Toute l'actualité des NFT
Une manière plutôt inédite d’investir dans les tokens non fongibles (NFT)… Les détenteurs du NFT « Doge » originel, qui avait été cédé contre 4 millions de dollars, l’ont séparé en ERC-20. Le but ? Permettre aux investisseurs de s’exposer à une fraction de ce NFT, grâce à une nouvelle cryptomonnaie.
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Ces dernières semaines, Ethereum a connu un formidable engouement.
Le cours de l’Ether – la monnaie native du réseau – a ainsi nettement augmenté depuis sa dernière chute, alors que son prix était retombé à moins de 1 800 dollars le 20 juillet dernier.
Lors de la rédaction de cet article, l’actif s’échangeait à environ 3 500 dollars, enregistrant une hausse de 95% en l’espace de 6 semaines.
Il n’était plus très loin de son record historique de 4 362 dollars, atteint le 12 mai dernier.
Cette hausse récente est allée de pair avec la popularité croissante du protocole. Mais le succès d’Ethereum n’est pas sans conséquences. La congestion du réseau a suscité ces derniers jours une flambée des frais de transaction, qui s’élèvent aujourd’hui en moyenne à plus de 30 dollars.
Raoul Pal, un ancien cadre de Goldman Sachs, s’attend malgré tout à une poursuite de la hausse de l’Ether. Le fondateur de Real Vision, une plateforme de conseil en investissement financier, a récemment évoqué sur un podcast ses stratégies d’investissement dans les cryptomonnaies.
Il a notamment offert ses prédictions pour le BTC et l’ETH, les deux principales valeurs du marché.
Au cours de son entretien, le dirigeant a proposé deux prédictions extrêmement optimistes pour les deux actifs numériques.
L’homme s’attend à ce que l’Ether s’échange à 20 000 dollars d’ici à la fin du mois de mars 2022. Le prix de l’ETH serait alors multiplié par 5,7 par rapport au cours actuel de 3 500 dollars.
Pour le Bitcoin, c’est un prix compris entre 250 000 et 400 000 dollars qui serait atteint sur la même période. Alors que l’actif s’échange actuellement à 47 400 dollars, cette flambée représenterait une multiplication comprise entre 5,3 et 8,4.
M. Pal a expliqué son enthousiasme vis-à-vis de l’Ether en évoquant la popularité croissante de la finance décentralisée (DeFi) et des tokens non fongibles (NFTs), dont Ethereum détient les plus grosses parts de marché. Ainsi, d’après l’analyste, l’adoption du réseau a largement dépassé celle du reste de la crypto-sphère.
Il a également cité le « hard fork » London implémenté début août, qui a permis d’inclure la mise à jour EIP-1559. Celle-ci a introduit un nouveau mécanisme qui provoque la destruction d’une partie des Ethers payés pour effectuer des transactions. Pour Raoul Pal, cette nouveauté devrait également contribuer à la hausse du cours de l’ETH, en réduisant l’offre disponible sur les marchés.
Le mécanisme instauré par l’EIP-1559 avait été bien illustré par l’utilisateur Twitter « @CroissantEth », dans une image que nous avions partagée sur le site il y a quelques jours :
Raoul Pal a également évoqué la future mise à jour Ethereum 2.0, qui devrait vraisemblablement avoir lieu au cours du premier semestre 2022. En abandonnant le protocole de validation par preuve de travail, s’appuyant sur des mineurs, Ethereum transitionnera vers un protocole de validation par preuve d’enjeu. Les utilisateurs « stakeront » leurs Ethers pour percevoir des intérêts, ce qui devrait, selon l’analyste, permettre de contracter significativement l’offre d’ETHs.
« Des tas Ethers sont conservés par des investisseurs, des tas sont “verrouillés” dans la DeFi, des tas sont “verrouillés” dans des NFTs Dès lors, aujourd’hui, seule 11% de l’offre d’Ethers est disponible, et ce chiffre diminue chaque jour, alors que la demande augmente de manière exponentielle », a‑t-il affirmé.
« La seule issue possible, cest une augmentation expontentielle du prix. Il n’existe pas d’autre issue ».
Plus généralement, le financier est haussier sur l’ensemble des crypto-marchés :
« N’oubliez pas que [les cryptomonnaies] font généralement un X5 ou X10 au cours des 3 derniers mois de l’année, et que nous n’avons même pas encore atteint à nouveau le plus haut historique ».
