Mary, la mise à jour de Cardano (ADA), arrive

Le fondateur de Cardano Charles Hoskinson. Mary, la mise à jour de Cardano (ADA) arrive, apportant au réseau des jetons natifs, de type finance décentralisée (DeFi) ainsi que des jetons non fongibles (NFT). Nous vous avons récemment présenté ce projet ici.
« Mary » est presque arrivée, tout comme les actifs natifs selon le tweet du 1er mars de la

Visual Atelier 8 retweeted: Sold my second #NFT to @__DeFi__ this morning for 3.3 ETH! I am still in shock that us NFT artists are able to make a living off of creating art that WE want to make. Can’t wait to keep expanding my universe, the ideas are flowing! 💞 @SuperRare superrare.co/artwork-v2/dre…

Visual Atelier 8 retweeted:

Sold my second #NFT to @__DeFi__ this morning for 3.3 ETH! I am still in shock that us NFT artists are able to make a living off of creating art that WE want to make. Can’t wait to keep expanding my universe, the ideas are flowing! 💞

@SuperRare

superrare.co/artwork-v2/dre…

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Blockchain : les folles promesses de la numérisation d’actifs

Parfois, le destin ne tient pas à grand-chose : une rencontre, un événement imprévu, une idée… Pour Xavier Latil, ce fut une idée. En 2018, l’entrepreneur parisien a décidé de repositionner sa société de communication, alors en difficulté, sur le créneau de la blockchain, cette technologie rendue célèbre par le bitcoin. En quelques semaines, sa société cotée à la Bourse de Paris a tout changé, du sol au plafond : nouvelles équipes, nouveaux produits et, bien sûr, nouveau nom. Exit, donc, LeadMedia Group et bienvenue à The Blockchain Group (TBG) ! 

Trois ans plus tard, l’entreprise n’a pas percé dans le bitcoin, qui vole depuis quelques mois de record en record, mais, forte de ses 200 salariés dont 50 ingénieurs, elle a fait son nid sur un autre segment particulièrement porteur de la blockchain, celui de la « tokenisation ». Derrière ce mot un brin barbare, on retrouve exactement la même logique que celle des cryptomonnaies et du bitcoin : un système de jetons (tokens) numériques émis et échangeables sur un réseau informatique – en l’occurrence une blockchain. Mais leur usage, lui, est différent. 

Des nouveaux marchés

Si, comme leur nom l’indique, les cryptomonnaies touchent à la « monnaie », les tokens, eux, concernent potentiellement tous les autres domaines. Avec ces jetons d’un genre nouveau, on peut numériser absolument n’importe quoi sur une blockchain : une action en Bourse, une voiture et même une maison – enfin, leur titre de propriété. « La tokenisation permet d’exploiter un peu plus les potentialités de l’économie numérique », insiste Xavier Latil, qui aide justement les entreprises à numériser leurs actifs. 

L'Express Abo

Certains s’interrogent toutefois sur l’intérêt d’un tel système. « On peut déjà faire beaucoup de choses sans la tokenisation », tacle un banquier. Difficile de lui donner tort. Mais beaucoup de choses restent toujours compliquées à réaliser. Voire impossible. Les marchés sont fragmentés ; un Français ne peut pas, par exemple, acheter n’importe quelle action sur la planète… 

LIRE AUSSI >> Tesla et Elon Musk font le pari du bitcoin

La blockchain, en faisant sauter les barrières géographiques et en supprimant des intermédiaires, facilite pas mal les choses. Au lieu de passer par la Bourse, une entreprise peut ainsi numériser une partie de son capital et lever directement des fonds, via une blockchain, auprès d’investisseurs aux quatre coins de la planète, et le tout sans avoir à s’acquitter d’une quelconque dîme. « C’est un aspect fondamental de la technologie, souligne un financier. On peut toucher plus de monde et cela coûte moins cher. » Du moins sur le papier. 

