Cryptos : Quels tokens sont des valeurs mobilières (securities) ? Le patron de la SEC répond

La nouvelle donne de la SEC. Depuis le changement de patron au sein de la Securities and Exchange Commission (SEC), sa politique est devenue infiniment plus favorable à Bitcoin et aux cryptomonnaies. En effet, Paul Atkins a rapidement mis en place une nouvelle approche réglementaire  destinée à accompagner la jeune classe d’actifs, plutôt que de tenter de l’asphyxier comme son prédécesseur anti-crypto Gary Gensler. Une dynamique qui vient de donner lieu à un discours important, dont le but était de définir les rares cas de figure sous lesquels la SEC compte intervenir dans le domaine des cryptomonnaies.

Les points clés de cet article :
La SEC, sous la direction de Paul Atkins, a adopté une approche radicalement favorable aux cryptomonnaies, contrastant avec l’ère de Gary Gensler.
Paul Atkins a clarifié que la plupart des cryptomonnaies, comme le BTC, l’ETH, et le SOL, échappent à la juridiction de la SEC, à l’exception des valeurs mobilières tokenisées.

Paul Atkins précise sa « nouvelle approche réglementaire » pro-innovation

Paul Atkins, le nouveau patron de la Securities and Exchange Commission, semble bien décidé à continuer le changement radicalement de politique au sujet des cryptomonnaies. Une volonté réaffirmée encore tout récemment, à l’occasion d’un discours dont le but était de préciser les objectifs de cette nouvelle approche réglementaire.

Lors de la Ninth Annual Fintech Conference de la Fed régional de Philadelphie, le président de la SEC à souhaiter faire un point le plus clair possible sur les cryptomonnaies considérées comme des valeurs mobilières (securities). Cequi constitue déjà en soi un sacré contraste avec son prédécesseur Gary Gensler, que Paul Atkins semble tacler au passage sur X. Regardez l’extrait qu’il choisit de son discours :

« Dans une société libre, les règles qui régissent la vie économique devraient être connues, raisonnées et dûment circonscrites. Lorsque nous étirions les lois sur les valeurs mobilières au-delà de leur portée appropriée, lorsque nous traitions chaque innovation comme présumée suspecte, nous nous égarions de ce principe fondamental. [À l’inverse,] lorsque nous reconnaissons les limites de notre autorité, lorsque nous admettons que les contrats d’investissement peuvent prendre fin et que les réseaux [blockchains] peuvent se tenir sur leurs propres mérites, nous l’honorons. »

Paul Atkins, président de Securities and Exchange Commission des États-Unis

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Quels tokens sont des valeurs mobilières du point de vue de la SEC ?

La question est donc : quels cryptos/tokens doivent être considérés comme des securities ? C’est-à-dire, comme des actifs numériques dont la promesse de valeur future dépend des efforts de gestion d’une tierce partie.

Pour Paul Atkins, c’est déjà une définition qui NE concerne PAS les cryptomonnaies « liées à un réseau blockchain fonctionnel et décentralisé ». Comme par exemple le BTC pour Bitcoin, l’ETH pour Ethereum, le SOL pour Solana, etc. Dans le même temps, Paul Atkins exclut également les jetons de collection numérique que sont les NFT (les tokens non fongibles) et autres outils numériques. C’est-à-dire les actifs numériques qui fournissent une fonction pratique, comme un billet, une adhésion ou un badge.

Dans les faits, la majorité des cryptomonnaies en circulation ne tombent pas sous la juridiction de la SEC (l’exact inverse de ce que prétendait la précédente présidence). Toutefois, Paul Atkins précise que les valeurs mobilières tokenisées – c’est-à-dire les représentations de valeurs mobilières déjà réglementées par la SEC (comme des actions d’entreprises) qui se négocient on-chain  – resteront sous la juridiction du régulateur US.

