Presque 1 million $ récolté par le jeu NFT RobotEra, comment expliquer ce succès ?

Le secteur des metaverse est un univers en plein essor. Même si des leaders comme Decentraland et The Sandbox tendent à dominer cette industrie, de nouveaux projets prometteurs comptent bien s’imposer. C’est le cas de Robotera, un jeu NFT qui fait de l’ombre à ses concurrents depuis le début de la prévente de son token, et pour cause, près d’un million de dollars récolté en peu de temps. RobotEra : déjà 920 000 $ récoltés lors de la prévente Avec Robotera, les développeurs comptent transporter les joueurs en immersion dans un univers à la fois rétro et futuriste. Ainsi, les […]

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Yuga Labs : le logo des NFT Bored Ape est-il plagié ?

NFT et propriété intellectuelle : qu’en est-il réellement ? – En seulement quelques collections, Yuga Labs est devenu l’un des studios de NFT les plus influents de l’écosystème. Il est notamment à l’origine de la collection Bored Ape Yacht Club (BAYC). Malheureusement, le studio se retrouve actuellement au cœur d’une affaire de propriété intellectuelle.

Yuga Labs : plagiat de logo pour la collection BAKC

Le studio Yuga Labs est arrivé sur le devant de la scène après avoir sorti sa très réputée collection de NFT Bored Ape Yacht Club en avril 2021. Quelques mois après le lancement de sa collection phare, Yuga Labs a réitéré l’opération avec une nouvelle collection baptisée Bored Ape Kennel Club.

Visuels de la collection Bored Ape Kennel Club

Cependant, deux ans après sa sortie, Yuga Labs se retrouve au cœur de la tourmente. Effectivement, l’internaute @Jdotcolombo a révélé l’affaire le 17 février sur Twitter.

Celui-ci explique que Yuga Labs a utilisé une œuvre dont ils n’avaient pas la propriété intellectuelle comme logo de la collection BAKC. Pire encore : ce dernier a par la suite tenté de déposer la marque ainsi que le logo.

En fait, le logo de la collection BAKC est une copie pure et simple d’un dessin réalisé par le site Easy Drawing qui propose des tutoriels de dessin. Ce dessin faisait partie d’un tutoriel « dessin facile étape par étape pour un crâne de loup ». Celui-ci a été publié en mai 2021 et sera utilisé pour BAKC en juin 2021, un mois plus tard.

À gauche, le logo BAKC – A droite, le dessin d’Easy Drawing

Pourtant, comme l’a précisé par la suite Easy Drawing, Yuga Labs ne dispose pas de la licence pour utiliser cette image :

« Les droits de propriété intellectuelle du dessin appartiennent à Easy Drawing Guides, car il s’agit de notre dessin original et il est protégé par nos conditions générales. »

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NFT : réelle protection pour la propriété intellectuelle ?

Mise devant le fait accompli, Yuga Labs n’a eu d’autre choix que d’abandonner le logo à l’effigie d’un crâne de loup. Toute référence au logo a été retirée des plateformes de vente de NFT, telles qu’OpenSea.

Yuga Labs a retiré le logo de sa collection BAKC

Toutefois, cette affaire relance une fois de plus le débat de la propriété intellectuelle dans le monde des NFT. Pour rappel, ces derniers sont présentés comme un outil de taille pour la protection de la propriété intellectuelle. Les caractéristiques mêmes des NFT devraient donc permettre aux artistes de s’émanciper et de mieux pouvoir protéger leur art.

Malheureusement, la réalité est toute autre. Actuellement, des centaines d’artistes font les frais de vols de propriété intellectuelle, justement pour créer des collections de NFT.

Pourtant, Yuga Labs sait pertinemment ce que cela fait de se faire voler sa propriété intellectuelle. En effet, l’entreprise a intenté un procès à l’artiste Ryder Ripps. Pour rappel, celui-ci avait lancé une collection de NFT collection NFT RR/BAYC, entièrement copiée du BAYC. Cependant, il semblerait que le procès ne se passe pas comme prévu pour Yuga Labs.

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Le nouveau PDG de YouTube affirme son intérêt pour les NFTs

Après 25 ans passés chez Google, Susan Wojcicki a annoncé quitter le navire. L’emblématique PDG de YouTube sera remplacée par Neal Mohan, qui n’a pas tardé à présenter ses ambitions pour la plateforme. Il se pourrait que les tokens non fongibles (NFT) y aient une place toute particulière.

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OpenSea tente de contrer Blur en testant un nouveau modèle de frais

OpenSea semble dans la tourmente depuis que d’autres concurrents sérieux sont entrés sur le marché. Et c’est notamment le cas avec Blur qui vient de voir son jeton augmenter de 27 %. OpenSea, quant à lui, peine à croître avec des chiffres qui restent au beau fixe. Un retour de bâton qui fait suite à quelques erreurs tactiques de la part du géant des NFTs, particulièrement sur leur politique concernant les revenus des créateurs et leurs frais. Et ça, les utilisateurs ne l’auront pas pardonné en se dirigeant vers des plateformes plus compétitives. Depuis lors, l’équipe d’OpenSea essaye de rectifier […]

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En pleine tempête Blur, OpenSea réduit ses frais de trading NFT à zéro

Le roi des NFT forcé de ployer – Une véritable bataille navale fait rage entre les plateformes NFT. La frégate Blur menace l’hégémonie du roi des mers OpenSea. La marketplace revient même sur ses positions, adoptant la stratégie de sa concurrente.

