L’événement NFT Paris lance son propre token pour enrichir l’expérience des visiteurs

L’événement incontournable de l’univers des tokens non fongibles, NFT Paris, fera son grand retour les 23 et 24 février 2024 au Grand Palais Éphémère. Pour cette 3e édition, l’événement NFT Paris introduit une composante inédite : son propre token $NFTPARIS. Quels sont ses cas d’usages ? Comment être éligible à l’airdrop ?

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Warner Music Group : L’experte en IA et NFT Oana Ruxandra claque la porte

La compagnie d’édition de disques Warner Music Group a réussi à se positionner dans l’univers crypto. Elle doit cette évolution au leadership d’Oana Ruxandra, qui a su en tant que responsable NFT et l’IA, impulser l’adoption de ces technologies.

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CMCC Global rassemble 100 millions de dollars pour investir sur des entreprises du Web3 à Hong Kong

Selon les dernières informations disponibles, la firme d’investissement CMCC Global est parvenue à rassembler la somme de 100 millions de dollars. Cette levée de fonds intervient afin de favoriser la croissance de plusieurs start-ups liées à l’industrie blockchain. Au cours de cet article, nous allons étudier un peu plus en détail les caractéristiques de cette entreprise basée à Hong Kong et qui se spécialise dans le secteur des crypto-actifs.

Comment CMCC Global se prépare à transformer Hong Kong en chef-lieu pour l’industrie blockchain ?

Alors que le milieu des actifs numériques souffrait d’une crise de financement en raison d’une série d’effondrements datant de l’année dernière ; avec en tête la chute de la plateforme FTX et de son fondateur, le désormais célèbre Sam Bankman-Fried, le secteur crypto continue de profiter d’un essor important à Hong Kong sur la période actuelle.

Afin de favoriser cette croissance, CMCC Global a procédé à la mise en place d’un nouveau fonds. Ce dernier, désigné sous le nom de Titan Fund, a achevé son premier tour de financement de 100 millions de dollars à la date du mercredi 4 octobre. On y retrouve notamment la participation de plus de 30 acteurs importants de l’écosystème financier asiatique.

Thrilled to announced the launch of our USD100m Titan Fund, with backing from some of the worlds best blockchain investors @B1, @BrendanBlumer, @tyler, @cameron, @ysiu

With @Martin_CMCC, @ShiauSin, and the entire team of @CMCC_Global https://t.co/sAnm4VlYaZ pic.twitter.com/VLEnCdVqPU

— Charlie Morris (@chtmorris) October 5, 2023

 

D’après les commentaires de Martin Baumann, le cofondateur de CMCC Global, il est possible de citer plusieurs noms comme celui de Block.one ou du Pacific Century Group, appartenant au magnat de Hong Kong Richard Li. De plus, on constate également la participation de Winklevoss Capital, Jebsen Capital et de Yat Siu, à savoir le fondateur d’Animoca Brands.

À la base, Hong Kong était considéré comme un point central au sein de l’écosystème blockchain. Le territoire était initialement un lieu de naissance pour de nombreuses entreprises du secteur crypto. Toutefois, cette dynamique positive a été brusquement interrompue par des restrictions strictes en raison de la pandémie mondiale de Covid-19 ainsi que le poids des incertitudes réglementaires.

Cette situation malheureuse a conduit à un exode massif des entreprises et des acteurs importants de l’industrie. Mais en octobre 2022, un changement de paradigme s’est manifesté avec l’annonce de l’adoption d’une nouvelle stratégie par les agences de régulations de Hong Kong. Ces dernières souhaitant que le territoire retrouve sa position dominante concernant les actifs numériques dans les années à venir.

Retour sur les caractéristiques du Titan Fund

Sur le plan pratique, le Titan Fund constitue le quatrième fonds mis en place par CMCC Global. Celui-ci va permettre des investissements sous la forme de participations dans des start-ups liées à l’écosystème blockchain et actuellement en phase de démarrage.

Proud to be backing one of Hong Kong’s most successful #web3 investors in the aptly named Titan Fund led by @Martin_CMCC @chtmorris @ShiauSin #crypto #asia #blockchain #Metaverse @animocabrands @MocaverseNFT https://t.co/JmTYC0aWgX

— Yat Siu (@ysiu) October 5, 2023

Toutefois, Martin Baumann précise que le Titan Fund sera presque exclusivement focalisé sur les entreprises basées sur le continent asiatique, avec une préférence marquée pour celles gravitant autour du territoire de Hong Kong. À ce sujet, ce dernier souligne et ajoute :

« Si Hong Kong continue sur sa lancée en matière de Web3, il y aura naturellement de plus en plus d’entrepreneurs locaux qui se lanceront dans la création de sociétés appartenant à ce domaine. Et nous avons pour ambition de devenir leur première source de financement. »

En effet, parmi les cinq investissements que le Titan Fund a déjà réalisés, deux concernent des entreprises hongkongaises selon les commentaires du cofondateur de CMCC Global.