« Bien que la formation de capital doive continuer à être supervisée par la SEC, nous ne devrions pas freiner l’innovation et le choix des investisseurs en exigeant que les actifs sous-jacents soient négociés dans un environnement réglementé plutôt que dans un autre. »

Le nouveau patron de la SEC souhaite  recentrer son action sur les valeurs mobilières, et dans ce cadre, les cryptomonnaies semblent donc très peu concernées, sauf dans des cas d’évidence comme pour les actions tokenisés, qui sont simplement des securities numérisées sur blockchains (tokenisation RWA). Paul Atkins déclare que « si la formation de capital doit continuer à être supervisée par la SEC, nous ne devrions pas freiner l’innovation et le choix des investisseurs ».

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Ethereum : Frais de transaction au plus bas, c’est bien ou pas ?

Gaz discount ! Les frais de transaction sur Ethereum ont récemment atteint leurs plus bas niveaux. Si les utilisateurs peuvent s’en réjouir, cette tendance à la baisse inquiète certains observateurs. Explications.

Les points clés de cet article :

Les frais de transaction sur Ethereum ont atteint des niveaux historiquement bas, permettant des opérations à moindre coût.
Cette baisse des frais, bien que bénéfique pour les utilisateurs, pourrait à terme menacer la sécurité du réseau en raison de la diminution des incitations financières pour les validateurs.

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Les frais baissent sur Ethereum…

Qu’il semble loin le temps où il fallait attendre le moment le plus favorable, ne serait-ce que pour effectuer les opérations les plus basiques sur le réseau Ethereum. En effet, les frais de transaction pouvaient atteindre des sommets sur la blockchain qui ambitionnait de “démocratiser la finance”. En réalité, les fees étaient tellement prohibitifs que seule une poignée d’acteurs déjà bien pourvus en ETH pouvait se permettre d’utiliser la DeFi sans trop regarder à la dépense. Ce n’était clairement pas à la portée de tous. En 2021, Ethereum était plutôt élitiste.

Cependant, la situation s’est nettement améliorée depuis quelques mois. Cette diminution des frais permet d’utiliser le réseau avec beaucoup moins de scrupules. 

Ainsi, le dimanche 9 novembre, les frais de transaction étaient de 0,097 Gwei. Autrement dit, au raz des pâquerettes. Actuellement, il est possible de faire un swap pour l’équivalent de quelques cents et de vendre un NFT pour moins de 30 cents en gas.  

Les frais touchent le fond. Source : Etherscan

C’est une aubaine pour les utilisateurs plus modestes ou pour les traders qui multiplient les échanges. Plus besoin de surveiller etherscan à des heures incongrues pour déclencher une opération au moment où les frais diminuent enfin.

Néanmoins, cette situation pourrait s’avérer problématique si elle devait se prolonger. 

… ce n’est pas une bonne nouvelle pour tout le monde

Plusieurs facteurs expliquent cette diminution drastique des frais de gas. 

D’un point de vue structurel, la mise à jour Dencun en mars 2024 a introduit les Blobs. Cela a eu pour effet de déporter une partie des données hors chaine et donc de diminuer les revenus de la chaîne principale. Avant ça, l’EIP-1559 introduite en 2021 lors du hard fork London, avait déjà remodelé le calcul des frais de transaction.

D’un point de vue conjoncturel, il y a une baisse d’activité notable sur Ethereum, en partie liée aux conditions de marché. 

Là où le bât blesse, c’est que la rémunération des validateurs s’en trouve largement réduite par la même occasion. Leur rôle est de valider les transactions et de sécuriser le réseau. Si les frais devaient rester à ce niveau, les validateurs pourraient se détourner d’Ethereum au profit d’alternatives plus intéressantes financièrement. Cela poserait, à terme, un risque pour la sécurité du réseau. 

Le modèle économique d’Ethereum doit-il changer ? En tout état de cause, des frais de transaction trop bas ne seraient pas une solution durable pour la blockchain numéro 2.