Conscientes de l’enjeu stratégique, plusieurs banques ont déjà mis un pied dans le grand bain de la blockchain. C’est notamment le cas de Société générale, qui, avec sa filiale dédiée, Forge, a aidé plusieurs de ses clients à tokeniser des dettes. TBG, lui, a davantage creusé le filon de l’immobilier et de la culture. « On reçoit beaucoup de demandes d’entreprises sur ce créneau », souligne Xavier Latil. Fin 2020, la société, qui est repassée cette année-là dans le vert et dont le cours a été multiplié par 10 (+900%) en moins de trois ans, a ainsi tokenisé des parts d’un fonds d’investissement dans le cinéma. Baptisé 21 Content Ventures et réservé aux financiers professionnels, il doit permettre de financer des productions audiovisuelles.  

« Les possibilités de la tokenisation sont infinies »

TBG a également signé un partenariat avec One Experience, pour tokeniser des appartements à la montagne. D’autres entreprises proposent de mettre sur la blockchain des oeuvres d’art ou des bouteilles de vin. Les investisseurs peuvent ainsi acquérir 2%, 5%, 10% d’un tableau ou d’un grand cru. « Les possibilités sont infinies », souligne un acteur qui gravite dans l’écosystème de ConsenSys, l’un des leaders mondiaux de la tokenisation.  

D’autres encore se sont lancés dans le secteur du sport. C’est le cas du français Sorare, lancé en 2019, qui a créé des cartes de footballeurs (comme les cartes Panini) à collectionner sur la blockchain. Celles-ci sont uniques et permettent de jouer au jeu de foot développé par la start-up. Certaines cartes, très recherchées par les collectionneurs, s’arrachent déjà pour des dizaines de milliers d’euros. « Grâce à la blockchain, on a réussi à créer de la rareté dans l’univers numérique qui est, par essence, celui de la copie », souligne Nicolas Julia, cofondateur et patron de Sorare. Sur le premier mois de l’année, la société, qui vient de lever 40 millions d’euros notamment auprès du champion du monde français Antoine Griezmann, a dégagé plus de 4 millions d’euros de chiffre d’affaires. « Et les chiffres ne font que progresser », se félicite le PDG. 

Des défis encore nombreux

Si le secteur fait saliver les entreprises, les défis restent immenses. Car la tokenisation ne pourra vraiment avoir d’effets qu’à plusieurs conditions. D’abord, qu’il y ait un volume suffisant, le système n’ayant de sens que si les investisseurs sont nombreux. Les acheteurs veulent avoir du choix et savoir qu’ils pourront facilement revendre leurs jetons à d’autres… « Et pour ça, il faut qu’il y ait beaucoup d’actifs tokenisés », souligne Alexandre Stachtchenko, cofondateur de Blockchain Partner, un cabinet spécialisé dans le conseil aux entreprises pour le développement et l’intégration de projets. 

LIRE AUSSI >> VIDEO. Le bitcoin, comment ça marche ?

Le secteur va aussi devoir gérer les problèmes de coûts et de réglementation. A l’heure actuelle, une émission de tokens n’est pas neutre financièrement. « Ça peut coûter cher », explique un connaisseur. Justement parce que les volumes ne sont pas assez conséquents… « On en est encore au stade de l’écran plat dans les années 2000 », compare un investisseur.  

Il y a, enfin, les questions plus techniques, mais tout aussi essentielles : bon nombre de tokens sont émis sur des blockchains privées, c’est-à-dire fermées. Les jetons ne sont pas disponibles pour tous. Un peu comme si une entreprise lançait un site Internet marchand sans que tout le monde puisse y accéder pour acheter les produits. « Ça n’a pas beaucoup de sens », complète Alexandre Stachtchenko. Pour être intéressants, les tokens ont besoin d’être disponibles sur des blockchains publiques, comprendre « ouvertes à tous ». Cela a d’ailleurs été une des clefs du succès fulgurant du bitcoin. Les entreprises savent ce qui leur reste à faire. 

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Non Fungible Tokens (NFT) : déductibilité des pertes latentes

Non fungible tokens

Démocratisé avec l’engouement des « CryptoKitties » (des cartes de jeux représentant des chats virtuels), les « non fungible token » ou NFT sont des crypto-actifs qui possèdent des caractéristiques techniques intrinsèques qui les rendent uniques et leurs confèrent leurs valeurs fondamentales.

