Toute l'actualité des NFT
Le token ORDI, basé sur le protocole Bitcoin Ordinals, établit un nouveau record en atteignant une capitalisation boursière de 1 milliard de dollars, témoignant ainsi de l’intérêt croissant pour les tokens non fongibles (NFT) basés sur Bitcoin. Nous faisons le point sur cet accomplissement remarquable.
L’article ORDI : le premier BRC-20 à dépasser 1 milliard de dollars de capitalisation est apparu en premier sur Cryptoast.
Depuis le début de l’année, Bitcoin a été témoin d’un regain d’intérêt. En effet, le réseau a accueilli un protocole d’un nouveau genre intitulé Ordinals. En pratique, celui-ci permet de lier de la donnée à un satoshi via un procédé appelé Inscription. Cela a notamment engendré la création de NFT sur Bitcoin, puis de jetons BRC-20. Néanmoins, selon le développeur Luke Dashjr, ces Ordinals sont le résultat d’un bug et non une fonctionnalité voulue et pourraient être amenés à disparaître.
Luke Dashjr est un développeur de Bitcoin Core depuis 2011, connu pour ses prises de décisions parfois clivantes.
Sa dernière publication sur X (Twitter) a fait l’effet d’un raz de marée. Ainsi, celui-ci a déclaré que les Ordinals et BRC-20 exploitent une vulnérabilité de Bitcoin Core pour « spammer la blockchain ».
Il a expliqué que le code de Bitcoin Core permet aux utilisateurs de fixer des limites sur la taille des données supplémentaires dans les transactions depuis 2013, mais « en déguisant leurs données en code de programme, les inscriptions contournent cette limite ».
« Les “inscriptions” exploitent une vulnérabilité dans Bitcoin Core pour spammer la blockchain. Depuis 2013, Bitcoin Core permet aux utilisateurs de fixer une limite à la taille des données supplémentaires dans les transactions qu’ils relaient ou minent (`-datacarriersize`). En obscurcissant leurs données sous forme de code de programme, les Inscriptions contournent cette limite. »
Explique-t-il
Cependant, la fête pourrait bien prochainement prendre fin. En effet, Luke Dashjr a expliqué que le contournement de cette règle ne serait plus possible dans la dernière mise à jour de Bitcoin Knots, un dérivé de Bitcoin Core.
« Ce bug a été récemment corrigé dans la version 25.1 de Bitcoin Knots. Cela a pris plus de temps que d’habitude, car mon flux de travail a été sévèrement perturbé à la fin de l’année dernière (la v24 a été entièrement sautée). »
De son côté, Bitcoin Core est toujours « vulnérable », mais le développeur espère que cela sera corrigé lors de la prochaine version du logiciel.
« Bitcoin Core est toujours vulnérable dans la prochaine version v26. Je ne peux qu’espérer qu’elle serait enfin corrigée avant la version 27 l’année prochaine. »
Un utilisateur de X a demandé si les Ordinals et les tokens BRC-20 « cesseraient d’exister » si la vulnérabilité était corrigée. Dashjr a répondu par l’affirmative, tout en précisant que les inscriptions existantes resteraient.
La correction de cette « vulnérabilité » pourrait avoir des conséquences significatives sur l’écosystème Bitcoin. En effet, elle pourrait mettre fin à la création de nouveaux Ordinals et tokens BRC-20. Bien que cela permettrait de réduire la congestion sur Bitcoin, cela entraînera également une dissension au sein de la communauté. Désormais, il reste à voir si cette correction sera effectivement mise en œuvre dans la prochaine version de Bitcoin Core.
Ce changement dans Bitcoin Core pourrait également mettre des bâtons dans les roues à d’autres projets novateurs. Par exemple, BitVM qui se base également sur les Inscriptions Ordinals.
L’article Bitcoin : Et si tout s’arrêtait pour les Ordinals ? est apparu en premier sur Journal du Coin.
