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Avalanche de perspectives pour le gaming – Si les jeux vidéos blockchain se sont faits timides durant le précédent bull run, l’avenir pourrait être bien différent. Certes, la tendance Play 2 Earn s’est rapidement essoufflée, faute de modèle économique viable. Toutefois, le gaming pourrait bien ne pas avoir dit son dernier mot. La blockchain Avalanche lance sa plateforme Arcad3 et tend la main aux studios web 2 pour bâtir le futur du gaming web 3. Tous les détails.

Arcad3, les prémices du gaming blockchain sur Avalanche

Les NFT (Non-Fungible Token) ont pris de l’ampleur ces dernières années. Peu à peu, ils conquièrent le cœur du grand public et rentrent dans les moeurs. Pour le gaming blockchain, en revanche, c’est encore loin d’être le cas. Nous n’en sommes qu’aux balbutiements d’un écosystème qui prend le temps de se construire. Toutefois, en coulisses, les entreprises crypto travaillent fort. Elles nouent des partenariats avec les professionnels du jeu vidéo afin de bâtir les fondations du divertissement web 3.

Pour soutenir ces acteurs aux prémices de ce développement, les équipes d’Ava Labs ont annoncé à nos confrères de Decrypt lancer une nouvelle plateforme collaborative. Son nom n’est pas sans rappeler le tout début de l’ère des jeux vidéos, quelques dizaines d’années en arrière : Arcad3. L’idée est simple : amener les concepteurs de jeux vidéos traditionnels à effectuer la transition vers le web 3.

« Les studios et développeurs de jeu qui rejoignent Avalanche Arcad3 ne s’engagent pas dans un partenariat exclusif. Au lieu de cela, il bénéficie d’un programme de formation et d’un réseau de support au sein duquel ils peuvent explorer tout le potentiel du gaming blockchain grâce à l’aide d’entreprises web 3 expérimentées. »

Ed Chang, directeur de la branche gaming d’Ava Labs

Pour faire naître les futures grandes licences de demain, les adhérents à la plateforme vont bénéficier de nombreux conseils. L’un des points clés pour ces développeurs issus du web 2 sera d’apprendre à démocratiser plus largement le gaming crypto. Ils devront aussi parvenir à amadouer un redoutable adversaire : leur public. Pour cela, les experts d’Arcad3 pourront leur apprendre les stratégies marketing chargées de convaincre leurs joueurs des avantages de la transition vers cette technologie web 3.

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Connecter le web 2 et le web 3 pour bâtir le divertissement de demain

En effet, de nombreux constructeurs ont tenté ces dernières années des incursions dans le web 3, mais se sont vus assaillis de critiques par leur communauté. Et de fait, ils ont rebroussé chemin.

« Plusieurs studios web 2 précurseurs ont tenté des choses au sein du web 3, mais ont commis quelques impairs. C’est évidemment par le choix du web 3 qui est mauvais, mais peut-être qu’ils n’ont pas compris leur communauté ou qu’ils n’ont pas su leur présenter la technologie blockchain de la bonne manière. »

Ed Chang, directeur de la branche gaming d’Ava Labs

Plusieurs noms ont d’ores et déjà annoncé leur participation au sein de cette plateforme collaborative. Parmi eux, les sociétés japonaises de divertissement Gree et Gumi, toutes deux disposant de leur propre métavers. On retrouve également des licences dont certaines sont déjà connues : Shrapnel, DeFi Kingdoms ou encore Gunz.

Vous l’aurez compris, l’idée principale derrière la plateforme Arcad3 d’Ava Labs consiste à connecter entre eux de nombreux acteurs. Les concepteurs de jeux vidéos web 2 et les organisations esports avec les guildes de joueurs blockchain et les studios de gaming web 3. L’enjeu est grand puisqu’il sera la source d’un tout nouvel élan pour le divertissement. Pour cela, toutefois, il faudra faire fusionner deux univers sur le point de se percuter. Les précurseurs d’un côté, qui arpentent le web 3 depuis longtemps, et les leaders du web 2 de l’autre, qui n’ont qu’une hâte : plonger à leur tour au cœur de cette avalanche de technologie.

