Warner Music Group à la conquête des jeux blockchain avec Splinterlands

That’s all folks ! – Si l’industrie du disque aurait fort à gagner à investir la blockchain, Warner Music Group (WMG) l’a bien compris. La maison d’édition, dont on connaît l’appétence pour l’écosystème crypto a récemment investi le metaverse de The Sandbox. Le label récidive et annonce maintenant un partenariat avec l’éditeur de jeux blockchain Splinterlands. Alors, après le parc d’attractions musicales virtuelles, un jeu d’arcade play-to-earn des Red Hot ?

La Warner en featuring avec Splinterlands

Le 23 février 2022, WMG a annoncé avoir conclu un partenariat avec le développeur de jeux de cartes à collectionner Splinterlands. En effet, les deux sociétés collaboreront et permettront aux artistes de WMG de créer et de développer des jeux d’arcade sur la blockchain.

Le mois dernier, WMG a fait sa première apparition dans le metaverse et les NFT. L’entreprise a effectivement signé un partenariat avec The Sandbox. De ce fait, les artistes de Warner Music Group auront un nouveau moyen d’engager leurs fans. Dans un communiqué, la directrice du numérique et vice-présidente exécutive du développement commercial chez WMG, semble plutôt enthousiaste.

« En nous associant à Splinterlands pour créer des jeux à tokens personnalisés, nous débloquerons de nouvelles sources de revenus pour nos artistes qui s’intéressent à l’écosystème tout en faisant évoluer le rôle du fandom et de la communauté. »

Oana Ruxandra, directrice du numérique et vice-présidente exécutive du développement commercial chez WMG

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Splinterlands explose les records

Splinterlands a été fondé en 2018 et est le développeur d’un jeu blockchain éponyme. Il s’agit d’un jeu de combat individuel où les joueurs achètent, vendent et échangent librement leurs cartes. Toutes les transactions de ce play-to-earn sont enregistrées sur la blockchain Hive.

Le jeu compte actuellement 1,8 million d’utilisateurs enregistrés, dont 450 000 utilisateurs quotidiens. Splinterlands a récemment dépassé le cap du milliard de batailles. Selon DappRadar, il s’agit du jeu blockchain le plus populaire par rapport au nombre d’utilisateurs au cours des sept derniers jours.

Le co-fondateur et PDG de Splinterlands est ravi de ce partenariat car il offre de multiples opportunités. Des artistes comme Ed Sheeran pourraient en effet attirer pas mal de fans !

« Nous sommes ravis de travailler avec WMG. J’attends avec impatience de nouvelles collaborations à l’intersection des jeux, de la musique, de la crypto, des NFT, de la DeFi et de la blockchain. »

Jesse « Aggroed » Reich, co-fondateur et PDG de Splinterlands

NFT et metaverse pour révolutionner l’industrie du disque

Snoop Dogg a récement lancé sa collection de NFT sur The Sandbox. Cependant les tokens non-fongibles doivent ils se cantonner à n’être que des avatars dans le metaverse ? Les NFT basés sur la musique émergent actuellement dans l’espace crypto. Les premières questions qui viennent à l’esprit sont : quels sont-ils ? Et quelle est leur utilité ?

Les NFT musicaux sont nouveaux sur la scène crypto et ne peuvent pas être définis par une seule définition. Cependant, au niveau le plus élémentaire, ce sont des objets de collection numériques vérifiables, avec un élément central étant l’intégration d’une chanson. Les créateurs et les investisseurs ont commencé à apprécier la nouveauté des NFT musicaux car ils ont détruit les barrières entre les artistes et les fans.

Toutefois, le prix et la popularité des NFT musicaux n’ont pas augmenté tout à fait comme les NFT d’art visuel. Certaines plateformes ont cependant émergé pour offrir une expérience utilisateur plus universelle. Ces plateformes offrent par ailleurs aux créateurs de nouvelles méthodes de monétisation.

On peut dès lors envisager que les marketplaces de NFT musicaux seront les plateformes de streaming de demain. La répartition des droits d’auteurs pourrait aussi être gérée, de manière décentralisée, sur la blockchain. Ainsi, les artistes auraient plus de pouvoir sur leurs œuvres et les fans pourraient être directement impliqués dans le développement de leurs artistes favoris.

