Axie Infinity : Un utilisateur achète une parcelle virtuelle pour 2,3 millions de dollars

Dans Axie Infinity Land NFT, il est possible d’acheter des parcelles virtuelles pour les revendre plus tard ou les utiliser pour faire des constructions. Récemment, une des parcelles de son univers NFT a été vendue pour 550 ETH, soit 2,3 millions de dollars. Axie Infinity Land bat CryptoPunks Depuis que les NFT ont gagné en […]

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Les NFTs et la notion de rareté numérique

Rareté et NFT, un nouveau paradigme – Aujourd’hui, il est possible en quelques clics de dupliquer à peu près n’importe quel média en ligne. De fait, la notion de rareté numérique semble être une hérésie aux yeux de certains. Mais cette facilité de copie n’a-t-elle pas mécaniquement invalidée la notion même de valeur des oeuvres numériques ? Et dans cette hypothèse, quelles sont les promesses des NFTs pour améliorer ça ?

La rareté numérique à l’ère de la pollution visuelle

Aujourd’hui, avec la multiplication des applications et outils numériques de création, “faire de l’art” est à la portée de tout le monde. Bien entendu, tout le monde ne possède pas la même sensibilité ou une facilité identique à créer quelque chose qui plait. Néanmoins, dessiner, retoucher ou animer est devenu de plus en plus accessible au plus grand nombre.

Pour commencer, tout un chacun est en capacité d’apprendre les rudiments de ces outils sur les plateformes de streaming ou des sites de formation spécialisés. Il est également possible de suivre des vidéo plus pointues pour connaître des techniques plus avancées. 

Mais ce n’est pas parce que l’accessibilité s’est améliorée que créer est devenu plus simple. A part quelques exceptions sur la planète, il ainsi nécessaire de maîtriser les règles artistiques et leur histoire pour pouvoir prétendre les comprendre. L’étape suivante sera de les faire siennes afin d’avoir son « style ». 

Cette authenticité qui permet de se démarquer des autres est très recherchée en ligne : elle permet de capter l’attention, ressource devenue rare et disputée par de nombreuses marques. La valorisation publique d’années d’apprentissage et de travail revient donc à une autre entité que l’artiste. 

Le compromis virtuel entre liberté et sécurité 

Dans cette guerre de l’attention, chacun redouble d’effort pour produire toujours plus de contenu. Conséquence : avec l’afflux d’art numérique, le sentiment qu’il est simple à créer se renforce et donc, n’a que peu de valeur.

Cela devient donc compliqué pour un artiste numérique d’être reconnu à sa juste valeur. L’option lucrative la plus évidente est de se faire recruter par une entreprise pour produire des contenus conformes à son identité. 

Mais ces critères doivent correspondre à une identité qui n’est pas forcément celle de l’artiste. Alors se dégage souvent une nécessaire compromission : Perdre un peu d’authenticité et de liberté créative au profit d’une sécurité économique et de petites victoires dans la grande guerre de l’attention.

Bien sûr, il est possible de refuser ce système. Mais les nouvelles vont vite et il deviendra très dur de gagner sa vie grâce à ces créations par la suite. Ce compromis contraint s’apparente donc davantage à une capitulation face à un chantage qu’autre chose.

En terme d’alternatives, les réseaux sociaux proposent une monétisation du contenu. Avec des conditions générales d’utilisation devenues de moins en moins avantageuses pour les créateurs. Et surtout, un pouvoir de censure parfois démesuré.

Pour résumer l’état de santé du marché de la création numérique aujourd’hui : une production massive de contenu contrôlée par des entités centrales qui dévaluent ce qui ne leur plaît pas.

Comme un air de déjà vu non ?

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Qu’est-ce que les NFTs changent dans cette situation ?

C’est la question qui brûle toutes les lèvres aujourd’hui. Alors, qu’est-ce que changent réellement les NFTs dans ce paysage ?

La première chose, c’est la possibilité, pour le propriétaire des clés privées d’un wallet crypto, de démontrer sans contestation possible, qu’il a bien créé un NFT à un instant T. Ce bénéfice peut se résumer par la fameuse expression “Rendre à César ce qui appartient à César”. 

