Toute l'actualité des NFT
La passerelle BRC-721 E est désormais opérationnel, permettant ainsi aux utilisateurs de transférer des NFT d’Ethereum à Bitcoin Ordinals. Le seul hic, c’est qu’il est n’est pas possible de revenir en arrière. Migrer son NFT d’Ethereum vers Bitcoin Ethereum reste de loin la plateforme NFT principale en termes de valeur et de volume d’échange. Cependant, avec…
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Le géant de l’électronique japonais Sony annonce une incursion audacieuse dans les univers du Web3, des NFT et du metaverse. Cela marque une nouvelle étape dans l’adoption des technologies blockchain par les grands acteurs industriels. En partenariat avec Astar, une plateforme nippone de contrats intelligents, et Startale Labs, un habitué du domaine Web3, Sony dévoile un programme d’incubation prometteur.
L’article Sony se lance : Metaverse, NFT et Web3 au programme est apparu en premier sur Cointribune.
L’artiste néerlandais Harm van den Dorpel s’inspire de concepts automobiles et présente une collection intitulée Maschine. Un partenariat avec un artiste et une DAO Mercedes-Benz lance une nouvelle collection NFT. Pour cela, le géant automobile allemand collabore avec l’organisation Fingerprints DAO et l’artiste néerlandais Harm van Den Dorpel. Cette collection d’art génératif, baptisée “Maschine” est…
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Un aller sans retour – Un pont bâti entre les deux plus grandes blockchains jamais créées se tient prêt à faire voyager vos NFT. Qui l’eût cru ? L’engouement pour les Ordinals, présent depuis plusieurs mois, n’a pas l’air de vouloir retomber. Chaque semaine, des innovations voient le jour, des passerelles vers Bitcoin sont construites, des plus improbables aux plus définitives. Décryptage.
Fusionner Bitcoin et Ethereum. Un rêve pour certains, un total contresens pour d’autres. Et pourtant, que ce soit hier via la DeFi (Finance Décentralisée) ou aujourd’hui via les NFT, les créations de Vitalik Buterin et de Satoshi Nakamoto ne cessent par certains égards de vouloir communiquer. Ici, en l’occurrence, plus qu’une fusion, il s’agirait plutôt d’une absorption.
En effet, le projet Bitcoin Miladys vient d’annoncer la mise en place d’un pont (bridge en anglais) entre les deux blockchains.
Propulsé ces derniers mois par la hype autour des Ordinals, il faut dire que Bitcoin, longtemps délaissé, semble rattraper son retard sur le plan des NFT. À titre d’exemple, le mois de mai a vu les Bitcoin Frogs, une collection NFT sur Bitcoin, dépasser en volume d’échanges le prestigieux Bored Ape Yacht Club (BAYC), la collection la plus prisée d’Ethereum.
Bitcoin serait-il donc prêt à engloutir la blockchain restée reine des NFT jusqu’alors ? Tant s’en faut, bien sûr. Toutefois, ce nouveau bridge œuvre clairement dans ce sens. En effet, jusqu’alors nous assistions à une création désordonnée d’œuvres numériques sur Bitcoin, plus ou moins farfelues. Des essais souvent dépourvus d’autre intention que de tester ce fameux protocole Ordinals.
Aujourd’hui, toutefois, la donne pourrait changer. Via ce nouveau pont entre les deux blockchains, il est désormais possible de transférer des NFT déjà existants sur Ethereum. Potentiellement, des collections entières de NFT pourraient alors avoir envie de migrer d’Ethereum vers Bitcoin.
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Décrit de cette manière, la théorie pourrait paraître alléchante. Vous allez voir qu’en pratique, toutefois, il faudrait avoir le cœur bien accroché. En effet, nous n’en sommes qu’aux prémices de cette technologie NFT. Une technologie qui a d’ailleurs plutôt l’allure de bidouillage que de réelle volonté technique permise par la blockchain mère. De fait, le panel de possibilités associées s’en ressent fortement. En effet, le piège est là : il s’agit d’un voyage sans retour. Un aller simple. Impossible pour les NFT de retourner sur Ethereum après avoir passé la tête sur la blockchain Bitcoin.
