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Fin de course précoce – Le 27 décembre 2021, Ferrari avait annoncé un partenariat pluriannuel avec la startup blockchain suisse Velas Blockchain. Cette collaboration qui rapprochait le constructeur automobile italien avec le web3, fut relativement de courte durée.

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Ferrari ne courira pas sur la piste des NFT avec Velas Blockchain

Velas Blockchain et la Scuderia Ferrari ont mis fin à leur partenariat pluriannuel, qui n’aura duré que douze mois au final. Le 1er janvier dernier, Velas Blockchain ne figurait plus dans la liste des partenaires de la division de course de Ferrari. Parallèlement, la Scuderia Ferrari a également arrêté sa collaboration avec le géant de la fabrication de puces, Snapdragon.

Cette collaboration entre la startup web3 et Ferrari devait permettre aux deux parties de proposer du contenu numérique exclusif, pour accroître l’engagement des fans du constructeur automobile italien. Toutefois, la Scuderia Ferrari n’aurait pas respecté les clauses du contrat, qui devaient permettre à Velas de créer des images NFT.

Avec l’arrêt de toutes ces collaborations, la division de course de Ferrari subirait une perte cumulée de 55 millions de dollars avant la saison 2023. Le partenariat entre l’équipe de Maranello et la startup web3 suisse était fixé à 30 millions de dollars par an, à partir de 2021.

Ferrari n’est pas la seule écurie à avoir rompu ses liens avec un acteur du web3. Mercedes fut contraint de mettre fin à sa collaboration avec un FTX en faillite, le 11 novembre dernier.

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Dans la gueule du loup – Les autorités américaines ont arrêté ce Breton de 24 ans, qui serait impliqué dans un rug pull de 2,9 millions de dollars. Le Français, qui pourrait être impliqué dans d’autres scams, aurait apparemment facilité le travail des enquêteurs.

Fraude NFT et erreur de débutant : un Français arrêté aux Etats-Unis

Dans une série de tweets du 7 janvier dernier, l’avocat Muqsit Haider donne des détails sur l’arrestation d’Aurélien Michel à l’aéroport John F. Kennedy aux États-Unis. Les autorités américaines ont arrêté le Français, pour une fraude électronique liée à un projet NFT.

Aurélien Michel est le fondateur de la collection Mutant Ape Planet, pour laquelle il avait commencé à faire de la publicité au mois de janvier de l’année dernière. Cette collection qui comprend 9 999 NFT. Elle lui a permis de voler environ 2,9 millions de dollars aux investisseurs, qui ont cru en ses fausses promesses concernant ces tokens non fongibles.

Selon Muqsit Haider, au mois de février, 70 % de la collection aurait été vendue. Elle aurait alors généré 1 020 ETH, soit un peu plus de 2,9 millions de dollars. Les acheteurs ont envoyé les fonds au contrat intelligent de Mutant Ape Planet. Par la suite, le français a commencé à envoyer ces actifs à des mélangeurs cryptos.

Au mois de juin, les cryptomonnaies ont atterri dans un portefeuille appartenant à Aurélien Michel, et pour lequel il avait effectué une procédure KYC. Le nom du Français, mais également son numéro de téléphone, son adresse e-mail et sa photo ont ainsi été associés à ce portefeuille.

Et le Breton facilitera le travail des autorités américaines en se servant de ces mêmes informations, lorsqu’il a rempli une demande de voyage aux États-Unis.

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Un rug pull peut en cacher deux autres : sur la piste des fonds volés

Aurélien Michel devra donc répondre de ses actes devant la justice américaine pour ce rug pull. Il avait d’ailleurs reconnu le scam, à l’époque où il a commencé à vider le contrat intelligent de Mutant Ape Planet de ses fonds.

Le Français s’était alors montré arrogant en publiant ses aveux dans le Discord de la communauté, et en rejetant la faute sur cette dernière :

« Nous n’avons jamais eu l’intention d’abandonner le projet, mais la communauté est devenue trop toxique. »

Répondant à la question d’un tweet, l’avocat Muqsit Haider a indiqué qu’Aurélien Michel risquait une peine allant « jusqu’à 20 ans de prison, une amende ou les deux ». Le jeune Breton pourrait d’ailleurs faire face à des peines plus lourdes, si les informations que l’analyste ZachXBT a partagées sur Twitter sont fondées.