Lors de la rédaction de cet article, la « Market Cap » des crypto-marchés s’élevait à 2,11 milliards de dollars, contre un record à plus de 2,5 milliards de dollars enregistré en mai dernier.
À lire également : Alors que le taux d’inflation de l’ETH devient inférieur à celui du BTC, Ethereum peut-il détrôner le Bitcoin ?
Raoul Pal n’a pas pour habitude d’établir des prédictions financières sans être cohérent avec ses propres choix patrimoniaux. L’année dernière, le PDG avait révélé avoir transféré l’ensemble de ses investissements vers les actifs numériques.
Alors que 75% de son portefeuille était auparavant placé en cryptomonnaies, le dirigeant avait décidé de vendre la totalité de son or, qui représentait alors les 25% restants. Les fruits de cette vente avaient été exclusivement dédiés à l’achat de monnaies numériques.
Le PDG a révélé qu’il détenait une majorité de ses crypto-investissements en Bitcoin, avec 55% de BTC. L’Ether constitue sa deuxième position, représentant 25% de son portefeuille.
Les 20% restants sont notamment répartis dans des tokens de protocoles de finance décentralisée (DeFi), des blockchains « de première couche » ainsi que des projets d’interopérabilité de réseaux blockchains. M. Pal a ajouté avoir aussi « effectué des paris précis dans les tokens sociaux, dans le Metaverse et dans d’autres investissements de long terme ».
Début août, le cofondateur de Real Vision avait également chanté les louanges d’Ethereum :
Une demande exponentielle couplée à une offre fixe, cela aboutit à une hausse exponentielle du prix. Il s’agit de l’une des meilleures configurations que j’ai pu voir jusqu’ici ».
À lire également : Pour cet analyste, la flambée du Bitcoin est loin d’être terminée
Références : NewsBTC, CoinMarketCap
L’article Raoul Pal prédit un Ether à 20 000 dollars et un Bitcoin entre 250 000 et 400 000 dollars d’ici à fin mars 2022 est apparu en premier sur Crypto-France.
En 2019, Facebook a dévoilé au monde ses ambitions crypto en présentant le projet Libra. Initialement, Libra devait être un stablecoin indexé sur un panier de devises, accompagné d’un wallet crypto. Cependant, les régulateurs du monde entier ont vu d’un mauvais œil cette initiative. En effet, nombre d’entre eux estimaient que Facebook tentait de remplacer les États et leurs banques centrales. Le projet a donc revu ses ambitions à la baisse. Dorénavant, rebaptisée Diem la monnaie de Facebook sera un stablecoin sagement adossé au dollar et accompagné d’un wallet nommé Novi. Si Facebook se rêve toujours en géant crypto, il semble cependant que Bitcoin (BTC) soit exclu du futur wallet de Facebook.
Le 24 août dernier, David Marcus responsable de Facebook Financial proposait un point d’étape sur l’avancement de Diem et de Novi. Lors de son interview pour Bloomberg, Marcus déclarait ainsi que les équipes de Diem « se préparent pour le lancement ». On rappellera que depuis le lancement de l’initiative en 2019, le projet de stablecoin Diem a été repoussé à de multiples reprises.
Marcus affirme que Facebook « n’est pas encore prêt » pour le lancement de son stablecoin. Toutefois, cela n’arrange pas les affaires de David Marcus qui est aussi responsable du développement du portefeuille de Facebook : Novi. Selon lui, l’infrastructure du stablecoin n’est pas encore au point, alors que le wallet Novi est pour sa part fin prêt. Mais, le lancement du wallet, sans le stablecoin qui va avec, est une solution de « dernier recours », car ses usages initiaux seraient drastiquement limités.
« Mais nous sommes tout à fait déterminés et motivés à lancer [Novi] avec un stablecoin, sur un réseau qui nous permet de réellement changer la donne. »
David Marcus responsable de Facebook Financial
Nos confrères de Bloomberg ont souligné qu’une importante tranche de la population ne fait absolument pas confiance à Facebook et que cela pourrait nuire à l’adoption de Novi.
“Je ne pense pas que nous méritons la confiance des gens. J’estime que nous méritons une chance de gagner la confiance des gens. Je pense que nous sommes bien placés pour le faire”.
David Marcus responsable de Facebook Financial
Cependant, gagner la confiance du public sur ce sujet précis pourrait s’avérer difficile pour le géant du web. En effet, sa réputation auprès du public occidental, son cœur de cible, est profondément ternie.
