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Un crypto-amour très sélectif. De plus en plus de milliardaires et de riches gestionnaires de fonds d’investissement révèlent leur intérêt (voire, leurs possessions) dans Bitcoin (BTC) et d’autres cryptomonnaies. Aujourd’hui, c’est Howard Lutnick, le richissime patron de Cantor Fitzgerald, qui annonce être « fan » de Bitcoin et du stablecoin USDT de Tether.

Seuls Bitcoin et le stablecoin USDT trouvent grâce aux yeux de Howard Lutnick

Récemment interviewé dans l’émission Money Movers de CNBC, le CEO du grand groupe de services financiers Cantor Fitzgerald a donné son point de vue sur le secteur des crypto-actifs. Howard Lutnick a ainsi révélé un grand intérêt pour un nombre (très) limité de cryptomonnaies.

Il est ainsi très enthousiaste pour l’incontournable roi des cryptos, Bitcoin. Mais il est aussi, un peu plus surprenamment, un fervent supporter de l’USDT de la société Tether. Il faut dire que sa propre firme (Cantor Fitzgerald donc) aide la crypto-entreprise émettrice du célèbre stablecoin du dollar à gérer ses immenses réserves (ce n’est plus aussi surprenant, du coup).

« Je suis fan de crypto, mais laissez-moi être très précis, Bitcoin, juste Bitcoin. Les autres cryptos n’ont rien à voir. (…)
Je suis aussi un grand fan de ce stablecoins appelé [USDT]. (…) J’assure la garde de leurs réserves. Et ils ont beaucoup de réserves. Elles dépassent les 90 milliards de dollars aujourd’hui. (…) Je suis un grand fan de Tether. »

Howard Lutnick, CEO de Cantor Fitzgerald

Le patron de Cantor Fitzgerald est sceptique sur Les autres cryptos

Si Howard Lutnick a une nette préférence pour Bitcoin, c’est manifestement pour sa décentralisation et sa capacité de résistance à la censure. Éventuellement, Ethereum (ETH) lui semble passable en la matière.

Mais même dans ce dernier cas, quelqu’un comme Joseph Lubin lui semble avoir trop de pouvoir sur ce réseau blockchain. Car, en plus d’être co-fondateur d’Ethereum, Joseph Lubin est également fondateur et CEO de ConsenSys, principale société de développement du réseau ETH.

Quant à l’USDT, dont il est pourtant un grand fan, Howard Lutnick est réaliste sur la totale capacité de Tether à geler les stablecoins que la crypto-société émet :

« Toutes ces autres cryptos ne sont pas grand-chose […] Elles sont en quelque sorte des faux-semblants, à part peut-être Ethereum qui est OK. (…) Il n’y a personne que vous puissiez appeler [pour contrôler Bitcoin]. Si vous avez des USDT et que le Department of Justice US appelle Tether, il les gèle parce qu’il y a quelqu’un à appeler. Il n’y a personne à appeler pour Bitcoin. (…) Vous savez, pour Ethereum, vous pouvez appeler Joseph Lubin (…). »

Howard Lutnick, CEO de Cantor Fitzgerald

La centralisation est un sujet épineux dans la cryptosphère, car elle fait partie du trilemme insoluble entre grande décentralisation, grande scalabilité (capacité évolutive), et sécurité. Même le plus connu des co-fondateurs d’Ethereum, Vitalik Buterin admet le risque de centralisation des nœuds ETH. De son côté, Bitcoin a certes une faible scalabilité (notamment en termes de transactions par seconde), mais Satoshi Nakamoto à tout misé sur la sécurité et la décentralisation pour son réseau de paiements numériques de pair à pair.

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Dans le monde complexe des crypto-monnaies, chaque mouvement et analyse du marché peut se répercuter sur l’ensemble de l’écosystème, impactant les prix et le sentiment des investisseurs. L’analyse récente de JPMorgan sur l’impact potentiel des ETF Bitcoin au comptant sur les prix du Bitcoin a fait vibrer le marché. Pendant ce temps, Rebel Satoshi ($RBLZ), une nouvelle pièce de mème, crée ses propres vagues, suscitant rapidement l’enthousiasme des investisseurs.

