Toute l'actualité des NFT
L’ancien chanteur du groupe de heavy metal Black Sabbath Ozzy Osbourne lance sa première collection de tokens non fongibles (NFTs), les CryptoBatz. La collection met en avant 9966 chauves-souris sous forme de NFTs et qui disposent d’une fonctionnalité unique en son genre : celle de muter avec un autre NFT.
L’article Ozzy Osbourne annonce sa première collection de NFTs, les Cryptobatz est apparu en premier sur Cryptoast.
Les initiatives de GameFi ont rencontré un engouement sans précédent ces derniers mois. Leur popularité s’explique notamment par une baisse des coûts de transaction et une expérience utilisateur bien meilleure qu’elle ne l’était il y a quelques années.
Huobi Research, la division de recherche de la crypto-plateforme d’échange Huobi, s’est intéressée à l’intérêt suscité cette année par la GameFi. Ce secteur regroupe les projets qui mêlent le gaming et la finance décentralisée pour proposer des modèles « play-to-earn ».
Selon Huobi Research, les données des blockchains montrent que les initiatives de GameFi ont connu une popularité croissante depuis juin 2021, et ce grâce à des frais de transaction réduits et à une expérience utilisateur améliorée.
Beaucoup de chemin a été parcouru depuis les débuts du secteur. L’étude rappelle ainsi que la popularité jeux blockchain les plus populaires il y a quelques années s’était rapidement émoussée. Huobi Research prend l’exemple de CryptoKitties, qui avait grimpé à un record à 140 000 utilisateurs actifs, avant que ce chiffre ne soit divisé par plus de 10 dans les mois qui avaient suivi.
« Les premiers jeux blockchain souffraient de nombreux défauts : des modèles étranges, un divertissement simpliste et de mauvaises expériences ».
La situation a radicalement changé en 2021. L’avènement des secteurs des tokens non fongibles (NFTs) et de la finance décentralisée est allée de pair avec un engouement croissant pour les jeux tirant profit de la technologie blockchain. Le « play-to-earn » Axie infinity, dont le token AXS a littérallement flambé en 2021, a ainsi généré en octobre un record de 9,72 millions de dollars en une seule journée :
Selon Huobi Research, les jeux de GameFi font désormais partie des applications les plus populaires de la crypto-sphère.
« Les classements d’applications décentralisées montrent que 5 des 9 principales applications sont des applications de GameFi. Au début du mois de décembre [2021], le nombre d’utilisateurs actifs hebdomadairement de la GameFi a atteint un record historique à 9,21 millions ».
L’étude d’Huobi Research met en lumière les avantages de la GameFi par rapport aux jeux plus traditionnels. On retrouve parmi ses atouts le fait de pouvoir échanger gratuitement des objets et de la monnaie :
L’entité ajoute que les développeurs de GameFi ont la possibilité de garantir aux joueurs les droits de propriété d’un objet :
« Il s’agit non seulement d’un avantage comparatif dont n’ont jamais pu bénéficier les développeurs de jeux traditionnels, mais cela reflète également la valeur intrinsèque de la technologie blockchain pour le secteur du gaming ».
L’article GameFi : dans une nouvelle étude, Huobi rapporte l’engouement suscité par le gaming blockchain est apparu en premier sur Crypto-France.
Depuis la montée en puissance des CryptoPunks en 2017, de nombreux projets NFT ont vu le jour avec l’année 2021 comme point culminant de cette production. Celle-ci a d’ailleurs été marquée par le lancement de la collection The Bored Ape Yacht Club qui a été effectif vers la fin du mois d’avril. La collection de NFT […]
L’article L’ascension des NFT de la collection The Bored Ape Yacht Club est apparu en premier sur Cointribune.
Après avoir rappelé qu’il ne faisait plus partie du projet depuis un certain temps, le cofondateur du Dogecoin a révélé la taille de son portefeuille de DOGE.
