Hard Fork ‘London’ d’Ethereum: ce que vous devez savoir et à quoi vous attendre

Rédigé par Jordan Lyanchev via CryptoPotato.com,

Le hard fork de Londres devrait avoir lieu en août 2021 – de quoi parle le fork et qu’est-ce que les mineurs et les utilisateurs d’Ethereum pourraient s’attendre à changer ?

Contenant de nombreuses propositions d’amélioration d’Ethereum (EIP), y compris les vitales 1559 et 3554, il vaut la peine d’explorer les principales caractéristiques du prochain hard fork de Londres et comment il pourrait changer le réseau Ethereum.

Bien qu’il ait été initialement prévu d’avoir lieu en juillet, une déclaration plus récente d’un développeur d’Ethereum a affirmé que le hard fork de Londres aura lieu le 4 août 2021.

Pourquoi la blockchain Ethereum a-t-elle besoin d’améliorations ?

Lancé en 2015, l’utilisation du réseau Ethereum a considérablement augmenté au cours des six prochaines années, car il s’agit sans doute de la blockchain la plus utilisée dans l’espace aujourd’hui. Il est devenu le foyer de plusieurs pièces stables, d’innombrables projets NFT et DeFi et, enfin et surtout, de son actif numérique natif, qui se trouve être la deuxième plus grande crypto-monnaie par capitalisation boursière.

Cependant, cette utilisation s’est accompagnée d’obstacles importants pour la preuve de consensus de travail algorithme. Ceux-ci comprenaient des transactions retardées et frais déraisonnablement élevés atteignant quatre chiffres en USD dans certaines occasions extrêmes.

Les développeurs travaillant sur la blockchain ETH l’ont vu, et leur solution ultime est de faire passer le réseau de PoW à la preuve d’enjeu. Cependant, il s’agit d’une procédure complexe nécessitant des années de développement, de test et de mise en œuvre avant d’être achevée.

Jusque-là, ils n’ont pas abandonné le réseau PoW et ont proposé plusieurs hard forks qui pourraient améliorer ses performances plus rapidement.

Istanbul, Berlin puis Londres

Après les hard forks d’Istanbul et de Berlin, place au prochain avec le nom de code « London » (du nom de la deuxième conférence annuelle des développeurs en 2015).

Initialement prévu pour avoir lieu en juillet 2021, sa progression allait bon train puisqu’il s’était lancé sur plusieurs testnets, dont le dernier étant Ropsten.

Cependant, cela a été retardé et le développeur d’Ethereum Tim Beiko annoncé plus tôt cette semaine, il devrait avoir lieu le 4 août entre 13h00 UTC et 17h00 UTC au bloc numéro 12 965 000.

Le hard fork de Londres contiendra plusieurs EIP, dont les plus notables sont 1559 et 3554. Comme expliqué dans EIP-1, chaque proposition doit suivre ces directives :

« L’EIP doit fournir une spécification technique concise de la fonctionnalité et une justification de la fonctionnalité. L’auteur de l’EIP est responsable de la recherche d’un consensus au sein de la communauté et de la documentation des opinions dissidentes.

EIP-1559 vise à réduire les frais de transaction grâce à une méthode quelque peu controversée. Au lieu que l’utilisateur doive envoyer des frais de gaz à un mineur pour que la transaction soit incluse dans un bloc, EIP-1559 propose que les frais de gaz soient envoyés au réseau.

EIP-1559 : Gaz à envoyer sur le réseau à la place des mineurs. Source : Blog BitMEX

Essentiellement, ce nouveau mécanisme de tarification brûlera les frais, ce qui réduira l’offre globale d’éther (ETH). Le tarif de base changera à chaque bloc. Cela dépendra de la congestion du réseau, car si un bloc est rempli à 50% ou plus de transactions, les frais augmenteront, et vice-versa.

EIP-3238, d’autre part, ciblera la bombe à retardement de difficulté. C’est une fonctionnalité qui rend l’exploitation minière d’Ethereum de plus en plus difficile. L’idée est que l’exploitation minière devienne si difficile que les mineurs n’auront d’autre choix que de sortir d’Ethereum 1.0 et de passer à Ethereum 2.0.

Tableau de difficulté ETH à long terme. la source: Etherscan

À la difficulté actuelle, cependant, le réseau atteindrait cela trop tôt. Les plans initiaux indiquaient que l’EIP-3238 retarderait la soi-disant bombe à retardement jusqu’au deuxième trimestre de 2022. Cependant, l’EIP-3554 plus récemment proposé, dont la période d’examen se termine le 14 juillet, reporterait la bombe à difficulté « pour montrer l’effet de la première semaine de décembre 2021.

