Du soleil, des chameaux et du sable, les NFT vont se faire rôtir à Abu Dhabi

Tous les feux au vert pour les NFT ? Les Emirats arabes unis continuent leurs efforts pour créer un environnement propice au développement des cryptomonnaies. Le Dubaï World Trade Center (DWTC) serait en train de finaliser une loi pour l’octroi de licences fédérales pour les entreprises cryptos. Dubaï n’est pas la seule ville à s’être lancée dans cette course à une réglementation saine pour les cryptomonnaies. Cette zone franche à Abu Dhabi veut également mettre en place un environnement favorable à la croissance des actifs numériques et notamment à celle des tokens non fongibles (NFT).

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Les NFT sont-ils les bienvenus à Abu Dhabi ?

L’Abu Dhabi Global Market (ADGM) a publié le 21 mars 2022, un document de consultation intitulé : « Propositions d’amélioration des marchés de capitaux et des actifs virtuels dans l’ADGM ». L’ADGM est un centre financier et une zone franche située à Abu Dhabi, la capitale des Émirats arabes unis.

Le document consacre plus d’une page aux actifs virtuels et aux NFT. Le régulateur financier de la zone franche, l’Autorité de régulation des services financiers – la Financial Services Regulatory Authority (FRSA), y définit les NFT comme une propriété intellectuelle, et non comme « des investissements ou instruments financiers spécifiés ».

Le document propose notamment que les entreprises disposant d’une licence délivrée par la FRSA, aient l’autorisation de faciliter les échanges de NFT. La FRSA veut également autoriser les systèmes de négociation multilatérale (MTF) et les dépositaires d’actifs virtuels (VAC) à exploiter des places de marché NFT.

Les transactions sur les NFT devraient en outre selon le document, être soumises aux obligations de conformité aux règles de l’ADGM et de celles en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et de sanctions.

Ces grands points sur les NFT ne sont pas pour autant des propositions d’un cadre réglementaire formel de la FSA. Les parties concernées ont jusqu’au 20 mai 2022, pour émettre des commentaires et partager leurs réflexions sur des questions majeures.

2021 fut une année particulièrement marquante pour les NFT. Ce travail sur une réglementation qui se veut a priori au développement de ces derniers, intervient cependant à un moment où les internautes semblent montrer un désintérêt pour les tokens non fongibles.

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Art : Pourquoi les NFT sont-ils devenus incontournables ?

Ces dernières années, les jetons non fongibles (NFT) sont incontestablement devenus importants dans le domaine de l’art. En vérité, quand on y réfléchit, il peut sembler difficile de comprendre les raisons pour lesquelles ces pièces numériques sont devenues aussi incontournables dans le secteur. Cependant, selon des professionnels, cette popularité est essentiellement due au soutien que […]

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Le studio à l’origine de PUBG va créer des jeux NFT sur Solana (SOL)

Une arrivée d’ampleur dans l’écosystème de Solana (SOL). Le studio Krafton, à l’origine du jeu PlayerUnknown’s Battleground (PUBG), a annoncé qu’il commencerait à éditer des jeux basés sur les tokens non fongibles (NFT) sur cette blockchain. Le point sur ce que l’on sait pour le moment.

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NFT Factory : La France ne veut pas rater le train en marche !

Avec NFT Factory, la France se dote d’un pôle actif autour d’un marché en pleine expansion. Grâce à des bureaux physiques et plus de 400 mètres carrés d’espace, les principaux acteurs français du monde des NFT pourront bénéficier de synergies.  A partir de septembre prochain, une cinquantaine d’acteurs français des NFT se retrouveront à la NFT Factory pour ce qui constituera la tête de gondole française d’un marché en pleine expansion. Des entreprises comme Sorare et Ledger y sont attendues ! La France structure son offre NFT avec NFT Factory ! En début d’année 2021, une étude publiée par Nonfungible.com […]

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« Les cryptos sont là pour rester, impossible de les faire disparaître » d’après Forbes

Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement – Et les mots pour qualifier l’inadéquation du cadre prévu par MiCa viennent aisément. En effet, l’Union Européenne s’attèle à la régulation des cryptomonnaies sur son sol, mais pas forcément par le bon bout. Bien que le secteur ait un certain intérêt à être régulé, le législatif ne doit pas freiner l’innovation et « l’exécutif ». C’est d’ailleurs le propre de l’innovation, faire surgir de nouveaux moyens et procédés, qui ensuite doivent passer à la moulinette régulatoire. Pour le meilleur, et souvent pour le pire. D’autant plus quand on s’attaque à un sujet complexe. Si des députés européens estiment que « les cryptos c’est facile », le projet de loi débattu au sein de l’UE montre bien que le sujet est moins simple qu’il n’y paraît. Et que les législateurs ne maîtrisent pas encore les clés nécessaires pour déchiffrer ce secteur innovant.