A lire : « Les Non fungible tokens : panorama des problématiques comptables »

En cas de perte latente à la clôture de l’exercice comptable, la déductibilité de la provision comptable n’est pas acquise à 100%.

En effet, au-delà de la problématique de détermination de la plus ou moins-value latente il existe à ce jour plusieurs façons d’aborder le sujet par les praticiens.

Important

Dans tous les cas, nous recommandons de sécuriser la position fiscale de la société par le recours à une demande de rescrit auprès de l’Administration fiscale afin d’éviter d’éventuels écueils en cas d’un futur contrôle fiscal.

Axe d’analyse 1 : l’analogie avec le traitement fiscal des écarts de conversion actifs/passifs sur les devises

La proposition de comptabilisation en perte latente par le plan comptable générale laisse penser que l’entreprise devrait suivre les règles fiscales relatives aux provisions pour perte de change :

« Dans ces conditions, les provisions qui seraient constituées sur le plan comptable en vue de couvrir des pertes éventuelles de change ne peuvent être admises en déduction pour la détermination du résultat fiscal. En revanche, il est admis que les entreprises puissent constituer, sous certaines conditions, des provisions pour créances ou avoirs en devises bloquées à l’étranger en raison du caractère douteux de leur recouvrement (BOI-BIC-PROV-40-20 au II-D-1 § 260) ».

Les NFT, et plus généralement les crypto-actifs ne répondent pas à la définition de devises. Ainsi, à notre avis, il serait imprudent de les considérer déductibles fiscalement lors de la détermination du résultat fiscal de l’entreprise à la clôture des comptes.

La comptabilisation de la provision ne fait pas débat. Mais l’interprétation fiscale si, et elle mérite un point de discussion lors de l’établissement des comptes annuels.

Comme indiqué plus loin, il convient d’être vigilant et de sécuriser la position fiscale de l’entreprise si le montant de la provision est significatif.

Axe d’analyse 2 : l’analogie avec le traitement des opérations relatifs aux instruments financiers à terme et aux opérations de couverture

Par principe, sans mention explicite d’un texte dans le Code Général des Impôts, tout élément comptable est retenu au plan fiscal sans distorsion. Ainsi, les écarts de valorisations sur les jetons ne sont pas déductibles ou imposables du fait de leur méthode de comptabilisation.

Pour mémoire, le règlement ANC n° 2015-05 du 2 juillet 2015 définit une opération de couverture comme la mise en relation « [d’]un élément couvert et un instrument de couverture avec pour objectif de réduire le risque d’impact défavorable de l’exposition couverte sur le résultat, les flux ou les capitaux propres de l’entreprise. Les expositions qui peuvent être couvertes concernent les risques de marché (taux, change, matières premières). »

Force est de constater que les opérations de couverture liées à l’acquisition de jetons sont rares. En effet, la couverture de jeton se limite à quelques jetons et notamment sur le bitcoin. A notre connaissance, il n’existe pas d’instruments de couverture spécifiques pour des NFT.

Ainsi, l’ANC rappelle que « le traitement comptable est identique pour tous les dérivés non qualifiés de couverture, et dans le cadre de l’application du principe de prudence : une comptabilisation au bilan de la juste valeur des dérivés afin d’afficher la position de l’entreprise, la constitution d’une provision en couverture des dérivés en moins-values latentes affectant le compte de résultat ».

En l’absence des textes fiscaux, la déductibilité d’une provision pour perte latente sur des dérivés non qualifiés de couverture ouvrirait un droit à déductibilité de la provision.

Similitudes entre les deux analyses

Les conditions de forme doivent être respectées pour déduire fiscalement la provision, à savoir notamment l’inscription de la provision sur un tableau ad hoc.

La compensation des plus/moins-value entre des jetons différents pour le calcul des provisions demeure sujet à débat parmi les professionnels. En effet, l’argument de compensation des plus ou moins-values peut raisonner sur l’homogénéité de l’ensemble des jetons détenus ou bien sur un ensemble d’opérations traduisant une stratégie globale quel que soit les tokens.

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What is an NFT from an artist’s perspective?

