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Gap présentera sa première collaboration avec Dogamí, des icônes NFT du logo Gap en édition limitée, offrant ainsi aux compagnons virtuels de Dogamí un style américain moderne et des objets à porter in-game. DOGAMÍ, la marque leader française en matière de NFT, va lancer sa toute première collaboration avec la marque de mode américaine emblématique, […]
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Otherside, le tant attendu metaverse de Yuga Labs, est désormais ouvert et opérationnel. Ainsi, près de 4500 utilisateurs ont déjà testé le jeu vidéo, entamant la première phase de leur périple de l’autre côté. À l’heure actuelle, seuls les détenteurs d’un token non fongible (NFT) de terrain d’Otherside ont pu y accéder.
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À quand la fin des actes crypto-malveillants ? – Nombreux sont les écosystèmes liés aux cryptomonnaies qui font en permanence face aux hackers. DeFi, NFT ou Play2Earn : aucun n’est à l’abri d’être la cible d’un attaquant malveillant. La dernière attaque en date a ciblé le service Premint, entraînant la perte de centaines de NFT.
Premint est un service dédié aux créateurs de NFT. Celui-ci leur permet de créer des listes d’adresses qui peuvent, par la suite, être utilisées dans le cadre d’une white list ou d’un tirage au sort.
Au total, Premint comptabilise plus de 12 000 projets clients et plus de 2 millions d’utilisateurs depuis sa création. Un succès qui n’aura pas manqué d’attirer l’attention d’utilisateurs malveillants.
En effet, le dimanche 17 juillet, les équipes de Premint ont alerté leur communauté qu’une attaque avait été perpétuée contre le projet, le 16 juillet.
Selon les informations dévoilées, l’attaquant aurait réussi à modifier un fichier du service Premint. Cette modification lui a permis de présenter à tous les utilisateurs allant sur le site un popup de connexion vérolé. De ce fait, si un utilisateur avait le malheur de connecter son portefeuille au site, alors l’attaquant était en mesure de dérober ses précieux NFT.
Suite à cet incident, le site a été mis hors ligne, le temps de corriger la faille et de mener de plus amples vérifications de sécurité. Tôt ce matin, aux alentours de 4 h, Premint a annoncé la reprise de son service :
« La connexion à PREMINT est sûre. Vous verrez un écran de confirmation de signature sans gas lorsque vous connecterez votre portefeuille. Nous ne demandons jamais, au grand jamais, d’accès à une transaction et vous ne verrez jamais, au grand jamais, de gazs associé à la connexion à PREMINT. »
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Suite à cette attaque, de nombreux internautes sont partis sur la trace de l’attaquant. C’est notamment le cas de @NFTherder qui a publié ses découvertes sur Twitter.
Selon ses analyses, plus de 317 transactions impliquant des NFT peuvent être reliées à l’attaque. Au total, la valeur du butin dérobé par l’attaquant s’élèverait à plus de 500 000 dollars en NFT. Sans grande surprise, les NFT dérobés ont directement été revendus.
Parmi les NFT dérobés, nous retrouvons 13 Otherdeeds du métavers de Yuga Labs, 22 God Hates NFTees et 4 Imaginary Ones.
De surcroît, le NFT Bored Ape Yacht Club 3613 a, semblerait-il, aussi été compromis. Celui-ci a rapidement été revendu pour la modique somme de 90 ETH, soit 133 000 dollars.
En parallèle avec les hacks visant les projets, de plus en plus d’attaquants tentent de s’attaquer directement aux utilisateurs. Effectivement, nous avons vu une recrudescence d’arnaques diverses et variés sur Twitter.
Les hacks sont des événements malheureux, mais ils ne doivent pas vous arrêter dans votre aventure crypto. N’attendez pas pour commencer à accumuler le roi des cryptomonnaies. Inscrivez-vous dès maintenant sur la plateforme LiteBit, vous recevrez 20€ en cadeau de bienvenue (lien affilié).
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Le jeu de fantasy football Sorare conclut un accord avec la Lega Serie A, la plus importante division du football italien. Les cartes NFT des joueurs des 18 équipes qui composent cette ligue débarqueront donc sur la plateforme, dès la saison 2022-2023.
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Les singes à l’assaut du metaverse – Yuga Labs est de loin le studio de création de NFT le plus emblématique de l’écosystème. En parallèle avec ses collections de NFT, celui-ci travaille activement à la création d’un metaverse appelé Otherside. Quelque 4 300 utilisateurs ont pu explorer en avant-première cet univers virtuel dans le cadre d’une démo.