Si certains s’inquiètent de la situation, cela n’empêche pas Ethereum de tirer son épingle du jeu. En effet, le réseau peut se vanter d’être le terrain de jeu favori des utilisateurs de stablecoins.  

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JPMorgan déploie son token JPM Coin sur Base : la finance traditionnelle passe on-chain

JPMorgan débarque sur la blockchain publique. Le géant bancaire américain vient de lancer son token JPM Coin sur Base, la layer 2 d’Ethereum développée par Coinbase. Réservé aux entreprises clientes, ce jeton de dépôt permet des paiements on-chain 24/7, avec rapidité, sécurité et programmabilité. La finance traditionnelle arrive sur la blockchain.

JPM Coin sur Base : JPMorgan passe (vraiment) à la vitesse on-chain

Les grandes entreprises clientes de JPMorgan peuvent désormais utiliser le JPM Coin pour gérer leur trésorerie directement sur la blockchain. Chaque jeton vaut 1 dollar déposé chez la banque, et les transferts se font instantanément, sans les lenteurs ni les frais habituels du système bancaire.

JPMorgan has started rolling out a deposit token called JPM Coin to institutional clients, a move that comes as financial institutions continue to broaden their footprint in digital assets https://t.co/ryU2QlWwlB

— Bloomberg (@business) November 12, 2025

Ce n’est pas un stablecoin classique comme l’USDC ou l’USDT. Le JPM Coin est un « jeton bancaire », régulé et réservé à quelques utilisateurs triés sur le volet. L’idée ? Montrer qu’une finance institutionnelle peut, elle aussi, tourner à plein régime sur la blockchain.

À quoi sert le JPM Coin pour les entreprises ?

Pour les grandes boîtes, ce jeton ouvre plein de possibilités concrètes. Par exemple, une entreprise peut envoyer de l’argent entre ses filiales à l’étranger, à toute heure, sans attendre l’ouverture des banques.

Autre avantage : les paiements B2B deviennent programmables. Grâce à l’introduction des smart contracts, une entreprise peut désormais déclencher un paiement seulement quand une condition est remplie : livraison validée, document signé etc… Enfin des smarts contracts dans la finance tradi.

C’est une première mondiale : une banque systémique opère désormais des paiements tokenisés sur une blockchain publique. Cela donne un sérieux coup de crédibilité à l’idée de “finance on-chain”, souvent cantonnée jusque-là aux acteurs crypto. Les bénéfices sont énormes : des transferts plus rapides, moins chers, et une programmabilité totale des flux financiers.

Comment ça marche : un deposit token sur Base

Le JPM Coin n’est pas vraiment une crypto comme les autres. Comme dit plus haut, il s’agit d’un deposit token, chaque jeton est émis et détruit à la demande, selon le solde du compte bancaire sous-jacent. C’est ce lien 1 :1 qui garantit sa stabilité, à la façon d’un stablecoin.

Mais ici, les transactions ne sont possibles qu’entre adresses autorisées, validées par la banque selon des procédures KYC et AML très strictes. Techniquement, tout repose sur Base, la L2 d’Ethereum développée par Coinbase, choisie pour sa compatibilité EVM et ses coûts réduits. Les entreprises peuvent donc utiliser les outils du monde Ethereum tout en restant dans un environnement régulé.

Feuille de route : un déploiement progressif avant l’ouverture multi-chaînes

Le pilote du projet avait été lancé mi-2025, et l’annonce officielle de la mise en production sur Base vient d’être faite. Dans un premier temps, le JPM Coin ne fonctionne qu’en dollars américains (JPMD) et reste limité aux clients institutionnels de la banque.