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La proposition de loi « visant à encadrer l’influence commerciale et à lutter contre les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux » vient d’être publiée au Journal Officiel (JO) de la République Française ce 10 juin 2023.

Surnommée plus brièvement « Loi influenceurs », ce projet de loi avait été adopté par l’Assemblée nationale et le Sénat au tout début de ce mois de juin. Sa publication au JO ce week-end entraîne sa promulgation, en attendant de futurs décrets d’application.

Le texte entré en vigueur est heureusement adouci pour le secteur crypto par rapport au projet initial. En effet, les PSAN (Prestataire de services sur actifs numériques) peuvent simplement être enregistrés dans ce statut pour faire de la publicité via des influenceurs. Initialement, il aurait fallu obligatoirement que les acteurs soient agréés PSAN, chose qu’aucune crypto-société n’a encore réussie à obtenir jusqu’à aujourd’hui.

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Des NFT pour la chance – La Française des Jeux (FDJ), acteur incontournable de l’industrie des jeux d’argent en France, tente une carte maîtresse en plongeant dans l’univers du Web3. Dans une annonce récente sur LinkedIn, l’entreprise a ainsi dévoilé deux projets : Ultimate Numbers, un jeu nouvelle génération basé sur les NFT et la blockchain, ainsi que sa participation dans le métavers de The Sandbox.

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L’avenir des jeux FDJ basés sur les NFT et la blockchain

L’annonce, publiée ce week-end, évoque ainsi un premier projet de la FDJ : Ultimate Numbers qui sera présenté à la VivaTech du 14 au 17 juin, évènement majeur français autour des start-up et de la fintech.

Ultimate Numbers est décrit comme un projet de jeu nouvelle génération basé sur les NFT et la blockchain en partenariat avec Cometh, pionnier des jeux NFT crée par Jerôme de Tychey.

Dans son exploration du Web 3, le Groupe FDJ présentera également son métavers installé sur une parcelle de The Sandbox. L’objectif ? Proposer « une exploration des possibilités offertes par ce nouvel écosystème ».

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La Française des jeux : une entreprise pas comme les autres

Alors que le cours des cryptomonnaies a vécu ce week-end des heures compliquées, cette nouvelle n’est pas anodine pour l’écosystème. De fait, la FDJ entretient une relation privilégiée avec l’État français, étant l’unique entreprise autorisée à proposer des jeux d’argent légaux en France chez les buralistes.

Cette alliance solide lui confère un statut à part, avec une mission de service public et des engagements envers la société. En se lançant dans l’exploration du Web3, la FDJ montre donc sa volonté de jouer cartes sur table et de rester à la pointe de l’évolution technologique.

Cette démarche s’inscrit, dans un sens, dans le cadre de sa mission : fournir une offre de jeux diversifiée et répondre aux attentes des joueurs. Notons d’ailleurs que ce développement n’est pas une surprise, et que la FDJ lorgnait la blockchain depuis quelque temps, notamment via des start-ups. Le groupe est d’ailleurs pas inhabitué de la VivaTech.

Alors que les NFT ont été épargnés par la loi influenceur, plus clémente que ce qui était annoncé pour l’industrie crypto, la FDJ confirme son choix de Web 3 et travaille avec le fleuron de l’industrie crypto française. Un choix qui s’inscrit dans la stratégie d’autres noms de l’industrie du jeu d’argent en France comme le Groupe Partouche.

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Faites rimer travail et passion – Le secteur de la blockchain est le terreau fertile de nombreuses opportunités innovantes, dont certaines restent encore à découvrir. Une technologie dont l’émergence effrénée se heurte à un manque de professionnels capables d’en accompagner le développement. Raison pour laquelle la Blockchain Business School se donne comme ambition de former les futurs champions de cette économie numérique. Alors, pourquoi pas vous ? 