Lors de son échange sur Bloomberg, Marcus a été interrogé sur l’éventuelle intégration de Bitcoin au sein de Novi. Pour le moment, intégrer Bitcoin ne fait pas partie du plan de Facebook.
« Je suis également un fan de longue date du bitcoin. Mais je ne considère pas le bitcoin comme une monnaie transactionnelle ou un moyen d’échange. Je le considère comme un excellent actif d’investissement décorrélé. Mais le problème est que la volatilité de l’actif lui-même ne fait pas une bonne monnaie transactionnelle. »
David Marcus responsable de Facebook Financial
Bien que Bitcoin n’intéresse pas Facebook, les jetons non fongibles (NFT) seraient un axe envisagé par l’équipe derrière Novi. Marcus a expliqué que Novi permettra de stocker des NFT. Selon lui, il est important que les créateurs et le public puissent louer et vendre des NFT, car ces actifs ouvrent la voie vers de nouveaux modèles économiques.
« Il est trop tôt pour aborder notre plan, mais nous examinons assurément un certain nombre de manières de nous impliquer dans ce domaine, car nous pensons être en très bonne position pour le faire »
David Marcus responsable de Facebook Financial
Marcus n’a pas révélé les raisons derrière le nouveau retard du lancement de Diem. Au-delà du désir de Facebook de créer un système de paiement à bas coût, nous n’en savons donc pas beaucoup plus sur les véritables ambitions crypto du géant du web. Une seule chose est sure, Bitcoin ne fait pas partie de la feuille de route crypto du réseau social.
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Un nouveau tsunami pour les Cryptopunks ? Les tokens non fongibles (NFT) les plus populaires du moment pourraient s’exporter à Hollywood, si l’on en croit un nouveau partenariat entre Larva Labs et United Talent Agency (UTA).
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SAN FRANCISCO, 1er septembre 2021 – Okcoin, l’une des plateformes de crypto-monnaie les plus importantes et à la croissance la plus rapide au monde, et Polygon, une solution complète de mise à l’échelle d’Ethereum apportant une adoption massive à la plateforme Ethereum, ont annoncé aujourd’hui l’inscription du jeton MATIC natif de Polygon sur Okcoin – disponible à la négociation à 22 h HE le 1er septembre. La liste est accompagnée […]
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L’acteur emblématique de Bollywood Amitabh Bachchan est la dernière célébrité à rejoindre le mouvement NFT.
La popularité des jetons non fongibles (TVN) continue à augmenter avec le dernier signe d’approbation de l’une des personnalités et acteurs les plus influents de l’industrie cinématographique indienne hindi, Amitabh Bachchan.
Selon un rapport par Bénéfice NDTV publié aujourd’hui, Bachchan est devenu le premier acteur indien à adopter les NFT.
Plus précisément, les NFT de Bachchan seront disponibles à l’achat sur Beyondlife.club et seront développés par Rhiti Entertainment en partenariat avec GuardianLink.io.
Arun Pandey, le président et directeur général du groupe Rhiti a affiché son enthousiasme pour le lancement des NFT à travers un tweet. Pandey a tweeté :
« Pendant que nous grandissions à Varanasi, nous avions l’habitude de regarder/admirer la légende de Century Amitabh Bachchan. Et, jamais pensé que je lancerai son NFT. Je serai toujours reconnaissant à la légende. Avoir Keyur Patel comme partenaire légendaire dans le monde de la technologie.
Parmi la collection de NFT à gagner, l’un est le récital de poèmes de Bachchan de Madhushala, le célèbre recueil de poèmes de son père Harivansh Rai Bachhan.
De plus, la collection se compose d’anecdotes de Bachchan et « d’affiches signées personnellement soulignant les plus grands jalons » de la carrière de l’acteur et d’autres cadeaux qui n’ont pas encore été divulgués.
De plus, le site Beyondlife.club permet également aux utilisateurs de partager leur idée NFT sur la plateforme qui sera ensuite communiquée à la légende de Bollywood. Cela pourrait signifier que les utilisateurs peuvent créer leur propre cadeau NFT personnalisé, qui peut être un clip audio, une affiche signée ou même une rencontre.
Le site Web a déclaré dans un communiqué:
« La mégastar de Bollywood Amitabh Bachchan sera la première à déployer sa collection NFT via BeyondLife.club. Ces objets de collection représenteront son statut légendaire et marqueront l’ouverture de cette première plate-forme NFT.
