Mois : avril 2021

Lors de son audioconférence sur les résultats du premier trimestre, Brian Goldner, PDG du géant du divertissement Hasbro, a révélé que sa société travaillait sur des opportunités liées aux NFT (« Non-fungible tokens »).

Ces jetons, qui sont rattachés à des actifs uniques, peuvent notamment être utilisés pour représenter des cartes de collection.

« Nous sommes pleinement tournés vers le monde des NFT, qui recèle de nombreuses opportunités », s’est-il enthousiasmé durant cet appel. « Nous travaillons activement sur cette opportunité, et nous estimons qu’elle est significative ».

Le dirigeant a notamment évoqué le succès de Magic: The Gathering – le célèbre jeu de cartes à jouer et à collectionner – mais également celui de son pendant numérique, MTG Arena.

« MTG Arena a enregistré une croissance de 24% sur un an. Environ 3,5 milliards de parties ont été jouées sur la plateforme depuis son lancement », a‑t-il indiqué. « Les utilisateurs y jouent désormais en moyennne 9 heures par semaine ».

Ces déclarations font écho au boom récent des NFTs, qui permettent de valoriser des objets de collection numériques. On peut notamment citer la performance réalisée il y a quelques semaines par la plateforme NBA Top Shot, qui permet de collectionner les actions marquantes des matchs de NBA. Lors de la rédaction de cet article, elle était parvenue à collecter l’équivalent de 550 millions de dollars auprès de près de 261 000 acheteurs,

Le PDG d’Hasbro a également indiqué que les versions physique et numérique de Magic: The Gathering Kaldheim avaient battu des records en janvier et février dernier. Se sont ajoutées cette même année les sorties des extensions « Time Spiral » et « Strixhaven », qui ont, elles aussi, permis d’accélérer les téléchargements de cartes numériques.

« Nous allons continuer à nous intéresser à cet écosystème, qui pourra nous aider à accélérer la croissance de notre activité liées à Magic, a‑t-il ajouté. « Les NFT constituent une formidable opportunité pour notre entreprise ».

Source

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Le meme « Disaster Girl » a été représenté sous forme de token non fongible (NFT). Il a permis à la personne représentée – maintenant âgée de 21 ans – de repartir avec 473 000 dollars en Ether (ETH)…

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Traduction de l’article de Nathan van der Heyden : Article Original

Dans la liste des bizarreries et autres innovations surprenantes du marché des cryptomonnaies se trouve le jeton SPORE. Une aventure en forme de test grandeur nature développée il y a peu par ce qui semble être des amateurs de champignons. Le tout selon une tokenomics qui pour le coup ne ressemble pas à grand-chose d’autre. […]

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Les NFT, plus qu’un effet de mode ? – La plateforme d’échange Binance n’arrête pas d’étoffer son offre auprès de ses utilisateurs. Après le récent ajout d’actions cotées tokenisés (telle que celle de Tesla, ou le COIN de Coinbase), voilà que le géant des crypto-bourses va proposer sa propre plateforme d’échange de tokens non fongibles (NFT).

La plateforme Binance NFT débarque en juin 2021

Dans une publication parue ce 27 avril, Binance annonce le lancement, en juin prochain, d’une place de marché entièrement consacrée aux tokens non fongibles, et qui sera sobrement appelée « Binance NFT ».

Ouvertes aux artistes et créateurs du monde entier, Binance promet des « expositions de premier plan » de ces tokens d’art unique, ainsi que de la liquidité et des frais «minimes ».

« Binance sert des millions d’utilisateurs à travers la planète, dont beaucoup pourront désormais accéder à l’espace en plein essor des NFT. (…) le marché NFT de Binance soutiendra également les petits créateurs de valeur, en fournissant la plus grande liquidité et les frais les moins chers pour les utilisateurs », Changpeng « CZ » Zhao, CEO de Binance

Deux catégories de NFT sont d’ores et déjà annoncés : une catégorie « Premium Event » pour les contributions les plus prisées et recherchées (10 % de frais, mais avec publicité et mise en valeur comprises), et un « Trading Market » qui permettra aux utilisateurs réguliers de créer facilement des NFT à un coût minimal (1% de frais).

Des NFT basés en majorité sur la Binance Smart Chain

La plateforme Binance NFT partagera le même système de compte utilisateur que la crypto-bourse principale de Binance pour faciliter et fluidifier les échanges.

« Notre objectif est de fournir la plus grande plateforme de trading de NFT au monde, avec la meilleure expérience de création (minting), d’achat et d’échange, en tirant parti des solutions les plus rapides et les moins chères alimentées par l’infrastructure blockchain et la communauté de Binance », Helen Hai, responsable de Binance NFT

Il semble en effet que ces NFT et ces échanges se baseront sur la Binance Smart Chain (BSC) de la crypto-bourse, ce qui limitera fortement les coûts d’interactions et de transactions sur ce réseau, surtout par rapport à celui d’Ethereum (ETH). Binance NFT devrait sans doute toutefois supporter également les NFT issus d’Ethereum.

