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TikTok a annoncé le lancement officiel de la collection NFT. La gamme mettra en vedette les médias de divers créateurs de contenu, y compris les artistes populaires Lil Nas X et Grimes. La collection sera vendue sous le nom de TikTok Top Moments. Les premiers NFT de TikTok seront en vente à partir du 6 […]
L’article TikTok lance sa propre collection NFT est apparu en premier sur CoinTribune.
Le légendaire créateur de jeux vidéo Will Wright dévoilera un nouveau jeu basé sur la technologie blockchain et son expérience avec les tokens non fongibles (NFT).
Wright lancera un nouveau jeu appelé “Proxi” après plus d’une décennie. Son dernier projet de jeu “Spore” est sorti en 2008. Le créateur du jeu a également à son actif des projets aussi populaires que “Les Sims” et “SimCity”.
Le nouveau jeu Proxi est basé sur une simulation basée sur l’intelligence artificielle. Conçu pour permettre aux joueurs de se lancer dans un voyage de leurs propres souvenirs, il est enrichi d’une véritable propriété numérique. Selon Wright, le nouveau jeu sera “un projet étrange où les souvenirs deviennent votre terrain de jeu”.
Proxi a été développé par une nouvelle équipe (Galium Studios) réunie par Wright. Le jeu est basé sur le fait que les joueurs créent un modèle individuel de souvenirs en utilisant des milliers d’objets dans le jeu. Au fur et à mesure que ce processus progresse, un avatar d’utilisateur est progressivement créé, ce qui permet au joueur d’interagir avec d’autres joueurs.
Selon le communiqué de presse, Gallium aidera les joueurs à découvrir des moments intéressants sur leur propre subconscient.
Proxi va considérablement étendre les performances et l’utilisation du token non fongible. Le jeu se concentre sur le contenu principalement généré par les utilisateurs. Le NFT est un reçu numérique pour un objet virtuel rare certifié. Et bien qu’il puisse contenir des fichiers vidéo ou des images, il peut également être associé à des éléments individuels d’un jeu vidéo pouvant être revendus à d’autres joueurs.
Proxi permettra aux utilisateurs de s’approprier de leurs souvenirs sous la forme d’un token non fongible. L’équipe de créateurs a également permis aux joueurs de profiter de la vente des objets qu’ils ont créés pendant le jeu.
Bloomberg rapporte que presque tous les éléments du jeu peuvent être transformés en tokens non fongibles et revendus à d’autres utilisateurs s’ils le souhaitent.
Gallium Studios s’est associé à la plateforme de jeu NFT “Forte” pour intégrer la blockchain et les fonctionnalités NFT dans son jeu Proxi. Forte permet aux utilisateurs d’acheter des tokens on fongibles avec des dollars américains.
L’idée de Wright de jouer en ce moment semble déplacée. Cependant, la même chose peut être dite pour toute image pixelisée qui se vend à des millions de dollars. Sans aucun doute, les tokens non fongibles sont actuellement à leur apogée et leur potentiel n’a pas encore été révélé.
J’aime bien la cryptomonnaie. Ça fait déjà plusieurs années que je l’étudie, mais aussi que j’y investis et que je travaille dans ce domaine. De plus, je fais des articles sur le sujet où j’essaie d’être clair et net !
DISCLAIMER
Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.
Retrouver l’article original de Clément Dubois ici: Lien Source
Le légendaire créateur de jeux vidéo Will Wright dévoilera un nouveau jeu basé sur la technologie blockchain et son expérience avec les tokens non fongibles (NFT). Wright lancera un nouveau jeu appelé “Proxi” après plus d’une décennie. Son dernier projet de jeu “Spore” est sorti en 2008. Le créateur du jeu a également à son […]
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Le temps est visiblement venu pour les médias sociaux de s’intéresser de près aux jetons NFT. Et même si toutes les approches restent bien différentes, il ne fait aucun doute que leurs fonctionnalités uniques sont au centre de cet engouement. En particulier car ils permettent de développer des collections ou des avatars uniques. Cela sous […]
L’article TikTok annonce une vente aux enchères de NFTs exclusifs de ses « Top Moments » est apparu en premier sur CryptoActu.
