NFT Lacoste :  quel crocodile serez-vous ?

Dix ans passés dans le fleuve ne font pas un crocodile d’un tronc – La folie NFT a eu son heure de gloire. Une explosion par nature éphémère qui devait sans doute sa puissance à la fausse promesse d’une fortune instantanée plus qu’à une réelle passion pour l’art et les pixels. Depuis, le marché crypto global a rendu son verdict. Tous les jours, la sélection naturelle laisse nombre de projets vides de sens sur le carreau. Un grand ménage qui présente l’avantage de mettre en lumière les véritables initiatives à forte valeur ajoutée. Nous en parlions au début de l’été, la marque Lacoste avait elle aussi franchi le pas avec sa collection NFT UNDW3. Une incursion en terre crypto dont le crocodile revient aujourd’hui en vainqueur, les bras chargés de cadeaux numériques. 

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Lacoste.

Les acheteurs de la Genesis récompensés

La première collection Lacoste avait déjà connu un bel engouement. Au début de l’été, alors que le marché crypto était en crise, et l’ethereum à moins de 1000$, la marque au crocodile avait réussi un véritable coup de force. Plus de 11000 NFT avaient rapidement trouvé acquéreur, actant la forte complémentarité des industries de la mode et du luxe avec la technologie blockchain. C’est un fait, en un an, presque toutes les grandes marques du textile se sont projetées dans l’écosystème crypto, avec un succès jamais démenti à ce jour. 

Aujourd’hui, les détenteurs du Genesis Pass lié à cette première série bénéficient d’un drop exclusif. Une nouvelle collection qui leur est strictement réservée baptisée “The Emerge”. L’opération vise à distribuer 11212 “PFP” (Profile Pictures) aux propriétaires du précieux sésame. Des avatars NFT qui vont permettre d’afficher leur statut de supporters originels sur tous les environnements numériques, mais peut-être aussi, et c’est là tout l’intérêt de la chose, leur procurer des privilèges qui s’annoncent aussi lucratifs que déterminants, jugez plutôt.

Les avantages liés aux PFP

C’est là toute la magie du format NFT. Une singularité qui permet d’associer des capacités et autres avantages à certains traits esthétiques exclusifs. Et en matière de possibilités associées à un design particulier, “The Emerge” n’est pas en reste.

Crocodiles, thanks for your feedback and your love about what you’ve seen so far.

Wanna learn how we designed them from scratch?

How did we make them, and what is their final design? #undw3

Well, we’ve something for you.pic.twitter.com/hgphKV3iHq

— Lacoste (@LACOSTE) October 7, 2022

Twitter annonçant la création des PFP

Ainsi, quatre des attributs spécifique à ces avatars uniques ont été soumis et votés par la communauté : 

Un ensemble complet faisant hommage à René Lacoste, le fondateur de la marqueUn type de peau nommé la « galaxy skin » Le « tennis bag » en tant qu’accessoire La « croco gold chain » en guise de bijou

C’est bien beau ! (c’est le cas de le dire …). Mais l’intérêt serait somme toute limité si ces traits caractéristiques n’étaient que des détails visuels. Lacoste a donc décidé d’accorder des pouvoirs à certains d’entre eux. Ainsi, 250 PFP posséderont un trait commun particulier qui donnera accès à toutes les ventes privées et exclusivités de Lacoste. 100 autres permettront de recevoir le  polo Genesis confectionné à l’occasion de la première soirée UNDW3 qui avait eu lieu aux Champs Elysée en juillet dernier.

Des NFT pour souder une communauté

Comme d’autres grandes marques, Lacoste a bien compris l’intérêt que recèle ce format numérique “non-fongible”. Générations après générations, la jeunesse est définitivement le cœur de la cible. Un public hyper-connecté, friand de nouvelles technologies et d’image. Des fans qui veulent avoir accès à des contenus exclusifs et des expériences innovantes. D’où l’intérêt des projets tels que UNDW3 qui proposent au fil de l’eau des avantages décisifs à leur communauté. Et bien évidemment, ce premier drop n’est que le premier d’une longue liste.

