Toute l'actualité des NFT
Cryptoast est de retour avec une nouvelle édition de son journal papier riche en contenu exclusif. Et cette fois, l’accent est mis sur l’aspect communautaire en y associant une collection de 400 tokens non fongibles (NFT). Le mint a commencé le 18 janvier 2023 à 18h ! Détenir un NFT de cette collection offre son lot d’avantages, comme recevoir un journal papier collector.
L’article La 1ère collection de NFT de Cryptoast est sortie est apparu en premier sur Cryptoast.
The popular NFT marketplace has introduced a tool that helps creators build their own collection-based storefronts for free.
La maison de couture Yves Saint Laurent développe-t-elle des produits pour les adeptes du Web3 ? À en croire le dépôt de marque qu’elle a effectué, l’entreprise française serait intéressée par les tokens non fongibles (NFT) et les metaverses. On fait le point sur ses ambitions.
L’article Yves Saint Laurent, un metaverse et des NFT déployés prochainement ? est apparu en premier sur Cryptoast.
The new NFT collection created by generative artist Bryan Brinkman, one of the first 10 creators on Art Blocks, is a creative commentary on the rapid maturity of the NFT space.
Les NFTs ont cette faculté impressionnante de déclencher la colère et l’opposition farouche d’une horde de haters dès leur apparition dans l’économie traditionnelle. Une fronde à l’origine du repli stratégique de certaines entreprises, tout particulièrement dans le secteur du gaming. Et un terme « NFT » à soigneusement éviter dans le cadre de projets pourtant bien inscrits dans ce principe innovant de la non fongibilité numérique. Dernier exemple en date, le lancement (très) compliqué de la collection « GM: Daybreak Around the World » initiée par le célèbre National Geographic.
L’article National Geographic – Une collection de NFT entre haine et dysfonctionnements est apparu en premier sur CryptoActu.
L’organisme fiscal japonais a signalé son intention de taxer les ventes de jetons non fongibles (NFT) ainsi que les bénéfices réalisés par l’industrie du crypto-gaming….
Lire la suite: L’agence fiscale japonaise veut taxer les ventes de NFT et les bénéfices du crypto-gaming
De Gods Unchained en passant par Splinterlands jusqu’à Calvaria, les cryptos card games ont le vent en poupe. Vous vous rappelez sûrement Hearthstone? Désormais, ce format de jeu est repris par Calvaria et est proposé dans un format P2E basé sur une blockchain. Le projet crypto est actuellement en train de boucler sa 5e phase de prévente. Pour ceux qui cherchent un CCG intéressant avec un token natif à fort potentiel, c’est le bon moment pour se lancer. Des similitudes dans le concept, mais des offres différentes Avec le boom des jeux P2E, les crypto card games (CCG) gagnent en popularité et […]
L’article Calvaria, le meilleur jeu NFT depuis Splinterlands ? Moins de 24 heures pour participer à la prévente est apparu en premier sur Cryptonaute.
Sushiswap se revitalise – Sushiswap est une plateforme d’échange décentralisé DeFi, basé sur le code d’Uniswap. Malgré un lancement en trombe, la plateforme a désormais du mal à attirer les utilisateurs. Ainsi, Jared Grey, son nouveau leader a prévu une refonte totale du protocole pour tenter de redresser la barre.
Au début du mois de décembre dernier, Jared Grey, le leader fraîchement élu de Sushiswap a tiré la sonnette d’alarme. En effet, après avoir épluché les comptes et les bilans financiers de la plateforme, celui-ci alerte sur les dépenses annuelles du protocole.
Ainsi, au rythme actuel, la plateforme ne disposerait que d’un an et demi de fonds dans sa trésorerie. Pour pallier ce problème, celui-ci a décidé de réduire les dépenses à différents niveaux, amenant les dépenses annuelles du protocole de 9 à 5 millions de dollars.
Par la suite, Jared Grey a également ajouté qu’il serait nécessaire de proposer une refonte du protocole pour le rendre pérenne. Pour ce faire, celui-ci a envisagé plusieurs solutions.
Dans un premier temps, celui-ci a proposé à la communauté de prélever l’intégralité des frais perçus par le protocole pour la trésorerie.
Dans un second temps, Jared Grey a également proposé une révision de la tokenomic de Sushi afin de le pérenniser sur le long terme.
Finalement, à la veille de la nouvelle année, Jared Grey a proposé une révision de celle-ci à travers un document de plusieurs pages.
Le 13 janvier, Jared Grey est revenu sur le devant de la scène avec un article intitulé : Sushi revitalisé.
Dans ce document, il revient sur les différentes ambitions de la plateforme pour l’année 2023.
D’une part, Sushiswap semble vouloir axer son développement sur l’utilisateur, en améliorant en tout point son expérience. Pour ce faire, la plateforme va notamment dévoiler un nouveau router, lui permettant de devenir un agrégateur de DEX.
D’autre part, Sushiswap va travailler sur son chantier d’envergure, à savoir la nouvelle tokenomic. Cette fois-ci, l’objectif est d’améliorer le protocole en améliorant la :
liquidité ;durabilité ;propriété communautaire ;diversification du Trésor.
Enfin, Sushiswap a dévoilé une nouvelle brique de son protocole, appelée : Sushi Studios.