Bannir le Proof of Work, une hérésie à tous les niveaux

C’est le postulat du Dr Sean Stein Smith, conseiller auprès de la Wall Street Blockchain Alliance, professeur émérite de l’University of New York mais aussi conseiller stratégique pour le Central Bank Digital Currency Think Tank. Son curriculum vitae nécessiterait une page entière.

Smith est donc plutôt au fait des sujets cryptographiques et de leurs implications aux niveaux comptables et fiscaux. En plus de connaître la technologie sous-jacente, ce qui est toute de suite plus pratique pour l’encadrer de façon adéquate. Premier lièvre soulevé par Smith dans ce projet de loi : le simple fait qu’une telle proposition arrive jusqu’à l’étape du vote solennel démontre les lacunes impardonnables dont les législateurs font preuve. Les nuances et les spécificités techniques comptent.

« Que le débat porte sur les cas d’usage et les applications de Bitcoin versus les autres cryptoactifs, la valorisation des NFT ou les implications des MNBC (monnaies numériques de banque centrale), la constante de ce dernier est que beaucoup de gens croient que tous ces actifs sont équivalents. »

Dr Sean Stein Smith

De la théorie du Dr Stein à la pratique de Mme Lalucq : exemple ordinaire du manque d’humilité du législateur face à un secteur si complexe et innovant

Smith poursuit en affirmant que « comme tout instrument financier, chaque blockchain et chaque crypto devraient être appréhendées et comprises au regard de leurs qualités propres ». Impossible donc de réguler de façon univoque ni de hiérarchiser les différents protocoles. Il faut les prendre pour ce qu’ils sont, pour ce qu’ils font. Or cette technologie en est à ses balbutiements et les cas d’usages évoluent presque chaque semaine qui passe.

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La monnaie est en train d’être redéfinie, les cryptos tiennent le dico ?

Si notre modèle monétaire actuel semble être immuable, il s’est enraciné dans nos économies il y a à peu près 150 ans. Rien d’immuable ou d’éternel donc, d’autant plus à l’échelle de l’humanité qui échange de la valeur depuis des millénaires. Les monnaies fiduciaires (basées sur la confiance) sont imprimées par une banque centrale sans être directement corrélées à un actif sous-jacent. Depuis 150 ans donc, petit à petit toute autre notion de valeur dure, palpable, matérielle a disparu. Les billets n’étant plus garantis que par la confiance portée à son émetteur.

« La monnaie a besoin d’une amélioration, et il semble de plus en plus probable que la crypto soit à minima une partie de la réponse […]. Les récents votes des deux côtés de l’Atlantique continuent de montrer que les questions politiques et régulatoires entourant ce secteur sont débattues au plus haut niveau des gouvernements. »

Dr Sean Stein Smith

L’analyste de Forbes appelle a ce qu’on ne perde pas de vue l’enjeu, qui est de redéfinir la monnaie. Et les choses sont claires pour lui : « les cryptos sont là pour rester, elles ne peuvent pas être effacées, et pourraient très bien être le futur de la monnaie autour du globe ». Bruno Le Maire semblait être du même avis en 2018 lorsqu’il affirmait que la France ne « ratera pas la révolution de la blockchain », ce qui nous permettrait de « construire le monde de demain ». Nous sommes en 2022, les fondamentaux des cryptos n’ont fait que se renforcer, mais la France semble toujours être à la traîne.

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En pénurie de puces mais pas de dollars, Qualcomm s’offre le métavers pour 100 millions

La hype du métavers – L’année 2021 était placée sous le signe, ou plutôt, le sigle des NFT, autant 2022 semble être l’année du métavers. En effet, dès le début de l’année certains capital-risqueurs ont décidé de lancer leur fonds d’investissement dédié au développement du Web 3 et donc des métavers. À l’instar de Griffin Gaming, le fournisseur de puces électroniques Qualcomm a décidé de créer son propre fonds d’investissement tourné vers le métavers.

