Calvaria : le nouveau jeu NFT parvient à lever 1 million de dollars en un temps record !

Calvaria vient d’atteindre les 1 million de dollars en un temps record ! En effet, la prévente a débuté de façon modeste, mais en l’espace des 7 derniers jours plus de 800 000 $ ont été collectés. Cela montre l’engouement de la communauté et à quel point le jeu a su créer de l’enthousiasme autour de son projet. Calvaria Duels of Eternity (DOE) : le nouveau jeu NFT Calvaria Duels of Eternity ($RIA) est un nouveau Play to Earn dont la prévente a commencé il y a environ un mois. Si en premier lieu, les débuts furent modestes, ces derniers […]

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Calvaria : quel est ce nouveau jeu NFT qui a déjà récolté 1 million de dollars lors de sa prévente ?

La prévente de Calvaria (RIA) se déroule à une vitesse phénoménale. Le nouveau jeu cryptographique a réussi à lever 1 million de dollars en moins de deux semaines. Le jeu de cartes à gagner est rendu à sa troisième étape sur les 10 prévues lors de cette prévente. Apprenons-en plus sur ce nouveau projet….
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Le projet Girles Token a levé avec succès plus de 1,2 million de dollars en prévente

Hrodna, Biélorussie, 14 octobre 2022, Chainwire

La prévente tonitruante du jeton NFT GameFi a permis de récolter plus de 1,2 million de dollars et continue de ravir les investisseurs.

Girles Token est un jeton NFT GameFi décentralisé créé sur la plate-forme Ethereum, qui est disponible en prévente dès maintenant pour chaque investisseur. Les investisseurs en phase de démarrage bénéficient de conditions plus attractives pouvant atteindre jusqu’à 200 % par rapport aux inventeurs en phase de démarrage. Girles Token est le produit principal de Girles Metaverse, qui se compose de NFT Metaverse, P2E Alliance et Staking Contracts.

La vision et la mission de Girles Project

L’équipe de Girles Metaverse développe activement un serveur P2E dans Minecraft, complétant des quêtes sur lesquelles les investisseurs peuvent gagner de l’argent réel sur une base de jeu play-to-earn. L’équipe pense que cette innovation augmentera considérablement la communauté crypto et attirera un grand nombre de nouveaux investisseurs, puisque Minecraft est l’un des jeux les plus vendus au monde !

Au cœur du projet de Girles Metaverse se trouve le NFT de Métaverse. Les utilisateurs avaient l’habitude d’appeler les NFT « juste des images », mais Girles Metaverse a prouvé le contraire. Les développeurs offrent aux investisseurs un produit distinct, où les NFT peut être non seulement les œuvres de l’auteur, mais aussi des terrains/éléments de jeu qui peuvent également être utilisés dans les jeux P2E, dans NFT Staking, où en plaçant des NFT sur le jalonnement, les investisseurs recevront des Girles Tokens, et à l’avenir peuvent reprendre le NFT, ainsi que le NFT Box, et NFT Burning, sur lequel en créant des NFT sur la plate-forme Ethereum, les investisseurs reçoivent des bonus exclusifs.

Les investisseurs peuvent frapper des NFT, les détenir et les acheter ou les vendre sur le marché des NFT. L’équipe travaille activement à élargir la communauté et à affiner la tokénomique pour les NFT, ce qui signifie que les NFT ont un potentiel de croissance.

Est-il temps d’investir ?

La communauté Girles Metaverse est forte et extravertie, et l’équipe continue d’améliorer le monde de la crypto-monnaie en ajoutant de nouveaux développements personnalisés. L’équipe de Girles Metaverse a passé KYC avec Solidproof et a publié des liens vers leurs comptes LinkedIn, ce qui garantit la légalité du projet. La communauté Girles Metaverse met en œuvre plus de 15 produits.

Pour acheter un jeton, utilisez les liens ci-dessous :

Prévente ici : https://girles.org/presale

À propos de GirlesS : https://girles.org/aboutgirles

Groupe Telegram : https://t.me/girlesmetaverse

À propos de Girles

Girles Metaverse est une communauté crypto moderne qui développe un jeton de crypto-monnaie depuis 2022. L’objectif de Girles Metaverse est de simplifier le monde de la crypto-monnaie et de développer des idées individuelles !

Girles Project est la source de ce contenu. Ce communiqué de presse est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil en investissement. Nous vous recommandons de faire des recherches approfondies avant d’investir dans une crypto-monnaie.

Contact

Daniel Tulkin, support@girles.org

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NFT Wine Bottle Club : une aubaine pour les amateurs de grands vins

Les NFT se vendangent en Novembre – Grâce aux innovations technologiques liées à la Blockchain, la création de certificats numériques d’authenticité et de propriété au format NFT est aujourd’hui courante. Ce format de “token non fongibles” permet ainsi au Wine Bottle Club de devenir le premier projet Web3 au monde développé pour la communauté oenophile autour des vins et spiritueux. Chaque NFT identifie le porteur comme membre du club et lui permet de bénéficier des avantages associés. Regardons tout ceci de plus près.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Wine Bottle Club.