Pandey a noté que la plus grande incitation au lancement de la collection était de « responsabiliser les artistes, les célébrités et les athlètes dans le monde entier et en même temps d’aider les fans purs et durs à mettre la main sur la forme la plus pure du contenu ».
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Traduction de l’article de Aisshwarya Tiwari : Article Original
La pro du tennis Naomi Osaka envisage d’investir dans la crypto-monnaie, en partie à cause du buzz autour de la pièce de monnaie Dogecoin.
Osaka a publié deux ensembles différents d’objets de collection NFT, dont une série lancée par la startup Autograph.io de Tom Brady la semaine dernière.
Naomi Osaka a déjà dominé le monde du tennis, remportant quatre titres en simple du Grand Chelem au cours des trois dernières années et atteignant le rang de meilleure joueuse de tennis au monde. Maintenant, elle cherche potentiellement le succès dans un autre domaine : l’investissement dans les crypto-monnaies.
Osaka envisage d’investir dans la cryptographie, et elle a dit Bloomberg que son intérêt a été piqué par Dogecoin, la pièce meme populaire. Selon l’histoire, l’agent d’Osaka lui a proposé d’investir dans la crypto-monnaie, mais elle avait déjà vu une partie du buzz sur les réseaux sociaux autour de Dogecoin. Elle aurait « exploré » l’espace maintenant.
« En fait, je parlais juste avec mon agent des crypto-monnaies », a déclaré Osaka. « Je sais qu’en ligne, tout s’agrandit. Je me souviens avoir lu sur Dogecoin… il va y avoir quelque chose de nouveau et d’intéressant qui va apparaître.
Osaka a déjà un pied dans l’industrie de la cryptographie grâce aux objets de collection NFT. Un TVN représente un acte de propriété pour un élément numérique, qu’il s’agisse d’une image, d’un fichier vidéo, d’un élément de jeu vidéo interactif ou de tout autre chose. Le marché plus large a grimpé à 2,5 milliards de dollars valeur du volume des transactions au cours du premier semestre 2021, et a apparemment affiché des chiffres encore plus importants depuis : le marché NFT OpenSea a à lui seul a dépassé les 3 milliards de dollars de volume jusqu’à présent en août seulement.
En avril, Osaka a publié une série d’objets de collection NFT qui ont été conçues par sa sœur Mari Osaka, une pro du tennis à la retraite. Les ventes ont généré 600 000 $ au profit de la fondation Play Academy de Naomi Osaka, et l’un des NFT, qui a été remporté lors d’une tombola pour seulement 5 $, a récemment été coté sur un marché secondaire. avec un prix demandé de 200 000 $.
La semaine dernière, Autograph.io, la startup NFT centrée sur le sport co-fondé par le quart-arrière de la NFL Tom Brady– a lancé une série d’objets de collection Naomi Osaka NFT via le marché DraftKings. Le prix des NFT variait entre 12 $ et 1 500 $ pièce et était complètement épuisé. Certains NFT « Ruby Signed », vendus à l’origine pour 1 500 $ chacun, sont désormais répertoriés sur le marché secondaire de DraftKings à partir de 350 000 $ pièce.
L’autographe a déjà sorti des objets de collection NFT de Brady et de la légende de la LNH Wayne Gretzky, et a lancé aujourd’hui les premiers NFT de la gymnaste olympique Simone Biles. Des NFT mettant en vedette la star à la retraite des Yankees de New York, Derek Jeter, sortiront à partir du 7 septembre.
Les objets de collection sportifs ont été un élément clé du boom plus large du marché NFT. Dapper Labs’ Meilleur tir de la NBA La plate-forme a contribué à présenter les objets de collection numériques à un public plus large ce printemps et a accumulé un volume de transactions de 703 millions de dollars depuis son lancement l’année dernière, selon CryptoSlam. La semaine dernière, la plateforme ajouté des NFT basés sur la ligue féminine WNBA pour la première fois. Athlètes populaires tels que les stars de la NFL Rob Gronkowski et Patrick Mahomes ont également publié leurs propres collections NFT individuelles.
