Toute l'actualité des NFT
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De récents commentaires d’Elon Musk laissent penser que le constructeur automobile pourrait prochainement permettre à ses clients de payer la recharge de leur véhicule électrique en Dogecoin.
Des bornes de recharge Tesla qui prendraient en charge le Dogecoin ? C’est ce qu’a laissé entendre Elon Musk, le patron du constructeur de véhicules automobiles, dans un tweet publié dans la nuit de vendredi à samedi :
And, of course, you can pay in Ðoge
— Elon Musk (@elonmusk) February 19, 2022
Ce message a été publié en réponse à un tweet de Ryan Zohoury, fondateur de Tesla Console, qui se présente comme le « premier app store Tesla ». Le jeune homme de 19 ans avait mentionné le milliardaire en évoquant des bornes de recharge fraîchement ouvertes dans la ville de Santa Monica. M. Zohoury a indiqué que la quasi-totalité de ces nouvelles bornes étaient déjà utilisées.
Elon Musk lui a répondu en révélant que Tesla prévoyait également d’ouvrir un « cinéma restaurant / drive-in futuriste » dans le quartier d’Hollywood.
And futuristic diner / drive-in theater planned for Hollywood area!
— Elon Musk (@elonmusk) February 19, 2022
Et d’ajouter qu’il sera possible, selon le milliardaire, de payer son repas en Dogecoin. Difficile de savoir pour l’instant si cette possibilité s’appliquera également au paiement dans les bornes de recharge.
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En décembre dernier, le fabricant de véhicules électriques avait commencé à prendre en charge le DOGE sur sa boutique de produits dérivés.
Il y a quelques jours, le compte Twitter « DogeDesigner » avait révélé que SpaceX, également dirigée par Elon Musk, avait lancé des tests pour accepter les paiements en DOGE sur son e‑shop :
#Dogecoin found in the source code of SpaceX Merch Online Store https://t.co/chcTtG3jDs pic.twitter.com/6HOQ3LRKzu
— DogeDesigner (@cb_doge) February 16, 2022
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Cette semaine, Billy Markus, le cofondateur du Dogecoin, a appelé ses abonnés à relayer le hashtag #DogeTwitterTipJar sur Twitter et à signer une pétition. Objectif : convaincre le réseau social d’offrir la possibilité d’envoyer des « tips » en DOGE, après avoir introduit cette fonctionnalité pour le Bitcoin puis pour l’Ether.
hey @Twitter, y’all should add #DogeTwitterTipJar – #dogecoin is the original tipping cryptocurrency of the internet, it just makes too much sense
for everyone else, here’s a petition to sign – let’s show our interest shibes! – https://t.co/E0eoGXMDMq
— Shibetoshi Nakamoto (@BillyM2k) February 18, 2022
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Les vampires en ont après Opensea – L’écosystème des jetons non fongibles (NFT) a décollé au mois d’août 2021. Depuis, la plateforme Opensea (OS) est à l’origine de l’écrasante majorité du volume généré par les NFT. Récemment, plusieurs concurrents tentent de détrôner la reine des NFT, reste à savoir s’ils y parviendront.
Cela fait désormais plusieurs mois que l’écosystème NFT rencontre un engouement sans précédent. Cependant, Opensea, la principale plateforme d’achat et de vente de NFT sur Ethereum a récemment rencontré quelques turbulences. Ainsi, celle-ci a dû faire face à des rumeurs de délit d’initié ainsi qu’un bug dans son interface ayant entraîné la vente de centaines de NFT en dessous de leur prix.
Une fois n’est pas coutume dans l’écosystème de la finance décentralisée (DeFi), de nouveaux projets tentent de détrôner Opensea en menant la désormais classique méthode de l’attaque vampire.
Le 26 janvier dernier, une nouvelle plateforme de vente de NFT intitulée X2Y2 a dévoilé ses plans à travers la publication de son litepaper. Ainsi, cette plateforme se présente comme une marketplace de NFT entièrement décentralisée appartenant à la communauté.
Pour son lancement, celle-ci a effectué un airdrop de 12% de l’offre totale de son jeton X2Y2, aux utilisateurs ayant acheté ou vendu un NFT sur Opensea avant janvier 2022. Au total, plus de 860 000 adresses sont éligibles à ce airdrop.