La valeur totale verrouillée dans les protocoles DeFi a bondi de 936% au cours des 12 derniers mois. Une nouvelle recherche de la plateforme d’analyse DappRadar a révélé dans quelle mesure les marchés de la finance décentralisée et des tokens non fongibles (NFT) ont augmenté cette année. Dans son « Value Flow Report » du […]
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Visa souhaite créer un réseau de paiement « de seconde couche » qui permettra d’échanger des stablecoins et des monnaies numériques de banques centrales. Si le projet n’en est qu’à ses prémices, des premiers tests ont été réalisés sur la blockchain Ethereum.
Le géant des cartes de crédit Visa s’est déjà tourné vers la crypto-sphère depuis deux ans, nouant des relations avec plus de 50 crypto-sociétés, et allant même jusqu’à s’offrir un NFT « CyberPunk » en août dernier.
L’entreprise compte désormais aller plus loin, annonçant ce jeudi qu’elle souhaite développer un « canal de paiement universel » pour permettre d’effectuer des transactions entre plusieurs stablecoins et des monnaies numériques de banques centrales.
L’idée consiste à créer un équivalent, en monnaie numérique, de l’expérience actuelle des paiements internationaux – qui permet d’acheter un bien ou un service dans un pays étranger avec une carte de débit ou de crédit.
Les réseaux qui sont aujourd’hui gérés par les banques et les émetteurs de cartes de crédit s’appuient sur des monnaies nationales. En lançant son canal de paiement « universel », Visa souhaiter répliquer ce système en tirant profit de la technologie blockchain. L’entreprise est convaincue de la démocratisation, à terme, des stablecoins comme l’USDC, mais aussi de l’émergence de monnaies numériques de banques centrales – comme celle que prépare actuellement la Chine.
Pour cela, Visa pourrait s’appuyer sur Ethereum – alors qu’elle a déjà déployé un premier « smart contract » de paiement sur le « testnet » de sa blockchain, adossé à l’Ether à l’USDC.
Dans un entretien accordé au site Decrypt, Catherine Gu, directrice produit de Visa pour les monnaies numériques de banques centrales, a donné plus d’informations sur la conception de ce nouveau canal de paiement.
La dirigeante a expliqué que l’initiative de Visa était assez similaire aux solutions « de seconde couche » actuellement développées sur les réseaux Bitcoin et Ethereum. Ces projets traitent les transactions sur une couche séparée de la blockchain, avant d’utiliser celle-ci pour les finaliser. Cette méthode permet aux utilisateurs de tirer profit du meilleur de deux mondes : les vitesses de transaction d’un réseau traditionnel et les enregistrements immuables et inviolables offerts par la technologie blockchain.
Catherine Gu a expliqué que, contrairement aux solutions de seconde couche comme le Lightning Network qui cherchent à aider le Bitcoin à « scaler », le canal de paiement universel de Visa se focalise sur la facilitation des échanges entre différentes monnaies. Pour cela, elle compte s’appuyer sur un type de « smart contract » baptisé « hashed timelock contract ». Déjà largement utilisé dans la crypto-sphère, il permet notamment de s’assurer que chaque partie respecte bien les termes fixés à l’avance dans le contrat.
Pour mener à bien son plan, Visa devra parvenir à persuader les entreprises et les gouvernements de consacrer des fonds pour développer des portefeuilles numériques compatibles avec son canal de paiement universel.
Le géant du paiement a toutefois précisé que ce dernier, qui a été élaboré dans un laboratoire de recherche universitaire de la Silicon Valley, n’en est encore qu’à ses prémices :
« Tout en poursuivant notre recherche, nous nous efforcerons de traduire nos idées en lignes de code », a expliqué Mme Gu dans un article présentant le projet.
L’annonce de Visa intervient alors que les stablecoins et les monnaies numériques de banques centrales font l’objet d’une attention croissante de la part des régulateurs du monde entier. Aux États-Unis, le gouvernement et la Réserve Fédérale devraient publier dans les prochains mois des rapports portant sur le rôle des stablecoins dans l’économie.
Si l’on peut penser que de nombreux gouvernements finiront par se tourner vers certaines formes de monnaies numériques, il est toujours difficile de savoir s’ils décideront d’intégrer des stablecoins conçus par des entreprises privées – comme l’USDC ou le Tether – ou s’ils suivront les pas de la Chine et n’autoriseront que des monnaies numériques d’État.