En effet, le NFT original sur Ethereum sera alors brûlé (burn en anglais) – rendu inaccessible –, au moment de la création de sa copie conforme sur Bitcoin. En pratique, Bitcoin Miladys inscrit sur Bitcoin la localisation exacte du NFT sur la blockchain Ethereum. Et ils ajoutent aussi un lien renvoyant vers l’image originelle du NFT.
Le problème du retour sur Ethereum est le suivant. D’abord, cela nécessiterait de placer le NFT sous séquestre au lieu de le brûler. Ensuite, il s’agit de tracer les différentes reventes du NFT en question sur la blockchain Bitcoin. Enfin, il faut parvenir à déterminer sur quelle adresse Ethereum retransférer le NFT acquis sur Bitcoin par le nouveau détenteur. Une complexité à s’arracher les cheveux qui rend pour l’instant impossible ce fameux voyage retour.
Certains détenteurs de NFT seront-ils donc suffisamment courageux – que dis-je, assez fous – pour abandonner définitivement Ethereum au profit de Bitcoin ? Seront-ils prêts à quitter la sécurité de la Terre juste pour apercevoir le temps d’une minute de leurs propres yeux la planète Mars, et pouvoir dire « je l’ai fait » ? Les NFT ainsi transférés conserveront-ils alors leurs privilèges sur Bitcoin ? Des questions auxquelles les différents projets derrière ces collections devront peut-être devoir répondre prochainement.
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L’article D’Ethereum à Bitcoin : la grande migration des NFT a commencé est apparu en premier sur Journal du Coin.
The new token standard allows traders to burn their ERC-721 NFTs and transfer them to Ordinals on the Bitcoin network.
Titled “Maschine,” the generative art collection was created by Dutch artist Harm van den Dorpel and draws inspiration from automotive concepts.
Ordinals, une marmite sous pression – Depuis le début d’année 2023, et à plus forte raison ce mois de mai, le mot Ordinals est sur toutes les lèvres. L’activité du réseau Bitcoin n’a pas été aussi intense depuis bien longtemps. La preuve par les chiffres. Focus sur le volcan en ébullition dissimulé derrière le calme plat du bear market.
La blockchain Bitcoin, ancêtre des cryptos, que certains jugeaient immuable, qualifiaient de vieillotte, voire dépassée, vient, en ce mois de mai, de tous les faire taire. Pour le meilleur et pour le pire, d’ailleurs. Immuable, Bitcoin l’est toujours plus ou moins. Mais, une nouveauté a fait son apparition.
Certes, la création des Ordinals était déjà possible depuis un bon moment. Que ce soit des NFT ou les fameux tokens BRC-20 récemment surgit des entrailles de la blockchain Bitcoin. La véritable nouveauté de ces derniers mois, en revanche, ce sont les outils. Leur accessibilité, surtout. Soudain, créer un token BRC-20 sur Bitcoin, clin d’œil aux tokens ERC-20 sur Ethereum, devient très simple. De fait, tout le monde veut s’y essayer.
En plus des collections NFT de ce début d’année, se mettent alors à apparaitre nombre de nouveaux tokens, plus ou moins pertinents. Souvent moins que plus, d’ailleurs. Sauf que tout ce petit monde a besoin de transactions pour exister. Utiliser la blockchain mère a un coup, et le réseau Bitcoin le fait savoir. Ceux qui sont ravis dans l’histoire, ce sont les mineurs de Bitcoin, évidemment. Eux qui n’en espéraient pas tant après une fin d’année 2022 particulièrement difficile. Les mois qui ont suivi la chute de FTX ont mis à mal les réserves en BTC de ces compagnies au bord de la faillite. On peut dire que cela valait la peine de serrer les dents jusqu’en 2023.
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En effet, en mai, les frais de transactions ont représenté non loin de 15% du montant total de la récompense que touche un mineur après avoir validé un block avec succès. Un pourcentage sans commune mesure avec les mois précédents, selon les données de nos confrères de The Block.
Et lorsque l’on parle d’augmentation des frais, ce n’est pas peu dire. Il s’agit même plutôt d’un euphémisme. Explosion, serait plus juste. Ce pourcentage, qui s’est littéralement envolé au mois de mai, n’avait pas été vu depuis avril 2021. C’est-à-dire en plein pic du bull run précédent alors que Bitcoin atteignait les 60 000 dollars. Aujourd’hui, en plein calme plat crypto, rebelote. Le contraste est saisissant.