L’énigme des ETF Bitcoin : le point de vue de JPMorgan

JPMorgan, une banque d’investissement mondiale, a jeté un œil critique sur la prochaine décision de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis concernant les fonds négociés en bourse (ETF) Bitcoin au comptant. L’analyste de la banque, Nikolaos Panigirtzoglou, a suscité des discussions avec ses prédictions sur la manière dont ces ETF pourraient influencer les prix du Bitcoin.

L’inquiétude est centrée sur le Grayscale Bitcoin Trust (GBTC) et sa possible conversion en un ETF Bitcoin au comptant.

Panigirtzoglou estime une sortie potentielle d’environ 2,7 milliards $ du GBTC lors de sa transition vers un ETF. Le raisonnement ? De nombreux investisseurs qui avaient acheté des actions GBTC à prix réduit pourraient les revendre à des fins lucratives, ce qui aurait un impact sur la dynamique du marché du Bitcoin.

Si ce capital quitte complètement le marché du Bitcoin, JPMorgan met en garde contre une possible forte pression à la baisse sur les prix du Bitcoin. Mais si les fonds se déplacent simplement au sein de l’écosystème cryptographique vers de nouveaux ETF Bitcoin au comptant, l’impact pourrait être moins drastique. Cependant, le sentiment général est à la prudence, avec des risques potentiels de baisse pour Bitcoin.

RebelSatoshi ($RBLZ) : surfer sur la vague de l’enthousiasme

Contrairement au paysage prudent des crypto-monnaies traditionnelles, Rebel Satoshi prend de l’ampleur dans le secteur des pièces de mème.

Ce jeton basé sur Ethereum, inspiré des esprits révolutionnaires de Satoshi Nakamoto et Guy Fawkes, est plus qu’une simple monnaie numérique : c’est un symbole de la Defi allant à l’encontre du système financier traditionnel.

Rebel Satoshi se démarque par son écosystème diversifié qui allie divertissement et opportunités financières. La plate-forme propose un marché de NFT et un programme de jalonnement, répondant à une gamme d’intérêts au sein de la communauté crypto. Cela positionne $RBLZ comme l’un des meilleurs altcoins à acheter pour ceux qui recherchent un mélange entre plaisir et investissement.

Axé sur la communauté et tourné vers l’avenir

Ce qui distingue Rebel Satoshi, c’est son approche communautaire. Les jetons $RBLZ ne sont pas seulement un investissement, c’est une entrée dans un monde de prise de décision et d’influence au sein de l’écosystème. C’est une pièce de mème qui ne se contente pas d’être une blague et de surfer sur les tendances, mais offre un réel engagement et un potentiel de croissance, ce qui en fait l’une des meilleures pièces de mème du marché.

La prévente en cours de Rebel Satoshi fait donc vibrer la communauté crypto. Cette phase offre une opportunité en or aux premiers investisseurs de faire partie d’un projet qui promet non seulement des rendements financiers, mais aussi un sentiment de participation à un mouvement.

C’est une chance de faire partie de quelque chose qui va au-delà des flux et reflux habituels du marché des crypto-monnaies.

Conclusion : une histoire de deux chemins dans le monde cryptographique

Le monde de la cryptographie est actuellement témoin de deux récits parallèles. D’un côté, il y a l’analyse prudente de JPMorgan, faisant allusion aux défis potentiels de Bitcoin avec l’introduction des ETF au comptant.

De l’autre côté, il y a la montée enthousiaste de Rebel Satoshi, une pièce de mème qui se taille un espace unique grâce à son riche écosystème et sa philosophie communautaire.

Pour les investisseurs comme pour les passionnés, ces évolutions mettent en évidence la nature diversifiée du marché des crypto-monnaies. Des géants traditionnels comme Bitcoin confrontés à de nouveaux paysages réglementaires aux acteurs émergents comme Rebel Satoshi offrant des opportunités nouvelles et engageantes, le monde de la cryptographie continue d’être un royaume de possibilités et d’enthousiasme infinis.

Qu’il s’agisse des meilleures crypto-monnaies à acheter ou des meilleures pièces de mème du marché, le paysage regorge d’opportunités pour ceux qui sont prêts à s’y plonger et à l’explorer.

Pour les dernières mises à jour et plus d’informations, assurez-vous de visiter le site Web officiel de prévente de Rebel Satoshi ou de contacter Rebel Red via Telegram.