Désormais, chaque artiste peut également valoriser l’étape de création d’un projet auquel il a participé. Cette information peut être vérifiée publiquement et ne peut pas être censurée. A condition d’utiliser une blockchain suffisamment décentralisée bien entendu.

La seconde, c’est de graver dans le marbre le nombre d’éditions initialement prévues à la vente. Cela permet à un auteur de décider du niveau de rareté numérique d’une œuvre originale.

La troisième : les royalties. En restant réaliste, le système des royalties apporté par les NFTs n’est pas parfait. Mais la promesse d’une redistribution plus juste des royalties sur le marché secondaire est de taille.

Technologiquement, les NFTs représentent une réelle évolution dans la manière d’envisager un changement dans l’univers numérique. Mais ils demeurent un outil, et leur utilité sera déterminée par leur utilisation. Utilisation qui mérite d’être portée par les premiers concernés par un besoin de revalorisation de leur travail : les artistes de l’univers numérique.

Si vous lisez ceci, il n’est peut-être pas trop tard pour profiter d’une offre exceptionnelle réservée par Ascendex aux 400 premiers utilisateurs qui s’inscriront sur cette plateforme d’exchange réputée ! Outre bénéficier de 10% de réduction sur leurs frais de trading, un airdrop de 5$ supplémentaire vous sera offert (lien affilié, sous réserve de trader au moins 100$, voir conditions sur site).

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Christian Ng : NFT et le bitcoin ont des points communs

Christian Ng, responsable de la société de développement de la blockchain basée à Hong Kong, GBV Capital, a parlé de son attitude vis-à-vis des investissements dans des tokens non fongibles (NFT). Il croit que NFT et le bitcoin ont beaucoup en commun. Lien entre la première cryptomonnaie et NFT Christian Ng a partagé son opinion […]

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Torus Wallet : la nouvelle référence des portefeuilles crypto

Tout utilisateur du Web décentralisé rêve d’un portefeuille crypto lui permettant d’accéder à ses dApps préférées en un clic ou deux. Pour fournir une telle expérience, il faut repenser la façon de gérer les clés privées, et imaginer de nouvelles méthodes d’authentification. C’est précisément ce qu’offre Torus Wallet, que nous vous présentons aujourd’hui.

Cet article vous est proposé dans le cadre d’une campagne de communication éducative, et soutenue par Torus.

Torus Labs et son équipe

Torus Labs est une entreprise singapourienne, fondée le 3 avril 2018 par Leonard Tan et Zen Yong. Elle est focalisée sur la gestion des clefs cryptographiques pour les utilisateurs et les applications décentralisées. Les deux co-fondateurs ont auparavant travaillé sur Ethereum ou pour des entreprises comme Visa. Forte de 21 employés, Torus Labs a mené avec succès deux rondes d’investissement en 2019, auprès de fonds prestigieux. L’entreprise est en effet soutenue par des poids lourds : Multicoin Capital, Binance Labs, Fenbushi Capital, Accomplice, Coinbase, l’Ethereum Foundation, Google, Visa, Paypal, Credit Suisse et autres.

L’équipe de Torus

Résiliente, flexible et guidée par des valeurs fortes, l’équipe de Torus nous livre aujourd’hui les produits de gestion de clefs cryptographiques les plus intéressants du marché.

Les différents produits de Torus Labs

La suite logicielle fournie par Torus est la passerelle ultime vers le web décentralisé. Elle permet à tout un chacun de rejoindre l’écosystème du Web 3.0 sans friction et extrêmement facilement. L’utilisateur peut ainsi s’authentifier sans mot de passe, avec un simple compte Google, Apple, Facebook, Twitter, et bien d’autres options.

Torus propose 3 produits : la suite logicielle OpenLogin, le portefeuille crypto Torus Wallet, et l’interface utilisateur en marque blanche CustomAuth.

La suite logicielle OpenLogin

OpenLogin est une suite logicielle plug and play. Elle permet de s’authentifier sans mot de passe, tout en conférant un degré de sécurité très élevé. En effet, elle repose sur une infrastructure à clés publiques (ICP) non-custodial – c’est-à-dire que seul l’utilisateur final a le contrôle sur ses clefs privées.