Il ne s’exprime pas au nom du coin qu’il a cocréé. Billy Markus, à l’origine du premier « meme coin », a récemment rappelé sur Twitter qu’il était désormais extérieur au projet Dogecoin.
Il a également confié le nombre de coins qu’il détient actuellement : 220 000 DOGE, soit environ 40 000 dollars aux cours actuels.
Dans un fil publié dimanche dernier sur Twitter, Billy Markus – qui se présente sous le pseudonyme de Sibetoshi Nakamoto –a rappelé qu’il ne travaillait plus sur le Dogecoin :
« Je ne fais pas partie du projet », a‑t-il affirmé. « Je suis un membre de la communauté. Je détiens environ 220 000 DOGE ».
Yet another reminder:
I don’t speak for dogecoin.
I am not on the project. I am a community member. I hold about 220k doge.
I will defend those who I feel are actively making the space better. I will discourage those who I feel aren’t.
I will talk about whatever I want.
— Shibetoshi Nakamoto (@BillyM2k) December 27, 2021
Le développeur a ajouté qu’il ne travaillerait plus jamais sur sa création :
« Travailler sur un crypto-projet, c’est terrible », a‑t-il expliqué.
« J’ai découvert que plus vous en faites pour les gens, plus ils pensent qu’ils ont tous les droits et moins bien ils vous traitent ».
i never will. working on a crypto project is terrible as i have actually found the more you do for people, the more entitled they get and worse they treat you.
i respect the developers a lot for volunteering to do so for all these years.
— Shibetoshi Nakamoto (@BillyM2k) December 27, 2021
Malgré ses frustrations, Billy Markus a ajouté qu’il soutenait les développeurs qui se sont portés volontaires pour poursuivre le projet Dogecoin :
« Je défendrai toujours ceux dont je pense qu’ils rendent cet écosystème meilleur », a‑t-il indiqué. « Je découragerai ceux dont je pense qu’ils ne le font pas ».
À lire également : Shiba Inu ou Dogecoin ? Ces deux analystes privilégient le SHIB
Lancé en 2013 par Billy Markus et Jackson Palmer en tant que « blague », le Dogecoin est devenu extrêmement populaire cette année, atteignant en mai une « Market Cap » record de plus de 95 milliards de dollars.
Le « meme coin » a en grande partie bénéficié de la promotion d’Elon Musk. Après que sa société Tesla a révélé qu’elle renonçait à accepter les paiements en Bitcoin du fait de considérations environnementales, l’entrepreneur avait redoublé d’efforts pour populariser le « meme coin ».
En mai, Elon Musk avait d’ailleurs confié qu’il travaillait avec les développeurs du Dogecoin afin d’améliorer l’efficacité de ses transactions :
Working with Doge devs to improve system transaction efficiency. Potentially promising.
— Elon Musk (@elonmusk) May 13, 2021
À la mi-décembre, le patron de Tesla avait évoqué le DOGE dans un entretien accordé au magazine Time, affirmant qu’il était plus efficace que le Bitcoin pour effectuer des paiements.
Bien qu’auréolé d’une année 2021 exceptionnelle (environ + 4 000% depuis le 1er janvier), le Dogecoin s’est fait voler la vedette par un autre « meme coin », le Shiba Inu. Lancé en août 2020, le SHIB a enregistré une hausse stratosphérique de plus de 52 000 000% cette année :
Returns in the past year:
Shiba Inu +52,601,740%
Axie Infinity +18,336%
Terra +15,429%
Polygon +14,690%
Solana +13,232%
Decentraland +4,691%
Dogecoin +4,133%
Avalanche +3,936%
Binance Coin +1,461%
Cardano +783%
Ethereum +460%
Uniswap +425%
Polkadot +396%
XRP +328%
Bitcoin +90%
— Jon Erlichman (@JonErlichman) December 27, 2021
À lire également : Dogecoin : un premier NFT a été créé sur sa blockchain
L’article Billy Markus, le cocréateur du Dogecoin, confie ne détenir que 40 000 dollars de DOGE est apparu en premier sur Crypto-France.