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Déjà connu pour ses oeuvres d’art génératif qui utilisent les éléments de la nature, l’artiste Agoria vient d’annoncer sa future collaboration avec le célèbre musée français. Une installation au Musée d’Orsay en février 2024 “Je suis profondément honoré d’annoncer mon installation au Musée dOrsay en février 2024”, annonce l’artiste de son vrai nom Sébastien Devaud,…

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Soutenue par le co-fondateur de Paypal Peter Thiel, Line Next a annoncé une levée de 140 millions de dollars, pour lancer et développer sa marketplace NFT en janvier 2024.

Une plateforme NFT lancée en 2024

La levée de fonds a été menée par le fonds de private equity Crescendo Equity Partners (“Crescendo”) et représenterait le plus gros tour de table financier de l’année sur le continent asiatique dans l’écosystème web3.

Avec les fonds levés, Line Next indique avoir pour ambition “d’étendre son activité mondiale” et de développer de “nouveaux services” dans le cadre de son plan visant à “populariser l’écosystème Web3”.

Parmi ces nouveautés, la firme coréenne prévoit le lancement en janvier 2024 de sa plateforme NFT appelée “DOSI”, qui sera intégrée à la marketplace existante du groupe sur le marché japonais et intitulée “Line NFT”. Line NFT revendique aujourd’hui 5,5 millions d’utilisateurs dans le monde, et près de 470 000 transactions cumulées un an après le lancement de sa version bêta.

L’application sociale permettra aux utilisateurs de communiquer, en se basant sur les personnages qu’ils ont créés en utilisant la technologie de l’IA. Line prévoit également le lancement de nouveaux jeux Web3 qui mettront en scène les personnages de Brown & Friends.

Soutenue par Peter Thiel, co-fondateur de PayPal

L’entreprise envisage de développer ces applications sur la blockchain publique Finschia, et d’intégrer les investisseurs de Crescendo dans la gouvernance de la Fondation Finschia. Soutenu par Peter Thiel, co-fondateur de PayPal et de Palantir Technologies, Crescendo concentre ses investissements sur les petites et moyennes entreprises (small et mid-cap) technologiques.

“Nous espérons construire une norme pour les applications Web3 que les utilisateurs ordinaires peuvent facilement utiliser et adopter la blockchain pour toutes sortes de services et de marques Web2”, indique Kevin Lee, directeur associé de Crescendo.

“Il est significatif que nous ayons pu sécuriser ce financement dans le contexte d’un environnement d’investissement mondial en contraction”, se félicite de son côté Youngsu Ko, PDG de Line Next.

“Nous prévoyons d’utiliser cette opportunité pour populariser davantage Web3 et développer un nouvel écosystème de services où les utilisateurs possèdent la valeur de leurs biens numériques.”

Source : Line Next.

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Au cours des dernières semaines, plusieurs airdrops ont eu lieu sur Solana. Pyth Network, Jupiter et enfin Jito, ces trois protocoles ont distribué des dizaines de millions de dollars. Désormais, d’autres protocoles envisagent de suivre le pas. Voyons ensemble 4 projets qui n’ont pas encore de jeton et qui pourraient réaliser des airdrops dans les mois à venir.

MarginFi

Commençons par le protocole de lending MarginFi. Ce protocole propose une place d’épargne et d’emprunt décentralisée. Ainsi, les utilisateurs peuvent y déposer des fonds et obtenir un rendement sur ces fonds. En parallèle, d’autres utilisateurs peuvent emprunter les fonds déposés en échange de frais.

Le 3 juillet dernier, le protocole a introduit un système de points, visant à récompenser les épargnants et emprunteurs de la plateforme. Ainsi, chaque dollar déposé rapporte 1 point par jour et chaque dollar emprunté rapporte 4 points par jour.

« Les utilisateurs peuvent gagner des points sur MarginFi en prêtant et en empruntant des actifs et en parrainant de nouveaux utilisateurs. Ces points sont tous égaux, mais certaines actions ont un potentiel de gain de points plus élevé que d’autres. »

Comme expliqué lors de l’annonce, ces points permettent de « quantifier la contribution d’un utilisateur au succès de MarginFi ». Cela a mené de nombreux utilisateurs à envisager que ces points seraient utilisés dans le calcul d’un potentiel airdrop.

Pour farmer cet airdrop, nous vous conseillons de déposer des cryptomonnaies et d’en emprunter également, afin de profiter du multiplicateur appliqué aux points concernant les emprunts.

