Toute l'actualité des NFT
Les géants des réseaux sociaux n’en finissent plus avec les NFTs. Après l’annonce de Twitter il y a quelques jours, c’est au tour de Reddit d’envisager les photos de profil sous forme de tokens non fongibles. Une nouvelle qui intervient peu de temps après que YouTube déclare lui aussi se pencher sur le sujet pour les créateurs de contenus.
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La société de recherche Nansen a constaté que le volume total des ventes de tokens non fongibles a atteint 17 milliards de dollars en 2021, alors que le marché Open Sea a brièvement dépassé Uniswap en matière d’utilisation de gaz. Les NFT sont en mesure de dépasser les cryptomonnaies À bien des égards, 2021 a […]
L’article Nansen : Les NFT « ont réalisé une percée majeure » en 2021 est apparu en premier sur Cointribune.
Une bonne volonté, mais pas suffisante – L’écosystème des NFT a connu un engouement sans précédent au cours de l’année 2021. Sur Ethereum (ETH), la plateforme Opensea a su se placer en tant que leader absolu du marché. Cependant, une information manquante sur l’interface de l’application a entraîné la vente de nombreux NFT à des prix dérisoires.
La semaine dernière, Opensea a fait la une de l’ensemble des médias spécialisés après la vente de certains NFT à prix dérisoires.
Pour résumer, lorsqu’un utilisateur met un NFT en vente sur la plateforme, celui-ci crée un ordre de vente. Néanmoins, pour annuler cet ordre, l’utilisateur doit dépenser des frais de transaction. Or, nous le savons tous. Ces derniers peuvent s’avérer extrêmement élevés par les temps qui courent sur Ethereum.
Bon nombre d’utilisateurs pensaient avoir trouvé une astuce pour contourner ces frais. En pratique, ces derniers envoyaient leur NFT vers un autre wallet avant de le re-transférer vers le wallet initial. Résultat : l’interface d’Opensea n’affichait plus l’ordre de vente.
Malheureusement, la blockchain est impartiale. Un ordre reste actif tant qu’il n’a pas été convenablement annulé.
Par conséquent, certains internautes ont pu acquérir des NFT à des prix bien inférieurs aux prix normaux, en exécutant d’anciens ordres, que les détenteurs de NFT pensaient avoir annulés via la méthode du transfert. Plusieurs dizaines de NFT ont ainsi pu être achetés pour des montants allant jusqu’à 99 % inférieurs à leurs prix normaux.
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Rapidement, l’ensemble de la communauté s’est tournée vers Opensea, jugeant que le manque d’informations disponible sur le site était une erreur de la part de la plateforme. Comme attendu par la communauté, Opensea a tenté de réagir, mais sa réaction n’a fait en réalité… qu’aggraver la situation.
En effet, la plateforme a envoyé un e-mail à l’ensemble de ses utilisateurs ayant des ordres en cours depuis un certain temps. L’e-mail les incite à annuler ces ordres afin de ne pas voir les NFT revendus à prix dérisoires.
Malheureusement, cela n’a eu pour effet que d’exacerber le problème rencontré par la plateforme.
L’utilisateur connu sous le pseudo de swolfchan en a fait l’amère expérience. Effectivement, suite à cet e-mail, ce dernier a souhaité annuler ses ordres en cours.
Il a alors annulé l’ordre de vente à 15 ETH de son Mutant Ape Yacht Club 23 070. Cependant, un autre ordre à 6 ETH précédemment créé était, quant à lui, encore actif. Par conséquent, l’ordre le plus récent, à savoir celui à 15 ETH, a été remplacé par celui à 6 ETH, sur lequel un acheteur s’est jeté dans les secondes qui ont suivi la première annulation.
Résultat : en voulant protéger son NFT, swolfchan l’a encore plus exposé au risque de rachat à prix dérisoire.
« J’ai reçu 2 e-mails aujourd’hui d’Opensea à propos de listings, et j’ai perdu 15+ ETH à cause de ce qu’ils essaient d’empêcher. (…) On m’a dit d’agir de toute urgence pour annuler tout ordre inactif… J’ai annulé un ordre de 15 ETH sur un MAYC et cela a déclenché un listing à 6 ETH… et la vente ?? »
swolfchan
Ainsi, si vous souhaitez vous prémunir de ce « bug », veillez à bien annuler les ordres dans l’ordre croissant de prix. Cela évitera qu’un ordre laisse place à un ordre plus ancien, ayant un prix inférieur.