Le Wine Bottle Club réserve une surprise à ses holders. Plus d’informations à la fin de l’article

1855 membres pour la collection Genesis

Précédemment présenté de façon exhaustive dans le Journal du Coin, le Wine Bottle Club a décidé de contenir le nombre de prétendants pouvant rejoindre leur cercle très fermé. En effet, la quantité de bouteilles mises à disposition dans le cadre de ce projet a finalement été fixée à 1855, en référence à l’année durant laquelle Napoléon 3 a orchestré la réalisation d’un classement des plus grands vins de Bordeaux. Un choix certes drastique, mais qui permet d’accentuer la rareté des NFT et des exclusivités qui leurs sont associées.

En plus des avantages du club chaque NFT donne droit à une bouteille livrée chez soi, dont l’attribution est aléatoire  :

Margaux Bitcoin La Cuvée ® 2019Saint-Émilion Grand Cru Bitcoin La Cuvée ® 2019Pessac-Léognan Bitcoin La Cuvée ® 2019Châteaux Gruaud Larose 2014, Pape Clément 2014 et Cheval Blanc 2011Champagne Carbon Mathusalem

Cuvées proposées pour la collection NFT Genesis du Wine Bottle Club

Dernier mint le 3 novembre, ne ratez pas l’occasion de rejoindre le club

Ainsi, après le premier évènement organisé le 1er juin dernier, il vous est encore possible d’obtenir votre précieux certificat numérique lors de la dernière session de mint, prévue le 3 novembre, 18 heures CET. En effet, sur les 1855 NFT prévus, 1385 tokens ont déjà été générés. Une performance à souligner lorsque l’on sait que ce mint a été organisé en pleine période baissière, entre FUD généralisé et bear market. 

La prochaine session verra donc l’attribution des 470 NFTs restants. Le paiement s’effectuera directement sur le site internet du WBC. Le prix unique sera de 0.35 ETH. Une option sera disponible pour effectuer le règlement en monnaie fiat. Une fois votre token minté, votre bouteille vous sera envoyée à domicile. La livraison, rapide et sécurisée, est organisée par le WBC. Vous pouvez également choisir de la confier à WBC qui se chargera de la conserver dans un entrepôt sécurisé le temps que vous réclamiez votre livraison.

Le WBC, un assemblage savoureux de grands crus, de NFT et d’événements exclusifs

Avantages associées aux NFT du Wine Bottle Club

Chaque NFT représente une œuvre d’art numérique unique, constituée d’attributs de répartition aléatoire, tels que l’étiquette, le bouchon, ou encore l’arrière-plan de la représentation de la bouteille. À noter la collaboration avec l’artiste JonOne, véritable icône du Street Art, qui partage pour l’occasion 3 de ses œuvres personnelles. Celles-ci figureront sur quelques rares NFT de la collection.

De nombreux privilèges accompagneront le token non-fongible :

Accès aux évènements du WBC partout dans le monde, car le concept est en phase d’internationalisationVisites privées de domaines viticolesSupport d’aide à la dégustationParticipation à des ventes privées exclusives de grands vinsConseils spécifiques liés à l’investissement dans le vinAccès privilégié au Launchpad dont les modalités sont encore à préciser

Un Launchpad Vin & Spiritueux 100% français

Vous le comprenez ici, l’aventure ne fait que commencer. En effet, suite à la génération de ces précieux sésames numériques, le WBC entend bien développer de nombreux aspects de son activité, y compris à l’international. Un token dédié devrait ainsi voir bientôt le jour. De plus, aujourd’hui en phase de test, un Launchpad est annoncé en partenariat avec Ternoa, la société française qui travaille sur l’aspect utilitaire des NFTs. Une plateforme qui présentera aux amateurs comme aux investisseurs tous les projets associant Web3 et spiritueux.

Le launchpad constituera une porte d’entrée de choix dans l’univers Web3 des vins et spiritueux

Le Wine Bottle Club se démarque ainsi de ses concurrents par son originalité et souhaite à terme créer un univers virtuel riche et inédit réunissant en un écosystème l’univers du vin et l’écosystème blockchain. Grâce au Wine Bottle Club, les NFTs endossent aujourd’hui simultanément les rôles de certificat de propriété, d’œuvre d’art numérique, et de carte de membre du désormais international et très exclusif club WBC. Tous les ingrédients sont rassemblés pour que cette cuvée 2022 soit exceptionnelle.

Le Wine Bottle Club réserve une surprise à tous ses holders qui gardent leur NFT « unrevealed » (en français « non révélé », c’est-à-dire qui garde son aspect visuel de caisse bois). Ils se verront offrir un cadeau qui sera révélé prochainement. Comme le bon vin, les NFT Wine Bottle Club se bonifient avec le temps…

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Wallet crypto et NFT : le géant Visa dépose plusieurs marques et se projette dans le Web3

Une question de temps – Longtemps méprisées par la sphère bancaire traditionnelle, les cryptomonnaies ne peuvent plus être balayées d’un revers de main. Bien qu’un très grand nombre d’entre eux n’apportent pas de réelle valeur ajoutée, les protocoles les plus performants questionnent notre rapport à l’argent et son transfert, avec en point d’orgue : la réduction du temps de transaction. Si elle prend quelques secondes sur le réseau Lightning, il faut compter 1 à 2 jours pour un virement SEPA par exemple. Certains apports technologiques que l’on doit aux cryptomonnaies sont en passe d’être adoptés par le système traditionnel.