Otherside, le tant attendu metaverse mis au point par Yuga Labs, a brièvement ouvert ses portes. En effet, quelques 4 300 utilisateurs ont pu accéder à une démo du jeu, le samedi 16 juillet.
Cette démo les a amenés dans une zone appelée « Marais biogénique » qui constitue le centre du monde d’Otherside. C’est également dans cette zone que les détenteurs de parcelles de terrain Otherdeeds pourront retrouver leurs terres.
En pratique, seuls les détenteurs de NFT Yuga Labs, à savoir les Bored Apes, Mutant Apes et autres Otherdeeds ont pu participer à cette démo.
Quelques heures après la démo, Yuga Labs a dévoilé le light paper du projet. Celui-ci aspire à « communiquer et d’expliquer les principes de la plateforme, les capacités de ses développeurs et les possibilités de co-création de la communauté ».
D’après le light paper, Yuga Labs compte bien impliquer la communauté dans la création de son metaverse :
« Nous souhaitons encourager, responsabiliser et reconnaître l’expression, la créativité et l’ingéniosité de la communauté des contributeurs d’Otherside. »
Pour ce faire, Yuga Labs a mis au point un kit de développement. Effectivement, l’Otherside Development Kit permet aux développeurs de participer à la création d’Otherside :
« Les développeurs et les voyageurs pourront se salir les mains en utilisant et en donnant leur avis sur les kits de développement logiciel (SDK). Les joueurs plus occasionnels pourront utiliser les outils de construction du jeu pour leur plus grand plaisir. »
Par exemple, les développeurs et artistes pourront créer des objets dans Otherside, suivant les standards Open Object. Ces derniers permettent de rendre interopérables les objets créés aussi bien sur Otherside que sur les autres métavers respectant ce standard.
Au-delà de la technique, ce light paper nous permet de grappiller quelques informations supplémentaires sur l’univers d’Otherside.
A vrai dire, Yuga Labs a dévoilé le premier arc narratif de son jeu, intitulé « Voyager Journey » :
« Il s’agit d’une expérience de jeu narrative qui introduira et éduquera les joueurs sur les principes fondamentaux de la participation à Otherside. »
De surcroît, tous les participants à ces étapes seront éligibles à des incitations supplémentaires liées à Otherside. Évidemment, la démo de samedi était la première de ces étapes.
Dans un premier temps, ce voyage narratif se fera par le biais de plusieurs démonstrations techniques. Cela permet à la fois aux joueurs de découvrir le jeu qu’aux développeurs d’identifier les limites de leur technologie.
Ce premier arc narratif sera suivi de 10 autres arcs déjà imaginés par Yuga Labs. Les détails de ces arcs supplémentaires seront révélés au fur et à mesure.
Pour réaliser son metaverse, Yuga Labs s’est associé au projet Improbable pour tirer parti de sa technologie M². Cette technologie permet de réunir plus de 10 000 participants en simultané avec des avatars personnalisables.
Celle-ci est d’ores et déjà utilisée par de nombreux géants du jeu vidéo, tels que 2K, Activision Blizzard ou encore EA.
En mai dernier, Yuga Labs a poussé la blockchain Ethereum dans ses derniers retranchements avec le lancement de ses NFT Otherdeeds. La congestion fut telle que Yuga Labs s’est engagée à rembourser les frais de transaction de ses utilisateurs lésés.
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Le metaverse Otherside des Bored Ape Yacht Club est l’un des plus attendus de l’industrie crypto. Première étape avant son déploiement, sa démo technique a rassemblé plus de 4500 utilisateurs. Un premier essai qui a convaincu les utilisateurs ! Une démo technique couronnée de succès Ce sont plus de 4500 personnes qui ont participé à cette première virée dans le metaverse Otherside de la franchise à succès BAYC. Cette première étape consistait en une démo technique pour tester les capacités techniques du metaverse tant attendu. Pour rappel, les NFT des parcelles Otherdeed avaient rencontré un franc succès lors de leur […]
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Escalade – Ryder Ripps surenchérit, après que Yuga Labs ait déposé une plainte, qui vise à empêcher l’artiste de faire plus de tort à la collection NFT Bored Ape Yacht Club (BAYC).
100 milliards de dollars : un montant qui dépasse largement le PIB annuel de plusieurs pays. L’artiste Ryder Ripps aurait pourtant indiqué à ses avocats, qu’il n’accepterait le règlement du litige qui l’oppose à Yuga Labs, qu’à ce prix.