Les développeurs ont expliqué la motivation derrière EIP-3554 comme suit:

« Cibler la mise à niveau de Shanghai et/ou la fusion avant décembre 2021. La bombe peut être réajustée à ce moment-là ou complètement supprimée. »

La controverse

Bien que les mises à niveau proposées ci-dessus puissent sembler être un pas dans la bonne direction pour la plupart, toutes les parties ne sont pas satisfaites, en particulier avec EIP-1559. La combustion des frais créerait essentiellement un effet déflationniste sur la deuxième plus grande crypto-monnaie. Bien que cela puisse augmenter les chances de l’ETH de devenir un actif de réserve de valeur préféré en raison de la baisse de l’offre, cela réduirait les profits des mineurs.

Et, l’exploitation minière d’Ethereum a en effet été une activité lucrative, avec des bénéfices flambée à de nouveaux sommets au cours de la dernière année. Après le hard fork de Londres, cela pourrait changer, même si les utilisateurs auront la possibilité de « donner un pourboire » aux mineurs s’ils le souhaitent.

On pouvait s’y attendre, de nombreuses sociétés minières opposé la mise en œuvre de l’EIP-1559. D’autres ont fait valoir que même si EIP-2656 – qui réduit les coûts de gaz des transactions utilisant l’exponentiation modulaire (ModExp) – devrait améliorer la sécurité du réseau et pratiquement, il y aurait des problèmes potentiels sur ce front.

De plus, une récente rapport par CoinMetrics a affirmé que l’EIP-1559 pourrait ne pas du tout aider à réduire les frais de gaz. Il a indiqué que les coûts de transaction élevés sont « fondamentalement un problème d’évolutivité » et tant que l’utilisation dApp continue d’augmenter, ce qui est la tendance actuelle, ils resteront à ces niveaux.

Au lieu de cela, le document a décrit une autre solution possible, au moins jusqu’à l’arrivée d’Ethereum 2.0. Il provient des réseaux de mise à l’échelle de la couche 2, car plusieurs projets de blockchain ont déjà lancé de tels produits.

Dans tous les cas, le hard fork de Londres fait partie des événements les plus attendus dans l’espace des crypto-monnaies cette année et aura très probablement un impact significatif sur la blockchain très utilisée d’Ethereum.

Traduction de l’article de Tyler Durden : Article Original

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Voici où vous pouvez acheter, vendre, échanger et créer des NFT

L’industrie des jetons non fongibles a pris d’assaut le monde au cours de la dernière année. C’est une industrie très intéressante pour les créateurs, les collectionneurs et les spéculateurs. Avec l’aide d’entreprises comme Unifty, il devient beaucoup plus facile de naviguer dans le paysage et d’organiser de manière rentable les NFT.

Ce que Unifty vise à atteindre

Alors que l’intérêt mondial et la demande de jetons non fongibles continuent d’augmenter, de nouvelles infrastructures doivent être créées. Faciliter l’organisation et la gestion de ces NFT doit être une priorité absolue pour tous les fournisseurs de services. Unité fournit cette solution de manière rentable sans sacrifier la décentralisation. L’équipe vise à devenir le « WordPress des NFT », une plate-forme pour intégrer des millions de personnes qui souhaitent créer et partager de nouvelles choses.

Il y a une double approche de cette vision. Tout d’abord, l’équipe souhaitait fournir un ensemble d’outils aux créateurs de NFT pour leur permettre de faire ce qu’ils font le mieux. Apporter une vision à cette industrie ne devrait pas nécessiter de connaissances approfondies en matière de codage ou être coûteux sur le plan du développement. Unifty rend les NFT plus attrayants et accessibles pour les créateurs en supprimant ces aspects de l’équation, ce qui alimentera une «concurrence» plus large dans cet espace.

Le deuxième objectif visé par l’équipe est plus philosophique. Permettre aux artistes et aux créateurs de bénéficier de la technologie qu’ils fournissent change la donne. Le créateur a le contrôle total avec Unifty, car il n’y a pas d’infrastructure centralisée à proprement parler. En tant que principe de logiciel en tant que service, la plate-forme permet aux artistes de créer des NFT de manière décentralisée, comme cela aurait toujours dû être. UNE approche sans code créer des jetons non fongibles ouvre la voie à la prochaine génération de NFT.

