Sorare prend un carton rouge du régulateur britannique

Ils ont Sorare à l’œil – Sorare a marqué la scène de la French Tech en septembre dernier avec l’indéniable réussite de sa levée de fonds record d’un montant de 680 millions de dollars. Cette opération a permis à Sorare de dépasser les 4 milliards de dollars de valorisation. Toutefois, la plateforme ne fait pas l’unanimité, comme en témoigne le boycott du régulateur britannique.

Sorare ou les cartes Panini 2.0

Sorare a été créée en 2018 par deux Français, Nicolas Julia et Adrien Montfort, sur la base d’une plateforme appuyée par le réseau Ethereum. Cette start-up propose à la fois des jetons non fongibles (NFT) sur le thème du football, ainsi qu’une activité de « fantasy football ». Cette dernière permet aux utilisateurs de la plateforme de créer leur équipe et d’affronter les autres utilisateurs sur la base des statistiques des joueurs issus des compétitions officielles.

Par ailleurs, le média l’Équipe vient d’annoncer son partenariat avec Sorare afin de proposer du contenu sur la plateforme, notamment en termes de données. En effet, le média devrait enrichir la plateforme des données relatives aux championnats et permettre l’indexation des scores sur les résultats des matchs de ligue réels. En contrepartie, l’Équipe espère que ce partenariat lui permettra d’accroître sa popularité auprès des crypto-enthousiastes.

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Sorare recalé par la UK Gambling Commission

À l’occasion d’un communiqué de presse du 8 octobre dernier, la UK Gambling Commission en charge de la réglementation relative aux jeux de hasard ou tout autre jeu d’argent, a déclaré que les activités proposées par Sorare ne sont pas autorisées. Le régulateur en charge des jeux de hasard met ainsi les consommateurs britanniques en garde sur leur utilisation de la plateforme. À ce titre, il rappelle que les transactions effectuées sur cette plateforme ne rentrent pas dans le cadre légal auquel un opérateur agréé doit se conformer.

De plus, la UK Gambling Commission a dévoilé qu’elle menait des enquêtes auprès de Sorare afin de déterminer si les services qu’elle propose entrent dans le champ de compétence du régulateur britannique. Cette investigation préalable est nécessaire. En effet, elle permettra à la Gambling Commission de déterminer si la plateforme Sorare a besoin d’une licence d’exploitation, ou si au contraire elle en est dispensée. Dans ce dernier cas, cela signifiera que le régulateur britannique ne considère pas les activités de Sorare comme des jeux de hasard. Cette hypothèse semble peu probable.

En réponse à cette déclaration d’investigations, Sorare a indiqué s’attendre à ces questions d’ordre réglementaire. Par ailleurs, l’entreprise est confiante sur le fait que ses services n’entrent pas dans le champ d’application de la réglementation relative aux jeux de hasard. Enfin, elle a affirmé être ouverte au dialogue avec les différentes autorités afin d’expliquer le fonctionnement de ses services.

Plusieurs plateformes similaires à Sorare se sont créées. Par exemple, Mike Novogratz le PDG de Galaxy Digital, a participé aux côtés de la Major League de baseball, à la création de la startup Candy Digital qui propose des NFT en lien avec le sport. Ainsi, nul doute que les régulateurs se penchent sur le traitement légal de ces plateformes.

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Bitcoin sous le Capitole : l’ère du crypto-lobbying a commencé

Bitcoin (BTC) à Washington – Andreessen Horowitz (a16z) enverra une délégation pour défendre la mise en place d’une réglementation saine pour les cryptomonnaies.

Andreessen Horowitz et les cryptomonnaies : vers une réglementation “saine” du web3

La société de capital-risque Andreessen Horowitz continue sa campagne politique en faveur des cryptomonnaies. Plusieurs cadres de l’a16z, dont le COO de la division crypto, Anthony Albanese, et l’associée et ancienne procureure fédérale, Katie Haun, rencontreront les législateurs et les responsables de l’administration américaine. La CNBC a indiqué le 13 octobre 2021, qu’ils partageront durant cet échange, leur vision sur les réglementations des cryptomonnaies, et notamment de la prochaine génération de l’internet, le web 3.0.