Entre les collections NFT signées par les artistes et les concerts dans le metaverse, l’écosystème crypto n’a pas fini de séduire les fans. En attendant une véritable révolution de l’industrie du disque, force est de constater qu’elle se met peu à peu à la page. La musique est-elle l’avenir des tokens non-fongibles ?

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Le marteau n’a pas eu le temps de taper ! Vente de CryptoPunks annulée

Une fois ? Deux fois ? Trooiiiiiiiis.. haaa non, vente annulée ! C’est littéralement ce qu’il vient de se passer pour une vente très attendue de CryptoPunks aux enchères. Le marteau n’aura pas eu le temps de claquer !

Un coup de marteau dans l’eau !

La vente était organisée par le célèbre commissaire-priseur Sotheby’s. Connue pour ses événements de mises aux enchères de biens raffinés, la maison de vente attendait beaucoup de celle-ci.

En effet, un collectionneur privé de CryptoPunk proposait un lot de 104 des plus célèbres NFT (non fongible token) en circulation. Leur estimation totale était de plus de 30 millions de dollars et Sotheby’s espérait que cette vente inspire d’autres amateurs.

Malheureusement le commissaire-priseur a été pris au dépourvu ! Le propriétaire, anonyme, des punks pixellisés a décidé de se retirer quelques heures seulement avant le lancement de l’évènement.

Si elle s’était déroulée aujourd’hui comme prévue, cette opération réalisée par Sotheby’s aurait dû être la plus grande vente aux enchères de NFT de tous les temps. Mais le collectionneur, connu sous le pseudonyme 0x650d sur Twitter a décidé d’annuler au dernier moment, pour des raisons assez obscures.

Il aurait dans un premier temps expliqué son geste par l’envie de faire grandir la renommée des CryptoPunk, tout en jouant un mauvais tour à Sotheby’s.

Il aurait voulu réaliser un « rugpull » (une traction de tapis en traduction littérale), un type d’arnaque dans laquelle un développeur se retire au dernier moment d’un projet. Le but de ce genre de malveillance est de partir avec les fonds avant que le projet ne démarre.

Mais dans cette histoire, les fonds appartiennent déjà au collectionneur, il n’a rien à gagner si ce n’est une certaine publicité. Qu’elle soit bonne ou mauvaise, elle fera parler de lui et de sa collection.

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Coup de pub ou coup de folie ?

Dans un tweet posté un peu plus tard, il s’est défendu en laissant entendre que la raison de ce retrait était liée aux frais de commission de la maison de vente aux enchères.

Quelle que soit la réelle raison, c’est un très beau coup de com’ pour lui, mais un mauvais pour Sotheby’s qui a annoncé cet évènement depuis plus de deux semaines.

Bien que cette vente, totalement dédiée à une collection de NFT soit une première pour elle, la célèbre maison n’en est pas à son coup d’essais.

En effet, elle a déjà vendu pour 100 millions de dollars de NFT en 2021. Ces ventes, couplées à d’autres articles, avaient fait grand bruit, particulièrement avec les enchères liées à 101 NFT du Bored Ape Yatch Club. Ceux-ci s’étaient échangés pour environ 25 millions de dollars, là où Sotheby’s en attendait de 15 à 18 millions.

Ce record aurait pu être battu par les 30 millions estimés pour cette vente de NFT CryptoPunk si elle avait eu lieu comme prévue.

À n’en pas douter, Sotheby’s reproduira ce type d’évènement, et prêtera certainement un plus grand soin à la préparation de la vente afin de ne pas se faire avoir une seconde fois.

Les maisons de vente aux enchères sont aujourd’hui un bon moyen pour faire de belles plus values sur des collections de NFT célèbres. Elles deviennent une alternative aux sites comme OpenSea pour toutes les personnes qui désirent que ces ventes ne soient pas à 100% dématérialisées, ou qui aiment vibrer au son du marteau qui claque dans l’air en même temps que le mot adjugé !

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Monster Energy vise aussi le métaverse

Compte tenu du développement que connait le domaine des NFT, de nombreuses marques de commerce commencent à s’y intéresser de très près. La société de boissons Monster Energy a décidé de rejoindre leur rang. Elle s’aventure dans l’espace des NFT et du métaverse. En effet, elle a déposé des demandes auprès de l’Office américain des […]

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Les NFT s’immiscent dans le code de commerce

La France essaie de rattraper le retard accumulé dans le domaine des NFT… – Les ventes aux enchères publiques de jetons non fongibles (NFT) ont été nombreuses en 2021 : des États-Unis à Taïwan en passant par Hong-kong. Et le phénomène se retrouve également en Europe, avec la célèbre maison de vente aux enchères Christie’s basée à Londres qui a organisé plusieurs ventes publiques de NFT. En France, ces ventes aux enchères publiques étaient jusqu’à présent illégales. Mais, une fois n’est pas coutume, les choses sont enfin sur le point de changer !