À la base, la plate-forme comble principalement le fossé entre les NFT et la gestion de contenu Web. Dans le cadre de la vision Web 3.0, il est crucial de rendre les outils et services aussi accessibles que possible. Offrir un environnement riche en fonctionnalités qui est entièrement décentralisé et recevra de nouvelles fonctionnalités est un pas en avant significatif. Bien que l’équipe reconnaisse que son interface utilisateur a besoin d’un peu plus de travail, les commentaires de la communauté concernant cet aspect l’aideront à améliorer l’expérience utilisateur globale dans les mois à venir.

Le jeton NIF expliqué

En tant qu’écosystème basé sur la blockchain, Unifty émettra un jeton natif, baptisé NIF. Ce jeton servira à plusieurs fins, notamment des remises sur les outils, la compensation des swaps NFT déséquilibrés et l’utilisation des ponts blockchain natifs. De plus, les utilisateurs pourront jalonner le jeton natif pour débloquer d’autres valeurs. Aucun détail sur cette valeur n’est disponible pour le moment, bien que l’équipe Unifty révélera plus d’informations via leur réseaux sociaux officiels.

Un cas d’utilisation différent pour NIF est qu’il s’agit d’un deuxième actif requis sur la courbe de liaison. Cette courbe de liaison fait partie d’un outil d’enchères à venir actuellement en cours de développement par l’équipe.

Comment Unifty génère-t-il des revenus ?

En tant que plate-forme globale pour soutenir les artistes et les créateurs NFT, Unifty génère des revenus de différentes sources. La première source est constituée des frais de déploiement uniques des outils et services dans l’écosystème. Cela inclut les fermes NFT, une place de marché et le pont NFT. D’autres déploiements sont prévus à l’avenir et les détails seront disponibles en conséquence.

Deuxièmement, il y a la part des revenus à vie pour les actifs vendus via le marché NFT personnalisé. L’équipe élabore d’autres outils pour faciliter et améliorer la vente continue d’actifs, augmentant ainsi la part globale des revenus vers de nouveaux sommets. Enfin, Unifty peut générer des revenus à partir des frais de service pour le conseil et l’éducation. La demande croissante de NFT crée des opportunités d’éducation et de conseil, qui peuvent devenir une source de revenus viable.

Jalons importants à ce jour

Même si la plupart des gens ne connaissent pas encore Unifty, la plate-forme existe depuis un certain temps. Depuis sa création, l’équipe s’est associée avec succès à de grands réseaux, notamment Polygon, Avalanche et Elrond. De plus, la technologie qui alimente Unifty a donné naissance à des solutions en marque blanche pour Degenr, Block Duelers et autres. En outre, il existe désormais plus de 350 fermes NFT – couvrant des millions de dollars en valeur totale verrouillée – offrant aux utilisateurs la possibilité de miser des jetons contre des récompenses NFT. Ce dernier aspect contribuera à attirer plus de regards sur l’industrie des jetons non fongibles.

Peut-être plus intéressant est de savoir comment l’équipe prévoit d’étendre bientôt sa solution à Solana et Polkadot. L’infrastructure est en place pour faciliter ce processus, bien qu’il n’y ait pas encore de date d’intégration officielle. Comme la solution Unifty couvre déjà six blockchains – Ethereum Polygon, Binance Smart Chain, xDai, Avalanche et Celo – c’est l’une des solutions d’infrastructure inter-chaînes les plus convaincantes. Libérer le potentiel de la prise en charge inter-chaînes sera bénéfique pour l’ensemble de l’industrie NFT.

Traduction de l’article de Chainbits Staff : Article Original

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Axie Infinity (AXS) – Explosion de son adoption et rendements dingues

Pendant que le marché des cryptomonnaies traverse une période de coma estival généralisé, certains projets sortent du lot. C’est le cas d’Axie Infinity et de son univers de gaming à la sauce NFT. Un espace numérique « Pokemon inspired » où se disputent des batailles et se vendent des personnages et autres terres virtuelles. Le genre de […]

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Playboy lance sa collection NFT Miami Beach

Le célèbre média PlayBoy dévoile sa troisième collection NFT en collaboration avec la plateforme SuperRare. 5 NFT Playboy Durant le Decentraland Art Week qui se déroule du 8 au 18 juillet, le magazine Playboy a annoncé sa nouvelle collection NFT en association avec la plateforme d’art digital SuperRare. Il ne s’agit pas d’une première fois pour Playboy, puisque la marque avait déjà lancé deux collections NFT […]

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SUNC a levé environ 6,3 millions de dollars sur l’étape 1

SUNC a organisé ses préventes plusieurs fois depuis le 15 juin 2021. Dernièrement, 6,3 millions de dollars ont été collectés via les étapes de prévente 1 à 4. Après le 12 juillet, les jetons invendus seront disponibles à l’achat, lors de l’étape de prévente 5 .