Toutefois, il est primordial de conserver un ratio de collatéralisation sain, afin que votre position ne soit pas liquidée.

Kamino

Le deuxième protocole que nous allons explorer est Kamino Finance. Il s’agit aussi d’un protocole de lending réunissant épargnant et emprunteur.

Le 8 décembre, le protocole a annoncé sur X (Twitter) que les points Kamino arrivaient. Depuis, le site du protocole affiche un message « Points are coming ».

N’attendons pas leur arrivée pour se positionner sur ce protocole et profiter d’un potentiel airdrop basé sur ces points !

Comme pour MarginFi, il est conseillé de déposer des cryptomonnaies en lending et d’en emprunter afin de maximiser les gains de points lorsqu’ils seront déployés. De la même manière, il est primordial de conserver un ratio de « Loan to Value » sain, afin de ne pas se faire liquider.

Jupiter

Jupiter est le principal agrégateur de DEX de Solana. Depuis son lancement, le protocole a su devenir un incontournable de cet écosystème et permet d’agréger les prix d’échanges comme Orca ou Raydium.

Récemment, le protocole a fait la une en annonçant sa première vague d’airdrop pour récompenser ses utilisateurs fidèles.

Toutefois, le protocole ne compte pas s’arrêter à une seule distribution. Ainsi, d’autres airdrops sont à prévoir dans les mois à venir. Une fois de plus, il peut être intéressant de s’exposer à ce protocole.

Pour cela, il est conseillé de : 

Réaliser des Swaps, n’hésitez pas à faire des va-et-vient entre deux actifs pour générer du volume ; 

Faites des achats et ventes en « Limit Order », pareil n’hésitez pas à multiplier les échanges pour générer du volume ; 

Utilisez le module de DCA de Jupiter ; 

Utilisez le module « Perpetual » en ajoutant des fonds dans l’onglet earn, ou en réalisant des trades en long ou short. Attention tout de même à la liquidation ! 

Drift

Le dernier protocole de cette liste sera Drift, le protocole de trading spot et perpétuel avec effet de levier. En plus de cela le protocole embarque d’autres fonctionnalités telles qu’un DEX de type AMM ou du lending.

Bien que le protocole détienne 63 millions de dollars de TVL, celui-ci ne dispose toujours pas de jeton. Une situation idéale pour les chasseurs d’airdrop ! 

Pour se positionner, il faut déposer des USDC sur son compte Drift. Une fois les jetons déposés, il faudra ouvrir des positions à la fois sur les marchés Spot et Perpetuals. Vous pouvez également effectuer quelques swaps classiques pour générer du volume.

Enfin, il est possible de déposer des liquidités dans le module Earn du protocole, ce qui pourrait augmenter les chances d’éligibilité en cas d’airdrop.

Voilà, maintenant, il ne reste plus qu’à croiser les doigts pour espérer être éligible à de potentiels airdrops si ces protocoles viennent à lancer un jeton et profiter de l’engouement autour des airdrops de Solana.

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NFTrump. Le ridicule ne tue pas. Et visiblement encore moins lorsqu’il est question des États-Unis. Une intro peut-être un peu trop américanophobe, il faut l’avouer. Mais comment ne pas déclencher un vague de dédain amusé lorsque l’on héberge un individu comme Donald Trump, en train de déborder – avec récidive – dans le secteur des NFT. Les fans seront néanmoins contents. Car un morceau de son costume est promis à tout acquéreur de 47 cartes numériques de sa dernière collection « Mugshot Edition ». Quelle chance incroyable !

« Mugshot Edition », le dernier délire NFT de Donald Trump

Le premier sujet du matin traitait de la reprise visiblement enclenchée sur le marché des memecoins. Un secteur ou le ridicule côtoie bien souvent l’espoir de s’enrichir sur du vide. Mais alors que le fond venait d’être frôlé, Donald Trump a décidé de creuser une nouvelle fois encore plus profond. En cause, sa dernière collection de NFT intitulée « Mugshot Edition ». Et le vide prend alors une toute autre dimension…

Qui n’a pas rêvé d’avoir une carte à collectionner numérique représentant Donald Trump ? La question se pose sérieusement. D’autant plus pour ceux qui ont eu la malchance de rater la précédente édition de ces NFT, à la tête d’un effondrement de -99 % en un rien de temps. Ou comment donner tout son sens à la notion de « prix plancher ».