Les objets de collection Autograph NFT d’Osaka sont sortis parallèlement à l’actuel US Open 2021, l’un des quatre tournois annuels majeurs du monde du tennis. L’US Open vient de a lancé ses propres objets de collection NFT développé en partenariat avec VaynerNFT, le cabinet de conseil créé par investisseur et Gary Vaynerchuk, passionné de NFT. Ces NFT sont inspirés des anciens champions du tournoi, dont Venus Williams et Andy Roddick.
Les points de vue et opinions exprimés par l’auteur sont à titre informatif uniquement et ne constituent pas des conseils financiers, d’investissement ou autres.
Traduction de l’article de Andrew Hayward : Article Original
GENÈVE – 31 août 2021 : WISeKey International Holding Ltd. (« WISeKey ») (SIX : WIHN, NASDAQ : WKEY), l’une des principales sociétés mondiales de cybersécurité, d’IA, de blockchain et d’IoT, a annoncé aujourd’hui qu’elle s’est associée à Polygon, pour offre une solution NFT de confiance aux masses avec le lancement de la plate-forme WISe.ART NFT en septembre 2021. Polygon est une plate-forme pour la mise à l’échelle d’Ethereum […]
La poste WISeKey s’associe à Polygon, une solution de mise à l’échelle Ethereum à pile complète pour offrir des solutions NFT fiables aux masses est apparu en premier sur TechBullion.
Les utilisateurs de NFT Marketplace OpenSea signalent des arnaqueurs actifs utilisant la plateforme de support basée à Discord pour recueillir des informations sur les victimes potentielles.
La fraude dans le cadre du marché des crypto-monnaies est si fréquente qu’elle est même devenue monnaie courante. Chaque jour, des dizaines et des centaines de rapports de vol d’actifs numériques proviennent du monde entier. Cependant, les plus dangereux des attaquants ne sont pas ceux qui volent des informations personnelles sur votre ordinateur/smartphone, mais ceux à qui vous transférez personnellement ces données.
L’ingénierie sociale a été et reste leader parmi les outils utilisés par les criminels pour voler vos actifs cryptographiques pendant des années. Ces personnes se présentent comme des traders expérimentés, des représentants de divers projets, des employés du support technique et font tout pour que les utilisateurs ordinaires leur communiquent des informations privées avec lesquelles les attaquants ont accès à leurs cryptoactifs.
Il y a quelque temps l’un des utilisateurs de NFT Marketplace OpenSea a signalé les actions des criminels spécialisés dans l’ingénierie sociale sur Twitter. Jeff Nicholas s’est plaint que, se faisant passer pour un spécialiste du support technique, l’attaquant a volé tous ses tokens non fongibles, ainsi que 4,5 ETH (plus de 14 000 dollars) stockés sur le portefeuille.
Today has been rough. While I’m currently feeling a little better, I want to get in front of this & explain what happened last night as a cautionary tail for anyone – whether noob or seasoned vet – because I believe this can happen to anyone if ur guard is down like mine was.1/27
— jeffnicholas.eth 🙏🏼✨ (@_jeffnicholas_) August 25, 2021
Selon Nicholas, les attaquants lui ont demandé de partager son écran et lui ont dit de resynchroniser l’extension MetaMask Chrome avec l’application mobile MetaMask.
Pour synchroniser le portefeuille mobile MetaMask avec l’extension Chrome, l’utilisateur doit accéder au menu des paramètres, qui affichera l’option de synchronisation avec un téléphone mobile. Après avoir confirmé la procédure, le portefeuille vous demandera d’entrer le mot de passe et affichera le code QR.
Après avoir pris des captures d’écran des informations ci-dessus, tout fraudeur aura facilement accès au portefeuille de la victime et pourra disposer des fonds qui s’y trouvent, à sa discrétion.
Selon le portail Data Breach, le photographe et professeur assistant à l’université de Keio, Sean Bonner, attribue ce problème au fait qu’au lieu d’établir un canal fermé de communication avec les spécialistes techniques, OpenSea utilise la plateforme de discussion Discord pour assister les clients. Selon lui, les pirates traquent les applications laissées par les utilisateurs et armés de ces informations, ils se font passer pour des représentants de l’équipe technique du marché. Il n’y a rien d’étonnant que les gens y croient.
Le chef de produit d’OpenSea, Nate Chaysten, a également réagi à l’incident. Il a exprimé ses condoléances à la victime et a demandé aux utilisateurs de contacter l’assistance via le centre d’aide.
