Catégorie : Non classé

Nul doute que cette année 2021 aura été sous le signe des cryptomonnaies, de l’adoption massive du Bitcoin à l’émergence de nouvelles tendances comme la finance décentralisée ou les NFT, les crypto et la technologie blockchain sous-jacente réinventent les modèles existants. Néanmoins, toujours compliqué d’utiliser des cryptomonnaies pour payer chez le commerçant du coin. Aujourd’hui […]

L’article Pourquoi les commerçants sont-ils essentiels à l’adoption des cryptomonnaies ? L’exemple du projet Vow Currency est apparu en premier sur Cointribune.

Le service de prêt en cryptomonnaies Nexo lance une plateforme permettant de faire des emprunts garantis par des tokens non fongibles (NFTs) en collaboration avec Three Arrows Capital. Le « NFT Lending Desk » débutera avec les collections de NFTs de Bored Ape Yacht Club et des CryptoPunks, et permettra aux utilisateurs d’emprunter jusqu’à 20% de la valeur de leurs NFTs.

L’article Nexo lance un service d’emprunt en cryptomonnaies garanti par des NFTs est apparu en premier sur Cryptoast.

Shopify vient tout juste de lancer la version bêta d’un service permettant aux e‑commerçants de créer et de vendre leurs NFTs.

La plateforme de commerce électronique Shopify poursuit son incursion dans la crypto-sphère. L’entreprise permet désormais à certaines boutiques de sa plateforme de créer et d’échanger des tokens non fongibles (NFTs).

C’est Tobias Lütke, son PDG, qui l’a révélé dans un tweet publié jeudi :

Use Shopify for your NFT dropshttps://t.co/sZwjLZetoU

— tobi.eth (@tobi) December 16, 2021

Les commerçants peuvent ainsi peuvent proposer des « airdrops », des abonnements basés sur les achats de NFTs de leurs clients ainsi que des tokens liés à du contenu (œuvres d’art, album,…) ou à des produits (billets de concert, produits dérivés,…).

Afin d’offrir cette fonctionnalité, Shopify s’est associée à GigLabs NFT, une entreprise spécialisée dans l’élaboration d’outils pour émettre et échanger des NFTs grâce à la blockchain Flow.

Comme le précise le mastodonte de l’e-commerce sur sa page consacrée aux NFTs, d’autres réseaux sont également pris en charge, comme Ethereum, Polygon et Near.

Une version bêta, pour le moment réservée aux e‑commerçants américains

Ce programme, pour l’instant en version bêta, est dans un premier temps réservé aux commerçants américains ayant souscrit à l’abonnement premium Shopify Plus.

Les clients qui souhaiteront s’offrir les NFTs proposés par les e‑commerçants de Shopify pourront s’appuyer sur de nombreuses méthodes de paiement : Shopify Payments, Shop Pay, cartes de crédit ou de débit, cryptomonnaies,… Ils recevront ensuite un e‑mail contenant leurs NFTs, qu’ils pourront alors ajouter à leur portefeuille numérique.

Voici ce qu’a déclaré Robleh Jama, directeur du produit pour Shopify :

« La croissance de notre écosystème d’applications de NFTs traduit notre engagement à proposer aux commerçants une approche simple pour vendre des actifs numériques directement à travers leurs boutiques Shopify ».

Si Shopify signe ainsi son entrée dans l’écosystème des NFTs, l’entreprise est loin d’être étrangère à la crypto-sphère. Elle avait commencé à prendre en charge les paiements en Bitcoin en 2020. Grâce à des collaborations avec BitPay, Coinbase Commerce et CoinPayments, elle permet à ses commerçants d’accepter les paiements dans plus de 300 monnaies numériques.

L’article Le géant du e‑commerce Shopify va permettre à ses commerçants d’émettre et de vendre facilement des NFTs est apparu en premier sur Crypto-France.