Le millionnaire indien Vignesh Sundaresan serait-il assez fou pour acheter le collage de 5 000 images numériques de Beeple au prix de 69 millions de dollars ? En quoi un collectionneur de crypto-art tirerait-il avantage dans la détention d’objets virtuels ? Les réponses dans ces quelques lignes. Tokenisation D’abord, il convient de dire que nous assistons progressivement à la tokenisation […]
L’article En quoi posséder un NFT constitue un réel avantage ? est apparu en premier sur Cointribune.
Après les succès mondiaux des rassemblements de New-York et Miami, Paris, capitale des arts et de l’innovation technologique, méritait un événement NFT digne de ce nom, et notre équipe vous l’apporte !
Organisé par des grands noms de l’écosystème crypto (Ledger, Atka, etc.) et le master X-HEC Entrepreneurs, l’événement interactif NFT Paris vous plongera, le temps d’une journée, au cœur de l’univers bouillonnant des NFTs en abordant des sujets variés : metaverse, sécurité, art, luxe et technologie.
Nous avons décidé d’organiser la conférence à Station F, plus grand campus de start-up du monde créé par Xavier Niel qui s’intéresse depuis quelques années aux cryptomonnaies, comme l’avait constaté l’écosystème à l’époque de l’ouverture des portes de Chain Accelerator, l’accélérateur dédié aux startups blockchain. L’évènement NFT Paris accueillera 500 participants le 22 janvier 2022.
Rejoignez-nous à NFT Paris le 22 janvier 2022 ! >>
NFT Paris a pour vocation de démocratiser la compréhension et l’accès à l’univers des NFTs en mettant en relation collectionneurs, influenceurs et pionniers de l’industrie du Web3. En plus d’intervenants spécialistes du sujet, vous y découvrirez des stands d’entreprises partenaires qui présenteront leur projet et expertise, une chasse au trésor, une exposition de NFTs et une expérience immersive dans le metaverse.
« La technologie des NFTs est une machine à créer de la rareté digitale […] on collectionne depuis des millénaires dans le monde physique, ça ne fait que commencer dans le monde digital »
Nicolas Julia, Sorare
L’événement sera aussi l’occasion de discuter ensemble des différentes problématiques des NFT : Il y a-t-il une bulle spéculative autour des NFTs ? Quelle est leur utilité ? Comment expliquer la vente de NFTs à plusieurs millions d’euros ? Quelle est la vision future du metaverse ? Comment les NFTs impactent-ils le gaming, la sécurité, l’art, le luxe et la musique ? Autant de questions auxquelles les intervenants tels que Ian Rogers, Sébastien Borget et Julien Bouteloup répondront dans la conférence et les panels talks.
Vous êtes en droit de ne rien comprendre à la tendance des métavers… Mais l’évènement Paris NFT vous tend les bras ! N’attendez plus pour préparer l’avenir et rejoignez-nous à Station F pour tout savoir des NFTs et des nouvelles tendances de l’écosystème crypto en réservant vos billets dès maintenant !
L’article NFT Paris – Le rendez-vous à ne pas manquer à Station F avec la communauté NFT française est apparu en premier sur Journal du Coin.
La plateforme d’échange Kraken aurait de grandes ambitions en matière de tokens non fongibles (NFT). Le PDG de l’exchange a en effet confirmé qu’il sera possible de déposer des NFT sur la plateforme, et de les utiliser en tant que garantie d’un prêt. Un modèle qui va se démocratiser ?
L’article Kraken permettra d’utiliser des NFT en tant que garantie pour des prêts est apparu en premier sur Cryptoast.