Donald Trump se fiche visiblement d’avoir raté la première édition de son expérimentation NFT. Peut-être parce qu’au moment de son lancement, cette collection surréaliste a réussi l’exploit de déclencher un succès aussi inattendu que retentissant.

Et c’est probablement tout ce qui compte pour l’ex-président des États-Unis. Avec une nouvelle fois à la clé des goodies improbables, comme un repas en tête à tête dans sa résidence de Mar-a-Lago… ou encore un morceau de « l’artefact le plus important de l’histoire des États-Unis ».

Un morceau de costume (mais pas d’histoire)

Car il est impossible de reprocher à Donald Trump de ne pas donner de sa personne dans le cadre de la promotion de ses collections de NFT. Et, cette fois, cela prend la forme du morceau de l’un de ses costumes, à destination des acquéreurs de 47 exemplaires de ces cartes dans la même transaction. À 99 $ la carte numérique, cela fait tout de même un total de 4 600 $.

« Lorsque vous achetez 47 cartes ou plus, en une seule transaction, vous recevrez également par courrier votre carte physique avec un morceau de costume ou de cravate. »

Collect Trump Cards

À partir de 100, il est question d’assister à un cocktail dînatoire de « pré-gala » avec l’ancien président. Et au-delà, tenez-vous bien, une carte physique sera envoyée accompagnée d’un morceau de la cravate qu’il portait lorsqu’il a été « photographié par la police ». Sans commentaire…

L’ex-président des États-Unis ,Donald Trump, réitère donc son expérience NFT désastreuse en cette fin d’année. L’occasion de faire un cadeau insolite à une personne que l’on n’aime pas trop. Spoiler alert : attendez l’effondrement de -99 % pour entrer dans cette aventure numérique. Ou, plus simple encore, abstenez-vous…

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Un jeu vidéo qui peut être revendu sous forme de NFT, Ultra l’a fait. Le hub gaming PC permet ainsi une meilleure traçabilité du jeu vidéo au moment de sa revente, même avec les jeux déjà existants du web2. Ultra annonce le premier jeu vidéo web2 tokenisé sous forme de NFT Ultra.io est une marketplace…

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Un airdrop sauvage apparaît – Le 9 août dernier, Coinbase a ouvert les portes de Base son layer 2 développée sur Ethereum. Depuis, de nombreux protocoles s’y sont installés, amenant la TVL totale de Base à 364 millions de dollars. Un chiffre qui pourrait encore augmenter avec l’arrivée d’airdrop sur le réseau Base.

Seamless distribue son jeton SEAM via un airdrop

Seamless est un protocole de finance décentralisée évoluant sur Base. Il s’agit d’un protocole de lending basé sur le code d’Aave v3. Il permet aussi d’épargner ou d’emprunter des cryptomonnaies de manière décentralisée.

Le 11 décembre, le protocole a annoncé le lancement du SEAM, son jeton de gouvernance. En pratique, SEAM est lancé dans le cadre d’un lancement équitable avec un airdrop aux adresses ayant participé à la réussite du protocole.

Ainsi, les fournisseurs de liquidités, épargnants, emprunteurs et autres contributeurs actifs ont été récompensés. Dans les faits, Seamless avait lancé un programme de points, appelés « OG Points ». Ces derniers pouvaient être accumulés par les utilisateurs du protocole. Désormais, ils permettent de quantifier l’allocation de chaque utilisateur dans le cadre de l’airdrop.

Au total, le jeton dispose d’une supply de 100 millions de SEAM, dont 69 % seront alloués à la communauté. Désormais, les utilisateurs disposent d’une période de 3 mois pour réclamer leur airdrop.

En parallèle, le protocole a également mis en place une campagne de liquidity mining. Celle-ci permet aux utilisateurs actuels de Seamless d’obtenir des SEAM en fournissant des liquidités sur le protocole.

« Il s’agit de récompenser les utilisateurs qui fournissent des liquidités ou effectuent d’autres tâches utiles au sein de l’écosystème. Dans le cas de Seamless, cela signifie que les utilisateurs obtiendront des récompenses accrues, simplement en fournissant et/ou en empruntant des jetons sur Seamless ! »

Explique l’annonce

Le jeton SEAM ajouté à Coinbase

De son côté, Coinbase compte bien supporter son écosystème naissant. Ainsi, en parallèle du lancement du jeton SEAM, Coinbase a annoncé son ajout à ses plateformes Coinbase et Coinbase Exchange.

