Des artistes redéfinissent l’art génératif avec quelques œuvres (images)

Quand on parle d’art génératif, en général, beaucoup de personnes se montrent réticentes. Pourtant, combiné à l’intelligence artificielle, cet art peut être un trésor avec des réalisations de qualité. C’est ce qu’ont démontré quelques artistes dont les œuvres sont mises en vente aux enchères d’Artnet ArtNFT: Beginning. Découvrez quelques images des œuvres qu’ils ont créées. […]

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Shiba Inu (SHIB) : la solution de « scaling » Shibarium sera bientôt lancée

Eric M, le développeur de ShibaSwap, espère pouvoir « bientôt » proposer Shibarium. Cette solution de « scaling » devrait permettre d’effectuer des transactions avec le token Ethereum Shiba Inu (SHIB) de manière plus rapide et moins coûteuse.

Eric M, le développeur de la plateforme ShibaSwap, a récemment révélé sur le Discord du Shiba Inu que la solution Shibarium devrait « bientôt » être lancée :

#SHIBARIUM #SHIB pic.twitter.com/VTAOyK59m8

— Camila Rocha (@Camila_Rocha) December 19, 2021

Il a notamment expliqué qu’il ne serait pas nécessaire d’attendre la sortie d’Ethereum 2.0, prévue dans le courant du premier semestre 2022.

Shibarium est une solution « de seconde couche », initialement proposée par Ryoshi, le créateur pseudonyme du Shiba Inu. Il avait alors insisté sur la nécessité de proposer un réseau de « scaling » décentralisé, afin de garantir de l’absence d’un point de défaillance unique.

L’objectif de Shibarium ? S’affranchir des coûts prohibitifs des transactions Ethereum. Lors de la rédaction de cet article, il fallait débourser en moyenne près de 10 dollars pour transférer un token ERC-20 comme le SHIB.

Il s’agit sans doute d’un élément clé pour la croissance de l’écosystème Shiba Inu, qui comprend désormais des projets de gaming et de tokens non fongibles (NFTs).

« Nous travaillons sur de nombreux aspects du Shiba Inu », ont récemment confié les développeurs.

« Shibarium, Shi, Shibanet, The Decentralized Shiboshi Game, Incubator et bien plus de projets qui ne se matérialiseront que dans un avenir proche ».

Afin d’éviter d’accorder trop de pouvoirs aux « whales », le BONE – le token de gouvernance de la plateforme d’échange ShibaSwap – devrait constituer la cryptomonnaie native de Shibarium.

À lire également : Shiba Inu : le SHIB est la deuxième cryptomonnaie la plus populaire sur Twitter en novembre

Shiba Inu (SHIB) : ‑66% depuis son record historique

Lors de la rédaction de cet article, le SHIB s’échangeait à 0,00002934 dollar, en baisse de 6,30% sur les 24 dernières heures.

L’actif avait perdu plus de 66% de sa valeur depuis un record historique à 0,00008845 dollar, enregistré le 28 octobre.

Avec une valorisation de 16,18 milliards de dollars, le SHIB se positionnait à la 13ᵉ place du classement de CoinMarketCap, juste derrière le « meme coin » le plus valorisé, le Dogecoin (21,74 milliard de dollars).

La chute du SHIB était sans doute attribuable au fait que le token n’offre, pour l’instant, aucun cas d’utilisation qui pourrait permettre de soutenir la hausse de son prix. En l’absence de « FOMO » (la peur de passer par à côté d’un investissement juteux ») auprès des épargnants, son cours a tendance, après chaque appréciation exponentielle, à diminuer de manière régulière avant de se stabiliser.

Le token avait enregistré une véritable flambée en octobre, avec un cours multiplié par plus de 10 entre le 4 octobre et son record historique du 28 octobre. Il avait notamment profité de son arrivée sur Coinbase le mois précédent, ainsi que des rumeurs de référencement sur Kraken (avec un ajout qui était finalement intervenu fin novembre).

On comptait désormais plus de 1 075 000 portefeuilles Ethereum détenteurs de SHIB :

New Record: $SHIB reaches an astonishing 1,075,000+ holders.