Le Titan Fund a joué un rôle de premier plan comme investisseur pour Mocaverse, un nouveau projet NFT lancé en décembre dernier par la licorne blockchain hongkongaise Animoca Brands. Cette dernière a réussi à lever plus de 20 millions de dollars dans le courant du mois de septembre. Par ailleurs, elle a également participé en août 2023 à un premier cycle de financement pour Terminal 3, une start-up hongkongaise spécialisée dans l’infrastructure et la gestion des données Web3.

Source : Coindesk

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La prévente de Memeinator atteint 590 000 $ alors que les investisseurs envisagent une résurgence des mèmes

La prévente de Memeinator (MMTR) a atteint 590 000 $ quelques jours seulement après son lancement.
En tant que nouveau projet basé sur l’IA, Memeinator vise à fournir une véritable utilité et valeur aux utilisateurs de crypto-mèmes.
C’est une nouvelle ère qui verra Memeinator traquer et détruire les pièces de monnaie faibles pour faire son chemin vers une capitalisation boursière d’un milliard de dollars.

La traction pour l’espace mondial des crypto-monnaies de mème au cours des deux dernières années a été spectaculaire. Avec la montée en puissance des altcoins de mème comme Dogecoin et les impressionnants Shiba Inu, Pepe et FLOKI, le marché pratiquement inexistant est passé à un écosystème de 20 milliards $. À leur apogée, les mèmes représentaient plus de 36 milliards $ de capitalisation boursière totale des crypto-monnaies.

Mais alors que la trajectoire des pièces de mème devrait être positive à mesure que la qualité arrive dans le secteur, un projet – Memeinator (MMTR) – souhaite voir le marché se débarrasser des mèmes faibles. L’anéantissement de ces projets mal conçus et souvent frauduleux permettra de restaurer la confiance de l’écosystème dans ces jetons.

Cette époque est arrivée avec le lancement de la prévente de Memeinator.

Qu’est-ce que Memeinator ?

La prévente de Memeinator (MMTR) a été lancée le 27 septembre, marquant la première rencontre du projet avec la communauté crypto. C’était aussi le début de la fin des jetons chétifs se faisant passer pour un chien, une grenouille ou d’autres projets inspirés des mèmes.

En quelques jours, Memeinator a récolté plus de 590 000 $ auprès d’investisseurs – un début qui suggère que ce projet basé sur l’IA offre une valeur que la communauté n’a pas réussi à obtenir de la plupart des répliques de mèmes OG.

« Terminator 2 : Judgment Day » – inspiré de Memeinator, a averti tous les mèmes – il a une capitalisation boursière de 1 milliard $ à court terme et pour y parvenir, il faut traquer tous les mèmes faibles. Mais exploiter un système Memescanner alimenté par l’IA pour dominer l’espace n’est pas tout.

Le projet cherche à donner à sa communauté l’accès à une valeur réelle via le jeu Memeinator et intégrera des NFT, des récompenses de jalonnement et des brûlures de jetons pour débloquer des gains supplémentaires pour les détenteurs de MMTR. Avec de telles perspectives d’utilité intégrées à la feuille de route, il est probable que la prévente ne soit que le début d’une étonnante initiative communautaire.

Parmi les altcoins qui pourraient potentiellement être des concurrents, Dogecoin, Shiba Inu, Floki et Pepe se démarquent. Selon les données de CoinGecko, seuls DOGE et SHIB ont une capitalisation boursière actuelle de plus d’un milliard $ – avec 8,6 milliards $ et 4,2 milliards $. L’objectif de capitalisation boursière de 1 milliard $ fixé par Memeinator signifie que FLOKI et PEPE font actuellement partie des sociétés susceptibles d’être jugées rapidement.

Quel est le prix de Memeinator (MMTR) ?

Les passionnés de crypto-monnaies et d’IA peuvent obtenir le jeton MMTR à 0,0112 $ lors de la troisième étape de la prévente avant que le prix ne grimpe à 0,0118 $. Le prix du jeton était de 0,01 $, une bonne affaire étant donné que le prix de prévente final est fixé à 0,0485 $.

Bien que l’incertitude du marché et d’autres vents contraires puissent dicter les performances commerciales lorsque les pièces sont cotées sur les principales bourses, les rendements explosifs des grands projets au sein de l’écosystème suggèrent que MMTR a tendance à faire des débuts solides.

