La plateforme Steam décide d’interdire les crypto-jeux, Epic Games compte les accepter

Le « store » de jeux vidéos Steam a décidé cette semaine d’interdire les applications adossées à la technologie blockchain. Epic, son premier concurrent, compte de son côté accepter les jeux blockchain sur sa plateforme.

Le développeur et éditeur de jeux vidéo Epic a décidé d’accepter les jeux développés grâce à la technologie blockchain. Cette nouvelle intervient alors que la plateforme Steam a annoncé cette semaine qu’elle interdirait les applications « développées sur la technologie blockchain, qui émettent ou permettent d’échanger des cryptomonnaies ou des NFTs ».

Epic, son principal concurrent, a de son côté confié au site The Verge qu’il était « ouvert aux jeux qui prennent en charge les cryptomonnaies ou des actifs basés sur la blockchain ».

Dans un tweet publié ce samedi 16 octobre, Tim Sweeney, PDG et fondateur de l’entreprise, a réaffirmé cette volonté :

Epic Games Store will welcome games that make use of blockchain tech provided they follow the relevant laws, disclose their terms, and are age-rated by an appropriate group. Though Epic’s not using crypto in our games, we welcome innovation in the areas of technology and finance. https://t.co/6W7hb8zJBw

— Tim Sweeney (@TimSweeneyEpic) October 15, 2021

« L’Epic Games Store accueillera les jeux qui s’appuient sur la technologie blockchain, à condition qu’ils respectent les lois en vigueur, qu’ils présentent leurs conditions d’utilisation et qu’ils s’adressent à la bonne tranche d’âge.

Si Epic n’utilisera pas des cryptomonnaies dans ses jeux, nous accueillons l’innovation des sphères de la technologie et de la finance ».

Le dirigeant a également donné son point de vue sur la technologie blockchain :

As a technology, the blockchain is just a distributed transactional database with a decentralized business model that incentivize investment in hardware to expand the database’s capacity. This has utility whether or not a particular use of it succeeds or fails.

— Tim Sweeney (@TimSweeneyEpic) October 15, 2021

« En tant que technologie, la blockchain n’est qu’une base de données transactionnelle distribuée, adossée à un business model décentralisé, qui incite à l’investissement dans le “hardware” pour étendre les capacités de cette base de données. Ceci a une valeur, quel que soit le succès rencontré spécifiquement par l’un de ses cas d’usage ».

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Une décision prévisible de la part de Steam ?

Fortnite, le jeu le plus populaire d’Epic, dispose d’une monnaie baptisée « V‑Bucks ». En 2019, le dirigeant avait confirmé que la cryptomonnaie anonyme Monero (XMR) avait été « accidentellement » ajoutée à la liste des moyens de paiement acceptés par Fortnite – cette option a depuis été supprimée

Avec 129 millions d’utilisateurs actifs mensuellement (contre 32 millions pour Epic Games), Steam est le premier distributeur de jeux au monde. Valve, l’entreprise à l’origine de la plateforme, n’a pas expliqué la raison pour laquelle elle interdisait les jeux adossés à la technologie blockchain.

Pour Amy Wu, partenaire de la société de capital-risque Lightspeed, cette décision de Valve était prévisible :

1/ Valve banned blockchain games from Steam yesterday. It’s not surprising. Web2 centralized platforms get a cut of all value generated from its ecosystem. Blockchain circumvents that and decentralizes value back to builders and usershttps://t.co/vkE2RtZ8OI

— Amy Wu (@amytongwu) October 16, 2021

« Les plateformes centralisées du Web 2.0 récupèrent un pourcentage de la valeur générée par leur écosystème », a‑t-elle expliqué. « La blockchain contourne ce mécanisme et décentralise la valeur, en la rendant aux développeurs et aux utilisateurs ».

Les développeurs blockchain qui souhaitent se tourner vers Epic devront toutefois patienter : la fonctionnalité leur permettant d’auto-publier un jeu n’est pour l’instant disponible qu’en version bêta.

À lire également : Voici comment le jeu Axie Infinity est devenu le deuxième plus grand générateur de revenus de la crypto-sphère

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Bitcoin : Mark Cuban n’investira pas dans un ETF, il préfère acheter directement des BTCs

Mark Cuban, le propriétaire de l’équipe de NBA des Dallas Mavericks, est loin d’être enthousiasmé à l’idée d’investir dans des fonds indiciels (ETFs) basés sur le Bitcoin, qui devraient s’échanger dès la semaine prochaine sur les marchés américains. La star du programme « Shark Tank » préfère acheter directement des BTCs.

