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Les chiffres de la crypto mondiale. Consensys et YouGov viennent de publier leur enquête annuelle sur l’adoption mondiale de la cryptomonnaie et les perceptions qui y sont associées. Il sera question de pourcentage de la population qui en possède, de progression sur une année, mais aussi de perception des grands concepts, des motivations des gens qui en achètent et de leurs aspirations pour un futur plus décentralisé. Place tout de suite aux chiffres et aux données importantes.

L’enquête annuelle Global Perception Survey de Consensys lève le voile sur les pays les plus crypto-friendly

Avec deux années de recul sur des données similaires et collectées avec la même méthodologie, les auteurs sont à même d’affirmer que les principaux marchés émergents du secteur sont ceux du Nigeria, de l’Inde et de l’Afrique du Sud alors que l’Europe, l’Amérique du Nord, le Japon et la Corée du Sud sont à la traîne. En ce qui concerne la propriété de cryptomonnaie, les pays où la hausse est la plus significative sont les Philippines, le Mexique, l’Allemagne, l’Afrique du Sud et le Japon, tandis que les intentions d’investissement sont très élevées en Afrique (87 %) et dans la plupart des pays asiatiques (51 %).

Parmi les pays les plus crypto-septiques, c’est en France et en Allemagne où ces intentions d’investissement ont le plus augmenté. Voyons maintenant les pays où le plus de personnes déclarent posséder un portefeuille dans la population générale avec le Nigéria (84 %), l’Afrique du Sud (66 %), le Vietnam (60 %), les Philippines (54 %) et l’Inde (50 %) en tête, suivis des États-Unis où ce taux atteint 43 % et la Turquie avec 44 %.

Pour de nombreuses personnes interrogées, le système financier mondial pourrait être améliorer grâce à la décentralisation

Utilisation des cryptomonnaies et des services Web3 dans la population et craintes liées au secteur

Quant à savoir comment les gens utilisent le Web3, les auteurs ont comparé les données de 2024 à celles de 2023 pour déterminer les secteurs qui ont le plus progressé parmi les « activités Web3 recensées ». La DeFi, les NFT, les jeux blockchains, les portefeuilles Web3 et les services de staking sont en augmentation, mais ce sont surtout les stablecoins dont l’utilisation a le plus progressé, surtout en Argentine, en Inde, au Nigeria et en Afrique du Sud.

Passons maintenant aux représentations et aux préoccupations des personnes interrogées avec une forme d’inquiétude concernant les données privées et leur confidentialité qui touche 71 % d’entre eux et l’avènement de l’IA qui suscite aussi de la crainte à plus de 76 % au niveau mondial, notamment par rapport aux faux contenus. On leur a ensuite demandé à quoi ils associaient les concepts de blockchain et de cryptomonnaie et voici les résultats en image :

Quels sont les 3 concepts principaux que vous associez aux cryptomonnaies ? – Source : Consensys.io

Décentralisation et amélioration de la société grâce aux nouvelles technologies

Il fut ensuite question du type de portefeuille avec un intérêt important pour les autogardés (self-custody) à hauteur de 81 % en Afrique, de 69 % aux Philippines, de 65 % en Inde, de 61 % au Brésil et de 60 % au Mexique. Puis la question de la décentralisation est arrivée, avec la question de savoir quels secteurs elle pourrait améliorer, et voici les réponses :

Les réseaux sociaux et les plateformes de création de contenus (38 %)

Le système bancaire international, les paiements et les transferts d’argent (37 %)

Les systèmes civiques, politiques et démocratiques (29 %)

Les modèles d’intelligence artificielle basée sur les données publiques (28 %)

Les infrastructures publiques comme le réseau électrique (28 %)

L’économie créatrice (musique, art, cinéma, écriture, journalisme, vidéo, etc…) (27 %)

Le lieu de travail (23 %)

Rien de ce qui n’a été proposé (19 %)

En conclusion, on peut lire que « l’adoption de la crypto, du Web3 et de la blockchain continue de croître à mesure que les préoccupations diminuent et que la crypto est de plus en plus considérée comme faisant partie de l’avenir » même si des inquiétudes majeures demeurent concernant « le traitement de la confidentialité des données, la création de valeur sur internet et les contenus générés par IA ». De plus en plus de gens sont donc intéressés par ces nouvelles technologies et on note évidemment une prédominance de la question de « l’alternative au système financier mondial » dans les pays touchés par une inflation record et une instabilité chronique de l’économie.