Le jeton, qui a été introduit aux alentours de 13$ sur le marché, s’échange désormais aux environs de 11$.

De son côté, l’annonce aura fait mouche. En effet, en l’espace de 24 heures, le protocole a vu sa TVL doublée, passant de 7 à 70 millions de dollars. Probablement la campagne de Liquidity Mining qui attire de nouveaux utilisateurs.

Cet airdrop survient en pleine « airdrop season ». En effet, celle-ci a été initiée sur Solana avec la distribution successive de Pyth Network, Jupiter et enfin Jito. Cela pourrait bien donner des idées à d’autres protocoles sur Base dans les mois à venir. Affaire à suivre.

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Citoyenneté par investissement. Le Salvador est désormais connu pour ses positions innovantes en relation au Bitcoin. Avec comme dernière opération en date, la prochaine éruption de ses « Volcano Bonds » annoncée pour le début de l’année 2024. Un projet censé, au moins en partie, permettre l’édification d’une ville du nom de Bitcoin City. Et, probablement afin d’y accueillir quelques maximalistes fortunés, 1000 Freedom Visa à 1 million de dollars sont en train d’être distribués aux plus offrants. Un programme dont le succès affiché pourrait se voir clôturé avant la fin de l’année.

Salvador : un programme de citoyenneté par investissement

Les programmes de citoyenneté par investissement ne sont pas nouveaux. Ce qui l’est plus dans le cas du Salvador, c’est l’exigence de voir ces passe-droits réglés à l’aide de Bitcoin ou du stablecoin USDT. Une évidence stratégique, puisque la société Tether se positionne comme la gestionnaire attitrée de cette initiative.

C’est d’ailleurs par la voix de son nouveau PDG Paolo Ardoino que cette initiative – Visa de la liberté – a été officiellement révélée au grand jour. Un projet porté par la Bitcoin Office locale. Avec pour ambition de « favoriser un environnement dans lequel les individus contribuent à façonner un nouveau paysage socio-économique pour le Salvador ». La liberté aurait donc un prix…

Le Salvador distribue 1000 « Freedom Visa »

« Cette collaboration marque une étape cruciale dans notre engagement en faveur du développement économique et de l’innovation. Le « Programme Freedom Visa pour le Salvador » offre une opportunité extraordinaire aux individus de participer activement à l’élaboration d’un avenir prospère pour notre nation. »

Adriana Mira, vice-ministre des Affaires étrangères du Salvador

Un « Freedom Visa » en série limitée

Dans les faits, ce « Freedom Visa » coute la modique somme de 1 million de dollars. Une véritable fortune en comparaison des pays voisins, dont la nationalité se vend à hauteur de 100 000 $ pour la plus accessible, délivrée par les Caraïbes.

C’est la raison pour laquelle cette offre est jugée non compétitive par de nombreux observateurs, au regard des 810 000 $ nécessaire afin de se payer un passeport maltais.

« Au contraire, en fait, il est sous-évalué. Bien qu’il existe de nombreux programmes de citoyenneté disponibles dans le monde, il n’existe qu’un seul pays Bitcoin. »

Bitcoin Office

Une collection dotée de 1000 exemplaires, ouverte depuis le 7 décembre dernier. Et le succès semble toutefois au rendez-vous.

Plan du projet Bitcoin City prévu au Salvador

C’est en tout cas ce qu’affirme officiellement la Bitcoin Office. Cet organe destiné à accompagner l’adoption du BTC sur le territoire du Salvador. En effet, ce Freedom Visa serait déjà un succès. Avec « plusieurs dizaines de candidatures » en cours. Et, « sur la base du niveau d’intérêt actuel, (…) le programme sera épuisé d’ici à la fin de l’année ».

Les modalités de participation à ce programme sont accessibles sur le site officiel du ministère des Affaires étrangères du Salvador. Et cela débute par le dépôt obligatoire – et non remboursable – d’une avance de 999 $. Une somme à retirer du million de dollars versés afin de finaliser cette procédure.