Alors que le problème d’affichage sur Opensea n’a toujours pas été résolu, la plateforme semble prioriser d’autres développements. En effet, des informations ont fuité quant à l’ajout potentiel des NFT de la blockchain Solana à la plateforme Opensea.
L’article Bug OpenSea, la plateforme propose un remède pire que le mal est apparu en premier sur Journal du Coin.
In 1992, writer Neal Stephenson released his third novel, titled “Snow Crash.” In it, Stephenson’s characters interact in a completely digital environment where appearances can be changed on a whim and digital real estate is just as valuable as its real-life counterpart. Stephenson called his digital environment “the Metaverse.”
Twenty-eight years later, public companies like Meta (formerly Facebook) and decentralized autonomous organizations (DAOs) like the Decentraland Foundation have been working to make the metaverse a profitable reality. That has opened up entirely new revenue opportunities for retail investors, gamers, digital collectors and developers.
It’s important to note, however, that the metaverse is still in its infancy and its value proposition has yet to be proven. Any investment in the metaverse should be considered speculative and highly risky.
The least volatile option for retail investors seeking to buy into the metaverse is to invest in publicly traded companies whose business models or profitability are tied to the metaverse. The list includes:
Meta Platforms Inc (NASDAQ: FB) – In October, Mark Zuckerberg announced the company formerly known as Facebook Inc. would undergo a major rebranding and become Meta Platforms Inc. Since the announcement, Meta has released a virtual reality metaverse platform, Horizon Worlds. Meta’s Oculus Quest 2 VR headset was also one of the hottest gifts over the holidays. It remains to be seen, however, if increased headset sales will result in more Horizon Worlds users.Roblox (NYSE: RBLX) – Roblox is an online metaverse platform that allows gamers to create and share virtual worlds with other Roblox users. Roblox has grown rapidly since its inception in 2006, with 9.5 million independent developers, 24 million unique digital experiences and 49.4 million daily active users – up 35% year over year. Still, despite those numbers, the company has yet to turn a profit.Boeing (NYSE: BA) – Boeing is using the metaverse to expand and improve production capabilities. In an interview with Reuters, Greg Hyslop, Boeing’s chief engineer, said that the plane maker is planning to create a proprietary digital environment where its human, computer and robot employees can communicate and collaborate seamlessly across the world.Microsoft (NASDAQ: MSFT) – Microsoft is looking to find its metaverse niche in the professional world. The company plans to release Mesh for Microsoft Teams in 2022. The add-on to the popular video conferencing platform will allow individuals to generate personalized avatars and collaborate in a holographic 3D environment that transcends geographic boundaries. A key feature of Microsoft Mesh will be Holoportation, which is a tool that allows users to access the previously mentioned digital environment with a VR headset. The user appears as a digital lifelike representation of themself with the ability to interact with team members as if they were in person.
Although the metaverse is still in its infancy, platforms like The Sandbox and Decentraland have already begun selling digital real estate in the form of non-fungible tokens (NFTs), digital tokens on blockchain networks that can represent a wide range of unique items. When an individual purchases a piece of metaverse land, the blockchain network powering the metaverse platform verifies the sale and transfer of ownership.
Once the virtual real estate is purchased, the owner of the metaverse land NFT can rent, sell or build on his digital property. Japanese video game maker Atari recently purchased 20 parcels of digital land in Decentraland and created its very own crypto casino. Using its own native ERC20-based Atari token, gamblers can place bets and receive winnings in crypto tax-free. Atari has also announced plans to launch its own virtual hotel complex in 2022.
Several metaverse platforms have created marketplaces where users can buy and sell digital land and other collectibles in the form of NFTs. Here is how to do it.
The user who wishes to purchase metaverse real estate needs to identify which platform he would like to purchase digital land. Popular options are Decentraland and The Sandbox, although there are several others. Do your own research before buying any land in the metaverse.The user needs to create a digital cryptocurrency wallet, a type of computer software that connects to a blockchain network and stores cryptocurrency and is compatible with the associated blockchain that powers the metaverse platform.From there, the purchaser needs to access the marketplace of his chosen metaverse platform and connect his digital wallet to it. Marketplaces can typically be found on metaverse platform websites.At this stage, purchasing digital land looks a lot like buying land in the physical world. A buyer needs to consider the price, location and future value of the digital land he is considering purchasing.Once the buyer has identified a piece of land, he needs to acquire the tokens or coins to buy it with and store them on his digital wallet. The type of token or coin that will be needed to execute the transaction varies by metaverse platform. For instance, to purchase digital land in Decentraland, the user would need to purchase MANA tokens. If he wished to purchase land in The Sandbox, he would need to acquire SAND tokens.If the buyer has already connected his digital wallet to the metaverse marketplace and funded it, all he needs to do is place a bid on the land or buy the land outright. The cost of the land will be removed from the digital wallet and the NFT representing the land will be transferred to the user’s wallet.The same process applies to buying other metaverse NFT items such as clothing and accessories for avatars.