ETFs : Mark Cuban préfère acheter directement du Bitcoin

Mark Cuban n’est pas vraiment enthousiasmé par les ETFs. Ces produits financiers, qui permettraient aux investisseurs de miser facilement sur la première cryptomonnaie, devraient être approuvés dès lundi prochain par le gendarme des marchés financiers américains (la SEC). Ces ETFs ne seraient toutefois pas adossés à des Bitcoins « physiques », mais seulement à des contrats à terme sur le Bitcoin.

Voici ce qu’a confié Mark Cuban au cours d’un entretien accordé à CNBC vendredi dernier, après qu’on lui a demandé s’il comptait investir dans un ETF sur le Bitcoin :

« Non, sachant que j’ai la possibilité d’acheter directement du BTC ».

L’entrepreneur avait expliqué il y a quelques mois que le Bitcoin était « un or meilleur or que l’or », faisant de lui une meilleure réserve de valeur du fait de sa rareté algorithmique :

« C’est la raison pour laquelle je détiens du Bitcoin, et que je n’en ai jamais vendu un seul », avait-il confié en avril dernier.

Le propriétaire des Mavericks de Dallas a précédemment révélé avoir investi dans l’Ether, le Dogecoin, mais aussi dans certains tokens non fongibles (NFTs) ainsi que dans plusieurs sociétés blockchain. Il estime, tout comme Elon Musk, que le DOGE constitue la « meilleure » cryptomonnaie pour effectuer des paiements.

En août, le dirigeant avait évoqué la réglementation des cryptomonnaies. Il jugeait que les règles en vigueur n’étaient pas suffisamment claires :

« Le problème, ce n’est pas que les gens recherchent des zones grises, c’est qu’il n’existe pas de règles bien définies. La réglementation par le biais de contentieux piège tous ceux qui ne peuvent pas s’offrir un avocat, un comptable ou un conseiller ».

À lire également : Bitcoin : le BTC atteint les 60 000 dollars pour la première fois depuis avril – l’arrivée d’un ETF imminente ?

Un ETF sur des contrats à terme

Si l’arrivée d’ETFs adossés à des contrats à terme sur le Bitcoin permettrait aux investisseurs de s’exposer aux crypto-marchés sans avoir à détenir des BTCs, Todd Rosenbluth, directeur de la recherche sur les ETFs pour la société CFRA, estime qu’ils ne devraient être utilisés que dans des stratégies de court terme :

« Le prix de l’ETF ne sera pas équivalent à celui du prix du Bitcoin. Ainsi, il sera sans doute plus adapté à une exposition à court terme qu’à une stratégie d’achat à long terme ».

Pour d’autres observateurs, comme l’analyste Lark Davis, il s’agit d’un actif « poubelle », qui pourrait toutefois ouvrir la voie à un « véritable » ETF sur le Bitcoin :

« Je pense qu’un ETF adossé à des contrats à terme ouvrirait la voie à un ETF sur le Bitcoin. C’est ce que nous souhaitons vraiment, car c’est ce qui aurait un véritable impact », avait-t-il confié fin septembre.

À lire également : 60 000 dollars : le niveau de support du prochain « bear market » du Bitcoin ?

Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec sa lecture.

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Hebdo Crypto #166 – Les actualités Bitcoin et cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 11/10 en bref – L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants.

Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur l’actualité de la semaine passée dans l’Hebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

L’actualité en bref

Les stablecoins en passe d’être assurés au même titre que le dollar ? C’est en tout cas une possibilité qui serait discutée au sein de la Federal Deposit Insurance Corp. (FDIC), l’un des principaux régulateurs bancaires aux États-Unis.

Le multichaine, le nouveau paradigme de la DeFi. Initialement lancée sur Ethereum, la DeFi a depuis migré vers de nombreuses autres blockchains. Cependant, la grande majorité des fonds qui y sont déposés proviennent du géant Ethereum.

Binance jette son dévolu sur l’Irlande. Après les déboires réglementaires rencontrés par la plateforme d’échange Binance au cours des derniers mois, celle-ci a finalement décidé de baser son siège social en Irlande, profitant de ce fait d’avantages fiscaux importants.