Le message véhiculé par l’évocation de cette somme délirante, est néanmoins clair. Ryder Ripps n’a pas l’intention de déposer les armes, après que Yuga Labs ait déposé plainte contre l’artiste, au mois de juin dernier. L’entreprise reproche à Ryder Ripps, d’inonder le marché des NFT RR/BAYC, qui ne seraient que des copies des BAYC.
Yuga Labs espère faire mal au portefeuille de son adversaire, à travers une condamnation en paiement de dommages et intérêts, et obtenir une décision de la Cour qui empêcherait l’artiste et ses NFT, de nuire aux intérêts économiques de l’entreprise à l’avenir.
Ryder Ripps continue de jouer la provocation, en exigeant ces 100 milliards de dollars. La bataille judiciaire, si elle a effectivement lieu, promet d’être distrayante, à défaut d’être intéressante pour les non férus de droit.
Non content d’arroser la cryptosphère de NFT RR/BAYC pour porter préjudice à la collection concurrente, l’artiste avait émis des accusations graves contre les BAYC, en soutenant une thèse culottée, qui associe la collection NFT aux nazis.
Poussé à bout, Yuga Labs a dû sortir de son silence pour réfuter ces allégations, que l’entreprise a tout simplement qualifiées de « conneries ».
Ryder Ripps a fait appel à l’expertise de Louis Tompros du cabinet d’avocats Wilmer Hale, pour défendre ses intérêts, dans le procès à venir.
Louis Tompros est connu pour avoir représenté Matt Furie, le créateur de Pepe the Frog, dans ses bras de fer judiciaires contre les organisations d’extrême droite, qui se seraient servis de la grenouille comme un mème raciste et suprématiste.
Yuga Labs a montré qu’il est bien décidé à défendre la rareté des Bored Ape Yacht Club. Avec ses déclarations, Ryder Ripps avive les passions entre ses partisans et la communauté BAYC. L’artiste bravade pour le moment, mais a-t-il des épaules suffisamment solides pour aller jusqu’au bout d’un procès, qui risque de lui coûter cher ?
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Pluie cryptos – L’entreprise de télécommunication sud-coréenne SK Telekom pourrait fournir un levier de développement à l’adoption des actifs numériques. Elle créerait alors un portefeuille web3 destiné aux téléphones de ses clients.
Les actifs numériques, reposant sur une blockchain, pourraient bientôt atterrir dans les téléphones des clients de SK Telekom, le géant sud-coréen de la téléphonie mobile.
Avec ses 30 millions d’abonnés recensés en décembre de l’année dernière, l’entreprise de télécommunication se lance dans un nouveau projet, qui a le potentiel d’arroser 58 % de la population du pays, avec des actifs numériques.
Selon un communiqué du 11 juillet 2022, SK Telekom a signé un accord de partenariat avec les entreprises blockchain, AhnLab Blockchain Company et Atomix Lab. Toutes collaborent pour le développement d’un portefeuille web3.
Conscient des évolutions des sensibilités des clients envers leurs informations personnelles, SK Telekom poursuit son expansion dans le web3, un espace « où les utilisateurs possèdent et gèrent directement toutes les données », souligne Oh Se-hyeon, responsable de l’unité en charge des actifs numériques dans l’entreprise.
SK Telekom projette à cet effet, d’exploiter le potentiel de la blockchain. L’objectif ? Vérifier les informations d’identification, en particulier celles qui sont liées aux adhésions et aux certifications.
Ce portefeuille web3 servira donc au transfert, à la réception et au stockage de divers jetons. Les Soulbound Tokens qui sont des tokens non fongibles (NFT) qui ne peuvent pas être échangés seront également pris en charge. Leur fonction est de fournir des informations d’identification.
Plus sécurisés et plus pratiques que les portefeuilles traditionnels, à en croire le PDG d’Atomrigs Lab, Cheong Woo-hyeon, ce wallet de SK Telekom offre à ses abonnés, un « point de contact » aux diverses applications décentralisées qui composent le web3.
Alors que les autorités sud-coréennes peuvent faire preuve d’une certaine hostilité contre le secteur, exerçant une forte pression sur des cryptomonnaies comme le Litecoin (LTC), des entreprises à l’instar de SK Telekom, continuent néanmoins d’écrire l’avenir des actifs numériques dans le pays.