Metaverse projects on blockchain networks are powered by fungible tokens – tokens that are divisible and can be mutually exchanged. These tokens are used to purchase digital assets like virtual land or outfits for avatars. They can also be traded for other crypto or fiat currencies. Certain metaverse cryptocurrencies also allow their owners to vote on decisions within a metaverse platform such as where money should be invested or which new features to release first.
Theoretically, as the value of digital assets rise, so will the value of their associated tokens. Furthermore, some metaverse platforms like Decentraland burn all MANA tokens used to purchase digital assets, removing them permanently from circulation and increasing the value of the remaining tokens.
Below are metaverse tokens listed in descending order by size of market capitalization (market cap). These options are inherently risky and should be considered a speculative investment. As a general rule, it’s advisable to never invest more than you are willing to lose.
Decentraland (MANA) – With a market cap of about $6 billion at the time of writing, Decentraland’s MANA token powers the Decentraland metaverse and is used as a medium of exchange on the platform’s marketplace.Axie Infinity (AXS) – Unlike Decentraland’s MANA, which is used to purchase digital goods and services, Axie Infinity’s AXS token is a governance token. Those who own AXS will be able to vote on proposed decisions that will affect the Axie Infinity ecosystem, including how funds in the community treasury are spent. There are future plans to modify the AXS token so that it can be used to purchase digital goods and services on Axie Infinity.The Sandbox (SAND) – The Sandbox is focused on a metaverse of user-generated content, much like Roblox. The SAND token is awarded to individuals who participate in The Sandbox’s alpha user testing. SAND tokens can also be purchased on digital exchanges. SAND is a utility, governance and staking token. Owners of SAND can use it to purchase digital goods and services, vote on proposed initiatives within The Sandbox and stake their SAND to earn further rewards.Enjin Coin (ENJ) – Enjin is a blockchain gaming company. Unlike The Sandbox or Axie Infinity, which offer only a single metaverse product, Enjin offers its users a host of interconnected play-to-earn gaming experiences. Enjin is unique in that its native token, ENJ, is “infused” into every NFT minted within its ecosystem, arguably providing real-world value for digital assets.
Companies heavily invested in the metaverse are spending millions of dollars convincing consumers that the dawn of the metaverse is upon us. But will it usher in an era of mass adoption and barrier-free digital interaction or will it be a niche product, reserved for gamers and future tech enthusiasts? Only time will tell. For now, retail investors interested in the metaverse should explore these platforms and consider the metaverse’s future value for themselves.
Digital currency prime broker Genesis Global Trading posted over $20.7 billion in notional value traded for derivatives during the fourth quarter of 2021, up 62% from the previous record of $12.8 billion in Q3. For all of 2021, derivatives notional value traded of $53.8 billion was up 812% from the previous year. Genesis is a subsidiary of Digital Currency Group, which also owns CoinDesk.
Spot trading volume of $30.8 billion in Q4 was up 23% from the previous quarter, with full-year volume of $116.5 billion, up 463%.
As the Genesis numbers make clear, derivatives trading has been the key driver for boosted volumes at global exchanges, pushing U.S.-based Coinbase, for example, to recently acquire FairX to improve its standing versus competitors. Over the last 24 hours, derivatives trading volumes at Binance were $78 billion versus spot volumes of just $20 billion, according to CoinMarketCap.
Turning to loan originations, Genesis said they hit $50 billion in Q4, up 40% from Q3. Loan originations for all of 2021 were up nearly seven-fold from 2020.
Bitcoin (BTC), however, lost some of its lending mix dominance, with Genesis citing the discount to NAV for the Grayscale Bitcoin Trust (GBTC) as the reason (Grayscale Investments, which manages the trust, is also unit of Digital Currency Group).
BTC accounted for just 27.5% of the lending mix at year-end vs. 53.9% twelve months earlier. Gaining share were USD-and-equivalent loans, rising to nearly 40% by the end of 2021 versus 23.2% in 2020.
