La tournée européenne « Solana Hacker House » débarque à Paris le 15 juillet

Dans l’écosystème blockchain, la technologie Solana a longtemps fait figure d’éternelle outsider. Arrivé en 2020, la plateforme basée sur la « proof of history » ne cesse de faire des émules depuis. Actuellement solidement ancré parmi les leaders de l’écosystème, le protocole multiplie les initiatives pour convertir les forces vives du développement à son approche unique. Dans cette démarche se tiendra à Paris le 15 juillet un évènement sur 5 jours à leur attention particulière. La Solana Hacker House vous ouvre ses portes. Visite guidée.

Un rendez-vous pour les développeurs crypto

Du vendredi 15 juillet 2022 à 10 heures, au mardi 19 juillet à 20 heures, Solana et son partenaire Jump Hacker House vous attendent de pied ferme. Au programme de la conférence, 5 jours intenses rythmés par des ateliers et des conférences à forte valeur crypto ajoutée. En effet, voici dans le désordre un petit florilège de ce à quoi les chanceux participants peuvent s’attendre :

Un programme éducatif et informatif autour de la DeFi, des NFTs. On y abordera aussi comment se lancer sur Solana.Des présentations de partenaires majeurs impliqués dans l’écosystème. Beaucoup de temps pour travailler sur votre projet personnel, rencontrer de nouvelles personnes, et pourquoi pas trouver des talents pour intégrer votre propre équipe, ou encore en rejoindre une existante. Des conseils et un soutien de la part des principaux ingénieurs du Solana Lab, ainsi qu’une journée de démonstration à la fin du séminaire pour concourir à des subventions locales. L’opportunité de connaître les offres d’emploi exclusives de l’écosystème Solana. Un lieu doté d’une bonne connexion WiFi, d’une alimentation électrique et de postes de travail, ainsi que de buffets pour se restaurer et de salons pour se détendre. Des événements exclusifs en soirée, ouverts à tous les participants.

Pour les infos, inscrivez vous au Twitter Solana

Solana, une technologie à (re)découvrir

D’aucun diront que ce poids lourd de la blockchain est déjà scruté et documenté sous toutes les coutures. Mais cette conférence pourrait bien représenter une chance unique d’explorer les capacités de la plateforme. En effet, la présence des fondateurs du protocole est un évènement en soi. Accompagnés d’ingénieurs piliers de l’écosystème, ils sauront bousculer nombre d’idées reçues concernant Solana.

Pour mémoire, dès son apparition, le projet avait défrayé la chronique. Ceci en affichant un nombre de transaction par seconde vertigineux pour l’époque. Prouesse rendue possible grâce à son horloge avant le consensus, la « Proof of history » ainsi que son système de parallélisation Sealevel, la technologie est immédiatement plébiscitée par certains piliers de l’économie blockchain. Ainsi, un certain Sam Bankman Fried va bâtir son fameux DEX Serum sur cette architecture d’un nouveau genre.

Solana et Jump Hacker House organisent une conférence de 5 jours à destination des développeurs.

Ces hautes performances expliquent en grande partie le succès rencontré par le projet depuis son lancement. Pourtant, l’intérêt de la technologie Solana se déploie bien au-delà de ces qualités intrinsèques. L’écosystème en perpétuel développement en témoigne. Du 15 au 19 juillet, la galaxie Solana vient à la rencontre de toutes celles et ceux qui aimeraient s’y frotter, et pourquoi pas s’y lancer. Pour obtenir une place, rendez-vous sur le site officiel d’inscription. Et pour ne rien rater des annonces et des actualités, pensez à vous abonner aux divers réseaux sociaux, Twitter, Telegram en tête.

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Les NFT sont-ils morts ? Panique sur le web 3

Est-ce la fin du début, ou le début de la fin ? – Alors que la semaine dernière, nous faisions le constat d’un metaverse en pleine croissance propulsé par des entreprises internationales telles que Microsoft, Huobi ou encore Meta, le son de cloches n’est pas le même pour les jetons non fongibles. En effet, emportés par la chute des cryptomonnaies avec, en tête, celle de Bitcoin, le marché des NFT fait la moue et les investisseurs le rechignent. Par voix de fait, certains grands médias public, titrent – malgré leur intérêt parfois non avoué pour le méchant web 3 qui fait leurs gros titres – que les NFT sont morts. Vérité ou bien blasphème ? Sommes-nous dans une bulle qui va nous éclater en pleine figure nous laissant un gout de savon amer dans la bouche ? Au tour du Méta-Hebdo de faire son diagnostic.

