La tokenisation à Wall Street : BlackRock est prêt pour le grand saut

Le monde de la finance est à l’aube d’une transformation majeure, portée par une technologie dont le nom résonne de plus en plus : la tokenisation. Et quand un géant comme BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, se prépare au « grand saut », il y a de quoi y prêter attention. 

Larry Fink, son PDG visionnaire, n’hésite pas à comparer l’impact potentiel de la tokenisation à l’avènement d’internet pour l’information. C’est une révolution discrète, mais profonde, qui promet de redéfinir la manière dont nous détenons, échangeons et percevons la valeur.

Cette analyse vous est proposée par 21M , la communauté des investisseurs cryptos à l’origine du Club 25%.

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Qu’est ce que la tokenisation ?

Mais qu’est-ce que la tokenisation, au juste ? C’est un concept simple, mais aux implications colossales. Imaginez transformer les droits de propriété d’un actif, qu’il soit physique ou numérique, en un « token » digital enregistré sur une blockchain. 

Ces jetons numériques représentent une part de propriété dans l’actif sous-jacent. Pensez à l’immobilier, aux matières premières, aux actions, aux obligations, ou même à des œuvres d’art : tout peut potentiellement être « tokenisé« .

Ce processus va bien au-delà de la simple numérisation. Il s’agit de créer une représentation immuable et vérifiable sur un registre distribué, la blockchain. Cela confère aux actifs des propriétés nouvelles, les rendant plus flexibles, plus accessibles et plus transparents. La tokenisation n’est pas la frénésie des NFT de 2021 ; c’est une évolution structurelle, une nouvelle plomberie pour le marché financier global.

Pourquoi BlackRock mise tout sur la tokenisation ? Les visions de Larry Fink

Larry Fink et Rob Goldstein, le COO de BlackRock, ne mâchent pas leurs mots : ils s’attendent à ce que la tokenisation provoque des changements structurels profonds sur les marchés financiers mondiaux. Pour Fink, notre infrastructure financière actuelle est comparable à un service postal dépassé, tandis que la tokenisation est « l’e-mail lui-même » : une méthode plus rapide, plus directe et plus efficace pour transférer de la valeur.

L’argument principal ? La tokenisation peut « démocratiser l’investissement », en permettant une propriété fractionnée et en abaissant les barrières à l’entrée pour les actifs de grande valeur, souvent réservés aux institutions ou aux investisseurs très fortunés.

BlackRock a déjà franchi des étapes concrètes. En mars 2024, le géant a lancé son premier fonds tokenisé, le BlackRock USD Institutional Digital Liquidity Fund (BUIDL) sur la blockchain Ethereum

Ce fonds, qui vise à offrir aux investisseurs institutionnels des rendements en dollars américains « on-chain », a déjà dépassé les 2,9 milliards de dollars d’actifs sous gestion, marquant une étape significative dans l’adoption institutionnelle. 

De plus, BlackRock a investi 47 millions de dollars dans Securitize, une entreprise de tokenisation avec laquelle il collabore étroitement pour cette nouvelle infrastructure.

Les avantages concrets de cette révolution financière

La tokenisation redéfinit l’accès à l’investissement en démocratisant des actifs autrefois élitistes, comme l’immobilier de luxe ou le capital-investissement. Grâce à la propriété fractionnée, elle offre une liquidité sans précédent à ces marchés, permettant des échanges fluides 24h/24 et 7j/7.

Au-delà de l’accessibilité, c’est l’efficacité du système qui est transformée. Les smart contracts automatisent les processus, réduisant les intermédiaires, les coûts et la paperasse. 

Comme le souligne Larry Fink de BlackRock, les tâches fastidieuses gérées sur feuilles de calcul peuvent désormais être entièrement codées, rendant les règlements quasi instantanés. Cette efficacité repose sur une transparence et une confiance accrues, garanties par des registres immuables, et sur la capacité à programmer des règles directement dans les actifs. Considérée par BlackRock comme l’équivalent d’internet en 1996, la tokenisation est une révolution en phase de croissance rapide. 

Le marché des actifs du monde réel (RWA) tokenisés, qui a déjà atteint 24 milliards de dollars avec une croissance de 308% en trois ans, pourrait atteindre 30 000 milliards de dollars d’ici 2034. 

Les titres à revenu fixe, comme le fonds BUIDL de BlackRock, mènent déjà cette adoption avec plus de 5 milliards de dollars émis depuis 2021. D’autre part, il faut savoir que BlackRock mise énormément sur les stablecoins dans le cadre de leur stratégie long terme : c’est exactement ce qu’e l’on fait dans le Club 25%.

Une méthode basée des stablecoins permettent de générer un revenu régulier sans être exposé au marché des tokens plus volatils. Telle est notre philosophie.

Les défis à relever

Malgré cet enthousiasme, la route vers une adoption massive n’est pas sans embûches. La principale préoccupation réside dans l’incertitude réglementaire et la nécessité d’adapter les cadres existants aux spécificités de la blockchain. Larry Fink insiste sur l’importance de systèmes fiables de vérification d’identité numérique pour assurer la confiance et la sécurité des transactions.

Il existe aussi des défis liés à la complexité technologique et aux risques de sécurité. Certains experts soulèvent des questions sur la centralisation potentielle si les grandes institutions s’appuient sur des blockchains privées et permissionnées, ce qui pourrait créer une « illusion de liquidité » pour des actifs qui restent fondamentalement illiquides. 

La fragmentation entre les différentes technologies de registre distribué est un autre obstacle, pouvant créer des silos de liquidité.