Vous voulez savoir qui investit dans un certain pool DeFi ou une collection NFT précise ? Nansen propose des outils pour vous aider. Les blockchains fournissent un enregistrement transparent des transactions, une fonctionnalité qui peut aider les investisseurs qui savent les lire à gagner de l’argent. Une des façons de comprendre les signaux qu’une blockchain […]

L’article Nansen lève 75 millions de dollars afin d’étendre ses outils d’investissement DeFi et NFT sur les blockchains est apparu en premier sur Cointribune.

Jeu de singe NFT – La cryptosphère verra bientôt l’arrivée d’un nouveau jeu blockchain qui intègrera des singes qui s’ennuient. Alors que les premières collections NFT ont bénéficié de la prime aux premiers venus, elles doivent cependant évoluer pour augmenter leur valeur perçue au fil du temps.

Les singes du Bored Ape Yacht Club dans un jeu blockchain

Anomica Brands se lance dans le développement d’un jeu blockchain utilisant les NFTs du projet Bored Ape Yacht Club. Le jeu sera doté de mécanisme play-to-earn. Il sortira en au deuxième trimestre 2022. Un jeu play-to-earn permet à ses joueurs de gagner et de posséder des actifs numériques in-game, et de les vendre en dehors du jeu à leur discrétion. Anomica Brands a annoncé sa collaboration avec Yuga Labs, le créateur des Bored Apes, dans un communiqué du 13 décembre 2021 publié sur son site.

Anomica Brands est une société basée à Hong Kong qui développe des jeux en tirant profit des technologies du web3 comme la blockchain, ou encore les NFTs. Le Bored Ape Yacht Club est une collection de 10 000 NFTs associés à des images de « singes qui s’ennuient ». Chaque singe est unique grâce à ses spécificités en termes de traits, d’expression, de vêtements, ou d’autres accessoires. Les détenteurs de ces NFTs ont droit à des avantages exclusifs comme l’accès à certains événements.

>> Jouez la sécurité, inscrivez-vous sur la référence des exchanges crypto FTX <<

Le play-to-earn pour garantir la pérennité des .jpeg NFTs

Le Bored Ape Yacht Club fait partie des projets majeurs NFTs, qui ont enregistrés des ventes records. Le Bored Ape Yacht Club NFT #8817 s’est ainsi vendu en octobre 2021, pour 3,4 millions de dollars. Le Bored Ape Yacht Club NFT #8817 est classé 17ième en termes de rareté des traits. Cet argument suffit-il pour autant à justifier ce montant à 7 chiffres ?

Les premiers collectibles NFTs émis profitent du vent de la nouveauté du concept, un avantage qui n’est pas nécessairement voué à durer avec l’usure du temps et la banalisation des tokens non fongibles. La création d’un jeu blockchain utilisant les Bored Apes NFTs, devrait ainsi selon un porte-parole de Yuga Labs, augmenter « l’utilité et les avantages offerts » à ses détenteurs.

Ce futur jeu intégrant les Bored Apes NFTs sera-t-il un succès ? Le play-to-earn a plutôt réussi à Axie Infinity, l’avenir nous dira si la formule fonctionne pour tous les projets NFT.

Rejoignez à votre rythme la révolution crypto ! Inscrivez-vous sans attendre sur la plateforme d’exchange crypto de référence FTX et bénéficiez d’une réduction à vie sur vos frais de trading (lien affilié, voir conditions sur site officiel)

L’article Des singes et des jeux – Animoca annonce un jeu Bored Apes est apparu en premier sur Journal du Coin.

Admirer et toucher – Ce musée abat ses murs physiques pour agrandir ses galeries, en s’étendant dans le métavers. Ce projet de développement met en avant une technologie au service de la valeur de l’art numérique, se détachant ainsi des logiques purement mercantiles auxquelles sont souvent associées – à tort ou à raison – les tokens non fongibles (NFTs).