Les NFT tombent sur le champ d’honneur

Un début d’année 2022 qui tombe à l’eau

Les NFT ont connu un boom important depuis le début d’année 2021. Il s’est maintenu jusqu’en mai 2022. Ce boom a permis, grâce au développement des cryptomonnaies telles qu’Ethereum et Bitcoin, de développer des écosystèmes dans les meilleures conditions. Les investisseurs se réjouissaient et s’engageaient alors dans des projets prometteurs.

Mais, cette époque semble révolue. En effet, les chiffres sont là. D’après les données de nftgo.io, le marché des NFT n’est plus au sommet de sa forme.

Graphiques représentants le nombre de holders (détenteurs) / traders / buyers (acheteurs) / et sellers (vendeurs) – : nftgo.io

Tout d’abord, le nombre de détenteurs, vendeurs et autres traders de NFT diminue très nettement. Si l’on se penche du côté des acheteurs de NFT (déterminés par les adresses ayant acheté au moins un NFT sur la période) leur nombre est passé de 293 000 le 19 janvier 2022 à 106 271 au 21 juin. Cette diminution est aussi valable pour les vendeurs de NFT. Par conséquent, les transactions et les échanges sont moins nombreux. L’offre et la demande réduisent et les prix des NFT chutent.

Certaines comparaisons sont alors saisissantes. Le premier mai 2022, 118 577 NFT ont été vendus pour un total de 780,4 millions de dollars. Ce sont plus des deux tiers de la capitalisation du marché des NFT sur tout le mois de juin (1 milliard de dollars).

Courbe des indices Blue Chip — Source : nftgo.io

Il est également intéressant d’observer la courbe de l’indice de capitalisation des NFT Blue Chip descendante. Ce terme emprunté à la finance traditionnelle désigne des actions sûres appartenant à de grandes entreprises cotées en bourses. Investir dans leurs actions est synonyme de rendement à venir : c’est un investissement long terme. Le terme NFT Blue Chip va dans ce sens. Il désigne des projets qui remplissent certaines exigences artistiques, techniques et de transparence. Dans ces projets, on retrouve de grandes collections NFT comme : Clone X, les CryptoPunks ou encore les BAYC.

Enfin, la capitalisation du mois de janvier est à l’image de cette chute que nous remarquons tous dans nos portefeuilles. Celle-ci était de 12,6 milliards au mois de janvier 2022, elle est uniquement de 1 milliard de dollars au mois de juin.

Capitalisation boursière et volume de vente des NFT depuis leurs créations en 2017 – Source : nftgo.io

Hack, crash et insécurité ? Le milieu des NFT tombe des nues

Il ne s’agira pas là de faire la liste des projets qui souffrent de ces marchés moroses. Mais, les conséquences de la chute des cryptomonnaies pèsent sur le marché. Au-delà des chiffres et des graphiques, quelques exemples restent alors les symboles de ce mauvais moment à passer.

L’écosystème du jeu move-to-earn StepN en garde d’ailleurs les séquelles et n’arrive pas à panser ses plaies. En effet, les prix des cryptomonnaies de l’écosystème, le GMT et le GST s’écroulent. Ils entraînent dans leur course folle le prix des NFT StepN vendus sur Solana. Le 28 avril, le floor price (prix plancher) était alors de 17 SOL (soit à l’époque presque 1 500 $ environ) pour s’effondrer à 2,15 SOL aujourd’hui, soit environ 66 $.