Un mastodonte du paiement face au virage crypto

Le but premier de Bitcoin est de désintermédier les échanges de valeurs et les rendre possibles, de façon fiable et sécurisée entre deux individus possiblement séparés par des milliers de kilomètres, le tout sans banque ou prestataire centralisé de paiement. L’hyper-volatilité des cryptos est un argument valable pour les dinosaures qui veulent à tout prix éviter de s’inspirer de ce jeune secteur et de s’y exposer. Pour autant, les arguments contre la rapidité de transaction manquent…

Aussi triste que cela puisse paraître pour les anti-Bitcoin et autres, tout n’est pas à jeter dans ce secteur florissant. Et le célèbre prestataire de paiement Visa l’a bien compris. Chaque mois ou presque cette année, nous avons eu le droit a du nouveau sur les avancées de l’entreprise dans notre écosystème.

De la carte Visa taillée pour le Lightning Network (seconde couche du protocole Bitcoin), à la carte bleue FTX, en passant par la mise en place d’un incubateur pour start-ups spécialisées dans les NFT, Visa ne chôme pas.

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Un pied dans le paiement, l’autre dans le metaverse

Le 22 octobre dernier, la firme américaine a rempli deux formulaires de dépôt de marque. L’un est lié aux portefeuilles cryptos. L’autre est plus focalisé sur les NFT et le metaverse, comme le rapporte CoinDesk.

A propos du wallet, Visa a déposé une marque pour des logiciels de « gestion de transactions numériques, d’usage d’un portefeuille de monnaie numérique et de stockage ».

Le second formulaire concerne l’un des phénomènes (au moins médiatique) des derniers mois : le metaverse. Visa chercherait à « offrir des environnements virtuels dans lesquels les utilisateurs peuvent interagir à des fins récréatives, de loisirs ou de divertissement accessibles dans le monde virtuel ».

Le géant mondial du paiement remplit plusieurs dizaines de documents de ce type chaque année et devrait vraisemblablement continuer de débroussailler le secteur crypto pour l’incorporer à son offre de services. D’autant plus que d’après une étude menée par le cabinet d’audit Deloitte, près de 75 % des commerçants américains prévoiraient d’accepter Bitcoin comme mode de paiement dans les deux ans qui viennent.

Quand les GAFAM et autres grands de ce monde se penchent sur les cryptos, ils n’oublient pas de prendre leur part du gâteau ! Vous voulez aussi des rendements juteux ? Foncez vous inscrire sur la plateforme AscendEX et participez au programme Earn (lien commercial).

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132 – La soupe (bis repetita)

Immense émotion au MOMA de New York où des activistes crypto ont aspergé la célèbre toile d’Andy Campbell’s Soup Cans (1962) avec une importante quantité de soupe à la citrouille. Les éditorialistes de BFMCrypto semblent les premiers à avoir tenté une réponse à la question qui a immédiatement agité les autres plateaux télé : le choix de cette cucurbitacée doit-il, en ce jour de fête d’Halloween, être considéré comme intentionnel ou accidentel ?

La dimension identitaire de cette soupe orange une fois éclaircie et la date du 31 octobre savamment replacée dans l’histoire du mouvement crypto, sans doute convient-il d’écouter les activistes eux-mêmes ?

Nous respectons la mémoire d’Andy Wahrol  ont d’abord tenu à déclarer les deux forcenés :  il a en effet inventé le caractère essentiel de notre époque, avec son quart d’heure de célébrité pour tous les couillons .

Alors ? Pourquoi tant de soupe ?

Il est clair que c’est la multiplication sans limite des boites de soupe à la tomate qui était dans le viseur de ces intégristes de la monnaie rare.  Rien n’interdit au système, aujourd’hui, d’émettre de nouveaux tableaux, de faire tourner la planche à posters ou à cartes postales de façon inflationniste, et ceci sans le moindre rapport avec la production réelle de tomates  ont-ils protesté.

Certes la technologie des NFT permettrait en théorie de mieux suivre cette dangereuse inflation de tomates. C’est d’ailleurs ce qu’a proposé Bruno Le Maire, nouvel apologète de ces tokens qui lui rappellent les cadeaux Bonux de son enfance.

Alors ? Les deux activistes ont semblé soudain beaucoup moins déterminés, car le choix de la blockchain sous-jacente divise manifestement cette communauté.

Christine Lagarde quant à elle a résumé la sidération de l’élite mondiale devant cet attentat :  The tomato soup has (euh euh) pretty much come about from nowhere  a-t-elle expliqué avec sa concision coutumière.

Les bitcoineurs, faut-il le rappeler, entretiennent une relation ancienne avec le potage. Ils avaient d’ailleurs embrigadé l’iconique soupe à la tomate jadis.