Mais la feuille de route prévoit déjà d’autres évolutions : une version en euros (JPME) est en préparation, et JPMorgan envisage même une extension à d’autres blockchains. À terme, la banque pourrait proposer à ses clients d’utiliser ces tokens pour des règlements bancaires ou pour des opérations de collatéral on-chain. C’est ce que sous-entendait le CEO en 2019 :s

Best Wallet : une appli crypto facile à utiliser… et un token qui rapporte

Pendant que les gros acteurs de Wall Street débarquent dans la crypto, Best Wallet mise sur la simplicité. Cette appli multi-chain vous permet de gérer vos cryptos en quelques clics, que ce soit sur Ethereum, Solana ou BNB Chain. Interface claire, accès rapide, et tout ce qu’il faut pour suivre le marché — parfait pour celles et ceux qui veulent un wallet pratique et efficace.

Mais ce n’est pas tout. Best Wallet a aussi son propre token, le $BEST, qui sert à gagner des récompenses. Vous pouvez toucher du cashback sur vos transactions, ou faire du staking directement depuis l’appli. Et plus la plateforme ajoute des options DeFi ou NFT, plus le $BEST prend de la valeur. C’est un peu votre passeport pour profiter à fond de la finance décentralisée de demain.

Les cryptoactifs représentent un investissement risqué.

Sources : Bloomberg

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

Pour aller plus loin sur le sujet :

Wall Street sur la blockchain : JP Morgan lance le premier token bancaire JPMD sur Base

Base, le meilleur Layer 2 ethereum ? Vitalik affirme son soutien pour la blockchain de Coinbase

Wall Street s’ouvre aux cryptos : JPMorgan autorise les prêts garantis par BTC et ETH

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Fee Switch sur Uniswap : UNI évolue pour devenir un actif plus compétitif ?

Nouvelle révolution pour l’acteur historique Uniswap. Continuant sans cesse d’innover, le protocole traverse l’épreuve du temps et s’impose à ce jour comme l’un des plus gros acteurs de l’industrie. Avec une TVL qui est proche des 5 milliards de dollars, le projet s’apprête à faire une révolution de la gouvernance de son actif, le UNI. Voyons de quelle manière et si c’est une bonne nouvelle pour ce dernier.

Best Wallet, idéal pour naviguer dans la DeFi et découvrir les cryptomonnaies

Depuis la DeFi Summer de 2020, le marché crypto a connu de nombreuses innovations et tendances plus ou moins exotiques : NFTs, Fork OHM, RWA, cryptos et agents IA. Cependant, les hacks ne cessent pas. Le dernier en date, Balancer, remet les pendules à l’heure et démontre l’importance de protéger ses actifs.

Pour cela, le projet Best Wallet est idéal : une solution non-custodial, un jeton natif $BEST qui est toujours en prévente, du 2FA et de la biométrie, un DEX et un launchpad natif ainsi que de nombreuses récompenses pour les utilisateurs. Cela en fait, à ce jour, l’un des meilleurs portefeuilles Web 3. Alors, qu’attendez-vous pour le découvrir ?

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

Le Fee Switch Uniswap : quels changements pour le protocole ?

Le lundi 10 novembre, le fondateur d’Uniswap a déposé une nouvelle proposition de gouvernance auprès de la DAO, ayant pour objectif d’activer le Fee Switch. Cela vise à déployer une nouvelle vision en matière de croissance pour $UNI.

Dans cette longue proposition, qui est la première du CEO, nous retrouvons notamment les mesures suivantes :

Activation des frais de de 0,05 % sur les pools V2 et de 0,25 % sur les LP avec un taux variable sur les pools V3.

L’ensemble des frais du protocoles visent à brûler du UNI.

Mécanisme d’enchère (PFDA) pour la réduction des frais.

Un burn rétroactif de 100 millions d’UNI de la trésorerie.

Un budget de croissance augmenté avec l’acquisition de 20 millions d’UNI par an pour le financement et le développement du protocole.

Entre la période de consultation, le vote sur 5 jours et l’exécution on-chain, le délai complet pour cette proposition de gouvernance, avant de voir son adoption et son application, est de 22 jours.

Tel qu’affirmé par le CEO,

Cette proposition découle d’une forte volonté de voir le protocole Uniswap s’imposer comme plateforme d’échange décentralisée mondiale pour la valeur tokenisée.