Qu’est-ce que SUNC ?

SUNC est un jeton original émis par un projet. Il donne aux détenteurs les droits des bénéficiaires des revenus du casino en ligne, qui sont distribués en USDT, et fonctionne comme un jeton de gouvernance pour décider de la politique de fonctionnement par les droits de vote également.

Leur casino en ligne ne peut être joué qu’avec une pièce stable originale, nommée SUSD, qui est échangée 1:1 peg avec USDT (ERC 20).

・Transparence de SUNRISE CASINO by DAO :

SUNC résout des problèmes tels que les cas de fraude dans les casinos en ligne conventionnels, avec la technologie blockchain. Ce Sunrine Casino de DAO présente les caractéristiques suivantes.

Utilisez la fonction aléatoire de probabilité absolue (APRF), qui peut prouver le caractère aléatoire de la loterie à chaque jeu.
Tout le contenu du jeu sera enregistré sur des chaînes privées.
SUNC fonctionne comme un jeton de gouvernance et la politique de fonctionnement du casino en ligne peut être décidée par vote.
100% des revenus de ce casino en ligne seront reversés aux détenteurs.

*Certains sont rendus aux utilisateurs.

Faites des NFT individuels par jeu de table pour le propriétaire de la table et vendez-les aux enchères et à la loterie. Et 100% des bénéfices des ventes seront reversés aux détenteurs de SUNC.

Comme indiqué ci-dessus, nous visons à réaliser un nouveau type de casino en ligne par DAO sans administrateurs propriétaires.

Carte routière

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8 juin 2021, début de la prévente

8 juin pour 24 heures Offre de vente à 0,01 $
15 juin pour 24 heures 0,01 $ Offre de vente
22 juin pour 24 heures 0,012 $ Offre de vente
30 juin pour 24 heures 0,018 $ Offre de vente

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*12 juillet 2021

La prévente supplémentaire commence

*1er août 2021

Inscription initiale SUNC/xSUNC sur UNISWAP

Ouverture de la plate-forme de jalonnement SUNC

*T1 2022

La version bêta de SUNRISE CASINO by DAO démarre.

Début des pools de jalonnement SUNC/xSUNC V2

*T3 2022

SUNRISE CASINO par DAO Ver1.0 ORNES.

*T4 2022

La Plateforme INO Version 1.0 OUVRE

NFT MarketPlace Ver1.0 OUVRE

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Contacter:

Poster: [email protected]

Site Internet: https://sunrisecasino-dao.com

Image(s) : Shutterstock.com

Traduction de l’article de James Woods : Article Original

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Le 2e plus gros diamant en forme de poire vendu à 12 millions $ en cryptomonnaie

Samedi, la maison de vente aux enchères Sotheby’s a commercialisé un diamant rare dont la forme rappelle la poire. Le prix ? 12 millions $ en cryptomonnaie. Ce bijou devient le joyau le plus cher vendu aux enchères au moyen des cryptomonnaies.

Un diamant en forme de poire vendu en cryptomonnaie

Pour 12 millions $ en cryptomonnaie, un acheteur parvient à acquérir le joyau le plus cher de l’histoire dans le monde des cryptos. Mais son identité n’est pas encore dévoilée. Pour ce qui est du diamant, on sait qu’il pèse environ 101,38 carats et était le deuxième diamant en forme de poire mis aux enchères. La société qui s’est occupée de la vente du joyau l’a dénommée ‘’The Key 10138’’, et elle avait estimé son prix à environ 15 millions $. C’est la société Diacore qui s’est chargée de la taille du joyau.

« Dans l’histoire, c’est l’un des deux seuls diamants en forme de poire sans défaut proposés sur le marché », a souligné Bloomberg Quicktake sur Twitter.


“This is in history, 1 of only 2 flawless pear-shaped diamonds ever offered in the market.”