Le mot de soupe avait d’ailleurs servi à décrire Bitcoin lui-même ! C’était il y a déjà cinq ans, du temps que l’éminent Pascal Ordonneau poursuivait une vaillante croisade contre une monnaie qui pour lui  ne doit son existence qu’à une soupe informatique de 0 et de 1 . Depuis lors, cet esprit distingué semble avoir arrêté d’écrire sur ce qu’il ne comprend pas pour en revenir à sa vraie passion : l’art. Il est à craindre cependant que le jet de soupe orange du MOMA ne réveille son obsession…

En attendant les prochaines polémiques, on célèbrera le 31 octobre en relisant mon billet sur la soupe et celui que j’avais intitulé Trick or Treat, deux textes tout en finesse et d’une infinie richesse culturelle.

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Les détenteurs de crypto Shiba Inu et Dogecoin s’intéressent à la presale de Metacade

Metacade (MCADE) est un tout nouveau projet visant à révolutionner le secteur du « jouer pour gagner » (Play2Earn, P2E) dans le monde des crypto-monnaies. Metacade a même attiré l’attention des détenteurs de Shiba Inu (SHIB) et de Dogecoin (DOGE) qui ont vu leur chance d’investissement s’éloigner lors du récent marché baissier. Metacade est la première arcade métavers construite par la communauté et possède toutes les caractéristiques qui ont créé porter les memes de SHIB et DOGE sur la voie du succès.

Qu’est-ce que Metacade ?

Metacade est un nouvel espace Web3.0 unique, un centre communautaire virtuel où les développeurs et les joueurs peuvent jouer, collaborer, développer de nouveaux jeux et mettre leur projet à exécution dans l’univers du jeu. Le projet Metacade s’est fixé comme objectif de devenir la destination ultime en matière de jeux vidéo et pourrait attirer sur sa plateforme un nombre incroyable de communautés de joueurs, occasionnels ou aguerris.

Les développeurs pourront laisser libre cours à leur imagination dans le processus de création de nouveaux jeux et des MetaGrants seront même attribués à ceux qui proposeront les jeux faisant l’unanimité au sein de la communauté. Les joueurs auront donc un rôle important à jouer dans chaque projet en testant les versions au fur et à mesure du développement et avant que les jeux ne soient validés et publiés dans leur version finale. Cette approche est corroborée par les votes de gouvernance relatifs au jeton MCADE, qui permettra également aux utilisateurs de recevoir une part des revenus futurs du projet par le biais d’un pool de staking.

Quel système de staking pour Metacade ?

Les membres de la communauté Metacade peuvent miser leurs jetons MCADE et seront rétribués en retour d’une part des revenus du projet qui seront payés dans une autre crypto afin d’éviter un mouvement d’inflation des jetons MCADE qui seraient disponibles en masse.

Une fois les revenus générés, un processus de rachat (buyback) ou de brûlage (burn) de jetons sera mis en place pour réduire l’offre totale de jetons en circulation. L’offre totale fixe au lancement sera de 2 milliards de MCADE dont 1,4 milliard de jetons alloués à la presale.

Quel est l’objectif à terme de Metacade ?

Au cours du premier trimestre de 2023, Metacade se concentrera sur le développement de la communauté grâce au marketing. Cela afin d’attirer les développeurs et les joueurs dans le processus de conception. Le projet sera également répertorié sur Uniswap et c’est la raison pour laquelle les investisseurs envisagent la presale avant que le projet ne reçoive toute l’attention du grand public.

Vers la fin 2023, nous serons témoins de l’achèvement d’une destination GameFi create2earn, play2earn et compete2earn. Une fois la salle d’arcade multi-jeux conçue et prête pour le métavers, avec une communauté en pleine exaltation, il ne sera plus nécessaire de fixer de nouveaux objectifs. Le monde est sans limite pour Metacade, et c’est pourquoi cet univers suscite un si grand intérêt avant même son lancement.

Quel avenir pour les SHIB et DOGE ?

Finalement, les projets Shiba Inu et Dogecoin ont manqué d’inspiration de memes et d’idées originales. Ils ne porposaient pas de fonction de gain pour les investisseurs ni de capacité de jeu blockchain ou de NFT. Les deux projets ont bénéficié d’une énorme hype et du soutien de célébrités, mais les investisseurs espéraient que le DOGE serait adopté comme crypto de paiement, ce qui ne s’est jamais produit. Les investisseurs de SHIB ont été attirés par les tokenomics qui promettaient un prix d’1 $, ce qui a également échoué. Les investisseurs de ces memes ont eu connaissance du projet Metacade sur Reddit et Discord et pourraient bientôt en faire la promotion.

Pourquoi privilégier Metacade ?

Si Metacade parvient à attirer le même genre de communauté que SHIB et DOGE, alors il pourra la fidéliser grâce à son modèle de gain P2E. Metacade prévoit d’offrir des possibilités de gains aux développeurs ainsi qu’aux joueurs, ce qui permettra de maintenir un nombre plancher d’utilisateurs quotidiens et d’attirer de nouveaux visiteurs lorsque la nouvelle du lancement de cette plateforme se répandra. Sans subterfuges marketing, Metacade n’aura donc pas besoin d’une adoption par les géants de l’univers du jeu. Metacade est un projet autonome, qui peut apporter aux investisseurs des opportunités de revenu passif, en s’appuyant sur un modèle play-to-earn et create-to-earn, et en laissant derrière lui les grands gagnants de la folie des « meme stocks ».