Le web3 ne se limite pas aux cryptomonnaies. Elle s’étend selon leglobal head of policy d’a16z, Tomicah Tillemann, aux tokens non fongibles (NFT), à la connectivité internet, et au stockage des données.

Andreessen Horowitz poursuit ainsi ses efforts de lobby pour une règlementation saine des cryptomonnaies. Il avait déjà contribué à la lutte contre l’adoption du projet de règlement qui visait les wallets auto-hébergés plus tôt en 2021.

a16z souhaite la définition d’une stratégie nationale pour ces technologies, la mise en place de réglementations appropriées qui tiennent compte du risque présenté par les différents types de produits. Il veut également que les décideurs politiques envisagent une collaboration entre les agences pour réglementer les cryptomonnaies, que cet encadrement ne relève pas uniquement de la SEC.

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Le web3, solution aux failles du web 2.0 ?

Andreessen Horowitz a déjà investi dans de nombreuses entreprises tech à succès, comme Airbnb, Facebook, Lyft et Slack. La société de capital-risque consacre actuellement de plus de 3 milliards de dollars de financement dédié aux cryptomonnaies et au web3.

Pour Tillemann, le web3 apporte les solutions aux problèmes du web 2.0 auxquels sont confrontés les décideurs politiques :

« Web3 est l’alternative, c’est la solution que nous attendions. C’est la réponse aux défis qui ont émergé du Web2. Et pour cette raison, il est absolument essentiel que les décideurs politiques se mettent à la page et prennent les bonnes décisions. »

Les acteurs politiques devront probablement trouver l’équilibre délicat entre la défense de l’hégémonie du dollar et d’un futur dollar numérique, et une réglementation qui favorise en même temps l’essor des cryptomonnaies au profit de la naissance d’une nouvelle la finance et de l’économie du pays. La Chine a tranché dans le vif avec une position claire anti-crypto, l’Oncle Sam doit quant à lui nuancer pour éviter de perdre sa place de nouvelle superpuissance de minage de Bitcoin.

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Face à l’interdiction de Steam, Epic Games confirme son ouverture aux jeux blockchain et aux NFT

La plateforme de jeux vidéo Steam avait suscité l’ire de la crypto-communauté il y a quelques jours, en interdisant les jeux blockchain et les tokens non fongibles (NFT). Mais son concurrent Epic Games a pris le relais : l’éditeur a confirmé qu’il était ouvert à ce type de jeux, et qu’il les accueillerait sur sa plateforme.

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Les traders se battent à WBS Dubaï pour le match de boxe caritatif d’Amir Khan

Le World Blockchain Summit à Dubaï a organisé un match de boxe d’exposition entre les meilleurs traders de cryptomonnaie et influenceurs pour la ceinture WBC Crypto. Les combats ont été soutenus par un événement caritatif, comprenant une vente aux enchères de souvenirs, notamment des actifs en monnaie numérique et des tokens non fongibles (NFT). Du […]

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La plateforme Steam décide d’interdire les crypto-jeux, Epic Games compte les accepter

Le « store » de jeux vidéos Steam a décidé cette semaine d’interdire les applications adossées à la technologie blockchain. Epic, son premier concurrent, compte de son côté accepter les jeux blockchain sur sa plateforme.

Le développeur et éditeur de jeux vidéo Epic a décidé d’accepter les jeux développés grâce à la technologie blockchain. Cette nouvelle intervient alors que la plateforme Steam a annoncé cette semaine qu’elle interdirait les applications « développées sur la technologie blockchain, qui émettent ou permettent d’échanger des cryptomonnaies ou des NFTs ».

Epic, son principal concurrent, a de son côté confié au site The Verge qu’il était « ouvert aux jeux qui prennent en charge les cryptomonnaies ou des actifs basés sur la blockchain ».

Dans un tweet publié ce samedi 16 octobre, Tim Sweeney, PDG et fondateur de l’entreprise, a réaffirmé cette volonté :

Epic Games Store will welcome games that make use of blockchain tech provided they follow the relevant laws, disclose their terms, and are age-rated by an appropriate group. Though Epic’s not using crypto in our games, we welcome innovation in the areas of technology and finance. https://t.co/6W7hb8zJBw

— Tim Sweeney (@TimSweeneyEpic) October 15, 2021

« L’Epic Games Store accueillera les jeux qui s’appuient sur la technologie blockchain, à condition qu’ils respectent les lois en vigueur, qu’ils présentent leurs conditions d’utilisation et qu’ils s’adressent à la bonne tranche d’âge.