Chimpzee (CHMPZ) est un projet de crypto-monnaie notable qui contribue activement à l’amélioration environnementale mondiale. Jusqu’à présent, elle a aidé à planter 1 200 arbres dans la jungle brésilienne et 20 000 arbres supplémentaires au Guatemala. Il a également collaboré avec WeForest pour planter plus de 5 000 arbres en Tanzanie. Prochainement, elle va s’attaquer à la sauvegarde des animaux dans l’Ukraine en guerre et ce, pour la seconde fois.
Notons que la prévente est dans sa dernière étape. Il est donc essentiel de se lancer dès maintenant. Nous vous fournissons toutes les informations requises sur la prévente de CHMPZ afin que vous puissiez également contribuer à la protection de l’environnement.
Concentré sur la lutte contre le changement climatique et la protection animale, Chimpzee offre aux utilisateurs un moyen de gagner de l’argent de manière passive. Dix pour cent de l’offre de tokens et un pourcentage des revenus ont été réservés par l’équipe pour des organisations qui s’attaquent activement à ces enjeux majeurs.
De plus, Chimpzee a élaboré des plans détaillés pour un programme de sensibilisation communautaire et un programme d’ambassadeur. Le tout, soutenus par les fonds du projet, afin de souligner l’importance de générer des fonds et de la sensibilisation pour les initiatives de conservation. The Giving Block, Rainforest Rescue, WILD et One Tree Planted font notamment partie des groupes collaborateurs.
Pour soutenir cet objectif, Chimpzee propose une variété de fonctionnalités robustes, incluant des systèmes Shop-to-Earn, Trade-to-Earn et Play-to-Earn. Ces fonctionnalités permettent aux utilisateurs de contribuer activement aux objectifs globaux du projet et de gagner des récompenses.
Avec un accent sur la boutique Chimpzee, la marketplace NFT et le jeu Zero Tolerance, Chimpzee offre une gamme étendue de fonctionnalités destinées à captiver les passionnés de crypto-monnaies. La boutique Chimpzee sert de point central pour une variété de produits. D’un autre côté, la marketplace NFT facilite le commerce de NFT et propose un mécanisme pour gagner des revenus passifs en partageant les frais de trading de la plateforme.
Dans le jeu écologiquement conscient Zero Tolerance, les joueurs peuvent gagner des tokens CHMPZ en atteignant certains objectifs. Au sein de l’écosystème Chimpzee, les détenteurs de passeports NFT Chimpzee bénéficient d’avantages supplémentaires augmentant leur potentiel de revenu passif. Les étapes nécessaires pour obtenir un passeport NFT Chimpzee sont décrites ci-dessous.
Take advantage of the current Bonus and Giveaway and buy your tokens at early presale stage prices! This is your last chance!
Don’t miss out on up to 200% Bonus!
$150+ 96,774
$250+ 161,290
$500+ 348,387 with Bonus
$1000+ 787,097 with Bonus
$5000+ 9,677,421 with… pic.twitter.com/R7SoTNFXTz
— Official Chimpzee Project (@RealChimpzee) December 1, 2023
Le token CHMPZ est actuellement proposé au prix de 0,00155 $ avec un prix de cotation de 0,00185 $. Jusqu’à présent, CHMPZ a levé plus de 2,5 millions de dollars en financement. Un tirage au sort en fin de prévente offre la possibilité de gagner jusqu’à 1 000 000 de tokens $CHMPZ à chaque étape de collecte de fonds de 50 000 $. La seule condition est un achat minimum de 150 $ $CHMPZ.
Source : Chimpzee
En outre, il y a une structure de bonus dont les investisseurs profitent. Combinée au tirage au sort, le bonus peut faire baisser le prix d’achat à 0,00078 $ ou moins durant les dernières étapes.
Suivant la prévente, des passeports NFT exclusifs Chimpzee seront proposés à tout le monde lors d’un événement spécial de whitelist avant d’être disponibles pour le public.