Au début de l’année, le mot NFT était un terme de niche, le métaverse n’était pas encore sur la plupart des radars et le Web3 n’en était qu’à ses débuts. Tout est différent aujourd’hui en partie grâce aux efforts déployés sur la blockchain Flow. Celle-ci a notamment vu la communauté des développeurs s’intéressant aux trois […]
L’article NFT, Web3 et métaverse : Des sujets inévitables en 2021 grâce à la blockchain Flow est apparu en premier sur Cointribune.
Il a l’air encore plus las que le reste de sa fratrie simiesque, pourtant elle-même peu réputée pour son dynamisme. Lui, c’est le Bored Ape (« singe qui s’ennuie ») numéro 11, membre d’une collection de 9999 dont le succès ne se dément pas depuis sa création en avril 2021. Et en dépit de ses traits tirés et de son évident manque de motivation, il a tapé dans l’œil (rougi) du célèbre night Club de Miamia, le E11EVEN. Mais même dans un environnement où la mauvaise bouteille de vodka est vendue à 1000$, qu’est-ce qui peut bien pousser une boite de nuit à dépenser près de 400 000$ pour un NFT de chimpanzé blasé ? Welcome to the jungle
396 000$ – ou encore 99 ETH – c’est le prix qu’a annoncé avoir consenti payer la très select boite de nuit de Miami, le E11EVEN pour acquérir le Bored Apes #11 de la collection éponyme Bored Ape Yacht Club. Ainsi que l’annonce très officiellement le club, le coup de cœur pour ce specimen d’une des collections de NFT les plus connues et les plus valorisées a été immédiat :
« Après avoir étudié BAYC pendant un certain temps, nous avons commencé à remarquer des traits qui résonnaient avec E11EVEN. Croyez-le ou non, notre singe préféré se trouve être le numéro 11 Au début [son propriétaire], hésitait à vendre, mais après quelques allers-retours, nous sommes parvenus à un accord mutuel »
De fait, tout indique que la transaction se soit effectivement nouée en direct, de pair-à-pair, le NFT du Borde Apes #11 ne laissant apparaître aucune transaction récente, si ce n’est un transfert d’un wallet à l’autre le 22 décembre
Le night club E11EVEN est tout particulièrement connu dans l’écosystème crypto pour accepter depuis plusieurs mois les paiements en cryptomonnaies. Le fait que le club se trouve par ailleurs à Miami, ville qui tend elle-même à devenir un des épicentres mondiaux de Bitcoin grâce notamment à son crypto-maire Francis Suarez, participe à ce que les crypto, et les NFT y soient tout particulièrement tendance.
« E11EVEN s’est toujours consacré à être à la pointe et à rester en tête de la tendance, nous avons connu un énorme succès ces huit derniers mois, depuis que nous avons accepté la crypto comme forme de paiement et voyons des opportunités comme celle-ci comme une transition naturelle pour l’entreprise afin de continuer à développer la marque et nos actifs. Nous sommes ravis d’avoir Bored Ape #11 comme notre première acquisition NFT alors que nous continuons à développer notre empreinte dans le secteur »
Mais,même si le monde de la nuit est marqué par une forme de démesure et par des règles parfois un peu particulières, qu’est-ce qui peut bien pousser des entreprises – foncièrement en recherche de profit et de pérennité – à dépenser l’équivalent du prix d’un bel appartement dans un dessin de singe que n’importe qui pourrait copier-coller en 2 clics et autant de secondes ?
>> Venez faire vos premiers pas dans l’univers Bitcoin sur Binance <<
Vous trouvez le montant dépensé élevé, voire même parfaitement déraisonnable « pour ce que c’est » ? Attendez un peu, dans un instant vous pourriez bien finir par trouver que finalement E11EVEN a fait une sacrée bonne affaire.
Le NFT ci-dessous, un « serum mega mutant » (permettant de transformer un Bored Ape classique en une version génétiquement modifiée) a lui été vendu il y a quelques heures pour la somme hallucinante de… 3.6 millions de dollars (888 ETH).