Le projet NFT Lacoste annonce de grandes étapes à venir

Déjà, le lancement de la première collection avait dépassé tous les objectifs, et on peut aujourd’hui voir les premiers effets positifs concrets de cette distribution initiale. Par exemple, la communauté prend une place prépondérante. Elle est ainsi à l’origine de certains aspects remarquables de « The Emerge« . Mais si vous êtes attentifs, vous constaterez rapidement que Lacoste ne compte pas en rester là. En effet, la roadmap est particulièrement généreuse. De nombreux autres drops, des produits dérivés, des expériences estampillées Metaverse, la liste des privilèges spécifiques liés à ces sésames numériques est appelée à s’allonger dans un futur proche. 

Que vous soyez une victime de la mode ou bien un cryptophile convaincu, Lacoste entend bien vous séduire avec son projet UNDW3. Carte de fidélité d’un genre nouveau, le NFT vous ouvre les portes d’une communauté exigeante et passionnée. C’est ce jeudi que Lacoste annoncera l’heure du reveal des designs à l’occasion d’un « twitter space » de Rug Radio animé par Farokh, bien connu de l’écosystème NFT. Mais si vous n’avez pas envie d’attendre pour faire partie du club, rendez-vous sur le discord fr du projet où vous pourrez discuter avec d’autres mordus de crocodiles.

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NFT : le directeur financier d’OpenSea saute du bateau en pleine tempête

Moins de vagues, plus de stabilité ? – OpenSea assiste au départ de son directeur financier, qui n’aura navigué sur les eaux NFT avec l’entreprise, que pendant moins d’un an.

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Retour sur le plancher des vaches pour ce directeur d’OpenSea

Il avait pris le poste de directeur financier de l’entreprise au mois de décembre dernier. Brian Roberts ne sera pas resté longtemps à bord du navire. Dans une publication sur LinkedIn du 8 octobre dernier, l’ancien directeur financier d’OpenSea annonce son départ. L’homme estime qu’il est temps pour lui « de revenir à terre ».

Hormis les politesses d’usage, assaisonnées aux remerciements et aux mentions spéciales à certains collaborateurs, sans oublier de partager sa vision optimiste du futur de la plateforme NFT, Brian Roberts n’a fourni aucune explication quant à cette décision, qui intervient environ dix mois seulement après sa prise de poste.

Les marchés baissiers ont en tout cas vu aussi bien des licenciements, que des démissions de cadres des entreprises web3. D’un point de vue financier, l’hiver crypto n’a pas épargné les plateformes NFT, dont OpenSea qui a vu ses volumes d’échanges chuter de 90 % entre le mois de janvier et d’août de cette année.

Dorénavant, Brian Robert observera donc depuis la terre ferme, les difficultés qu’OpenSea rencontrera éventuellement, ainsi que ses réussites dans la concrétisation de ses projets de développement, à l’instar de sa conquête des NFT du layer 2 d’Optimism.

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NFT : Yuga Labs dans le communautaire avec le lancement du conseil des Bored Apes

Pont communautaire – Yuga Labs veut améliorer sa communication avec les détenteurs de NFT Bored Ape Yacht Club, pour pouvoir bénéficier de la synergie positive que devrait théoriquement générer une belle approche collaborative.

Le conseil communautaire Bored Apes : des singes au service du club

Ils seront sept au début. Dans un billet du 4 octobre dernier, Yuga Labs annonce la création d’un conseil communautaire pour les Bored Ape Yacht Club.

Dans un premier temps, cette organisation sera composée de sept membres qui sont des détenteurs de NFT appartenant à la collection, et qui auraient selon l’entreprise, contribué « de manière proactive et positive au club depuis le début ». D’autres détenteurs de NFT BAYC viendront étoffer cette équipe dans le futur.

Le conseil actuel est composé de Josh Ong, qui est le fondateur d’une agence et d’un fonds web3, de l’artiste Sera, et de Laura Rod, fondatrice de la société The Miami Ape.

Conseil BAYC – Source : site web de Yuga Labs

Ils travaillent aux côtés de 0xEthan, qui rédige une newsletter quotidienne pour l’audience de Yuga Labs, de 0xWave, l’un des early adopters du BAYC, du photographe Negi résidant au Japon, et de Peter Fang, qui avait soutenu l’organisation de l’une des premières rencontres du BAYC à Venice, en Californie, au mois de juillet de l’année dernière.

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Yuga Labs à l’écoute de sa communauté pour une croissance collective

Yuga Labs promeut ainsi une vision communautaire à travers cette nouvelle initiative, qui vise à solliciter la participation des détenteurs de Bored Apes Yacht Club au développement de la collection, et à leur démontrer l’importance de cette contribution pour l’entreprise.