The firm also said it is seeking to grow its NFT-backed lending portfolio as the sector grows. For now, the company said most of its NFT lending volumes are driven by high net worth individuals.
UPDATE (Jan. 27, 18:33 UTC): Added that Genesis is a subsidiary of Digital Currency Group.
Sky Mavis, creator of play-to-earn Axie Infinity is releasing RON, a governance token for its Ethereum sidechain, the Ronin Network, according to a company announcement Thursday.
The RON token enables users to pay for transactions on Ronin and also includes decentralized finance (DeFi) features like community governance and future utility via staking through validators to earn rewards.
RON is currently trading at around $3.75 according to CoinMarketCap.
Ronin was launched in February 2021 and aims to be an industry leading blockchain for gaming by speeding up transactions and eliminating expensive gas fees for players. In November, the layer 2 product from Sky Mavis processed 560% more total transactions than the Ethereum blockchain, according to a report from Nansen.
The blockchain currently has 250,000 unique daily active addresses according to data from Nansen and in 2021, processed 15% of all non-fungible token (NFT) volume.
As an incentive, Sky Mavis is offering users free transactions for holding Axies and Land in their Ronin wallets.
“It’s important that Ronin has shared ownership by the community that builds and uses it. In the first month of Ronin, Axie experienced a 300% increase in monthly NFT trading volume and a 131% increase in daily active battlers,” said Jeff Zirlin, Sky Mavis growth lead and co-founder.
The Ronin network also claims to be more energy efficient than the Bitcoin and Ethereum networks. By using 0.0000015 COT emissions (in KG) for one Ronin transaction, compared with what it takes for one Bitcoin transaction 1,079.18 and Ethereum 125.26.
Blockchain project Chainlink Labs has hired the co-creator of Meta’s Diem, Christian Catalini, as well as Stanford cryptographer Dan Boneh as technical advisers, the firm announced Thursday.
Chainlink develops “oracle” networks that connect real-world data with smart contracts built on blockchains. European telecommunications company Deutsche Telekom is one of the main data providers to Chainlink.
Catalini and Boneh will primarily work on the Cross-Chain Interoperability Protocol (CCIP), a new international standard for decentralized inter-blockchain messaging, data, and token movements. With CCIP, users will be able to move tokens and execute smart contracts across different blockchains via the Chainlink Network.
“To ensure that CCIP launches as the most secure cross-chain protocol in the world, we’re bringing on some of the greatest minds in crypto-economics and cryptography to work with us,” said Chainlink co-founder Sergey Nazarov.
Prior to joining Chainlink, Catalini was one of the co-creators and the chief economist of the Diem Association, owned by Meta Platforms (formerly Facebook), which was looking to create a stablecoin. On Wednesday, the Wall Street Journal reported that the Diem Association is selling its technology to Silvergate Capital for $200 million, citing an unnamed person.
Catalini and Boneh will also be working with the Chainlink Labs research team on the economics section of the Chainlink 2.0 white paper.
Chainlink is aggressively hiring and expanding its advisory team. In December, Chainlink hired former Google CEO Eric Schmidt, who helped launch services Gmail, Google Maps and Chrome and acquired YouTube and Android during his time running the search giant. Schmidt joined Chainlink as a strategic adviser.
There has recently been a wave of Web 2 talent rushing into the Web 3 space as blockchain, gaming and non-fungible token (NFT) companies continue to form and expand. This past week, YouTube’s head of gaming, Ryan Wyatt, announced he will be joining Polygon as the CEO of Polygon Studios, while YouTube’s senior director of creator partnerships Jamie Byrne said he would be joining NFT platform Bright Moments in a leadership role.
Read more: Diem Mulling Sale of Assets to Pay Back Investors: Report
UPDATE (Jan. 27, 15:04 UTC): Updated information about reported sale of Diem Association in fifth paragraph.
En 5 minutes et 5 questions, découvrez ce que le jeu blockchain Revomon a à offrir. Univers mêlant la réalité virtuelle et des monstres à collectionner sous forme de NFTs, comment Revomon se démarque-t-il sur la scène des jeux Play to Earn ?
L’article 5 questions à Revomon, un Play to Earn mêlant NFTs et réalité virtuelle est apparu en premier sur Cryptoast.