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Fin annoncée pour la FDIC ? L’arrivée imminente du président-élu Donald Trump à la Maison-Blanche s’accompagne de nombreux ajustements en coulisses. Cela passe, par exemple, par une nouvelle répartition des rôles au sein de son administration définitivement favorable aux cryptomonnaies. Dans le même temps, Elon Musk s’attèle à « dégraisser le mammouth » depuis son siège au tout nouveau Department of Government Efficiency (D.O.G.E). Et cela semble passer par une remise en cause des structures de régulation bancaire comme la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), connue pour être anti-crypto. C’est-à-dire ?

L’administration Trump se prépare

L’arrivée au pouvoir de Donald Trump promet de chambouler l’ordre actuellement établi dans les hautes sphères réglementaires des États-Unis. Le tout accompagné d’une ouverture pro-crypto sans précédent sur le territoire de l’Oncle Sam.

La première tête à tomber sera sans surprise celle du président de la SEC, Gary Gensler. Ce dernier tristement connu pour sa politique de la crypto brûlée menée sans aucun discernement depuis de trop nombreuses années.

Mais d’autres changements de taille semblent se préparer dans les coulisses de l’équipe de transition présidentielle de Donald Trump. Le tout dirigé d’une main de milliardaire par le tout nouveau conseiller Elon Musk, depuis son siège au D.O.G.E.

Elon Musk : l’homme de ménage administratif de Donald Trump

En effet, des entretiens seraient actuellement organisés avec les principaux responsables des instances réglementaires nationales. Et, selon une source du Wall Street Journal, cela pourrait bien impliquer une refonte drastique de la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC). Une instance connue pour être la championne de la censure crypto.

Début de la fin pour la FDIC ?

L’instance bancaire américaine serait donc particulièrement visée par la volonté de refonte administrative productiviste d’Elon Musk. En effet, il serait question de revoir le statut actuel de la FDIC au point d’envisager son abolition pure et simple.

C’est en tout cas ce que laissent transparaître les récentes interrogations émises par les conseillers de Donald Trump. Cela au sujet de la marge de manœuvre effective du futur président. Avec comme objectif possible, une refonte de la FDIC, de l’Office of the Comptroller of the Currency (OCC) et de la Réserve fédérale (Fed) au sein d’une seule et même entité.

Ce remaniement de la FDIC serait-il une conséquence collatérale de la récente (re)mise en lumière de l’affaire « Operation Chokepoint 2.0 » par le cofondateur du fonds de capital-risque a16z, Marc Andreessen ? Cela juste au moment où son responsable interne des politiques crypto, Brian Quintenz, apparaît comme le principal candidat pour reprendre la présidence de la CFTC. La synchronicité des faits permet de se poser la question…

Quoi qu’il en soit, Donald Trump devra prochainement choisir un remplaçant à l’actuel président de la FDIC dont le départ à la retraite interviendra en janvier. L’occasion de repenser le rôle de cette agence gouvernementale sous un angle plus favorable aux cryptomonnaies. Sachant que son élimination pure et simple est déjà envisagée par les spécialistes comme une entreprise très complexe. La suite au prochain épisode…

L’article Banques vs cryptomonnaies : L’administration Trump chercherait-elle à éliminer le régulateur bancaire (FDIC) ? est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le mensonge originel. On ne peut jeter la pierre à personne : même l’immense génie qu’est Elon Musk a cru au mensonge sur le « gâchis énergétique/écologique » que serait Bitcoin (BTC) en 2021. Cela l’avait même fait arrêter d’accepter les bitcoins pour acheter une Tesla (on notera d’ailleurs que, maintenant, il faut moins de 1 BTC pour acheter même le modèle de base le plus cher, hors options). Pourtant, cette gigantesque vague de FUD (peur, incertitude, doute) lancée contre le roi des cryptos trouve ses origines dans… un simple commentaire sans fondement !