Si Epic n’utilisera pas des cryptomonnaies dans ses jeux, nous accueillons l’innovation des sphères de la technologie et de la finance ».

Le dirigeant a également donné son point de vue sur la technologie blockchain :

As a technology, the blockchain is just a distributed transactional database with a decentralized business model that incentivize investment in hardware to expand the database’s capacity. This has utility whether or not a particular use of it succeeds or fails.

— Tim Sweeney (@TimSweeneyEpic) October 15, 2021

« En tant que technologie, la blockchain n’est qu’une base de données transactionnelle distribuée, adossée à un business model décentralisé, qui incite à l’investissement dans le “hardware” pour étendre les capacités de cette base de données. Ceci a une valeur, quel que soit le succès rencontré spécifiquement par l’un de ses cas d’usage ».

À lire également :  Hausse d’Axie Infinity (AXS) : +80% en une semaine et un nouveau record historique pour le token du « Pokemon like » blockchain

Une décision prévisible de la part de Steam ?

Fortnite, le jeu le plus populaire d’Epic, dispose d’une monnaie baptisée « V‑Bucks ». En 2019, le dirigeant avait confirmé que la cryptomonnaie anonyme Monero (XMR) avait été « accidentellement » ajoutée à la liste des moyens de paiement acceptés par Fortnite – cette option a depuis été supprimée

Avec 129 millions d’utilisateurs actifs mensuellement (contre 32 millions pour Epic Games), Steam est le premier distributeur de jeux au monde. Valve, l’entreprise à l’origine de la plateforme, n’a pas expliqué la raison pour laquelle elle interdisait les jeux adossés à la technologie blockchain.

Pour Amy Wu, partenaire de la société de capital-risque Lightspeed, cette décision de Valve était prévisible :

1/ Valve banned blockchain games from Steam yesterday. It’s not surprising. Web2 centralized platforms get a cut of all value generated from its ecosystem. Blockchain circumvents that and decentralizes value back to builders and usershttps://t.co/vkE2RtZ8OI

— Amy Wu (@amytongwu) October 16, 2021

« Les plateformes centralisées du Web 2.0 récupèrent un pourcentage de la valeur générée par leur écosystème », a‑t-elle expliqué. « La blockchain contourne ce mécanisme et décentralise la valeur, en la rendant aux développeurs et aux utilisateurs ».

Les développeurs blockchain qui souhaitent se tourner vers Epic devront toutefois patienter : la fonctionnalité leur permettant d’auto-publier un jeu n’est pour l’instant disponible qu’en version bêta.

À lire également : Voici comment le jeu Axie Infinity est devenu le deuxième plus grand générateur de revenus de la crypto-sphère

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Bitcoin : Mark Cuban n’investira pas dans un ETF, il préfère acheter directement des BTCs

Mark Cuban, le propriétaire de l’équipe de NBA des Dallas Mavericks, est loin d’être enthousiasmé à l’idée d’investir dans des fonds indiciels (ETFs) basés sur le Bitcoin, qui devraient s’échanger dès la semaine prochaine sur les marchés américains. La star du programme « Shark Tank » préfère acheter directement des BTCs.

ETFs : Mark Cuban préfère acheter directement du Bitcoin

Mark Cuban n’est pas vraiment enthousiasmé par les ETFs. Ces produits financiers, qui permettraient aux investisseurs de miser facilement sur la première cryptomonnaie, devraient être approuvés dès lundi prochain par le gendarme des marchés financiers américains (la SEC). Ces ETFs ne seraient toutefois pas adossés à des Bitcoins « physiques », mais seulement à des contrats à terme sur le Bitcoin.

Voici ce qu’a confié Mark Cuban au cours d’un entretien accordé à CNBC vendredi dernier, après qu’on lui a demandé s’il comptait investir dans un ETF sur le Bitcoin :

« Non, sachant que j’ai la possibilité d’acheter directement du BTC ».

L’entrepreneur avait expliqué il y a quelques mois que le Bitcoin était « un or meilleur or que l’or », faisant de lui une meilleure réserve de valeur du fait de sa rareté algorithmique :

« C’est la raison pour laquelle je détiens du Bitcoin, et que je n’en ai jamais vendu un seul », avait-il confié en avril dernier.