Quand Memeinator arrivera-t-il sur le marché ?

La prévente de jetons Memeinator a été divisée en 29 étapes, le livre blanc du projet décrivant une offre totale de MMTR de 1 milliard de jetons. Selon la tokénomique qu’il a déclarée, 62,5 % du MMTR seront disponibles pour les lève-tôt via la prévente, tandis que le reste est réparti entre les cotations en bourse et le marketing, le développement, l’apport de liquidités et le pool de concurrence.

Vous pouvez acheter des jetons MMTR aujourd’hui avec ETH, BNB, USDT et USDC, les jetons achetés pouvant être réclamés lorsque la distribution aura lieu à la fin de la prévente. Les utilisateurs doivent noter que MMTR ne peut être acheté que via la page de prévente officielle à ce stade.

Les jetons seront ensuite disponibles sur les principales bourses et plateformes de trading de crypto-monnaies après la prévente, prévue pour le quatrième trimestre de 2023.

Pour en savoir plus sur Memeinator (MMTR), y compris comment acheter, cliquez ici.

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Vague de licenciements : le studio NFT Yuga Labs annonce à son tour une restructuration

Après Ledger et Chainalysis, c’est désormais Yuga Labs qui présente un plan de restructuration impliquant des licenciements. Dans une lettre adressée aux employés, le PDG de l’entreprise estime qu’il faut se concentrer sur le metaverse Otherside.

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Héritage et crypto : Legapass boucle une levée de fonds majeure dans le notariat

La startup niçoise Legapass, spécialisée dans la transmission du patrimoine numérique de manière sécurisée, vient de boucler une deuxième levée de fonds et noue un partenariat stratégique avec le Groupe ADSN, poids lourd dans le secteur du notariat.

Dans le monde, 4 millions de bitcoins seraient perdus, selon Chainanalysis. Autre statistique, près d’une fois sur deux le décès d’un dirigeant d’entreprise entraîne la fermeture de la société dans les cinq années qui suivent. Face à ces risques liés à la mort, la startup Legapass, basée à Nice, a développé une solution de coffre-fort virtuel, et propose de s’occuper de l’héritage numérique des particuliers et des entreprises : codes d’accès aux messageries, réseaux sociaux, photos souvenirs, comptes bancaires en ligne, logins d’ordinateur… ou encore la seed-phrase donnant accès à ses crypto-monnaies ou à ses NFT.

Des données chiffrées et stockées dans des coffres

Créée en 2020, la legaltech a développé une technologie de chiffrement utilisant le format de cryptographie OpenPGP, celui qui a notamment permis à Edward Snowden de communiquer avec des journalistes de manière sécurisée et anonyme. Les données déposées par les clients de la plateforme sont stockées dans plusieurs coffres physiques répartis dans toute la France.

Legapas a annoncé lors du Congrès des notaires, qui s’est tenu à Deauville (Calvados) fin septembre, avoir noué un partenariat stratégique avec le Groupe DSN, qui s’occupe pour le compte de l’Etat de la plateforme informatique utilisée par tous les notaires en France.

Et ce n’est pas tout : la startup en a profité pour boucler une deuxième levée de fonds avec Adnexus, le fonds d’investissement du Groupe DSN, pour un montant resté secret. Selon nos informations, il s’agit d’un tour de table portant sur un demi-million d’euros. “Ils ont choisi de nous soutenir parmi d’autres solutions parce que nous étions les plus sécurisés”, se réjouis Jean-Charles Chemin, co-fondateur de Legapass.

Une intégration réussie avec “France Connect”

La startup multiplie les distinctions

. Coup de coeur du jury du festival Silver éco, à Cannes, lauréat du Trophées d’or de l’Assurance, à Paris… “C’est difficile de nous mettre dans une catégorie, nous intervenons un peu partout. Web3, assurance, notariat… Chaque industrie était dans son monde, il manquait un acteur capable de jongler entre ces différents univers”.

Chose rare dans l’univers des startups, elle vient d’intégrer “France Connect”, ce qui permet à ses clients de se connecter en un clic. “C’est un gage de sécurité et de confiance, qui a demandé un an de travail, et six refus. Il a fallu montrer patte blanche, parce que France Connect s’adresse normalement plutôt aux structures publiques.”