Le Salvador poursuit son développement axé sur le Bitcoin. Dans le même temps, l’initiateur de cette dynamique, Nayib Bukele, rejoue son poste de président aux prochaines élections. Et ce ne sont pas les quelques détenteurs de Freedom Visa qui pourront changer les choses.

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Produit spéculatif, phénomène de mode, chute de FTX… Les Français jugent très sévèrement les cryptomonnaies, tout en s’y intéressant comme un investissement de plus en plus probable, selon un sondage de YouGov pour le media The Big Whale.

Les Français et les cryptomonnaies

L’enquête a été réalisée sur 1021 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire YouGov France du 22 au 23 novembre 2023.

Il démontre qu’une certaine défiance règne toujours autour de la crypto en France, malgré la vitalité de l’écosystème startup web3. Visiblement, le “bear market” et son lot de déconvenues en 2022 et 2023 ont rendu les sondés frileux.

Selon le sondage, 8% des Français ont déjà investi dans les cryptomonnaies, et 8% envisagent de le faire. Mais ils sont encore 80% à n’avoir jamais touché aux cryptos et à ne pas vouloir changer d’avis. C’est un premier constat assez conforme aux différentes études publiées sur le sujet, en avril de cette année par l’Adan et KPMG et plus récemment en novembre par l’OCDE et l’ AMF.

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Un “produit spéculatif”, une “menace pour l’environnement”

L’étude montre en effet une grande méfiance dans les monnaies telles que Bitcoin, que les Français considèrent encore largement comme un produit spéculatif (42%), un phénomène de mode (39%), et même une menace pour l’environnement (13%). Seulement 13% des Français y voient un moyen de transaction amené à remplacer les devises nationales, 11% un placement de long terme, et 8% un placement rentable. Il y a encore du boulot !

Malgré ce constat, paradoxalement, lorsqu’on les interroge sur la probabilité d’investir dans les cryptos dans les prochains mois, ils sont tout de même 13% à répondre par l’affirmative (3% ont même répondu “Oui, tout à fait”).

Ils sont également plus d’un Français sur quatre (27%) à penser que l’usage des cryptos va se développer dans le futur, notamment pour le versement des salaires, ou le paiement dans les commerces. Le tableau n’est donc pas tout noir, et laisse de la place pour une montée en gamme du secteur dans son ensemble.

D’autant que les Français considèrent la faible rémunération des produits d’épargne classique (Livret A, assurance-vie…) et l’inflation comme des facteurs qui les incitent à investir dans les cryptoactifs, pour près d’une personne sur cinq (18% très précisément), avec une nette distinction entre les réponses des hommes (22%) et des femmes (15%).

2022, annus horribilis pour les cryptos

Comment expliquer cette défiance ? Pourquoi une telle frilosité en France alors que d’autres pays comme l’Allemagne montrent une adoption bien supérieure ? Plusieurs facteurs peuvent influencer la perception des investisseurs tricolores : une aversion générale culturelle au risque, un contexte globalement baissier pour les cours des cryptos depuis le top du marché en novembre 2021, l’annus horribilis de 2022 avec les effondrements de Terra Luna, Celsius, Three Arrows Capital, FTX, et l’éclatement de la bulle NFT ; en 2023, l’amende record de 4,3 milliards de dollars de Binance et la démission de son président Changpeng Zhao, alias “CZ”…

D’ailleurs, selon le sondage, un Français sur quatre (25%) a entendu parler de l’affaire FTX et du procès de son fondateur Sam Bankman-Fried. A noter que, contrairement aux idées reçues, les 45-54 ans sont plus informées sur cette question (27%) que les 18-24 ans.

Ils sont 31% de Français à avoir eu écho de la chute des cours des NFT, et même 12% à avoir entendu parler du lancement probable d’un Exchange-Traded Fund (ETF) par BlackRock. Ils sont plus nombreux (28%) à avoir entendu parler de la réglementation européenne sur les cryptos (MiCA).

En conclusion, l’étude de YouGouv relate de manière assez fidèle l’intérêt teinté de défiance (ou inversement) des Français pour les cryptomonnaies. Si l’adoption ne progresse pas, plombée par le contexte baissier de 2022, il semble que les sondés restent convaincus que l’avenir de la finance et l’usage des moyens de paiement passeront par les cryptos. Sans doute demandent-ils à être convaincus : une bonne piqûre de rappel pour l’ensemble de l’écosystème.

Source : Sondage YouGov

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