Le propriétaire des Mavericks de Dallas a précédemment révélé avoir investi dans l’Ether, le Dogecoin, mais aussi dans certains tokens non fongibles (NFTs) ainsi que dans plusieurs sociétés blockchain. Il estime, tout comme Elon Musk, que le DOGE constitue la « meilleure » cryptomonnaie pour effectuer des paiements.

En août, le dirigeant avait évoqué la réglementation des cryptomonnaies. Il jugeait que les règles en vigueur n’étaient pas suffisamment claires :

« Le problème, ce n’est pas que les gens recherchent des zones grises, c’est qu’il n’existe pas de règles bien définies. La réglementation par le biais de contentieux piège tous ceux qui ne peuvent pas s’offrir un avocat, un comptable ou un conseiller ».

À lire également : Bitcoin : le BTC atteint les 60 000 dollars pour la première fois depuis avril – l’arrivée d’un ETF imminente ?

Un ETF sur des contrats à terme

Si l’arrivée d’ETFs adossés à des contrats à terme sur le Bitcoin permettrait aux investisseurs de s’exposer aux crypto-marchés sans avoir à détenir des BTCs, Todd Rosenbluth, directeur de la recherche sur les ETFs pour la société CFRA, estime qu’ils ne devraient être utilisés que dans des stratégies de court terme :

« Le prix de l’ETF ne sera pas équivalent à celui du prix du Bitcoin. Ainsi, il sera sans doute plus adapté à une exposition à court terme qu’à une stratégie d’achat à long terme ».

Pour d’autres observateurs, comme l’analyste Lark Davis, il s’agit d’un actif « poubelle », qui pourrait toutefois ouvrir la voie à un « véritable » ETF sur le Bitcoin :

« Je pense qu’un ETF adossé à des contrats à terme ouvrirait la voie à un ETF sur le Bitcoin. C’est ce que nous souhaitons vraiment, car c’est ce qui aurait un véritable impact », avait-t-il confié fin septembre.

À lire également : 60 000 dollars : le niveau de support du prochain « bear market » du Bitcoin ?

Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec sa lecture.

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Hebdo Crypto #166 – Les actualités Bitcoin et cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 11/10 en bref – L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants.

Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur l’actualité de la semaine passée dans l’Hebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

L’actualité en bref

Les stablecoins en passe d’être assurés au même titre que le dollar ? C’est en tout cas une possibilité qui serait discutée au sein de la Federal Deposit Insurance Corp. (FDIC), l’un des principaux régulateurs bancaires aux États-Unis.

Le multichaine, le nouveau paradigme de la DeFi. Initialement lancée sur Ethereum, la DeFi a depuis migré vers de nombreuses autres blockchains. Cependant, la grande majorité des fonds qui y sont déposés proviennent du géant Ethereum.

Binance jette son dévolu sur l’Irlande. Après les déboires réglementaires rencontrés par la plateforme d’échange Binance au cours des derniers mois, celle-ci a finalement décidé de baser son siège social en Irlande, profitant de ce fait d’avantages fiscaux importants.

Kraken soutient l’adoption de Bitcoin. Ainsi, la plateforme d’échange vient d’effectuer une donation de 150 000$ en BTC au groupe Black Bitcoin Billionaire, qui œuvre pour l’inclusion et la diversité dans l’écosystème Bitcoin.

Bitcoin bientôt une monnaie légale dans plusieurs pays ? C’est l’estimation faite par le CEO de BitMEX, Alexander Höptner, selon qui cinq pays pourraient suivre le pas du Salvador en 2022.

Le Bitcoin continue son rebond initié il y a quelques mois. Rien de mieux qu’un tour d’horizon mené par le Trading du Coin pour peaufiner sa stratégie.

Les 5 métriques de la semaine

2 millions de dollars, c’est le montant record de vente de NFT sur la blockchain Solana. Ainsi, le NFT SolMonkey #1355 de la série SolMonkey a été vendu pour 13 027 SOL. Ce dernier est actuellement considéré comme étant la pièce la plus rare de la collection.