Après la fin de la prévente, l’équipe de Chimpzee se concentrera principalement sur l’obtention de listages sur plusieurs échanges. Le développement des technologies fondamentales de la plateforme sera aussi à venir.
Incontestablement, Chimpzee se distingue sur le marché crypto actuel. Puisque vous pouvez acquérir le token à un coût inférieur, nous vous conseillons vivement de vous informer sur le projet avant qu’il n’entre dans ses dernières phases. En plus de rejoindre l’une des communautés et écosystèmes les plus dynamiques du secteur de la cryptomonnaie, vous aurez un impact significatif sur le monde.
Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.
Source : Chimpzee
Sur le même sujet :
Chimpzee (CHMPZ) franchit 2,5 millions de dollars : les investisseurs raffolent de ce token écoresponsable
Chimpzee brûle 1 milliard de tokens CHMPZ supplémentaires, nouvel objectif de levée de fonds à annoncer prochainement
L’extraordinaire parcours de Chimpzee : de la prévente à la préservation de la planète
The post À quelques jours de la clôture de sa prévente, Chimpzee (CHMPZ) a levé des millions et s’apprête à révolutionner le secteur « éco-responsable » appeared first on Cryptonews France.
Stablecoin de banque. Avec l’aide de sa filiale SG-FORGE, le grand groupe bancaire français Société Générale est un des plus avancés dans l’exploitation des technologies de l’univers de Bitcoin (BTC) et des actifs numériques. Encore juste ce 4 décembre 2023, le groupe émettait pour 10 millions de dollars d’obligations vertes tokenisées sur la blockchain d’Ethereum (ETH). Aujourd’hui, presque coup sur coup, nous apprenons que le stablecoin de l’euro de SG-FORGE, l’EURCV (EUR CoinVertible), va être mis à disposition de tout investisseur/trader via une crypto-bourse (enfin, de tous ceux qui auront passé une vérification d’identité/KYC).
En avril 2023, la filiale SG-FORGE du groupe français Société Générale, spécialisée dans le secteur des actifs numériques, annonçait le lancement de son propre stablecoin de l’euro : l’EUR CoinVertible, ou EURCV.
Et contrairement à un stablecoin sur un réseau fermé et privé comme le JPM Coin de JP Morgan, l’EURCV évolue sur la blockchain publique d’Ethereum. Aussi, la Société Générale et sa filiale ont décidé de mettre leur stablecoin de l’euro à disposition du plus grand nombre.
On apprend ainsi que la grande banque a choisi le teneur de marché (market maker) Flowdesk pour assurer la liquidité de son EUR CoinVertible. Car on apprend également que le stablecoin EURCV sera disponible dès ce mercredi 6 décembre 2023 sur la crypto-bourse Bitstamp.
« En regardant vers l’avenir, à l’approche de 2024, nous envisageons un impact transformateur où les opérations par les institutions, respectant la conformité et basées sur blockchain, augmenteront drastiquement en volume – et c’est ce que nous avons préparé depuis la création de Flowdesk. »
Guilhem Chaumont, PDG et cofondateur de Flowdesk
Si les deux géants actuels des stablecoins de la cryptosphère, Tether et Circle, sont surtout connus pour le stablecoin du dollar américain (respectivement l’USDT et l’USDC), ils ont chacun un plus discret stablecoin de l’euro (EURT et EURC). Mais c’est aujourd’hui la toute première fois qu’une banque lance ainsi un stablecoin de la monnaie unique européenne.
« L’écosystème des cryptos est très concentré sur quelques stablecoins existants, libellés à 90 % en dollar américain. (…) Nous pensons définitivement qu’il y a une place pour une banque dans ce domaine et qu’il y a une place pour un stablecoin [libellé] en euro. »
Jean-Marc Stenger, CEO de SocGen Forge – Source : ft.com
Bien qu’il faudra avoir passé le contrôle d’identité de Bitstamp pour acquérir/trader les stablecoins EURCV de la filiale de la Société Générale, le dirigeant de SG-FORGE tient à préciser que l’EUR CoinVertible est « ouvert à tous ceux qui veulent l’utiliser, qu’il s’agisse d’opérations sur notre propre plateforme ou sur d’autres plateformes ». Si les amateurs de décentralisation regretteront de retrouver un intermédiaire bancaire pour ce stablecoin, les investisseurs institutionnels, eux en revanche, en rêvaient, à cause de leur besoin indispensable de conformité aux réglementations, pour pouvoir investir massivement dans le secteur des actifs numériques.