Une aubaine à long terme pour le cours de UNI ? Cette proposition n’est pas la première en son genre. En effet, d’autres projets se tournent vers ce modèle, notamment Lido Finance, AAVE, Ethena et bien plus encore.

Un potentiel catalyseur pour une reprise haussière de la cryptomonnaie UNI

D’après les données de Sygnum, 61 % des institutions s’apprêtent à augmenter leurs allocations en crypto. Une bonne nouvelle en matière de capitaux entrants.

Les protocoles Web 3 font face à un manque criant de liquidités. Tel qu’évoqué hier au sujet des memecoins, la liquidité se déplace intra-market, de narratives en narratives. Hélas, plus beaucoup d’investisseurs entrent à ce jour sur le marché.

Avec la restructuration de sa gouvernance et son jeton, UNI pourrait devenir un actif de premier plan qui dispose d’une capacité à perdurer et évoluer dans le temps.

Suite à l’annonce du Fee Switch, vous pouvez constater un rebond qui dépasse les 70 % en H4, avant de rechuter dans la foulée de plus de 20 pourcents. Sous son EMA200 journalière, une cassure à la hausse de cette moyenne mobile pourrait faire décoller le cours sous d’anciennes résistances.

En accumulation depuis 2022, le rebond tant attendu sur UNI pourrait survenir, à condition que les derniers changements soient suffisament concrets aux yeux des investisseurs pour regagner leur confiance.

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

Pour aller plus loin sur le sujet :

Coinbase lance Launchpad, le retour des ICO est relancé ?

Ledger envisage une levée de fonds mais pas en France

Euro numérique : l’Italie veut une mise en place progressive

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Le prix du HBAR augmente alors qu’Hedera rejoint Google BigQuery pour un accès transparent aux données

Les entreprises et les développeurs peuvent désormais consulter l’historique complet des transactions d’Hedera sur Google BigQuery.
Ils peuvent suivre les NFT, les tendances DeFi et les actifs tokenisés sur plusieurs plateformes.
Le prix de HBAR a gagné près de 10 % au cours des dernières 24 heures.

Alors que le marché des crypto-monnaies laisse entrevoir des reprises, Hedera Hashgraph s’est orienté vers l’amplification de la transparence de la blockchain.

Selon le communiqué de presse d’aujourd’hui, la blockchain a rejoint les ensembles de données publics de Google BigQuery.

Grâce à cette intégration, les développeurs, les entreprises et les analystes peuvent interroger l’historique complet des transactions d’Hedera, à l’instar des principaux réseaux tels que Bitcoin, Ethereum, Avalanche et Tron.

Hedera has been added to @GoogleCloud BigQuery public datasets, enabling highly scalable cross-chain data accessibility.

As we continue to onboard the world’s largest organizations – this provides core infrastructure for institutional-grade DeFi and enterprise applications 🧵 pic.twitter.com/OTJFerAd96

— Hedera Foundation (@HederaFndn) November 10, 2025

L’article de blog officiel a souligné :

Hedera faisant désormais partie des ensembles de données publics de BigQuery, les utilisateurs peuvent effectuer des recherches et des analyses inter-chaînes à une échelle sans précédent. L’engagement de la Fondation Hedera en faveur de la transparence et de l’accessibilité est encore renforcé par ce projet, qui donne aux développeurs et aux entreprises des informations essentielles sur la blockchain.

Grâce à cette décision, les utilisateurs peuvent désormais analyser l’activité de la blockchain sans avoir à gérer leur propre infrastructure.

Ils peuvent accéder facilement à des ensembles de données prêts à l’emploi qui mettent en évidence des informations détaillées sur l’activité des jetons, le volume de transactions et les performances du réseau.

Par exemple, les entreprises peuvent comparer les vitesses et les coûts de transaction entre Hedera et d’autres plateformes.