Bitcoin en vérité : une incroyable source de développement économique ET énergétique

Toutes ces dernières années, nous n’avons eu de cesse de réinformer régulièrement sur les nombreux bienfaits de Bitcoin (BTC), non seulement bien sûr pour l’économie, mais aussi pour l’écologie, n’en déplaise aux sectaires politiques abusant des arguments environnementaux pour servir leur idéologie régressiste mortifère.

Car l’intérêt économique que représente l’invention de Satoshi Nakamoto est une véritable incitation à : (liste pas du tout exhaustive, cliquez pour l’article détaillé)

exploiter tout potentiel gâchis énergétiques (en utilisant par exemple le gaz des torchères, sinon inutilement brûlé pour rien) ;

rentabiliser et pérenniser des ouvrages d’énergie hydroélectrique, donc préserver une énergie qui est verte et durable ;

chauffer des quartiers et même des villes entières grâce aux fermes de minage ;

permettre d’éviter des saturations des réseaux électriques, en mettant en pause les exploitations crypto-minière lors de pics de consommation ;

développer de nouvelles infrastructures d’énergies vertes, avec une assurance de rentabilité dès le départ grâce au minage de bitcoins, en attendant l’arrivée progressive d’usagers du réseau (lente dans le temps).

Le mensonge écolo sur le BTC : issu des commentaires sans fondement d’un seul individu

C’est Daniel Batton, un véritable spécialiste de l’environnement pour le coup, qui dénonce sur X les mensonges de désinformation sur le soi-disant « impact écologique » de Bitcoin.

Comme l’explique ce vrai environnementaliste (qui se base sur des faits, et non sur des dogmes obscurantistes qu’il est interdit de remettre en cause), « toute la science de pacotille sur l’impact environnemental de Bitcoin » trouve son point de départ dans un simple commentaire (et non une étude) publié en 2018 par Alex de Vries, fondateur de Digiconomist.

Or ce dernier se trouve être… un employé de banque centrale !!! Y a-t-il besoin de rappeler la haine viscérale des banquiers centraux contre le concurrent (décentralisé et non contrôlable/manipulable) à leur monnaie fiduciaire qu’est Bitcoin ?

« (…) [la prétendue] « étude » de Vries n’en était pas une. Il s’agissait d’un commentaire. Car les commentaires ne nécessitent pas de passer par un processus d’évaluation par les pairs. (…)
M. de Vries est l’employé rémunéré d’une banque centrale. Si les médias mainstream prétendent se soucier d’arrêter la propagation de la désinformation, ils devraient sérieusement examiner leur contrôle de qualité, et cesser d’autoriser des journalistes qui ne comprennent rien à Bitcoin d’écrire sur Bitcoin (…).
Demandez-vous s’il est possible que de Vries, en tant qu’employé rémunéré d’une banque centrale, n’a pas un conflit d’intérêts lorsqu’il écrit sur une monnaie qui a été conçue pour se libérer des intermédiaires que sont les banques centrales. »

Daniel Batton

Daniel Batton confirme : tout le FUD écolo-fanatique contre Bitcoin part du charlatanisme d’Alex de Vries en 2018

Si les commentaires ci-dessus datent de décembre 2023, l’environnementaliste Daniel Batton a confirmé ses soupçons en ce mois de décembre 2024, via son compte X. En effet, les mensonges d’Alex de Vries en 2018 sont bien « le patient zéro », c’est-à-dire l’origine de tous les délires écologistes contre Bitcoin.

« C’est la fin de la manipulation mentale (gaslighting) sur Bitcoin par les médias mainstream.
(…) nous pouvons voir que l’origine de toute la science bidon (junk science/charlatanisme) sur l’impact environnemental de Bitcoin part d’un simple commentaire (pas même une étude détaillée) d’Alex de Vries.
L’ensemble des travaux de de Vries a été systématiquement invalidé (debunked) par Sai et Vranken à la fin de l’année 2023.
C’est pourquoi, depuis, 96 % des médias (…) n’osent plus embrouiller les esprits avec le soi-disant impact environnemental de Bitcoin. Dans de nombreux cas, ils ont même commencé à couvrir les bénéfices environnementaux de Bitcoin.
Il reste cependant beaucoup de travail de rééducation à faire.
Une grande partie de la population a été désinformée pendant de nombreuses années (…). »

Daniel Batton

Compte X @DSBatten

Le présent article, avec justement des faits sur les bénéfices du minage de Bitcoin en première partie (hors les bénéfices économiques, non cités, mais évidents), et avec l’argumentaire détaillé de Daniel Batton sur le mensonge originel de l’impact environnemental du roi des cryptos (repris bêtement en chœur pendant 6 longues années par les médias mainstream), est l’argument idéal à présenter à tous ceux qui continueront à vous parler d’un Bitcoin « inutilement polluant ». Car désormais, le mensonge est révélé à tous, en tout cas à tous ceux qui seront de bonne foi, et non fanatisés.