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La plateforme X2Y2 souhaite se différencier du géant Opensea en proposant des frais de trading de seulement 2% contre 5% pour OS.
En plus de cela, à l’inverse d’Opensea qui empoche directement les frais de trading, X2Y2 distribuera l’intégralité des 2% de frais en WETH sur chacune des transactions aux utilisateurs ayant staké leurs jetons X2Y2 sur la plateforme.
Celle-ci propose un APR de 6 688% annualisé au moment de la rédaction de ces lignes.
X2Y2 se démarque également d’Opensea en ayant effectué un lancement “équitable”. Ainsi, aucune prévente privée du jeton X2Y2 n’a été réalisée. Un total de 77% des jetons seront distribués directement à la communauté.
Ainsi en plus des 12% de airdrop, 65% de l’offre total sera distribué aux utilisateurs ayant staké leurs jetons sur la plateforme.
Au total, les 1 milliards de jetons X2Y2 seront distribués de la manière suivante :
65% pour la récompense de staking ; 12% via le airdrop ; 10% à l’équipe et aux développeurs ; 10% pour la trésorerie ; 1,5% pour la prévente publique ; 1,5% pour ajouter de la liquidité sur les plateformes d’échanges.
Le projet X2Y2 n’est pas le premier à proposer une plateforme d’achat et de vente de NFT communautaire.
En effet, au début du mois de janvier, la plateforme LooksRare a vu le jour, proposant exactement la même formule. Attaque vampire, partage des frais et récompense de staking, tout y est.
Cependant X2Y2 se démarque sur un point : la plateforme ne propose pas de récompense de trading. En effet, sur Looksrare une partie des jetons émis ainsi que des frais sont redistribués aux utilisateurs ayant échangé sur la plateforme.
Malheureusement, cela a entraîné un important wash trading pour obtenir les précieuses récompenses, scénario que X2Y2 souhaite éviter. En parallèle, la resistance continue de s’organiser face à Opensea. Ainsi, Polygon et le projet Cere Network ont récemment annoncé le lancement d’une plateforme de NFT intitulée DaVinci.
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Le marché des crypto-monaies a connu un début d’année plutôt cahoteux dans l’ensemble. Quoi qu’il en soit, un projet particulièrement ambitieux a réussi à se démarquer. Son évolution se poursuit à grande vitesse et l’année 2022 est bien partie pour réaliser ses promesses. Au mois de janvier, RBIS, le jeton natif d’ArbiSmart a fait, pour la toute première fois, l’objet d’un listing. Au fil des semaines, le processus gagne du terrain. Des exchanges de premier ordre listent désormais ce token. Cela a pour effet de faire accroître la liquidité tout en boostant la demande en la matière. Par ailleurs, ce […]
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Le prix Chainlink n’a pas été laissé pour compte dans la vente en cours de la crypto-monnaie. LINK, son jeton natif, se négocie à 15 $, portant sa capitalisation boursière totale à environ 7,44 milliards de dollars, ce qui en fait la 22e plus grande crypto-monnaie au monde.
Chainlink est l’un des projets de blockchain les plus utiles au monde puisque ses produits sont utilisés par la plupart des développeurs de l’industrie. Son cas d’utilisation concerne principalement les industries DeFi, d’entreprise, d’assurance, de jetons non fongibles (NFT) et de jeux.
Chainlink propose un certain nombre de services dont le but est de connecter le réseau hors chaîne aux plateformes en chaîne. Il le fait en utilisant des oracles intelligents.
Certaines des meilleures solutions qu’elle propose sont les flux de marché et de données, le nombre aléatoire vérifiable (VRF), les Keepers, la preuve de réserve et le pont inter-chaînes.
Alors que la plupart des développeurs de blockchain peuvent construire ces projets par eux-mêmes, ils se tournent souvent vers Chainlink, en raison de la facilité de construction.
Certains des meilleurs projets utilisant Chainlink sont Aave, Curve Finance, Uniswap et PancakeSwap, entre autres. Selon DeFi Llama, la réserve de valeur totale du réseau dépasse 50 milliards de dollars, ce qui en fait le plus grand réseau oracle intelligent au monde.