Concrètement, les membres du conseil serviront de pont entre les détenteurs de NFT BAYC et Yuga Labs. Ils recueilleront les attentes de la communauté, notamment ceux qui sont exprimés sur les médias sociaux. Le conseil, qui resterait « autonome », présentera aussi leurs idées et leurs projets.

Cette organisation constitue ainsi un outil d’intelligence collective qui devrait permettre à la collection BAYC d’assurer sa croissance, alors que les « Apes continuent d’émerger dans la culture pop ».

Les NFT Bored Ape Yacht Club continuent d’avancer malgré l’hiver crypto, qui semble également enrhumer les marchés NFT, au vu des volumes d’échange qui sont dans une tendance baissière bien marquée. Les singes misent non seulement sur le tam-tam marketing qui implique des célébrités pour développer son branding, mais également sur le jeu collectif de la communauté pour croître sur le long terme.

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Sorare, le jeu blockchain ultime pour la Coupe du monde 2022 ?

Créé par une startup française, le jeu de fantasy football Sorare est aujourd’hui l’une des applications blockchain les plus utilisées de l’industrie. Comment jouer à Sorare et débuter votre collection de tokens non fongibles (NFTs) afin de participer à des compétitions ? On vous révèle tout sur Sorare dans cette vidéo.

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Crypto-gaming : Un long chemin avant l’adoption de masse

Web3, Crypto, NFT, tabou chez les gamers ? – Dans le monde du gaming, l’accueil des jeux web3 est plutôt mitigé. Il suffit pour cela de se rappeler le revirement de position du PDG d’Ubisoft, Yves Guillemot, à propos de l’intégration des NFT dans ses jeux. Une des raisons ? La levée de boucliers des joueurs voyant d’un mauvais œil l’arrivée de cette innovation au sein de leurs jeux préférés. Pourtant, depuis début 2022, ce sont déjà 5 milliards de dollars qui ont été investis dans le développement de jeux blockchain. Il y aurait donc quand même un marché ? Creusons le sujet.

Le grand public, la cible manqué du crypto-gaming

Les aficionados du gaming réfractaires aux cryptos occupent-ils réellement une place significative dans la communauté ? Pour le savoir, la société Coda Labs a mené son enquête auprès de 6921 candidats répartis entre les US, l’Angleterre, le Brésil, l’Afrique du Sud et le Japon. Pour se qualifier au sondage, les personnes devaient répondre à deux critères au choix :

Jouer à des jeux vidéos au moins deux fois par mois ;Être familier au monde de la crypto, typiquement avoir déjà effectué une transaction sur un DEX (Decentralized Exchange), acheté un NFT ou utilisé Metamask.

Le panel regroupait 81% de gamers non familiers des cryptos, 16% de crypto-gamers et 3% d’utilisateurs de cryptos non gamers. Et le constat est sans appel. Le mauvais apriori des gamers vis-à-vis des cryptos et des NFT n’est pas un coup de bluff. Avec une notation de leur sentiment à 4,5 sur 10, peut mieux faire.

Sentiment du panel interrogé vis-à-vis du terme ‘crypto’ – Source : Coda Labs

Par ailleurs, il ne faut pas se voiler la face. Pour l’ensemble du panel interrogé, le principal intérêt recherché consiste à gagner des cryptos, et non plus à « jouer pour le fun ». En cela, on constate que le Web3-gaming a pour l’instant raté sa cible. L’intérêt économique marche un temps sur un public acquis à la cause crypto, mais le grand public, lui, souhaite simplement s’amuser, se changer les idées.

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Le Web3-gaming, de multiples barrières à l’entrée

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. 52% des gamers non familiers des jeux Web3 s’interrogent tout simplement sur la façon d’y jouer. Il faut dire que les barrières à l’entrée sont encore nombreuses. Souvent, détenir un wallet comme Metamask est obligatoire. Le joueur web3 doit installer le bon réseau, acquérir des cryptos et les envoyer dessus. Pour cela, il faut évidemment en avoir acheté et donc s’être inscrit sur un exchange. Une fois inscrit, il est nécessaire d’effectuer un virement en euro depuis son compte en banque ou sa carte bancaire, comprendre comment acheter ses cryptos et comment les envoyer sur son propre wallet. Il faut aussi s’habituer à l’idée que son argent puisse transiter sur internet via une extension Google, principe qui peut rebuter une personne non initiée.