Évolution du prix plancher des NFT StepN vendus sur Solana Source : Moonly

Dans ce contexte ou certains jouent gros, les esprits s’échauffent. Une atmosphère lourde pèse donc sur la communauté NFT. Yuga Labs, le géant des NFT en a essuyé les pots cassés cette semaine en menant en justice le projet RR/BAYC pâles copies des singes originaux. OpenSea a vu les données de ses utilisateurs être divulguées, revendues par un de ses employés. Cette affaire n’est pas sans salir la réputation de la plateforme NFT. Elle nous rappelle aussi à tous d’être prudents avec les attaques phishing (hameçonnage), fléaux du web 3.

Des projets qui rebondissent

Cependant, certains projets montrent leur capacité de réponse face à l’adversité. C’est le cas d’Axie Infinity qui a su rebondir et affronter les multiples crises. Alors que les jetons principaux de l’écosystème Ronin, l’AXS et le SLP, continuaient lentement de voir leurs prix s’écrouler, le roi des play to earn a vu son DEX (échange décentralisé sur la DeFi) se faire siphonner de 624 millions de dollars. Sky Mavis, maison mère, a su rebondir : le réseau Ronin a été rouvert et ses utilisateurs remboursés.

Dans cette affaire, l’aide de Binance a été précieuse, le géant des cryptomonnaies retrouvant 5,8 millions de dollars volés. L’intérêt de Binance pour les jetons non fongibles ne s’arrête pas à cette bonne action.

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Des NFT qui attirent toujours autant la passion

Kabhy Lame, Luc Besson, La Poste : Binance ne laissera pas tomber les NFT

Binance, dans tout ce drama, semble ne jamais avoir été aussi présent dans le monde des NFT. En témoignent ses partenariats à l’échelle de la France. Nous en retiendrons deux.

Tout d’abord, ce partenariat avec La Poste, soutenu par le CEO de Binance, Changpeng Zao sur ses réseaux sociaux. Le projet de cette collection NFT est simple :

« En collaboration avec Yann Arthus Bertrand, La Poste dévoile une exposition virtuelle baptisée « Visages de France par les facteurs ». Parmi plus de 4000 photographies présentées, 10 ont été transformées en NFTs. L’intégralité des fonds récoltés pour cette mise aux enchères à vocation solidaire sera reversée à la Croix Rouge. »

Collection NFT Visages de France par les facteurs — Source : Binance

La plateforme de cryptomonnaies ne s’arrête pas là puisqu’elle vient également de réaliser un partenariat avec Luc Besson. Ces NFT disponibles à la vente depuis le 1ᵉʳ juillet, vous permettent d’obtenir divers avantages en liens avec le film Music Hole coproduit par Rockstone Films et Luc Besson. Les NFT du film, 12 dessins sur 100 0000 exemplaires, donnent accès à son avant-première le 5 juillet.

NFT USA Yellow ft. Stefano & Fabiansky de la collection Music Hole — Source : Binance

Binance ne s’arrête pas en si bon chemin pour autant. À l’échelle internationale, la plateforme s’est offert quelques partenariats de renom. Cette fin de semaine a, par exemple, été remuée par l’annonce d’un partenariat avec Khaby Lame. Cet influenceur célèbre sur TikTok est fort d’une audience de plus de 143 millions de followers. Son public correspond à plus de deux fois la population française. L’objectif de ce partenariat ? Détruire les clichés associés au web 3 pour lui donner une image accessible. Cette démarche marketing pour Binance donnera finalement lieu à une collaboration autour de NFT.

Le sport tombe définitivement amoureux des NFT

L’époque où les grandes plateformes de cryptomonnaies faisaient de la publicité et du sponsoring lors de grands évènements sportifs n’est pas si lointaine, elle ne se révèle peut-être même pas terminée.

Ainsi retrouvons-nous de nouveau Binance dans un autre partenariat de panache, puisque la plateforme de cryptomonnaies a également annoncé une collaboration avec Cristiano Ronaldo, le footballeur mondialement reconnu.

Kylian M Bappe a, lui aussi, franchi le cap des NFT en s’associant avec Sorare, la licorne française. Les médias mainstream ont su d’ailleurs à ce moment-là remontrer leur amour naissant pour le web 3 et les NFT. Ambassadeur exclusif pour la société et investisseur aux côtés d’Antoine Griezmann, Serena Williams ou encore Gérard Piqué, bien sûr, ce partenariat est une bouffée d’air frais pour le milieu des NFT.