Current Holder Count: 1,075,033

The top 1000 ETH wallets are holding 48,098,038,767,872 $SHIB ($1,470,106,983 USD)#SHIB #ShibArmy

— WhaleStats – the top 1000 Ethereum richlist (@WhaleStats) December 20, 2021

À lire également : Shiba Inu : le SHIB atteint la barre du million de détenteurs

Shiba Inu : une adoption croissante auprès des bourses d’échange et des e‑commerçants

Il y a quelques jours, le Shiba Inu a été intégré à la solution de paiement Flexa. 40 000 e‑commerçants ont ainsi désormais la possibilité d’accepter les paiements en SHIB.

Quelques jours auparavant, le « meme coin » était pris en charge par la plateforme de crypto-paiement Bitpay. Cette initiative offrait notamment aux clients du géant américain de l’électronique Newegg la possibilité de régler leurs achats en Shiba Inu. En novembre, AMC, la plus grande chaîne de salles de cinéma au monde, avait annoncé qu’elle allait bientôt accepter les paiements en SHIB.

Le token devrait faire son entrée sur la bourse d’échange Bitstamp au début de l’année prochaine. Les détenteurs de Shiba Inu espèrent toujours voir l’actif arriver prochainement sur Robinhood, l’une des plateformes de trading les plus populaires aux États-Unis.

When @RobinhoodApp lists $SHIB ?

— WhaleStats – the top 1000 Ethereum richlist (@WhaleStats) December 20, 2021

À lire également : Shiba Inu ou Dogecoin ? Ces deux analystes privilégient le SHIB

Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec sa lecture.

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Cryptos contre GAFAM : la guerre des métavers a déjà commencé

Le monopole des GAFAM pointé du doigt – Pour reprendre les termes employés dans le rapport publié par Grayscale en novembre dernier, le métavers est perçu pour certains comme le début d’un « nouveau paradigme ». De plus, le métavers pourrait devenir le socle de nouvelles technologies qui se retrouveront dans le Web 3.0. Cependant, la présence d’un des GAFAM est redoutée.

The SandBox ne souhaite pas avoir les GAFAM dans les pattes

À l’occasion d’une interview, le co-fondateur de The SandBox, Sébastien Borget a déclaré vouloir protéger le métavers de l’intrusion de géants du Web 2.0. D’après lui, les grandes entreprises technologiques actuelles, comme Meta, représentent un risque pour le métavers. En effet, Sébastien Borget explique que le modèle commercial de ces entreprises va à l’encontre de la décentralisation. Or, selon lui, celle-ci est indispensable au métavers. Il a en outre, écarté tout rapport entre ces propos et des considérations d’ordre concurrentiel.

« La façon dont [les GAFAM] projettent la vision de la création du métavers manque vraiment de diversité. Nous ne pensons pas que ces entreprises puissent créer quelque chose de vraiment amusant et qui est tourné vers les utilisateurs, car elles se sont essentiellement concentrées sur leur modèle commercial et sur la façon de satisfaire les actionnaires plutôt que les utilisateurs. »

Sébastien Borget

Le cofondateur de The SandBox fait le constat que les GAFAM disposent d’un monopole sur le Web 2.0, alors que c’est précisément ce que cherchent à éviter les acteurs du Web 3.0. Selon lui, The SandBox est pour l’heure le projet le plus prometteur pour développer un métavers ouvert et décentralisé, et il semble que ce ne soit qu’un début.

La plateforme métavers vient de clôturer une nouvelle levée de fonds de 93 millions de dollars. En outre, le principal actionnaire est Animoca Brands qui est spécialisé dans les jeux blockchains. Dès lors, nul doute que The SandBox a quelques arguments à faire valoir pour devancer les GAFAM dans la course aux métavers.

