Le groupe Lazarus échoue dans sa tentative de piratage de BitMEX

Alors que les enlèvements cryptos submergent les médias français, les attaques cybercriminelles ne ralentissent pas pour autant. La plateforme BitMEX a en effet été la cible d’une attaque cybernétique ce vendredi 30 mai. Déjouée grâce à la réactivité de l’équipe, cette tentative de hack a été analysée et a révélé que le groupe Lazarus était derrière.

Une attaque déjouée de peu

Hier, la plateforme de trading crypto a failli être victime d’une attaque ingénieuse. Un employé de la plateforme a reçu un message frauduleux sur LinkedIn qui aurait pu coûter cher à l’exchange. En effet, ce message proposait une opportunité de collaboration pour un projet NFT Web3. Une demande qui aurait pu séduire, mais qui a directement attiré la méfiance de l’employé.

Il comprenait en fait un lien vers un répertoire GitHub privé avec un projet Next.js/React. Le groupe de hackers comptait pousser l’employé à exécuter le code, mais à la place, il a alerté la sécurité. Une décision judicieuse qui a permis à l’équipe de BitMEX d’éviter l’attaque.

L’identification du groupe Lazarus

En effet, l’analyse du code a révélé qu’un malware était présent dans le programme. Ce malware avait pour objectif de voler des métadonnées (OS, IP, géolocalisation) pour les envoyer vers une instance Supabase. De plus, certaines parties du code ressemblaient à la campagne BeaverTail. Cela a alors permis de faire un lien avec les hackers nord-coréens qui ont d’ailleurs laissé quelques traces.

En plus de ce bout de code réutilisé, l’analyse a révélé certaines adresses IP réelles des attaquants. Un certain « Victor » est par exemple lié à l’adresse IP 223.104.144.97. Cette erreur de Lazarus risque fortement de faire avancer les experts en cybersécurité dans la traque de ce groupe.

Pour l’analyse détaillée du code utilisé, des adresses IP identifiées et du lien avec Lazarus, n’hésitez pas à lire le compte rendu des experts en cybersécurité de BitMEX.

Réponse de BitMEX et conséquences pour l’écosystème crypto

Think twice before clicking that « Web3 collab » link!

Our security team just thwarted a Lazarus Group phishing attempt, exposing their tactics AND a major OPSEC fail.

We’re now on their tail, watching their screw-ups.

Stay safe, stay vigilant!

Read the full story:… pic.twitter.com/pgIBFh4ojb

— BitMEX (@BitMEX) May 30, 2025

Suite à cette attaque finement déjouée, la plateforme s’est empressée de communiquer sur X son succès. Avec un ton moqueur, l’équipe n’a pas hésité à mettre en garde sur les liens de collaboration Web3. Dans la suite du post, BitMEX n’hésite également pas à humilier le groupe Lazarus en disant qu’ils ont exposé leur tactique et commis une grave erreur de sécurité.

Il est vrai que ce groupe de hackers nord-coréens fait trembler l’écosystème crypto ces derniers temps. Avec le hack récent de Bybit de plus d’1,5 milliard de dollars, il ne faut pas oublier non plus qu’ils sont à l’origine de divers hacks de plusieurs dizaines de millions de dollars depuis 2014. Des chiffres qui font froid dans le dos quand on sait que la sécurité est de mise dans le domaine crypto.

Heureusement, les récentes découvertes permises grâce à l’équipe de sécurité de BitMEX pourraient faire avancer grandement les choses. C’est maintenant au tour des experts comme ZachXBT de faire parler leur expérience.

Cette petite victoire face au groupe Lazarus pourrait donc signer le début d’une ère plus sûre pour l’écosystème crypto. Avec les enlèvements récents, la communauté semble plus que jamais soudée pour lutter contre les malfaiteurs. Une bonne nouvelle dans un climat aussi tendu.

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Le marché des NFT en chute libre : la tokenisation RWA comme solution ?