De fait, tout au long du mois de mai, Bitcoin n’a cessé d’être la blockchain la plus utilisée en termes de transaction NFT, juste derrière Ethereum. Écrasant de ce fait des blockchains comme Solana ou Polygon. Les Bitcoin Frogs ont généré plus de 2 millions de dollars de volumes. Cette collection NFT sur Bitcoin a même dépassé le temps d’une journée le volume de transactions des singes du Bored Ape Yacht Club (BAYC), la collection phare d’Ethereum.
Sans avoir l’air d’y toucher, ce phénomène met en lumière la véritable clé de l’adoption crypto. Le saint Graal recherché par tous les aficionados qui tentent contre vent et marée de convaincre leurs voisins, amis, familles de jeter un œil à ce secteur si décrié par les médias, matraqués par les préjugés. La clé ? La simplicité des outils. La facilité d’accès. Lorsque la distance qui séparera le grand public du monde crypto sera une simple touche sur l’écran de son téléphone, alors le combat sera gagné. Car entre liberté et simplicité, les gens font très souvent le choix de la simplicité.
Pourtant, l’essence même de Bitcoin, et dans une moindre mesure des cryptos via l’émergence par exemple de la DeFi (Finance Decentralisée), c’est la liberté. L’absence de censure. Le retour au droit de propriété. Cette liberté doit désormais s’habiller de simplicité. Aujourd’hui, ce mariage prend la forme des tokens BRC-20 sur Bitcoin.
Certains voient cette mouvance comme une menace, d’autres comme le libre droit d’utiliser tous les moyens de création que la blockchain Bitcoin met à disposition. Techniquement, en revanche, la création de ces tokens reste plus ou moins un « bricolage » qui utilise des détours du mécanisme de Bitcoin non prévu à cet effet. L’avenir nous dira donc si cet engouement pour les tokens BRC-20 est une simple vague passagère ou un véritable raz-de-marée prêt à s’inscrire dans la durée et capable de convaincre les plus fervents détracteurs de Bitcoin tels que Peter Schiff.
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L’arnaqueur aux meme coins – Dans le monde tumultueux des cryptomonnaies, une figure énigmatique a récemment fait surface : Ben.eth. Son parcours dans le monde des cryptomonnaies soulève de nombreux débats. Ainsi, celui-ci s’apprête à lancer un troisième jeton frauduleux.
Ben.eth, de son pseudonyme de collectionneur de NFT, s’est lancé dans l’industrie crypto en 2017 avant de plonger dans l’univers des NFT en 2021. Celui-ci est très actif sur Twitter, où il est suivi par plus de 90 000 abonnés.
Sa popularité a grimpé en flèche au début du mois de mai après la promotion du meme coin PEPE. Par la suite il lancera sa propre cryptomonnaie, le meme coin BEN, le 6 mai.
À l’origine, le BEN a connu un démarrage plutôt raté. Cependant, c’était sans compter sur l’intervention de BitBoy, un autre internaute controversé, qui a décidé d’investir.
Cela a permis de relever la barre pour le lancement du BEN. Ainsi, environ 60 ETH seront levés lors de la prévente du jeton.
Quand on y regarde de plus près, il semble évident que ce token est une arnaque. Sur son site internet, les informations sont pour le moins sommaires. Supply totale, taxes appliquées et puis ce sera tout comme informations. Le site affiche également un « New website coming soon ! », qui selon nous, n’arrivera jamais.
En effet, Ben.eth semble avoir trouvé la poule aux œufs d’or et compte bien l’exploiter. Ainsi, seulement 6 jours après le lancement du jeton BEN, Ben.eth annonce le 12 mai le lancement d’un nouveau jeton : PSYOPS.
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C’est avec le lancement du jeton PSYOPS que les événements prennent une tout autre tournure. Effectivement, pour ce jeton Ben.eth a une nouvelle fois réalisé une prévente. Cependant, cette fois-ci il a annoncé que les utilisateurs devaient lui envoyer des ETH directement à son adresse ENS.
Pourquoi s’embêter à faire un smart contract, si on peut directement recevoir les fonds sur son ENS ?
Au total, Ben.eth a réussi à collecter plus de 9 millions de dollars en ETH lors de la prévente de PSYOP.
Un deuxième gros coup, qui lui aura permis de voir son wallet bondir de 2 600 dollars le 3 mai à 23 millions de dollars au moment de la rédaction de ces lignes, selon Etherscan.