Sean Bonner a déclaré qu’afin de s’assurer que les autres utilisateurs ne soient pas trompés par des attaquants se faisant passer pour le support technique de la plateforme sur Discord, OpenSea devrait cesser de fournir tout type de conseil via ce réseau. Il a également ajouté : “En outre, ils doivent rembourserde l’Ethereum volé et la valeur marchande des tokens non fongibles à la victime”.
Je pense que les cryptomonnaies nous ouvrent de nouvelles perspectives que je ne veux pas du tout rater. J’essaie d’enrichir mes compétences en la matière et de partager tout ce que j’apprend avec mes followers.
DISCLAIMER
Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.
Retrouver l’article original de Jean-Louis Lefevre ici: Lien Source
Le SOL, le token natif du projet blockchain Solana, a dépassé pour la première fois ce mardi matin le seuil des 120 dollars. Le projet, qui ambitionne de concurrencer Ethereum, a connu un fort engouement au cours des dernières semaines.
Lors de la rédaction de cet article, le cours du token SOL avait légèrement diminué depuis son record, s’échangeant à un peu plus de 118 dollars. Il avait enregistré une augmentation de 16,23% sur les dernières 24 heures.
La « Market Cap » de Solana s’élevait à 34,35 milliards de dollars, tandis que sa « Fully Diluted Market Cap » (qui tient compte de l’offre de SOL qui n’a pas encore été mise en circulation) était tout proche des 60 milliards de dollars.
Le SOL pointait déjà depuis plusieurs jours à la 8ᵉ place du classement de CoinMarketCap, juste derrière le Dogecoin.
Sur une semaine, le token SOL s’était apprécié de près de 50%.
Il s’agit d’une année exceptionnelle pour le projet : au 1er janvier dernier, le SOL ne s’échangeait qu’à 1,6 dollar.
Solana, qui s’appuie sur une méthode de validation par preuve d’enjeu (« proof-of-stake »), cherche à concurrencer Ethereum, la plateforme de « smart contracts » la plus populaire de l’écosystème.
Pour cela, sa blockchain offre déjà de nombreuses applications, notamment dans les secteurs de la finance décentralisée (DeFi) et des tokens non fongibles (NFTs).
L’un de ses principaux atouts : sa capacité de traitement. Lors de la rédaction de cet article, elle était capable de prendre en charge plus de 1 200 transactions par seconde. Selon les développeurs, ce nombre pourrait augmenter à 50 000 durant les périodes de forte utilisation.
Solana permet également de bénéficier de frais extrêmement faibles, à seulement 0,00025 dollar par transaction. On est loin, très loin des coûts en vigueur sur la blockchain Ethereum : ils s’élèvent actuellement, en moyenne, à plus de 40 dollars.
La jeune plateforme ne bénéficie toutefois pas du « first mover advantage » de sa concurrente, et elle revendique pour le moment un catalogue de projets plus restreint. Par ailleurs, Ethereum n’a sans doute pas dit son dernier mot : plusieurs projets (Ethereum 2.0, des blockchains de « seconde couche »,…) pourraient lui permettre de faire face à la congestion de son réseau.
En juin dernier, Solana Labs, la société à l’origine du projet, était parvenue à lever plus de 300 millions de dollars. Cette enveloppe devait notamment lui permettre de lancer un studio d’incubation destiné à « accélérer le développement d’applications décentralisées et de plateformes construites sur Solana ».
Depuis le lancement de la version bêta de son « mainnet » en mars 2020, Solana est déjà parvenue à séduire « plusieurs dizaines de milliers de développeurs ». Elle compte s’appuyer sur sa technologie pour continuer à voir affluer de nouveaux projets, qui viendront s’ajouter aux plus de 400 déjà présents dans son écosystème.
On retrouve parmi eux la bourse Serum. Créée par le fondateur de FTX, il s’agit d’une plateforme d’échange décentralisée de crypto-produits financiers dérivés adossée à la blockchain Solana.
D’autres projets notables font partie de la sphère de Solana, comme Metaplex – une plateforme permettant aux créateurs de lancer leurs propres boutiques de NFTs – ou encore Audius, un « Spotify Like » dont le token AUDIO revendique actuellement une « Market Cap » de plus d’1 milliard de dollars.
Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous vous suggérons de mener vos propres recherches avant de décider de vous procurer des cryptomonnaies – des actifs extrêmement volatils. Ne dépensez pas plus que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec la lecture de cet article.
Retrouver l’article original de Crypto-France ici: Lien Source