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Sur Fantom, 30 millions de dollars de tokens envolés

Nouvelle attaque contre un protocole DeFi. Grim Finance, développé sur la blockchain Fantom Opera, a perdu pour 30 millions de dollars de jetons suite à un piratage. Les cybercriminels se montrent particulièrement actifs en cette fin d’année. Une semaine plus tôt, la marketplace NFT Vulan Forged était pillée de 140 millions de dollars de tokens PYR. Acheter des Cryptos C’est au tour d’un protocole DeFi d’être la cible d’une attaque. Grim Finance, qui propose un “Optimiseur de rendement de composition” sur Fantom Opera, annonce avoir subi une “attaque avancée”. 30 millions $ en stablecoins disparus La faille se situe au […]

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Avec ses premiers NFT, Adidas rafle 23 millions $ sur Ethereum

Démarrage réussi pour la marque de sport. Adidas a très facilement écoulé ses premiers NFT pour métaverse, réalisant un bénéfice de 23 millions de dollars en Ether. Les débuts d’Adidas dans les NFT sont très récents. Mais la marque allemande de sport ne fait pas de figuration et sa stratégie se concrétise par une première vente à succès. Adidas se place ainsi parmi les acteurs de référence du marché. Acheter des Cryptos Pour cette première, Adidas s’est adjoint les services de Bored Ape Yacht Club, Pixel Vault et gmoney. Afin de préparer le terrain et souligner son engagement sur le […]

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Les projets crypto gaming à suivre d’Animoca, géant discret des métavers

Time to play ! – Les géants du Web 2.0, à l’instar de Meta, ont annoncé s’intéresser aux opportunités offertes par les NFT et le métavers. Cependant, pour l’heure ces annonces n’ont pas été suivies d’actes. À l’inverse, la société hongkongaise Animoca Brands développe, en toute discrétion, son portefeuille dans l’écosystème du gaming crypto et du métavers.

Animoca Brands : de développeur de jeux à capital-risqueur

À l’origine, Animoca Brands est une société fondée en 2014 par Yat Siu, originairement spécialisée dans le développement de jeux mobiles. Dès 2018, Yat Siu a décidé que son entreprise devait initier un pivot partiel de son activité en se spécialisant dans les jeux blockchain. À l’échelle de maturation de ce domaine, Animoca Brands doit être considérée comme visionnaire et précurseur.

Depuis 2018 Animoca Brands a levé des millions de dollars à l’issue de différents tours de financement. D’ailleurs, elle a achevé sa dernière levée de fonds en octobre dernier d’un montant de 65 millions de dollars, et portant sa valorisation à plus de 2 milliards de $.

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Les projets opérationnels et à venir

La rapide croissance d’Animoca s’explique à la fois par le succès des jeux blockchain dans lesquels elle a investi, et par ses propres projets prometteurs. En effet, Animoca fait preuve de polyvalence en mettant à profit ses compétences initiales qui sont celles de développeur de jeux vidéos pour accroitre sa position dans le gaming crypto.

Les jeux blockchain dans lesquels Animoca a investi

Inévitablement, s’agissant des projets financés par Animoca qui ont depuis connu une forte adhésion, il convient de mentionner The SandBox. Cette plateforme propose un véritable terrain de jeu construit sur la blockchain Ethereum, ouvrant l’ère du métavers ouvert et décentralisé.

Par ailleurs, la société a investi dans Sky Mavis qui se trouve à l’origine du populaire jeu NFT play to earn Axie Infinity.

Récapitulatif des principaux investissements d’Animoca – Source : Animoca Brands

Enfin, la société a investi dans des projets connexes au gaming crypto et au NFT et notamment dans des infrastructures blockchain. À ce titre, elle a soutenu la société Forte ou encore Polygon et Flow.

Les projets développés par Animoca Brands

Tout d’abord, REVV Motorsport est une série de jeu de courses d’engins motorisés (automobile, moto) basés sur la blockchain. De plus, Animoca a développé un token utilitaire, le REVV qui permet aux joueurs d’acheter, concevoir, ou échanger des véhicules. Les tokens REVV sont cross-game c’est-à-dire qu’ils peuvent être transférés sur un autre jeu blockchain de la série. Aussi, ils peuvent permettre de participer à un tournoi organisé sur la plateforme.

Ces jeux play to earn ont tout pour devenir des incontournables du gaming crypto. D’ailleurs, l’exchange AscendEX vient tout juste de soutenir le projet en acceptant de lister le REVV.

D’autre part, un autre projet de jeu blockchain très prometteur développé par Animoca Brands, appelé Crazy Defense Heroes doit être surveillé de prés. Ce jeu de type RPG défense a été adapté par le développeur afin qu’il se mue en un jeu play to earn. Ainsi, Animoca a intégré un token, le TOWER que les joueurs peuvent gagner en profitant gratuitement du jeu.