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec la Blockchain Business School

La blockchain – Un secteur d’avenir

L’adoption de la technologie blockchain n’est plus à démontrer. En effet, ses fonctionnalités innovantes intéressent dorénavant les grandes entreprises tout autant que les structures gouvernementales. Un succès qui pose néanmoins une question cruciale pour la poursuite de son développement : quels seront les futurs talents en mesure d’accompagner cette dynamique numérique ?

Car chaque basculement technologique se heurte au même problème, un manque de main d’œuvre qualifiée pour permettre de construire les géants de demain. Un enjeu de taille au centre duquel se place la Blockchain Business School fondée par la startup PyratzLabs qui se trouve aussi être le plus grand incubateur français du Web3. Les formations spécifiques s’adressent aux salariés en quête de reconversion, mais également aux demandeurs d’emploi avertis, aux entrepreneurs curieux et aux étudiants visionnaires. Une réelle opportunité pour les élèves qui pourront créer leur réseau pour monter leur propre start-up ou trouver l’emploi de leur rêve. 

Web3 – Un secteur en manque de talents 

Le secteur de la blockchain, et plus largement du Web3, ne se limite pas aux seules cryptomonnaies. En effet, c’est tout un écosystème numérique qui est en train d’émerger depuis maintenant quelques années, sous le regard désormais intéressé de la finance traditionnelle. Et cette économie numérique naissante enregistre des résultats assez incroyables, avec par exemple une hausse de 395% des offres d’emploi dans le domaine aux États-Unis sur la seule année 2021.

Pourtant, peu de formations existent afin de découvrir les futurs talents du Web3. Une situation complexe qui empêche certaines entreprises de prendre ce virage numérique par manque de personnes qualifiées pour mener cette transition nécessaire.

La blockchain et le web3 sont considérés comme étant le futur de nombreux domaines en raison de leur potentiel pour révolutionner la façon dont nous gérons les données, les transactions et les relations en ligne.

Blockchain Business School

Devenir un professionnel du Web3

Afin de répondre à cette exigence d’innovation, la Blockchain Business School propose plusieurs formations spécifiques destinées à des publics ciblés. Le but est de former les futurs acteurs de cette mutation numérique. En effet, selon les estimations, il s’agit de pourvoir 40 millions d’emplois dans le secteur de la blockchain d’ici à 2030. Autant dire que les meilleures places à prendre seront à pourvoir au plus tard dans les prochaines années. 

Il est donc possible de s’inscrire à plusieurs formations dont celle intitulée “ The Original” afin de devenir un vrai professionnel du Web3. On peut également se spécialiser dans le secteur des jetons non fongibles, avec l’opus dédié qui permet d’apprendre à créer et commercialiser des NFTs. Enfin, une option plus légère, spécialement conçue pour les entreprises et personnes intéressées par la blockchain, y propose une immersion totale afin d’être en mesure d’en tirer de nombreux avantages dans le cadre d’un business traditionnel. 

Pour résumer, il s’agit d’acquérir une vision à 360 degrés de l’écosystème blockchain, afin d’aborder sereinement tous les métiers qui pourraient vous intéresser. Cela inclut les postes de tech lead, product manager blockchain, mais aussi community manager web3, marketing Web3 etc … la liste est longue.