Les NFT aujourd’hui, sont devenus de véritables trésors. Tout artiste se voit donc dans la possibilité de faire parler son art et en faire des NFT. C’est dans cette optique que le célèbre artiste Alexey Botvinov se voit honoré par le lancement de sa collection NFT. Qui est Alexey Botvinov ? Qu’est-ce que la nouvelle […]
L’article DCM Swiss SA lance la collection NFT d’Alexey Botvinov est apparu en premier sur Cointribune.
Cross the Ages s’annonce comme un jeu crypto hors du commun. Une fable philosophique située sur les rives de l’épopée humaine et des imaginaires. Deux univers puissants s’y affrontent sur le continent Artellium. La magie animiste des temps immémoriaux, apanage des Arkhantes, fait face à la techno transhumaniste des Neurotechs de la cité Mantris. Entre les deux civilisations, le désert, ou presque.
Cet article promotionnel vous est proposé en collaboration avec Cross the Ages.
Il y a un peu plus d’un an, Sami Chlagou, fondateur et dirigeant de la société Pixelheart s’est lancé le défi d’une vie : la création d’un jeu crypto hors-norme, la première saga NFT de la technologie blockchain. Et le jeu, c’est justement le domaine d’excellence de Sami ! Joueur et collectionneur invétéré de cartes Magic et Pokemon entre autres, c’est dans le gaming que sa société réussit ses premiers coups d’éclat. En 10 ans, plus de 50 licences pour Playstation, Nintendo Switch ou encore Dreamcast.
Face à l’ampleur du projet Cross the ages, le serial-entrepreneur sollicite son ami Christophe de Courson, spécialiste de l’écosystème blockchain. Ensemble, ils constituent une équipe dirigeante compétente et talentueuse. Des spécialistes qui sauront mettre à contribution le petit empire de 5 studios de développement répartis sur tous les continents. Un seul mot d’ordre : s’étendre rapidement au-delà des limites physiques de notre monde.
A bien des égards, l’univers “blockchain” est un espace technologique encore sauvage, presque vierge d’esthétique et de valeurs. Un terrain de jeu idéal pour y développer les multiples couches d’un récit dystopique cohérent et passionnant. Une saga jalonnée de héros complexes, d’amour et de trahison, d’empires et de conquêtes. Une aventure à la hauteur des possibilités, des attentes et des enjeux. Idéale pour fédérer des cohortes d’aventuriers et les emporter à travers les âges.
Il aura fallu réunir une armée. Ou plutôt des armées, recrutées parmi les plus fines gâchettes de leurs domaines respectifs. Une armada de développeurs, écrivains, designers, connus parfois pour avoir participé à d’immenses projets tels que le Seigneur des anneaux ou encore Matrix. Tous prêts à mettre leurs talents au service d’une nouvelle page d’histoire dans l’écosystème blockchain.
Pour durer dans le temps et s’affranchir des effets de mode, il faut de la matière, de l’épaisseur. Le jeu va donc s’appuyer sur une trame puissante matérialisée par une histoire originale. Un récit fondateur qui sera révélé au cours des sept prochaines années. Sept tomes dont les chapitres sont autant d’épisodes livrés au compte goutte. Aux commandes, Arnaud Dollen, scientifique de formation, et auteur renommé sur les rivages de la SF. Il supervise aujourd’hui l’écriture et la scénarisation d’une escouade de presque vingt scribes-éclaireurs d’élite qui nous ouvrent ensemble le chemin.
Pour illustrer le propos et bâtir le succès du concept, la charte graphique devait être de toute beauté. Ce sont pas moins de 66 illustrateurs qui constituent le bataillon de la création picturale. Des artistes digitaux emblématiques. Tous rompus aux techniques et aux standards des supports numériques les plus avancés. Une troupe d’illustrateurs chargée d’une mission délicate: transcrire l’ambiance « techno-fantaisy » du récit sur des cartes à collectionner, et les transformer en objets de désir. A cette heure, certains visuels affichent déjà plusieurs dizaines de milliers de vues sur l’instagram du projet.
Si le monde doit être beau, que la narration doit être enlevée, le jeu doit avoir le potentiel de déchaîner les passions. S’y attèlent pas moins d’une vingtaine de développeurs. Des artificiers prêts à dynamiter les contours connus des jeux vidéo déployés sur la blockchain. Depuis les logiques d’évolution aux stratégies de play-to-earn, en passant par la modélisation des avatars et les hiérarchies des factions, toutes les mises en œuvres sont leurs hauts-faits d’armes.