La tokenisation RWA à la rescousse ? Le marché des tokens non fongibles, ou NFT, a connu une croissance fulgurante lors du dernier bull run crypto de 2021, mais il semble en perte de vitesse depuis. Selon un rapport de DappRadar, le volume des prêts garantis par des NFT a drastiquement chuté. Pour relancer ce secteur, certains experts misent sur la tokenisation des actifs du monde réel, ou RWA (Real-World Assets), qui pourraient apporter une nouvelle dynamique.

Les points clés de cet article :
Le marché des prêts garantis par NFT a connu une chute dramatique de 97 % entre janvier 2024 et mai 2025. La tokenisation des actifs du monde réel, ou RWA, pourrait revitaliser le secteur des prêts NFT en offrant une alternative plus stable.
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La chute du marché des prêts contre NFT est violente

Le marché des prêts NFTqui permet aux détenteurs de tokens non fongibles d’emprunter de l’argent en les utilisant comme garantie – est actuellement en déclin, comme le soulignent les analystes de DappRadar.

Selon leur récent rapport, le volume de ces prêts est passé d’un sommet d’environ 1 milliard de dollars en janvier 2024 à seulement 50 millions de dollars en mai 2025. Cette baisse de 97 % reflète une diminution générale de l’activité dans le secteur des NFT.

Plusieurs facteurs expliquent cette tendance. Tout d’abord, la valeur des NFT a chuté, rendant les prêts moins attractifs pour les emprunteurs et plus risqués pour les prêteurs. De plus, la volatilité du marché des cryptomonnaies a incité les investisseurs à se tourner vers des actifs plus stables.

Les prêts mettant en garantie des NFT sont en chute libre. – Source : dappradar.com

La tokenisation RWA : une solution pour redynamiser le lending de NFT ?

Face à cette situation, certains experts voient dans la tokenisation des actifs du monde réel comme une solution pour revitaliser le marché des prêts NFT. La tokenisation RWA consiste à numériser sur blockchain des actifs du monde réel, comme l’immobilier ou les actions. Ils offrent une alternative plus stable aux NFT traditionnels.

DappRadar souligne que ces tokens RWA pourraient, eux aussi, servir de garantie pour les prêts NFT, réduisant ainsi le risque pour les prêteurs. Par exemple, un investisseur pourrait emprunter de l’argent en utilisant un token représentant une part de propriété dans un immeuble, plutôt qu’un NFT d’art numérique dont la valeur peut fluctuer fortement.

Outre les tokens RWA, d’autres innovations pourraient également relancer le marché des prêts NFT. DappRadar mentionne notamment le développement de nouvelles infrastructures, comme des outils permettant d’évaluer la valeur des tokens non fongibles ou des plateformes facilitant la mise en relation entre emprunteurs et prêteurs.

Les tokens non fongibles liés à des jeux vidéo ou à des événements sportifs pourraient également attirer un public plus large et diversifié. Ainsi, bien que le marché des prêts NFT soit actuellement en difficulté, il est encore loin d’être condamné. La tokenisation RWA et d’autres innovations pourraient offrir une bouffée d’air salvatrice à ce secteur, en apportant plus de stabilité et de sécurité aux investisseurs.

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Bitcoin : Le PSG annonce détenir des BTC à quelques heures de sa grande finale de League des Champions

Paris est magique ! Le club de football du Paris Saint-Germain (PSG) est depuis longtemps un pionnier dans le domaine des cryptomonnaies, puisque dès 2020 il a lancé son propre fan token sur la plateforme Socios. À quelques heures d’une finale historique de la League des Champions de l’UEFA, le club de la capitale revient sur le devant de la scène crypto avec une annonce surprise à propos de Bitcoin. Détails à suivre.