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Alléger le navire – OpenSea débarque une grande partie de son personnel, et emboite le pas aux bourses d’échanges de cryptomonnaies majeures comme Coinbase ou Gemini, des leaders de leur secteur qui n’ont pas pu résister à l’assaut des ours.
Le cœur du sujet aurait pu être résumé en une seule phrase. La brièveté violerait néanmoins les règles du politiquement correct, pour ce type de discours. Le cofondateur et le PDG d’OpenSea, Devin Finzer, a partagé dans un tweet du 14 juillet dernier, une capture d’un long communiqué diffusé à l’interne, annonçant un licenciement massif, qui peut toucher jusqu’à 20 % du personnel de l’entreprise.
La page LinkedIn d’OpenSea affiche actuellement 774 employés. Calculette en main, l’entreprise pourrait ainsi être contrainte de remercier jusqu’à environ 150 de ses collaborateurs.
Maigre consolation ou compensation largement suffisante pour mettre du baume au cœur, les personnes concernées recevront une indemnité de départ, et continueront de bénéficier de leur assurance maladie, jusqu’en 2023. L’entreprise leur offre en sus, une possibilité d’ « acquisition accélérée d’actions ».
Ces actions ont au moins le mérite d’être plus concrètes, que des « Ils nous manqueront » ou des « ils feront toujours partie de notre histoire et de notre communauté », paroles mielleuses, mais que paroles et paroles et paroles.
Le navire prend l’eau, et la direction doit prendre des mesures drastiques pour éviter qu’OpenSea ne chavire. L’hiver crypto fait fi des beaux discours institutionnels ou commerciaux des entreprises, se félicitant d’être le leader de leur secteur.
Les marchés baissiers, combinés à « une large instabilité macroéconomique » n’ont pas épargné OpenSea. Les « changements » douloureux opérés actuellement, sont censés augmenter la résistance de l’entreprise face à « divers scénarios d’hiver crypto ». OpenSea estime ou espère, qu’il n’aura plus à « passer par ce processus » de licenciement en masse à l’avenir.
La responsabilité incomberait ainsi aux ours et aux conséquences de la guerre en Ukraine. Les coupables semblent tout trouvés, mais le conditionnel est de mise.
Le contexte actuel semble surtout mettre en difficulté les entreprises qui se sont engagées sur la voie de l’hypercroissance dans les périodes fastes, piégés par l’illusion de l’existence d’une corrélation mécanique, entre une augmentation de l’effectif et de la performance financière.
Même les plus beaux chandeliers verts sur les marchés, ont une fin. L’équipe d’OpenSea, à qui le cofondateur de l’entreprise, Alex Atallah, a confié les rênes de la société dans ses adieux, doit retenir la leçon.
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L’article OpenSea à la dérive – 20% des employés sur le départ est apparu en premier sur Journal du Coin.
En pleine tempête baissière, les rumeurs et le FUD se déchaînent sur l’écosystème crypto. Victime collatérale de la confusion des esprits, l’exchange KuCoin en a récemment fait les frais à son grand désarroi. Une campagne de diffamation d’une ampleur telle qu’elle exigeait une réaction forte. C’est dans les pages du Journal du Coin que Johnny Lyu, le CEO en personne, a tenu à désamorcer une situation explosive dans un entretien exclusif.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Kucoin.
Avant de lancer KuCoin, j’ai travaillé dans les secteurs du commerce électronique, de l’automobile et du luxe pendant de nombreuses années. Fin 2017, j’ai fait partie des co-fondateurs de KuCoin. À cette époque, j’étais en charge du “Business Development”, du suivi des cours et de l’investissement. Puis, en mars 2020, j’ai été nommé au poste de PDG de KuCoin Global. Depuis, je suis responsable des opérations quotidiennes de KuCoin Spot, KuCoin Futures, KuCoin Earn et de nombreux autres produits.
En tant que maximaliste du bitcoin, le BTC est le premier actif numérique de mon portefeuille. Je possède aussi des ETH, des KCS et d’autres altcoins grand public. En plus de détenir des cryptomonnaies, je suis curieux des nouveautés du secteur, comme l’espace métavers où j’achète occasionnellement des NFTs ou d’autres actifs virtuels qui m’intéressent. Ainsi, on peut clairement dire que je suis un holder plutôt qu’un trader. Acheter et conserver est ma stratégie d’investissement.