I’ve been a professional (but unconventional) artist for over 20 years, dabbling in every kind of art I’ve ever been interested in, including freelance illustration, animation, art direction, film design, apparel design, toy design, fine art, and now, as of a few months ago, Crypto Art and NFTs.

There’s been a lot of excitement (rightfully so) and chatter recently about NFTs for a number of reasons, the main one being “Wait, someone SOLD a jpg for $300,000? How is that possible? Is it a scam? I’m so confused!”

I have alway been attracted to new media and have always tried to embrace new outlets for my art whenever I come across them if they excite me. NFTs and Crypto art are still VERY new, but realistically they have been around for a few years. Well over a year ago, my friend and digital mentor FRANKY NINES, who I had developed a few art-based mobile apps with, bugged me to get into the NFT space, but for months it went right over my head. Until it didn’t. There was a moment where I had to tell myself to be OK with not understanding it, as I sat on the sidelines and watched all of these cool creators like BEEPLE , JOHN ORION YOUNG and JAMES WHITE explore this new world of “digital collectibles” and “crypto-art”, I finally got enough inspiration to say “To hell with it, I’m diving in”.

Since then, I have had SOME experience with creating, selling, and trading NFTs (as well as some small success!) and because of my close network of friends, artists, brands and creators all around my same age/generation (I’m 45), I have had A LOT of zoom meetings and group chats over the last couple of weeks as more attention is being given to the world of NFTs. So I wanted to share my LIMITED and CURRENT knowledge of what this new digital realm is, and how it can be utilized for YOU, as either an artist or a collector, using (hopefully) a little more digestible language than reading an article filled with insane phrases like “Etherium nodes” and “digital token mining”. So, here is a little information from MY perspective, and I will try to update this with more information as I continue to research and learn, and please feel free to let me know if any of this information is inaccurate or could be misinterpreted and I will correct it. Thank you!

What does NFT stand for?
It stands for “Non Fungible Token” but seriously don’t worry about that for now. Move on to the next question.

Ok, but what IS an NFT?
An NFT is a type of “digital asset” that is created on the Blockchain.

You already lost me, what’s a digital asset?
A “digital asset” is something you buy that you can’t physically hold. It’s invisible. But I can almost guarantee you have ALREADY bought something similar. Have you ever bought an in-app purchase on your phone, or on your Playstation? Some extra candy in Candy Crush, or some guns in Call of Duty? Those are examples of digital assets. If you are more curious as to the TECHINICAL side of what an NFT is, CRYPTO CASEY has a great video on it HERE (which you should watch after this), but trust me, you don’t HAVE to know the technical side of it, you just have to be open to accepting the idea that NFTs exist on the blockchain. Types of NFTs can be artwork, animations, photos, movies, poetry, music, 3-D Files, etc.

Ok then what’s the BLOCKCHAIN?
Once again, if you WANT to know the technical aspects of the Blockchain, there are a ton of crazy overwhelming videos and articles about it, but in my opinion, it’s just something that you have to accept exists so that you can move forward with more understanding of the benefits of it. For example, I had a friend who worked in fiber-optics and phone lines. He once tried to explain to me how a phone call worked and I almost threw up. Instead, I just accepted that it DOES exist, and I was then able to move past it and use the phone to endlessly make prank phone calls.

Ok, I’m accepting it, I think. Now what’s the difference between extra candy in Candy Crush and an NFT?
The main difference between those digital assets and an NFT is that once you buy an NFT, you OWN that actual digital asset, complete with a digital certificate of authenticity.

OK I’m lost again, why would I care about OWNING a digital asset?
That depends on what side of the business you are on, whether it’s collecting NFTs, or creating NFTs, and it also depends on the unknown FUTURE of this new technology so I will go into more detail of that below on why you may like it, or hate it.

Can you maybe go back a minute, and explain again what an NFT is in terms of ARTWORK?
Sure, in my opinion, and NFT is another word for “stock”, except a stock is just a set of numbers/code, whereas an NFT is a “stock” with numbers and code but ALSO has a visual (or audio) component attached to it.