Don’t let your significant other see this 101-carat gem that Sotheby’s is auctioning for cryptocurrency pic.twitter.com/iJdb35TxL5

— Bloomberg Quicktake (@Quicktake) July 7, 2021

Aucune information n’a filtré à propos de l’actif numérique utilisé pour boucler la transaction. Toutefois, nous savons que Sotheby’s a eu le choix entre deux options : le Bitcoin (BTH) et l’Ethereum (ETH). L’acheteur aurait finalisé la transaction par Coinbase Commerce.

Il y a presque un an, en octobre, la société avait vendu aux enchères un diamant ovale de 102,39 carats à un ‘’bon prix’’ de 15 millions $.

Des ventes d’objets en utilisant des cryptomonnaies

Depuis son entrée sur le marché des NFT en mars, Sotheby’s s’évertue à changer les habitudes. En effet, contrairement à de nombreuses autres sociétés qui opèrent dans le même domaine qu’elle, elle accepte les cryptomonnaies. Le 16 avril, elle a vendu aux enchères une œuvre d’art de l’artiste turc Murat Pak à 17 millions $.

Plus récemment, le mois dernier, elle a vendu de la même façon un CryptoPunk NFT pour 11,8 millions $ à Shalom Meckenzie, le principal actionnaire de DraftKings. Dans la même période, elle a vendu aux enchères le code source de l’invention du système Word Wide Web (WWW) de Tim Bernes-Lee, sous forme de NFT à 5,4 millions $.

Après sa dernière vente du code source du système WWW, la société Sotheby’s parvient à vendre aux enchères le 2e plus gros diamant en forme de poire jamais découvert. L’objet a une valeur de 101,38 carats et a été vendu à un acheteur anonyme à environ 12 millions $ en cryptomonnaie.

Plus d’actions

DISCLAIMER

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Luc Jose Adjinacou ici: Lien Source

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VISA affole les compteurs des transactions crypto – Ses 3 prévisions pour Bitcoin et le secteur

VISA laisse son succès faire du bruit – Depuis l’été 2020, PayPal a ouvert la voie vers les actifs numériques pour les fournisseurs de services de paiements. En proposant à ses clients d’acheter du bitcoin (BTC) avec leur solde, l’entreprise est devenue la première multinationale à proposer un tel service. Avant cela, VISA n’avait réalisé que de timides mouvements vers la cryptosphère. Toutefois, devant son rival qui a multiplié les initiatives crypto depuis, VISA vient d’annoncer fièrement que les cartes bancaires proposées par ses partenaires cryptos ont traité plus d’1 milliard de dollars de transactions en 2021.

VISA fait le point après un an

Durant l’été 2020, Visa a publié sa « Digital Currency Roadmap ». Et le 7 juillet dernier, la société a fait un point d’étape sur l’avancement de sa feuille de route. Dans sa feuille de route initiale, VISA faisait état de sa collaboration avec Coinbase « afin de fournir un pont entre les devises numériques et notre réseau mondial existant de 61 millions de commerçants ». À l’été 2020, la compagnie avait déjà conclu 25 partenariats avec des portefeuilles de devises numériques souhaitant proposer des cartes bancaires à leurs utilisateurs.

Ecosystème de VISA reliant les banques, les commerçants, les particuliers et les cryptomonnaies – Source : VISA

1 milliard de dollars de transactions crypto en un seul trimestre

Sur le premier semestre 2021, les cartes VISA liées à des portefeuilles d’actifs numériques auraient dépensé plus d’1 milliard de dollars. VISA propose à la fois des cartes qui permettent aux consommateurs de convertir facilement des cryptomonnaies en devises et de les dépenser et des cartes qui leur permettent de dépenser des devises et d’obtenir des cryptomonnaies comme récompenses (cashback).

« Nous pensons que la première étape consiste à établir un pont entre les portefeuilles de cryptomonnaies et notre réseau existant de commerçants. Ensuite, la prochaine étape sera de faciliter l’émission de cartes par nos clients et leur interaction avec elles, avec des fonctionnalités, comme la possibilité de prendre en charge des USDC. Par la suite, nous commencerons à consacrer davantage de temps à la façon dont VISA pourrait devenir un pont entre notre réseau d’institutions financières et l’écosystème crypto. »

Cuy Sheffield, Responsable de la branche Crypto chez VISA

À ce jour, Visa a conclu des partenariats avec 50 acteurs majeurs de la cryptosphère. Ses cartes cryptos permettent la conversion et l’utilisation d’actifs numériques dans plus de 70 millions de points de vente à travers le monde. Le dernier partenariat en date est celui signé avec le prêteur BlockFi. Lancée le 6 juillet dernier, cette carte permet aux utilisateurs de recevoir une récompense en bitcoins équivalente à 1,5 % du montant dépensé avec la carte.