Qualcomm alloue 100 millions de dollars à la création d’un fonds d’investissement métavers

Qualcomm Incorporated est un fournisseur de puces électroniques basé à San Diego aux États-Unis. Ces puces servent notamment à la fabrication des casques de réalité virtuelle. En outre, Qualcomm a déjà conclu un partenariat avec le géant de l’informatique, Microsoft, pour créer des puces électroniques adaptées à la réalité augmentée et donc au métavers. Ces dernières représentent désormais 17 % de ses ventes.

Le 21 mars 2022, le fournisseur de puces électroniques a annoncé créer un fonds d’investissement dénommé Snapdragon Metaverse Fund. Pas moins de 100 millions de dollars seront alloués à ce fonds qui sera destiné à investir dans des entreprises qui se consacrent aux technologies permettant de développer les métavers. En outre, Snapdragon Metaverse Fund investira dans les développeurs d’intelligence artificielle (IA) et de réalité étendue (XR).

Illustration du métavers imaginé par Qualcomm où ses 2 fonds d’investissement seraient présents – Source : qualcomm.com

Pour faire simple, la réalité étendue (XR) aussi appelée réalité mixte combine la réalité augmentée (AR) et la réalité virtuelle (VR). Elle permet à l’utilisateur d’interagir à la fois avec son environnement réel, et avec un environnement virtuel grâce à son smartphone et des lunettes d’AR ou de VR.

Enfin, d’après Qualcomm, son fonds métavers devrait étudier les premières demandes d’investissements dès juin 2022.

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Pour Qualcomm, on ne pourra pas se passer du métavers dans le monde de demain

D’abord, Qualcomm a déclaré son ambition de devenir le « ticket vers le métavers » grâce à ses technologies 5G, d’intelligence artificielle et XR. En effet, elles considèrent que ces trois technologies sont essentielles pour le développement du métavers de demain.

Par ailleurs, la société a indiqué dans son communiqué qu’elle travaille sur le développement d’un seul appareil XR qui combinerait un smartphone, un casque VR et des lunettes AR :

« L’appareil XR pourrait remplacer tous les autres écrans de votre vie, comme ce grand téléviseur dans votre salon. Cet appareil a le potentiel pour devenir l’un des supports informatiques le plus omniprésent et le plus perturbateur au monde, à l’instar du smartphone aujourd’hui. »

En outre, Qualcomm a également annoncé que les développeurs prochainement soutenus par Snapdragon Metaverse Fund bénéficieraient « d’un accès rapide à la technologie de pointe de la réalité étendue, aux kits matériels, ainsi qu’à un réseau mondial d’investisseurs et à des opportunités de co-marketing et de promotion. »

Le Web 3 fascine, autant qu’il intrigue. Une chose est sûre : c’est qu’il commence à se façonner et à se structurer dès aujourd’hui. Les prochains mois, mais aussi les prochaines années promettent d’être riches en développement technologique. Tout cela est excitant, n’est-il pas ?

Quand des sociétés comme Qualcomm se concentrent sur un investissement, il n’est pas inutile de s’y intéresser également ! Pour ne pas rater l’opportunité d’une vie, Inscrivez-vous sans attendre sur la plateforme d’exchange crypto de référence FTX et bénéficiez d’une réduction à vie sur vos frais de trading (lien affilié, voir conditions sur site officiel).

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ApeCoin, monnaie (de singe ?) que Vitalik ne porte pas dans son cœur.

Sorti depuis à peine une semaine, l’ApeCoin lancé par la DAO du même nom déchaîne déjà les passions. Entre une décentralisation pour le moins contestée, un petit malin qui emprunte des Bored Apes pour toucher 1 millions $ et une volatilité dingue le jour du listing, l’ApeCoin aura fait du buzz dès son lancement.   Et c’était peut-être là l’objectif en fait : braquer les projecteurs sur un projet qui ne fait pas forcément l’unanimité à la base. Vitalik Buterin, fondateur d’Ethereum, a d’ailleurs fortement tancé publiquement le BAYC récemment. En effet, à l’image du BAYC certaines collections NFT prennent des […]

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La NFT Factory : L’emplacement totem de l’écosystème français

Le projet a été révélé ce mardi 22 mars. Il se concrétisera en septembre, avec la création d’un lieu dédié à l’écosystème des NFT français. Situé en plein Paris, cet espace de 400 mètres carrés sera constitué d’une galerie pour les nombreuses expositions de NFT, d’un comptoir d’achats-ventes et d’un espace de coworking pour les entrepreneurs et les […]

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