Les points clés de cet article :Le Paris Saint-Germain a surpris en annonçant détenir des Bitcoins, marquant un tournant dans l’écosystème sportif.
En lançant PSG Labs, le club s’engage à soutenir les startups crypto, capturant l’intérêt d’un jeune public mondial.
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Le PSG détient du Bitcoin

À l’occasion de la conférence Bitcoin 2025 qui se tient actuellement à Las Vegas, Pär Helgosson, le responsable de PSG Labs, a fait une annonce de taille qui a fait le tour du Web en quelques heures.

Et cette nouvelle, la voici : le PSG détient du Bitcoin ! Plus précisément, le club aurait commencé à acheter des BTC l’année dernière et les conserverait toujours :

« Nous avons mis du Bitcoin dans nos livres. Nous avons pris nos réserves de fiat et nous avons alloué une partie à des bitcoins. Nous l’avons toujours dans nos livres. Et en tant que l’un des plus grands clubs du monde, nous sommes le plus grand acteur de l’écosystème sportif à le faire. »

Pär Helgosson, responsable de PSG Labs – Source : The Block

Côté club, le PSG n’est pas le seul club à s’intéresser aux cryptomonnaies puisque de nombreux clubs ont, eux aussi, lancé leur fan token ou des collections de NFT. Toutefois, le PSG est le premier à avoir révélé détenir des bitcoins.

Le PSG vient d’annoncer posséder des bitcoins dans sa trésorerie – Source : Compte X

PSG Labs : un programme d’accélération pour les startups crypto

En plus de détenir des BTC, le PSG souhaite aller encore plus loin dans son aventure crypto et le club a donc annoncé le lancement de PSG Labs, un programme d’accélération pour les startups crypto.

Ce programme vise à soutenir la prochaine génération de talents dans l’écosystème crypto et le PSG mettra à disposition pour cela son réseau et ses ressources :

« Nous allons aider les entrepreneurs et les entreprises Bitcoin (…). Nous allons nous lancer avec vous, (…) nous allons lever de l’argent avec vous. Nous vous aiderons à accéder à ce marché mondial avec nos plus de 500 millions de fans dans le monde. »

Pär Helgosson, responsable de PSG Labs – Source : The Block

Selon Pär Helgosson, environ 80 % des 550 millions de fans du PSG dans le monde ont moins de 34 ans. De ce fait, l’investissement du PSG dans Bitcoin semble être une stratégie pour séduire ce jeune public.

Le PSG sera à jamais le premier club à acheter publiquement des bitcoins, concernant la League des Champions, c’est une autre histoire. Toute la rédaction – ou presque – souhaite évidemment bonne chance à l’équipe parisienne pour son match contre l’Inter de Milan, samedi 31 mai à 21h. Enfin, sachez que des liens entre Bitcoin et le foot existaient déjà en Angleterre, avec l’histoire originale du club de Bedford.

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U.S. House Republicans Officially Introduce Crypto Market Structure Bill

Leading Republicans in the House of Representatives have formally introduced their latest version of the bill to establish a regulatory structure for digital assets markets, something the industry has clamored for for years.

The successor to the previous session’s Financial Innovation and Technology for the 21st Century Act (FIT21), the new bill called the Digital Asset Market Clarity Act is being pushed by top Republicans in the House Financial Services and the House Agriculture committees. Stablecoin legislation is still the frontrunner to be the first major piece of U.S. crypto law, but Thursday’s introduction pushes the ball forward on the more important and complex of the two companion efforts.

« America should be the global leader in the digital assets marketplace, but we can’t do that without establishing a clear regulatory framework, » said Representative Dusty Johnson, the South Dakota Republican who leads the agriculture subcommittee focused on digital assets, in a statement on the bill’s introduction.

The hefty 236-page Clarity Act — likely a starting point for lengthy negotiations between the parties in the House and eventually their Senate counterparts — gives the Commodity Futures Trading Commission « exclusive regulatory jurisdiction over digital commodity cash or spot markets that occur on or with new CFTC registered entities, » which represents the bulk of crypto activity according to the current thinking of U.S. regulators.