L’influence croissante de ces actifs soulève également la question de l’intégration de monnaies décentralisées comme le Bitcoin dans les calculs politiques des gouvernements.
Même si rien ne permet, pour l’instant, de s’assurer que ce canal de paiement de paiement sera adossé à Ethereum, cette annonce de Visa a suscité l’enthousiasme de Crypto-Twitter :
First Visa buys an NFT
Then they start building on $Eth
Sounds like institutional adoption
Slowly, then all at once pic.twitter.com/o738W1Xt8r
— Pentoshi Won’t Dm You. hates Dm’s. DM’s are scams (@Pentosh1) September 30, 2021
« Visa commence par acheter un NFT.
Puis ils commencent à développer sur Ethereum.
Cela ressemble à de l’adoption institutionnelle.
Doucement, puis tous en même temps ».
This week in #ethereum land :
– Visa is testing payment protocol on ETH
– Tik Tok launches NFTs on ETH
– Societe General planning to bring bonds to Maker DAO
– Twitter launching NFT verification
And some people are bearish on ETH, lol
— Lark Davis (@TheCryptoLark) October 1, 2021
« Cette semaine dans le monde d’Ethereum :
– Visa teste un protocole de paiement sur Ethereum
– TikTok lance des NFTs sur Ethereum [plus d’informations]
– La Société Générale souhaite amener des obligations sur Maker DAO
– Twitter lance la vérification de NFTs [plus d’informations]
Et certains sont baissiers sur l’Ether, lol »
Retrouver l’article original de Crypto-France ici: Lien Source
Visa souhaite créer un réseau de paiement « de seconde couche » qui permettra d’échanger des stablecoins et des monnaies numériques de banques centrales. Si le projet n’en est qu’à ses prémices, des premiers tests ont été réalisés sur la blockchain Ethereum.
Le géant des cartes de crédit Visa s’est déjà tourné vers la crypto-sphère depuis deux ans, nouant des relations avec plus de 50 crypto-sociétés, et allant même jusqu’à s’offrir un NFT « CyberPunk » en août dernier.
L’entreprise compte désormais aller plus loin, annonçant ce jeudi qu’elle souhaite développer un « canal de paiement universel » pour permettre d’effectuer des transactions entre plusieurs stablecoins et des monnaies numériques de banques centrales.
L’idée consiste à créer un équivalent, en monnaie numérique, de l’expérience actuelle des paiements internationaux – qui permet d’acheter un bien ou un service dans un pays étranger avec une carte de débit ou de crédit.
Les réseaux qui sont aujourd’hui gérés par les banques et les émetteurs de cartes de crédit s’appuient sur des monnaies nationales. En lançant son canal de paiement « universel », Visa souhaiter répliquer ce système en tirant profit de la technologie blockchain. L’entreprise est convaincue de la démocratisation, à terme, des stablecoins comme l’USDC, mais aussi de l’émergence de monnaies numériques de banques centrales – comme celle que prépare actuellement la Chine.
Pour cela, Visa pourrait s’appuyer sur Ethereum – alors qu’elle a déjà déployé un premier « smart contract » de paiement sur le « testnet » de sa blockchain, adossé à l’Ether à l’USDC.
À lire également : Ethereum détrônera un jour le Bitcoin en tant que premier crypto-réseau, selon le cofondateur de Polygon
Dans un entretien accordé au site Decrypt, Catherine Gu, directrice produit de Visa pour les monnaies numériques de banques centrales, a donné plus d’informations sur la conception de ce nouveau canal de paiement.
La dirigeante a expliqué que l’initiative de Visa était assez similaire aux solutions « de seconde couche » actuellement développées sur les réseaux Bitcoin et Ethereum. Ces projets traitent les transactions sur une couche séparée de la blockchain, avant d’utiliser celle-ci pour les finaliser. Cette méthode permet aux utilisateurs de tirer profit du meilleur de deux mondes : les vitesses de transaction d’un réseau traditionnel et les enregistrements immuables et inviolables offerts par la technologie blockchain.