Enfin, une autre série de jeux blockchain signés Animoca est Arc8. Ce jeu peut être comparé à la plateforme Prizee, bien connue de la génération Y – supprimée depuis 2019 – qui proposait aux joueurs de gagner une monnaie virtuelle qui pouvait ensuite être échangée contre des cadeaux. En effet, dans Arc8 les utilisateurs peuvent se divertir sur différents jeux d’arcade et gagner le token du jeu, le GMEE.

Animoca vit sa succès story grâce au play to earn

D’après les révélations financières d’Animoca Brands, les finances de la société ont connu un essor considérable de janvier à septembre 2021. D’abord, les revenus retirés des investissements s’élèvent selon la société à un total d’environ 530 millions de dollars.

Ensuite, les réserves en cryptomonnaies détenues par la société sont évaluées à environ 15,9 milliards de dollars. D’après une lettre du fondateur, Yat Siu ces réserves peuvent être considérées comme une part entière de la trésorerie de la société :

« La réserve d’actifs numériques appartenant à l’écosystème de produits et de plateformes Animoca Brands (REVV, SAND, TOWER et GMEE et pourrait être considéré comme notre trésorerie) est passée d’une valeur d’environ 2,9 milliards de dollars US à la fin septembre 2021 à environ 15,9 milliards de dollars à la fin novembre 2021, soit une multiplication par plus de cinq en seulement deux mois. »

Yat Siu, Fondateur d’Animoca – Source : Medium

Compte tenu de l’explosion du cours du prix du SAND, l’on comprend aisément que le montant de ces réserves se soit envolé. Par ailleurs, en octobre dernier à l’occasion des « Hong Kong Business International Awards » la société a reçu le premier prix dans la catégorie des médias et divertissements.

Enfin, Animoca Brands devra certainement compiler avec des concurrents de taille. À titre d’exemple, il faut mentionner Galaxy Interactive qui vient de lever 325 millions de dollars afin de rester dans la course au métavers, et plus largement dans celle du divertissement numérique.

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Shopify est-il de taille à démocratiser massivement les NFT ?

Nouvelle offre en BêtaShopify ne permet plus uniquement de créer facilement, sans avoir besoin de coder, un site e-commerce. La plateforme, réputée pour avoir démocratisé le e-commerce à destination des particuliers est également en train de rendre accessible la vente et l’achat de tokens non fongibles (NFTs).

Du shopping NFT simplifié grâce à Shopify

Shopify annonce collaborer avec la société GigLabs NFT pour offrir la possibilité aux marchands résidents aux Etats-Unis et souscrivant à son offre Shopify Plus, la possibilité de créer et de vendre des NFTs sur sa plateforme. GigLabs NFT propose des outils permettant d’émettre et de vendre des NFTs basés sur la blockchain Flow. Shopify permet cependant également à ses utilisateurs, via les applications de ses partenaires, d’émettre des NFTs sur Ethereum (ETH), Polygon (MATIC), et Near.

Les NFTs vendus sur les sites e-commerce créés sur Shopify, peuvent être achetés avec des cryptomonnaies, ou une carte de crédit ou de débit. Les clients n’ont pas besoin d’avoir une quelconque expérience de la blockchain pour acquérir ces NFTs.

Le chef de produit de Shopify, Robleh Jama, a indiqué que l’entreprise disposait d’un « écosystème croissant d’applications NFT ».  Shopify a déjà facilité la création de sites e-commerce grâce à sa plateforme, il veut maintenant offrir aux marchands « une approche accessible pour vendre des actifs numériques directement dans leurs magasins Shopify ».

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NFT et métavers : les stars de cette décennie

Bitcoin (BTC) continue d’être la cryptomonnaie la plus importante en termes de capitalisation boursière, mais il devra probablement partager la vedette avec les métavers et les NFTs durant cette décennie.

Le rebranding de Facebook en Meta, qui a également officialisé l’intérêt du géant des réseaux sociaux pour les métavers et les NFTs, a mis ces derniers sous les feux des projecteurs et a certainement contribué à les « sortir cercle de quelques initiés », un pas en avant important pour leur démocratisation.