A l’origine, Legapass est née de l’histoire personnelle de la co-fondatrice Adelina Prokhorova, dont la perte de son père a inspiré la mission de l’entreprise : tout faire pour que les choses qui comptent ne disparaissent jamais. L’entreprise emploie aujourd’hui dix-huit personnes et a son siège à l’Allianz Riviera. D’autres solutions existent sur le marché, comme la “Time Capsule” de Ternoa, “mais ces solutions n’ont pas une sécurité de niveau militaire accessible à tout le monde”, souligne Jean-Charles Chemin.

Vers une levée en seed fin 2024

Fin 2022, Legapass a levé 1 million d’euros en pré-seed auprès de divers investisseurs, dont Christophe Courtin, premier business angel de France selon le Magazine Challenges, Laurent Caredda (Almerys), Romain Vidal (Teampact.ventures), Vincent Daffourd ou Etienne Leroy.

Cette deuxième levée est surtout le début d’une collaboration avec l’une des deux entités suprêmes du notariat”, la seconde étant le Conseil supérieur du Notariat. “L’important était de signer le Groupe DSN, plus que l’aspect financier. Etre adoubé par eux, c’est énorme”, reconnaît Jean-Charles Chemin. “Et puis cela nous permet d’attendre que l’orage économique passe, pour faire une levée en seed fin 2024.”

Dans un secteur des cryptos en recherche de respectabilité vis-à-vis des autorités régulatrices, voir un jour un exchange proposer à ses utilisateurs de sécuriser la transmission de leur patrimoine crypto, via Legapass, est-ce envisageable? “J’aimerais beaucoup, car cela simplifierait la chaîne de transmission. Mais les plateformes sont-elles assez transparentes pour jouer le jeu, et s’occuper de l’héritage de leurs utilisateurs ?” 

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Ledger : le géant français va se séparer de 12% de ses employés

Le marché baissier n’en finit plus de faire des dégâts. Le 5 octobre, Pascal Gauthier, CEO de Ledger, l’entreprise française spécialiste de la sécurisation des actifs numériques pour les particuliers et entreprises fondée en 2011, a envoyé une lettre à ses quelque 750 salariés annonçant qu’en raison de la conjoncture, 12% d’entre eux allaient être remerciés. Soit, selon les calculs, environ 90 salariés. Explications.

Des licenciements justifiés par la situation macroéconomique

“La situation macroéconomique actuelle limite notre capacité à générer des revenus. En réponse à ce contexte difficile, nous sommes contraints de réduire nos effectifs à l’échelle globale. Cela signifie malheureusement que nous devons prendre la difficile décision de réduire les effectifs de Ledger de 12 %.” Voilà, en plus de la promesse d’accompagnement et de réussite aux futurs licenciés, le propos du CEO de la start-up française pour expliquer cette vague de départs forcés.

Ledger n’est pas la première entreprise opérant dans la tech à tailler dans ses effectifs depuis la crise provoquée par l’attaque russe en Ukraine. Amazon a déjà supprimé 18000 postes, Google 12000… Le site spécialisé layoffs.com en recense 200000 au total. Selon le site LinkedIn, l’effectif total de Ledger est de 734 employés, ce qui porterait le nombre de licenciements à 88. Le monde des cryptos n’a pas échappé à cette tendance, avec par exemple Binance qui a annoncé le licenciement de 1000 personnes en juillet.

Pascal Gauthier justifie cette décision par le marché baissier de 2022 et l’effondrement d’entreprises comme FTX, SVB et Voyager Digital, et par la nécessité de garantir la “pérennité de l’entreprise”. Les grands mots, alors que le timing de cette décision interroge un peu.

Garantir la pérennité de l’entreprise?

En effet, comme le rappelle Pascal Gauthier, Ledger a été “l’une des rares entreprises à réaliser une importante levée de fonds au cours de la première moitié de l’année 2023”. L’entreprise a en effet levé plus de 109 millions de dollars, ce qui a porté sa valorisation à environ 1.4 milliards. Les caisses semblent donc bien remplies. Ce qui a permis par exemple à l’entreprise il y a 2 jours d’annoncer qu’elle va offrir des portefeuilles uniques aux plus gros collectionneurs de NFT Sotheby’s

De plus, comme le rappelle également Pascal Gauthier, “les utilisateurs ont trouvé refuge dans les produits et services de Ledger. Aujourd’hui, le marché de détail et institutionnel exige un niveau de sécurité et de gouvernance sans précédent à grande échelle.” L’épidémie de faillites, touchant des plateformes abritant parfois jusqu’à plusieurs milliards de dollars d’actifs, a plutôt profité à l’entreprise. En conséquence, elle sécurise aujourd’hui plus de 20% des actifs numériques dans le monde.