Le 27 mai, Ben.eth a annoncé le lancement d’un nouveau meme coin, le $LOYAL. Il a invité les gens à envoyer de l’ETH à son portefeuille et a promis de ne pas garder cette réserve comme pour les autres tokens.
Cependant, le lancement de ce nouveau token suscite déjà des inquiétudes. Les autres tokens lancés par Ben.eth ont clairement été des pump&dump, laissant craindre que le nouveau token ne suive la même trajectoire.
Par ailleurs, des plaintes pour tromperie des investisseurs et fraude présumée ont été déposées contre Ben.eth. Un partenariat entre le cabinet d’avocats Loevy & Loevy et Jurat Blockchains a même envisagé une action en justice contre Ben.eth s’il ne rembourse pas les acheteurs de la prévente de PSYOP.
Ainsi, Ben.eth pourrait bien suivre le même chemin que son confrère Bitboy. En effet, celui-ci est attaqué en justice pour la promotion de titres financiers non enregistrés.
Les scams sont des aléas malheureux, mais pas une fatalité. Besoin de tranquillité d’esprit pour vos cryptos ? Inscrivez-vous vite sur la plateforme Binance, LA référence absolue du secteur, et économisez 10 % sur vos frais de trading en suivant ce lien (lien commercial).
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C’est bien trop souvent que l’on présente le secteur des cryptomonnaies comme s’opposant frontalement aux exigences écologiques de notre temps. Pourtant, l’innovation technologique peut tout à fait se mettre au service de la sauvegarde de l’environnement. Pour preuve, la stratégie positive lancée par le jeu mobile Web3 “My Lovely Planet” qui se destine à protéger la planète. Une dynamique basée sur le jeton My Lovely Coin (MLC). Un token aux multiples bénéfices pour ses détenteurs, mais aussi pour le climat.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec My Lovely Planet.
Le projet de crypto-gaming My Lovely Planet veut révolutionner son secteur par ses performances financières et écologiques. En effet, le jeu mobile innove et allie la puissance fédératrice du gaming à la technologie Web3. Son ambition est nécessaire et urgente : Protéger l’Environnement.
Pour ce faire, l’objectif premier de l’équipe est de fédérer une communauté de 100 millions de joueurs engagés. Comment ? Grâce à un principe simple soutenu par un espace de jeu très intuitif. Les multiples actions in-game et leur impact seront reproduites dans le monde réel. Ceci pour planter 1 milliard d’arbres, nettoyer 1 million de tonnes de déchets des océans, et protéger 50000 espèces en danger.
Grâce à cette mécanique originale, à son univers attractif et fun, et à sa dimension durable affirmée, My Lovely Planet cherche à s’imposer à terme comme un acteur majeur du casual gaming mondial. Un succès qui est déjà au rendez-vous. En effet, le projet est soutenu par le startup program du Ubisoft Entrepreneurs Lab. De plus, il est lauréat du prix “Unity for Humanity creator program”. Un concours dont l’objectif est de “permettre aux créateurs 3D de rendre le monde meilleur.”
L’écologie a besoin d’actes concrets et d’un engagement effectif, mais également d’outils ambitieux destinés à monétiser son développement. C’est très précisément la raison d’être de la cryptomonnaie My Lovely Coin (MLC) officiellement lancée le 22 mai dernier. D’un point de vue technique, il s’agit d’un jeton ERC-20 déployé sur la blockchain Polygon. La quantité disponible (supply) est fixée à 1 milliard d’unités à terme. Dans le même temps, My Lovely Planet affiche son ambition de “consacrer 15% de (son) chiffre d’affaires mondial à l’environnement.”
“Dès aujourd’hui, vous pouvez acheter des jetons MLC et rejoindre la mission de My Lovely Planet : protéger l’environnement. 70 millions de jetons sont en vente au prix de 0,061€. Le prix augmentera chaque semaine, pendant 11 semaines, pour atteindre 0,08€ avant de s’inscrire à 0,10$.”
My Lovely Planet
La distribution de ce jeton MLC repose sur un principe très incitatif. Son prix d’achat augmente au fil du temps durant les 11 semaines consacrées à sa libération. Au final, la tokenomics accorde 7% de sa supply à cette vente publique (70 millions d’unités) et 40% à son Environmental Treasury, un fonds destiné à soutenir “le pouvoir fédérateur du gaming allié à l’innovation du Web3 pour générer le plus grand mouvement mondial de protection de l’environnement.” Tout un programme !