Cependant, la direction est claire. La tokenisation n’est pas qu’une simple tendance ; c’est un mouvement de fond, soutenu par les poids lourds de la finance traditionnelle, qui redessine les contours du système financier mondial.

L’avis de 21M : saisir la vague de la tokenisation oui… mais avec une stratégie rôdée

21M est la communauté des investisseurs cryptos à l’origine du Club 25%, une stratégie conçue pour générer un rendement stable de 25% par an, pendant 10 ans, sans trading actif.

La tokenisation n’est pas une mode passagère ; c’est le prochain chapitre de la finance. L’implication de BlackRock, ce mastodonte de la gestion d’actifs, n’est pas un simple signal, mais une confirmation retentissante. 

Larry Fink ne perçoit pas la tokenisation comme une niche, mais comme l’infrastructure fondamentale des marchés de demain, créant une opportunité de diversification et d’accessibilité sans précédent pour des actifs autrefois illiquides comme l’immobilier ou l’art.

Cependant, cette révolution s’accompagne de défis considérables. Les questions réglementaires, la sécurité des plateformes et la complexité des smart contracts exigent une expertise pointue. Il ne suffit pas d’entendre parler de la tokenisation ; il faut la comprendre pour s’y positionner intelligemment.

Au sein du Club 25%, nous nous spécialisons dans cette convergence entre finance traditionnelle et innovation blockchain. Alors que des géants comme BlackRock ouvrent la voie, notre mission est de vous aider à décrypter ce nouveau monde. 

Le Club 25% a été conçu pour permettre à tout investisseur d’appliquer une stratégie d’actifs numériques optimisée, sans devoir analyser les protocoles en permanence.

Notre approche ne consiste pas à spéculer, mais à bâtir une richesse résiliente en s’appuyant sur des bases solides, avec un objectif de rendement stable. Nous nous concentrons sur des stratégies « market-neutral » qui permettent de générer des revenus passifs maîtrisés, loin du chaos des marchés volatils.

Découvrez comment bâtir un portefeuille résilient

La tokenisation va profondément modifier la manière dont nous investissons. Pour comprendre les stratégies concrètes et tirer parti de cette nouvelle ère financière, il est temps de passer à l’action.

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2 altcoins à acheter avant Noël 2025 pour profiter de la hausse des cryptomonnaies

Avec la légère reprise du marché des cryptomonnaies, quelles sont les attentes à avoir sur les altcoins. Il semblerait que certaines opportunités soient toujours d’actualités, certains actifs évoluant dans de bonnes conditions et s’apprêtant à franchir d’anciennes résistances. À l’approche des fêtes de fin d’année, faisons le point sur la situation et voyons les altcoins à accumuler au plus vite.

Bitcoin Hyper, le futur de la finance pour le roi des cryptos

Alors que bitcoin dépasse désormais les 90 000 dollars, il parvient à capter l’attention des investisseurs et leurs capitaux avec une dominance qui s’approche des 60 % dans l’industrie crypto.

Rien de mieux, pour un projet, de se positionner sur bitcoin, cela assurant à long terme de reposer sur sa croissance. Bitcoin Hyper est le projet à surveiller actuellement. Construisant un Layer 2 bitcoin, l’objectif est clair. Bitcoin Hyper vise à révolutionner la DeFi en construisant la BTCfi pour profiter des centaines de milliards de dollars.

Entre les memecoins et les NFTs, il y a de nombreuses opportunités à déployer on-chain. Audité par Coinsult et Spywolf, le projet est actuellement en prévente, avec un TGE prévu pour 2026 ($HYPER). Levant près de 30 millions de dollars, il est encore temps de s’y exposer et se positionner sur le secteur.

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

XRP : un actif idéal à accumuler pour l’année 2026

L’année 2025 fut exceptionnelle pour l’écosystème Ripple. De nombreux partenariats ont été conclus ainsi que de multiples acquisitions, permettant au géant US du Web 3 de construit le futur de son architecture de paiement, dédiée aux institutionnels.

Le RLUSD a connu une croissance exceptionnelle sur le marché. En effet, il a atteint les 1,2 milliards de dollars en l’espace de quelques mois. Avec une croissance de 24 % sur les 30 derniers jours, il se hisse désormais au-delà du USDG de Global dollar et juste derrière le USYC de Circle.

XRP oscillant autour des 2 dollars, l’actif a marqué une chute de 48 %. En ce sens, une accumulation progressive sur cet actif semble être une belle option. Cependant, dans une tendance baissière sur l’échelle journalière, il semble nécessaire d’adopter une position prudente en la matière.

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

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Satochip, le coffre-fort de vos cryptomonnaies

Secret de polichinelle. Nous sommes dans une époque où la moindre de nos pensées transite par un écran, et où nos mots de passe sont devenus les sésames de notre existence. TikTok, Google, la banque, votre wallet DeFi… un seul code, faible, perdu ou bien encore un seul hack et c’est le drame. Devant cette insécurité chronique, les solutions de stockage en ligne ont le goût amer de la trahison potentielle. C’est là que l’innovation de Satochip entre en scène.

Cet article vous est proposé dans le cadre du calendrier de l’Avent. Il peut contenir des liens d’affiliation vous permettant de soutenir le travail quotidien des équipes du Journal Du Coin.

L’héritage de Satoshi et l’élégance de la Sécurité

L’histoire de la crypto est pavée de hackers et d’innovateurs discrets. Parmi eux, deux passionnés, Baudoin Collard et Bastien Taquet, ont lancé, dès 2014, une idée simple mais radicale : si l’or était physique, pourquoi notre or numérique ne pourrait-il pas l’être aussi ? C’est de cette interrogation qu’est né Satochip, un nom qui, au-delà d’une révérence au créateur du Bitcoin, est un acronyme : Secure Anonymous Trustless and Open Chip. Tout un programme !