Cette décision a-t-elle vraiment pour but de pérenniser l’entreprise, ou sa rentabilité dans un contexte où celle-ci aura tendance à s’effriter? La survie du groupe à court terme semblant être garantie. Où alors, cela signifierait que les business analysts de l’entreprise anticipent plusieurs années de crise économique, et donc de vaches maigres. Seul l’avenir nous dira ce qu’il en est réellement.

Sources: Ledger, Cointelegraph, Bloomberg

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Alice au pays des cryptos : une BD pour plonger dans le terrier du Bitcoin

Bitcoin, NFT et autres curiosités. Le secteur des cryptomonnaies peut rapidement paraître incompréhensible et hostile pour les non-initiés. Une impression d’autant plus accentuée si la personne concernée prête trop d’attention aux poncifs véhiculés par les médias traditionnels… ou aux discussions surréalistes subies lors des réunions de famille. Car les gens croient souvent tout savoir sur les sujets qu’ils ne maitrisent absolument pas. C’est la raison pour laquelle une éducation positive doit impérativement leur être adressée. Un pari remporté avec brio par la bande dessinée « Alice au pays des cryptos ».

Les auteurs seront en dédicace à Paris le samedi 7 octobre à La Tartine de 16h à 19h, et Daniel Villa Monteiro dédicacera la BD à la NFT Factory le 14 octobre.

Une histoire « parfaitement fictive, mais totalement possible »

Il vaut parfois mieux une bonne BD qu’un long discours. C’est par cette simple constatation que débute cet article à propos de la bande dessinée « Alice au pays des cryptos » récemment publiée par Nicolas Balas et Daniel Villa Monteiro, directeur pédagogique de l’école blockchain Alyra, aux éditions du Faubourg. Deux hommes pour une même mission : faire découvrir le monde mystérieux et controversé des cryptomonnaies.

Une plongée sans compromis dans un écosystème à la fois intense et déroutant. Avec comme guide attitré, la jeune et sympathique Alice, tout juste héritière de sa grand-mère récemment décédée. Et un questionnement finalement assez légitime de sa part, au cœur d’une société en train de sombrer dans un confinement sanitaire.

Alice au pays des crypto propose de découvrir cet écosystème de l’intérieur

Que faire de cet argent ? Et comment rendre fière sa grand-mère résistante au régime de Franco durant les sombres heures de l’Espagne ? Surtout lorsque le système monétaire actuel n’inspire plus confiance. Le décor est planté pour une plongée aux côtés d’Alice dans le terrier du Bitcoin, des NFT et autres curiosités…

Bloc : 810 741

C’est au rythme des blocs minés sur la blockchain du Bitcoin que cette aventure retrace l’histoire du secteur des cryptomonnaies entre février 2020 et janvier 2023. Une aventure numérique et humaine tout d’abord portée par l’euphorie du marché haussier de 2021. Et face à cela, des proches et parents de la jeune Alice en train de lui répéter sans cesse de ne pas sombrer dans cette escroquerie à grande échelle qui « ne repose sur rien ».

Pourtant, ce rien va rapidement devenir le tout de la vie de cette étudiante. Un parcours qui va amener Alice à traverser des étapes importantes. Elle se retrouve par exemple au Salvador afin de découvrir ce pays qui vient tout juste de faire du Bitcoin sa monnaie officielle. Puis dans les événements VIP organisés par un écosystème sous stéroïdes à cause de trop fortes doses de volatilité.

Alice au pays des cryptos aborde l’adoption du Bitcoin au Salvador

Car au cours de cette aventure, le solde du portefeuille d’Alice ne cesse de s’envoler. En effet, cette dernière voit le montant de son héritage être tout simplement multiplié par 28 en l’espace de deux années intenses. Le tout à l’aide de placements emblématiques, tout d’abord dans le Bitcoin, puis dans des NFT comme la prestigieuse collection des Bored Ape Yacht Club (BAYC)… mais également des « opportunités » plus discutables comme l’écosystème Terra et son stablecoin algorithmique UST.

Quel sera le dénouement de cette aventure crypto aussi parfaitement fictive qu’elle est totalement possible ? À vous de le découvrir en achetant la bande dessinée « Alice au pays des cryptos » disponible sur plusieurs plateformes. Un bon moment de détente et d’introspection pour les initiés. Et un outil indispensable pour faire découvrir cet écosystème aux plus sceptiques de nos proches…

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La responsable de l’IA et des NFT chez Warner Music démissionne

Après avoir conduit la maison de disques Warner Music Group sur la voie de l’innovation numérique, Oana Ruxandra, la responsable de l’IA et des NFT a pris la décision de quitter le navire. Au cours des trois dernières années, sous sa houlette, le label de musique de la compagnie Warner Bro a embrassé des technologies…

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