Et si la chose vous semble parfaitement insensée, prenez en considération que l’achat a été effectué par Taylor Gerring, un des co-fondateurs d’Ethereum, pas vraiment un chimpanzé de 6 semaines donc. L’intéressé a fait savoir qu’il filmerait le process de « transformation » de son singe et le diffuserait sur Twitter. Le résultat correspondra à quelque chose comme la mutation ci-dessous :
Mutation.. DONE! M1 & M2 @BoredApeYC #mutated #merch #bayc #apefollowape pic.twitter.com/BIgmzXr1C2
— SWΞΞTTOOTH. (@sweettoothnft) August 29, 2021
Et si des boites de nuit, ou des personnalités crypto sont prêtes à dépenser des fortunes indécentes pour des dessins en 2D, somme toute pas si affolants que ça en terme de génie artistique et de créativité, c’est que la collection Bored Apes Yacht Club, un peu comme ses aînés des cryptopunks, a su cristalliser à la fois l’intérêt pour les NFT en tant que nouvelle approche technologique et artistique, tout en se montrant convaincante s’agissant de la sincérité initiale de la démarche (contrairement aux milliers de collections sans saveur qui prolifèrent désormais sur les réseaux blockchain en capacité de recevoir ces actifs non-fongibles d’un nouveau genre).
La collection BAYC – pour les intimes – c’est ainsi plus d’un milliard de dollars de volume de transactions, rien que pour sa branche principale « classique ».
C’est également une présence désormais dans les salles de ventes aux enchères les plus prestigieuses, le tout soutenu par une « ape-mania » incitant stars, personnalités et influenceurs à chercher de plus en plus nombreux à détenir à tout prix un exemplaire, si possible « rare » (c’est à dire présentant des traits peu communs, ou un nombre de caractéristiques important).
Parallèlement, les prix s’envolent, à mesure qu’un public de plus en plus large finit par s’intéresser à la série, éditée en nombre volontairement limité.
Ainsi, au-delà du phénomène de mode, posséder un BAYC, revient désormais à détenir un tableau de maître, ou une montre de luxe, à la différence près que ces NFT prestigieux ont généralement une valeur… bien supérieure à ces artefact de l’ancien monde ! On vient en effet de le voir, des transactions à plusieurs millions de dollars sont désormais communes. Le floor price actuel pour un BAYC (le plancher du cours) est ainsi actuellement de 59 ETH, soit 235 000$.
Sans surprise, un night-club recherchera le meilleur degré de coolitude dans le cadre d’une acquisition sur laquelle il conviendra de communiquer largement, avant de le décliner en une multitude de produits dérivés. Pour autant, détenir un de ces NFT emblématiques se révélera probablement surtout un placement potentiellement très rentable, dont la valeur augmentera avec le temps. Une position économiquement pertinente dans un monde où désormais, il devient même possible de se servir de ses NFT en tant que garantie pour emprunter des fonds en crypto.
Envie de commencer à accumuler des ETH pour vous offrir un jour un singe oisif ? n’attendez plus pour vous créer un compte sur Binance, l’exchange Bitcoin et crypto de référence (lien affilié).
L’article 396 000$ pour un dessin de singe fatigué – Un night-club s’offre le Bored Ape #11 est apparu en premier sur Journal du Coin.
Depuis quelques années, les NFT gagnent en popularité. Ils sont connus par des millions de personnes et intègrent le rang des objets de collection de plusieurs acheteurs. Dans leur lot, il y en a quelques-uns qui attirent particulièrement l’attention : les CryptoPunks. Savez-vous comment ils sont fabriqués ? Avec cet article, plongez au cœur des techniques de […]
L’article Les CryptoPunks : Techniques de fabrication, mode d’achat et avenir est apparu en premier sur Cointribune.