OpenSea dépassée, contrainte d’opter pour le zéro frais

Le géant OpenSea, poussé dans ses retranchements, est obligé de revoir ses plans face à sa solide compétitrice, la nouvelle arrivée Blur. Cette dernière a fait exploser les volumes de trading NFT sur sa plateforme grâce à une politique agressive : 0 % de frais de trading, le tout soutenu par de multiples airdrops de son token BLUR.

OpenSea a bien essayé de stopper cette progression, en tentant de priver sa concurrente de collections, ceci en mettant au point un outil de redevance forcée (royalties rétribuées aux artistes à chaque vente de NFT). Adopté par les artistes, il empêchait jusqu’à il y a peu leur collection d’être listées sur des plateformes comme Blur, qui rendent les royalties optionnelles. Mais le vaillant drakkar pirate a réussi à contourner l’interdiction fin janvier dernier. Les artistes peuvent désormais lister leurs collections sur Blur et recevoir l’entièreté de leurs royalties. Et les utilisateurs continuent de profiter de 0 % de frais de trading.

OpenSea voyant ses volumes lui échapper est obligé de virer de bord. La plateforme NFT annonce ainsi opérer de grands changements dans sa politique.

Opensea contrainte de s’aligner sur le modèle Blur pour conserver sa première place – Source : Twitter

« 1) Frais sur OpenSea à 0 % pour une durée limitée

2) Les royalties des créateurs [de NFT] deviennent optionnels (0,5 % mini) sur toutes les collections n’ayant pas opté pour l’outil de redevance forcée [exactement comme sur Blur]

3) Les places de marché adoptant la même politique ne seront pas bloquées [vu qu’Opensea fait désormais de même] »

Tweet d’OpenSea

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Guerre des marketplaces NFT : OpenSea touchée, mais pas coulée

Les équipes d’OpenSea le reconnaissent. Depuis octobre dernier et l’arrivée de Blur, un drastique changement de cap a commencé à s’opérer pour l’écosystème des marketplaces NFT.

« En octobre, nous avons commencé à voir des volumes significatifs et des utilisateurs migrer vers des places de marché NFT qui ne respectaient pas totalement les royalties rétribuées aux créateurs. »

Déclaration d’OpenSea

Opensea s’est alors attelée, sous couvert de la protection des royalties des artistes, à écarter la concurrence grâce à son outil de royalties forcées, comme expliqué précédemment. Ce fut un échec. Et l’analyse des volumes par plateforme NFT montre qu’OpenSea est littéralement en train de se faire dévorer par Blur. Cette dernière a effectivement rassemblé, sur la semaine passée, près de 80 % des volumes de trading.

Les volumes de trading NFT sur Blur explosent, grignotant peu à peu ceux d’Opensea – Source : Dune

OpenSea se doit donc de réagir… et vite. La guerre fait rage entre les plateformes, et ceci marque également une évolution progressive et inexorable de l’infrastructure autour des NFT. A mesure que la technologie se développe, les pratiques évoluent avec elle.

Une compétition entre marketplaces NFT qui profite à la fois aux créateurs et aux utilisateurs – Source : Twitter

Dans le vaste océan des marketplaces NFT, les factions s’affrontent. Barbe Blur contre le Hollandais volant d’OpenSea Jones, chacune essayant de s’emparer du précieux butin. Un butin qui n’est autre que nous, utilisateurs et créateurs, approvisionnant sans relâche les malles situées la soute de ces navires. Des malles remplies de ces nouvelles merveilles du numérique que l’on appelle NFT.

Vous êtes en droit de ne rien comprendre à la tendance NFT. En revanche, ne pas vous intéresser à Bitcoin est impardonnable ! N’attendez plus pour préparer l’avenir en allant vous inscrire sur la plateforme Binance. Vous économiserez 10 % sur vos frais de trading en suivant ce lien (lien commercial).

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YouTube et Web3 – Son nouveau PDG s’intéresse de près aux NFTs et au métavers

Malgré les sceptiques encore nombreux, le Web3 s’installe comme une solution d’avenir pour Internet. Cela sous la forme d’une version décentralisée censée se débarrasser de ses géants actuels, avides de données privés à revendre au plus offrant. Et depuis peu en quête d’abonnements surréalistes pour facturer ce pillage à leurs utilisateurs. Mais dans le même temps, très intéressés par tout ce qui touche aux jetons NFTs et au métavers. Comme dans le cas du nouveau PDG de YouTube, Neal Mohan, qui y voit « un potentiel incroyable » pour sa plateforme.

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Le récap crypto de la semaine : FTX & SBF, Kraken, SEC, NFT, Ether…

Il n’est un secret pour personne que l’écosystème crypto est en plein essor. Depuis l’avènement de cryptomonnaies, le monde de la finance connait d’importantes altérations. Ces nouveaux actifs numériques révolutionnent non seulement le monde de la finance, mais également de nombreux autres secteurs. Il ne se passe plus un seul jour sans que les cryptomonnaies ne fassent les gros titres des journaux. Dans cet article, nous reviendrons sur l’essentiel de l’actualité dans l’univers crypto ces sept derniers jours. 

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