Derrière KuCoin se trouvent deux geeks qui ont adopté la blockchain très tôt. Ayant commencé à coder à l’âge de 8 ans et fondé sa première startup à l’âge de 16 ans, Michael (Gan) a immédiatement commencé à miner des BTC lorsqu’il a entendu parler du bitcoin par son patron Eric (Don) en 2012. Mais lorsqu’il a essayé d’en vendre quelques-uns sur Mt.Gox, il a découvert que ce qui était le plus grand exchange du monde à l’époque était difficile à utiliser pour les débutants.
Constatant que l’adoption de la technologie blockchain se confirmait, ceux qui deviendraient les fondateurs de KuCoin ont réalisé qu’elle était en train de remodeler le système financier pour en faire un système qui ne servirait pas seulement les plus riches, mais tout le monde, y compris les moins éduqués, les chômeurs et les personnes non bancarisées. Ainsi, à la fin de l’année 2013, ils ont écrit les premiers morceaux de code de KuCoin dans un café, posant les bases d’une bourse populaire qui permettrait à tous de s’impliquer dans la crypto.
L’effondrement de Terra est sans aucun doute, l’un des événements les plus tragiques que notre jeune industrie ait connu. Nous voyons d’importantes sociétés de cryptomonnaies subir le même sort, de 3AC’s à Celsius.
La faillite de Terra et ses effets d’entraînement ont posé un dur défi à l’ensemble du secteur crypto. Cela a déclenché un nouvel hiver cryptographique qui pourrait bien se prolonger. La leçon principale que nous avons tirée de cet événement tragique est que la réglementation est nécessaire pour contrôler le risque systémique, et doit par conséquent être améliorée. Associée à l’éducation, elle permettra au marché des cryptomonnaies d’aller plus loin. Dans le même temps, ces échecs nous rappellent une fois de plus la prépondérance du risque dans l’investissement. La gestion des risques devrait être une priorité pour les investisseurs et les fondateurs de startups liées à la blockchain. En effet, si les utilisateurs subissent des pertes en raison d’une mauvaise gestion de ces risques, les dirigeants de ces entreprises portent une responsabilité incontestable.
À la suite de ces événements tragiques, l’ensemble de l’écosystème a été remis en question. Depuis les stablecoins jusqu’aux échanges centralisés, les particuliers ont scruté les signes de faiblesse.
KuCoin est une plateforme de trading crypto définitivement centrée sur le client. Ainsi, afin d’aider les investisseurs à mieux gérer leurs risques d’investissement, nous avons récemment lancé la série d’activités éducatives #ThinkBeforeYouInvest. Une initiative qui aide les débutants en crypto à trouver des conseils utiles, à identifier les escroqueries et à apprendre à faire leurs propres recherches. D’autres activités éducatives seront lancées au cours du second semestre de l’année.
Pas seulement KuCoin ! Nous avons remarqué qu’il y a eu beaucoup de rumeurs dans l’industrie récemment. De nombreuses entreprises en ont fait les frais. Depuis notre arrivée, nous avons déjà traversé quelques cycles de marché haussier et baissier. Ainsi, nous trouvons que le marché baissier est toujours un test de la confiance du marché. Il est naturel que les gens soient plus sensibles dans ce genre d’environnement. Nous ne sommes pas surpris par ces rumeurs. Mais nous ne laisserons pas non plus ces fausses nouvelles négatives interrompre notre formidable développement. Les rumeurs s’arrêtent là où la sagesse commence. Celles concernant KuCoin récemment ont été démontrées fausses, et les détracteurs sont désormais aphones face aux preuves exposées. Il suffit d’examiner notre rapport H1 2022 publié la semaine dernière. Ce faisant, je crois que tout le monde aura une vision claire et sera même impressionné par la régularité de nos performances.
Dans notre rapport d’évaluation du premier semestre, nous pouvons clairement voir les points saillants avec les chiffres-clés de la croissance et les principales étapes franchies au cours des six derniers mois. C’est la preuve directe que KuCoin se porte bien, même si le marché est un peu baissier. Nous continuons de développer nos activités et explorons en profondeur le Web 3.0 et la décentralisation. Ce faisant, nous observons également une plus grande croissance du nombre d’utilisateurs et du volume de transactions. L’abaissement du seuil d’entrée pour toutes les catégories d’investisseurs est une bonne façon de se développer dans cette industrie.