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Original gangster. Les gens qui ont acheté des bitcoins au début des années 2010 sont des légendes dans l’écosystème et ils font rêver tous les cryptos fans qui donneraient cher pour retourner dans le passé ! L’ancien combattant du Bitcoin que nous allons vous présenter aujourd’hui laissera aussi une trace dans l’histoire, mais comme celui qui restera le premier à être condamné à une peine de prison ferme aux États-Unis pour « une évasion fiscale uniquement axée sur la cryptomonnaie » comme l’a précisé la justice. Voici l’histoire de Frank Richard Ahlgren III et du fisc made in US.

Cet habitant du Texas a acheté des bitcoins en 2011 et en 2015 puis il en a revendu pour 3,7 millions de $…

Tout commence en 2011 quand Franck Ahlgren achète des bitcoins et devient ainsi un des premiers investisseurs du secteur sans que l’on sache exactement combien il en a acquis à ce moment-là. Un peu plus tard, en 2015, il crée un compte sur Coinbase et fait l’acquisition de 1 366 BTC au prix moyen de 495,56 dollars et il en revendra 640 en 2017 à environ 5 807,53 dollars l’unité, soit 3,7 millions de dollars de gain selon la justice.

Il utilisera la grande partie de ces fonds pour investir dans l’immobilier et notamment pour acheter une maison à Park City, à Utah. Mais tout va basculer cette année-là, au moment de faire sa déclaration fiscale fédérale, quand il va mentir à son comptable en lui donnant un faux résumé de ses gains et pertes liés à ses fameux bitcoins. En l’espèce, il va déclarer des prix d’achats bien plus élevés que la réalité, mais il fera l’erreur d’écrire noir sur blanc des prix que Bitcoin n’atteindra que bien plus tard !

Enfin, en 2018 et en 2019, M. Ahlgren continuera de vendre des bitcoins pour au moins 650 000 dollars, mais il poursuivra dans sa fraude en ne déclarant strictement aucun gain dans ses déclarations fiscales de ces deux années-là.

Faire fortune avec Bitcoin, c’est bien, payer ses impôts, c’est mieux !

…mais il a fraudé le fisc et doit maintenant passer deux ans en prison et rembourser les impôts

Rétrospectivement, la justice découvrira qu’il a mis en place « plusieurs stratagèmes sophistiqués » pour tenter de dissimuler ses transactions en déplaçant ses bitcoins entre différents portefeuilles, en faisant des échanges peer-to-peer contre des espèces et en utilisant des mélangeurs crypto pour semer d’éventuels enquêteurs. Peine perdue, ils arriveront à remonter sa trace et trouveront même des contenus de blog où il explique, dès 2014, comment justement utiliser ces mixers de cryptos pour anonymiser des transactions !

Au total, la justice estime que la perte fiscale s’élève à plus d’un million de dollars et le procureur adjoint par intérim a annoncé la sentence à la presse américaine :

« Frank Ahlgren III a gagné des millions en achetant et en vendant des bitcoins. Mais au lieu de payer les impôts qu’il savait dus, il a menti à son comptable sur l’étendue d’une grande partie de ses gains, et a cherché à dissimuler une autre partie de ses bénéfices grâce à des techniques sophistiquées conçues pour masquer ses transactions sur la blockchain bitcoin. Cette conduite lui a valu une peine de deux ans. »

Stuart M. Goldberg, Procureur Général Adjoint par intérim du département de la justice (Tax Division) – Source : justice US

Les équipes de l’IRS – Internal Revenue Service – ont profité de cette affaire pour mettre en garde les personnes tentées par ce genre de manœuvres et leur ont rappelé que le fisc américain avait le bras long :