En outre, ils peuvent suivre les NFT, les tendances DeFi et les actifs tokenisés.

Hedera fait progresser l’accessibilité de la blockchain grâce à des alliances stratégiques

L’intégration des statistiques HBAR dans Google BigQuery fait suite aux efforts de collaboration entre la Fondation Hedera, les développeurs Hedera, Ariane Labs et les ingénieurs de Hashgraph.

L’objectif principal est de rendre les données Hedera accessibles et comparables à celles de différentes blockchains afin d’améliorer la transparence tout en enrichissant l’adoption par les entreprises.

Des statistiques fiables, ouvertes et interrogeables peuvent aider les entreprises à intégrer des ensembles de données blockchain dans des secteurs tels que la recherche DeFi, le suivi ESG, la gestion de la chaîne d’approvisionnement et le développement du web3.

De plus, l’initiative s’appuie sur l’infrastructure de Google Cloud pour s’assurer que les statistiques Hedera sont à jour et essentielles pour différentes applications.

L’équipe a ajouté :

En rendant les données historiques Hedera librement accessibles, les opportunités d’innovation, de recherche comparative sur la blockchain et d’analyse d’entreprise sont plus vastes que jamais.

Analyse des prix HBAR

Le jeton natif d’Hedera se négocie à 0,1896 $ après avoir gagné plus de 9 % au cours des dernières 24 heures.

La hausse de 135 % du volume quotidien des transactions signale un regain d’intérêt des acheteurs, suggérant davantage de gains pour l’altcoin.

HBAR se négocie au-dessus d’une barrière de support clé de 0,1888 $.

La dynamique actuelle peut soutenir des poussées vers la résistance initiale à 0,1972 $.

Surmonter cet obstacle peut soutenir des rallyes importants à court terme.

Les indicateurs techniques suggèrent plus de gains pour le jeton d’Hedera.

L’indice de force relative sur 4 heures de 63 signale la dynamique des acheteurs.

De plus, la divergence de convergence de la moyenne mobile au-dessus de la ligne de signal avec des histogrammes verts massifs signale une dynamique haussière.

De plus, HBAR dispose de divers catalyseurs qui pourraient soutenir des gains robustes dans les temps à venir.

Par exemple, le fonds négocié en bourse Hedera au comptant approuvé a ouvert les portes aux institutions et à la participation des investisseurs traditionnels.

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Crypto : YouTube clarifie sa position et ne bannira pas les vidéos sur le gaming lié aux NFT

Des clarifications nécessaires. La plateforme de diffusion de vidéos YouTube a récemment annoncé une mise à jour de sa politique concernant les contenus liés aux jeux de hasard (gambling), provoquant notamment une vague d’inquiétude parmi les créateurs de certains contenus cryptos. Cette nouvelle directive, qui entrera en vigueur le 17 novembre prochain, semblait interdire les redirections vers des sites proposant des objets ayant une valeur monétaire, comme possiblement les skins et différents cosmétiques de jeux vidéo, ainsi que les NFT (tokens non fongibles). Cependant, face à la vive réaction de la communauté, YouTube a clarifié sa position.

Les points clés de cet article :
La mise à jour de la politique de YouTube sur les contenus liés aux jeux de hasard a initialement suscité des inquiétudes chez les créateurs de contenus crypto. YouTube a finalement clarifié que les contenus relatifs aux NFT et aux skins de jeux vidéo ne seraient pas affectés par cette mise à jour.
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Crypto et NFT : YouTube rassure les créateurs de contenu

Selon un porte-parole de YouTube cité par DeCrypt, les contenus montrant des skins et cosmétiques de jeux vidéo, ou des discussions générales sur des objets avec une valeur monétaire réelle, tels que les NFT donc, ne seront en fait pas affectés par cette mise à jour.