« Sushi Studios est l’incubateur décentralisé de Sushi qui permettra à la marque de lancer des projets financés de manière indépendante afin de soutenir la croissance de l’écosystème sans peser sur la trésorerie de la DAO. »
Ce dispositif encadrera notamment le lancement de l’agrégateur de DEX ainsi que de la plateforme d’achat et de vente de NFT prévue par les développeurs.
De son côté, la plateforme Yearn Finance prévoit également des évolutions pour 2023. Ainsi, celle-ci a dévoilé un nouveau type de coffre-fort plus décentralisé.
Amateur de crypto ? Faites vos premiers pas en vous inscrivant sur AscendEX. Un cadeau sympathique vous attend : une réduction de 10 % sur vos frais de trading (lien commercial, voir conditions sur site).
L’article Sushiswap : bientôt un agrégateur de DEX et une plateforme NFT est apparu en premier sur Journal du Coin.
Ramasser les crypto-miettes ! – C’est bien ce que comptent faire de nombreuses entreprises du secteur crypto, mais pas que, en ce qui concerne FTX… Ou GTX ? On ne sait plus. En effet, après sa cataclysmique faillite, FTX vend quelques-uns de ses plus beaux morceaux. Et ce n’est pas peu dire que de nombreux concurrents sont particulièrement intéressés par l’offre. Tous les détails.
Parmi les fleurons encore debout mis en vente par les liquidateurs de FTX.com, on retrouve la plateforme de dérivés LedgerX et la plateforme Embed. Mais, nous retrouvons aussi FTX Europe et FTX Japon. Et c’est ce dernier joyau de la couronne du roi déchu qui nous intéresse aujourd’hui. Car celui qui a la filiale dans le viseur n’est autre qu’Oki Matsumoto, le CEO de Monex, une célèbre firme de trading basée à Tokyo.
L’objectif derrière la manœuvre ? Se positionner avant les concurrents sur le marché des cryptos. Un secteur technologique en pleine démocratisation et de plus en plus souvent identifié comme clé pour l’avenir. Ceci afin d’être en mesure de proposer ces services à des clients toujours plus nombreux à exprimer leur intérêt. Le vent est en train de tourner au sein des entreprises et Matsumoto ne veut pas rater le train.
Selon lui, le marché crypto japonais possède un gros potentiel. Notamment parce que les entreprises pourraient très bientôt commencer à acheter ces fameux tokens numériques dans le cadre de leurs stratégies d’investissement. Ils pourraient aussi se mettre à utiliser les NFT (Non FungibleToken) pour leur marketing. Cela a déjà été vu régulièrement en 2021 et à plus forte raison en 2022, malgré le bear market.
À ce moment-là, Monex veut faire partie des quelques interlocuteurs possibles et peu nombreux vers lesquels ces entreprises pourront se tourner. C’est tout l’enjeu dans un secteur technologique émergeant : faire partie des premiers à proposer des solutions lorsque la demande arrive.
Oki Matsumoto a donc confirmé son intérêt pour le rachat de FTX Japon dans une interview adressée à Bloomberg.
« Pour parler sans détour, naturellement que nous sommes intéressés. »
FTX Japon est actuellement mis aux enchères dans le cadre de la procédure de faillite de la maison mère FTX.com. 41 acheteurs auraient d’ores et déjà exprimé leur intérêt pour un rachat. Et 25 d’entre eux seraient passés à l’étape des négociations, confidentielles évidemment. Matsumoto reconnaît que cela serait « une très bonne chose » s’il y avait un peu moins de concurrences parmi les exchanges crypto au Japon. Bien que le patron n’ait pas affirmé que l’entreprise participait aux phases d’enchères, l’acquisition de FTX Japon par Monex serait sans nul doute bénéfique pour ses affaires.
Et ce n’est pas la première fois que Monex rachète un concurrent. En 2018, l’entreprise avait déjà racheté Coincheck, un crypto exchange tombé suite à un hack de grande ampleur. Matsumoto a d’ailleurs confirmé par la même occasion que son ambition était toujours de faire entrer Coincheck dans la célèbre liste du Nasdaq.
Alors que son entreprise est découpée en petits morceaux par le serial-liquidateur, Sam Bankman-Fried, lui, entame une longue procédure judiciaire. Procédure dans laquelle il se prétend non coupable et martèle que c’est « la faute à pas de chance ». Nous avons bien entendu du mal à le croire. Et c’est aussi l’avis de l’ex-patron de FTX US qui ne conserve pas un très bon souvenir de son passage dans la boite du jeune trader déchu.
Bitcoin et les cryptomonnaies sont là pour durer et vont changer le paysage de l’économie, tout le monde en convient. De votre côté, ne tardez pas trop et foncez vous inscrire sur AscendEX. Profitez de 10 % de réduction sur les frais de trading (lien commercial, voir conditions sur site).
L’article FTX Japon sur la voie du rachat ? Monex en embuscade est apparu en premier sur Journal du Coin.
Des arts NFT sont désormais accessibles via les smart tv de Samsung grâce à un partenariat avec LaCollection.
L’article Collaboration entre LaCollection et Samsung : échangez désormais des NFT via votre Smart TV ! est apparu en premier sur Cointribune.