L’article Société Générale et SG-FORGE vont lister leur stablecoin euro (EURCV) sur Bitstamp est apparu en premier sur Journal du Coin.
Luke Dashjr, l’un des principaux développeurs sur Bitcoin, vient de publier un tweet dans lequel il réaffirme qu’Ordinals est « une attaque » envers Bitcoin exploitant « une faille » qu’il est nécessaire de corriger. Qu’en est-il réellement ? Est-ce que les inscriptions Ordinals, les NFT et les tokens BRC-20 peuvent réellement disparaître ? On vous explique.
L’article Un développeur de Bitcoin veut interdire Ordinals – Vont-ils vraiment disparaître ? est apparu en premier sur Cryptoast.
Tic-tac, tic-tac… Le temps passe et chaque nouvelle semaine nous rapproche de la date fatidique du 10 janvier qui est supposée être la date butoir pour les réponses de la SEC à propos de la plupart des ETF Bitcoin au comptant. En attendant, les commentaires et la spéculation vont bon train et on apprend aujourd’hui que BlackRock et Bitwise ont complété leur demande auprès de la SEC avec de nouvelles informations. Petit point rapide sur ces formalités administratives.
Le 4 décembre, deux des futurs (heureux) émetteurs d’un ETF Bitcoin au comptant ont donc déposé auprès de la SEC un complément d’information consécutif à plusieurs temps d’échange entre les parties. BlackRock et Bitwise auraient ainsi, selon des sources proches de ces dossiers, eu des discussions avec le régulateur qui les auraient amenés à amender le fameux formulaire S-1.
Ainsi, pour James Seyffart, analyste chez Bloomberg Intelligence, les ETF arrivent en masse et, dans l’ombre, les choses s’organisent :
« La SEC et ces émetteurs travaillent dur pour arranger les choses. Ces dépôts [S-1 amendés] sont probablement le résultat de nombreuses conversations et de nombreuses heures de travail des deux côtés. »
James Seyffart, analyste chez Bloomberg Intelligence – Source : The Block
BlackRock et Bitwise ont tous deux déposé de nouvelles informations pour remplir leur dossier auprès de la SEC
Dans le détail, on apprend, par exemple, que dans le dossier concernant BlackRock, il était question de préciser les efforts que ferait l’entreprise pour surveiller les mouvements de prix inhabituels, mais aussi de conformité en ce qui concerne la lutte contre le blanchiment d’argent. À ce sujet, une déclaration certifiée de PricewaterhouseCoopers a été jointe au dossier initial.
On peut également lire que BlackRock met toutes les chances de son côté en essayant de montrer qu’elle ne travaillera qu’avec des acteurs sérieux de l’industrie. Extrait :
« (Nous) n’interagiront qu’avec des prestataires de services tiers connus à l’égard desquels les (…) sociétés affiliées se sont engagées dans un processus de diligence raisonnable pour garantir un processus KYC approfondi. Et cela concerne les participants autorisés, les teneurs de marché, les courtiers et le dépositaire Bitcoin. »
Dossier S-1 de chez BlackRock déposé auprès de la SEC – Source : The Block
S’agira-t-il de l’ultime ajustement du dossier dont la première mouture fut déposée par la firme de Larry Fink en janvier 2022 ? De nombreux analystes et observateurs n’envisagent pas que la SEC puisse débouter une nouvelle fois l’ensemble des demandes faites cette année, et 2024 devrait donc être, selon toute logique, l’année des ETF Bitcoin au comptant. À moins que Gary Gensler et ses équipes ne prennent tout le monde à contre-pied et décalent à nouveau la décision. Réponse attendue dans un petit mois.