Les NFTs connaissent aujourd’hui un développement important dans les secteurs de l’art et du gaming, mais comme le souligne le rapport récent de Grayscale, ils offrent des opportunités qui vont au-delà de ces domaines.

La place de marché NFT OpenSea a-t-elle des soucis à se faire avec cette nouvelle offre de Shopify ? Ses revenus avaient dépassé les 10 milliards de dollars en novembre 2021. Shopify devrait désormais faciliter la création de nouvelles boutiques NFTs, et intensifier ainsi la concurrence dans ce secteur.

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Top 4 des jeux crypto play-to-earn métaverse entièrement fonctionnels

Les jeux basés sur la blockchain existent depuis quelques années. Avec l’adoption récente des NFT et de la DeFi, la dernière tendance est le modèle play-to-earn dans les jeux métaverse. Ces jeux combinent les dernières technologies de blockchain et incitent les utilisateurs via des récompenses à valeur réelle. Cet article examine les quatre meilleurs jeux […]

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Au Congo, Kivéclair fait battre le cœur de Bitcoin

Pendant que certains ergotent sur « l’absence de gain social apporté par Bitcoin » dans une forme de débat qui n’est pas sans faire penser à ceux des années 90 désignant Internet comme un effet de mode un peu inquiétant, à travers le monde, des hommes et des femmes s’affairent à faire vivre la vision initiale de Satoshi Nakamoto, créateur de Bitcoin. Une vision où Bitcoin ne serait pas – seulement – un actif spéculatif ou un simple nouvel artefact boursier de plus, mais surtout un vecteur de progrès économique, social et monétaire, au service d’un véritable humanisme concret. Et si les yeux du monde sont ces derniers mois volontiers braqués vers le Salvador, c’est peut-être à Goma, une petite ville du Congo, aussi meurtrie que peu connue, que Bitcoin atteint pleinement son objectif initial, bien loin des projecteurs et des débats stériles.

Battements de blocs

Le cœur battant de Bitcoin ne se trouve pas à Wall street, entre les mains de financiers gardiens zélés d’un ordre ancien, essentiellement animés par la volonté de le domestiquer sous forme d’ETF, parfaitement sous contrôle et à haute valeur spéculative ajoutée.

Bitcoin ne pulse pas non plus dans les terminaux de paiements des grands magasins, boutiques de luxe ou chaînes de cinéma, toujours plus nombreux à ne voir en lui qu’une façon plus rapide et moins chères d’exécuter des millions de transactions.

Et on ne distinguera pas plus de battements perceptibles dans le brouhaha de fermes de minage géantes à travers le monde, monstres industriels bringuebalées – si besoin en catastrophe – de la Chine aux Etats Unis, de l’Iran à l’Irlande, remodelant au passage la future géopolitique économique d’un 21ème siécle qui sera crypto, ou ne sera pas.

Non, si on devait reconnaître à Bitcoin une âme et un cœur, battant au rythme d’un nouveau bloc toutes les 10 minutes imperturbablement depuis 13 ans, c’est plutôt vers les plages d’El salvador qu’il faudrait tendre l’oreille.

Un bruit de fonds subtil et continu, émanant d’initiatives individuelles et foncièrement humaines animant, plus d’une décennie après sa création, la vision initiale portée par Satoshi Nakamoto : rapprocher les individus, les « désintermédier » jusqu’aux échelles les plus petites qui soient, grâce à une technologie globale à l’échelle de la planète et nécessitant la contribution bienveillante by design… de millions d’inconnus.

Et si la « Bitcoin Beach » d’El zonte au Salvador est désormais identifiée comme l’épicentre de l’avénement de Bitcoin en tant que monnaie officielle du paysune première historique absolue qui fait trembler jusqu’aux vénérables fondations du FMI – il convient de se souvenir qu’au-delà du côté exubérant du president-influenceur Bukele, ou des questionnements techniques sur le wallet Chivo, tout à commencé quelques mois plus tôt autour d’un feu de camp de surfeurs, dans les odeurs de grillades et la quiétude d’un modeste village salvadorien bercé par les vagues du Pacifique.