Les chiffres ne mentiront jamais. Je suis tout à fait disposé à partager à nouveau certains aspects importants de nos réalisations au cours du premier semestre 2022. Le volume d’échange de KuCoin, y compris les échanges au comptant et à terme, a dépassé 2 000 milliards de dollars, soit une augmentation de 180 % par rapport à la même période en 2021. Nous battons notre record de volume quotidien le plus élevé presque tous les trimestres. En mai dernier, le volume quotidien au comptant a culminé à 11 milliards de dollars, et le volume quotidien le plus élevé de contrats à terme était proche de 23 milliards de dollars.
Un mouvement global vers la régulation en Occident était déjà en cours avant ces événements tragiques. Il ne fait aucun doute que ce phénomène va s’accélérer dans les prochains mois, si la situation macroéconomique le permet.
La réglementation est un facteur important pour accroître la maturité du marché crypto. À l’heure actuelle, il n’existe pas de systèmes ou de normes réglementaires efficaces et généralisées à tous les pays concernant les actifs numériques. Cela a conduit à des approches variées de la réglementation des cryptomonnaies à l’international. En tant que participant et promoteur de l’écosystème blockchain, nous pensons qu’une réglementation raisonnable peut permettre à la cryptomonnaie d’aller plus loin et de s’inscrire dans le temps long.
Les régions européennes, y compris le marché français, ont toujours été les principaux moteurs de l’adoption des cryptos. Ce sont les zones clés du développement de l’activité de KuCoin.
Ainsi, notre stratégie principale est d’abaisser le seuil d’entrée des utilisateurs en améliorant nos produits et services afin de nous implanter profondément et durablement dans cette région du globe. Par exemple, le 23 mars, KuCoin a lancé les paiements SEPA afin de fournir aux Européens l’expérience d’échange fiat-crypto la plus simple possible. Grâce aux transferts SEPA, les utilisateurs peuvent déposer des euros sur leur compte d’échange pour tout achat lié aux cryptomonnaies via le canal « Fast Buy ». En juin, des paires d’échange de fiats en euros ont été ajoutées sur le marché KuCoin Spot. Cela permet aux utilisateurs locaux de se lancer facilement dans la crypto.
Nous disposons d’une solide communauté officielle, y compris Telegram, Twitter et d’autres réseaux sociaux en plusieurs langues. Nous proposons également différentes versions du site web et de l’application mobile KuCoin qui couvrent presque toutes les principales langues européennes afin de supprimer les barrières linguistiques. En outre, nous recrutons des talents dans de nombreux pays européens afin d’étendre nos activités locales de manière plus efficace. Ainsi, nous avons une forte confiance et une stratégie claire pour qu’à l’avenir, KuCoin augmente sa présence dans cette région.
En tant que pionnier et constructeur de l’industrie, KuCoin présente des avantages uniques qui ont sû conquérir le cœur des différents profils d’utilisateurs, mais je veux personnellement partager deux points :
Le premier point réunit notre positionnement, notre mission et notre vision. En tant que « People’s exchange », les utilisateurs sont notre première priorité. Notre mission est simple : faciliter la libre circulation mondiale de la valeur numérique en construisant une plateforme sécurisée et facile à utiliser pour toutes les catégories d’investisseurs. La vision de KuCoin est que le progrès technologique va révolutionner la façon dont nous créons et distribuons la valeur, et qu’un jour tout le monde s’impliquera dans la crypto. Un positionnement centré sur l’utilisateur, une mission claire et une vision ambitieuse, trois éléments qui constituent la clé de notre compétitivité.
Deuxièmement, nos produits ! Nous sommes l’un des échanges mondiaux qui propose le plus de projets crypto, véritablement la maison des joyaux cachés. Grâce à notre équipe d’analystes professionnels de haute qualité, KuCoin compte actuellement plus de 700 projets et plus de 1200 paires de négociation, offrant aux utilisateurs une multitude d’options d’investissement. En plus du trading au comptant, à terme et sur marge, nous proposons la sélection la plus abondante de produits d’investissement dans l’industrie. Le lending, les robots de trading, le staking, le Cloud Mining, Spotlight, BurningDrop, KuCoin Win, les produits NFT Windvane et Wonderland, la liste est longue … Ils permettent aux utilisateurs de gagner un revenu passif en faisant les choix les plus appropriés dans différents marchés. Une opportunité qui est sans aucun doute l’un des puissants stimulants qui nous permet de continuer à percer dans le marché baissier.
Merci Mr Lyu d’avoir choisi le Journal du Coin pour vous adresser aux cryptophiles français.
L’article KuCoin en faillite ? Le PDG Johnny Lyu en personne vient debunker le FUD est apparu en premier sur Journal du Coin.