Musée de l’Ermitage, NFT et métavers : interagir avec les œuvres des grands maîtres

Le musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg, en Russie, est le plus grand du monde en termes d’espace de galerie, avec environ 3 millions d’œuvres d’art. Ce lieu qui abrite des chefs d’œuvre vieux de plusieurs siècles, a une longueur d’avance sur son temps. Il fait en effet partie des early adopters du web3, préparant son entrée dans le métavers en développant actuellement une version numérique du musée qui exposera des œuvres d’arts NFT.

Vidéo de Cointelegraph – Source : YouTube

Pour le chef de département d’art contemporain du musée de l’Ermitage, Dmitry Ozerkov, le métavers est un futur incontournable, « nous entrons tous dans l’ère numérique et notre jumeau numérique nous suivra partout ».

Un musée virtuel permet selon Ozerkov, aux visiteurs d’interagir avec les œuvres d’art. Les passionnés d’art ne se contenteraient plus d’observer les toiles des grands maîtres :

« Vous pouvez franchir ces portes sans rien toucher, alors que dans le monde virtuel, vous pouvez tout faire : vous pouvez jouer avec les œuvres d’art, vous pouvez les rendre interactives, vous pouvez y ajouter des données »

>> Jouez la sécurité, inscrivez-vous sur la référence des exchanges crypto FTX <<

Blockchain, NFT, web3 : la valeur de l’art face aux accusations d’escroquerie technologique

L’Ermitage avait vendu aux enchères en septembre 2021, cinq copies sous forme de NFT de ses cinq chef d’œuvres les plus célèbres, dont parmi ceux de Léonard de Vinci et de Vincent van Gogh. Les enchères ont eu lieu sur la plateforme NFT de Binance, et ont généré près de 450 000 $.

Le musée avait organisé sa première exposition 100 % numérique, The Ethereal Aether, en novembre 2021. 38 NFT ont été exposés dans un métavers. Les utilisateurs pouvaient créer un avatar et évoluer dans un monde numérique avec leur PC, smartphone, ou encore leur casque de réalité virtuelle.

Les œuvres NFT exposées n’étaient pas à vendre. Ozerkov tente de défendre dans ses arguments la valeur de l’art numérique, qui prévaut sur son prix :

« Les œuvres d’art de l’exposition ne sont pas à vendre. Nous évitons tout sujet lié au prix de ces pièces afin de nous concentrer sur la démonstration de ce qu’est réellement l’art numérique, car le coût de l’art est secondaire par rapport à sa valeur »

Les intiatives de l’Ermitage démontrent que l’art NFT n’est finalement pas qu’un simple piège à gogo, destiné à piéger les mordus de nouvelles tendances qui finiront dans le grenier où s’entassent les fausses bonnes idées. Certains observateurs reprochent l’utilisation de l’argument « blockchain et NFT » pour spéculer sur de simples « œuvres jpeg » facilement copiables avec un simple clic droit suivi d’un « enregistrer sous ».

La technologie est cependant neutre, elle peut cependant aussi bien être utilisée à des fins louables contribuant à un monde meilleur, tout comme elle peut être détournée par des personnes sans scrupules à des fins immorales.

Le musée de l’Ermitage fait tout de même un pari audacieux en misant sur le métavers et les NFTs à un moment où les personnes lambda ne comprennent pas encore les réels apports de ces technologies, comme la notion de rareté numérique avec les tokens non fongibles.

Pour ne pas rater les opportunités créées par la blockchain et les cryptomonnaies, Inscrivez-vous sans attendre sur la plateforme d’exchange crypto de référence FTX et bénéficiez d’une réduction à vie sur vos frais de trading (lien affilié, voir conditions sur site officiel).

L’article Art numérique et NFT – Le plus grand musée du monde ouvre la voie est apparu en premier sur Journal du Coin.