« Ahlgren ira en prison parce qu’il croyait que ses transactions de cryptomonnaie étaient introuvables. Cette affaire démontre que personne n’est au-dessus de la loi. Mon équipe à l’IRS Criminal Investigation a l’expertise et les outils pour suivre l’activité financière, qu’il s’agisse de dollars, de pesos ou de cryptomonnaie. Cette affaire marque la première poursuite en évasion fiscale criminelle centrée uniquement sur la cryptomonnaie et comme les prix de la cryptomonnaie sont élevés, les tentations de ne pas payer de taxes sur la vente sont grandes. Un conseil : évitez la tentation et évitez la prison fédérale. »

Stuart M. Goldberg, Procureur Général Adjoint par intérim du département de la justice (Tax Division) – Source : justice US

Frank Richard Ahlgren III passera donc deux ans en réclusion criminelle, plus un an en liberté surveillée à sa sortie et il devra s’acquitter d’une amende de 1 095 031 dollars, montant de ce qu’il aurait dû payer s’il avait fait les choses dans l’ordre. Bien mal acquis ne profitent donc jamais et notre OG du jour – original gangster – n’échappe pas à la règle.

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Relai de communiqué de presse. Il n’y a pas un seul secteur qui ne peut pas être bouleversé par la vague crypto. Ainsi, le secteur artistique ne va pas y couper. Le projet Stage est justement spécialiste dans le domaine grâce à sa plateforme qui connecte les artistes avec leur public via la crypto. Son objectif est simple : permettre aux talents émergents de se financer et de construire une relation directe avec leur communauté, tout en gardant le contrôle sur leur art. Désormais, le protocole a lancé son propre jeton STAGE.

Stage : la plateforme qui relie les artistes et à leurs fans

Comme nous venons de l’introduire, Stage cherche à connecter directement les artistes et leur public. Une fois n’est pas coutume dans notre écosystème, Stage souhaite s’abroger des intermédiaires qui existent entre l’artiste et son public.

La plateforme permet aux artistes de proposer des contenus exclusifs sous forme de NFTs, allant de morceaux inédits à des accès privilégiés à des événements. Les fans, quant à eux, peuvent soutenir leurs artistes préférés tout en bénéficiant d’avantages spécifiques et d’une participation active à leur succès.

L’objectif est de répondre aux évolutions actuelles de l’industrie artistique. En effet, les talents ont beaucoup de mal à financer leur art en début de carrière. De plus, cela permet à l’artiste de créer un lien plus fort encore avec sa communauté.

Stage dévoile son jeton STAGE

Depuis plusieurs semaines, le protocole annonce l’arrivée imminente de son jeton natif. Finalement, le 11 décembre, le protocole a dévoilé le jeton STAGE. Dans les faits, celui-ci a été déployé sur la BNB Chain.

Quelques jours auparavant, le protocole avait mené une IDO (Initial Dex Offering) les 9 et 10 décembre, permettant aux utilisateurs d’acquérir des jetons avant son lancement.

En pratique, le jeton est échangeable sur plusieurs DEX et plateformes d’échange centralisées.

En parallèle, les utilisateurs ayant participé à la pre-vente du jeton peuvent d’ores et déjà récupérer leurs précieux jetons.

De son côté, le jeton a réalisé un bon lancement. En effet, son cours a enregistré une hausse de 37% sur les dernières 24 heures. Après un lancement aux alentours de 0.003$ le cours a fait un pic à 0.005$ avant de se stabiliser proche des 0.004$.

Bon démarrage pour le jeton STAGE – Source : Coingecko.

Des récompenses à la clé

En parallèle du lancement de son jeton, le protocole Stage mène également une campagne avec des STAGE à la clé. Ainsi, les utilisateurs ayant réclamé (via la prévente ou l’IDO) ou acheté des jetons STAGE, ont la possibilité de les déposer en staking.

Une fois déposés en staking, il peuvent tourner une roue afin de gagner un prix. À la clé, Tesla, Rolex ou encore jetons STAGE, autant de récompenses qui donnent envie de participer. Dans les faits, la campagne dure jusqu’à 18 décembre.