Kylian M Bappe investit dans Sorare, la licorne française

Désolée ! Le crash des NFT, ce n’est pas pour tout de suite

Des NFT qui tombent sous le sens

Si, au lieu de chercher les signes d’effondrement du marché, nous tentions d’avoir un regard optimiste sur les faits. On arriverait presque à trouver quelques indices qui montreraient que les NFT sont, malgré les courbes, sur une pente positive. Non. Les NFT ne sont pas morts, ils ne sont pas une bulle prête à éclater. Certains fonds d’investissement décident même dinvestir dans les NFT pour créer des réserves et de la trésorerie. C’est le cas de la société canadienne Accelerate Financial Technologies qui a également pris la décision de lancer un ETF sur Bitcoin ou sur la finance décentralisée.

Pour Meta, le géant des réseaux sociaux, les NFT tombent aussi sous le sens. Ce dernier souhaite développer l’utilisation des NFT d’Ethereum et de Polygon sur Facebook. Les utilisateurs pourront alors connecter leurs portefeuilles de cryptomonnaies à leur profil Facebook. Les jetons non fongibles pourront ainsi faire office de photo de profil, mais pas seulement. Il sera par ailleurs possible de publier son NFT afin de le partager au plus grand nombre. À présent, ce service est disponible uniquement pour des créateurs américains.

Navdeep Singh, chef de produit chez Meta a communiqué le 30 juin 2022 sur Twitter :

Tweet de Navdeep Singh, chef de produit chez Meta — Source : Twitter

« Nous lançons les NFT sur Facebook ! Excité de partager ce sur quoi j’ai travaillé avec le monde. »

La prochaine étape pour le roi des réseaux sociaux sera donc d’intégrer aussi les NFT de Solana et de Flow. Ce choix pour le Web 3 est stratégique : il vise un déploiement à grande échelle qui permettra une promotion et une adoption des cryptomonnaies au plus grand nombre.

Les NFT sur la route de l’adoption

Tout ça pour dire qu’il faut peut-être alors réfléchir et penser que les NFT existent seulement depuis 2017. Cette technologie encore jeune a été frappée d’un succès foudroyant. Et, malgré tout, cette période baissière glaciale ne ralentit pas pour autant les partenariats qui vont dans le sens d’une adoption massive des cryptomonnaies.

Les NFT apparaissent même tel le remède aux nombreux maux de notre société comme le montrent, par exemple, les propositions des délégations des Jeux Olympiques proposant d’organiser la sécurité des Jeux Olympiques de Paris 2024 sur la blockchain. Force étant de constater que les NFT sont une solution blockchain transparente offrant une sécurité maximale.

L’art numérique n’est pas à ignorer non plus. Certaines galeries d’art deviennent de véritables croqueuses de NFT. De grands artistes s’essayent également au web 3 et même l’Olympia lance sa propre collection de NFT.

Il ne faut par ailleurs pas oublier que les marques sont maintenant multiples à investir dans les NFT. Leur intérêt n’est donc pas de laisser le bateau couler. Facebook, Gucci, Nike, Prada, Snoop Dogg, David Beckham, Matt Shadows, Paris Hilton, Adidas, JP Morgan, autant de marques et de stars qui portent les NFT, objets marketing incontestés du metaverse.

À la question, les NFT sont-ils morts ? Nous répondrons non. De la même manière que Bitcoin, lui aussi n’est toujours pas mort. Certes, l’écosystème n’est pas du plus fringant, mais l’activité autour des NFT est encore florissante. Cette fausse mort des NFT exposée par les médias mainstream apparait comme une supercherie face à l’enthousiasme que suscite le web 3. La question serait plutôt de savoir si les NFT survivront à leurs succès et à l’usage que les médias mainstream en feront.

Vous êtes en droit de ne rien comprendre aux NFT. En revanche, ne pas vous intéresser à cette tendance de fond qui s’inscrit dans la durée est impardonnable ! N’attendez plus pour préparer l’avenir en allant vous créer un compte sur la plateforme Binance, LA référence absolue du secteur (lien affilié).