Catherine Gu a expliqué que, contrairement aux solutions de seconde couche comme le Lightning Network qui cherchent à aider le Bitcoin à « scaler », le canal de paiement universel de Visa se focalise sur la facilitation des échanges entre différentes monnaies. Pour cela, elle compte s’appuyer sur un type de « smart contract » baptisé « hashed timelock contract ». Déjà largement utilisé dans la crypto-sphère, il permet notamment de s’assurer que chaque partie respecte bien les termes fixés à l’avance dans le contrat.
Pour mener à bien son plan, Visa devra parvenir à persuader les entreprises et les gouvernements de consacrer des fonds pour développer des portefeuilles numériques compatibles avec son canal de paiement universel.
Le géant du paiement a toutefois précisé que ce dernier, qui a été élaboré dans un laboratoire de recherche universitaire de la Silicon Valley, n’en est encore qu’à ses prémices :
« Tout en poursuivant notre recherche, nous nous efforcerons de traduire nos idées en lignes de code », a expliqué Mme Gu dans un article présentant le projet.
À lire également : Ethereum : un tiers de l’offre d’Ethers placée sur les plateformes d’échange a été retirée en l’espace d’un an
L’annonce de Visa intervient alors que les stablecoins et les monnaies numériques de banques centrales font l’objet d’une attention croissante de la part des régulateurs du monde entier. Aux États-Unis, le gouvernement et la Réserve Fédérale devraient publier dans les prochains mois des rapports portant sur le rôle des stablecoins dans l’économie.
Si l’on peut penser que de nombreux gouvernements finiront par se tourner vers certaines formes de monnaies numériques, il est toujours difficile de savoir s’ils décideront d’intégrer des stablecoins conçus par des entreprises privées – comme l’USDC ou le Tether – ou s’ils suivront les pas de la Chine et n’autoriseront que des monnaies numériques d’État.
L’influence croissante de ces actifs soulève également la question de l’intégration de monnaies décentralisées comme le Bitcoin dans les calculs politiques des gouvernements.
À lire également : Ethereum : le trader Michaël van de Poppe voit l’Ether capable de grimper jusqu’à 15 000 à 20 000 dollars
Même si rien ne permet, pour l’instant, de s’assurer que ce canal de paiement de paiement sera adossé à Ethereum, cette annonce de Visa a suscité l’enthousiasme de Crypto-Twitter :
First Visa buys an NFT
Then they start building on $Eth
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Slowly, then all at once pic.twitter.com/o738W1Xt8r
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« Visa commence par acheter un NFT.
Puis ils commencent à développer sur Ethereum.
Cela ressemble à de l’adoption institutionnelle.
Doucement, puis tous en même temps ».
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– Visa is testing payment protocol on ETH
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— Lark Davis (@TheCryptoLark) October 1, 2021
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Et certains sont baissiers sur l’Ether, lol »
À lire également : Ethereum : le « prix juste » de l’Ether n’est que de 1500 dollars, selon cet analyste de JPMorgan
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C’est au tour de TikTok de se lancer dans les tokens non fongibles (NFT). Le service de partage de vidéos a confirmé mettre à la vente plusieurs NFT, en collaboration avec des artistes comme Lil Nas X ou Grimes.
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Suite à l’annonce d’il y a quelques jours, la plateforme multivers décentralisée OVR, qui unit les mondes physique et virtuel à travers la Réalité Augmentée, a lancé «Les ARwards» Concours ouvert à tous les créateurs qui recherchent une opportunité d’acquérir une large visibilité et éventuellement de gagner des lots intéressants.
Tout d’abord, The ARwards est totalement gratuit pour tout participant à qui il sera simplement demandé de s’inscrire. Les créateurs devront fournir : nom d’utilisateur, mot de passe, e-mail et nationalité, complétant ainsi l’inscription en moins de cinq minutes.
La plate-forme offre aux créateurs de contenu la possibilité non seulement de projeter leurs expériences 3D dans le monde, mais aussi d’encourager la concurrence entre les créateurs pour rendre les expériences de réalité augmentée encore meilleures.
Concrètement, à travers un OVRLand NFT, le fameux hexagone virtuel développé par OVR pour créer des objets en trois dimensions par-dessus, les participants peuvent télécharger un modèle 3D sur l’espace de travail dédié, l’éditer, l’affiner et enfin l’envoyer à l’OVR équipe pour approbation.