Quoi qu’il en soit, le timing du lancement semble jouer en la faveur du projet. En effet, le marché bat son plein, et le Bitcoin continue d’osciller autour des 100 000$.

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« TradFi meets Solana ». Voilà le slogan que l’on retrouve sur la page d’accueil de la société Sol Strategies qui a fait de la cryptomonnaie Solana (SOL) son fond de commerce et apparemment cette stratégie est payante. Anciennement Cypherpunk Holdings, l’entreprise canadienne réalise des performances boursières impressionnantes depuis quelques mois et elle vient d’annoncer son intention de s’inscrire au Nasdaq, où elle pourrait donc rejoindre un certain Michael Saylor et son entreprise MicroStrategy. Direction les rives du lac Ontario pour faire le point.

Sol Strategies a mis en place une stratégie 100% Solana et ça marche !

Actuellement cotée à la Canadian Securities Exchange, la bourse canadienne, la société Sol Strategies a donc indiqué le 12 décembre dernier qu’elle avait l’intention de devenir une des 100 entreprises technologiques à apparaître au Nasdaq. Celle qui a tout misé sur Solana (SOL) récolte les fruits d’une stratégie payante qui a fait bondir son action de 2 336% depuis le mois de juillet !

Sol Strategies propose à des acteurs institutionnels de s’exposer à leur crypto préférée et pour cela, elle en accumule une grande quantité. Ainsi, au 11 décembre, elle déclarait plus d’1 million de SOL délégués chez elle par ses clients, même si une partie de ses jetons font partie de sa réserve personnelle. L’entreprise est connue pour avoir été l’une des premières à proposer des produits d’investissement basés sur Bitcoin, mais depuis que les ETF sont arrivés, elle a fait le pari d’une stratégie 100% Solana en anticipant une demande croissante d’exposition à cet écosystème – et l’arrivée des ETF SOL ?

Sol Strategies part à l’assaut du Nasdaq après d’excellents résultats financiers – Source : Compte X

La société a déposé une demande pour être cotée au Nasdaq après des performances hors normes

Sol Strategies a donc vendu plusieurs centaines de bitcoins qu’elle détenait pour aller au bout de ses idées et le directeur général, fraichement nommé en juillet, nous explique pourquoi :

« La décision de vendre des bitcoins a été alignée sur notre pivot stratégique vers l’écosystème de Solana. Le produit de la vente a été utilisé pour construire notre position en SOL et investir dans des validateurs, car nous pensons que l’évolutivité et l’activité des développeurs de Solana positionnent cet actif comme un moteur clé de l’adoption de la blockchain. Ce changement reflète donc notre engagement à aligner nos actifs sur notre thèse d’investissement. »

Leah Wald, directeur général de Sol Strategies – Source : The Block

Fort de ses certitudes, mais aussi de ses résultats financiers, la société souhaite donc partir à l’aventure sur le Nasdaq tout en restant coté dans son pays d’origine :

« Le maintien de la double cotation nous permet d’augmenter la liquidité et de nous assurer que nos actions restent accessibles aux investisseurs sur plusieurs marchés. En outre, une cotation au Nasdaq donnerait accès à une base d’investisseurs plus large, à une liquidité accrue et à une plus grande visibilité de la marque. »

Leah Wald, directeur général de Sol Strategies – Source : The Block

Enfin, Leah Wald a expliqué à la presse spécialisée américaine que les investissements en capital-risque de la société seraient progressivement réduits pour trouver d’autres façons « de collaborer avec les communautés de développeurs en passant par exemple par des subventions, des partenariats ou des programmes éducatifs ». L’entreprise a donc totalement délaissé Bitcoin (BTC) pour se tourner vers Solana (SOL) mais alors quid de son ticker HODL, largement connoté BTC ?

Pour le directeur général, HODL fait écho à « la résilience et à la vision long terme de l’écosystème » et ce n’est manifestement pas réservé aux bitcoiners. Et toc les maximalistes, chez Solana aussi, on est des hodlers ! Encore une preuve de plus que la galaxie Solana est de plus en plus bankable et qu’elle attire toujours plus d’investisseurs et de capitaux, mais de cerveaux et de compétences.