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The Sandbox veut devenir le Manhattan du Metaverse

Le CEO américain du metaverse Sandbox vient de donner une interview à Insider dans laquelle il donne sa vision du futur pour la plateforme. Il nous explique comment The Sandbox souhaite construire le metaverse du futur. Sandbox résiste bien au bear market À l’occasion du festival NFT.NYC, le CEO américain de The Sandbox a exposé sa vision pour le projet et son sentiment sur le marché actuel. Mathieu Nouzareth nous apprend que le bear market n’a pour l’heure pas trop impacté the Sandbox : The Sandbox n’a pas été réellement impacté, et je pense que c’est parce que nous sommes […]

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La fondation HBAR apporte son soutien au lancement de Dropper sur le réseau Hedera

Place de marché et plateforme de lancement de projets NFT, Dropper sera désormais disponible sur le réseau Hedera. L’intégration permettra aux développeurs de jeux de la plateforme d’utiliser les caractéristiques inédites du réseau pour améliorer leurs différents produits. L’initiative soutenue par la Fondation HBAR contribuera également à accélérer la migration de la communauté des joueurs […]

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Hebdo Crypto #198 – Les actualités Bitcoin et cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 27/06 en bref – L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants. Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur l’actualité de la semaine passée dans lHebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

L’actualité crypto en bref

Celsius bien pire que les banques. En effet, des documents révélés par le Wall Street Journal démontrent une piteuse gestion du risque de la part de Celsius. Prêt non collatéralisé, mauvais ratio actifs/fonds propre, rien ne va.

Le Bridge Ronin renait de ses cendres. En effet, celui-ci vient d’être relancé après 4 mois d’arrêts suite à son hack. De surcroit, les équipes du projet ont annoncé qu’elles rembourseraient l’ensemble des utilisateurs lésés. 

Des fuites chez Opensea. La plateforme d’achat et de vente de NFT Opensea a été la cible d’une fuite de donnée massive. Ainsi, de nombreuses adresses mail ont fuité par le biais d’un de ses sous-traitants. 

Coinbase met fin à Coinbase Pro. Ainsi, l’entreprise a annoncé qu’elle fermerait la plateforme dans la fin de l’année. L’objectif étant de réunir tous les services de Coinbase en un seul et même endroit. 

3,6 milliards de dollars tracés dans l’affaire Terra Luna. Ainsi, un rapport vient de sortir confirmant les soupçons de détournement de fonds. 

Sami et Benoit sont de retour avec Marc Zeller d’Aave et Abdelhamid Bakhta de Onlydust.

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Les 6 métriques de la semaine

200, c’est le nombre de BTC datant de 2010 qui viennent d’être déplacés. Ainsi, 12 ans après avoir été minés, plusieurs adresses ont émis des transferts vers une seule et unique adresse. Le détenteur voudrait-il cash out ses 4 millions de dollars ? 

670 millions de dollars, c’est le montant réclamé par Voyager Digital à Three Arrow Capital. Malheureusement pour le prêteur, 3AC semble éviter tout contact avec ses créanciers. 

480, c’est le nombre de BTC qui viennent d’être achetés par l’entreprise MicroStrategy. Ainsi, celle-ci profite d’une chute des cours pour augmenter le nombre de BTC dans ses caisses. 

1,5 million de dollars, c’est le montant qui a été restitué par le hacker du protocole XCarnival. En pratique, celui-ci avait dérobé 3 millions de dollars. Il est finalement tombé d’accord avec l’équipe pour garder une récompense de 1,5 million de dollars.

100 millions, c’est le montant qui a été dérobé par un attaquant sur le pont Horizon d’Harmony. Cependant, ce dernier ne parait pas enclin à négocier et a entrepris de déplacer les fonds via Tornado Cash pour brouiller les pistes. 

1%, c’est la part des utilisateurs qui détiennent 90% du pouvoir de vote dans les DAO. Ainsi, un rapport de Chainalysis a mis en évidence le manque de décentralisation de la plupart des DAO. 

Tweet de la semaine

Pour le tweet de la semaine, nous allons revenir sur le thread proposé par @Jeffmakvs qui s’est posé la question : Quel exchange a le mieux géré le dernier cycle haussier ?