The legislation would set up a regime in which crypto platforms would have options for registration with the CFTC and the Securities and Exchange Commission, depending on whether they’re trading in digital assets commodities such as bitcoin BTC, securities or both. Those seeking registration with the CFTC as a digital commodity exchange, broker or dealer could get provisional registrations while the agency is working on rules.

The bill also requires crypto platforms to be regulated as financial firms under the Bank Secrecy Act; exempts certain decentralized finance (DeFi) operations and wallet providers from SEC oversight; bans future efforts of regulators to force custody firms to hold their customers’ assets on their own balance sheets as the SEC staff sought to do under a now-scrapped accounting stance; and puts some transactional authorities over payment stablecoins — which are clearly stated to not be securities — in the hands of whichever regulator already oversees the firm involved in the activity.

The Clarity Act additionally delved into so-called « qualified digital asset custodians » — previously a controversial point when the SEC sought to allow only a narrow array of regulated custodians to handle the assets of investment advisers’ clients. The new bill sets the standard for such a custodian as one under « adequate supervision and appropriate regulation by certain federal, state, or foreign authorities » — a bar the CFTC will be called to define.

DeFi is kicked down the road, with the bill demanding the SEC, CFTC and Treasury Department study that arena of digital assets and come back with a report in a year on how to proceed. The Government Accountability Office would also be asked to write a report on DeFi and on non-fungible tokens (NFTs).

The involved regulators would have a year to put the Clarity Act’s market structure rules into effect if the law were enacted. That’s a tight timeframe for complex financial regulation, which can often take more than a year — or even several years — for the agency staffs to write rules and seek public input. Despite similar timelines in the Dodd-Frank Act of 2010, for instance, there are still a few provisions that haven’t yet been completed.

The Senate will return to a floor debate next week on its stablecoin bill, which has already cleared several procedural hurdles with bipartisan support, despite loud Democratic misgivings about President Donald Trump’s personal business connections to the crypto sector his government is seeking to regulate. But it’s unclear whether that legislation will mesh with whatever version of stablecoin oversight the House eventually votes on, leaving uncertainty about exactly how crypto legislation will proceed in this session.

Some discussion remains about whether the stablecoin and market structure bills should be combined as a single crypto push in Congress. Trump has called for both to land on his desk by the August congressional break, though many crypto insiders in Washington see that as a highly ambitious goal.

The relevant House committees are set to hold digital assets hearings next week that will give members a chance to publicly discuss the details of the legislation.

Read More: Market Structure Rules for Crypto Could End Up Governing Core of U.S. Finance: Le

OpenSea Announces Upgraded Platform, Says SEA Token Airdrop to Come Later

OpenSea, a trading platform for non-fungible tokens (NFTs), officially introduced its OpenSea2 (OS2) upgrade to the wider public after a period in beta.

The revamped product now features token trading across 19 blockchains as it continues to pivot from NFTs to the wider crypto market.

“OS2 is the foundation for the next generation of OpenSea,” said Devin Finzer, co-founder and CEO of OpenSea, said in a statement. “We’ve rebuilt the platform from the ground up to become the best destination for everything on-chain, from NFTs to tokens, across chains and communities.”

The company also announced a revamp of its rewards system that recognizes on-chain activity with so-called XP points. The system, called Voyages, issues XP to users who complete basic activities like sharing a gallery, completing an on-chain swap or buying an NFT.

“Voyages are a clear step toward a more intentional kind of engagement on OpenSea,” said Finzer. “It’s about encouraging people to explore the full range of what the platform can do across chains, assets, and experiences.”

Users will eventually be able to use accrued XP to claims the highly anticipated airdrop of SEA, which will be the native OpenSea token.

OpenSea’s chief marketing officer, Adam Hollander, said in a blog post that he « reads comments every day » in regards to when the token will be released, but insists that the OpenSea Foundation will issue the token in a token generation event (TGE) only once a series of releases are rolled out.