Kraken soutient l’adoption de Bitcoin. Ainsi, la plateforme d’échange vient d’effectuer une donation de 150 000$ en BTC au groupe Black Bitcoin Billionaire, qui œuvre pour l’inclusion et la diversité dans l’écosystème Bitcoin.

Bitcoin bientôt une monnaie légale dans plusieurs pays ? C’est l’estimation faite par le CEO de BitMEX, Alexander Höptner, selon qui cinq pays pourraient suivre le pas du Salvador en 2022.

Le Bitcoin continue son rebond initié il y a quelques mois. Rien de mieux qu’un tour d’horizon mené par le Trading du Coin pour peaufiner sa stratégie.

Les 5 métriques de la semaine

2 millions de dollars, c’est le montant record de vente de NFT sur la blockchain Solana. Ainsi, le NFT SolMonkey #1355 de la série SolMonkey a été vendu pour 13 027 SOL. Ce dernier est actuellement considéré comme étant la pièce la plus rare de la collection.

535 000$, c’est le montant dépensé par erreur en frais de transaction sur Ethereum par un utilisateur. Dans les faits, celui-ci souhaitait participer à la vente de jetons Strips sur la plateforme MISO. Cependant, sa transaction initialement destinée au service Flashbot s’est retrouvé au côté des transactions normales dans la mempool.

1,3 million, c’est le nombre d’utilisateurs à s’être préinscrit pour l’ouverture de la plateforme Coinbase NFT. Ce nombre de participants a été atteint seulement deux jours après l’annonce de Coinbase, démontrant un engouement exacerbé pour le nouveau service que s’apprête à lancer la plateforme d’échange.

12, c’est le nombre de cryptomonnaies qui pourront désormais être utilisé dans le module de paiement des sites Wix. Une fonctionnalité permise par le partenariat entre le fournisseur de site internet et le processeur de paiement Bitpay.

200 milliards de dollars, c’est le nouveau record que vient de battre la TVL (Total Value Locked) de l’écosystème DeFi. Évidemment, Ethereum reste la blockchain leader du marché avec 150 milliards de dollars bloqués sur ses différents protocoles.

>> Jusqu’à 100 € offerts à l’inscription, ça vous dirait, histoire de bien commencer votre aventure crypto ? Swissborg n’attend plus que vous ! <<

Le tweet de la semaine

Retour détaillé de Gregory Raymond sur les débats concernant le projet de modification de la fiscalité des cryptomonnaies porté par Pierre Person.

Fiscalité des cryptos : suivi du processus législatif

6 amendements (et 2 sous-amendements) ont été adoptés hier et ce matin en séance publique à l’Assemblée nationale, après avoir été adoptés en commission la semaine dernière

Voici les lesquels

— Grégory Raymond (@gregory_raymond) October 14, 2021

Bonne semaine sur le Journal du Coin !

Le Journal du Coin est fier de pouvoir vous conter les petites et grandes histoires de Bitcoin et des cryptomonnaies. Pour soutenir le journal dans ce type d’initiative et garantir son indépendance, n’hésitez pas à passer par les liens affiliés du média, que vous souhaitiez profiter de 100 euros offerts en cryptomonnaies par une plateforme ultra-robuste, voire, pourquoi pas, les miner vous-même !

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L’adaptation du Droit aux Nouvelles Technologies Décentralisées

La technologie et le droit : inconciliables vous dites ?  Et pourtant, dans un monde digital tel que la société numérique dans laquelle nous vivons aujourd’hui le droit et la technologie ne peuvent plus avancer l’un sans l’autre. Avec la mise en place de confinements successifs du jour au lendemain, la pandémie du Covid-19 fût sans aucun doute un accélérateur de la transformation digitale de notre société. Des millions de personnes à travers le monde se sont retrouvées contraintes de travailler à distance ce qui a créé : une décentralisation du travail, des consommateurs plus connectés, la création de nouvelles technologies, une finance de plus en plus décentralisée, et l’utilisation plus fréquente de cryptomonnaies.  Or, ce nouveau monde immatériel n’est pas pour autant une zone de non droit et comme on va le découvrir dans cet article, l’innovation technologique a besoin du droit pour prospérer.

Le droit « Garde du Corps » de l’innovation technologique

Il est vrai que dans de nombreux domaines, la technologie a toujours un coup d’avance sur le droit, cependant le rôle du droit n’est pas forcement d’être en avance sur la technologie mais plutôt de la comprendre et de l’accompagner.  Le droit doit encourager l’évolution de la technologie, et comme un garde du corps, la protéger contre les malfaiteurs et la corruption en l’encadrant afin que cette technologie garde une bonne éthique et respecte les valeurs inculquées à notre société depuis la nuit des temps. 

Souvent nous nous apercevons que les législateurs ne comprennent pas réellement les enjeux juridiques auxquels font face les nouvelles technologies.  Les institutions gouvernementales réagissent fréquemment en inventant des astuces légales pour se protéger sans forcément comprendre le point de vue Tech de la situation. Hors, considérant que nous évoluons désormais dans une société numérique, le but devrait être de multiplier les programmeurs et ingénieurs informatiques au sein du gouvernement et du législatif. En effet, les juristes, programmeurs et législateurs devraient travailler ensemble en collaboration étroite et quotidienne, pour que le droit et la technologie avancent main dans la main en s’adaptant à la transformation digitale de notre société.  De plus, le code et les algorithmes ne sont-ils pas aussi une forme de règles et de droit ? 

Si nous analysons les lignes de codes qui créent toutes les nouvelles technologies qui nous entourent nous verrons que celles-ci ont deux rôles : autoriser ou limiter nos actions, tout comme le droit.  Hors ce code n’est ni contrôlé, ni encadré, il peut être écrit par n’importe qui, laissant malheureusement place a certains perturbateurs qui utiliseront ces nouveaux outils technologiques pour commettre des infractions. 

En effet, si internet permet une liberté d’expression sans frontière sur les réseaux, il y a un revers de la médaille : l’existence de discours violents, racistes, de la divulgation d’informations personnelles sans consentement, de l’espionnage numérique, des problèmes de pédopornographie,https://journalducoin.com/blockchain/nym-tech-blockchain-privacy-anonymat-confidentialite-mixnet/ des acteurs un peu trop curieux qui s’immiscent dans nos données et les transfèrent  illégalement afin de se faire rémunérer… Qu’il s’agisse du domaine de la finance ou de l’e-commerce, les transactions ont besoin d’être sécurisées par des mesures de régulation et/ou des codes informatiques pour préserver la confidentialité de nos données personnelles et lutter contre les cyberattaques. 

Les dérives étant faciles, il ne s’agit donc pas de réguler la technologie en elle-même mais d’encadrer l’activité humaine. Tout ceci montre que l’innovation technologique et le droit ont un besoin fondamental de coopérer, sans se freiner. 

S’il est vrai que certaines mesures réglementaires sont longues et coûteuses à implémenter, il faut garder à l’esprit que la conformité vous permet d’obtenir un écosystème sûr et encadré qui inspire confiance à vos clients et partenaires.  Il est fortement recommandé de s’armer de conseil juridique et de « s’auto réguler » le plus possible quand vous innovez.

Examinez l’architecture de vos codes et algorithmes, renforcez votre cyber sécurité, appliquez des mesures visant à lutter contre le blanchiment d’argent pour votre entreprise et vos clients.  Que nous soyons acteur économique ou simple usager d’internet, nous avons tous besoin de faire attention à la sécurisation de notre « cyberspace ». 

Vers une « Cyber-Ethique » ?

La tendance est aujourd’hui à la « cyber-éthique », notamment avec la montée en puissance de nouveaux droits fondamentaux tels que: le droit à l’oubli numérique, le principe d’interdiction des mesures générales de surveillance, le droit à la neutralité des réseaux, le droit à l’inviolabilité du domicile virtuel, le droit au masquage des données médicales…

Comme l’a si bien dit Lawrence Lessig, professeur de droit à Harvard :

« Nous construisons un monde dans lequel la liberté peut fleurir non pas en privant la société de toute forme de contrôle consciemment accepté, mais en le construisant en un lieu où une forme particulière de contrôle librement accepté survit. Nous construisons la liberté comme nos fondateurs l’ont fait, en établissant la société sur la base d’une certaine constitution. »

En conclusion, l’immatérialité de l’informatique, la décentralisation de notre système financier, l’apparition de nouvelles cryptomonnaies, les NFT, les Smart Contracts et la Blockchain offrent une remise à jour de notre industrie matérielle qui interroge diverses branches du droit, notamment: le droit de la protection des données personnelles, le droit de la propriété intellectuelle (remis en cause avec l’apparition des jetons non fongibles NFT), le droit des contrats (remis en cause par les « Smart Contracts » souvent associés au fonctionnement de la Blockchain), et le droit financier qui doit désormais faire face à un écosystème complètement décentralisé: la DeFi.

Ainsi s’achève ce premier chapitre portant sur l’adaptation du Droit aux Nouvelles Technologies Décentralisées. Le prochain volet “Vers un Écosystème Décentralisé : La DeFi” vous emmènera un peu plus loin sur ce chemin complexe mais passionnant.

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FTX va financer un programme destiné aux ingénieurs hispaniques en lançant le jeu NFT Lotería sur Solana

Si les cas d’arnaques associées aux cryptomonnaies ne cessent d’augmenter, ceux servant au contraire à des causes plus nobles ne sont pas en reste. Le dernier exemple nous vient du marché des NFTs où les fonds générés par un jeu lancé sur Solana seront versés à des organisations éducatives. Il s’agit d’une initiative de l’exchange […]

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Sotheby’s se dote finalement d’une plateforme dédiée à la vente des NFTs

Figure incontournable de l’industrie de la vente aux enchères, Sotheby’s a fini par succomber à la tentation de s’investir pleinement dans les NFTs. La multinationale vient ainsi de lancer sa plateforme dédiée à la vente des tokens non fongibles. L’évènement qui s’est déroulé le 14 octobre pourrait déjà marquer un tournant dans l’adoption des NFTs […]

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David St-Onge écrit un livre qui dit tout sur le Bitcoin

Informer les gens en français sur le Bitcoin (BTC), les altcoins et tout l’écosystème crypto (DeFi, NFT, minage…) voilà la mission qui est la nôtre. C’est donc logiquement que nous avons parlé avec David St-Onge, un passionné du Bitcoin qui a sorti en juin dernier un livre au titre qui ne cache rien: Tout sur Bitcoin, le comprendre et l’utiliser. …
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Le propriétaire d’un CryptoPunk refuse une offre de près de 10 millions de dollars pour son NFT

Le propriétaire du token non fongible (NFT) CryptoPunk n°6046 a refusé une offre de 2 500 ETHs (environ 9,7 millions de dollars) pour son NFT.

« Richerd », le détenteur du NFT, avait acheté celui-ci en mars dernier, pour 45 Ethers (83 209 dollars) :

Parmi les caractéristiques rares de ce « punk », on peut citer ses lunettes 3D (3% des punks en sont dotés), une cigarette dans sa bouche (10%) ainsi que ses cheveux « en bataille » (4%).

Si cette offre avait été acceptée, il se serait agi de la plus grosse vente (en dollars) pour un NFT CryptoPunk. Le record en date a été enregistré le 11 mars dernier, avec la vente du CryptoPunk #3100 pour 4 200 Ethers (soit alors 7,58 millions de dollars).

À lire également : Un « Solana Monkey » vendu à un montant record de plus de 2 millions de dollars

« Le Punk 6046 ne peut pas être acheté ! »

@richerd a publié dans la nuit de vendredi à samedi une série de tweets pour expliquer sa décision :

Why I rejected a 2500 ETH ($9.5M USD ) offer from @poapxyz on CryptoPunk #6046

This could have been the largest ever on-chain NFT sale in USD, but I chose to reject the offer.

Here is the story and why pic.twitter.com/zeURo4C5z6

— richerd (@richerd) October 16, 2021

Il explique que son NFT, « qui ne vaut sans doute pas 2 500 ETHs » puisqu’il ne s’agit pas d’un token particulièrement rare, tire sa valeur du fait qu’il en est le détenteur. Il indique qu’il est notamment le cofondateur de la plateforme manifold.xyz et qu’il a « créé une marque » autour de cet actif.

« Le Punk 6046 ne peut être acheté ! Mais je suis content de savoir que quelqu’un pense qu’il vaut plus de 2500 ETHs (9,5 millions de dollars) », a‑t-il ajouté.

Lancée par la startup Larva Labs, CryptoPunks est une collection de 10 000 NFTs générés de manière aléatoire. Il s’agit actuellement de la première gamme de tokens non fongibles sur la place de marché OpenSea, avec plus de 552 000 ETHs (2,1 milliards de dollars) de transactions.

Le prix moyen des CryptoPunks a flambé au cours derniers mois, passant de moins de 30 ETHs fin juillet à plus de 110 ETHs lors de la rédaction de cet article.

À lire également : Solana : un NFT de la collection « Degenerate Ape » vendu à un montant record de plus d’1 million de dollars

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