535 000$, c’est le montant dépensé par erreur en frais de transaction sur Ethereum par un utilisateur. Dans les faits, celui-ci souhaitait participer à la vente de jetons Strips sur la plateforme MISO. Cependant, sa transaction initialement destinée au service Flashbot s’est retrouvé au côté des transactions normales dans la mempool.

1,3 million, c’est le nombre d’utilisateurs à s’être préinscrit pour l’ouverture de la plateforme Coinbase NFT. Ce nombre de participants a été atteint seulement deux jours après l’annonce de Coinbase, démontrant un engouement exacerbé pour le nouveau service que s’apprête à lancer la plateforme d’échange.

12, c’est le nombre de cryptomonnaies qui pourront désormais être utilisé dans le module de paiement des sites Wix. Une fonctionnalité permise par le partenariat entre le fournisseur de site internet et le processeur de paiement Bitpay.

200 milliards de dollars, c’est le nouveau record que vient de battre la TVL (Total Value Locked) de l’écosystème DeFi. Évidemment, Ethereum reste la blockchain leader du marché avec 150 milliards de dollars bloqués sur ses différents protocoles.

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Le tweet de la semaine

Retour détaillé de Gregory Raymond sur les débats concernant le projet de modification de la fiscalité des cryptomonnaies porté par Pierre Person.

Fiscalité des cryptos : suivi du processus législatif

6 amendements (et 2 sous-amendements) ont été adoptés hier et ce matin en séance publique à l’Assemblée nationale, après avoir été adoptés en commission la semaine dernière

Voici les lesquels

— Grégory Raymond (@gregory_raymond) October 14, 2021

Bonne semaine sur le Journal du Coin !

Le Journal du Coin est fier de pouvoir vous conter les petites et grandes histoires de Bitcoin et des cryptomonnaies. Pour soutenir le journal dans ce type d’initiative et garantir son indépendance, n’hésitez pas à passer par les liens affiliés du média, que vous souhaitiez profiter de 100 euros offerts en cryptomonnaies par une plateforme ultra-robuste, voire, pourquoi pas, les miner vous-même !

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L’adaptation du Droit aux Nouvelles Technologies Décentralisées

La technologie et le droit : inconciliables vous dites ?  Et pourtant, dans un monde digital tel que la société numérique dans laquelle nous vivons aujourd’hui le droit et la technologie ne peuvent plus avancer l’un sans l’autre. Avec la mise en place de confinements successifs du jour au lendemain, la pandémie du Covid-19 fût sans aucun doute un accélérateur de la transformation digitale de notre société. Des millions de personnes à travers le monde se sont retrouvées contraintes de travailler à distance ce qui a créé : une décentralisation du travail, des consommateurs plus connectés, la création de nouvelles technologies, une finance de plus en plus décentralisée, et l’utilisation plus fréquente de cryptomonnaies.  Or, ce nouveau monde immatériel n’est pas pour autant une zone de non droit et comme on va le découvrir dans cet article, l’innovation technologique a besoin du droit pour prospérer.

Le droit « Garde du Corps » de l’innovation technologique

Il est vrai que dans de nombreux domaines, la technologie a toujours un coup d’avance sur le droit, cependant le rôle du droit n’est pas forcement d’être en avance sur la technologie mais plutôt de la comprendre et de l’accompagner.  Le droit doit encourager l’évolution de la technologie, et comme un garde du corps, la protéger contre les malfaiteurs et la corruption en l’encadrant afin que cette technologie garde une bonne éthique et respecte les valeurs inculquées à notre société depuis la nuit des temps. 

Souvent nous nous apercevons que les législateurs ne comprennent pas réellement les enjeux juridiques auxquels font face les nouvelles technologies.  Les institutions gouvernementales réagissent fréquemment en inventant des astuces légales pour se protéger sans forcément comprendre le point de vue Tech de la situation. Hors, considérant que nous évoluons désormais dans une société numérique, le but devrait être de multiplier les programmeurs et ingénieurs informatiques au sein du gouvernement et du législatif. En effet, les juristes, programmeurs et législateurs devraient travailler ensemble en collaboration étroite et quotidienne, pour que le droit et la technologie avancent main dans la main en s’adaptant à la transformation digitale de notre société.  De plus, le code et les algorithmes ne sont-ils pas aussi une forme de règles et de droit ? 