Conclusion

Shiba Inu et Dogecoin ont connu une grande percée parmi les crypto memes en 2021, mais les deux toutous ont été stoppés dans leur progression par un marché en baisse au grand dam des investisseurs, qui regardent maintenant vers l’avenir et s’intéressent à la presale de Metacade. Ce projet fait figure de pionnier avec la création d’une arcade virtuelle communautaire Play2Earn qui apportera tout le meilleur de la tokenomics, avec le staking pour les revenus et le burn de jetons. DOGE et SHIB se sont tous deux effondrés dans le marché en baisse parce qu’ils n’avaient pas d’objectifs particulier et que les nouveaux acheteurs se sont faits de plus en plus rares. À l’inverse, Metacade est une étoile montante et possède toutes les qualités nécessaires au succès des cryptomemes avec son jeton MCADE.

Tu peux participer à la presale de Metacade ici.

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Premier League : un accord de 30 millions de livres sterling avec Sorare

Le championnat de football anglais Premier League s’apprête à investir dans l’univers des NFTs en liant un partenariat avec Sorare, un jeu de simulation sportive avec des cartes à collectionner et basé sur la blockchain Ethereum. Cet accord pourrait atteindre la somme de 30 millions de livres, soit 34,6 millions de dollars, et cela chaque année….
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Parce que c’est notre Meta-projet ! Quand le gouvernement veut comprendre le metaverse

Le metaverse n’en finit pas de passionner. Cette chronique va vous le démontrer. Au fil des semaines, nous avons pu comprendre l’impact de la notion d’un monde parallèle, pendant de notre réalité, sur les GAFAM et autres grands acteurs de la finance traditionnelle. Gagnant progressivement du terrain, la notion de métavers est maintenant prise d’assaut : c’est désormais un enjeu politique. Certains États comme la Corée du Sud, la Chine, ou bien les Émirats arabes unis ont même créé l’impulsion et investis dans des métavers publics. Le Président de la République française Emmanuel Macron ayant même, quant à lui, déjà évoqué l’idée d’un metaverse européen.

Les esprits parfois étroits de nos dirigeants et hauts fonctionnaires auraient-ils des envies de liberté et d’expansion ? C’est ce que confirme la mission exploratoire publiée récemment sur le site du ministère de l’Économie. Trois savants ont alors eu pour mission de se pencher sur la notion de métavers afin d’en dessiner les axes principaux d’une stratégie publique.

Ce rapport de 116 pages décrit au final un métavers intéressant, attrayant et, de fait, représentant une réelle opportunité pour notre économie. Il n’en demeure pas moins que le métavers à de nombreux ennemis. Les pires seraient, d’après la mission : la décentralisation, les cryptomonnaies, et celle dont il ne faut pas prononcer le nom : « la chaîne de bloc ».

Derrière ces sarcasmes, il conviendra de saluer tout de même les efforts déployés par la mission exploratoire pour considérer le web 3, la blockchain et les cryptomonnaies de manière entière et renseignée pour réussir son raisonnement. Toutefois, malgré des considérations pertinentes, la mission tend surtout à proposer des stratégies servant les intérêts de l’État plus que celui de notre bel écosystème.

Une mission exploratoire sur le metaverse

Votre mission si vous l’acceptez : définir le metaverse

Rendons à César ce qui appartient à César : la mission est composée de Camille François (chercheuse à la Colombia University), Adrien Brasdevant (avocat au Barreau de Paris) et Remi Ronfard (chercheur à l’INRA). Ils ont pour mission de mener une « Mission exploratoire sur les métavers » commandée par :

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la relance ;Roselyn Bachelot, ministre de la Culture ;Cédric 0, secrétaire d’État chargé de la transition numérique.

Les trois représentants de l’État aux commandes font le constat d’un secteur du métavers en pleine croissance, ils demandent dans ce sens d’être informés sur les problématiques soulevées par le développement de ce secteur :

« (…) c’est dans ce contexte que nous souhaitons vous confier la mission de nous éclairer sur les grands enjeux économiques, sociétaux et culturels que soulève le développement des métavers ».

Spoiler : ils n’ont pas eu 4 h. En effet, la mission a été commandée le 14 février 2022 pour être publiée au mois d’octobre 2022.

Ainsi, le travail de nos trois chercheurs tend à « présenter les enjeux du métavers pour la France » et d’en développer les risques et les opportunités. Clarifier la définition du métavers, déterminer les différents rôles et acteurs participant à la « chaîne de valeur des métavers » sont alors autant d’axes de réflexion qui déterminent une « stratégie métaversique » (sic).

La mission se fixe ainsi l’objectif de décrire un horizon commun de développement du métavers dans l’intérêt de l’État. Dans cet état des lieux nous garantissant une « bataille de perspective » la blockchain, ou plutôt les chaînes de blocs sont d’emblée présentes dans le propos de la mission exploratoire.