À lire entre les lignes, Solana Labs se serait bien passée de cette « publicité ». Melania Trump, ancienne première dame des États-Unis, souhaite en effet lancer un projet de tokens non fongibles (NFT) sur la blockchain Solana (SOL). Toutefois, un représentant de cette dernière précise que cette initiative est personnelle et que Trump n’a pas été invitée par l’équipe.

L’article Solana (SOL) ne veut pas être associée au projet NFT de Melania Trump est apparu en premier sur Cryptoast.

À travers plusieurs « memes », le PDG de Tesla et le cofondateur du Dogecoin s’en s’ont pris aux crypto-développeurs et aux traders malheureux.

Le fantasque patron de Tesla, très actif sur Twitter, a publié un « meme » pour se moquer des mésaventures d’un trader débutant qui verrait rapidement plonger le cours des crypto-actifs qu’il vient d’acheter.

De son côté, Billy Markus, le cofondateur du Dogecoin, a publié un autre « meme » pour s’en prendre à certains développeurs de coins surcotés – un trait d’humour qui a reçu le soutien d’Elon Musk.

Bataille de « memes »

Billy Markus s’est appuyé sur des hiéroglyphes égyptiens pour se moquer des développeurs d’actifs numériques surcotés, en proposant la traduction suivante : « Les développeurs, faites quelque chose ».

Un tweet qui a reçu un commentaire d’Elon Musk via un emoji « Rolling on the Floor Laughing » :

— Elon Musk (@elonmusk) December 16, 2021

Le milliardaire avait lui-même entamé cette discussion en publiant le « meme » d’un homme préhistorique échangeant une pierre et un bâton contre 10 coquillages, avant que la valeur de ces objets ne plonge à seulement 5 coquillages le lendemain :

pic.twitter.com/8yxJkfVAWC

— Elon Musk (@elonmusk) December 16, 2021

David Gokhshtein, fondateur de Gokhshtein Media, a commenté ce tweet en expliquant qu’Elon Musk faisait référence « au coins qui ont été créés il y a seulement 4 minutes ».

He’s talking about the #cryptos created 4 minutes ago.

— David Gokhshtein (@davidgokhshtein) December 16, 2021

Elon Musk trolle Keanu Reeves

Cette semaine, le « Dogefather » a publié un autre « meme », montrant un psychiatre évoquant les tokens non fongibles (NFTs) dont lui a parlé son patient : « Ces “NFTs”, sont-ils avec nous dans cette pièce à cet instant ? ».

pic.twitter.com/Wv6iJDuTge

— Elon Musk (@elonmusk) December 16, 2021

Il semblait faire référence à un entretien accordé par Keanu Reeves à The Verge, dans le cadre de la sortie du film Matrix Resurrections. Interrogé au sujet des NFTs, l’acteur avait déclaré en riant que ceux-ci pouvaient être « facilement reproduits » :

Keanu’s laugh in response to NFTs in this @verge interview is everything I wanted for Christmashttps://t.co/v4pix60nX9 pic.twitter.com/1J5EcoijDs

— David Zhou (@dz) December 10, 2021

Elizabeth Warren s’en prend à Elon Musk

Il y a quelques jours, la sénatrice américaine Elizabeth Warren avait publié un tweet en reprenant un message reprochant au patron de Tesla de payer trop peu d’impôts :

When someone makes it big in America—millionaire big, billionaire big, Person of the Year big—part of it has to include paying it forward so the next kid can get a chance, too. https://t.co/OQUYXf5kIq

— Elizabeth Warren (@ewarren) December 13, 2021

Ce à quoi Elon Musk a répondu qu’il allait payer plus d’impôt que n’importe quel américain. Selon les calculs de Bloomberg, l’entrepreneur devrait d’ailleurs être redevable de plus de 10 milliards de dollars de taxes l’année prochaine. Afin de pouvoir régler cette somme, le dirigeant a déjà vendu plus de 10% de ses actions Tesla.