Le prix Chainlink a fortement chuté au cours des derniers mois. Précisément, il a chuté de plus de 70 % par rapport à son plus haut historique. En conséquence, son classement parmi les crypto-monnaies est passé du top 10 au 22 actuel.
Cette baisse est principalement due à la crainte croissante que la Réserve fédérale adopte un ton plus belliciste dans les mois à venir. Déjà, il a laissé entendre qu’il procédera à au moins trois hausses de taux cette année.
Une autre raison est que l’activité du marché dans son réseau a fortement chuté en raison de la saison hivernale des crypto-monnaies en cours. En effet, la valeur totale réservée dans son réseau a diminué de plus de 60 milliards de dollars.
Le graphique journalier montre que le prix LINK a suivi une forte tendance baissière au cours des derniers mois. En janvier, la pièce a chuté au niveau de support important à 13,67 $, qui était également le point le plus bas le 22 juillet de l’année dernière.
Le prix reste inférieur aux moyennes mobiles sur 25 et 50 jours. Il a également formé un petit motif de tête et d’épaules. Dans l’analyse de l’action des prix, un tel schéma est généralement un signal baissier.
Par conséquent, il est probable que la pièce continue de baisser alors que les baissiers ciblent le prochain support clé à 10 $.
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LooksRare, la plateforme de revente de jetons non fongibles (NFT), présentée comme le concurrent principal d’OpenSea, a fait parler d’elle après que l’équipe à l’origine du projet ait encaissé des millions de dollars en ethers (ETH).
La place de marché NFT a confirmé que l’équipe a encaissé 10 500 WETH d’une valeur estimée de 30 millions de dollars.
Ces ethers proviennent du mécanisme propre au staking de LOOKS, le jeton utilitaire de la plateforme. En effet, tous les épargnants de jetons LOOKS reçoivent une partie des frais de transactions sur les ventes, en ethers. Evidemment, l’équipe à l’origine du projet possède un gros montant de LOOKS. Ses membres ont donc encaissé des gains conséquents au vu des volumes d’échanges sur Looksrare.
La controverse est fortement amplifiée par le fait que l’équipe (anonyme) ait utilisée l’outil Tornado Cash. Un telle mesure rend très compliqué le suivi des ethers. La plateforme est donc régulièrement utilisé lors de hack de protocole DeFi pour rendre le traçage des fonds impossible.
Zodd, l’un des principaux créateurs, a réagit en argumentant que l’équipe de LooksRare travaillait sur la plateforme depuis plus de six mois. D’autre part, elle aurait investi une grosse somme dans le lancement du projet, et ce, sans aucune compensation financière jusqu’ici.
Par ailleurs, un tweet affirme que l’équipe a encaissé près de 73 millions de dollars en WETH. Ce que Zodd a corrigé, affirmant que le montant réel était d’environ 30 millions de dollars. Il a également réitéré que le développement de la plateforme continuait et que son avenir s’annonçait radieux.
L’équipe a également ajouté que 80 000 WETH ont été distribués aux détenteurs de LOOKS au cours des 30 derniers jours.
Cette nouvelle a suscité de vives réactions de la part de la communauté sur Twitter lorsqu’elle a été rendue publique. Le prix du LOOKS s’en est ressenti et a chuté de près de 15 % à la suite de l’affaire.
Malgré la réponse de Zodd, une partie de la communauté LooksRare n’a pas semblé convaincue par cette clarification. Elle a plutot suggéré que l’équipe rachète des LOOKS au lieu d’encaisser des ethers. Ce, dans le but de prouver sa bonne foi. Un utilisateur a écrit :
« J’aime que vous abordiez cela comme « nous n’avons pas été payés depuis 6 mois ». Donc chaque membre de l’équipe vient d’encaisser plus de 3 millions USD (pour 6 mois de travail) laissant les possesseurs de LOOKS fauchés ? C’est une blague…. Une autre mauvaise cryptoblague ».
Un tweetos mécontent
Pour autant, d’autres membres de la communauté ne voient aucun problème avec cet encaissement, considérant qu’il repose sur un lancement réussi.