Sentiments du panel interrogé sur les raisons de ne pas jouer aux jeux web3 – Source : Coda Labs

Le crypto-gaming, des barrières à l’entrée amenées à être progressivement effacées ?

Pour l’instant, c’est un véritable parcours du combattant pour un novice. Et à ce moment-là, le joueur motivé par la curiosité n’est pas au bout de ses soucis. Car de très nombreux Play-to-Earn demandent un investissement conséquent avant même d’avoir commencé à jouer. On parle ici de plusieurs centaines d’euros pour acquérir un premier NFT permettant de démarrer le jeu. De quoi rebuter les plus coriaces des gamers, habitués à mettre 50€ dans un jeu plus traditionnel certes, mais leur promettant des dizaines d’heures d’amusement sans prise de tête.

Bilan de l’affaire, seulement 12% des gamers non familiers du crypto-gaming s’y essayent.

Bien que les avis sur le web3-gaming soient mitigés, il faut remettre les choses dans leur contexte. Le secteur est jeune et se cherche encore. Les infrastructures nécessaires à une adoption de masse sont en cours de construction. Les multiples tentatives et échecs des Play-to-Earn d’aujourd’hui serviront à construire de solides fondations pour les futurs bangers de demain. Des jeux où le fun se mariera à la perfection avec une accessibilité aisée et cerise le gâteau, des cryptos et des NFT en cadeaux. Serez-vous alors prêt pour le raz-de-marée ?

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NFT : ces griffes du luxe qui réussissent leur incursion dans le Web3

Luxe, calme et NFT. Gucci, Balmain, Louis Vuitton, Balenciaga … Les griffes de luxe s’emparent des NFT pour redonner un coup de jeune à leur image, ou tout simplement pour offrir des expériences inédites à leurs clients. Et cela fonctionne : les ventes suivent, et les NFT sont aujourd’hui revendiqués par les clients pour afficher leur appartenance à une communauté réunie autour d’une grande maison. Allons à la rencontre des grandes maisons qui ont réussi leur incursion dans le Web3. Des NFT, mais pour quoi faire ? Aujourd’hui, les grandes maisons utilisent les NFT de plusieurs manières. On peut en […]

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Entre adoption et décentralisation, le cœur des NFT balance – Le Meta-Hebdo

Plouf – Plouf – Le marché des cryptomonnaies connaît une rigoureuse ère glaciale, emportant avec lui celui des NFT. Mis à mal, écorché et parfois affaibli, le secteur cryptographique se voit ainsi attaqué, fragile, il essuie les critiques acerbes de certains médias mainstream.

Et, pourtant. Si nous prenons un peu de hauteur, les évènements ne semblent pas être aussi glacés qu’il n’y parait pour les NFT. Populaires auprès de personnes influentes dans le secteur du divertissement ou encore celui de l’art, il serait peut-être même possible d’envisager que les NFT deviennent une véritable porte d’entrée pour l’adoption de masse. En effet, fonctionnels et facteurs de changement, les tokens non fongibles s’imposent de plus en plus dans nos sociétés.

GAFAM, grandes marques de luxe, institutions, les NFT sembleraient presque une étape de développement inévitable pour les acteurs de la finance traditionnelle, laissant sur le bas-côté nos grands idéaux, piliers de la finance décentralisée.

Les dessous des NFT : arnaques, décentralisation et show-business

Clichés non fongibles : le web 3 sous les feux des critiques

Commençons par les critiques. Usants trop souvent de clichés et de lieux communs catégorisant les NFT, ces dernières ont laissé de nombreux stigmates. Certains de ces reproches sont objectivement fondés. À l’inverse, d’autres sont symptomatique d’une société qui refuse de faire un grand saut dans le web 3, ses intérêts étant trop bien installés dans le présent. Ce sont parfois les mêmes qui refusaient déjà dans les années 90 de faire le grand plongeon d’Internet.

Les arnaques, scams et autres escroqueries en tout genre participent alors, de fait, à ces stigmates qui attisent le cynisme et le scepticisme de nombreux médias. Aussi, Kim Kardashian, tombée dans la marmite du pump and dump (du plus haut au plus bas en français), s’est vu épinglée par la SEC (Security Exchange Commission) cette semaine. En cause ? La promotion d’une cryptomonnaie douteuse à ses abonnés : l’Ethereum Max. Fréquentes dans de nombreux projets crypto et NFT, ce type d’opération engendre des victimes perdant parfois d’importantes sommes d’argent. Cette fragilité du secteur cryptographique participe aux critiques qu’il peut parfois essuyer, surtout pendant l’hiver.