Elle offre la facilité d’utilisation du SSO (single sign-on) ou authentification unique : l’utilisateur peut ainsi accéder à plusieurs sites ou applications grâce à une seule authentification. Voici les fonctionnalités offertes par OpenLogin :

Authentification biométrique ;Authentification unique grâce à un compte social ;Gestion des données sensibles (chiffrement, paramétrage RGPD/CCPA/CPRA) ;Support web et natif ;Interface utilisateur entièrement paramétrable ;Intégration rapide pour les développeurs.

OpenLogin est accessible via le kit de développement de Torus (Torus SDK). L’ICP de Torus, la TKI pour Torus Key Infrastructure, permet d’assurer deux propriétés essentielles à l’authentification : la sécurité et le respect de la vie privée (qui passe par la résistance à la censure).

L’infrastructure à clés publiques est l’épine dorsale du produit phare de Torus, le Torus Wallet.

Torus Wallet : accédez au Web 3.0 en un clic

Le portefeuille de cryptomonnaies Torus Wallet est la nouvelle killer-app du web décentralisé. Disponible pour Ethereum, Solana et autres blockchains, il permet de gérer ses actifs avec un seul et même compte.

Mais ce n’est pas tout. Torus Wallet offre d’ores et déjà de nombreuses fonctionnalités.

Fonctionnalités

Torus Wallet est plus qu’un simple portefeuille crypto en ligne facile d’utilisation :

Achat de cryptos avec des monnaies fiat, grâce à de nombreux fournisseurs de paiement ;Intégration des couches secondaires du réseau Ethereum, compatibilité avec les chaînes intégrant l’EVM (Ethereum Virtual machine) ;Interface utilisateur disponible en marque blanche ;Gestion des ERC-721 (le smart contract standard des NFT) ;Export des clefs privées ;Traduction en plusieurs langues ;Fonction de récupération du compte ;Différents thèmes visuels, compatibilité avec iOS et Android.

Torus Wallet est déjà intégré à de nombreuses dApps (finance décentralisée, NFT, jeux) de l’écosystème Ethereum.

Tout y est !

Pour les développeurs, la facilité d’intégration est déconcertante. Il suffit de faire un tour sur la documentation dédiée à l’API. Bien entendu, l’intégration de Torus Wallet nécessite un environnement de navigation sécurisé. Torus Wallet est compatible avec tous les réseaux Ethereum comportant un JRPC endpoint.

L’infrastructure de Torus

La gestion des clés privées est l’un des plus gros défis auquel l’industrie crypto fait face. En effet, l’expérience utilisateur est généralement pénible, voire déplorable, lorsqu’on recherche une sécurité maximale. De nombreux progrès ont été faits en termes d’UX, cependant, la résistance à la censure est généralement sacrifiée. Ces solutions sont dites custodial : le contrôle des clefs privées est délégué au fournisseur de service.

L’équipe de Torus Labs a travaillé durement pour résoudre ce problème. La solution réside dans son infrastructure à clés publiques non-custodial, la TKI.

Gestion des clés grâce au partage de Shamir

La gestion des clés privées combine l’appareil de l’utilisateur, une entrée privée et/ou une méthode d’authentification “classique” (compte Google, adresse email, Twitter, Reddit, etc.). Tout repose sur les nœuds Torus dont nous parlerons plus loin. Tant que l’utilisateur a accès à 2 de ces 3 entités, il a le contrôle de ses clés privées.

Présentation générale de l’architecture de la TKI.

L’idée est basée sur le partage de clef secrète d’Adi Shamir. Pour simplifier, la clé de l’utilisateur est séparée en trois parties :

La première part est stockée sur l’appareil de l’utilisateur ;La deuxième est stockée chez les opérateurs de nœuds Torus (elle est à son tour partagée) ;La troisième est stockée sous la forme d’une phrase mnémonique de récupération (qui peut être stockée sur un autre appareil ou générée par l’utilisateur lui-même).

Les bénéfices pour l’utilisateur

Ce système présente de nombreux avantages :

Les services d’authentification n’ayant accès qu’à 1 part sur 3, l’utilisateur a toujours le contrôle de ses clés ;L’expérience utilisateur est la même que sur le Web “classique” ;La récupération des logins est facilitée ;La sécurité peut être renforcée à la demande (par exemple en rajoutant une quatrième méthode comme une clé physique ;Le wallet Torus est blockchain-agnostique ;Même en cas de corruption des nœuds Torus, le système reste résistant à la censure (en effet, l’utilisateur aura toujours accès aux parts A et C du secret).