La crainte initiale venait du fait que certains éléments du gaming moderne, comme l’ouverture de caisses dans Counter-Strike 2 par exemple, sont souvent comparés à des jeux de hasard. Dans le domaine du crypto gaming, cette allégation est encore plus marquée, car les objets NFT peuvent être vendus contre des cryptomonnaies.

Cette récente clarification de YouTube est un soulagement pour de nombreux créateurs de contenu. Ni les NFT, ni les éventuelles memecoins pouvant être gagné via des jeux vidéo ne seront concernés par ce bannissement de vidéos liées à des jeux de hasard.

Une politique axée sur la lutte contre les jeux d’argent en ligne

La politique renforcée de YouTube vise en fait principalement (et logiquement) les sites de jeux d’argent en ligne, et non les expériences de crypto gaming légitimes. Sa décision semble être une réponse à la montée des sites de casino en tant que sponsors parmi les créateurs de contenu.

Il est important de noter que les sites de casino « certifiés par Google » ne seront toutefois pas impactés par cette interdiction. Les opérateurs de tels sites peuvent demander cette certification de Google s’ils répondent à des exigences spécifiques à chaque région/juridiction.

En somme, il semblerait qu’il s’agisse d’une mise à jour apportant une amélioration raisonnable et saine de la politique de YouTube, sans impacter de façon inutilement excessive certains vidéos de crypto gaming impliquant des NFT ou memecoins échangeables en cryptomonnaies.

Bien que la mise à jour de la politique de YouTube ait initialement suscité des inquiétudes, au final, tant que des promesses de gains rapide ou de liens avec des sites de casino ne sont pas faites, il n’y aura donc pas de bannissements. YouTube continuera de son côté de lutter contre les contenus liés aux jeux d’argent en ligne, tout en laissant donc une marge de manœuvre aux créateurs de contenu crypto et gaming légitimes. Quant au public, il devra rester vigilant face aux pures arnaques qui fleurissent toujours sur la plateforme vidéo.

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Crypto : La Corée du Nord utilise l’IA pour ses hacks d’après Google

L’IA au service du mal. Les hackers nord-coréens de Lazarus sont à l’origine de nombreux hacks dans notre écosystème et récemment, les chercheurs de Google ont fait une découverte. Le groupe de pirates à la solde de Pyongyang utiliserait désormais l’intelligence artificielle pour améliorer ses logiciels d’attaques. Et ce n’est pas une bonne nouvelle.

Les points clés de cet article :Les hackers nord-coréens de Lazarus ont utilisé l’intelligence artificielle pour perfectionner leurs logiciels malveillants.
Google a identifié ces malwares utilisant des modèles de langage pour rendre le code illisible et plus difficile à détecter.
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Les hackers de Lazarus utilisent l’IA pour améliorer ses malwares

Les équipes de Google Threat Intelligence Group ont donc tiré la sonnette d’alarme, car ces derniers ont identifié plusieurs malwares qui utilisent l’intelligence artificielle. Ainsi, ces logiciels malveillants utilisent des modèles de langage comme Gemini ou Qwen2.5-Coder pour générer ou obfusquer du code (c’est-à-dire le rendre illisible).

Cette méthode a été baptisée par Google « just-in-time code creation ». En pratique, cela permet aux hackers d’améliorer continuellement leur malware en le rendant par exemple pus difficile à détecter.

Parmi les groupes identifiés, Google a mis en lumière le groupe UNC1069 (Masan), un groupe de hackers nord-coréens. Ils sont notamment connus pour leurs campagnes de hacks ciblant les entreprises de notre écosystème.

Selon les équipes de Google, les pirates Nord-coréens utilisent l’IA pour améliorer leurs logiciels malveillants

L’IA : une arme à double tranchant

Toulours selon Google, le groupe a aussi utilisé Gemini pour localiser les données des applications de wallet, générer des scripts pour accéder aux stockages chiffrés et composer des contenus de phishing multilingues. Depuis son avènement, l’IA est devenue un outil indispensable pour de nombreux développeurs.