La blockchain, un secteur considéré ?

En déterminant une typologie des métavers existants sont considérés dès le début du propos ceux utilisant la technologie de la blockchain. Le ton employé pour les nommer est certes parfois teinté de sous-entendus, de suggestions et de conditionnels. Cependant, la blockchain, les cryptomonnaies, et les NFT font partie intégrante de la réflexion de la mission. Ils sont au cœur de leur propos.

Toutefois, dès le début de son propos également, que ce soit les casques virtuels, les avatars, ou bien encore les échanges avec des « technologies distribuées » : ces derniers sont vus comme secondaires. Certaines caractéristiques paraissant elles essentielles :

La création d’un monde virtuel ;des graphismes intégrant une notion 3D ;une expérience et une interaction en temps réel ;une immersion partagée.

Cette distinction entre ce qui est essentiel et non essentiel pour le métavers – ça nous rappelle quelque chose – trouve alors sa conclusion :

« Ainsi pour nous métavers et blockchain (tout comme métavers et web 3) ne sont en rien consubstantiels, mais certains métavers pourraient reposer sur des techniques de registres distribuées »

10 Meta-propositions pour le gouvernement

Rapidement, la mission émet 10 propositions visant à installer une stratégie métavers. Elles ne sont que la partie visible de son propos :

1 – « Se saisir de l’opportunité des Jeux Olympiques » pour rassembler l’écosystème français autour de « projets concrets » ;2- « Réinvestir les instances de négociations des standards techniques », c’est-à-dire, travailler sur l’interopérabilité des métavers ;3- « Amener la puissance publique à faire émerger les services connus et essentiels » afin d’encourager l’interopérabilité des métavers ;4- « Développer une analyse rigoureuse des différentes chaînes de valeur du métavers »5- Mettre en place des commandes publiques qui tendent à établir une souveraineté culturelle et technologique de la France dans le métavers ;6- Lancer le travail d’adaptation de la régulation au métavers ;7 – Investir dans des outils d’analyse pour détecter les infractions ;8 – Investir dans des recherches interdisciplinaires ; 9 – « Créer un institut de recherche sur le modèle de l’IRCAM » dans le but de mettre l’expertise technique au service de l’Art immersif et de la souveraineté culturelle de la France ;10 – « Explorer des solutions écoresponsables » afin de mesurer l’impact écologique des métavers.

Derrière ces propositions, plus ou moins précises, se dessine alors une certitude : le gouvernement a du pain sur la planche.

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la relance s’attaque au metaverse

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Le metaverse, un challenge pour la France et pour son écosystème

Le metaverse : le combat de David contre Goliath

C’est une idée qui persiste pendant tout le propos : Meta dirigé par Mark Zuckerberg, pourtant souvent moqué, ne titille pas les zygomatiques de la mission exploratoire. Bien au contraire. Nos auteurs relèvent les craintes d’un métavers galvaudé, encouragé par du marketing. Il s’agit donc pour l’État français de résister « à l’étroite vision de la Silicon Valley » et « à des visions destructrices importées par des campagnes marketing ». Meta n’étant alors que « l’arbre » et la Silicon Valley « la forêt ». Les contours de cette concurrence naissante se lisent même au détour de certains titres et sous-titres :

« Ne jetons pas le bébé métaversique avec l’eau du bain de Facebook ».

Meta, n’est que le premier point négatif d’une longue liste qui galvaude, détourne, ou bien encore fausse le concept de métavers – toujours d’après la mission.

Régulation et gestion de l’identité dans le metaverse

Peu présente en définitive dans les propositions, la gestion de l’identité au sein du métavers ainsi que sa protection est pourtant un enjeu filé tout au long des observations de la commission. L’exemple de la mise en place d’un métavers aux identités décentralisée en Corée du Sud n’étant pas ce que requiert les auteurs. Qualifiée de « mauvaise approche », une réflexion autour d’une stratégie de contrôle de l’identité dans le métavers est alors engagée :

« (… ) une approche plus prometteuse consisterait à collaborer à travers une stratégie publique organisée avec les différentes entités publiques (…) Il est urgent de lancer dès maintenant le travail d’adaptation, notamment au RGPD (…)»

Très vite la nécessité d’un cadre réglementaire s’installe alors dans le texte et la mission évoque la création d’un « Chainalysis français ». Traçabilité, escroquerie, modération, vérification d’identité, sont alors autant de questions soulevées qui restent sans réponse.

Par ailleurs, l’utilisation des cryptomonnaies dans les métavers dit web 3 questionne. Quelle notion de propriété pour les actifs immatériels ? Autant de question qui peuvent écorcher les fervents défenseurs de la philosophie du père de Bitcoin : Satoshi Nakamoto.