So it’s a stock with an avatar?
In a way, yes. So, for the first time ever, an artist (or animator, musician, etc) has the ability to create a unique “STOCK” with a certificate of authenticity and sell or trade that stock on their OWN. On the consumer side, the consumer has the ability to buy / invest in that “Stock”, investing in either the artist, or the art piece, or both. So, if you were to buy an NFT from me, in a sense, you are buying STOCK in me because you believe that I (or my art piece) will continue to create more work and add more “value” to that stock over time. Because it’s so new, there’s little information at this time about what would make an NFT go up or down in value, so THIS IS NOT ADVICE THAT YOU SHOULD BUY NFTs RIGHT NOW! I am just creating this FAQ based on my personal interest in the space and because a lot of friends and clients have reached out asking for a little help from an (older) artist’s viewpoint.

It doesn’t seem to make sense, especially since I can already download your art to my phone and share it a million times. What makes this different?
You are correct, but what you’re getting hung up on is the VISUAL AVATAR component, not the “Stock” part of it. The digital “certificate of authenticity” is what you are investing in or buying, the VISUAL part is the bonus so that you can (if you want) look at it and be like “This is cool.”

Let’s take a MEME for example. This is the NYAN Cat.

This image/gif has been shared a million times for over a decade. Now, imagine if that meme had been certified as an NFT and you bought it years ago, you could now and forever PROVE that you are the ONE SOLE OWNER of the ACTUAL NYAN CAT gif. That may not mean shit to you, but to SOMEONE, SOMEWHERE in the world, that “OWNERSHIP” is worth hundreds, if not thousands of dollars. In fact, NYAN CAT just sold for $300,000. For reals.

I’m 40 years old, this all sounds stupid.
Once again, yes, it does sound absurd to some people, and it’s definitely not MADE FOR everyone, and maybe it won’t EVER interest you, which is totally OK, but to a lot of people, me included, it is VERY exciting, because it’s simply a new way of collecting digital art in a world that is becoming more digital every day, whether you like it or hate it. I’m over 40, also, and this is a lot to process, and even at points FRUSTRATING, especially considering that I have had ENTIRE art shows where I have put 5 months of work into those shows and made less than $1000 in profit, only to see that an NFT of a rotating cube can sell for $50,000. But all I can say is that I have accepted that this new space is here and this new way of collecting is here, and that has helped me see the value and creative opportunity that is available in the NFT space.

Ok, I’ll move on. I’m an ARTIST, and I want to sell an NFT. Does that mean that when I sell it, I no longer have RIGHTS to it? Can whoever buys it just go make t-shirts, or sell the IP?
Great question, and the short answer is NO. The CREATOR keeps all creative rights to the original piece. The OWNER / INVESTOR only gets the rights to SELL OR TRADE OWNERSHIP of it via the Certificate Of Authenticity. The NFT space (in reference to artwork) is VERY similar to how ART GALLERIES work. When you go to an art gallery, and you buy an actual big painting, you OWN that painting that has the artist’s signature on it. Because you bought it, you can sell it again, or trade it, or auction it. But if you tried to go make prints of it, or make a movie based on the cool cat painting you bought, you run the risk of getting sued. Same thing here (in theory). The digital certificate of authenticity is recorded at the time that the NFT is created, so in the future, if there are court cases, they will be able to see who created the rights to the image, NOT who currently “owns” the asset.

So, as an artist, let’s say I sold an NFT for $100 and then they go on to sell it for $5000. Do I get any cut of that?
So, here’s the BIG hook for why creating NFTs is a huge breakthrough for creators. In short, it IS POSSIBLE (and common practice) for the creator of the NFT to get a small royalty EVERY TIME the NFT is sold no matter how many times it’s sold, forever. So, in the case you asked about, you sold the NFT for $100, and then after it was sold for $5K, you could get another $500 or so, and if it sells AGAIN, you could get another $500, and so forth. That is currently NOT something that exists in the real physical art world because it SIMPLY CANNOT BE TRACKED. But when an NFT is created on the blockchain, every owner and every purchaser is logged, so royalties can be given. The potential for this is huge because (from my understanding) this embeds rights into creations, so a musician can create a song as an NFT and then keep their own publishing rights, or a writer can publish a script as an NFT, etc. This, however, is a very new idea, and I don’t have PERSONAL experience yet with how this works. But what you should know about as a creator, when creating an NFT is to find out how to implement what is called a “Smart Contract” as that binds the royalties to the NFT. Most marketplaces that sell NFTs (to my knowledge) implement the option to have Smart Contracts attached.

