OpenSea censure les artistes de Cuba pour se conformer aux lois des États-Unis

La décentralisation d’OpenSea une nouvelle fois mise à mal ? Pour se conformer aux sanctions venues des États-Unis, il semblerait que la principale marketplace de tokens non fongibles (NFT) ait décidé de restreindre et supprimer les comptes des utilisateurs résidants à Cuba.

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Solana devient le second plus gros écosystème NFT, SOL va-t-il grimper en valeur ?

Le principal concurrent d’Ethereum, Solana, gravit les échelons et s’octroie la place de second plus gros écosystème NFT. Et ça, même l’affaire FTX n’aura pas réussi à couler les activités présentent sur le réseau. Ce mois dernier, Solana a permis la vente de NFTs pour 50 millions de dollars. Un chiffre impressionnant lorsque l’on regarde le contexte actuel. Alors, SOL pourrait-il remonter la pente après son épisode catastrophique du mois de novembre ? Il faut savoir que ce qui a vraiment plombé le jeton, c’est le lien étroit qu’entretenait Solana avec Sam Bankman-Fried, l’ancien PDG de FTX. Depuis lors, la […]

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NFT vs artistes – Entre spéculation et droits d’auteurs

Le marché des NFTs s’est véritablement révélé au grand jour au cours des deux dernières années. Avec une apparition explosive très rapidement qualifiée de bulle spéculative par ses détracteurs. Mais des fonctionnalités associées à une approche Web3 qui permettaient aux artistes et créateurs de profiter de la hype de leurs collections. Un modèle définitivement différent du monde de l’art traditionnel, reposant sur des redevances appliquées au marché secondaire. Mais de toute évidence, cette fonctionnalité ne convient pas aux spéculateurs…

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À bas les publicités NFT de Crypto.com – La régulation britannique est au taquet

Les NFT, pas seulement des œuvres d’art ? – Le régulateur britannique tape sur les doigts de Crypto.com et d’un projet NFT qui auraient diffusé des publicités. Ces dernières auraient alors violé certaines règles relatives à la promotion de produits financiers. Les reproches et les contestations de part et d’autres illustrent surtout le flou réglementaire autour des NFT

Publicités NFT : le Royaume-Uni n’y voit pas que de simples œuvres d’art

L’Advertising Standards Authority (ASA) – l’Autorité de régulation de la publicité – du Royaume-Uni s’est attaquée aux publicités sur Facebook diffusées depuis le mois de juillet de cette année. Elles promouvaient des NFT de Crypto.com et du projet Turtle United. L’agence leur reproche d’avoir omis d’exposer les risques qui sont liés aux investissements dans les NFT et d’avoir manqué présenter correctement les frais de transaction.

Crypto.com a contesté cette décision. La bourse crypto a déclaré qu’elle ne pensait pas que les œuvres des artistes et les objets de collection sportifs vendus sur sa plateforme revêtaient un caractère financier.

L’entreprise a rappelé que les NFT étaient exclus des documents récents de consultation du Trésor sur les cryptomonnaies et que, dans ce cadre, elle estimait qu’ils n’étaient pas soumis aux normes financières édictées dans le code de l’ASA. Malgré ces arguments de Crypto.com et bien que les publicités mises en cause ne soient plus en ligne, le régulateur a maintenu sa plainte.

Dans le secteur des NFT, l’art serait donc un produit financier d’un point de vue réglementaire ?

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Une sanction qui n’est pas nouvelle pour la plateforme crypto

Au mois de janvier de cette année, l’ASA avait déjà blâmé Crypto.com pour deux publicités. Elles n’affichaient pas les risques relatifs à l’investissement dans le produit promu et qui auraient profité « de l’inexpérience ou de la crédulité des consommateurs ».

Quant à Turtle United, le projet n’a pas réagi à cette plainte de l’agence. L’ASA lui reproche d’avoir prétendu que ses NFT offraient « beaucoup de valeur à ses détenteurs », suggérant ainsi qu’ils avaient une valeur significative qui serait garantie.

À ce stade, l’Autorité de régulation de la publicité du Royaume-Uni a surtout prouvé qu’elle surveille de près les promotions de produits web3, qui sont également dans le viseur des agences d’autres pays. C’est notamment le cas du régulateur de l’Australie. Il pourrait copier les règles sur les publicités des produits et services cryptos de son homologue britannique.

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The Final Word on Decentraland’s Numbers

Metaverse platforms present a challenge of sorting bots from real people, and then even real people can be inactive or AFK, short for “away from keyboard” for hours, days, even weeks. One way to filter out bots is to filter users by those with NFTs, which also weeds out “tourists” who pop in for a quick look and leave without meaningful interaction. In addition, it can be argued that those users with NFTs matter the most, as in a Web3 metaverse like Decentraland, users with NFTs such as ones that denote ownership of real estate in Decentraland (LAND) or wearable items that unlock some of the more popular experiences like ICE poker are the ones who are most active in the platform, and certainly are the most valuable to the ecosystem’s success.

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5 Digital Economy Predictions for 2023

2023 is the year crypto will have to grow up and clean up its act. Here are predictions regarding the future of NFTs, the metaverse, CBDCs and institutional investments.

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«NFTMe» – Amazon explique les NFT à travers une série documentaire

Éduquer via une série didactique – Les NFT sont à l’honneur dans la série documentaire diffusée sur Amazon Prime, produite par Tech Talk Media et le réalisateur primé Jonny Caplan. Ce film didactique, dont le tournage a commencé en 2019, contribue à la démocratisation des NFT auprès d’une audience qui n’est pas forcément au fait des évolutions et des opportunités que le web3 offre.