En revanche, ne tardez pas trop, 50 places maximum sont à pourvoir à chaque session de formation …

Une équipe pédagogique spécialisée et prestigieuse

Pour accueillir les étudiants, et les faire évoluer éfficacement vers une professionnalisation pérenne, la Blockchain Business School fait appel à des entrepreneurs et techniciens émérites de l’écosystème Web3. Ainsi vous aurez accès aux connaissances et experiences de certaines des personnalités les plus compétentes du secteur (liste non exhaustive) : 

Thibaut Boutrou (Méria)Chaynès Derradji (Exaion)Pierre Morizot (Waltio)Maxime Sarthet (Pyratz Labs)Mohsen El Sayed (Ledger)Arthur Breitman (Tezos)

De plus, afin de faire évoluer son offre en relation aux exigences du marché, la Blockchain Business School va également mettre en place une licence en alternance dev blockchain et un Master chef de projet blockchain à partir de septembre 2023. Tout cela avec la participation d’intervenants prestigieux, comme par exemple Sebastien Borget, cofondateur du projet The Sandbox et également parrain de l’école.

En résumé, le Web 3 pourrait avoir un impact significatif sur de nombreux aspects du business, en permettant une meilleure interopérabilité entre les différents sites et services en ligne, en faisant émerger de nouveaux modèles d’affaires basés sur les tokens, et en améliorant la protection de la vie privée en ligne.

Blockchain Business School

Des formations accessibles à tous

Les formations proposées par la Blockchain Business School sont toutes éligibles à des aides de financements adaptées en fonction de votre situation (CPF, pôle emploi, OPCO). 

Car le but de la Blockchain Business School est de rendre les opportunités Web3 accessibles au plus grand nombre. Dans cet esprit, certaines initiatives ont été mises en place, comme par exemple “des cours adaptés aux différents niveaux de compétences et de connaissances des élèves.” Mais aussi une volonté de favoriser les apprentissages par la pratique, avec des projets concrets réalisés en individuel ou en équipe. Le tout est supervisé dans le cadre d’un mentorat/tutorat afin de “bénéficier de l’expérience et des conseils de professionnels de l’industrie.” Tout un programme !

De plus, des facilités de paiement sont proposées pour ceux qui n’ont pas la chance de bénéficier d’un financement adéquat. Comme par exemple la possibilité de régler en 2, 3 ou 4 fois sans frais. Toute personne en mesure de prouver la détention d’un NFT obtiendra aussi une remise supplémentaire de -5%.

Le secteur de la blockchain a besoin de recruter les prochains talents en charge de développer son économie numérique naissante. Et il ne fait aucun doute que la Blockchain Business School sera au cœur de cette dynamique, en tant que première école en Europe à proposer ses formations au sein d’un incubateur Web3. Une chance supplémentaire de transformer ce parcours en une véritable immersion dans le milieu des startup du domaine, avec tout un réseau de professionnels à portée de main.

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Le potentiel de la blockchain semble de plus en plus exploré. Nombre d’institutions publiques y recourent notamment en raison de la fiabilité et de la transparence qu’elle propose. Une tendance appelée à se renforcer avec le temps.

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Dans une ère où le numérique et le tangible se mélangent de manière toujours plus étroite, Louis Vuitton, la prestigieuse maison de haute couture française, s’apprête à faire une nouvelle percée en introduisant des jetons non fongibles (NFT) physiques. Baptisée « Via Treasure Trunks », cette collection avant-gardiste ouvre les portes à des produits et des expériences exclusifs, réservés aux seuls détenteurs des précieux jetons.

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Sotheby’s will sell Dmitri Cherniak’s “The Goose” NFT at a live auction this month, while Mercedes Benz released a collection inspired by its luxury vehicles.

Malgré l’arrêt de son programme de staking, il y a quelques mois, Kraken continue son expansion. La plateforme propose désormais sa marketplace NFT compatible avec les blockchains Ethereum, Solana et Polygon. Après le lancement de la bêta à l’automne dernier. Plus de 250 nouvelles collections NFT Au terme d’un bêta test public, la plateforme Kraken…

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Matt Furlong, licencié pour avoir embarqué GameStop dans l’aventure crypto & NFT ?

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Crypto airdrops and NFTs themselves will not be banned, but using such incentives alongside promotions that encourage people to invest would be, said FCA’s Matthew Long.