[#THREAD] Quel exchange a le mieux géré le dernier cycle haussier ?

Au programme :
– une pincée d’actu
– une dose d’analyse #onchain
– le classement des exchanges ayant le plus gros trésor de guerre en #Bitcoin

Bonne lecture
(1/19) pic.twitter.com/EfcLMYfEjr

— Journal du Coin (@LeJournalDuCoin) June 29, 2022

Bonne semaine sur le Journal du Coin !

Hasta la vista, baby ! Vous cherchez un exchange solide, sans fioritures ni KYC ? Inscrivez-vous dès aujourd’hui sur PrimeXBT la plateforme pour trader les cryptos, mais aussi les matières premières et les devises (lien affilié). 

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Axie Infinity (AXS) Origin : des mises à jour en vue d’un lancement mondial

Les jeux fonctionnant grâce au modèle économique P2E (Play-to-Earn) permettent aujourd’hui aux joueurs de gagner de l’argent. Axie Infinity, de l’éditeur Sky Mavis, s’avère être le jeu NFT et Blockchain le plus populaire du moment. Sa version « Origin », lancée en avril 2022, sera d’ailleurs déployée mondialement après quelques mises à jour.

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NFT : 1,8 millions d’utilisateurs d’OpenSea touchés par une violation massive du service messagerie

OpenSea, l’un des plus populaire marketplace de NFT a mis en garde ses utilisateurs. En effet, potentiellement 1,8 millions d’entre eux ont pu recevoir un email d’hameçonnage. Ce risque fait suite à une violation du système de messagerie du géant du Web3.0. OpenSea, valorisé à près de 13 milliards de dollars en janvier 2022, est […]

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NFT et blockchain : l’identité numérique en question

1984… mais en 2022S’identifier formellement sur différents sites internet sans avoir besoin de mot de passe ? Avoir une carte d’identité numérique pour tous les services administratifs sans possibilité de fraude ou d’usurpation ? Voici probablement un des plus grands défis technologiques des années à venir et sûrement un des marchés les plus juteux de la prochaine décennie. Sur le papier, la blockchain permet assez simplement de mettre en place ce type de réseau. Mais qui le contrôle ? À quelles fins ? Où vont nos données personnelles ? Public, privé, centralisé ou décentralisé ? Nous n’allons pas aujourd’hui répondre à toutes ces questions, mais plutôt tenter d’en cerner les enjeux et les perspectives.

L’identification rythme notre vie quotidienne

Essayez de penser à combien de fois par jour, vous avez besoin de vous identifier. Il y a d’abord les services publics comme la santé, les impôts, les services de la Préfecture ou encore les aides gouvernementales (Pôle Emploi, CAF, …). Ensuite, on peut ajouter les services privés quasiment indispensables comme les banques, les assurances ou les mutuelles. Et on pourrait même compléter avec la téléphonie et internet qui sont devenus incontournables dans nos sociétés modernes.

Enfin, il est temps de penser également à nos loisirs et de rajouter les réseaux sociaux, les plateformes diverses et variées d’achat, de vente, de vidéo, de recherche, de courrier électronique, de jeu, de lecture, de musique, une grande partie de notre vie est devenue numérique. Vous imaginez les enjeux ? Et si un seul identifiant permettait de gérer tout ça ?

Une identité unique simplifierait la vie !

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L’intérêt évident de l’administration, des sociétés et des consommateurs pour la blockchain

Pour l’administration, la lutte contre les fraudes et notamment l’usurpation d’identité est bien entendu une priorité. D’où l’intérêt d’un système sécurisé pour délivrer des « titres » officiels et les utiliser pour les différents services en ligne. Pour illustrer la mise en place d’un tel protocole, prenons la direction de l’Inde. Dans l’état du Maharashtra, le Service Administratif Indien (IAS) a travaillé à un Certificat de Caste pour l’octroi de prestations sociales. Shubham Gupta, l’officier chargé du suivi du programme, a déclaré à ce propos :

« Le Web3 amène le concept de démocratisation à un tout autre niveau, dans lequel les données et les informations peuvent non seulement être ouvertement partageables, mais aussi ouvertement infalsifiables. »

Notons que ce service fonctionne sur Polygon et concerne plus d’1 million de personnes. L’Inde a collaboré sur ce programme avec LegiDoc, une société spécialisée dans les documents numériques « inviolables » pour les collectivités et les grandes sociétés. Pour compléter le propos, laissons maintenant la parole à une autre spécialiste, celle que l’on appelle « CryptoMom« .