« L’identité numérique est un enjeu central pour les métavers. A priori, les utilisateurs du métavers pourraient se mouvoir dans cet espace numérique sous couvert d’un pseudonyme et d’un avatar, ce qui soulève des questions en termes de vérification de l’identité et de traçabilité des actions. Comment tracer l’identité des personnes dans le Métavers en cas de comportement prohibé ? Comment vérifier qu’une personne est bien celle qu’elle prétend être ? Comment éviter la fraude et l’usurpation d’identité avec l’utilisation des avatars dans le métavers ? Est-ce qu’une identité devra nécessairement être associée à un avatar ? Comment passera-t-on d’un métavers à un autre ? Pourra-t-on explorer anonymement les métavers ? Comment concilier désir d’anonymat et responsabilisation des actions dans les métavers ?»

Dans la gestion de l’identité sont également inclus la « préservation des espaces mentaux ». En effet, les problématiques soulignées par l’enregistrement potentiel de nos émotions et nos expressions faciales dans les casques VR et RA reste un enjeu éthique évident. La mission explique ainsi l’urgence de « Consacrer un nouveau droit fondamental, le droit au respect de l’intégrité psychique ».

L’interopérabilité : un défi de taille

Un autre défi de taille est à affronter dans la mise en place du métavers. Il s’agit d’être en capacité d’appréhender les problèmes d’interopérabilité. Comment organiser les infrastructures du métavers ? Standardisation, régulation sont alors autant de termes que l’on peut lire. En effet, face aux possibilités vertigineuses du métavers, le rapport met en évidence le fait que les instances publiques doivent mettre en place des normes. Le web 3 ne semblant pas être une solution évidente pour la mission qui évoque la fragilité des bridges inter blockchain, en faisant référence au hack d’Axie Infinity entre autres :

« Une des ambitions du métavers est, pour certains, d’être la suite logique présumée plus ouverte de l’Internet et des réseaux sociaux en utilisant les possibilités offertes potentiellement par le web 3 »

Cependant, et malgré l’évocation des progrès permis par les Layer 1, Layer 2 et Layer 3 ainsi que le travail d’entreprise comme Starkware, la blockchain est rapidement mise sur le côté dans cette épopée métaversique.

Gouvernance et décentralisation :

Ce sont les mots qui blessent. Âmes sensibles s’abstenir. La gouvernance et la décentralisation pouvant d’après le rapport devenir, eux aussi, des freins au développement du métavers et surtout des freins au développement d’un métavers français.

Dépôts de marques et autres conseils pour avoir des noms de domaines blockchain sur Ethereum sont alors vivement conseillés. Serait-ce l’aveu d’un retard évident de la France dans ce secteur ? Possible. Toujours est-il qu’il s’agit pour nos rapporteurs de mettre en évidence l’urgence de déployer une souveraineté de la France dans le métavers avant que celle-ci ne puisse, par exemple, plus être en mesure de contrôler les identités virtuelles.

Le concept de DAO, régulièrement évoqué dans le texte, reste alors une bête inconnue, observée de loin et qui intrigue. Quelle intervention de l’état au sein des DAO ? Quelle juridiction ? La mission détermine encore des axes d’urgence à travailler :

« Certains métavers pourraient, par exemple, reposer sur des DAO (Decentralised Autonomous
Organisation), mode de gouvernance basé sur la blockchain où les règles prédéfinies sont appliquées par des programmes informatiques appelés smart contracts. Dans les métavers, les DAO permettent de fixer les différentes politiques qui régissent le monde virtuel et le font évoluer. Dans le métavers Decentraland par exemple, la DAO — dirigée démocratiquement par les détenteurs de jetons de gouvernance — permet de déterminer les objets autorisés ou interdits après son lancement, certains éléments de modération des contenus, la politique, l’organisation des enchères.»

Très vite cependant, cette idée de gouvernance dirigée démocratiquement par ses détenteurs apparait comme critiquable aux yeux de la mission, mais nous y reviendrons.

Le metaverse : un monde virtuel interconnecté

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Le metaverse oui, mais la décentralisation : c’est non !

« Les métavers s’annoncent à la fois comme un marché d’opportunité dont l’écosystème français pourrait se saisir (…), ils constituent une opportunité culturelle pour la france et probablement une source de création d’emploi. »

Mobiliser les acteurs français

La nécessité d’un leadership de la France dans le domaine des technologies immersives est avancée. La French Touch et la French Tech sont reconnues, tout comme les fleurons français tels que Ledger ou encore Ubisoft. Face à un secteur public international qui se développe, la mission soutient donc le besoin de tisser une stratégie publique du métavers.

« Les futurs réseaux sociaux connectés et immersifs émergent devant nos yeux à travers nos écrans d’ordinateurs, de smartphones, des premiers visiocasques et des lunettes de réalité augmentée. Ils dessinent les horizons pluriels qui appellent une vraie stratégie de la part des acteurs gouvernementaux afin d’en saisir les opportunités et les risques (…) Cette stratégie métaversique devra contenir à la fois l’ensemble des grands enjeux du numérique et appeler à une compréhension granulaire des enjeux propres à l’immersion sociale »

Distinguant le secteur du métavers français en deux écosystèmes, l’un autour des réalités virtuelles, augmentées ou mixtes, et de l’autre celui du web 3 et de la blockchain, la mission met l’accent sur le fait qu’il faudrait associer ces deux secteurs :

« Il nous semble souhaitable de rassembler ces deux écosystèmes et de créer les conditions d’un dialogue entre tous les acteurs français des métavers en concertation avec les organismes de recherches publics pour faciliter l’émergence et la mise en œuvre d’une stratégie des métavers française »

Encourager les efforts des institutions, investir dans l’éducation et la formation sont alors des points importants soulignés par la mission. Augmentation du nombre d’écoles de jeux vidéo, inciter la programmation à l’école, en bref « continuer d’être acteur de la créativité numérique ». Dès lors, la mission explique de manière limpide que ces acteurs doivent rapidement se mobiliser « autour de projet concret à l’horizon imminent » : les Jeux Olympiques en 2024 à Paris.