ZachXBT a relié l’adresse du portefeuille Binance d’Aurélien Michel avec deux autres fraudes. Il a partagé le schéma ci-dessus tout en soulignant, que le Français a probablement participé à deux autres rugs pull : Fashion Ape NFT et Crazy Camels. Ils ont coûté 1,1 million de dollars et 1,6 million de dollars à leur communauté respective.

L’arrestation d’Aurélien Michel permettra-t-elle de mettre des noms derrière d’autres scams NFT ? Les escrocs profitent de l’essor du secteur pour se remplir les poches, sur le dos des investisseurs qui ne sont pas suffisamment prudents pour repérer les drapeaux rouges.

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Des meta-vœux reformulés à Las Vegas – Le CES (Consumer Electronics Show) est l’un des événements technologiques les plus importants de l’année. Il met en lumière les dernières innovations et tendances dans le domaine de l’électronique grand public. Cet événement a lieu chaque année à Las Vegas. Il attire des entreprises du monde entier, allant des petites startups aux géants de la tech comme Microsoft. Et, justement, Microsoft, le géant de l’informatique, a profité de l’occasion pour renouveler ses vœux avec le metaverse. Explications.

Vers un monde de plus en plus numérique

En effet, Henry Bzeih, directeur de la stratégie mondiale de la mobilité, de l’automobile et des transports chez Microsoft, a récemment participé à une interview pour « All About Bitcoin » de CoinDesk TV au CES 2023. Le cadre de Microsoft a ainsi déclaré que le monde évolue vers un paysage de plus en plus numérique. Aussi, toujours d’après lui, un « modèle numérique hybride » sera probablement l’avenir des relations entre les consommateurs et les entreprises. Selon Bzeih, cela implique d’intégrer le metaverse dans l’expérience client, car il :

« ( …) pourrait être un modèle hybride qui donne aux entreprises l’assurance que les « millions de dollars » qu’elles ont investis dans des lieux physiques ne disparaissent pas simplement. S’éloigner de cela et faire toute l’expérience, pas là, cela n’a tout simplement aucun sens pour eux. »

Henry Bzeih – Source : CoinDesk

L’aventure metaversique de Microsoft n’en est pas à ses débuts, le géant de la tech ayant déjà décidé d’investir dans le metaverse industriel afin d’optimiser le travail de certaines de ses usines de production. Ici, Henry Bzeih, nous explique que Microsoft souhaite maintenant s’intéresser à la « fonctionnalité croisée de la mobilité » dans le but d’améliorer l’expérience d’achat des clients.

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Une année 2023 dans la lumière pour le metaverse ?

Alors que pour certains le metaverse semble mort et presque enterré, cette annonce de Microsoft offre un nouveau souffle au metaverse et à son intérêt marketing. Cependant, certains défis restent à surmonter. La complexité du metaverse, le flou régnant autour de cette notion ne permettant pas aux chefs d’entreprises de se projeter dans ce monde virtuel, pendant de notre réalité.

Les défis sont également technologiques : interopérabilité, développement des graphismes, accessibilité… Microsoft confirme son souhait de travailler dans ce sens et de développer activement la création d’avantages pour ses clients, notamment dans le domaine des produits et des solutions cloud.

Que réserve l’année 2023 pour le metaverse ? Il est encore trop tôt pour le dire. Cependant, nous comprenons qu’à la manière de Meta, le metaverse continue de germer chez Microsoft, confirmant à là, son intérêt marketing pour les entreprises. De fait, ce renouvellement des vœux entre Microsoft et le metaverse ravive les craintes, pour certains, d’une décentralisation et d’un univers virtuel galvaudés.

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RobotEra est un projet de crypto-monnaie métaverse à venir qui construit un monde interactif pour que les utilisateurs puissent construire sans code, jouer et profiter d’expériences de divertissement. Il permettra également aux joueurs d’acheter et de travailler sur des propriétés et des personnages virtuels sous la forme de NFTs (jetons non fongibles). …
Lire la suite: Si vous êtes à la recherche du prochain Decentraland, RobotEra pourrait être votre opportunité x25

A representative told CoinDesk that all BONK tokens used to mint the NFTs will be permanently burned.