Les fameux galets d’Etretat, les vrais savent

Une étincelle tout d’abord modeste, entretenue par la bonne volonté d’une poignée de « bitcoiners ». Une donation en BTC par un généreux anonyme, des centaines d’heures de pédagogie, en coopération avec les habitants locaux – aussi peu bancarisés que possible, tout en n’étant pas le public le plus simple à convaincre des avantages de cette crypto-bizarrerie qu’est Bitcoin – et le résultat était là, en quelques mois à peine : un pays entier, souverain, de 7 millions d’habitants profite désormais des avantages de Bitcoin, s’y habitue, cependant qu’en parallèle Bitcoin, à la fois en tant que monnaie et que réseau, se renforce, s’adapte, et progresse en résilience comme il l’a toujours fait jusqu’içi.

Et si tout le monde a expérimenté la difficulté à faire prendre un feu en environnement hostile, chacun sait également à quel point les flammes peuvent se répandre vite à la faveur d’un vent favorable.

Ainsi, l’étincelle Bitcoin d’El Zonte a vocation à allumer d’autres foyers. Et l’un d’entre-eux pourrait fort bien prendre des forces au Congo en ce moment même, dans la petite ville de Goma.

Bitcoin, d’un volcan à l’autre, du Salvador au Congo

L’image du volcan est intéressante pour qualifier Bitcoin.

Comme Bitcoin, la force du volcan est foncièrement, viscéralement, géologiquement inarrêtable. On peut maudire l’irruption, se plaindre de la lave, vouloir en canaliser les effets… les effort seront aussi dérisoires que vains.

Et au même titre qu’un Volcan, Bitcoin peut également rendre des terres arides de nouveaux fertiles (l’inclusion des populations débancarisées, la lutte contre le retard en matière financière…), ou encore semer le chaos (les classiques accusations de l’utilisation de Bitcoin pour des actions illégales, du blanchiment, ou en tant que vecteur de paiement dans le cadre des ransomware par exemple).

Une manière de rappeler que Bitcoin n’est au bout de tout, qu’un outils nouveau et très puissant, mis à disposition du plus grand nombre, mais qu’il est aussi vain, qu’intellectuellement boiteux, d’aller à l’encontre de son évidence.

Quoi qu’il en soit, si les volcans paisibles du Salvador vont être mis à profit par le pays pour alimenter une industrie du minage de bitcoins 100% écologique et durable, via géothermie, ceux présent au Congo sont malheureusement autrement plus agressifs. E effet, leurs activités et irruptions ont abouti à plusieurs reprises à des catastrophes majeures et des crises humanitaires d’autant plus graves qu’elles ont touché une population pauvre, et foncièrement ignorée des caméras de télévision occidentales.

Et au Congo, c’est la petite ville de Goma qui a payé un lourd tribut et a été tout particulièrement touchée.

« Goma est une ville de plus de 2 millions d’habitants dans la région du Nord-Kivu, en République démocratique du Congo. Proche de la frontière, la région est déstabilisée par la venue de réfugiés du Rwanda à la suite du génocide et guerre de 1994. Depuis, la région connaît une instabilité constante provoquée par les groupes armés de la région. En plus de malheurs d’origine humaine, la ville subit une destruction partielle suite à une éruption du volcan Nyiragongo en 2002. Une nouvelle coulée de lave en mai 2021 détruit les maisons de nombreux habitants qui doivent se réfugier dans des camps. »

Site de Kiveclair

Face au drame humanitaire, un petit groupe de bitcoiner a décidé ces derniers mois de prendre les choses en main, en tentant d’apporter une aide financière et logistique concrète à la population, tout en accompagnant cette assistance d’actions de pédagogie autour de l’utilisation du réseau Bitcoin, dans un environnement dénué de toute infrastructure financière.

Cette aide très concrete, et les opérations déjà menées ces derniers mois, sont notamment exposées sur le compte Twitter de Gloire qui documente les opérations. L’occasion de se féliciter des succès, sans nier les échecs et difficultés, nombreuses sur le terrain. Par exemple, comment convaincre de l’intérêt du réseau de paiement Bitcoin face à une population sinistrée, ne disposant même plus des moyens d’acquérir un smartphone premier prix ?