Des politiques interpellent sur le manque d’attractivité du marché l’art français

Dès février 2019, la sénatrice Catherine Morin-Desailly avait déposé une proposition de loi visant à moderniser la régulation du marché de l’art, devant le Sénat. La sénatrice avait attiré l’attention sur la nécessité de faire évoluer la loi pour préserver l’attractivité de la France dans ce domaine.

Dans l’exposé des motifs de ce texte, elle insistait sur l’importance de repenser le Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques (CVV), notamment pour élargir le périmètre de ses missions. Elle recommandait cet élargissement afin que le CVV soit en mesure de « mieux soutenir le secteur face aux adaptations rendues nécessaires par les évolutions actuelles – à commencer par les transformations liées au développement du numérique – et futures ».

Après avoir été adopté par le Sénat et l’Assemblée Nationale en première lecture, ce texte est tombé dans les oubliettes pendant deux ans ! C’était sans compter sur la détermination du député Pierre-Yves Bournazel qui l’a, sans doute, fait renaître de ses cendres.

Question à l’Assemblée Nationale publiée au Journal officiel le 15 février 2022 – Source : Assemblée Nationale

Par le biais d’une question écrite à l’AN, le député a alerté sur le flou juridique persistant s’agissant des ventes aux enchères publiques de NFT. À l’heure où les ventes de NFT explosent aux quatre coins du globe, il interroge la Ministre de la Culture sur l’absence de cadre réglementaire applicable à ces ventes. Sa question a été publiée le 15 février 2022 au Journal officiel, alors que le Sénat a adopté un texte en ce sens le 22 février. Hasard, ou coïncidence ? À vous de voir… !

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Les ventes aux enchères publiques de NFT bientôt possibles en France

Jusqu’à présent l’article L. 320-1 alinéa 1 du Code de commerce était rédigé de la façon suivante :

« Les ventes aux enchères publiques de meubles et d’effets mobiliers corporels sont régies par le présent titre. »

Article L.320-1, al 1 du Code de commerce (version actuelle)

Ainsi, les NFT étant des biens mobiliers incorporels ils ne pouvaient pas être régis par les dispositions applicables aux ventes aux enchères publiques. Sans être expressément exclus, les NFT ne pouvaient pas pour autant entrer dans le champ d’application du texte. Ainsi, ce flou juridique constituait un certain frein aux ventes aux enchères publiques de NFT sur le territoire français.

Mais, étonnamment le Sénat vient de créer la surprise ! En effet, alors que le calendrier parlementaire doit s’interrompre le 27 février en raison des élections présidentielles à venir, il vient d’adopter la proposition de loi concernant les NFT en seconde lecture.

Sans doute grâce à l’impulsion donnée par le député Pierre-Yves Bournazel, le texte déposé en 2019 par Catherine Morin-Desailly vient d’obtenir l’approbation du Sénat en seconde lecture. Dès lors, l’article L. 320-1, alinéa 1 du Code de commerce devrait être modifié afin d’inclure les NFT :

« Les ventes aux enchères publiques de meubles sont régies par le présent titre, sous réserve des dispositions particulières à la vente de certains meubles incorporels. »

Article L.320-1 al 1 du Code de commerce (version de la proposition de loi du 22 février 2022)

Il vaut mieux tard que jamais, dit-on ! C’est un petit pas, mais à la veille du salon « Paris NFT Day » qui doit se tenir à Paris en avril prochain, il est important que le législateur français cesse de nier l’existence des NFT.

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The Metaverse Opportunity for Artists

With contributions from Filipino-American rapper Allan Pineda Lindo, the First Mint Fund helps mint NFTs for aspiring artists in Southeast Asia. Leah Callon-Butler meets volunteer-manager AJ Dimarucot.