Si F1 et secteur crypto semblaient multiplier les initiatives communes, les dernières semaines ressemblent à du rétro-pédalage. Après Mercedes, c’est un autre historique de la Formule 1 qui décide de couper les ponts avec un acteur crypto. Initialement liés par un contrat de plusieurs années, Ferrari et Velas annoncent viennent d’annoncer leur séparation. Ferrari et Velas : de l’histoire ancienne ! L’idylle n’aura finalement duré qu’une seule saison. Signé en fin d’année 2021, le partenariat entre Velas et Ferrari prévoyait notamment l’accompagnement de la marque sur le segment des NFT. Pour la marque italienne, la fin de ce partenariat signifie […]

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Après plus d’un mois sur BNB Chain, Arbitrum Nova migre vers OpenSea. La plus grande plateforme de trading NFT du marché vient d’annoncer le support de la couche 2 pour Arbitrum Nova.

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Les NFT prêts à vous mettre des étoiles dans les yeux ? – Sortir de l’espace confiné de la communauté web3 afin de conquérir le monde. Voici l’ambition de nombreux projets NFT top tier comme Moonbirds, ces oiseaux pixelisés qui veulent se faire aussi gros qu’un bœuf. Et peut-être à raison. Dans ce cas, quelle meilleure stratégie que d’engager des professionnels ? Décryptage.

Moonbirds, l’oiseau qui veut décrocher les étoiles ?

C’est Kevin Rose, le fondateur du projet Moonbirds qui a annoncé la nouvelle sur son compte Twitter le 6 janvier. Le top départ d’un partenariat d’envergure avec United Talent Agency (UTA). Ni plus ni moins que l’une des majors d’Hollywood en ce qui concerne la promotion de talents. Ici, en l’occurrence, une collection NFT. Kévin Rose est très clair dans les objectifs qu’il souhaite atteindre grâce à la signature de ce contrat :

« Aujourd’hui, nous sommes excités d’annoncer que Proof.xyz [la société mère de la collection Moonbirds] a signé avec UTA – en travaillant ensemble, notre objectif sera de multiplier nos partenariats afin de promouvoir Moonbird bien au-delà des frontières du web3, de sorte à devenir une marque internationale… »

Et la force de frappe d’UTA semble loin d’être anodine. L’entreprise de 1 400 personnes englobe des divisions dans les domaines du cinéma, de la musique, du sport, de l’édition, des marques et des licences, du marketing, de la diffusion… Et bien d’autres supports prêts à mettre en avant les qualités de cette collection à plumes prête à marcher sur la Lune.

En signant le contrat, Proof.xyz, l’entreprise derrière Moonbirds, va pouvoir s’appuyer sur l’expérience d’UTA pour propager sa marque à l’internationale. UTA aura notamment la charge d’examiner, de négocier et de nouer des partenariats. Il s’agira aussi de saisir des opportunités d’expansion dans les nombreux domaines cités précédemment.

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Les NFT, ces drôles d’oiseaux prêts a détrôner Angry Birds ?

Nul doute que les Moonbirds devraient avoir les moyens de leurs ambitions. La collection se place à la 11e position dans le classement des collections NFT les plus profitables de l’histoire. Juste derrière les célèbres collections Clone X et Azuki. Ces 10 000 petites bestioles créées directement via les smart contracts d’Ethereum, sans besoin de la technologie de stockage IPFS (InterPlanetary File System) donc, sont parvenues à générer plus de 620 millions de dollars sur le marché secondaire.

Ce n’est pas la première fois qu’une collection NFT fait appel aux services des spécialistes d’Hollywood. En septembre 2021, UTA avait déjà signé un accord avec 3 collections de la société Larva Labs, dont les CryptoPunks et les Meebits. Des collections désormais entre les mains de la société Yuga Labs, les instigateurs à l’origine de la célèbre collection de singes ayant explosé tous les records. J’ai nommé bien sûr les Bored Ape Yacht Club (BAYC).