My Lovely Planet compte faire de l’Environmental Treasury le plus gros fond d’investissement pour la protection de la planète. Pour ce faire, il compte valoriser le token MLC grâce à son utilité In-Game mais aussi en dehors du jeu.
Il est possible d’acheter les tokens en carte bancaire, en virement bancaire ou bien en cryptos (USDT, ETH, MATIC). On peut aussi bénéficier de bonus en fonction du vesting choisi.
Le projet My Lovely Planet est né d’une observation technique et économique du secteur des cryptomonnaies. Une analyse menée par l’entrepreneur et ingénieur des Mines Paristech Clément Le Bras. Un récidiviste dans le domaine, puisqu’il est déjà cofondat de lilo.org. Un moteur de recherche vertueux fort de 6 millions d’utilisateurs actifs. Une initiative qui totalise des dons à hauteur de 5 millions d’euros versés à de nombreuses ONGs. My Lovely planet s’inscrit plutôt dans le crypto-gaming adapté à l’univers des jeux pour smartphones de type “casual,” simples, addictifs et occasionnels. L’application compte déjà plus de 10 000 joueurs actifs, répartis sur Android ou iOS
“L’idée est née de la prise de conscience que le marché des cryptomonnaies a été l’un des secteurs à la croissance la plus rapide ces dernières années, avec une valeur cumulée de 1270 milliards de dollars en avril 2023. Cela a conduit à la question : et si nous pouvions tirer parti de la puissance des cryptomonnaies, des jeux et de la blockchain pour créer l’un des plus grands fonds pour la protection de l’environnement en quelques années seulement? De cette idée folle mais bien ancrée est né le jeton My Lovely Coin (MLC).“
My Lovely Planet
Dans les faits, le jeton MLC peut être acheté directement ou simplement gagné lors de son activité directement en jeu. En effet, chaque joueur bénéficie automatiquement d’un portefeuille intégré destiné à accueillir ces fonds numériques.
Les jetons MLC peuvent être utilisés pour réaliser de nombreuses actions. Vous pourrez acheter de skins et autres bonus. Vous pourrez aussi vous abonner afin d’avoir accès à un contenu spécifique (potager, grange, exploitation agricole, etc…). Mais ce n’est pas tout ! Les joueurs les plus assidus pourront également acquérir des NFTs nommés « Lovely Protectors » avec accès communautaire et gameplay exclusifs. My Lovely Planet annonce également que 85% des achats In-app et 5% des Ads seront utilisés pour racheter des jetons MLC sur les exchanges. Une procédure de soutien du prix du token bien connue des investisseurs.
Clairement, la feuille de route de l’équipe est ambitieuse. Il s’agit de concrétiser l’intégration d’un Launchpad puis un listing sur un échange centralisé CEX pour le mois de septembre 2023. Ceci afin de faire rapidement connaître le token MLC au plus grand nombre. En effet, l’objectif des fondateurs est d’intégrer le top 100 des cryptomonnaies avant 2025, et le top 30 avant 2030. Un objectif qui s’annonce difficile à atteindre, mais une feuille de route précise et détaillée qui a déjà convaincu Ubisoft, Unity, plus de cinq cent mille abonnés sur Tiktok et plus de quarante mille joueurs sur leur version Béta.
Intégrer un top exchange mondial, attirer un flux constant de nouveaux joueurs grâce à un super jeu mainstream, fidéliser les holders et faire du MLC un token qui permettra d’accéder à un écosystème global de services. Voici à quoi l’équipe va s’atteler dans les prochains mois.
Pour ce faire, l’équipe a promis des releases régulières : une nouvelle version du jeu sortira tous les mois pour augmenter la rétention et convaincre une communauté Web3 toujours plus nombreuse. Le but est bien évidemment d’améliorer et de dynamiser l’expérience de jeu. La logique est simple : “plus il y aura de joueurs, plus le token MLC prendra de la valeur.” Raison pour laquelle il peut être judicieux de profiter rapidement d’un prix de lancement attractif …
L’article My Lovely Coin (MLC): le « green token » d’un monde plus durable est apparu en premier sur Journal du Coin.