« As someone who’s spent the last four years trading in the trenches right next to you, I know what it’s like to want a $SEA airdrop, » Hollander said. « But I also know that this isn’t just another TGE — it’s the TGE. And getting it right won’t just be a W for the Foundation and OpenSea but for our entire space. »

The company has not set a date for when the token will be released.

Le jeton SOPH chute de 24,97 % après un airdrop de 900 millions de dollars, malgré une forte croissance de la TVL

Binance a appliqué un « seed tag » et a lancé le trading à terme avec un effet de levier allant jusqu’à 75x.
La TVL on-chain a atteint 20,28 millions de dollars, le volume DEX culminant à 47,44 millions de dollars.
Un nouveau déblocage de 20 % de l’approvisionnement est prévu dans trois mois.

Le jeton utilitaire de Sophon, SOPH, a chuté de 24,97 % dans les 24 heures qui ont suivi ses débuts sur le marché de Binance et de plusieurs autres bourses, perdant plus de 80 millions de dollars de sa capitalisation boursière.

Cette forte baisse a fait suite à un événement de largage aérien à grande échelle au cours duquel 900 millions de jetons, soit 9 % de l’offre totale de 10 milliards de SOPH, ont été débloqués et distribués aux premiers contributeurs, aux agriculteurs, aux utilisateurs de zkSync et aux détenteurs de NFT.

Bien que les airdrops soient une stratégie courante pour susciter l’intérêt initial, ils conduisent souvent à des prises de bénéfices agressives, surtout lorsque l’utilité des jetons est encore limitée.

Binance a commencé à trader SOPH à 13h00 UTC le 28 mai, peu de temps après avoir annoncé sa cotation via un post X le 23 mai.

D’autres bourses, notamment OKX, KuCoin, Upbit, Bitget et MEXC, ont également lancé un support de trading le même jour.

SOPH a d’abord culminé à 0,11 $ avant de chuter à 0,06 $ dans la même journée, enregistrant une baisse de 24,97 %.

La volatilité du marché est alimentée par une utilité limitée et un effet de levier élevé

La volatilité précoce de SOPH n’est pas seulement le résultat de l’offre débloquée. Binance a attribué une « balise de démarrage » à SOPH, la classant parmi les jetons à haut risque sujets à la volatilité.

Ces étiquettes mettent souvent en garde les investisseurs contre les fluctuations de prix potentielles, en particulier dans les nouveaux projets.

En outre, Binance Futures a coté SOPH avec un effet de levier allant jusqu’à 75x, créant un environnement qui a encouragé le trading spéculatif et amplifié les fluctuations de prix.

Le volume des transactions a bondi de 2 724,8 % au cours des dernières 24 heures, selon CoinGecko, alors que les premiers destinataires de l’airdrop se sont précipités pour vendre leurs allocations.

Cela a créé un important excédent d’offre que la demande actuelle du marché n’a pas réussi à absorber, ce qui a exacerbé la baisse des prix.

Sophon est construit comme une blockchain de couche 2 à l’aide de la technologie Validium et fait partie de la feuille de route de la chaîne élastique de ZKsync. Il vise à servir d’infrastructure décentralisée pour les applications de divertissement.

Cependant, pour l’instant, l’utilité pratique de SOPH reste limitée, se limitant principalement à couvrir les frais de gaz et à contribuer au processus de décentralisation du séquenceur du réseau.

L’absence de cas d’utilisation immédiats semble avoir contribué à la faiblesse du soutien du marché pendant la vente.

L’intérêt des investisseurs reste élevé malgré une baisse à court terme

Malgré la baisse des prix, les indicateurs on-chain indiquent une augmentation de l’engagement des utilisateurs.

Selon DefiLlama, la valeur totale bloquée (TVL) de Sophon a grimpé à 20,28 millions de dollars le jour du lancement, en hausse de 14,1 % par rapport à la veille.

Les volumes des échanges décentralisés (DEX) ont atteint 47,44 millions de dollars, ce qui indique une forte participation aux activités d’échange de jetons.