L’article ETF Bitcoin au comptant : BlackRock et Bitwise insistent est apparu en premier sur Journal du Coin.
Easier, cheaper and faster. Non, ce ne sont pas les paroles de la fameuse chanson de Daft Punk, mais les éléments de langage du dernier produit lancé par Coinbase et qui va simplifier grandement les transferts d’argent entre particuliers. Disponible grâce au Coinbase Wallet, ce nouveau système d’envoi d’USDC est annoncé comme une petite révolution car « plus simple, moins cher et plus rapide ». Faisons le point sur cette technologie qui sera disponible via l’ensemble des réseaux sociaux, des messageries et même par courrier électronique. L’adoption du grand public est en marche et ce genre de service va forcément l’accélérer.
Le monde du transfert d’argent a ronronné pendant des décennies autour de quelques acteurs qui profitaient allègrement de leur monopole sur un secteur pauvre en concurrence. MoneyGram, WesternUnion et quelques banques internationales proposaient alors des systèmes de transferts relativement lents, mais surtout coûteux pour des populations obligées d’utiliser ces produits. On pense ici notamment aux diasporas qui envoient énormément d’argent dans leur pays d’origine et qui payaient des frais très élevés.
Mais depuis quelques années, les FinTech et les sociétés crypto en tête commencent à disrupter ce petit monde policé en mettant au service des petites gens de nouveaux services beaucoup plus rapides et définitivement moins chers. C’est sur ce créneau que Coinbase vient de se positionner avec ce nouveau système de transfert de stablecoin par lien cliquable. Le fonctionnement est tellement simple qu’il devrait trouver preneur rapidement et même amener de nouveaux utilisateurs dans la crypto et cela fait bien évidemment partie des objectifs de Brian Armstrong.
Coinbase frappe fort avec ce nouveau produit et communique sur les réseaux sociaux – Source : compte X
Dans le détail, il suffit pour l’utilisateur qui possède un Coinbase Wallet de définir une somme à transférer et d’envoyer un lien au destinataire. De l’autre côté de la transaction, deux solutions : soit le destinataire a déjà un Wallet maison et en cliquant, il amorce le transfert. Soit, il ne possède pas de portefeuille de chez Coinbase, et il devra dans ce cas en télécharger un pour ensuite procéder au transfert. Coinbase assure dans l’article de blog présentant le produit que la manipulation a été simplifiée pour ne pas rebuter les moins technophiles d’entre nous.
Mais la réelle nouveauté réside dans le mode d’envoi de ce lien qui peut être partagé sur quasiment tous les supports possibles. Cela concerne tout d’abord différents services de messagerie comme Telegram, iMessage ou encore WhatsApp mais aussi les réseaux sociaux comme Facebook, Snapchat, TikTok ou Instagram et pour les plus old school, on peut même envoyer un lien par courrier électronique ! Difficile de faire plus complet dans le genre.
Le transfert sera effectué en USDC, soit le stablecoin maison de chez Coinbase, avec aucuns frais d’envoi prélevé. Le destinataire aura deux semaines pour réclamer son transfert, après cela, l’argent sera restitué à l’expéditeur. Ce service sera disponible dans 20 langues et dans 170 pays via le Coinbase Wallet. Il sera aussi interopérable avec de nouveaux systèmes de paiement liés à la cryptomonnaie comme Instant P2P Bank au Nigéria, GCash aux Philippines et Pix au Brésil.
L’article Envoyer de l’argent via TikTok ou WhatsApp ? Coinbase simplifie les paiements entre particuliers est apparu en premier sur Journal du Coin.
Rendez-vous en 2024. Si l’approbation des ETF Bitcoin au comptant est une course, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis est une barrière de départ qui refuse obstinément de s’ouvrir pour libérer les participants. Une situation à l’origine de reports à répétition, au point d’envisager désormais le début de l’année prochaine comme deadline officielle. Et de toute évidence, ces tergiversations réglementaires n’épargnent pas non plus les ETF Ethereum au comptant. Car la version de Grayscale vient d’être repoussée au 25 janvier, sans aucune certitude d’approbation.