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Un musée embrasse la blockchain – Un tableau de Klimt proposé sous forme de NFT

« Chaque baiser est un tremblement de terre ! » – Comme nous en parlions il n’y a pas si longtemps, les beaux arts s’invitent sur la blockchain ces derniers temps. Le célèbre tableau centenaire du peintre autrichien Gustav Klimt, « Le baiser », en est l’illustration. En effet, le musée du Belvédère de Vienne, qui conserve l’œuvre depuis 1908 a décidé d’en faire des NFT.

Les NFT, renaissance de l’attrait artistique

Depuis le début du siècle, des changements sismiques dans les comportements numériques touchent les galeries d’art. Les incertitudes économiques et le besoin persistant d’exclusivité ont amené les collectionneurs vers de nouveaux horizons. La pandémie de Covid-19 qui dure depuis 2020 n’a pas arrangé les choses. Effectivement, la convergence humaine dans les lieux physiques a considérablement diminué, pour ne pas dire qu’elle a disparu.

Il faut aussi reconnaître que les galeries d’art facturent des frais importants aux acheteurs comme aux vendeurs. De plus, l’absence d’historique sur les prix de vente et l’anonymat des vendeurs rendent pratiquement impossible l’estimation réaliste d’une côte. La technologie NFT peut résoudre ces problèmes. La blockchain permet en effet de facilement connaître la provenance et de vérifier l’authenticité d’une œuvre. Cette technologie permet aussi une véritable traçabilité des transactions effectuées tout en resserrant les liens entre artistes, vendeurs et acheteurs.

L’espace NFT a connu une forte croissance au cours des douze derniers mois. La plateforme OpenSea, leader du secteur, a enregistré un volume de transactions colossal de quatre milliards de dollars en août. Ce qui représentait alors 98% des transactions de l’ensemble du marché. Les NFT sont apparus à une époque où les frontières sont floues entre le mondes physique et le monde numérique. Un débat récurrent consiste à savoir si l’art des prochaines années s’exposera plus dans les galeries physiques ou dans le metaverse. C’est une conversation qui continuera d’évoluer à mesure que de nouvelles opinions et idées façonneront le paysage culturel.

Avec cette appréciation renouvelée pour l’expression artistique et l’enthousiasme pour le potentiel de cette technologie, les galeries d’art et les musées qui cherchent à adopter cette innovation pourraient considérer que nous sommes à l’aube d’une renaissance.

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Le tableau de Klimt en vente sous forme de NFT

Le musée du Belvédère de Vienne a collaboré avec le fonds d’investissement artèQ pour lancer un token non fongible. Ils ont en effet sorti une collection NFT inspirée de l’une des œuvres les plus célèbres de Gustav Klimt, « Le baiser ».

Rappelons que le Belvédère conserve ce tableau depuis 1908. À l’époque, il avait été acheté pour 25 000 couronnes, ce qui équivaut à 240 000 $ aujourd’hui. Par ailleurs, ce musée expose la plus grande collection de peintures de Gustave Klimt au monde.

La collection NFT de cette représentation d’un couple d’amoureux est divisée en une grille de 100 par 100. Dix mille pièces uniques et individuelles sont donc proposées en tant que NFT. Le coût d’un NFT lors du mint était de 1 850 euros (0,65 ETH).

De ce fait, la valeur totale suggérée de la peinture en NFT était de 18,5 millions d’euros (21 millions de dollars). Il faut noter qu’aujourd’hui, le prix plancher de ces œuvres sur le marché secondaire est de 0,43 ETH. À l’heure de la rédaction de cet article, cela correspond à 1 033 euros, bien moins qu’au lancement de la collection.

La blockchain peut révolutionner le secteur artistique, c’est indéniable. Les NFT sont en pleine expansion et pourraient cacher le Picasso de demain. Le faible taux d’achat du tableau de Klimt en NFT pourrait seulement suggérer que chaque pièce était trop chère. On peut aussi imaginer que les acheteurs de NFT sont moins intéressés par l’art traditionnel à ce stade de l’évolution du marché que par des singes colorés ou des avatars de Snoop Dogg dans le métavers.

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Jeux vidéo et NFT : Quand le tandem a du mal à se former

En dehors de la cryptosphère, une frange de la société semble détester les jetons non fongibles (NFT). C’est du moins ce que l’on peut supposer lorsqu’on se connecte sur les réseaux sociaux. Dans l’industrie du jeu, cette animosité parait plus prononcée. À quoi est due cette animosité ? A-t-elle vraiment des raisons d’exister ? Nous vous […]

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