Ecosystème de VISA reliant les cryptomonnaies, les monnaies fiduciaires, les stablecoins et les MNBC – Source : VISA

VISA identifie 3 tendances de fond dans la cryptosphère

Dans le point d’étape du 7 juillet, VISA nous dévoile les tendances du secteur crypto qui semblent essentielles à ses yeux :

Un écosystème en expansion et en évolution : jusqu’ici rien de nouveau. L’écosystème crypto n’a pas attendu VISA pour évoluer et se construire. Néanmoins, l’écosystème crypto de VISA, lui, s’étend rapidement. L’émetteur de cartes bancaires à déjà conclu des accords d’envergure avec les plus grands acteurs de la cryptosphère, dont FTX, Coinbase et Crypto.com ;Des récompenses réimaginées : au vu du succès des cartes Visa, les programmes de fidélisation des clients à travers des récompenses reversées en bitcoins et autres crypto lors des achats semblent assez redoutables. Le précurseur de ce secteur a été Crypto.com qui est maintenant le principal émetteur de cartes cryptos ;Les stablecoins passent au premier plan : avec 109 milliards de dollars de stablecoins en circulation et des centaines de milliards de volumes d’échange mensuel, il est indéniable que les stablecoins sont devenus un élément fondamental de l’écosystème.

Offre totale de stablecoins en circulation au 9 juillet 2021 – Source : The Block

Manifestement, VISA exclut de son champ d’action 2 tendances de fond ayant progressé en 2021 : les jetons non fongibles (NFT) et la DeFi. D’une part, il semble logique que l’entreprise ne s’intéresse pas aux NFT pour le moment, car ils ne peuvent pas être utilisés comme moyens de paiement. Mais d’autre part, Visa est une entité hautement régulée et la DeFi est l’incarnation de l’absence de régulation. Le prestataire de services de paiement devrait donc attendre quelque temps avant de se frotter à la finance décentralisée.

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Après la hype, quel avenir pour les NFT ? – Podcast Hors-série #24

Vidéo de Cryptoast via Youtube. Pensez à vous abonner à leur chaîne depuis ce lien : Chaine Youtube Cryptoast

Alors que la hype pour les NFT est largement retombée, les cas d’usage semblent se multiplier.

Si l’art accapare toute la lumière, ce n’est pas le seul domaine qui pourrait être bouleversé par cette technologie. Tour d’horizon de ces changements à venir avec Quentin de Beauchesne, qui utilise les NFT dans le suivi logistique avec son entreprise Ownest, Dimitri Daniloff, photographe étranger Matthieu Quiniou, avocat.

Bonne écoute !

Suivre nos invités sur les réseaux ;

🐦Quentin : https://twitter.com/quentindb

🐦Dimitri : https://twitter.com/dimitridaniloff

🐦Matthieu : https://twitter.com/matquiniou

📍La galerie NFT de Dimitri : https://editorial.superrare.com/tag/dimitri-daniloff (https://editorial.superrare.com/tag/dimitri-daniloff/)/

📍Le site de Quentin : https://ownest.io (https://ownest.io/)/

📍Le site de Matthieu : https://quiniou-avocat.com (https://quiniou-avocat.com/)/

🗞️Notre podcast avec ARKE : https://www.youtube.com/watch?v=M3UEQy05aEk

00:00 : Introduction

01:22 : C’est quoi un NFT ?

04:36 : Les NFT dans le suivi logistique

10:00 : Les NFT pour contrer les fakenews

11:15 : Les NFT dans le monde du spectacle

13:10 : Les NFT au coeur de la réputation sur le net

14:01 : Les NFT dans l’art

15:49 : Un changement pour l’œuvre sur le net

17:04 : La réappropriation du travail de l’artiste

19:12 : Les droits d’auteur bouleversés

20:21 : Le regard des photographes sur la technologie

22:31 : L’exposition virtuelle

24:43 : Les galeries virtuelles, une nouvelle manière d’exposer ?

25:44 : Point sur le droit

30:35 : Comment s’assurer de l’authentifier du créateur d’un NFT ?

34:29 : Une DAO pour remplacer les sociétés de droits d’auteur ?