Il s’agit donc là d’une révolution dans le domaine de l’authentification sur le Web décentralisé.

Les nœuds Torus

Les nœuds Torus sont donc des fournisseurs de service qui donnent à l’utilisateur une clé spécifique via une forme d’attestation de sa part. Cette “attestation” peut être envoyée sous la forme d’un login classique (compte Google par exemple), d’une identification biométrique, ou tout simplement d’une bonne vieille adresse email.

Architecture technique de la TKI.

Pour ce qui est de la couche de stockage, qui sert à conserver les métadonnées chiffrées, le choix revient à l’opérateur. Il peut s’agir d’IPFS, d’Arweave, de Sia ou autres… Au niveau de l’appareil de l’utilisateur, le choix lui revient. Il peut donc décider d’en augmenter le nombre après la phase d’initialisation à 3 parts.

Les détails techniques de l’architecture et de la génération/reconstruction des clés sont disponibles dans la documentation de Torus pour plus de détails. Le code, open-source, est accessible sur le dépôt GitHub de Torus.

Bien entendu, nous retrouvons de grands noms de la crypto-industrie chez les opérateurs de nœuds du réseau Torus :

Le réseau Torus

Le Torus Wallet en pratique

Comme vous le verrez, il s’agit certainement du portefeuille crypto le plus facile à utiliser. La création d’un wallet s’effectue en un clic :

La page d’accueil regroupe toutes les informations utiles :

Le panneau de configuration permet de personnaliser le wallet selon ses préférences et gérer son carnet d’adresses :

Si vous ne possédez pas de cryptomonnaies, de nombreuses options de paiement fiat sont disponibles pour en acquérir en quelques clics :

Enfin, toutes les applications décentralisées phares de l’écosystème Ethereum sont accessibles en un clic, regroupées dans l’onglet “Discover”.

Pour l’instant, le Torus Wallet existe en version navigateur, mais une extension Chrome est d’ores et déjà disponible en version bêta. Il faudra activer le mode développeur pour l’installer après téléchargement de ce fichier .zip.

Grâce à OpenLogin, il est possible de personnaliser à sa guise le degré de sécurité du portefeuille. L’authentification à deux facteurs (2FA) peut être activée sur demande. Il est également possible d’utiliser l’authentification biométrique (faciale, digitale).

Notre tour d’horizon du Torus Wallet étant terminé, ne nous arrêtons pas là ! En effet, Torus Wallet est également disponible pour l’écosystème Solana.

Le wallet Torus pour Solana

Afin d’utiliser Torus Wallet pour Solana, rien de plus simple : il suffit de se rendre sur https://solana.tor.us/ et d’effectuer un clic sur l’icône correspondant à la méthode d’authentification choisie.

Pour l’instant, toutes les fonctionnalités ne sont pas disponibles : l’intégration des NFT Solana est en cours de développement. Au vu de la fiabilité de l’équipe de Torus, nul doute que vous pourrez bientôt contempler vos Degen Apes !

Découvrez Torus et participez au bug bounty

Torus est bien placé pour devenir le portefeuille ultime du Web 3.0 ! Très simple d’utilisation, et pourtant très complet, il ne faut pas hésiter à en faire l’expérience. Il s’agit tout simplement d’un des meilleurs portefeuilles crypto en ligne que j’ai pu avoir l’occasion de tester.

Torus Labs a mis en place un programme de chasse aux bugs (bug bounty) avec des récompenses allant de 200 à 5000 $ selon la sévérité des failles rapportées. C’est un excellent moyen de participer à l’amélioration du wallet !

Ressources

Le site web de TorusTorus Wallet EthereumTorus Wallet SolanaTelegramTwitterMediumGitHubRedditLinkedInYouTubeDiscord

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Les brèves cryptos du 26 novembre 2021

Retrouvez chaque jour de la semaine notre sélection de brèves cryptos, DeFi, NFT internationales.