Comme vous pouvez le voir ci-dessous, il est déjà possible de se préinscrire sur le site nft.binance.com, que ce soit en tant que futur créateur de NFT ou de simple utilisateur.

Avec les frais exorbitants de gas qui règnent sur le réseau Ethereum, Binance NFT a de fortes chances d’attirer les amateurs de tokens uniques grâce à la BSC, sans même parler des millions d’utilisateurs de la crypto-bourse principale. Nous vous tiendrons informer de la date précise du lancement de Binance NFT, qui promet déjà de faire du bruit, ainsi que de tous détails pratiques concernant son fonctionnement.

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Bienvenue dans ce nouvel opus du décryptage. Aujourd’hui Alexandre va aborder le sujet des NFT. Comme ce serait trop simple de parler des avantages, nous allons prendre un aspect plus critique et aborder les aspects néfastes des NFT. Y a-t-il que du bon dans ces tokens ? Vous allez le découvrir tout de suite ! […]

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Le leader mondial des exchanges crypto lancera en juin sa propre place de marché pour jetons non fongibles (NFT). Son positionnement se veut à la fois grand public et premium avec des frais compétitifs. Binance s’engage dans le monde des NFTs Binance qui n’aime pas se tenir à l’écart d’un marché potentiellement juteux – et […]

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Que ce qui est à l’artiste revient à l’artiste, grâce au NFT – Le mannequin Emily Ratajkowski a vendu son corps aux photographes pendant 15 ans. Elle veut maintenant reprendre le contrôle de son image, qui a été admirée par des milliards de personnes en ligne.

Un enchainement de mauvaises expériences

L’artiste a écrit qu’en 2014, elle avait été choquée de découvrir qu’une photo d’elle nue (qu’elle avait postée sur Instagram) était accrochée au Gagosian dans le cadre de l’exposition “New Portraits” de Richard Prince. Cet artiste prenait les photos Instagram d’autres personnes et les imprimait sur de grands morceaux de toile, pour les revendre à 90 000 dollars la pièce.

Si cette œuvre originale a été vendue à un employé de Gagosian, Ratajkowski a finalement pu acheter une deuxième “peinture” d’elle-même reprenant une photo de son premier éditorial Sports Illustrated. Le mannequin a déclaré avoir été payée 150 dollars pour la séance photo en question, et elle et son petit ami de l’époque ont finalement payé 81 000 dollars pour la copie de Prince.

Un juste retour des choses

Emily Ratajkowski a trouvé un moyen ingénieux pour récupérer sa propriété intellectuelle sur une photo que l’artiste Richard Prince s’était appropriée pour sa série “New Portraits”. Emily prévoit en effet de vendre une photo de l’œuvre d’art, en posant devant celle-ci (photo ci-dessus). Le New York Times a rapporté jeudi que Ratajkowski a créé un NFT intitulé “Buying Myself Back : A Model for Redistribution”. L’œuvre numérique sera vendue aux enchères chez Christie’s le 14 mai. Le NFT représente le mannequin photographié dans son appartement new-yorkais, debout devant la “peinture Instagram” de Richard Prince, qui est accrochée dans sa maison de Los Angeles.

Des entreprises de cryptomonnaies ont approché l’ariste pour qu’elle leur octroie son image sur des NFTs, lui proposant 20 à 60 % des bénéfices. Néanmoins, l’ancienne mannequin a décliné toutes ces sollicitations. Finalement, elle a décidé de le faire elle-même.

“J’ai construit ma carrière en partageant mon image, mais bien souvent, même si c’est mon gagne-pain, on me l’enlève et quelqu’un d’autre en profite, explique-t-elle. Grâce à ce NFT, l’artiste recevra une certaine part des bénéfices à chaque fois que le NFT est vendu ou échangé. Pour moi, ce marché numérique est un moyen de communiquer cette idée spécifique qui ne pourrait pas exister d’une autre manière”.

Désormais, les NFT sont utilisés pour services des causes et symboliser des personnalités. Dans le cas de Ratajkowski, cela lui permettra de se réapproprier son image, après plusieurs violations de celle-ci.

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Les indicateurs sont au vert pour l’Ether. La mise à jour Berlin de la blockchain a permis de réduire les frais de transaction et de tirer l’activité dans la DeFi. Mais la finance traditionnelle se développe aussi sur Ethereum. La dernière chute du Bitcoin la semaine dernière a permis de mettre en lumière la robustesse d’Ethereum et les performances de l’Ether. L’ETH résistait mieux en effet que le BTC, qui reculait de plus de 20%. Mais l’Ether se démarque également sur sa résilience. Depuis la reprise, la 2e cryptomonnaie mondiale progresse plus rapidement. Au cours des 5 derniers jours, l’ETH […]

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Alors que les sceptiques critiquent les jetons non fongibles (NFT) pour leur empreinte carbone, un partenariat inhabituel pourrait remettre ces allégations en question.
Carbonbase, une start-up de Hong Kong spécialisée dans les technologies émergentes visant à réduire les émissions des particuliers et des entreprises, s’est associée à la division Panda Labs du