Cette nouvelle arrive finalement sans grande surprise. La SEC des États-Unis vient de reporter sa décision dans le dossier de l’ETF Ethereum au comptant du gestionnaire crypto Grayscale. Et, cette stabilité du rejet semble devenir sa principale marque de fabrique dans le domaine.
« Le Conseil estime approprié de fixer un délai plus long pour prendre des mesures afin de disposer de suffisamment de temps pour examiner le changement de règle proposé et les questions qui y sont soulevées. En conséquence, la Commission désigne le 25 janvier 2024 comme date à laquelle la Commission devra soit approuver, soit désapprouver, soit engager des procédures pour déterminer si elle doit désapprouver, le projet proposé. »
Grayscale voit l’approbation de son ETF Ethereum au comptant repoussée au 25 janvier
Une course parallèle à celle des ETF Bitcoin au comptant, dans laquelle s’est récemment inscrit le géant BlackRock avec son véhicule financier spécialement taillé pour Ethereum. Mais de toute évidence, rien ne se passera avant le mois de janvier de l’année prochaine… au minimum.
Toutefois, ce nouveau report pourrait presque passer pour une bonne nouvelle. C’est en tout cas l’impression perçue du côté des principaux spectateurs de cette série à rebondissement, dont le scénario est écrit en temps (ir)réel par la SEC. Car le mois de janvier est une nouvelle fois pointé par le régulateur comme date possiblement fatidique.
« Mise à jour : comme prévu, le dépôt de la fiducie Ethereum de Grayscale vient d’être retardé. Il était attendu pour le 6/12/23, c’est donc tout à fait normal. »
De toute évidence, les récents pourparlers de la société Grayscale avec la SEC ne permettent pas d’accélérer ce processus fastidieux. Il s’agit pourtant dans le cas présent d’une « simple » conversion d’un produit lancé en 2019 – et enregistré auprès de la SEC dès 2020 – comme dans le cas de son GBTC dédié au Bitcoin.
La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis semble donc persister dans sa volonté de reporter son approbation des ETF au comptant à l’année prochaine. Est-ce le signe d’une libération groupée à venir ? L’espoir affiché par les spécialistes du domaine pourrait permettre de le penser. Mais ce serait sans compter sur la capacité du très politique Gary Gensler à ne jamais faire ce que l’on attend de lui. Rendez-vous en 2024…
L’article La SEC retarde (encore) sa décision pour l’ETF Ethereum au comptant de Grayscale est apparu en premier sur Journal du Coin.
SBF n’en a pas fini avec la justice. Le 3 novembre dernier, le jury a pris sa décision dans le procès-marathon d’un mois de Sam Bankman-Fried (SBF) : le fondateur de FTX a été unanimement reconnu coupable de tous les 7 chefs d’accusation de fraudes et de blanchiment d’argent dont il était accusé. Dans un récent document judiciaire, les avocats de SBF se réservent toutefois la possibilité de faire appel de ce jugement.
Un peu plus d’un mois après la fin de son procès, Sam Bankman-Fried est toujours retenu derrière les barreaux du Metropolitan Detention Center (MDC) de Brooklyn. En effet, sur décision de justice, l’ex-CEO de FTX restera en détention provisoire jusqu’au 28 mars 2024, date à laquelle il connaitra sa peine pour ses actes. SBF encourt ainsi jusqu’à 115 ans de prison pour les charges reconnues contre lui.
Ce début décembre 2023, le cabinet d’avocats Cohen & Gresser a déposé un document judiciaire concernant leur client Sam Bankman-Fried devant le juge Lewis Kaplan, de la Cour du district Sud de New York.