Seedkeeper ring version facettée

Les Trois Mousquetaires de la sécurité : Le triptyque Satochip

Leur credo ? Fournir une sécurité optimale dans un format du quotidien : la carte à puce. Dans un paysage dominé par les clés USB et les dispositifs encombrants, Satochip mise sur la discrétion et la familiarité du format carte bancaire pour nous offrir une self-custody sans esbroufe.

Leur force ? Une puce sécurisée de niveau militaire (EAL6+), garantissant l’air-gap contre toute trahison réseau. Mais la maison Satochip ne s’est pas arrêtée là. Elle a décliné son expertise en trois figures de proue pour couvrir tous les besoins du cryptophile, formant un triptyque essentiel pour la souveraineté numérique :

Le Wallet Satochip : L’original. C’est le hardware wallet au format carte, agissant comme le coffre-fort inviolable de vos clés privées. Son intelligence réside dans sa neutralité : il s’associe à vos clients logiciels préférés (Electrum, Sparrow, etc.), vous laissant maître de vos outils, selon l’esprit open source.

Satodime : Le concept de cold storage (stockage à froid) réinventé. Satodime est une carte « au porteur », permettant de sceller des cryptos, des tokens, ou même des NFT. C’est le paper wallet nouvelle génération, parfait pour offrir du Bitcoin à un proche ou créer une tirelire physique. Un objet tangible, dont la clé privée ne peut être récupérée qu’en le « descellant ».

Seedkeeper : Le gardien des secrets. C’est la solution ultime pour stocker et gérer vos seedphrases et mots de passe critiques. Si les deux premiers gardent la valeur, Seedkeeper garde la clé de la valeur, sans jamais la laisser traîner sur le cloud.
Seedkeeper ring

Seedkeeper, le seigneur des anneaux

Parmi cette sainte trinité de la sécurité, c’est Seedkeeper qui nous fait l’honneur d’une apparition remarquée, surtout dans sa version « bague NFC ». Oubliez la carte, voici le luxe ultime de la discrétion : le coffre-fort à votre doigt. Si les solutions de sécurité sentent souvent le bunker et l’austérité, la bague NFC est l’exception qui confirme la règle : elle conjugue l’efficacité impitoyable de la puce EAL6+ à l’élégance d’un bijou.

Plus besoin de chercher une clé USB perdue ou de se fier à un service en ligne faillible. Vos seedphrases, vos 2FA et vos mots de passe critiques sont stockés dans un anneau. Un simple scan NFC avec votre téléphone, suivi de votre code PIN, et vous accédez à vos secrets. Pas de batterie, pas de connexion réseau, pas de fioritures.

Gagnez 2 bagues Seedkeeper

Le triptyque Satochip est donc bien plus qu’une alternative, c’est une philosophie de la self-custody accessible et élégante. Et puisqu’il est de tradition, en cette période d’Avent, d’offrir plus que des mots, le Journal du Coin et Satochip ont glissé quelques pépites sous le sapin.

Aujourd’hui, pour célébrer la sécurité au bout du doigt, nous vous offrons la chance de remporter deux bagues Seedkeeper ! Pour participer rendez-vous sur X.

Et pour les plus impatients, n’oubliez pas que les réductions Black Friday courent toujours :

Code : Black-Friday-10%-10% sur toutes les cartes Seedkeeper.

Code : Black-Friday-20%-20% sur tous les packs Seedkeeper.

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Solana frappe fort : le token SKR arrive en janvier 2026 pour muscler le mobile Web3

Solana Mobile passe à la vitesse supérieure. L’équipe vient d’officialiser le lancement de SKR, le token natif de son écosystème mobile, prévu pour janvier 2026. Ce nouvel actif veut aligner développeurs, utilisateurs et fabricants autour du smartphone Seeker.

SKR, le token qui veut gouverner l’écosystème mobile de Solana

Il faut d’abord comprendre le positionnement de SKR. Selon Solana Mobile, le token sera l’actif natif de l’économie mobile construite autour du Seeker, le smartphone Web3 qui veut casser le duopole Apple Google. SKR distribuera le pouvoir de décision, pilotera la curation d’apps et servira d’outil d’incentive pour les partenaires hardware.

Concrètement, SKR servira à staker auprès des « Guardians ». Ce sont les entités chargées de valider les devices, d’appliquer des règles de sécurité et de faire respecter les standards communautaires sur le store Solana Mobile. Les détenteurs de SKR pourront donc peser dans la gouvernance. Tandis que les développeurs seront rémunérés directement en token plutôt que via des commissions façon App Store.

Les tokenomics donnent la mesure de l’ambition. La supply totale est fixée à 10 milliards de SKR, avec 30 % alloués aux airdrops. Le pari est simple : faire du mobile une extension crédible de l’écosystème Solana, déjà très actif sur la DeFi, les NFT et les memecoins.

Seek and you will find.

SKR is coming in January 2026 pic.twitter.com/cwtlp8G8Zf

— Seeker | Solana Mobile (@solanamobile) December 3, 2025

Un pari stratégique pour les développeurs et les utilisateurs

Au-delà de l’annonce, SKR dessine une vraie rupture. Plutôt que de subir les règles d’un app store Web2, Solana Mobile veut transformer le téléphone en nœud économique du réseau. Les apps seront distribuées via un environnement contrôlé par les Guardians. Tandis que les flux de valeur passeront par SKR. Résultat, la chaîne offrira une alternative où les développeurs gardent une plus grande part des revenus.

Les devs pourront toucher des récompenses en SKR et profiter d’une visibilité accrue dans un store pensé « crypto-native ». Et ainsi s’aligner avec une base d’utilisateurs déjà familiers des produits Solana. Pour les utilisateurs du Seeker, SKR devient un levier de cashback Web3 entre airdrops, staking et participation à la gouvernance.

Les holders de SOL surveillent donc l’impact potentiel sur le narratif de la chaîne. Solana combine déjà haute performance, DeFi et boom des memecoins. L’ajout d’un token dédié au mobile renforce l’idée d’un écosystème complet, de la couche base aux devices.

Solana Mobile just announced its native token $SKR launching January 2026 — with a 10B supply.

At launch, $SKR becomes the fuel for the entire ecosystem:
Stake to Guardians
Support top builders
Secure devices
Curate the dApp Store

And the best part? As the… pic.twitter.com/7yudp2Cizq

— Wise Crypto (@WiseCrypto_) December 4, 2025

30% réservé aux airdrops

Pour la communauté, le chiffre qui fait tilt est simple : 30 % de la supply de SKR ira aux airdrops. Notamment pour les propriétaires de Seeker et les utilisateurs actifs des services mobiles de Solana. Des guides de « farming » détaillent déjà comment maximiser ses chances avant le snapshot final.

La campagne de communication sur SKR s’intensifie et le smart contract doit être déployé en janvier 2026. Le calendrier prévoit une activation progressive des fonctions de gouvernance et de staking au fil de l’année. Cela laisse quelques mois aux utilisateurs pour se positionner.

Mais la présence de parts importantes pour Solana Mobile et Solana Labs nourrit la crainte d’une gouvernance plus centralisée que le discours ne le suggère. De plus, la multiplication des tokens dans l’univers Solana peut fragmenter la valeur entre SOL, MOBILE, SKR et les memes. Enfin, le Ledger Lab a récemment pointé une vulnérabilité non corrigeable sur la puce du Seeker. Cela rappelle que la couche hardware reste un maillon critique dans ce pari mobile.

MaxiDoge, le memecoin « all in » dans un marché en quête de narratives

Dans ce contexte où les narratifs se multiplient, MaxiDoge (MAXI) s’impose comme un autre acteur du moment côté retail. Ce memecoin reprend l’imaginaire Doge mais le pousse à l’extrême. Il concentre une énergie spéculative incroyable.

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

Le projet attire toute une communauté en quête de volatilité maximale. La prévente a déjà levé plusieurs millions de dollars. Portée par une série de campagnes virales et par l’appétit d’investisseurs en quête de nouveaux paris spéculatifs.

Source : Solana Mobile

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

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Les rendements DeFi en stablecoins s’effondrent : comment générer des intérêts dans le web 3 ?

Depuis plusieurs mois, les rendements on-chain sur les stablecoins évoluaient à des taux intéressants, permettant dans certains cas d’obtenir des rendements annuels dépassant aisément les 15 à 20 %. Cependant, avec la chute des cryptomonnaies et le retour des capitaux sur les stablecoins pour protéger ses avoirs, les rendements tendent à évoluer à la baisse.

La capitalisation des stablecoins explose en 2025

À ce jour, le marché des stablecoins s’approche des 310 milliards de dollars de capitalisation alors qu’il se trouvait sous le seuil des 205 milliards en début d’année 2025. Avec plus de 100 milliards de dollars supplémentaires en près d’une année, cela met en exergue la folle ascension de ce secteur.

Les capitaux ne sont pas apparus par magie. Avec l’institutionnalisation du secteur, de nouveaux stablecoins ont émergé. Entre le stablecoin $USD1 de World Liberty Financial, le $RLUSD de l’entreprise Ripple et le KlarnaUSD de l’entreprise Klarna, spécialisée dans les crédits pour particuliers et paiements étalonnés, nous constatons une véritable dynamique en faveur de ce secteur.

Entre le règlement MiCA dans l’Union européenne et le GENIUS Act ayant été adopté en juillet dernier aux USA, 2025 marque un véritable tournant pour l’industrie, ce qui explique le déplacement des capitaux vers ces actifs, couplé à une intégration plus marquée de ces produits dans la DeFi.

Les rendements on-chain chutent fortement avec la baisse du marché

Avec la hausse de la valorisation de secteur, les rendements on-chain n’ont jamais été aussi nombreux. Entre les boucles on-chain pour les protocoles de lending, la diversifié des produits sur de nombreuses blockchains ou la tendance portée par les PT et YT sur Pendle pour optimiser les gains, de nouvelles stratégies émergents, apportant en conséquent un ensemble de risques supplémentaires, résultants d’excès de leviers et de manques de capitaux sur certains actifs.

Ce fut récemment le cas avec le xUSD de Stream Finance, provoquant des cascades on-chain sur certaines protocoles comme Silo, Beefy ou Elixir, ce dernier disposant également de son stablecoin, le deUSD, qui a connu un désancrage majeur avec le dollar.

Sur les pools des plus gros protocoles, majoritairement sur ethereum, les rendements peinent à dépasser les 5 %, indiquant un véritable déplacement des capitaux sur ces solutions. En effet, cette dynamique est tout à fait logique.

Avec la chute des altcoins, beaucoup se réfugient sur des actifs adossés au dollar, en essayant d’optimiser leurs placements pour générer des rendements complémentaires. Une stratégie idéale pour faire travailler ses fonds et placer la liquidité obtenue sur certains altcoins, en prévision d’un rebond.

Bitcoin Hyper prend les devants et construit une nouvelle narrative

Pendant que les capitaux affluent à toute vitesse sur les stablecoins, d’autres projets se positionnent pour 2026. C’est notamment le cas de Bitcoin Hyper, construisant le premier Layer 2 dédié au roi des cryptomonnaies.

Entre l’intégration poussée des NFT, un explorer DeFi, des memecoins et d’autres narratives, l’objectif pour bitcoin hyper est plutôt clair : faire émerger le futur de la BTCfi en amorçant un flux majeur de capitaux sur la plus importante blockchain du Web 3.

Peu exploité, ce positionnement est à surveiller attentivement. En prévente avec le jeton $HYPER et dépassant près de 30 millions de dollars de fonds levés, les investisseurs se ruent sur le projet. Disponible au prix de 0,0133 dollar, il est toujours temps de s’y intéresser avant un TGE qui devrait prendre place d’ici les prochains mois.

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

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Sony va construire un réseau de paiements Web3 avec son nouveau stablecoin en dollars américains

La banque s’est associée à Bastion et a participé à sa levée de fonds de 14,6 millions de dollars.
Sony a créé une unité Web3 nommée BlockBloom pour étendre les services d’actifs numériques.
La récente scission de Sony Financial Group offre à Sony Bank une liberté stratégique.

Le projet de Sony d’introduire un stablecoin en dollars américains s’impose comme une étape majeure dans la manière dont la société relie ses activités de divertissement à sa branche financière.

Au lieu de traiter les paiements comme une fonction en arrière-plan, Sony conçoit un système qui combine blockchain, actifs numériques et sa base d’utilisateurs mondiale en un seul réseau Web3, selon un rapport de Nikkei.

Le projet porte sur l’expansion de Sony Bank aux États-Unis, où les clients restent un élément clé des ventes externes du groupe.

Avec un lancement prévu pour 2026, le stablecoin est développé comme un outil de paiement qui prend en charge les achats de jeux vidéo, d’anime et d’autres achats numériques dans l’écosystème Sony.

Cette décision de Sony Bank marque une transition plus large de l’entreprise vers la finance numérique, les technologies Web3 devenant une dimension importante dans la manière dont elle fournit les services futurs.

Stablecoin pour l’écosystème Sony plus large

Sony Bank, le prêteur en ligne du groupe Sony Financier, se prépare à déployer le stablecoin aux États-Unis via une unité dédiée.

Le jeton sera indexé sur le dollar américain et devrait permettre l’achat de jeux PlayStation, d’abonnements et de contenus anime.

Cette option de paiement s’intégrera aux méthodes existantes telles que les cartes de crédit.

Le plan vise les clients américains, qui représentent environ 30 % des ventes externes du groupe Sony.

En ajoutant un jeton basé sur la blockchain, Sony vise à réduire les frais associés aux réseaux de cartes et à augmenter la rapidité et l’efficacité des transactions.

Sony Bank a demandé une licence bancaire aux États-Unis en octobre dans le cadre de cette expansion.

La banque s’est également associée à Bastion, un émetteur américain de stablecoins.

La branche de capital-risque de Sony a rejoint le tour de financement de 14,6 millions de dollars de Bastion, mené par Coinbase Ventures.

L’unité Web3 construit les bases

Le passage de Sony Bank aux stablecoins s’inscrit dans une campagne plus large vers le Web3 qui a débuté plus tôt cette année.

La banque a créé une filiale Web3 dédiée en juin, après avoir d’abord exposé ses plans en mai.

Dans son annonce, la banque a indiqué que les actifs numériques construits sur la technologie blockchain devenaient partie intégrante d’un nombre croissant de services et de modèles économiques.

Il a souligné que les portefeuilles pour stocker des NFT et des cryptomonnaies, ainsi que les fournisseurs d’échanges, sont des secteurs gagnant en importance.

Ces outils sont au cœur des plans Web3 de Sony car ils permettent de déplacer facilement les actifs numériques et les jetons sur les plateformes utilisées par les fans, artistes et créateurs.

La nouvelle unité Web3 a ensuite été nommée BlockBloom.

Son objectif est de construire un écosystème qui relie les expériences numériques et physiques aux NFT, à la monnaie fiduciaire et à la monnaie numérique.

Le travail de BlockBloom est désormais directement lié à l’initiative stablecoin, qui devrait devenir l’un des outils de paiement clés de cet écosystème.

La restructuration renforce le virage vers le numérique

Sony Bank poursuit cette stratégie peu après un changement structurel majeur au sein de sa société mère.

Sony Financial Group a été séparé de Sony Group et coté à la Bourse de Tokyo en septembre.

Cette scission visait à séparer les opérations et le bilan de la branche financière du conglomérat plus large.

Cette indépendance donne désormais à Sony Bank plus d’espace pour mener des projets de finance numérique à long terme, y compris le stablecoin.

Le calendrier indique que Sony Bank utilise cette séparation pour accélérer sa progression sur de nouveaux marchés.

Avec le stablecoin destiné aux États-Unis et soutenu par Bastion, la banque se positionne pour devenir un acteur plus compétitif dans les paiements numériques liés au divertissement et au jeu vidéo.

Connecter les utilisateurs américains avec des paiements multiplateformes

La stratégie stablecoin de Sony est étroitement liée à ses utilisateurs américains, qui constituent l’un de ses plus grands segments de clients.

En concentrant le projet sur ce marché, Sony aligne son réseau de paiements avec des régions déjà très impliquées dans la blockchain et les actifs numériques.

Le stablecoin devrait interagir avec plusieurs services Sony, créant un système permettant aux utilisateurs de transférer des fonds de manière fluide entre les jeux, les abonnements et d’autres plateformes numériques.

Cela permet également à Sony de tester les paiements Web3 à grande échelle, soutenus par sa division jeux, son contenu de divertissement et une nouvelle capacité de finance numérique.

Avec le lancement prévu pour 2026, Sony construit les premières couches d’une structure multiplateforme qui relie les paiements Web3 à son réseau de divertissement plus large.

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Les levées de fonds crypto bondissent de 150 % en un an

L’année 2025 marque un tournant pour les levées de fonds dans la crypto. Les investissements explosent et affichent une croissance de 150 % par rapport à 2024, pour un total qui dépasse désormais 21 milliards de dollars. Cette hausse traduit l’arrivée massive d’investisseurs institutionnels et confirme que le marché gagne en maturité.

Les levées de fonds dépassent 21 milliards de dollars en 2025

Plusieurs projets d’envergure ont contribué à ce record historique de levées de fonds crypto :

En mars dernier, Walrus a obtenu 200 millions de dollars avec le soutien d’Andreessen Horowitz et Franklin Templeton. Planck Network a quant à elle levé la même somme pour développer un cloud d’IA décentralisé. En avril, Securitize et Mantle ont réuni le double pour un fonds indiciel tokenisé. Le mois suivant, Worldcoin a attiré 135 millions grâce à Bain Capital Crypto.

En juin, American Bitcoin a sécurisé 220 millions de dollars avant son introduction en bourse. En août, ETHZilla a levé 425 millions en se concentrant sur la trésorerie Ether. En septembre, Helius Medical a obtenu 500 millions avec une trésorerie en SOL. Enfin, en octobre, Polymarket a atteint 2 milliards de dollars lors d’un tour mené par Intercontinental Exchange.

Les secteurs les mieux financés sont la DeFi, l’IA, les stablecoins et les infrastructures blockchain. Cette diversité montre que les opportunités d’investissement s’étendent bien au-delà des cases traditionnelles de l’écosystème crypto.

Régulation, adoption et innovation : les moteurs de la croissance

Trois éléments expliquent la hausse rapide des levées de fonds crypto. D’abord, plusieurs pays ont clarifié leur réglementation des actifs numériques. Aux États-Unis, par exemple, l’arrivée d’un cadre dédié aux stablecoins rassure les investisseurs institutionnels qui restaient en retrait. Cette sécurité juridique joue un rôle majeur dans le retour des capitaux.

Ensuite, de grandes entreprises adoptent désormais la crypto. L’entrée en bourse de Circle illustre cette transition et montre que l’écosystème s’intègre progressivement dans l’économie traditionnelle. Enfin, les avancées technologiques accélèrent le mouvement. L’IA et la tokenisation d’actifs réels créent de nouveaux modèles économiques et attirent des capitaux spécialisés. Dans l’ensemble, l’argent levé finance aujourd’hui des projets plus solides, pensés pour durer, et non plus des initiatives purement spéculatives.

Solana bénéficie d’une dynamique exceptionnelle

Bitcoin et Ethereum captent toujours la majorité des investissements. Pourtant, Solana tire son épingle du jeu grâce à son coût réduit et à la rapidité de son réseau. Plusieurs levées de fonds marquantes ont d’ailleurs été réalisées dans son écosystème en 2025.

Cette dynamique renforce son attrait auprès des projets DeFi et NFT. Les spécialistes pensent que cette tendance continuera en 2026. Ils expliquent que l’efficacité du réseau séduit les startups qui cherchent des performances élevées. Avec une croissance de 150 %, la crypto s’impose désormais comme une force majeure du financement mondial. Revolut en donne un exemple frappant : sa valorisation atteint 75 milliards de dollars après une levée record, confirmant l’ampleur du mouvement.

Source : cointribune.com

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Scandale ZKP : comment le FC Barcelone s’est mis dans la tourmente crypto

Au FC Barcelone, chaque nouveau sponsor ressemble à une bouffée d’oxygène. Le club traîne une dette lourde et finance en même temps la rénovation du Camp Nou. En moins de deux semaines, l’accord avec Zero-Knowledge Proof s’est pourtant transformé en leçon de gouvernance ratée.

Un sponsor crypto « mystère » venu des Samoa

À la mi-novembre, le Barça officialise un contrat global avec Zero-Knowledge Proof, ou ZKP. La société devient « Official Cryptographic Protocol Partner » jusqu’en 2028, pour un montant d’environ 22 millions de dollars sur trois ans. Le club présente le deal comme une alliance autour de la confidentialité des données et de nouveaux services numériques pour les socios.

Très vite, le profil du sponsor interroge. ZKP est enregistrée aux Samoa, une juridiction offshore régulièrement citée sur les listes de surveillance européennes. Son site vante la transparence mais ne mentionne ni dirigeants identifiés ni véritable historique produit. Au moment de l’accord, son compte X ne rassemble que quelques dizaines d’abonnés. Pour un club de cette taille, le décalage saute aux yeux.

Les premières critiques partent alors des réseaux et d’observateurs spécialisés. L’auteur britannique Martin Calladine parle d’un partenariat « profondément inquiétant ». Un ancien dirigeant du club y voit le signe d’un « désespoir » financier. Tous pointent les mêmes signaux rouges : société inconnue, montage offshore, promesses brouillonnes. Pour un Barça déjà moqué pour certains paris Web3, le timing ne pouvait pas être pire.

Lancement de token, bad buzz et marche arrière précipitée

La tension monte quand ZKP passe à la phase token. Quelques jours après l’annonce du partenariat, la société met en vente deux cents millions de jetons. Elle assure disposer d’une garantie de cent millions de dollars, mais sans fournir de preuves convaincantes. La proximité entre le deal et l’offre réveille aussitôt le spectre d’un projet qui profiterait surtout de l’aura du Barça pour attirer des acheteurs peu informés.

Sur X, les messages d’alerte se multiplient. Des supporters craignent que des fans, séduits par l’image du club, confondent sponsor maillot et label de confiance. D’autres rappellent les précédents malheureux du football européen avec certains exchanges ou projets NFT. Plusieurs articles remettent en avant la situation du Barça, plombé par la dette et par le chantier du stade.

Sous la pression, le club tente de reprendre la main. Dans un communiqué, il affirme n’avoir « aucune implication » dans le token ZKP. Il précise que la pièce ne fait pas partie de l’accord commercial et que le FC Barcelone ne recommande pas son achat. Le partenariat, lui, n’est pas officiellement rompu. La direction dit vouloir poursuivre ses vérifications et promet davantage de clarté sur la collaboration.

Gouvernance, fans, image : les leçons d’un sponsor toxique

Au-delà du cas ZKP, l’épisode en dit long sur la manière dont certains clubs abordent les sponsors venus des cryptos. Chaque contrat engage aussi quelque chose de plus fragile : la confiance des supporters et la réputation construite sur des décennies.

Pour les fans, la confusion reste réelle. Un sponsor ne transforme pas le Barça en conseiller financier, mais il emprunte sa crédibilité. Beaucoup de supporters ne liront jamais les précisions juridiques ni les communiqués de clarification. Ils retiendront surtout qu’un logo crypto venu d’une structure opaque s’affiche aux côtés d’un blason historique.

L’affaire ZKP s’ajoute à une liste déjà longue de liaisons compliquées entre football et actifs numériques. Fan tokens spéculatifs, plateformes en faillite, projets NFT abandonnés : autant d’épisodes qui ont déjà érodé la confiance.

Pour le FC Barcelone comme pour d’autres géants européens, la question n’est plus de savoir s’il faut accepter ce type de sponsors. Elle consiste surtout à fixer un minimum d’exigences sur la transparence et la protection des supporters. Ou chaque nouveau contrat risque de ressembler à un nouveau boulet d’image.

Source : FC Barcelona

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Rallye de Noël : 3 cryptos complémentaires pour finir l’année en beauté

Le marché crypto hésite encore entre consolidation et sursaut tardif pour cette fin d’année. Certains traders espèrent un vrai rallye de Noël, d’autres se contenteront d’un rebond technique pour réorganiser leur exposition. Plutôt que d’empiler les mêmes altcoins sans cohérence, l’idée est de penser en mini-portefeuille, avec des rôles bien distincts.

Ethereum (ETH) : le pilier pour structurer la fin d’année

Dès que l’on parle d’altcoins sérieux, Ethereum revient dans la conversation. L’écosystème abrite la majorité de la DeFi, une large part des stablecoins, une bonne partie des NFT et la plupart des grandes solutions de seconde couche.

Malgré la volatilité, ETH reste donc l’un des rares actifs à conjuguer profondeur de marché, activité on-chain soutenue et rôle central dans l’infrastructure crypto. Ces dernières semaines, le cours évolue bien en dessous de ses plus hauts de l’été. Mais la capitalisation se maintient autour de plusieurs centaines de milliards de dollars, preuve que le marché ne l’a pas déserté.

Pour un trader qui prépare un éventuel rallye de Noël, Ethereum s’impose souvent comme colonne vertébrale du portefeuille hors bitcoin. Si le marché se réveille en décembre, ETH profite presque systématiquement du mouvement. Que l’on parle de flux vers les ETF, de regain d’appétit pour la DeFi ou de rotation sectorielle.

Dans l’autre sens, lorsque le scénario rêvé ne se matérialise pas, la chute reste en général moins brutale que sur un petit token très spéculatif. En clair, ETH n’est ni le coin le plus excitant ni le plus ennuyeux. C’est le socle, celui qui donne une structure lisible au portefeuille de fin d’année.

Arbitrum (ARB) : le pari de croissance sur la couche 2

Pour ajouter une touche de croissance à ce socle, beaucoup regardent vers Arbitrum. Le réseau s’est installé comme l’une des principales solutions de seconde couche d’Ethereum. Il s’est appuyé sur des rollups optimistes pour réduire les coûts et accélérer les transactions.

Il héberge aujourd’hui l’un des plus gros écosystèmes DeFi en layer 2. Avec plusieurs milliards de dollars de valeur verrouillée, des centaines de milliers d’adresses actives et plusieurs millions de transactions par jour.

Dans un scénario de rallye de Noël, Arbitrum joue le rôle de couche nerveuse au-dessus d’Ethereum. Si les volumes reviennent sur les dérivés, les DEX et les protocoles de prêt, ce type de réseau peut voir son activité grimper très vite.

Le token ARB reste plus volatil qu’ETH, cependant il bénéficie d’un narratif assez lisible. Scaling d’Ethereum, TVL déjà significative, effets de réseau en place. À ce stade du cycle, certains desks le considèrent comme un pari de croissance intermédiaire, plus risqué qu’un « blue chip » comme Ethereum, mais plus structuré qu’un micro-cap anonyme. Bien sûr, la concurrence entre L2 reste vive, et la trajectoire dépendra autant de l’exécution technique que du contexte macro.

Best Wallet : la prévente satellite pour préparer 2026

En cette fin d’année, Best Wallet occupe une place à part dans cette case « satellite ». Le projet se présente comme un wallet non custodial pensé pour agréger, dans une seule interface mobile, plus de soixante blockchains, des swaps cross-chain, des outils DeFi et, à terme, d’autres services autour des paiements. Son jeton $BEST est au cœur de cet écosystème : il doit servir à activer certaines fonctionnalités, obtenir des réductions de frais ou accéder à des programmes de récompenses.

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

La prévente touche aujourd’hui à sa fin. Best Wallet a levé plus de 17 millions de dollars. Pour certains traders, ce timing en fait un candidat naturel pour la petite poche « ticket de loterie » qu’ils acceptent d’allouer en fin d’année.

Source : CoinGecko

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

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Monad (MON) déjà attaqué : des spoofers imitent de vrais transferts moins de 48h après le lancement

Monad n’a pas eu le temps de souffler. Moins de deux jours après le lancement de son token MON, des spoofers ont commencé à créer de faux transferts qui ressemblent à de vraies opérations on-chain. Une technique qui ne déplace aucun token mais qui trompe les utilisateurs en simulant une activité réelle. L’équipe a dû prévenir la communauté alors que d’autres problèmes, dont un hijack d’airdrop, commençaient à émerger.

Monad sous pression : ce qui s’est passé en moins de 48h

Le lancement de Monad était censé être un moment de fête pour la communauté, mais l’euphorie n’a pas duré longtemps. À peine les premiers tokens MON distribués que des alertes ont commencé à circuler : certains utilisateurs voyaient des transferts surprenants s’afficher sur les explorateurs. L’équipe a très vite compris que quelque chose clochait et a prévenu la communauté dès que les premiers comportements suspects ont été repérés.

warning – there are fake ERC-20 transfers pretending to be from my wallethttps://t.co/TCZTfDfoTQ

example:https://t.co/wA1I8RFTdQ

you can see the txs are not sent by me

ERC-20 is just a token interface standard, it’s easy to write a smart contract that meets that standard…

— James (mainnet arc) (@_jhunsaker) November 25, 2025

Cette réaction rapide a permis d’éviter une panique totale, mais pas le malaise. Beaucoup ont été surpris de voir une attaque arriver aussi vite, surtout sur un projet tout juste lancé et encore en phase d’installation technique. Pour un nouveau réseau cherchant à se construire une image solide, se retrouver sous pression dès la première semaine n’est clairement pas idéal.

Comment les spoofers imitent des transferts MON sans bouger un seul token

Les acteurs malveillants n’ont pas eu besoin de toucher aux fonds des utilisateurs pour semer le doute. Ils ont simplement déployé des contrats personnalisés capables d’émettre de faux signaux qui ressemblent à s’y méprendre à de vraies opérations. Ces signaux apparaissent automatiquement dans l’historique des explorateurs, comme si un transfert avait bien eu lieu.

Pour les utilisateurs qui regardent rapidement leur wallet, tout semble authentique : montant, adresses, timestamp… Pourtant, rien n’a bougé. Les spoofers exploitent une faiblesse connue du standard ERC-20, où les “events” visuels ne nécessitent pas de signature réelle. Résultat : une activité fantôme qui peut facilement tromper ceux qui découvrent tout juste le réseau.

Un airdrop perturbé : plusieurs utilisateurs se font détourner leurs MON

Pendant que la communauté tentait de comprendre les faux transferts, un autre problème est apparu ailleurs : le système de claim de l’airdrop. Plusieurs utilisateurs ont découvert que l’adresse à laquelle ils pensaient recevoir leurs MON avait été remplacée par celle d’un pirate. Leur transaction était bien réelle, cette fois, mais le bénéficiaire n’était plus le bon.

Monad mainnet was supposed to be a great day for me

I was finally ready to mint NFTs & try dapps. but a day before mainnet, when i checked the claim portal, i realized that my wallet had been changed & only the last 5 digits matched while the rest was different.

Read more pic.twitter.com/d8AzyPda3c

— Sohyl (@sohyl1B) November 26, 2025

Les pertes se comptent en centaines de milliers de tokens pour certaines victimes, ce qui montre bien que tous les dangers ne viennent pas du même endroit. Contrairement au spoofing, ici, les vols sont tangibles. Pour un network encore en rodage, voir deux incidents émerger en parallèle complique l’ambiance autour du lancement…

Pour éviter ce genre de mauvaises surprises, beaucoup d’utilisateurs se tournent vers des wallets plus sécurisés et mieux outillés. Best Wallet en fait partie : il permet de gérer ses actifs sur plusieurs réseaux tout en ajoutant des vérifications simples avant chaque transaction. Pour ceux qui veulent éviter les erreurs de claim et garder un contrôle total, c’est une option qui apporte un peu plus de sérénité.

Les cryptoactifs représentent un investissement risqué.

Monad, c’est quoi ? Et pourquoi son token tient aussi bien le choc

Monad, c’est une nouvelle blockchain qui veut faire comme Ethereum, mais en beaucoup plus rapide. Elle reste compatible avec les outils et les smart contracts EVM, tout en promettant un réseau capable d’encaisser beaucoup plus de transactions sans ralentir. L’objectif est clair : attirer les développeurs qui veulent de la vitesse sans changer leurs habitudes.

Et malgré les attaques des premiers jours, le token MON démarre très fort. Le prix a bondi, le volume explose et l’intérêt du marché ne faiblit pas. Avec plus de 480 millions de dollars de market cap et plus d’1,3 milliard de volume en 24h, MON montre que les investisseurs ne se laissent pas refroidir si facilement — le début est même bien plus solide que ce que beaucoup imaginaient.

Source : Monad, jhunskaer (Co-fondateur de Monad)

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

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