Les NFT stars du web 3 : l’exemple de Warner Music Group

Passé ces quelques clichés, d’autres faits sautent aux yeux. De Gucci aux GAFAM, l’entrée des géants du commerce dans le Web 3 est établie. Cette semaine encore, Warner Music Group ( WMG) confirmait, par exemple, ses souhaits de continuer de se développer dans ce secteur qui nous passionne : celui de la blockchain.

Forte d’un récent partenariat avec OpenSea, la marketplace (place de marché) NFT de renom, le géant de la musique, conglomérat de différents labels musicaux, a confirmé rechercher deux experts web 3 sur le réseau social LinkedIn :

L’un concernant la direction de plan marketing pour des marques, des plateformes métavers et autres start-ups web 3 ;L’autre concentré sur la stratégie et les partenariats commerciaux afin d’établir des lieux virtuels pour des marques.

Nous comprenons ainsi que l’expérience web 3 de WMG ne consiste pas à s’arrêter aux NFT. Il s’agit dès lors d’en développer :

une utilité commerciale (avec des partenariats) ;et technologique (avec une ouverture sur des start-ups web 3).

Orienté autour d’une expérience sociale et ludique, WMG évoque ainsi derrière l’utilisation et le développement d’une technologie NFT dans son entreprise une :

« (… ) stratégie métaverse (…) le développement, le cofinancement et la gestion de projets d’expérience de divertissement musical dans les métavers et les jeux. Les projets intégreront des structures d’accord innovantes axées sur les expériences immersives et l’intégration de contenu stratégique. Le candidat idéal pour ce poste aura de l’expérience chez un développeur de jeux, un studio ou une plateforme de métavers et une compréhension approfondie des licences de contenu et du paysage mondial des médias numériques.»

Source : LinkedIn

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Aux frontières de la décentralisation

Facteur de changement, les NFT apparaissent comme un outil marketing indéniable, un indispensable chez certains. Des jeux vidéos au secteur artistique, la manière de considérer l’authenticité et la propriété révolutionne de nombreux secteurs. Solutions contre les contrefaçons et la fraude, possibilité d’usage dans le métavers, cette notion presque ancienne qui trouve – enfin – quelques racines dans l’usage des NFT, symbole de propriété et d’une identité empreinte de liberté et d’anonymat.

Les projets NFT eux ne sont pas innocents face à ce succès. Ils y trouvent un intérêt, non sans bafouer quelques principes importants de la décentralisation. Yuga Labs a ainsi su développer le champ de compétence de ses singes ennuyé grâce à son métavers The Otherside. Symbole d’appartenance à une communauté et une gouvernance, les Bored Apes ont dépassé l’usage du NFT en simple qualité d’avatar. Leurs fonctions se sont vues multipliées, proposant à ses détenteurs :

Une visibilité médiatique de la part de partenariat ( récemment Snoop Dogg et Eminem) ;une utilité numérique : celle de jouer dans un jeu web 3 ;la possibilité de voir la valeur du NFT changer positivement avec le développement de ces utilités.

Cependant, The Otherside s’est vu, non sans critique, faire une demande de KYC, Know Your Costumer, authentification d’identité, froissant – à raison – les idéaux lisses de certains puristes de la décentralisation.

Ce qui se cache derrière la propriété d’un NFT

Le nerf de la guerre n’étant alors pas le NFT, image la plupart du temps contenu dans un cloudpolémique de que nous effleurerons ici – mais ce que permet le NFT. Accès à un métavers, condition pour appartenir à une DAO ou bien encore à une gouvernance, billets de concert ou autre certificat d’authenticité… en fin de compte les possibilités d’utilisations des NFT sont vertigineuses. Aussi bien pour nous que pour les grandes marques. Ces avantages sont mis en évidence sur le site internet du Bored Ape Yatch Club, ils sont l’argument de vente du NFT :

« BAYC est une collection de 10 000 Bored Ape NFT, des objets de collection numériques uniques vivant sur la blockchain Ethereum. Votre Bored Ape sert également de carte de membre au Yacht Club et donne accès à des avantages réservés aux membres, dont le premier est l’accès à THE BATHROOM, un tableau de graffitis collaboratif. Les zones et avantages futurs peuvent être déverrouillés par la communauté grâce à l’activation de la feuille de route.»