Ok, I think I’m starting to get it. Now, from a COLLECTOR standpoint, what’s cool about it?
Well, aside from the “stock” investment aspect and the ability to trade and sell NFTs all around the world via different marketplaces, I think the cool factor depends on the future of how people will collect things. Although I don’t know if this is how I will personally evolve, I do believe that a LOT of people from generations younger than me will collect things solely digitally, especially when the world is covered in screens like in Ready Player One. Imagine going into a hotel room that has a bunch of empty wall frames with screens in them, and being able to just connect your NFTs to the hotel room walls, now you have a whole art gallery in a hotel room. I don’t know, that’s just one aspect of it. The other aspect is the EXCITEMENT of collecting things. When I was younger, I really wanted a KEN GRIFFEY Jr. Upper Deck baseball card. When I FINALLY got one after buying like 90 packs of cards, I wanted all of my friends to see it. I had 4 friends. They all thought it was cool. I felt cool. With NFTs, you can buy something rare, or cool, and not only will your 4 friends see it, but ANYONE in the world has the ability to see that YOU are the owner of that NFT and maybe they will think you are cool, maybe they will hate you, who knows!

Ok, another ARTIST-related question: Creating NFTs is already giving me some ideas. I have this whole collection of HIPPOS WEARING ANIMAL COSTUMES drawings that I have done over the years but I have never figured out a way to monetize or share them. Could I create like digital CARD PACKS, or BLIND BOXES of NFTs so that some people could get RARE CAT drawings, like packs of baseball cards?
ABSOLUTELY! At the moment, many creators have already done that, the most popular being CRYPTO-KITTIES. Also, large Sportscard companies are doing that also, and a whole new generation of collectors is taking part. While currently I personally don’t know how to do that (working on the tech side of the blockchain, once again, is crazy) as the current marketplaces for creating NFTs (also known as “minting” or “tokenizing”) each have different limitations, as this world of NFTs gets bigger, I imagine that the space will be easier to navigate and more options for building entire new worlds of collectibles will be open to more creators. This is very inspiring to me, as I am already in the works of bringing BUNNYWITH to the NFT world alongside some of my other favorite IP’s of mine.

You mentioned marketplaces. This is where you sell your NFTS? What marketplaces are there?
Not only are marketplaces where creators can SELL NFTs, but these are also where you can BUY and COLLECT NFTs. Each marketplace is unique and has their own styles, collections, and limitations, and each one has great and friendly communities (usually through discord) that are really helpful. I have personally had a gallery on MAKERSPLACE for a few months now, who have been amazing, and I just got set up with a brand new gallery on SUPERRARE as well, where I will be doing some unique NFT art there too! Other popular spaces are Nifty Gateway, Known Origin, OpenSea, Rarible, and tons of others, with even more to come soon I imagine. Just a note to artists, a lot of the marketplaces are CURATED and require an application process to become a seller. Marketplaces that are more open to anyone joining to get started, are Rarible and OpenSea (to my current knowledge).

So, while I was reading all of that, I just got informed that NFTs use a lot of energy to create and may be bad for the environment.
This is something that I, too, just found out about, and I am currently doing more research on the subject, but yes, that is correct. Because of the technical aspects of creating NFTs on the blockchain, a lot of energy is being used. After finding out about this, I reached out to many of the marketplace communities to ask more questions and, although it is still being addressed, awareness of this issues are increasing and there are some very positive solutions being talked about. Currently, many of the sites (if they aren’t already) are in the midst of converting to renewable energy. In the meantime, some sites are working on adding the ability for creators to split royalties with some renewable energy charities, and the option is always open for creators on their own to donate to charities of their choice as well. Like I said, please do your OWN research regarding these issues as I will continue to do mine as well.

