blockchains. C’est face à un manque d’infrastructures de niveau institutionnel que Coinbase Asset Management a désiré mettre en place son Project Diamond.

La plateforme, conçue par « des gestionnaires d’actifs chevronnés », permet de créer/acheter/vendre des actifs numériques en profitant de la transparence et de la rapidité des technologies blockchains.

En parlant de blockchain justement, le Project Diamond est basé sur celle de Coinbase, appelée Base, qui est une solution de seconde couche (layer 2) d’Ethereum (ETH). Et on apprend même qu’un premier titre de créance numérique a été émis dès le 10 novembre dernier sur ce « Projet Diamant ». Il s’agissait d’une démonstration technique de faisabilité destinée à séduire l’Autorité de régulation des services financiers (FSRA) de l’ADGM.

Coinbase Asset Management et son Project Diamond souhaitent ainsi permettre aux zinzins de gérer « une large gamme d’actifs numériques » directement sur blockchain. Avec des transactions quasi instantanées, l’efficacité opérationnelle des smart contracts permet en effet de donner un sacré coup d’accélérateur par rapport à la finance traditionnelle et ses intermédiaires. Et les institutionnels sont très demandeurs, puisqu’ils ont encore injecté 2 milliards de dollars de flux nets dans Bitcoin et les cryptos ces dernières semaines.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Coinbase révèle son Projet Diamond pour les richissimes institutionnels est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Le milliardaire Howard Lutnick est un « grand fan » de Bitcoin et de l’USDT

Un crypto-amour très sélectif. De plus en plus de milliardaires et de riches gestionnaires de fonds d’investissement révèlent leur intérêt (voire, leurs possessions) dans Bitcoin (BTC) et d’autres cryptomonnaies. Aujourd’hui, c’est Howard Lutnick, le richissime patron de Cantor Fitzgerald, qui annonce être « fan » de Bitcoin et du stablecoin USDT de Tether.

Seuls Bitcoin et le stablecoin USDT trouvent grâce aux yeux de Howard Lutnick

Récemment interviewé dans l’émission Money Movers de CNBC, le CEO du grand groupe de services financiers Cantor Fitzgerald a donné son point de vue sur le secteur des crypto-actifs. Howard Lutnick a ainsi révélé un grand intérêt pour un nombre (très) limité de cryptomonnaies.

Il est ainsi très enthousiaste pour l’incontournable roi des cryptos, Bitcoin. Mais il est aussi, un peu plus surprenamment, un fervent supporter de l’USDT de la société Tether. Il faut dire que sa propre firme (Cantor Fitzgerald donc) aide la crypto-entreprise émettrice du célèbre stablecoin du dollar à gérer ses immenses réserves (ce n’est plus aussi surprenant, du coup).

« Je suis fan de crypto, mais laissez-moi être très précis, Bitcoin, juste Bitcoin. Les autres cryptos n’ont rien à voir. (…)
Je suis aussi un grand fan de ce stablecoins appelé [USDT]. (…) J’assure la garde de leurs réserves. Et ils ont beaucoup de réserves. Elles dépassent les 90 milliards de dollars aujourd’hui. (…) Je suis un grand fan de Tether. »

Howard Lutnick, CEO de Cantor Fitzgerald

Vous aimez le rugby, les fantasy games et les NFT ?




Lien commercial

Le patron de Cantor Fitzgerald est sceptique sur Les autres cryptos

Si Howard Lutnick a une nette préférence pour Bitcoin, c’est manifestement pour sa décentralisation et sa capacité de résistance à la censure. Éventuellement, Ethereum (ETH) lui semble passable en la matière.

Mais même dans ce dernier cas, quelqu’un comme Joseph Lubin lui semble avoir trop de pouvoir sur ce réseau blockchain. Car, en plus d’être co-fondateur d’Ethereum, Joseph Lubin est également fondateur et CEO de ConsenSys, principale société de développement du réseau ETH.

Quant à l’USDT, dont il est pourtant un grand fan, Howard Lutnick est réaliste sur la totale capacité de Tether à geler les stablecoins que la crypto-société émet :

« Toutes ces autres cryptos ne sont pas grand-chose […] Elles sont en quelque sorte des faux-semblants, à part peut-être Ethereum qui est OK. (…) Il n’y a personne que vous puissiez appeler [pour contrôler Bitcoin]. Si vous avez des USDT et que le Department of Justice US appelle Tether, il les gèle parce qu’il y a quelqu’un à appeler. Il n’y a personne à appeler pour Bitcoin. (…) Vous savez, pour Ethereum, vous pouvez appeler Joseph Lubin (…). »

Howard Lutnick, CEO de Cantor Fitzgerald

La centralisation est un sujet épineux dans la cryptosphère, car elle fait partie du trilemme insoluble entre grande décentralisation, grande scalabilité (capacité évolutive), et sécurité. Même le plus connu des co-fondateurs d’Ethereum, Vitalik Buterin admet le risque de centralisation des nœuds ETH. De son côté, Bitcoin a certes une faible scalabilité (notamment en termes de transactions par seconde), mais Satoshi Nakamoto à tout misé sur la sécurité et la décentralisation pour son réseau de paiements numériques de pair à pair.

Si vous aimez le rugby et les jeux de type fantasy game, le projet Oval3 vous propose de vous mesurer à d’autres joueurs dans des competitions où vous allez composer votre dream team à base de NFT



Lien commercial

L’article Le milliardaire Howard Lutnick est un « grand fan » de Bitcoin et de l’USDT est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé