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Logan Paul annonce déployer personnellement 2,3 millions de dollars pour racheter des NFT de sa collection CryptoZoo. Logan paul fai amende honorable ? Today, I am incredibly happy to announce that I am delivering on my promise to buy back Base Egg and Base Animal CryptoZoo NFTs for their original purchase price. This buy-back program…
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« Elle a tout d’une grande ». Cette publicité des années 90 pour la célèbre Renault Clio sied parfaitement à la plateforme Bitget qui se fait une place au soleil parmi les acteurs importants du marché des cryptomonnaies. Aujourd’hui classée 14ᵉ en termes de volume spot quotidien et 4ᵉ en ce qui concerne les produits dérivés, l’exchange axé sur le trading vient de clôturer une année 2023 plutôt réussie et à l’heure des comptes, on se dit que le bear market lui va plutôt bien. Retour sur les nouveautés de la crypto bourse de Singapour qui commence à faire de l’ombre à ses concurrents.
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En début d’année dernière, Bitget a investi près de 30 millions de dollars dans la société BitKeep pour en devenir l’actionnaire principal et ainsi lancer son nouveau portefeuille Web3 : le Bitget Wallet. Quelques mois seulement après son lancement, le succès fut au rendez-vous et près de 12 millions de personnes l’utilisent maintenant régulièrement, ce qui le place au septième rang mondial. Mieux, au quatrième trimestre 2023, ce portefeuille fut le quatrième le plus téléchargé.
Fort de la longue expérience développée par BitKeep et des innovations des équipes de Bitget, le nouveau portefeuille a su plaire aux traders de cryptomonnaie du monde entier grâce à une gamme complète de produits on-chain lié à la DeFi comme un explorateur de Dapps, une marketplace NFT, un portefeuille MPC (norme de sécurité élevée) et un service de swap performant.
Bitget clôture une année 2023 plutôt réussie avec notamment son nouveau portefeuille Web3
Le Bitget Swap prend ainsi en charge près de 30 blockchains publiques et agrège des liquidités provenant de nombreux exchanges décentralisés (DEX) mais propose aussi de multiples ponts inter-chain. La société précise que les objectifs de l’année 2023 en matière de sécurité, de services aux traders et de frais ont été globalement atteint, ce qui explique en partie les bons résultats de l’exchange.
Bitget met en avant les frais de gaz limité des transactions sur Ethereum, mais aussi l’instauration de divers modes de trading comme les ordres Limit ou Futures et insiste sur l’introduction du système GetShield qui a permis de renforcer la sécurité de l’ensemble des transactions effectuées sur la plateforme et des connexions réalisées par le portefeuille.
Enfin, des audits également tournés vers la sécurité menés par des sociétés reconnues comme SlowMist et Certik protègeront à l’avenir les utilisateurs contre diverses attaques potentielles.
L’année 2024 s’annonce charnière pour tout un écosystème qui vient de traverser une période compliquée, qui aura tout de même eu le mérite de faire un grand ménage parmi les acteurs du secteur. Certains ont disparu, d’autres se restructurent et se préparent à une adoption de plus en plus importante des cryptomonnaies par le grand public.
Bitget a choisi de s’orienter sur le trading et cette année 2023 marque probablement le tournant d’une stratégie payante pour l’exchange de Singapour, qui s’impose d’ailleurs comme un hub mondial avant-gardiste pour le Web3 mondial.
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Le prix du Ripple (XRP) est supérieur à 0,57 $ tandis que celui du Cardano (ADA) est à 0,55 $.
Les deux altcoins pourraient viser le niveau de prix de 1 $ en 2024 alors que le marché intensifie ses perspectives haussières.
Meme Moguls est un nouveau projet en cours de prévente, actuellement au prix de 0,0027 $, le montant total levé s’élevant à plus de 1,4 million $.
Cardano (ADA) et XRP (XRP) sont deux des 10 principales pièces par capitalisation boursière qui pourraient voir leur prix augmenter au milieu des attentes actuelles du marché haussier. Le marché des crypto-monnaies apprécie également Meme Moguls (MGLS), un nouveau jeton en prévente qui a attiré plus de 1,4 million $.
Quel est l’altcoin qui atteindra le premier le niveau psychologique de 1 $ – ADA ou XRP ? MGLS pourrait-il surperformer le marché après son lancement ?
Ripple a remporté une victoire majeure contre la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis en 2023 : le jeton XRP n’est pas classé comme un titre. Alors que le prix du XRP a bondi au milieu de l’exubérance qui en a résulté, le rallye s’est estompé juste au-dessus de la barre des 0,94 $ en juillet.
Un autre mouvement haussier lui a permis d’atteindre 0,74 $ en novembre. Le prix du XRP reste cependant bien au-dessus de son plus bas niveau de 0,30 $ atteint en janvier 2023.
Bien que les données de CoinGecko montrent que la valeur de l’altcoin a diminué de 8 % au cours des 30 derniers jours, ses gains au cours de l’année écoulée s’élèvent actuellement à 66 %.
La présence établie de Ripple sur le marché mondial des paiements signifie une traction supplémentaire pour XRP. Il convient également de noter la fin imminente de ses batailles juridiques avec la SEC. La clarté de la réglementation combinée à une confluence de catalyseurs positifs du marché, y compris la dynamique des ETF au comptant, pourrait être importante pour la crypto-monnaie, et pas seulement pour le jeton XRP.
Dans ce cas, une cassure au-dessus de 0,74 $ fait apparaître la barre des 1 $ et pourrait voir le jeton XRP cibler la barre des 1,5 $. Le sommet historique du XRP/USD est de 0,40 $, atteint en 2018.
Le prix du Cardano (ADA) est actuellement supérieur à 0,55 $ alors que les acheteurs cherchent à se remettre de la baisse des prix des crypto-monnaies de cette semaine au milieu de la spéculation au comptant sur les ETF Bitcoin.
Pour les taureaux Cardano, le prix doit rester supérieur à 0,55 $ pour que la hausse se poursuive. Si cela se produit, une cassure à 0,70 $ pourrait mettre en jeu 1 $. Selon l’analyste crypto Captain Faibik, un fanion haussier suggère une hausse potentielle de 30 à 40 % du prix de l’ADA.
$ADA Bullish Pennant formation..!!
Looks Promising for the Another +30-40% Bullish Rally..📈#Crypto #Cardano #ADA pic.twitter.com/53rYFF5Ws9
— Captain Faibik (@CryptoFaibik) January 2, 2024
Mais comme l’altcoin a eu du mal à trouver une dynamique haussière depuis la cassure de 0,70 $ en mai 2022, la probabilité d’une cassure pourrait dépendre davantage de ce sentiment plus large du marché.
Le passage du Bitcoin d’un minimum de 41 450 $ mercredi à plus de 44 000 $ au moment de la rédaction de cet article pourrait aider les altcoins à augmenter.
Meme Moguls est un projet qui cherche à apporter les avantages du « Stake-and-Earn » à l’écosystème des mèmes à croissance rapide.
Avec des jetons numériques inspirés des mèmes tels que Dogecoin, Shiba Inu et Pepe qui ont récemment atteint de nouveaux sommets, le marché peut bénéficier davantage en exploitant ce potentiel via Meme Moguls.
Propulsé par le jeton de gouvernance MGLS, Meme Moguls offre une plate-forme à partir de laquelle les utilisateurs peuvent débloquer des récompenses tout en mettant en valeur leurs prouesses commerciales. Devenir un magnat sur Meme Moguls permettra aux utilisateurs de gagner des jetons MGLS en plus d’autres avantages tels que les NFT.
Alors que XRP et Cardano sont sur le point de franchir la barre psychologique de 1 $, Meme Moguls est un nouveau jeton cryptographique susceptible de surperformer dans les mois à venir.
Actuellement à l’étape 4 de l’ICO, le prix du MGLS est passé de 0,0019 $ à 0,0027 $. Après la prévente, MGLS pourrait voir son prix exploser au second semestre de 2024, en particulier avec le lancement réussi d’un projet au milieu d’une course haussière.
À mesure que le marché des pièces de mème se développe, l’approche innovante de Meme Moguls dans le secteur pourrait voir le projet dominer un marché qui devrait atteindre 6,1 milliards $ d’ici 2025.
L’intérêt pour la prévente de Meme Moguls est élevé, avec plus de 1,4 million $ récoltés quelques semaines après son lancement.
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Trigger Warning : Cet article contient des discussions sur des agressions sexuelles envers des mineurs.
« Alors, tes résolutions pour 2024 ? » demande votre collègue qui va « arrêter le café » pour une semaine. Remplie de foie gras, de buche et de vin, on s’assoit à notre bureau dans l’espoir que le mois le plus « triste » de l’année (véridique) passe vite… Eh bien aujourd’hui c’est vendredi, félicitations, nous arrivons au premier week-end de 2024, bien mérités. Et qui dit vendredi, dit une nouvelle plongée au cœur du Metaverse. Au programme cette semaine, une édition un peu spéciale, où nous parlerons exclusivement de l’histoire de viol dans le Metaverse qui a secoué l’Angleterre, et qui soulève des questions d’éthiques importantes.
L’incident récent dans le Metaverse, où la police britannique a ouvert une enquête sur le viol virtuel d’une jeune fille de moins de 16 ans, marque un tournant significatif dans la façon dont nous percevons et réglementons les interactions dans les mondes virtuels.
Ce cas, qui implique l’avatar d’une adolescente dans un jeu de réalité virtuelle, soulève des questions complexes sur la sécurité, la légalité et la morale dans ces espaces numériques émergents.
La victime, portant un casque de réalité virtuelle, jouait à un jeu immersif lorsque son personnage a été agressé par ceux de plusieurs joueurs masculins. Bien que la jeune fille n’ait subi aucune violence physique, l’impact émotionnel et psychologique de cet acte a été profond, mettant en lumière les répercussions psychologiques potentiellement graves des actions commises dans le Metaverse :
« L’impact émotionnel et psychologique sur la victime est souvent plus durable que les blessures physiques » à déclaré un officier supérieur au Daily Mail.
« La police enquête sur le premier cas de viol collectif virtuel dans le métaverse » : et désormais ses « participants » risquent de véritables peines parce que la victime « a été traumatisée comme dans la vraie vie ».
« En Grande-Bretagne, la police enquête sur une affaire de viol… pic.twitter.com/JzHDWkFNTA
— Péonia (@CalliFanciulla) January 3, 2024
Ce cas soulève une question clé : peut-on considérer un acte commis dans un environnement virtuel comme équivalent à un acte commis dans le monde physique ? Les autorités se trouvent face à un défi juridique majeur, car selon les lois actuelles au Royaume-Uni, une agression sexuelle est définie par un contact physique sans consentement.
Ainsi, même si l’enquête a été prise au sérieux, les chances de poursuites judiciaires réussies semblent faibles, mettant en évidence un fossé entre les lois existantes et les crimes potentiels dans les mondes virtuels.
Selon le « Rape Crisis England & Wales », entre juillet 2022 et juin 2023, 68 109 viols ont été enregistrés par la police et, à la fin de cette période de 12 mois, des poursuites avaient été engagées dans seulement 2,2 % (1 498) des cas.
Cependant, l’implication du ministre de l’intérieur britannique, James Cleverly, à relancer le débat.
L’affaire a tellement fait parler d’elle que le ministre de l’Intérieur s’en est mêlé. En effet la victime de moins de 16 ans (les détails ont été omis pour la protéger) avait déjà été agressée sexuellement par le passé, et une question de sécurité a été soulevée dans les médias : le Metaverse est-il une « passerelle » pour les pédophiles et prédateurs sexuels ?
Pour le ministre, l’histoire est à prendre extrêmement au sérieux :
« Quelqu’un qui est prêt à faire subir à un enfant un tel traumatisme dans un monde numérique peut très bien être quelqu’un qui pourrait ensuite faire des choses terribles dans le monde physique. »
Le ministre craint que les mondes virtuels, dont le public est principalement jeune, ne deviennent un terrain de jeu pour les prédateurs sexuels. Réelle ou non, pour lui, une agression est une agression :
« Je sais qu’il est facile de dire que ce n’est pas réel, mais l’intérêt de ces environnements virtuels est justement qu’ils sont incroyablement immersifs », a déclaré M. Cleverly à la chaîne LBC :
« Cela aura un effet psychologique très important sur les victimes et nous devrions être très, très prudents avant d’en faire abstraction. »
Ian Critchley, responsable de l’enquête sur la protection et les abus de l’enfance au Conseil national des chefs de police, a souligné l’idée que le Metaverse pourrait servir de « terrain propice » pour les prédateurs. Ce constat appelle à une réflexion sur la nécessité de nouvelles lois et réglementations pour protéger les utilisateurs dans ces espaces numériques.
Bien sûr, il n’existe actuellement aucune loi pour agression sexuelle dans un univers numérique. Et le problème ne semble pas être isolé : en 2021 Horizon World (le Metaverse géré par Meta) enregistrait déjà des plaintes pour « agression à caractère sexuel ».
Une utilisatrice révèle sur le groupe Facebook officiel du Metaverse que son personnage a été victime d’une agression sexuelle perpétrée par un autre avatar. Outre cette agression, l’utilisatrice explique « que d’autres personnes soutenaient ce comportement », lui procurant un sentiment d’isolement encore plus grand.
« Le harcèlement sexuel n’est pas une plaisanterie sur l’internet ordinaire, mais le fait d’être en réalité virtuelle ajoute une autre couche qui rend l’événement plus intense » explique-t-elle dans son post.
Une femme a été victime d’un viol collectif virtuel dans le Metaverse de Facebook. Nina Jane Patel explique avoir été agressée par 3 ou 4 avatars masculins aux voix d’hommes, sur la plateforme Horizon Worlds. L’attaque, qui s’est produite en décembre, l’a laissée sous le choc. pic.twitter.com/z2Aq4537uI
— AJ+ français (@ajplusfrancais) February 3, 2022
Un incident que Vivek Sharma, vice-président d’Horizon chez Meta, a qualifié « d’absolument malheureux ». L’entreprise s’est occupée d’examiner l’incident avant d’en conclure que l’utilisatrice aurait dû utiliser les mesures de sécurité proposées par Horizon Worlds ; les mondes privés.
Enfin un point commun avec le monde réel, c’est la faute de la victime ! Non, ce n’est jamais la faute de la victime. Meta avait alors senti la polémique arrivée, et après cette première annonce la porte-parole de Meta avait dû préciser :
« Nous voulons que tout le monde dans Horizon Worlds ait une expérience positive avec des outils de sécurité faciles à trouver — et ce n’est jamais la faute d’un utilisateur s’il n’utilise pas toutes les fonctionnalités que nous offrons. Nous continuerons à améliorer notre interface utilisateur et à mieux comprendre comment les gens utilisent nos outils afin que les utilisateurs soient en mesure de signaler les choses facilement et de manière fiable. Notre objectif est de rendre Horizon Worlds sûr, et nous nous y engageons. »
Cet événement soulève des questions cruciales sur la nature de la réalité, de l’identité et du consentement dans un espace où les frontières entre le virtuel et le réel deviennent de plus en plus floues.
Éthiquement, cet incident nous confronte à la nature de l’expérience dans le Metaverse. Comme l’exprime Sherry Turkle dans « Life on the Screen », le Metaverse n’est pas une évasion de la réalité, mais une extension de notre réalité sociale et personnelle. Lorsqu’une jeune fille subit un traumatisme dans un espace virtuel, cela remet en question la distinction traditionnelle entre « réel » et « virtuel ».
La douleur et le traumatisme ne sont pas moins réels parce qu’ils sont expérimentés dans un espace numérique. Cela nous oblige à considérer le Metaverse non pas comme un simple jeu, mais comme un espace social doté de conséquences réelles.
Les philosophes comme Nick Bostrom ont longtemps questionné la nature de la réalité et notre interaction avec les univers virtuels. Dans le cas du Metaverse, les utilisateurs créent des avatars qui agissent comme leurs extensions numériques. La question de savoir si les actions commises contre ces avatars peuvent être considérées comme équivalentes à des actions dans le monde physique devient pertinente.
Cela renvoie à la théorie de Bostrom sur la simulation, qui suggère que si une réalité est suffisamment convaincante, elle peut être indiscernable de la réalité physique, soulevant ainsi des questions sur la nature de nos expériences et de nos droits dans ces mondes numériques.
Juridiquement, ce cas représente un territoire inexploré. Comme l’a suggéré Lawrence Lessig, professeur de droit à Harvard et auteur de « Code and Other Laws of Cyberspace », le cyberspace demande une réinterprétation des lois traditionnelles.
Dans le contexte du Metaverse, les lois actuelles ne prennent pas en compte la nature immatérielle des interactions virtuelles. Par conséquent, des infractions telles que le « viol virtuel » posent des défis majeurs quant à leur classification et leur poursuite. Cette affaire souligne la nécessité d’un cadre juridique qui puisse s’adapter aux complexités des mondes numériques, où les actions peuvent avoir des répercussions psychologiques et émotionnelles réelles, bien que non physiques.
Dans le Metaverse, où les interactions sont profondément personnelles et immersives, la question de la protection des utilisateurs contre les abus potentiels devient essentielle. Cette enquête est donc un point de départ crucial pour une réflexion plus large sur la manière dont nous définissons, interprétons et réglementons les comportements dans les mondes virtuels.
Voilà, c’est tout pour nous cette semaine. Cette plongée était plus sérieuse que mes colonnes habituelles, mais sujet oblige. Dans un avenir où nos vies peuvent être de plus en plus vécues dans des mondes numériques, comment pouvons-nous garantir que nos valeurs et nos droits soient préservés dans ces nouveaux espaces d’interaction humaine ? Nous faisons fasse a des défis auxquelles nous n’avons jamais été confrontés et avec l’expansion de ces nouvelles technologies, nous ferons fasse a de plus en plus de problèmes inédits.
À la semaine prochaine pour une nouvelle plongée au cœur du Metaverse.
Sources : LBC , Euronews, Hitek, Dailymail, BFMTV
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« Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Courir me parait être une bonne idée. » Comme Godzilla, laissant une empreinte indélébile dans chaque ville qu’il parcourt, Bitcoin redéfinit sans cesse le paysage financier depuis la création de son premier bloc, le « Genesis ».
Cette analogie est au cœur du dernier rapport Messari sur Bitcoin, décrivant le BTC comme une force inarrêtable dans l’économie mondiale. Action !
En ce début d’année 2024, les rapports sur les cryptomonnaies affluent, offrant de nombreuses analyses et autres données. Parmi eux, ceux de Messari, une société d’analyse de données on-chain, se distinguent. Son dernier rapport, « État du Bitcoin Q4 2023 », qui surnomme le BTC « le Godzilla de la finance » fait même couler de l’encre ce matin.
Dans ce dernier, Messari prédit un avenir radieux pour la reine des cryptos. Avec des événements tels que le halving, l’attente de l’approbation des ETF, et le développement de solutions de second niveau (layer 2) comme le Lightning Network, l’année s’annoncerait prometteuse.
En témoigne aussi, malgré un bear market qui a refroidi une bonne partie de l’année 2023, la hausse du Bitcoin de 170% en glissement annuel, se négociant actuellement entre 44 000 et 45 000 dollars. Selon Messari, si le BTC atteignait la parité avec l’or, son prix pourrait même s’envoler jusqu’à 600 000 dollars.
Bitcoin et l’or : le nouveau bras de fer financier
Mais, même pendant le marché baissier, la compétition dans l’univers des cryptomonnaies reste acharnée. Le volume des transactions NFT de Bitcoin a surpassé ceux d’Ethereum et de Solana réunis, établissant de nouveaux records.
Cette performance remarquable souligne la dominance persistante de Bitcoin malgré les fluctuations du marché.
« Avec un volume NFT de 881 millions de dollars en décembre dépassant ceux de l’ETH et du SOL réunis, les inscriptions (principalement les BRC-20) représentaient plus de 40 % du total des transactions au quatrième trimestre.»
Messari – Source : X
Le volume des ventes NFT de Bitcoin dépasse celui d’Ethereum et de Solana
Cependant, malgré ses défis techniques et les fluctuations du marché crypto, Ethereum maintient une dynamique positive. De même, Solana fait preuve d’une performance notable, en grignotant progressivement une part du marché dominé auparavant par Ethereum.
Reine incontestée des cryptomonnaies pour certains, ou encore le « Godzilla de la finance » pour d’autres, Bitcoin a indéniablement secoué le monde financier cette année, et ce, en favorisant le progrès. Alors que le paysage économique mondial change, BTC demeure un actif incontournable, redéfinissant les normes et les attentes. Cet impact est particulièrement visible dans l’enthousiasme croissant pour les ETF Bitcoin au comptant aux États-Unis.
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Scorpion Casino (SCORP) se démarque comme une entreprise unique. Il intègre de manière fluide des expériences de jeu immersives et de casino avec une rentabilité élevée. Tout en franchissant diverses étapes, sa réalisation la plus remarquable est de devenir le leader dans le secteur croissant des casinos crypto.
Les structures de récompenses impressionnantes, telles que le staking quotidien en USDT, mettent en évidence le fort intérêt des investisseurs pour la prévente de SCORP, qui lève rapidement des fonds. Le jeton semble bien positionné pour atteindre son objectif global. Nous vous fournissons des informations détaillées sur tout ce que vous devez savoir.
Scorpion Casino est structuré autour de trois éléments fondamentaux qui définissent son expérience utilisateur globale : la plateforme du Scorpion Casino, le programme d’affiliation, et le jeton SCORP.
Déjà, au cœur de l’expérience se trouve la plateforme du Scorpion Casino, qui est le centre principal de divertissement. Elle offre une gamme diversifiée de jeux conçus pour assurer une expérience de jeu unique. Le casino collabore avec des développeurs de jeux estimés tels qu’Evolution, NetEnt, Play N Go, Novomatic, EGT et AMATIC. Cela lui assure ainsi des jeux, entièrement sous licence, offrant un divertissement de haut niveau.
Le programme d’affiliation opère ensuite comme un système de parrainage lucratif au sein de l’écosystème. Cela représente notamment des incitations substantielles aux membres. En effet, c’est l’une des nombreuses façons de gagner des récompenses. Les utilisateurs peuvent facilement accumuler des récompenses significatives en faisant des recommandations et en s’engageant activement avec la plateforme.
Enfin, le jeton SCORP joue un double rôle. Il fonctionne à la fois comme un jeton de gouvernance et un mécanisme de récompenses. Les utilisateurs peuvent exercer leur droit de vote sur des décisions importantes influençant l’avenir de la plateforme. Ce, tout en étant récompensés avec ces jetons pour leurs contributions et leur participation active.
En novembre, la plateforme a notamment subi une refonte complète. Elle a ainsi introduit 20 nouvelles fonctionnalités, une interface entièrement remaniée et un look rafraîchi. De plus, des partenariats prometteurs à long terme sont prévus. Des mises à jour régulières sont également attendues et l’équipe révélera progressivement plus d’informations dans les semaines à venir.
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La prévente du Scorpion Casino a atteint une étape notable, surpassant 2,6 millions de dollars de ventes. Cette somme devrait continuer à croître prochainement. Actuellement, les jetons SCORP sont disponibles à 0,025 $ pendant la prévente, avec un prix de cotation fixe de 0,05 $. Les investisseurs intéressés peuvent acquérir SCORP en utilisant ETH, USDT ou BNB. L’offre totale de SCORP est limitée à 1 milliard de jetons, avec 280 millions alloués à la prévente. 300 millions seront par ailleurs réservés aux incitations d’affiliation.
La popularité de la prévente peut être attribuée aux récompenses séduisantes offertes aux participants de la prévente et à l’ensemble de la communauté des joueurs. Le généreux bonus de 500 % pour les investisseurs de la prévente a par exemple généré un enthousiasme considérable. De plus, les contributions de 100 000 $ ou plus donnent droit à un impressionnant bonus de crédit de 40 %, offrant des retours potentiels importants.
Une autre caractéristique attrayante est l’exclusif Elite Scorpion Members Club. Il offre notamment des avantages supplémentaires tels que des services VIP, des récompenses de cashback, des récompenses de staking améliorées et une plus grande allocation de SCORP.
Les détenteurs de SCORP bénéficient par ailleurs de divers avantages, y compris des opportunités de revenu passif et des jeux gratuits. A cela s’ajoutent aussi des bonus hebdomadaires et la participation au système d’affiliation de parrainage/récompense.
Il est crucial que le staking permette aux investisseurs de potentiellement gagner jusqu’à 10 000 USDT par jour, les participants à la prévente bénéficiant d’un pool de staking spécifique. Les détenteurs de NFT de niveau Gold profitent de récompenses de staking améliorées en USDT et SCORP. Il est à noter que le casino se distingue en tant que plateforme pionnière offrant des récompenses en USDT.
En outre, la structure de vesting récemment introduite a relancé l’intérêt et les discussions. Le calendrier prévoit la distribution de 10 % de l’offre à chaque étape des 10 phases. Les premiers 10 % seront libérés 24 heures après le lancement. Les portions suivantes seront ensuite débloquées à intervalles de 10 jours.
Pour conclure, l’écosystème du Scorpion Casino offre aux investisseurs plusieurs moyens de réaliser des bénéfices. Ce, notamment par des récompenses quotidiennes en USDT et le staking de jetons SCORP. Nous recommandons fortement de participer rapidement à la prévente de SCORP et de rester informé via leurs canaux de médias sociaux. En somme, c’est indéniablement le bon moment pour s’impliquer dans ce casino crypto innovant.
Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.
Source : Scorpion Casino
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Afin d’aider les marques à proposer des programmes de fidélité version Web3, Visa a dévoilé une toute nouvelle solution. En quoi consiste-t-elle ?
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Toujours plus loin dans la crypto. Cela fait désormais plusieurs années que le géant des cartes bancaires Visa s’est plongé dans le secteur de Bitcoin (BTC) et des cryptomonnaies. Cette fois, la multinationale annonce le lancement d’une plateforme Web3 dédiée à la fidélisation des clients.
Le spécialiste mondial des paiements par carte bancaire, Visa, poursuit son exploitation des innovations liées à l’univers des cryptomonnaies. Ainsi, ce 4 janvier 2024, le groupe annonce le lancement prochain de « Visa Web3 Loyalty Engagement Solution » : une plateforme basée sur les technologies Web3 visant à stimuler la fidélisation des clients auprès des marques.
Visa compte plus précisément utiliser la plateforme SmartMedia Technologies pour favoriser l’engagement des consommateurs envers les entreprises faisant appel à cette solution.
« Grâce à des objets de collection numériques personnalisables, vos clients bénéficient d’un nouveau niveau de propriété et d’utilité que l’on ne retrouve pas dans les programmes de fidélisation traditionnels actuels. Les objets de collection numériques peuvent être gagnés, échangés, collectionnés, chéris, visualisés en réalité augmentée (AR), ramassés sur une carte, et bien plus encore (…). »
Extrait de l’annonce de Visa pour sa « Web3 Loyalty Engagement Solution »
Visa lance une plateforme de fidélisation basée sur les innovations du Web3
Plus qu’un simple programme de fidélisation à l’ancienne, cette nouvelle solution de Visa exploitant les capacités innovantes du Web3 compte apporter une véritable expérience ludique – une gamification – aux consommateurs pour leur engagement auprès de leurs marques favorites.
Et quand on parle « d’objets de collection numériques uniques », on parle bien sûr là de tokens non fongibles, ou NFT. C’est la technologie fournie par SmartMedia qui apportera un wallet Web3 facile d’utilisation, via une application sur smartphone.
« Les consommateurs cherchent à s’engager avec les marques de nouvelles façons, et les programmes de fidélité traditionnels n’ont pas évolué au cours de la dernière décennie. Imaginez que vous gagniez un objet de collection numérique unique, que ce soit en achetant des billets pour un événement sportif ou en participant à une chasse au trésor en réalité augmentée. (…) Notre nouvelle solution innovante de fidélité numérique permet aux marques de récompenser les clients non seulement pour leurs transactions, mais aussi pour leur engagement actif (…). »
Kathleen Pierce-Gilmore, vice-présidente principale de Visa
En plus de la présente plateforme Web3 de fidélisation, Visa a également récemment révélé participer à des essais de tokenisation d’actifs à Hong Kong. Le géant des cartes bancaires a, en effet, été associé au programme pilote de la monnaie numérique de banque centrales (MNBC) locale, appelée Digital Hong Kong Dollar, ou e-HKD.
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Avec la saison des airdrops et les volumes de transactions de retour sur Solana, les cas de wallets siphonnés après avoir interagi avec un mauvais smart contract se répètent. Il est pourtant possible de révoquer un token ou un NFT suspect tout en gagnant des SOL, grâce à l’outil Sol Incinerator.
Vous avez peut-être déjà remarqué dans votre wallet l’apparition d’un NFT obscur dont vous n’avez jamais demandé ni autorisé l’acquisition ? Ou vous êtes aperçu de la présence d’un mystérieux token avec un nom inconnu dans votre portefeuille.
Créé par l’équipe de SolSlugs, une collection de jetons non-fongibles mintée en août 2021 à 10 000 exemplaires sur Solana, l’outil SOL Incinerator permet de brûler (burn) des tokens et des NFT qui vous apparaissent comme dangereux ou malicieux.
La plateforme propose de connecter le wallet (Phantom et Metamask) sur lequel se trouvent les tokens, pour pouvoir les supprimer. En échange vous obtenez quelques poussières de SOL, entre 0,001 et 0,004 SOL en fonction du type de jeton, pour chaque action de “burn” réalisée. Comment est-ce possible ? “Tous les comptes sur Solana nécessitent le paiement d’une petite taxe de stockage pour les ouvrir. En brûlant un jeton, nous pouvons fermer ce compte et récupérer la taxe de stockage”, peut-on lire sur la plateforme. A noter que les cNFT, ces NFT compressés moins chers à minter, ne sont pas pris en compte et ne donnent pas lieu à des SOL à réclamer.
Avec la croissance exponentielle des memecoins comme BONK sur Solana, les tokens basés uniquement sur la hype fleurissent sur la blockchain, atteignant près de 8 000 nouveaux tokens SPL créés chaque jour, selon le site Solscan cité par Slorg, le créateur du programme SOL Incinerator.
L’outil se classe d’aillleurs déjà parmi les dix applications les plus utilisées sur Solana, confirmant qu’il y avait une réelle demande pour ce genre d’outils déjà existants sur Ethereum, tels que Revoke ou Debank.
The number of daily tokens created has started to fall, after hitting a high of almost 8,000.
What might have caused this sharp drop? pic.twitter.com/9PSX3HUj0T
— Slorg (@SlorgoftheSlugs) January 1, 2024
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Le marché de l’art digital pourrait exploser en 2024 et 2025, selon le cabinet Grail Capital, qui s’attend à un retour du “bull market de l’art NFT” sur la blockchain Ethereum. Un rebond de 65% depuis le plus bas Alors que les signes d’un retour du marché haussier se font de plus en plus nombreux,…
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