✨A Genesis Land Plot just sold for 550 ETH!That’s over 2.3 M USD!Our player-owned Digital nation continues to shock the world 🙌🔥 pic.twitter.com/SVvAtFNYUF

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Une parcelle d’Axie Infinity (AXS) cédée pour une somme record de 2,48 millions de dollars

Si on doutait encore du succès d’Axie Infinity, cette vente de token non fongible (NFT) le confirme. Une parcelle de l’univers virtuel (métaverse) s’est vendue contre près de 2,5 millions de dollars. Le point sur les raisons de cet engouement.

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Les secondes couches d’Ethereum vers de nouveaux sommets

La L2 connaît des niveaux hallucinants – Le réseau Ethereum (ETH) a été victime de son succès en 2021. En effet, la blockchain a été témoin d’un afflux sans précédent d’utilisateurs, poussant l’infrastructure dans ses derniers retranchements. Face à la hausse des frais de transaction, de nombreuses solutions dites de seconde couche (Layer 2 ou L2) ont vu le jour.

Les solutions de seconde couche à la rescousse d’Ethereum

Le réseau Ethereum a été au centre de l’attention en 2021 grâce à l’essor des écosystèmes de la finance décentralisée (DeFi) et des jetons non fongibles (NFT). Cependant, le réseau s’est rapidement retrouvé congestionné par l’afflux massif de nouveaux utilisateurs. Une des conséquences de cette congestion a été la hausse des frais de transaction vers de nouveaux niveaux.

ATH ethereum

Heureusement, de nombreuses solutions de seconde couche ont vu le jour au cours de l’année. Pour rappel, ces dernières permettent de déporter une partie des transactions hors de la chaîne principale d’Ethereum, entraînant ainsi une importante décongestion.

Cependant, celles-ci ont longuement peiné à concurrencer les autres blockchains à smart contracts, telles que Solana (SOL), Avalanche (AVAX) ou encore la Binance Smart Chain (BSC).

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Une TVL record sur les solutions de seconde couche

Les dernières semaines, les solutions de seconde couche, aussi appelées L2 (layer 2), ont connu un engouement sans précédent.

Leur TVL (total value locked) a ainsi désormais atteint les 6,59 milliards de dollars. C’est une hausse de plus de 550 % entre les mois de septembre et novembre 2021, d’après les données compilées par L2Beat.

Évolution de la TVL des solutions de seconde couche au cours de la dernière année – Source : L2Beat

Dans l’ordre, nous retrouvons Arbitrum avec 2,72 milliards de dollars, Boba Network avec 1,07 milliard de dollars et dYdX avec 991 millions de dollars. Une dizaine de plateformes viennent compléter cette liste.

La solution de seconde couche Boba Network est pour beaucoup dans la hausse récente de la TVL. En effet, la TVL de ce dernier a évolué de plus de 180 % au cours des 7 derniers jours. Elle est passée de 87 millions de dollars, le 14 novembre dernier, à plus d’1 milliard de dollars au moment de rédiger ces lignes.

Jusqu’à présent, ce sont les solutions basées sur des optimistic rollups qui ont connu les meilleures performances. En effet, sur 18 projets, 6 les implémentent. À elles seules, elles disposent de plus de la moitié des liquidités déposées à travers les différentes solutions de seconde couche.

Les solutions de seconde couche pourraient bien connaître un nouvel essor, en étant supportées par un plus grand nombre de plateformes d’échange centralisées. C’est notamment le cas de Binance qui a ajouté la possibilité de retirer ses fonds directement vers Arbitrum depuis sa plateforme d’échange.

Accompagnerez-vous la révolution Ethereum ? Il ne tient plus qu’à vous d’embarquer dans le train  crypto ! Pour ce faire, et commencer à vous familiariser avec ce monde passionnant, n’attendez pas pour vous créer un compte sur Binance, l’exchange Bitcoin et crypto de référence (lien affilié).

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La musique, avenir du secteur NFT ? Une nouvelle levée de fonds donne le rythme

Les NFT diversifient leurs sphères d’influence – Le secteur des jetons non fongibles (NFT) a connu une croissance sans précédent au cours de l’année 2021. Face à ce phénomène, de plus en plus de projets NFT ont vu le jour. Après les JPEG, c’est au tour de la musique d’être au cœur de cette folie. Le projet Royal, fer de lance de l’industrie alliant musique et NFT, vient d’obtenir de larges financements pour se développer.

Royal : la tokénisation des royalties

Royal est une plateforme de tokénisation de la musique destinée à rapprocher artistes et fans. En pratique, la plateforme permet aux artistes de fractionner et vendre leurs musiques sous forme de NFT. Ces NFT donnent à leurs détenteurs un droit sur une partie des revenus générés par le morceau, notamment via le streaming.

En mars 2021, le co-fondateur du projet Royal, 3LAU, a vendu le premier album tokenisé au monde. Celui-ci s’est vendu pour la somme record de 11,7 millions de dollars.

Plusieurs artistes de renom sont d’ores et déjà affiliés à la plateforme. On citera notamment les duos Chainsmokers et Disclosure, les rappeurs et rappeuses Nas, Logic, Stefflon Don, Joyner Lucas encore le DJ Kygo.

« Nous pensons que la technologie blockchain a la capacité de transformer la propriété de la musique de la même manière qu’internet a transformé la façon dont la musique est écoutée. »

Déclaration de The Chainsmokers

L’entreprise a connu une croissance importante depuis sa création. Ainsi, plus de 120 000 personnes se sont inscrites sur la plateforme depuis le mois d’août.

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55 millions de dollars pour développer Royal

Le lundi 22 novembre, la plateforme Royal a annoncé avoir clôturé un nouveau round de financement, mené par Andreessen Horowitz (a16z). Au total, l’entreprise a levé 55 millions de dollars auprès de grands noms de l’écosystème. Nous retrouvons notamment la participation de Crush Music, Coinbase Ventures, Founders Fund et Paradigm. Ce financement vient s’ajouter aux 16 millions de dollars levés par l’entreprise en août dernier.

« Royal utilisera les fonds pour investir dans la croissance de son écosystème, car des milliers d’artistes, qu’il s’agisse de grands noms ou de jeunes talents, ont demandé à travailler avec Royal. »

Annonce de Royal

Grâce à sa plateforme, Royal souhaite créer une relation directe entre artistes et fans. En effet, en permettant aux fans de détenir une partie des droits d’auteurs, Royal permet la création d’un lien plus fort, tout en apportant divers avantages aux 2 parties. Cela permet également de redonner plus d’indépendance aux artistes, qui peuvent désormais se reposer sur leurs fans pour le financement de leur carrière.

« En parallèle, les fans ont accès à des opportunités qui, traditionnellement, n’étaient accessibles qu’aux grandes maisons de disques, aux fonds spéculatifs et aux personnes ayant des relations privilégiées. »

Annonce de Royal

Espérons pour les artistes que leurs œuvres ne finiront pas sur NFT Bay, la plateforme de téléchargement illégale spécialisée dans les NFT. Évidemment, bien qu’elle donne accès aux contenus, cette plateforme ne permet pas de pirater la propriété du jeton.

Vous êtes en droit de ne rien comprendre à la tendance NFT. En revanche, ne pas vous intéresser à Bitcoin est impardonnable ! N’attendez plus pour préparer l’avenir en allant vous inscrire sur la plateforme Binance, LA référence absolue du secteur (lien affilié).

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Le réalisateur Terry Gilliam vend aux enchères un NFT représentant un ange

Les NFT sont devenus des incontournables dans plusieurs domaines, notamment celui du 7e art. Parmi les personnes qui affectionnent ces objets numériques, il y a Terry Gilliam, le réalisateur des films Brazil, L’Armée des douze singes, L’Imaginarium du docteur Parnassus et Monty Python : Sacré Graal. Il a récemment dévoilé une version animée d’une gravure accrochée […]

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Animoca remboursera 265 ethers (ETH) volés aux utilisateurs touchés par le hacking de Discord

Cette attaque est la dernière en date d’une longue série d’exploits visant les utilisateurs de Discord avec de faux drops NFT « furtifs ». Le remboursement de 265 ethers L’entreprise de jeux et de capital-risque Animoca Brands, basée à Hong Kong, et sa filiale Blowfish Studios ont promis aux utilisateurs de leur rembourser 265 ethers (1,1 million de dollars) volés […]

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