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Les hackers ne ciblent pas toujours les cryptomonnaies. En effet, les données personnelles des utilisateurs peuvent également être une mine d’or pour ces derniers. Cela permet notamment de mener des attaques de type phishing, de manière ciblée. Byte Federal, l’entreprise leader des ATM Bitcoin aux USA vient de l’apprendre à ses dépens.

58 000 données clients dérobés à Byte Federal

Jeudi 12 décembre, l’entreprise Byte Federal a publié une notification de violation de données auprès du Procureur général du Maine. Pour rappel, Byte Federal est un leader aux USA dans le domaine, avec plus de 1 200 ATM Bitcoin.

Ainsi, l’entreprise basée en Floride a annoncé qu’un hacker avait réussi à accéder aux données de plus de 58 000 clients de Byte Federal. En pratique, il aurait eu accès à des données, telles que  les noms, les adresses, les numéros de téléphone, les pièces d’identité, les numéros de Sécurité sociale, l’activité des transactions ou encore les photographies des utilisateurs. Autant dire, toutes les données relatives aux utilisateurs de l’entreprise.

Dans les faits, la faille a été exploitée le 30 septembre dernier et n’a qu’été découverte par Byte Federal le 18 novembre, soit plus de deux semaines plus tard. Selon une publication parue sur son blog, il semblerait que le hacker ait profité d’une faille dans un service tiers.

« Un hacker a obtenu un accès non autorisé à l’un de nos serveurs en exploitant une vulnérabilité dans GitLab, une plateforme logicielle tierce couramment utilisée par les développeurs du monde entier pour la gestion de projets et la collaboration, avec des fonctions de sécurité complètes. »

De son côté, Byte Federal a évidemment mis à jour ses systèmes pour colmater la brèche et sécuriser les données de leurs clients. En parallèle, ils invitent leurs clients à modifier leurs informations de connexion afin de sécuriser leur compte.

Malheureusement, ces fuites de données sont fréquentes. En juillet dernier, une application de 2FA a été victime d’une fuite massive de données, avec la perte de 30 millions de numéros de téléphone.

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Lancé en 2013, Grayscale est un gestionnaire de fonds qui s’est spécialisé dans les produits crypto. Cela a débuté par la création de fonds dits Trusts, puis par l’ouverture d’ETF Bitcoin puis Ethereum au cours de l’année 2024. Désormais, Grayscale étoffe son offre en annonçant deux nouveaux fonds Trusts.

Grayscale annonce deux nouveaux Trust pour Optimism (OP) et Lido (LDO)

Jeudi 12 décembre, le gestionnaire de fonds Grayscale a annoncé l’ouverture de deux nouveaux fonds Trusts via un communiqué de presse.

En pratique, ces deux fonds permettront aux clients de Grayscale de s’exposer aux jetons OP d’Optimism et LDO de Lido.

« Grayscale est heureux de proposer aux investisseurs des produits offrant une exposition aux jetons de gouvernance de Lido DAO, LDO, et du protocole Optimism, OP, qui offrent tous deux des solutions pour étendre et améliorer l’écosystème Ethereum. »

Pour rappel, un fonds trust est un outil financier qui permet aux clients d’investir sur un actif sans le détenir. Le gestionnaire du fonds va acheter et détenir les jetons pour le compte de ses clients. Cela permet aux investisseurs de s’exposer aux variations d’un actif, sans pour autant détenir directement l’actif sous-jacent.

Au début du mois, suite à la hausse du Ripple (XRP) et du Stellar (XLM), Grayscale a vu son portefeuille grimper en flèche avec une hausse de 85% depuis le début du mois de novembre.

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Test validé ! La Société Générale est inscrite dans la dynamique blockchain et cryptomonnaies avec sa filiale FORGE depuis déjà plusieurs années. Une rencontre à l’origine de nombreuses initiatives innovantes, dont la dernière en date concerne son stablecoin Euro CoinVertible (EURCV). Dans le même temps, elle teste en temps réel des opérations bancaires inédites en partenariat avec la Banque de France. L’occasion de valider la toute première opération de marché collatéralisée sur une blockchain en lien à une monnaie numérique de banque centrale (MNBC).

SG-FORGE : leader des marchés financiers innovants

La banque Société Générale est à la pointe de l’innovation avec sa filiale FORGE. Le tout porté par le récent déploiement confirmé de son stablecoin natif Euro Coinvertible (EURCV), dans le cadre de la prochaine mise en place du règlement européen MiCA.