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Une série éducative sur les NFT

En six épisodes de 30 minutes, la nouvelle série-documentaire d’Amazon, « NFTMe », analyse les NFT sous différents angles, notamment sous ceux des acteurs impliqués, mais également par rapport aux changements qu’ils induisent pour différentes pratiques artistiques.

Bien que le format soit original, sur le fond, NFTMe traite des problématiques classiques relatives aux NFT. Au cours des différents épisodes, des artistes et des collectionneurs de différents pays y expliquent ainsi la manière dont le rapprochement entre l’art et la technologie a impacté sur leur vie quotidienne.

La série présente également les cinquante pionniers du secteur, répartis sur quatre continents. La chanteuse américaine Susaye Greene des Supreme, ou encore la reine Diambi Kabatusuila de la République démocratique du Congo font partie de ces premières personnalités qui ont plongé dans le secteur.

Amazon nous parle de NFT

Dans le premier épisode, des influenceurs majeurs analysent les NFT ainsi que la technologie blockchain. La reine Diambi Kabatusuila y évoque la mentalité web3 de sa tribu.

Le deuxième épisode s’intéresse à la naissance de certains NFT, comme la façon dont l’artiste numérique Refik Anadol a créé de l’art numérique avec la NASA.

L’éducation sur les NFT contribue à la démocratisation du web3

Les épisodes suivants abordent enfin les enjeux des NFT pour les marques et des cas d’utilisation dans des secteurs autres que l’art graphique, comme la tokénisation dans la musique. En outre, ces épisodes présentent l’impact social de cette mutation numérique, la disruption que le métavers engendre ou la place des NFT pour permettre aux artistes de s’exprimer.

Dans l’avant-dernier épisode, la co-fondatrice de CrossTower, Kristin Boggiano, parle du rôle de la réglementation sur les marchés des NFT.

De par son caractère didactique, la série permet entre autres d’ouvrir les portes du web3 à un plus grand nombre de personnes, à un moment où les NFT sont encore présentés comme un secteur émergent. Initialement, « NFTMe » a été diffusé aux États-Unis et au Royaume-Uni. Néanmoins, selon Tech Talk, la série sera retransmise dans le monde entier et auprès d’autres diffuseurs en 2023.

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NFT et metaverse : YugaLabs nomme un ex-patron d’Activision à la tête de l’entreprise

Recrutement de luxe pour le web3YugaLabs est une locomotive du secteur des NFT avec des collections stars comme les Bored Ape Yacht Club ou les CryptoPunks. Régulièrement à la une de l’actualité, ce précurseur du Web3 vient de s’offrir les services d’une pointure du jeu vidéo issue du célèbre éditeur Activision Blizzard. Opportunité personnelle ou signe des temps ? Début de réponse à suivre.

YugaLabs attire une star du Web2 pour se développer

La nouvelle est venue de YugaLabs via un communiqué de presse publié le 19 décembre dernier. Un certain Daniel Alegre va rejoindre le leader mondial des NFT au poste de CEO à compter du premier semestre 2023. Il succèdera à Nicole Muniz qui restera cependant associée et conseillère stratégique. Le nouveau responsable travaillera en étroite collaboration avec les fondateurs de la maison, Wylie Aronow et Greg Solano pour continuer à développer l’entreprise.

Le nouveau venu est une célébrité du milieu des jeux vidéos. Avec son ancien employeur Activision, il a participé à la commercialisation internationale de jeux vidéos à succès comme Call of Duty, World of Warcraft ou encore Candy Crush. Avant cela, il officiait également chez un autre mastodonte nommé Google où il a passé 16 ans. Son nouveau collègue Wylie Aronow se réjouit de son arrivée prochaine :

« Nicole, Greg et moi sommes à la recherche de quelqu’un avec les compétences de Daniel depuis un certain temps. (…) Nous sommes ravis qu’il rejoigne l’équipe pour contribuer à notre vision d’un métavers véritablement interopérable. »

Le futur boss de YugaLabs annonce la nouvelle à sa communauté – Source : Twitter

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Le métavers au cœur des préoccupations de Daniel Alegre, le nouveau CEO

Car c’est bien essentiellement de métavers dont il est question. D’ailleurs, à propos de ses futures missions, le nouveau venu a déclaré :

« Le portefeuille de produits, de partenariats et de propriété intellectuelle de l’entreprise représente une énorme opportunité de définir le métavers d’une manière qui responsabilise les créateurs et offre aux utilisateurs une véritable propriété de leur identité et de leurs actifs numériques. J’ai hâte de travailler avec l’équipe passionnée et créative de Yuga pour innover, inspirer et façonner ensemble l’avenir d’Internet. »

Et si on en croit les déclarations des uns et des autres, l’avenir d’internet, c’est bien ce fameux métavers. D’ailleurs, YugaLabs a développé le sien et il s’appelle Otherside. Ce projet ambitieux se situe aux confins du jeu de rôle en ligne massivement multijoueur (MMORPG) et de la technologie web3. Il est clairement un des projets les plus importants de la société. Et pour arriver à ses fins, elle n’a pas lésiné sur les moyens. Juste avant le recrutement de Daniel Alegre, une autre pointure de l’écosystème avait déjà rejoint les rangs de YugaLabs. Il s’agissait de Mike « Beeple » Winkelmann.

Des grands noms du secteur ont salué l’arrivée d’une telle personnalité dans l’industrie en insistant sur l’importance du jeu vidéo orienté web3 dans le prochain bullrun. Le secteur des NFT et du métavers semble actuellement évoluer sur une ligne de crête avec des annonces contradictoires qui souffle le chaud et le froid. Mais avec des recrutements comme ça, difficile d’y voir les signes d’une crise. Le secteur est-il réellement en échec comme on peut le lire à droite ou à gauche ?

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