Mardi, Elon Musk avait annoncé qu’il serait bientôt possible d’acheter des produits dérivés Tesla en DOGE :

Tesla will make some merch buyable with Doge & see how it goes

— Elon Musk (@elonmusk) December 14, 2021

Ce tweet avait provoqué la flambée du Dogecoin, qui s’était apprécié de plus de 25% en l’espace de quelques minutes.

La veille, le milliardaire, fraîchement désigné homme de l’année par le magazine Time, avait déclaré que le DOGE constituait un meilleur moyen de paiement que le Bitcoin :

« Le Bitcoin n’est pas un bon substitut aux monnaies pour effectuer des transactions. Même s’il a été conçu en tant que blague, le Dogecoin est plus adapté aux transactions ».

L’article Elon Musk se moque des crypto-développeurs qui font semblant de travailler sur leurs coins est apparu en premier sur Crypto-France.

L’iMac qui a été utilisé par Jimmy Wales pour créer Wikipédia, qui faisait également partie de cette vente, a été cédé pour 187 500 dollars.

Après avoir célébré son 20ᵉ anniversaire en janvier, l’encyclopédie numérique Wikipédia continue de marquer l’histoire. Le site a vendu cette semaine son premier token non fongible via la maison Christie’s.

Ce mercredi 15 décembre, Christie’s a achevé la vente de deux lots liés à Wikipédia, intitulés « The Birth of Wikipedia ».

Le premier, qui se composait d’un NFT de la première édition de Wikipédia, s’est vendu pour 750 000 dollars. Le second, un iMac couleur fraise utilisé par Jimmy Wales pour créer Wikipédia, a trouvé un acheteur pour 187 500 dollars.

Le NFT montre le premier message publié par le cofondateur du site (« Hello World »), publié le 15 janvier 2001. Il témoigne de l’aspect graphique rudimentaire de la page d’accueil de Wikipédia à l’époque. Il dispose d’une fonctionnalité permettant à son propriétaire de modifier la page.

Peter Klarnet, spécialiste des ventes pour Christies’s, a expliqué que cette vente aux enchères « traduisait l’intérêt croissant des collectionneurs pour l’histoire d’Internet ». Selon la maison de vente, Wikipédia utilisera une partie des fonds récoltés pour financer la croissance du projet de réseau social de Jimmy Walles, WT.Social.

Christie’s, l’une des plus grandes maisons de vente aux enchères au monde, s’était tournée vers les NFTs au début de l’année. En février, elle avait ainsi récolté plus de 69 millions de dollars à travers la vente de l’œuvre « Everydays – The First 5000 Days », produite par l’artiste Beeple.

Christie’s is proud to offer « Everydays – The First 5000 Days » by @beeple as the first purely digital work of art ever offered by a major auction house. Bidding will be open from Feb 25-Mar 11.

Learn more here https://t.co/srx95HCE0o | NFT issued in partnership w/ @makersplaceco pic.twitter.com/zymq2DSjy7

— Christie’s (@ChristiesInc) February 16, 2021

L’article Un NFT représentant la première version de Wikipedia vendu aux enchères pour 750 000 dollars est apparu en premier sur Crypto-France.

Les créateurs de Solana n’y sont pour rien et le font savoir, mais l’ex-première dame des États-Unis, Melania Trump, a choisi la blockchain Solana pour ses NFT. Tout le monde veut en être. Les entreprises, dont les exchanges, se ruent sur le marché croissant des NFT. Il faut dire que les ventes de jetons non fongibles devraient avoisiner les 17 milliards de dollars cette année. Investir sur Solana Des célébrités sont aussi en lice, à l’image de la clivante Melania Trump, ex-première dame et épouse de Donald Trump. Cette dernière choisit donc Solana pour lancer sa première collection de NFTs. […]

L’article Melania Trump débarque sur Solana avec un projet NFT est apparu en premier sur Cryptonaute.