Alors que l’activité spéculative a dominé le lancement, les données on-chain montrent que l’intérêt pour le protocole reste fort.

Le projet a levé plus de 70 millions de dollars auprès d’investisseurs, dont Binance Labs, et s’est positionné comme un acteur clé de la couche 2 au sein de l’écosystème zkSync.

En ce qui concerne l’avenir, le prochain déblocage de ravitaillement se profile à l’horizon. Un autre 20 % de l’offre totale de SOPH, désignés comme récompenses de nœud, commencera à être débloqué sur une base hebdomadaire à partir de trois mois à compter de l’événement de génération de jetons.

Si le sentiment actuel du marché ne s’améliore pas ou si de nouveaux cas d’utilisation des services aux collectivités ne sont pas déployés à temps, cet afflux pourrait déclencher de nouvelles pressions à la baisse.

La feuille de route promet plus d’utilité, mais les perspectives restent prudentes

Sophon a indiqué qu’elle avait l’intention d’élargir les cas d’utilisation de SOPH dans les mois à venir.

Bien qu’aucune date précise n’ait été donnée, l’équipe prévoit d’étendre les applications de divertissement et les outils décentralisés du réseau.

Dans un article récent, l’équipe du projet a déclaré que d’autres produits et services seraient lancés dans le cadre de sa feuille de route à long terme.

Pour l’instant, cependant, les performances du jeton sont surveillées de près par les investisseurs, en particulier compte tenu de sa forte correction initiale.

Les largages aériens se sont historiquement avérés être une arme à double tranchant, favorisant une adoption précoce, mais souvent au détriment de la stabilité des prix.

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Flambée des prix ENS : Ethereum Name Service pourrait-il atteindre le cap des 100 000 $ ?

Ethereum Name Service (ENS) bondit de 8 % pour atteindre un sommet de deux semaines dans un contexte de buzz des altcoins.
Les analystes considèrent ENS comme l’un des meilleurs jeux bêta d’Ethereum.
Si les haussiers se redressent, une cassure à 50 $ pourrait permettre un nouveau test potentiel de 100 $ au milieu du pic de l’ETH.

Le prix d’Ethereum Name Service (ENS) a bondi de plus de 35 % le mois dernier et a augmenté de 8 % en 24 heures jeudi, alors que certains altcoins ont volé l’éclat du bitcoin.

En atteignant les niveaux de prix actuels, ENS voit sa capitalisation boursière osciller autour de 903 millions de dollars, tandis que le volume des transactions sur 24 heures est en hausse de 157 % à plus de 192 millions de dollars.

Selon Coinglass, l’analyse des données dérivées d’Ethereum Name Service montre que le volume a augmenté de plus de 120 % pour atteindre plus de 306 millions de dollars. Pendant ce temps, l’intérêt ouvert pour le jeton est en hausse de 30 %, avec des positions ouvertes d’une valeur de 114 millions de dollars signalant l’intérêt du marché.

Qu’est-ce que le service de noms Ethereum ?

Ethereum Name Service (ENS) est un protocole de nommage open source et décentralisé construit sur la blockchain Ethereum.

Il transforme les adresses Ethereum conviviales, telles que jane.eth, en codes complexes et lisibles par machine reconnus par des portefeuilles comme Metamask. De plus, ENS prend en charge le mappage inverse, ce qui permet de lier des métadonnées et des adresses lisibles par machine à ces noms Ethereum conviviaux.

ENS vise à simplifier l’interaction avec l’écosystème Ethereum, en le rendant plus intuitif et accessible pour les utilisateurs, tout comme le système de noms de domaine (DNS) d’Internet améliore la convivialité du Web.

À l’instar du DNS, ENS utilise une structure hiérarchique de domaines séparés par des points, où les propriétaires de domaines ont pleine autorité sur leurs sous-domaines respectifs.