Miser sur un usage culturel du metaverse : la Joconde métaversique

À travers l’exemple de la Joconde métaversique, imaginée et déclinée sous toutes ses formes, les auteurs imaginent les possibilités d’une Joconde exposée dans un musée virtuelle à celles d’une Joconde tokenisée régie par une DAO appelée « les amis de la Joconde ».

Cette Joconde, déclinée sous de multiples formes, permet de souligner la « variété des formes et des canaux de distribution ». Ils sont une aubaine pour le patrimoine artistique et culturel français. Dès lors, une nouvelle tâche s’ajoute à la liste d’un gouvernement probablement un peu dépassé : « Réconcilier souveraineté technologique et culturelle » avec la mise en place de commande publique.

Le métavers gagne alors ici un bon point en ce qu’il permet de favoriser les intérêts de l’État : l‘exportation culturelle étant une perspective majeure pour l’économie, mais également pour la création d’emploi. De nouveau média pourraient par ailleurs être créés dans le but de réinventer un secteur des médias et du divertissement qui s’essouffle.

On comprend alors que les principes propres à la blockchain, à la création de Bitcoin et des cryptomonnaies commencent à apparaitre comme des vrais ennemis à l’expansion métaversique française. Pire, ils seraient un « obstacle aux fonctions régaliennes de l’État

Bitcoin et les cryptomonnaies sont-ils une menace pour les fonctions régaliennes de l’État français dans le metaverse ?

La Blockchain éjectée du metaverse

Les cryptomonnaies : persona non grata du metaverse

Le lien entre le métavers et les cryptomonnaies est qualifié d’« artificiel ». La mission souligne également qu’un métavers peut parfaitement fonctionner avec des devises fiat. Toutefois, elle semble alors en oublier une des raisons pour lesquelles le web 3 s’est saisi de la notion de métavers : les principes de liberté et de décentralisation.

« La question reste toutefois posée de savoir si ce web 3 est une projection, une sorte d’idéal vers lequel tendre ou bien s’il constitue une évolution qui adviendra véritablement ? (…) si les potentialités d’usage comme les DAO, la DeFi, les Cold Wallets (…) paraissent importants, rien ne garantit par contre que chaque créateur pourra trouver par lui-même une source de revenus suffisante par exemple »

Continuons.

L’anonymat et la décentralisation, les nouveaux ennemis de l’État ?

Il faudra avoir lu presque 100 pages pour trouver enfin les avis tranchés sur l’utilisation de la blockchain et de ses principes dans le métavers. La décentralisation, l’anonymat ou encore l’usage d’une identité décentralisée apparaissant comme des menaces aux fonctions de l’État.

« L’État est désormais concurrencé dans ses prérogatives régaliennes. L’urgence d’offrir une solution d’identité numérique régalienne s’explique par la crainte, justifiée, de voir arriver des acteurs systémiques extranationaux. Une urgence d’autant plus forte lorsque l’on considère que les citoyens ne disposent pas d’une grande maîtrise du numérique. »

La mission pousse alors la logique à son comble. Elle imagine un métavers dystopique digne des années 1990 dans lequel les plateformes viendraient directement concurrencer les États par l’émission de passeport pour circuler dans le métavers.

Cette méchante décentralisation et cet odieux anonymat deviennent de fait, toujours d’après le propos du rapport, des éléments que nous devons contrôler ( toujours sous la menace de Meta et de la Silicon Valley … ) :

« Il est question de service public et également de souveraineté, dans un contexte géopolitique
nouveau marqué par l’émergence d’acteurs que sont les géants du numérique.»

Plein de questions, mais encore peu de réponses. Cette mission exploratoire dessine les problématiques d’une application du metaverse dans le cadre d’une stratégie publique et étatique. La question de l’adoption de masse, effleurée, évoque une nécessaire acceptation sociale des NFT et des cryptomonnaies si nous souhaitons voir un métavers français évoluer sur la blockchain. Par ailleurs, des questions de santé publiques sont soulevées sur l’impact de l’utilisation du métavers au quotidien. Toutefois, ce qui frappe le plus, au final, à la lecture de ce texte : c’est la certitude avec laquelle la mission oriente la présence de l’état dans le métavers. Soulignant un paradoxe. Là où le métavers prône démocratie et liberté, imposer une présence étatique en son sein ne serait-ce pas galvauder l’esprit même de ce monde virtuel à la manière du méchant Meta ? Vous avez 4 h.

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