Bear market ou pas, la technologie NFT, portée par ses collections prestigieuses, continue sa conquête du monde. Nous avons pu constater au travers de 2021 puis 2022, l’engouement des marques pour ces images numériques. Chacune souhaitant à son tour s’approprier le domaine en lançant sa propre collection. Des initiatives dont certaines se sont écoulées comme des petits pains auprès de gigantesques bases de fans à travers le monde. Même l’ancien président des États-Unis Donald Trump a surpris son monde avec le succès d’une collection NFT créée à son effigie.

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Musique, Maestro ! – Alors que beaucoup se plaignent de l’hiver crypto qui s’abat sur nos portefeuilles, il semblerait que le froid ne glace pas les initiatives de certains. C’est le cas du géant des cartes bancaires, Mastercard, qui s’associe avec Polygon (MATIC) pour mettre en place un programme pour les artistes musicaux.

La blockchain : une technologie révolutionnaire pour les artistes

Mastercard a donc annoncé lors du dernier jour du CES (Consumer Electronics Show) à Las Vegas, un programme pour les artistes musicaux émergents. Il est construit en duo avec la blockchain Polygon.

Ce programme sera lancé au printemps 2023. Il accompagnera cinq chanceux, artistes émergents avec les outils, les compétences et les accès nécessaires pour se développer eux-mêmes dans le web 3.

Les artistes auront ainsi un accès à des événements spéciaux ou encore des sorties musicales exclusives. Ce programme inédit leur enseignera par ailleurs la construction et la mise en place de leur marque grâce à des expériences Web 3 telles que :

La création de NFT ;La représentation dans des mondes virtuels tels que le metaverse ;L’établissement d’une communauté engagée grâce au web3.

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Mastercard et Polygon : le web3 pour composer des expériences uniques

Cet espace permettra aux artistes de se réunir et de développer leurs communautés. Le Mastercard Artist Accelerator invitera également les fans à participer à des évènements immersifs, ils ne sont donc pas oubliés dans l’équation. Bien au contraire.

Ces derniers pourront rejoindre la plateforme, ce faisant, ils évolueront avec les artistes pour améliorer leurs propres connaissances. Raja Rajamannar, directeur du marketing et des communications de Mastercard, a déclaré dans ce sens :

« Notre vision est de relier passion et objectif, en mettant en lumière des artistes émergents incroyables et en créant une communauté interactive qui permet aux participants d’apprendre, d’expérimenter et de grandir ensemble. »

Par ailleurs, le réseau Polygon est l’un des plus verts qui existent. Il possède d’ores et déjà de nombreuses applications décentralisées, parmi lesquelles nous retrouvons notamment les plateformes musicales Royal, StemsDAO et Bolera. Aussi, comme l’explique le CEO de Polygon Studios, Ryan Wyatt, ce mariage de raison pave peut-être la voix d’une économie plus directe pour les artistes, qui souffrent parfois trop de ne pas être propriétaire de leurs œuvres dans le web 2 :

« Le Web3 a le potentiel de donner à un nouveau type d’artistes les moyens de développer une base de fans, de gagner sa vie et d’introduire. »

Polygon – Source : Medium

The Sandbox, Warner Music Group, Starbucks ou encore Nike : nombreux sont ceux qui composent avec Polygon, une blockchain verte qui a su avec le temps faire ses preuves. En outre, le protocole de la cryptomonnaie MATIC semble bien, malgré l’hiver crypto, avoir un peu de bois pour passer l’hiver.

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Mastercard prévoit de s’appuyer sur Polygon pour guider les artistes musicaux dans l’espace Web3, notamment pour la création de leurs propres NFT. Pour rappel, Polygon (anciennement connu sous le nom de Matic Network) est une plateforme de développement de chaînes latérales basée sur la technologie blockchain Ethereum. Elle vise à fournir une solution de couche 2 à haute évolutivité pour la construction de dApps et de chaînes latérales sur Ethereum. La cryptomonnaie associée à Polygon est le token MATIC, qui est utilisé comme monnaie d’échange sur la plateforme et pour participer aux processus de gouvernance de la plateforme.

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