Les analystes désignent ENS comme l’un des meilleurs jeux bêta d’Ethereum (ETH) aujourd’hui. Alors que l’ETH devrait se redresser dans les mois à venir, des jetons comme EigenLayer (EIGEN), Arbitrum (ARB), Lido DAO (LDO) et Ethereum Name Service (ENS) pourraient également être prêts à progresser.

Le prix de l’ENS peut-il être récupéré 100$

Avec l’intérêt croissant pour ENS dans un contexte d’adoption qui comprend une traction supplémentaire dans les écosystèmes de domaines de noms Ethereum et Solana, le prix a semblé revenir aux sommets élevés de l’année dernière.

Once $ETH breaks this resistance.

20-25% daily gains will become the norm again for Altcoins.

SEND IT! 🚀 pic.twitter.com/adJQsOe5Fa

— CryptoGoos (@crypto_goos) May 29, 2025

Il est probable que l’ENS atteigne les sommets de 48 $ atteints en décembre 2024 après que les acheteurs ont poussé le jeton altcoin à des sommets de deux semaines de 25 $, une rupture technique potentielle signale que le prix pourrait viser une résistance autour de 30 $.

L’attrait d’Ethereum Name Service en tant que plateforme DNS décentralisée, ainsi que sa dynamique NFT croissante, offrent des vents arrière supplémentaires.

Sur les graphiques techniques, ENS teste actuellement une résistance près de sa moyenne mobile à 200 jours et une cassure signalerait de nouveaux gains.

Le RSI et un triangle ascendant sur le graphique journalier suggèrent que si les acheteurs récupèrent 30 $, la prochaine hausse pourrait faire grimper les prix vers les sommets de 2024. La barre des 100 $ représente un niveau psychologique que les haussiers de l’ENS cibleront si le risque sur le sentiment prévaut dans les mois à venir.

Cependant, si le marché devient négatif, une tendance baissière peut amener la barre des 20 $ en vue. Le support robuste se situe dans la fourchette de 12 $ à 16 $.

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Les analystes tirent la sonnette d’alarme sur le memecoin BULLA de Hasbula après le tirage du tapis BARSIK

Le nouveau memecoin de Hasbulla, le jeton BULLA, a levé 20 millions de dollars en 24 heures au milieu d’accusations d’escroquerie.
Les analystes mettent en garde contre une répétition du tirage de tapis BARSIK.
Les critiques citent un manque de transparence et l’activité des portefeuilles d’initiés.

La sensation Internet russe Hasbulla Magomedov est une fois de plus sous le feu de la communauté crypto, alors que son nouveau mèmecoin, BULLA, fait face à des accusations croissantes de fraude et de manipulation.

Bien qu’il ait levé des millions de dollars en quelques heures, le projet est scruté de près en raison du passé mouvementé de Hasbula dans le Web3, en particulier son implication dans l’échec du jeton BARSIK plus tôt cette année.

La poignée de tapis de BARSIK jette une ombre sur la lisibilité de BULLA

Lorsque la prévente de BULLA a commencé, elle a levé 5 millions de dollars en seulement deux heures et aurait dépassé les 20 millions de dollars le lendemain.

Hasbulla raised $20M for a memecoin presale in the past 24 hours.

One single address sent in almost $1 Million USD1.

Good luck to all participants! pic.twitter.com/ifvYw0NrDr

— Arkham (@arkham) May 27, 2025

Cet afflux rapide de capitaux a été alimenté en grande partie par l’immense popularité en ligne de Hasbulla et la nature virale des memecoins, qui attirent souvent les investisseurs occasionnels avec la promesse de rendements rapides.

Cependant, des experts tels que ZachXBT, un enquêteur crypto respecté, n’ont pas tardé à tirer la sonnette d’alarme, exhortant les adeptes à rester à l’écart du projet en raison de l’histoire de Hasbulla.

🚫 @zachxbt called out the $Bulla team (yep, the Hasbulla meme token) for scamming presale investors. He pointed to deleted messages and zero transparency. Instead of a real answer, they banned him.