Si nous analysons les lignes de codes qui créent toutes les nouvelles technologies qui nous entourent nous verrons que celles-ci ont deux rôles : autoriser ou limiter nos actions, tout comme le droit.  Hors ce code n’est ni contrôlé, ni encadré, il peut être écrit par n’importe qui, laissant malheureusement place a certains perturbateurs qui utiliseront ces nouveaux outils technologiques pour commettre des infractions. 

En effet, si internet permet une liberté d’expression sans frontière sur les réseaux, il y a un revers de la médaille : l’existence de discours violents, racistes, de la divulgation d’informations personnelles sans consentement, de l’espionnage numérique, des problèmes de pédopornographie,https://journalducoin.com/blockchain/nym-tech-blockchain-privacy-anonymat-confidentialite-mixnet/ des acteurs un peu trop curieux qui s’immiscent dans nos données et les transfèrent  illégalement afin de se faire rémunérer… Qu’il s’agisse du domaine de la finance ou de l’e-commerce, les transactions ont besoin d’être sécurisées par des mesures de régulation et/ou des codes informatiques pour préserver la confidentialité de nos données personnelles et lutter contre les cyberattaques. 

Les dérives étant faciles, il ne s’agit donc pas de réguler la technologie en elle-même mais d’encadrer l’activité humaine. Tout ceci montre que l’innovation technologique et le droit ont un besoin fondamental de coopérer, sans se freiner. 

S’il est vrai que certaines mesures réglementaires sont longues et coûteuses à implémenter, il faut garder à l’esprit que la conformité vous permet d’obtenir un écosystème sûr et encadré qui inspire confiance à vos clients et partenaires.  Il est fortement recommandé de s’armer de conseil juridique et de « s’auto réguler » le plus possible quand vous innovez.

Examinez l’architecture de vos codes et algorithmes, renforcez votre cyber sécurité, appliquez des mesures visant à lutter contre le blanchiment d’argent pour votre entreprise et vos clients.  Que nous soyons acteur économique ou simple usager d’internet, nous avons tous besoin de faire attention à la sécurisation de notre « cyberspace ». 

Vers une « Cyber-Ethique » ?

La tendance est aujourd’hui à la « cyber-éthique », notamment avec la montée en puissance de nouveaux droits fondamentaux tels que: le droit à l’oubli numérique, le principe d’interdiction des mesures générales de surveillance, le droit à la neutralité des réseaux, le droit à l’inviolabilité du domicile virtuel, le droit au masquage des données médicales…

Comme l’a si bien dit Lawrence Lessig, professeur de droit à Harvard :

« Nous construisons un monde dans lequel la liberté peut fleurir non pas en privant la société de toute forme de contrôle consciemment accepté, mais en le construisant en un lieu où une forme particulière de contrôle librement accepté survit. Nous construisons la liberté comme nos fondateurs l’ont fait, en établissant la société sur la base d’une certaine constitution. »

En conclusion, l’immatérialité de l’informatique, la décentralisation de notre système financier, l’apparition de nouvelles cryptomonnaies, les NFT, les Smart Contracts et la Blockchain offrent une remise à jour de notre industrie matérielle qui interroge diverses branches du droit, notamment: le droit de la protection des données personnelles, le droit de la propriété intellectuelle (remis en cause avec l’apparition des jetons non fongibles NFT), le droit des contrats (remis en cause par les « Smart Contracts » souvent associés au fonctionnement de la Blockchain), et le droit financier qui doit désormais faire face à un écosystème complètement décentralisé: la DeFi.

Ainsi s’achève ce premier chapitre portant sur l’adaptation du Droit aux Nouvelles Technologies Décentralisées. Le prochain volet “Vers un Écosystème Décentralisé : La DeFi” vous emmènera un peu plus loin sur ce chemin complexe mais passionnant.

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FTX va financer un programme destiné aux ingénieurs hispaniques en lançant le jeu NFT Lotería sur Solana

Si les cas d’arnaques associées aux cryptomonnaies ne cessent d’augmenter, ceux servant au contraire à des causes plus nobles ne sont pas en reste. Le dernier exemple nous vient du marché des NFTs où les fonds générés par un jeu lancé sur Solana seront versés à des organisations éducatives. Il s’agit d’une initiative de l’exchange […]

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