Source : Bored Ape Yatch Club

Les NFT de l’Otherside, le métavers des BAYC

L’adoption des NFT n’aurait-elle pas déjà commencé ?

L’utilité, l’atout des NFT

L’utilité est un des trois piliers fondamentaux qui font la structure d’un projet NFT. La communauté et l‘exclusivité de l’idée étant deux autres piliers. L’utilité nous semble impérative et empirique ici : elle permet de trouver un élément qui permettra un objectif plus vaste à l’utilisation d’un NFT.

« Qu’est-ce qui se cache derrière mon NFT ? Quelles valeurs défend-il ? Quelles actions me permet-il de faire au sein de la communauté et dans le monde réel ? »

La simple possession d’un NFT peut répondre à ces questions. Posséder un NFT Wolrd of Women n’a, par exemple, pas la même signification que celle d’avoir un NFT Bored Ape Yatch Club. De fait, les deux sont rares. Les deux peuvent avoir de la valeur. Toutefois, les NFT WoW et les valeurs d’inclusivité et d’équité véhiculée sont différentes que celle des Bored Ape Yatch Club au-delà des gouvernances possibles dans chacun de ces projets.

« La vision de WoW est de construire un web 3 inclusif à travers sa collection et sa communauté. Selon une étude publiée en novembre 2021, les femmes artistes ne représentaient que 5 % de toutes les ventes d’art NFT au cours des 21 mois précédents. WoW a pour mission de changer cela. Ensemble, nous pouvons créer des opportunités pour quiconque dans le monde d’être propriétaires, créateurs et contributeurs dans cette nouvelle ère du Web. »

Source : WoW

Le métavers et les NFT : un destin inévitable

La notion de metaverse a été évoquée bien avant l’apparition de Bitcoin, de la blockchain et des principes propres qui fondent la finance décentralisée. Lisible dans le roman Snow Crash de Neil Stephenson en 1992, cette notion presque séculaire d’un monde interconnecté entièrement virtuel est célèbre dans la science-fiction.

Les NFT et la blockchain ont permis de changer la donne et offert un nouveau narratif au metaverse. Les notions de propriété, d’anonymat et le bouleversement vécu dans nos habitudes d’échanger ont offert une légitimité à cette notion alors dystopique d’un monde virtuel réel. Malgré sa popularité auprès de grands noms comme Meta ( anciennement Facebook ) et la naissance de futur grand du secteur comme The Sandbox, le metaverse se cherche encore.

Terrain de jeu aux possibilités théoriquement infinies l’usage des NFT dans le métavers fait également partie du marketing utilisé par les grandes marques pour nous plonger dans ce qui sera, peut-être le futur du divertissement au grand dam de la décentralisation.

La société s’empare des tokens non fongibles

Même si l’hiver crypto s’abat sur nous, certains chiffres parlent d’eux-mêmes. Au-delà des levées de fonds réduites certes mais encore existantes, et de l’implication de certains géants de la finance traditionnelle dans l’écosystème, The Block nous apprenait cette semaine que le nombre de demandes de marques liées aux NFT avait triplé aux US sur l’année 2022.

Même si depuis quelques mois celui-ci a faibli, au mois de mars 2022, ce ne sont pas moins de 1080 demandent de dépôts de marques effectuées sur le sol américain, soit davantage que l’année 2021 dans son intégralité. Cela n’engage pas pour autant le même nombre de projets lancé. Toutefois, ce chiffre montre l’intérêt grandissant des géants de ce monde pour le Web 3 et des technologies telles que les NFT.

Les institutionnels également se tourneraient vers les tokens non fongibles et la blockchain pour résoudre les problèmes de billetteries, de fraudes mais également des problèmes liés aux paiements des taxes. L’utilité des NFT dans toute notre société lance les prémices d’une adoption du grand public. Certains pays et institutions comme le Japon et la Corée du Sud se dirigeant déjà vers une normalisation des tokens non fongibles et du métavers. Dans une société ou le QR code nous mène par le bout du nez, les cas d’utilisation des NFT dans le futur que ce soit à des fins sociétales, commerciales ou encore politique semblent presque une évidence, rongeant petit à petit les rêves de décentralisation de certains. L’adoption de masse pourrait-elle détruire nos rêves de décentralisation ?

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