So, what about the future of NFTs?
I honestly don’t know, but what I do know, as an independent artist for more than 20 years, I have explored every single aspect of being able to simultaneously share my art with the world while doing the best to monetize it so that I can continue investing in myself to create more art to share, and any time a new space opens, or new technology is built, or a new type of media is introduced, I look at that as an opportunity to utilize that to share my art with an entire new set of impressionable and passionate people that I may not have reached without embracing a new, exciting, and sometimes even uncomfortable world in hopes that it will inspire me to personally keep evolving. Good luck, my fellow Lawnmower Men and Women! And check out my brand new NFT that I just released on MAKERSPLACE up for auction HERE NOW!

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Why an Animated Flying Cat With a Pop-Tart Body Sold for Almost $600,000 – Slashdot

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In the 10 years since Chris Torres created Nyan Cat, an animated flying cat with a Pop-Tart body leaving a rainbow trail, the meme has been viewed and shared across the web hundreds of millions of times. On Thursday, he put a one-of-a-kind version of it up for sale on Foundation, a website for buying and selling digital goods. In the final hour of the auction, there was a bidding war. Nyan Cat was sold to a user identified only by a cryptocurrency wallet number. The price? Roughly $580,000. From a report: Mr. Torres was left breathless. « I feel like I’ve opened the floodgates, » he said in an interview on Friday. The sale was a new high point in a fast-growing market for ownership rights to digital art, ephemera and media called NFTs, or « nonfungible tokens. » The buyers are usually not acquiring copyrights, trademarks or even the sole ownership of whatever it is they purchase. They’re buying bragging rights and the knowledge that their copy is the « authentic » one. Other digital tokens recently sold include a clip of LeBron James blocking a shot in a Lakers basketball game that went for $100,000 in January and a Twitter post by Mark Cuban, the investor and Dallas Mavericks owner, that went for $952. This month, the actress Lindsay Lohan sold an image of her face for over $17,000 and, in a nod to cryptocurrencies like Bitcoin, declared, « I believe in a world which is financially decentralized. » It was quickly resold for $57,000. People have long attached emotional and aesthetic value to physical goods, like fine art or baseball cards, and have been willing to pay a lot of money for them. But digital media has not had the same value because it can be easily copied, shared and stolen.

Blockchain technology, which is most often associated with Bitcoin, is changing that. NFTs rely on the technology to designate an official copy of a piece of digital media, allowing artists, musicians, influencers and sports franchises to make money selling digital goods that would otherwise be cheap or free. In an NFT sale, all the computers hooked into a cryptocurrency network record the transaction on a shared ledger, a blockchain, making it part of a permanent public record and serving as a sort of certification of authenticity that cannot be altered or erased. The nascent market for these items reflects a notable, technologically savvy move by creators of digital content to connect financially with their audience and eliminate middlemen. Some NFT buyers are collectors and fans who show off what they have bought on social media or screens around their homes. Others are trying to make a quick buck as cryptocurrency prices surge. Many see it as a form of entertainment that mixes gambling, sports card collecting, investing and day trading. Eye-popping NFT sale prices have attracted some of the same confusion and derision that have long haunted the cryptocurrency world, which has struggled to find a good use for its technology beyond currency trading.

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CyberVein’s CROSS Decentralized NFT Issuance Platform Goes Live

 
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Les objets numériques, nouvel eldorado des collectionneurs

Par SudOuest.fr avec AFP
Publié le 27/02/2021 à 9h45
Mis à jour à 9h45

Bientôt le même système en France ?

Ils sont des dizaines de milliers à se ruer sur la plateforme Top Shot, pour acheter en ligne des séquences vidéo de matches de basket, symbole du succès fulgurant des objets virtuels « NFT » auprès des collectionneurs, des fans de sport aux amateurs d’art. Pour le commun des mortels, c’est un clip d’une dizaine de secondes, qui montre une action spectaculaire de LeBron James, star de la ligue nord-américaine de basket NBA. Mais sur Top Shot, c’est un objet de collection, vendu lundi 208 000 dollars.