Une fois le projet approuvé, le contenu sera affiché dans la liste des candidats au concours et pourra recevoir son vote. Chaque utilisateur inscrit de la plateforme OVR pourra voter jusqu’à la fin du concours selon trois critères précis, à savoir la créativité, le design et la pertinence du thème.
Les utilisateurs peuvent voter, qu’ils aient ou non des jetons OVR dans leur portefeuille. Cependant, le vote des utilisateurs qui ont des jetons dans leur portefeuille aura plus de poids en raison du fait que le concours utilise un système de vote quadratique alimenté par la blockchain.
En plus de sécuriser un espace sur le site officiel où le modèle créé est vu par de nombreux utilisateurs, les participants pourront gagner des prix supplémentaires en jetons OVR qui, au moment de la publication, valent 0,69 $ et peuvent être échangés sur Uniswap, ZT, Gate.io, BitMart et PancakeSwap.
Il est déjà possible d’admirer les œuvres via des vidéos représentatives, de lire les légendes originales écrites par les créateurs et de voter pour le NFT OVRland avec l’œuvre 3D que vous aimez le plus.
Ceci est un message parrainé. Apprenez à atteindre notre public ici. Lire la clause de non-responsabilité ci-dessous.
Crédits image: Shutterstock, Pixabay, Wiki Commons
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Traduction de l’article de Bitcoin.com PR : Article Original
Dès le 6 octobre, le réseau social TikTok proposera à ses utilisateurs des tokens non fongibles (NFTs). Les fans auront la possibilité de s’offrir les vidéos de nombreux artistes, comme Lil Nas X et Grimes.
TikTok ne compte pas laisser passer le train des NFTs. Le réseau social, extrêmement populaire auprès des jeunes générations, a annoncé jeudi le lancement d’une collection de tokens non fongibles.
Baptisée « TikTok Top Moments », la collection sera composée de vidéos produites par certains des créateurs les plus populaires de la plateforme.
Le premier token sera mis en vente le 6 octobre prochain. Il sera lié à une vidéo de l’artiste Rudy Willingham, qui reprendra le clip « Montero » du rappeur Lil Nas X.
On retrouvera également les contenus d’autres figures de la plateforme, comme Grimes, Bella Poarch, Curtis Roach, Brittany Broski, FNMeka, Jess Marciante ou encore Gary Vaynerchuk.
Nick Tran, responsable mondial du marketing de TikTok, a déclaré que cette initiative « permettra aux fans de s’approprier un moment de l’histoire de TikTok, qui a contribué à façonner l’Internet, tout en soutenant leurs créateurs préférés ». Il a ajouté que le réseau social était « impatient de voir comment les communautés vont interagir avec certains des événements culturels les plus appréciés d’Internet. »
Ce n’est pas la première incursion de TikTok dans l’univers blockchain. En août, l’entreprise avait noué un partenariat avec la plateforme de streaming Audius. Celle-ci avait intégré la fonctionnalité « Sound Kit » du réseau social, permettant d’y transférer facilement des contenus audios.
Ces tokens, qui seront émis sur la blockchain Ethereum, seront échangés à travers la solution de « seconde couche » Immutable X, qui permettra aux utilisateurs d’effectuer des transactions sans frais.
Chaque semaine, de nouveaux NFTs de la collection seront mis en vente jusqu’à la fin du mois. TikTok indique que « la majorité des bénéfices seront versés directement aux créateurs et aux artistes de NFTs ».
TikTok n’est pas le premier réseau social à proposer ses propres tokens non fongibles. En juin, Twitter avait sorti une collection de 140 NFTs – dont certains sont actuellement proposés sur Rarible.
140 free NFTs for 140 of you, besties pic.twitter.com/0Pm0tNhIRg
— Twitter (@Twitter) June 30, 2021
Alors qu’elle a lancé il y a quelques jours un service d’envoi de pourboires en Bitcoin, l’entreprise planche actuellement sur une fonctionnalité qui permettra d’utiliser ses propres NFTs en tant qu’avatars.
De son côté, Reddit a lancé en juin sa collection « CryptoSnoos » :
Enfin, Facebook compte prendre en charge les échanges de NFTs à travers son wallet « NOVI ». On ignore toutefois pour l’instant si l’entreprise de Mark Zuckerberg proposera sa propre gamme de tokens.
L’article TikTok va lancer sa collection de NFTs est apparu en premier sur Crypto-France.