Le NFT, cet ami qui vous veut du bien

Ancienne banquière, elle est désormais à la tête de sa propre entreprise de conseils et gère également un site de paris sportifs basé sur la blockchain. Véritable icône des réseaux sociaux, Brenda Gentry éclaire un peu plus notre sujet :

« L’idée d’identifications numériques basées sur la blockchain flotte depuis un certain temps, mais elle s’est retrouvée sous les feux de la rampe avec le récent boom des NFT. (…) La mise en œuvre à grande échelle des identifiants numériques prendra du temps, mais je crois fermement que c’est la destination vers laquelle le monde se dirige ».

En effet, un NFT unique permettrait à l’utilisateur d’être protégé et de gagner du temps, tout en garantissant à l’administration et aux sociétés privées un fonctionnement optimisé. Gain de temps, de personnel et baisse des dépenses, ce système serait-il alors la panacée ?

Un spécialiste de la question, chef de projet et cofondateur de LegiDoc apporte un éclairage un peu différent sur la question. Neil Martis imagine plutôt un système dans lequel les utilisateurs seraient en plus les « propriétaires » de leurs données personnelles :

« L’auto-souveraineté est l’un des plus grands avantages des identifiants numériques basés sur la blockchain. (…) Elle permet aux utilisateurs de partager des informations partielles ou sélectives avec leurs fournisseurs de services au lieu de transmettre leur identité complète. »

Comment concilier respect de la vie privée et identification sur la blockchain ?

Les limites de la décentralisation et la question du réseau

Mais dans ce cas-là, qui peut garantir l’authenticité des documents ? Il faut bien que les autorités légales aient un contrôle sur l’émission et la gestion des identifiants ? Peut-on imaginer l’administration d’un pays déléguer complètement un service pareil ? Et ensuite collaborer avec des grandes sociétés pour partager les données et assurer une sorte de KYC (identification) unique à l’échelle planétaire ?

« Si les autorités émettrices ne reconnaissent pas la validité des identifiants de la blockchain, alors ceux-ci ne peuvent pas être utilisés pour profiter de la majorité des services publics. C’est à mon avis la plus grande limite du système. »

La question reste donc entière, d’autant plus que les choix du réseau et de son architecture sont aussi problématiques. Shubham Gupta précise en effet que pour être efficace et fonctionner correctement, il faut maîtriser les frais de gaz. Il ajoute que la scalabilité et la fiabilité sont des facteurs essentiels à l’adoption d’une telle technologie et rappelle non sans ironie « les pannes célèbres de certains réseaux ». Alors, registre distribué ou centralisé ? Le débat est vif chez les spécialistes. Au vu de toutes ces considérations, pour Neil Martis la solution est simple.

« Les identités numériques devraient être gérées et émises par des blockchains publiques hautement décentralisées qui échappent au contrôle de l’État. C’est pourquoi Bitcoin et Ethereum s’imposent comme des choix évidents à cet égard. » 

Nous laisserons à ce professionnel la responsabilité de ses propos, mais il est clair que la question n’est plus seulement technique. Des choix forts seront à faire avant d’arriver à un monde idéal où votre identité sera un simple QR code. Ceci étant dit, ce rêve éveillé pourrait également ressembler à un cauchemar pour les défenseurs des libertés individuelles. D’aucuns voient dans ces avancées technologiques le moyen pour les sociétés et les gouvernements de contrôler la population. On est clairement loin des aspirations libertariennes de Satoshi et des Cypherpunks des origines… Et que dire des monnaies numériques de banques centrales qui seront à coup sûr associées à cette identité ! Big Brother is watching you…mais c’est pour votre bien !

N’en déplaise aux régulateurs, il existe encore des plateformes qui préservent votre vie privée. Inscrivez-vous dès maintenant sur PrimeXBT, l’exchange sans KYC (lien affilié).

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