Cette séquence vidéo est un « NFT », un « non-fungible token », ou jeton non fongible : un objet virtuel à l’identité, l’authenticité et la traçabilité en théorie incontestables et inviolables, grâce à la technologie dite de la « blockchain », utilisée pour les cryptomonnaies telles le bitcoin, en plein essor. Lancée début octobre par la société Dapper Labs, en partenariat avec la NBA, Top Shot permet d’acheter et de vendre ces extraits vidéos, appelés « moments », à des prix variables selon leur rareté.

Dapper Labs conçoit puis vend ces clips, dans des quantités variables allant d’un seul exemplaire à des centaines de « moments » identiques. Une fois sur la plateforme, ils peuvent changer de main, d’un collectionneur à l’autre, à l’infini.

Paradoxe, la plupart de ces extraits vidéo sont visibles gratuitement ailleurs sur internet, principalement sur YouTube.

Après des débuts en douceur, Top Shot a explosé depuis janvier, au point de générer plus de 200 millions de dollars de transactions depuis début 2021, a indiqué une porte-parole de Dapper Labs. Top Shot se rapprochait mercredi de la barre des 100 000 acheteurs, a-t-elle précisé. Le site de valorisation Momentranks estime le marché actuel à 1,8 milliard de dollars. Paradoxe, la plupart de ces extraits vidéo sont visibles gratuitement ailleurs sur internet, principalement sur YouTube.

« Je comprends tout à fait la réaction initiale, qui est de dire « Je ne saisis pas » ou « Ça a l’air débile »», a écrit Jonathan Bales, qui a dépensé 35 000 dollars pour un « moment » et écrit une tribune de référence sur son blog Lucky Maverick. « Mais il y a toute une génération de gens jeunes et intelligents qui ont grandi d’une façon totalement différente de vous et moi », ajoute-t-il. « Donc que nous comprenions ou non l’avenir est sans conséquence sur ce qu’il sera. » « J’ai ouvert un compte, et d’un seul coup, j’ai eu un déclic », se souvient Steve Poland, créateur du site Mighty Minted. « C’est ça, l’avenir. Ça va être ça, les objets de collection du futur. »

Les amateurs voient dans les « NFT » une alternative à un marché de collection souvent non régulé et opaque, qu’il s’agisse de cartes de baseball ou de tableaux de maîtres. « La technologie est supérieure à celle du monde physique », avance Steve Poland. « Il y a de faux Picasso, de faux Van Gogh. Mais nous avons la confirmation que ceci est authentique. »

Jeudi, Christie’s a été la première grande maison d’enchères à mettre en vente une œuvre « NFT », « The First 5 000 Days » de l’artiste numérique américain Beeple. C’est « un tournant pour l’avenir des nouveaux médias et même pour la façon de collectionner tout entière », a estimé Noah Davis, expert chez Christie’s, dans un communiqué.

Quelques heures seulement après le début de la vente, à un prix d’ouverture de 100 dollars, l’œuvre atteignait déjà 2,4 millions de dollars. La vente doit durer jusqu’au 11 mars. Noah Davis compare l’émergence de cette forme de collection à celle du street art, passé d’une pratique illégale et déconsidérée à un courant majeur de l’art contemporain en quelques décennies. L’art basé sur le « NFT » est, selon lui, « en passe de devenir la prochaine force perturbatrice du marché de l’art ».

Au-delà du marché de l’art, Steve Poland voit tous les grands sports se lancer. Jeudi, la plateforme française Sorare, consacrée au football, a annoncé avoir levé 50 millions de dollars auprès d’investisseurs. Acteur historique des cartes de collection, Panini a lui aussi créé un site qui fonctionne avec la blockchain. De manière générale, Steve Poland voit ce nouveau marché profiter d’abord aux marques fortes, comme la NBA, déjà bien connue du grand public et susceptibles d’inspirer confiance dans un univers complètement nouveau.

Quant aux prix, faut-il craindre de violentes fluctuations, comme pour les cryptomonnaies ? « Certains prix sont un peu fous » et « il y aura une correction à un moment donné », prévoit Steve Poland. « Mais pour moi, dans dix ans, les prix actuels sur Top Shot auront l’air bon marché. »

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