Ayant sélectionné le réseau Polygon comme base arrière, la compagnie a su mettre sur pied un commando d’élite resserré, voué à mettre en œuvre l’arsenal complet de la technologie blockchain. Réunis autour du CTO Tony Caradonna, ils fomentent actuellement une solide stratégie offensive. Leurs armes ? les NFT bien évidemment, mais aussi une économie de guerre basée sur deux crypto-monnaies distinctes, et des protocoles hérités de la DeFi. Ainsi, le Crystal sera la monnaie dite “stable” de l’écosystème et de l’interaction. Le CTA sera le fer de lance de l’expansion.
C’est armé de ces belles promesses que la compagnie est allée chercher fortune à la rencontre des poids lourds du secteur. Une campagne de communication menée tambour battant qui a permis de réunir un véritable trésor de guerre, sans pour autant céder sur l’indépendance du studio. Les fonds nécessaires à l’effort de guerre sont fournis par de grands acteurs qui associent ainsi leurs noms et leurs domaines d’excellence, pour la gloire et la postérité.
Cross the Ages est, à bien des égards, un jeu précurseur, unique en son genre. On pourrait d’abord croire que le marché émergent des cartes “NFT” à collectionner est son cœur de cible. Mais CTA va bien plus loin que cela. II se définit comme une passerelle entre plusieurs univers passionnés distincts, aux exigences fortes
La mécanique de jeu, qui veut que vous éliminiez les cartes adverses sur un plateau, est retravaillée pour rendre les parties encore plus fun et addictives. Un gameplay riche et hautement stratégique à mesure que l’on se hisse vers les sommets des classements de joueurs. Pour les plus fins stratèges, une progression régulière les mènera jusqu’aux divisions d’élite. Ils pourront alors participer à de véritables compétitions dotées de prize pool allant jusqu’à 1 million de dollars.
Les ouvertures de paquets de cartes à collectionner restent pour beaucoup, le souvenir d’un petit bonheur fort en émotion. Ce sont autant de madeleines de Proust que Cross the Ages veut offrir à une catégorie bien particulière de son public. Le “card-onomics” se veut original, incitatif et accessible. Extrêmement riche et travaillé, en voici quelques points marquants.
Les paquets seront tous proposés à des prix abordables situés entre 3 et 15€Les cartes contenues sont d’abord émises et détenues sous forme “digitale”. Le nombre de cartes différentes créées chaque année est fixe.Les possesseurs n’auront qu’un an pour “mint” celles de leur choix sous forme de NFT.Chaque variété de carte aura donc un nombre de NFT limité au nombre que les joueurs auront décidé de “mint” pendant l’année. Les joueurs créeront ainsi la rareté.La rareté fera la valeur, mais la possibilité inédite d’en faire fusionner certaines amènera un intérêt nouveau aux cartes les plus communes.Les plus fétichistes qui réussiront à réunir une série complète pourront prétendre à une carte exceptionnelle. Une carte NFT physique, palpable et holographique dite “phygital”.
La dimension “blockchain” n’est pas reléguée au second plan. Les modèles économiques nés de jeux comme Axie Infinity ont ouvert la voie à une véritable dimension crypto-économique qui est pour beaucoup dans le succès d’un titre. Cross the Ages permet de s’y impliquer à travers de nombreux mécanismes bien connus des investisseurs crypto.
Outre les gains générés par l’achat/revente des NFT sur la marketplace, les deux token natifs du protocole, le “stable” Crystal et le CTA fluctuant seront prétextes à toutes sortes de rendements estampillés DeFi comme par exemple le “staking”. Ajoutez-y la dimension play-and-earn pour les plus geeks d’entre nous, et vous obtenez un cocktail d’investissement crypto détonant.
“Science sans conscience n’est que ruine de l’âme” – Il fut un temps dans l’histoire, ou les artistes étaient des esthètes et des philosophes, considérés comme des scientifiques à part entière. Subtilement, à la faveur des singularités du format NFT, l’art véritable retrouve cette analogie oubliée, et se transpose dans toutes les couches du numérique, dont les jeux.
Discipline ancestrale ayant su voyager à travers les âges en investissant le cœur des hommes, cet « esthétisme » au sens premier du terme projette aujourd’hui son héritage vers le futur à la faveur d’une technologie blockchain aux potentialités infinies.
Dans ce voyage temporel autant que sensoriel, le jeu Cross the Ages se veut démiurge, créateur d’un univers disruptif à la jonction de dimensions parallèles.
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