Mais ses activités numériques ne s’arrêtent pas là. En effet, SG-FORGE est également impliquée dans des procédures de test menées avec la Banque de France. Notamment dans le cadre d’opérations de pensions livrées tripartites ou « repo » (Sale and Repurchase Agreement) à l’aide de security tokens.

« Société Générale a déposé en garantie auprès de la Banque de France des obligations émises en 2020 sur la blockchain publique Ethereum en échange de Monnaie Numérique de Banque Centrale (MNBC) émise par la Banque de France sur sa blockchain DL3S. »

SG-FORGE

Et le succès est apparemment au rendez-vous. Une validation qui permet de « démontrer la faisabilité technique d’opérations de refinancement interbancaire directement sur la blockchain. » Cela tout en mettant en évidence le potentiel des MNBC « pour améliorer la liquidité des titres financiers numériques ».

Avec cette opération inédite, SG-FORGE affirme sa volonté de s’inscrire dans la construction en cours de marchés financiers innovants. Une dynamique à laquelle participe également l’émission d’obligations vertes tokenisées sur la blockchain Ethereum. Car le futur est toujours dirigé par ceux qui le testent au présent !

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La révolution Bitcoin est en marche aux États-Unis. Le représentant French Hill, représentant républicain de l’Arkansas et ancien banquier connu pour son soutien à Bitcoin et aux cryptomonnaies, vient d’être élu à la tête du Comité des services financiers de la Chambre. Une nomination qui pourrait bien accélérer l’adoption de la loi FIT21, un projet de loi pro-crypto qui fait déjà couler beaucoup d’encre. Explications.

French Hill, le nouveau visage pro-Bitcoin du Congrès

Le 12 décembre 2024, les Républicains ont voté pour mettre French Hill à la tête du Comité des services financiers de la Chambre, un organe clé pour la régulation des cryptomonnaies aux USA.

Hill, qui préside déjà le sous-comité axé sur les crypto actifs, a joué un rôle important dans la promotion de lois favorables à Bitcoin et aux cryptos, notamment celles sur les stablecoins et la structure du marché.

Sa nomination intervient alors que le président sortant, Patrick McHenry, également pro-crypto, avait déjà ouvert la voie avec le FIT21, un projet de loi visant à créer un cadre réglementaire clair pour les cryptos.

FIT21 : Un projet de loi pour libérer Bitcoin et les cryptos

Le FIT21 (Financial Innovation and Technology for the 21st Century Act) est un projet de loi qui vise à moderniser la régulation financière pour inclure Bitcoin et les cryptomonnaies. Il propose des règles claires pour les stablecoins et une approche globale de la structure du marché crypto.

French Hill, désormais à la tête du Comité, devrait utiliser cette position pour pousser le FIT21 à travers le Congrès. Ce projet de loi est perçu comme essentiel pour donner aux entreprises crypto la certitude réglementaire dont elles ont besoin pour opérer aux États-Unis.

Débanking et SAB 121 : Les autres batailles de French Hill

Outre le FIT21, French Hill a également exprimé des préoccupations concernant le débanking, une pratique où les banques refusent de fournir des services aux entreprises crypto. Lors d’une audience récente, Hill a déclaré que « les entreprises légales aux États-Unis devraient avoir la liberté de bénéficier de services financiers ».

De plus, Hill s’est opposé au SAB 121, une directive de la SEC qui oblige les entreprises à enregistrer les avoirs crypto de leurs clients comme des passifs sur leurs bilans. Cette règle pourrait dissuader les banques de se lancer dans la garde d’actifs numériques, freinant ainsi l’adoption institutionnelle de Bitcoin.

Avec l’élection de French Hill à la tête du Comité des services financiers de la Chambre, les États-Unis pourraient bien voir une accélération de la régulation pro-Bitcoin. Alors que le FIT21 attend toujours d’être adopté, Hill semble prêt à mener la charge contre les obstacles réglementaires qui freinent encore l’industrie crypto. Une chose est certaine : le Congrès américain est plus que jamais divisé sur Bitcoin, mais les partisans crypto gagnent du terrain.

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