36:58 : Déclarer ses NFT

41:29 : Éditer un contrat dans ses NFT

46:19 : Un point sur le droit de la consommation

49:49 : Conclusion

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🎙️ Réalisation : Valentin Demé

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Bitcoin – Nouvelle interview magistrale de Michael Saylor

Un Straight Talk instructif

Saylor prend parfois des airs de gourou mais pas dans cette interview très instructive. Si vous n’avez pas le temps, commencez à la 52e minute. Si vous n’êtes pas anglophile, voici une traduction de quelques passages intéressants.

« Les cryptomonnaies, pour la plupart ne sont pas du tout des monnaies. La « crypto » est un abus de langage créant une grande confusion. […] Beaucoup de personnes spéculent dans la « crypto » sans avoir une thèse de long terme sur ce qu’ils font. Voilà comment je segmente le marché. Il y a quatre catégories :

Le bitcoin est le roi de la « propriété digitale ». Il est conçu pour durer très longtemps. 100 ans, 100 000 ans. Imagine que ta famille détienne un terrain dans le centre de Londres depuis 100 ans. Quand l’aurais-tu vendu ? Jamais ! Veux-tu le vendre ? Non ! Comment vas-tu en vivre ? Tu vas le louer. Mais un terrain n’est pas une monnaie… Si tu possèdes 10 immeubles à NY et que la FED imprime 10 % de la masse monétaire en plus chaque année, tu peux effectivement t’attendre à ce que tes immeubles s’apprécient aussi de 10 % par an car il s’agit d’un bien désirable et rare. Mais ce n’est pas une monnaie. C’est la première catégorie : Propriété digitale

Seconde catégorie, les « monnaies digitales » telles que Tether, Circle (USDC), Diem (facebook) ou les CBDC. Il s’agit d’actifs digitaux prenant la forme de monnaies stables. Elles sont un intermédiaire des échanges. Si tu veux un intermédiaire des échanges décentralisé, très rapide, permettant de transférer 50 millions $ depuis le Zimbabwe vers les Émirats arabes unis, un samedi après-midi, en-dehors des réseaux de la FED, en-dehors du système bancaire ; si tu veux verser à chaque Salvadorien 37 $ sur son téléphone, il faut passer par une monnaie digitale. Ce n’est pas rien. Huit milliards de personnes ont besoin d’une monnaie. La monnaie est l’intermédiaire des échanges et son utilité est d’agir comme réserve de valeur.

Troisième catégorie : les « plateformes digitales ». Ethereum est une plateforme permettant de créer des applications comme des exchanges décentralisés, des assurances, des compagnies, des NFT. Leur mission est de créer des applications décentralisées. Quand tu achètes ETH, tu achètes un actif digital, un token qui te donne une part dans l’environnement de cette plateforme.

Quatrième catégorie, les « applications décentralisées ». Uniswap par exemple. Ils essaient de remplacer le NASDAQ, Coinbase. Binance smartchain essaie de remplacer Binance (un exchange centralisé).

Bien. Maintenant, imagine que je donne à ta famille un milliards $. Tu peux choisir entre acheter pour un milliard $ un terrain à Londres, ou bien des immeubles, ou bien l’équivalent d’un milliard $ en livre britannique ou bien des entreprises qui logent dans ces immeubles. Ok ? Et bien la livre britannique est l’équivalent de la monnaie digitale, le terrain est l’équivalent de la propriété digitale, les immeubles sont les plateformes digitales et les entreprises sont les applications décentralisées. Tu peux comprendre les bon et les mauvais côtés de chacune de ces catégories. Le terrain sera encore là dans 500 ans… Mais pas l’immeuble qui ne sera plus là d’ici 100 ans. Ni les entreprises. »

Michael Saylor dit en essence que le bitcoin n’est pas une monnaie mais un actif digital. C’est une manière de tourner autour du pot afin d’éviter toute législation assassine. Étant entendu que le bitcoin est un « actif », une « propriété », le droit assure que personne ne pourra l’interdire.

Le CEO de Microstrategy joue au chat et à la sourie avec la FED et le deep state US qui feront tout pour protéger le petrodollar, pièce maîtresse de l’impérialisme américain. Il parle d’ailleurs un peu plus loin au nom des salvadoriens en déclarant : « au Salvador, ils veulent le Digital Dollar (CBDC) pour faire leurs achats, mais ils veulent l’actif bitcoin comme réserve de valeur de long terme ».