Dans cette lettre, la batterie d’avocats du fondateur de FTX annonce qu’il n’y aura aucun dépôt de requête après la fin du procès. Mais la défense de SBF laisse en revanche la porte ouverte à une tentative de jugement en appel de leur client.
« Au nom de notre client, Samuel Bankman-Fried, nous soumettons respectueusement cette lettre pour informer la Cour de l’état des requêtes post-procès. Après mûre réflexion, nous avons décidé de ne pas déposer de requête après le procès. Nous nous réservons le droit de faire appel. »
Emprisonné depuis le 11 août 2023 au MDC de Brooklyn, suite à des menaces et des intimidations sur des témoins clés, Sam Bankman-Fried avait un total de 13 chefs d’accusation à son encontre. Mais, étant donné que 6 d’entre eux ont été émis après son extradition des Bahamas, ils n’avaient pas pu être pris en compte lors du procès qui s’est tenu ce mois d’octobre.
L’ex-patron de FTX pourrait notamment être jugé pour ses financements frauduleux de campagnes électorales (dont un don de 5 millions de dollars à Joe Biden en 2020) dans un second procès, qui se tiendrait en mars 2024. C’est-à-dire en même temps que la décision sur sa peine pour son premier procès.
En attendant, la suite de son parcours pénal, Sam Bankman-Fried semble se faire à sa vie carcérale. Il aurait ainsi repris le trading (en quelque sorte), en échangeant des conserves de maquereaux contre des services en prison. Il faudra désormais attendre les premiers mois de 2024 pour connaître la suite de cette saga judiciaire.
L’article Sam Bankman-Fried coupable de multiples fraudes : ses avocats envisagent de faire appel est apparu en premier sur Journal du Coin.
Un résultat loin des promesses ? En novembre 2021, alors que Bitcoin (BTC) atteignait son plus haut historique vers les 69 000 dollars, le gouvernement français déroulait le tapis rouge à Binance. Il faut dire que la plateforme d’échange de cryptomonnaies débarquait alors dans l’Hexagone avec une promesse de 100 millions d’euros d’investissement. Deux ans après, il semblerait qu’au moins le volet « formation » de ce programme ait eu un succès très mitigé.
Le groupe Binance, et particulièrement sont désormais ex-CEO Changpeng « CZ » Zhao, ont passé un très difficile mois de novembre 2023, avec les amendes records totalisant 4,3 milliards de dollars infligées par les autorités étasuniennes.
En France, c’est plutôt son programme de formation aux cryptomonnaies et technologies blockchains qui battent de l’aile. En effet, en septembre 2022, Binance avait lancé en grande pompe un programme d’éducation crypto en France, en partenariat avec le réseau d’écoles Simplon.
Le bilan qu’en dresse le Financial Times, bien qu’exagérément à charge (comme souvent avec les médias mainstream contre Binance), est cependant révélateur de belles promesses qui n’ont malheureusement pas été suivies de grand-chose d’extraordinaire.
Lors de la Binance Blockchain Week de septembre 2022, la crypto-bourse espérait pouvoir former 10 000 personnes aux métiers du Web3 et des blockchains, via son fonds de bienfaisance Binance Charity. Mais sur ces 10 000 personnes espérées, « moins d’une centaine » auraient reçu des cours de codage (notamment dans Solidity, le langage informatique d’Ethereum).
Pour le reste, il s’agirait surtout de simple « cours de sensibilisation » aux technologies et au secteur des cryptomonnaies. Des cours qui n’auraient duré qu’une demi-journée, toujours d’après les dires du journaliste du Financial Times.
Alors que les États-Unis organisent une véritable chasse à l’homme contre Changpeng Zhao et Binance, les espoirs trop optimistes issus de l’euphorie du précédent bull run de 2021 semblent désormais bien retomber. Il ne reste plus à espérer pour la crypto-bourse que son nouveau CEO, le spécialiste de la conformité réglementaire Richard Teng, réussisse à redresser la barre.
L’article Binance et son programme de formation blockchain en France : un échec ? est apparu en premier sur Journal du Coin.