Du coup, notre expérience, consistant à distribuer à certains d’entre-eux des satoshis (#bitcoin), puis les permettre d’acheter ce dont ils ont besoin (en payant en #bitcoin) n’allait pas marcher. Solution : choisir un petit nombre (12) et leur acheter des smartphones (8). pic.twitter.com/7CWB3ER3AA

— Gloire (@GloireKW) October 25, 2021

Rapidement, à des années-lumière des salles de trading éclairées par les signaux blafards clignotants des marchés, bien loin de nos angoisses toutes occidentales dès lors que « ça chute », un snack local se transforme en QG pour présenter Lightning Network, le Layer 2 de Bitcoin, permettant des paiements quasi-instantanés.

Regardez bien cette photo. Elle concentre à elle seule tout ce que le véritable « maximalisme Bitcoin » est supposé incarner, bien loin des guerres de clochers s’étalant sur les réseaux sociaux, ou des diatribes poussiéreuses sur « l’absence d’avancée sociale apportée par Bitcoin ». Les intéressés se reconnaîtront.

Dans ce contexte, la maman de Gloire qui a mis à disposition son magasin, joignant ses forces à la puissance du réseau Lightning Network fait ainsi plus pour la « cause » de Bitcoin qu’un Michael Saylor, « apôtre du Bitcoin », ou l’ensemble de l’oeuvre d’un Elon Musk.

Les sinistrés du volcan ont des priorités avec la bouffe sur la page 1. Ma chère maman a alors mis à disposition sa boutique où nos amis sont allés achetés des biens (farine, riz, savons, etc) via le #lightning network et tout s’est passé comme sur les roulettes. pic.twitter.com/MgrunOrba6

— Gloire (@GloireKW) October 25, 2021

Comment aider ?

L’initiative Kiveclair, car telle est son nom, fonctionne sur un système de dons et d’entraide depuis le premier jour.

Une « torche Lightning » (une forme de passage de relais sur les réseaux sociaux où chaque dépositaire ajoute à son tour des satoshis pour grossir le pot commun) a permis de collecter de premiers fonds. Un site officiel est désormais en place et permet de recevoir directement des dons en BTC de toute part. Au moment de la rédaction, un peu plus de 12 000$ ont déjà été récoltés.

Le premier objectif de 25 000$ permettra de venir en aide à 50 familles, avec notamment l’attribution d’un téléphone portable, l’installation d’un portefeuille bitcoin, et environ 50$ en bitcoins par mois pendant 6 mois.

Si ce premier pallier est franchi – et il est indispensable qu’il le soit dans un monde où chacun est prêt à dépenser des fortunes dans des NFT de singes moches – Kiveclair pourra commencer à réfléchir à l’utilisation de locaux en dur en ville.

Bien évidemment, à mesure que la cagnotte grossira, les ambitions suivront avec pour objectif l’organisation d’événements de nature à offrir un focus sur la situation nationale, attirer des ressources et des compétences, convaincre le tissu économique local de la pertinence du modèle…

Gloire nous explique :

« Les fonds collectés seront distribués (en bitcoins) à quelques victimes de l’éruption du volcan nyiragongo. Ces derniers manquent de tout (maisons, nourriture, etc). Nous allons également étendre l’aide à plusieurs autres catégories sociales victimes d’injustices (personnes vivant avec handicap, pygmée, etc) le tout sur une période minimum de 6 mois. Pendant ce temps (6 mois), ils suivront une formation sur le bitcoin et la monnaie. Après, nous prévoyons de les engager à faire des travaux communautaires payés en bitcoin. »

Les hommes et femmes derrière Kiveclair

A mesure que le temps passe, l’initiative Kivéclair s’attire sympathie et soutien. Le Journal du Coin est ainsi fier de valoriser cette équipe, derrière laquelle se profile le média Chainglob, site d’informations cryptos tourné vers l’Afrique. On citera également l’association française Le Cercle du Coin et le Podcast Parlons Bitcoin, également très actifs.

Pour contribuer à cette belle oeuvre commune, c’est par ici.

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NFT : La première vente d’Adidas rapporte 23 millions de dollars et se hisse en tête des classements

Le géant des vêtements de sport Adidas Originals a gagné 23,4 millions de dollars en un seul après-midi grâce à son premier lancement NFT « Into the Metaverse » vendredi. Le volume de ventes phénoménal de la collection au cours des dernières 24 heures l’a propulsé au sommet du classement en tant que projet NFT […]

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