Voici un autre passage très intéressant sur la façon dont Michael Saylor voit le bitcoin :

« Lorsque j’investis en bourse, je veux acheter une action que 99 % des gens désapprouvent mais dont tout le monde a besoin et que personne ne peut stopper. C’est comme ça que je décrivais Amazon, Apple, Facebook, Google et même Microsoft en 2010-2012. Amazon représentait déjà toutes les ventes online en 2012. Ils ont enterré tout le monde. Ils avaient 89 % du marché. L’action valait 50 $ mais tout le monde à Wall Street parlait de diversifier son portefeuille en vendant Amazon pour acheter d’autres marchands ; de vendre Apple pour acheter les autres compagnies. Le problème avec ça, c’est qu’Amazon a gagné ; Wallmart s’est maintenu ; mais les 25 000 autres marchands ont échoué. Miser sur ces derniers revenait à perdre. Miser sur Wallmart revenait à gagner mais c’est avec Amazon que l’on a cassé la baraque. Pareil avec Apple. […] Tout le monde a perdu de l’argent en essayant de concurrencer Apple. Le gagnant prend tout. Donc diversifier revient à vendre Microsoft pour acheter celui que Microsoft est en train de détruire. Vendre Amazon pour acheter Toy’sR’Us. Vendre Facebook pour acheter les perdants. Vendre Google pour acheter des journaux. Cela ne fait aucun sens. […]

Maintenant, l’investisseur macro-économique en moi dit qu’il faut que je trouve une réserve de valeur non souveraine n’étant pas un dérivé de monnaie. La raison pour laquelle j’ai choisi le bitcoin est que le dollar est un dérivé de monnaie, la dette est un dérivé de monnaie, une action de bourse est un dérivé de monnaie, l’immobilier est un dérivé de monnaie. Les seules choses qui ne sont pas un dérivé de monnaie sont l’art, l’or, peut-être un peu d’immobilier d’habitation mais aussi la crypto. Je vais garder le plus liquide, le plus irréfutable, celui qui a le plus de potentiel. Et c’est le bitcoin.

L’investisseur technologique en moi me dit (temps d’arrêt), si tu lis mon livre The mobile wave, je dis que si tu veux donner une éducation à 8 milliards de personnes, il faut extraire l’information se trouvant dans les livres et les librairies d’universités et les dématérialiser. Tu peux alors donner une éducation à tout le monde pour trois fois rien. Si tu veux donner de l’intelligence au monde, il faut extraire les données géologiques à partir d’une centaine de millions de photos satellites, les mettre dans un appareil Android et appeler ça Google map ; ensuite tu mesures à quelle vitesse les gens se déplacent, tu branche une IA et l’appareil peut conduire ta voiture. Une map digitale est un million de fois mieux qu’une map en papier. Un million de fois moins chère aussi. C’est pour ça que Google map vaut 50 milliards alors que Rand McNally map vaut seulement 50 millions. De même pour les livres. Tu peux tenir un million de livres dans ta main pour trois fois rien. Pareil pour la musique. Tu peux accéder à toute la musique du monde avec Amazon music pour 3 $ par mois.

Ce qui se passe ici, c’est que des plateformes dématérialisent des produits ou les services. Elles absorbent la valeur des CD, des vidéos, des orchestres, des librairies etc. Elles absorbent la valeur dans la vie réelle pour la mettre dans l’espace cybernétique. Quand tu dématérialises l’énergie sociale, tu obtiens facebook. Un millier de milliards $. Quand tu dématérialises l’information et l’éducation, tu obtiens google. Un millier de milliards $. Quand tu dématérialises tous les objets, tu obtiens Apple et son Iphone. Quand tu dématérialises les marchands, tu obtiens Amazon. Bref, pour en revenir au bitcoin, je le vois comme une propriété digitale qui dématérialise l’énergie monétaire qui se trouve dans l’or, l’argent, dans les monnaies, dans les immeubles, dans les terrains. Tout ce qui a de la valeur.

Si tu veux léguer 100 000 $ à tes descendants, que vas-tu acheter pour que ces 100 000 $ restent intacts ; ne soient imposés, volés, dévalués d’ici 100 ans ? Terrains ? Or ? Action Apple ? Oeuvre d’art ? Ou du bitcoin ? Le Bitcoin est le plus dur à taxer, le plus dur à voler. Il est le plus mobile. Il est décentralisé. »

Retrouver l’article original de Nicolas Teterel ici: Lien Source

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