Famous face or not, a meme coin stays a meme coin. Same old “take the money and… pic.twitter.com/60CCipIrw0

— Teazelbtc (@Teazelbtc) May 28, 2025

Son jeton précédent, BARSIK, du nom de son chat de compagnie, a disparu peu de temps après son lancement, plus de 60 % de ses fonds ayant été détournés vers des initiés.

Cette expérience a laissé de nombreux investisseurs brûlés, mais le lancement de BULLA a montré que la ferveur spéculative peut encore éclipser la prudence.

Preuve de techniques de pompage et de vidage familières

L’analyste crypto Wise Advice a critiqué Binance pour avoir fourni de la visibilité au jeton BULLA, en particulier après l’implosion de BARSIK plus tôt cette année.

Selon Wise, la formule semble dangereusement familière : attacher un visage célèbre, promettre de grosses récompenses et se retirer une fois que la liquidité atteint son pic.

Cette fois, les soupçons se sont intensifiés lorsque les données de la blockchain ont révélé qu’une grande partie du financement de la prévente provenait de portefeuilles nouvellement créés, ce qui suggère qu’une demande artificielle a peut-être été fabriquée pour stimuler l’intérêt initial.

Cette technique est généralement associée aux stratagèmes de pompage et de vidage, où les gains précoces sont orchestrés pour appâter les investisseurs peu méfiants.

So sad to see #Binance endorsing people like Hasbulla.

Last time, he launched the $BARSIK memecoin and rugged the Barsik community without a word.

Now he’s raised another $20M for his new memecoin, $BULLA…

And guess what?

Binance and CZ still openly endorsed him during the… pic.twitter.com/DFSUEchvvB

— Wise Advice (@wiseadvicesumit) May 28, 2025

Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que BULLA n’a pas encore produit de livre blanc, esquissé une feuille de route ou s’être soumis à des audits par des tiers, qui sont considérés comme des indicateurs clés de légitimité dans tout projet crypto.

Le manque de transparence alimente le contrecoup

Alors que la surveillance s’intensifie, des membres de l’équipe BULLA auraient supprimé des messages des canaux communautaires et banni les critiques, y compris ZachXBT, des discussions de groupe.

Ce comportement a été interprété comme une tentative de réprimer la dissidence et de limiter les discussions ouvertes sur les mécanismes et la direction du projet.

Contrairement aux projets légitimes, qui accueillent souvent des questions difficiles, la réponse de BULLA a été marquée par le silence et la censure.

Les utilisateurs des médias sociaux ont également affirmé que les commentaires critiques sur les publications de Hasbulla étaient discrètement supprimés, érodant davantage la confiance des investisseurs potentiels.

Ces actions ont amplifié les appels à la surveillance réglementaire dans un secteur déjà criblé de volatilité et de mauvais acteurs.

Les chiffres impressionnants de la prévente de BULLA ne sont peut-être pas légitimes

Bien que les chiffres de prévente restent impressionnants sur le papier, ils ne reflètent peut-être pas une véritable confiance du marché dans l’avenir du jeton.

Les observateurs de l’industrie soulignent que la renommée d’Hasbulla ne doit pas être confondue avec la crédibilité, en particulier compte tenu de ses échecs antérieurs dans les NFT et les jetons.

Ses entreprises précédentes, notamment une série NFT de 2021 et de multiples promesses vagues dans le métavers, n’ont pas réussi à apporter une utilité substantielle ou à donner suite.

Bien que BULLA attire toujours l’attention, les fondations qui le sous-tendent semblent inquiétantes à tous ceux qui ont suivi la débâcle de BARSIK.

Alors que la spéculation sur les memecoin continue d’augmenter, l’importance de la diligence raisonnable ne peut être surestimée, et les investisseurs doivent éviter de tomber dans le battage médiatique provoqué par l’image de marque des célébrités.

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