« Juste pour savoir, combien une équipe anonyme est-elle autorisée à gagner pour que la communauté Twitter ne considère pas que c’est « trop » »?
Banteg, développeur de la plateforme yield.finance
Finalement, qu’une équipe se paye sur la base du succès de son projet peut sembler normal. La controverse semble plutôt provenir du fait de l’utilisation de la plateforme Tornado Cash pour maintenir l’anonymat des créateurs. La paranoïa sur les intentions de ces derniers est probablement alimentée par le fait que cet outil soit régulièrement utilisé lors de hacks à plusieurs millions de dollars.
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L’article La plateforme NFT Looksrare : un crypto feuilleton à 30 millions de dollars est apparu en premier sur Journal du Coin.
Le géant Ethereum continue sa croissance – Au cours des deux dernières années, le réseau Ethereum a été le berceau d’une innovation florissante. Tour à tour, les phénomènes de la finance décentralisée et des NFT ont attiré de nouveaux utilisateurs. Malheureusement, toutes les métriques ne sont pas pour autant au vert.
Face à l’engouement rencontré par les écosystèmes DeFi et NFT, des milliers de nouveaux utilisateurs se sont rués sur le réseau Ethereum.
Désormais, le réseau a dépassé la barre des 70 millions d’adresses détenant des ETH, d’après les données compilées par nos confrères de TheBlock. Cela traduit une hausse de 18,36 millions sur l’année 2021. Soit un rythme de croissance d’environ 1,53 million d’adresses créées tous les mois.
Rappelons tout de même que le nombre d’adresses ne donne qu’une petite indication sur la croissance réelle en termes d’utilisateurs. En effet, un utilisateur détient généralement plusieurs adresses. Par conséquent, le réseau réunit potentiellement bien moins de 70 millions d’utilisateurs.
Ainsi, le nombre d’adresses actives oscille quant à lui autour des 1%, avec un maximum atteint à 1,66% en avril dernier. Une adresse est considérée comme active si elle effectue des transactions de manière habituelle.
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L’écosystème Ethereum a été témoin d’une importante croissance tout au long de l’année 2020. En effet, à ce moment, il était quasiment le seul à proposer un écosystème DeFi.
Par la suite, Ethereum a peu à peu été laissé de côté au profit de chaînes plus abordables. Conséquence de l’augmentation drastique des frais et de la multiplication des blockchains à smart contracts.
Par conséquent, plusieurs métriques en ont pris un coup. D’après les données compilées par Glassnode, le nombre de whale sur le réseau est en diminution. Un minimum local sur les quatre dernières années a été enregistré le 11 février 2022, avec 6 228 adresses détenant plus de 1 000 ETH, contre plus de 8 000 en juillet 2018.
En parallèle, l’utilisation du réseau stagne à un peu plus d’un million de transactions quotidiennes. Une moyenne qui se maintient depuis la moitié de l’année 2020.
À titre de comparaison, la blockchain Polygon enregistre une moyenne de 3 millions de transactions quotidiennes. Notons tout de même que bon nombre de ces transactions sont réalisées par des bots. En effet, les frais de transaction étant moins importants, il est bien moins coûteux d’opérer un bot sur Polygon que sur Ethereum.
Évidemment, ces données font uniquement état de l’activité on-chain du réseau. En effet, depuis plusieurs mois, une partie de l’activité d’Ethereum a été déportée vers des solutions de seconde couche telles qu’Optimism ou Arbitrum.
Cependant, celles-ci peuvent présenter des risques. Ainsi, une faille critique a récemment été découverte par un développeur dans le code d’Optimism. Heureusement, celle-ci a pu être corrigée avant d’avoir été exploitée.
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L’article Comment le roi Ethereum se fait grignoter peu à peu par ses sujets Layer 2 est apparu en premier sur Journal du Coin.
En 2021, les ventes de NFT ont permis la réalisation d’un volume de 22 milliards de dollars. De quoi motiver les futurs investisseurs et faire taire les haters. Et en parlant toujours de chiffres, sachez que 5 objets de collection numérique ont contribué à générer 501 millions de dollars la semaine dernière. Ça commence bien pour 2022, on […]
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