Malheureusement, elle est également utilisée par les pirates. En février dernier, les chercheurs de chez CheckPoint avaient déjà tiré la sonnette d’alarme. Ainsi, ils avaient identifié de nombreux hackers qui utilisaient ChatGPT pour créer des malwares. Plus récemment, ce sont les IA génératives qui ont été pointées du doigt, car elles étaient utilisées pour créer des NFT frauduleux.

Les pirates utilisent donc absolument tous les outils à leur portée pour arriver à leurs fins, que ce soit de la haute technologie comme avec les IA, mais aussi des moyens plus rudimentaires. On a ainsi appris récemment qu’ils tentaient d’infiltrer des start-ups crypto en se faisant passer pour des techniciens ou des ingénieurs, ou qu’ils mettaient carrément au point de faux entretiens d’embauche pour piéger leurs victimes.

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Ethereum : La blockchain pulvérise des records en octobre !

Ethereum, le prince des blockchains. Le mois dernier, Ethereum a pulvérisé tous ses records. En effet, plus de 2 820 milliards de dollars de stablecoins indexés sur le dollar y ont circulé en un seul mois. Cela représente 45 % de plus qu’en septembre. Un chiffre vertigineux, qui illustre à quel point le réseau est en train de se transformer : d’un simple écosystème crypto, il devient une véritable infrastructure mondiale de règlement en dollars numériques. Les détails.

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Stablecoins : Les grands gagnants du mois sur Ethereum

Trois stablecoins ont concentré l’essentiel des échanges :

USD Coin (USDC) : environ 1 620 milliards $,

Tether (USDT) : 895,5 milliards $,

DAI (MakerDAO) : 136 milliards $.

En clair, ces trois tokens se taillent la part du lion. Leur domination montre à quel point les dollars numériques “on-chain” sont devenus un pilier central de l’économie crypto.

Pourquoi un tel emballement sur la blockchain ?

Plusieurs dynamiques se sont croisées.

D’abord, le contexte de marché. Alors que Bitcoin reculait de 11 % et Ethereum de 16 %, de nombreux investisseurs ont cherché refuge dans les stablecoins. De fait, en période de turbulence, ces tokens servent souvent de port d’attache. Ils sont une manière de conserver des liquidités prêtes à être réinvesties.

Ensuite, le phénomène du rendement. Beaucoup de capitaux en stablecoins ont été placés dans des produits à rendement (DeFi, prêts, staking, etc.).

Cette rotation continue du capital crée un effet boule de neige. Ainsi, un même dollar peut circuler plusieurs fois, ce qui gonfle mécaniquement les volumes enregistrés sur la blockchain.

Enfin, le rôle d’Ethereum. La quasi-totalité des transactions a eu lieu sur ce réseau, confirmant sa position de leader incontesté des règlements en stablecoins.

Aujourd’hui, Ethereum n’est plus seulement un terrain d’expérimentation pour les développeurs : c’est devenu le principal canal mondial des flux de dollars numériques.

À lire églament : Découvrez notre Top 3 des stablecoins les plus sûrs en 2025

Attention aux chiffres bruts

Ces volumes impressionnants méritent toutefois d’être interprétés avec prudence.

Ils représentent des transactions on-chain, pas nécessairement des paiements dans l’économie réelle. Une grande part correspond à des échanges internes, des swaps ou des réallocations DeFi.

Et si certains annoncent déjà des « rendements horaires à 12 % » ou des « paiements d’entreprises instantanés en USDC », rien ne vient encore étayer publiquement ces affirmations.

Autre point de vigilance : la concentration de l’activité entre quelques émetteurs. Si l’un d’eux rencontrait un problème de conformité ou de réserves, l’ensemble de l’écosystème pourrait être secoué.

Pourquoi c’est un tournant : Les stablecoins piliers de la crypto

Ce qui frappe avant tout, c’est l’échelle.

Les stablecoins ne sont plus un outil marginal : ils sont devenus des rails financiers à part entière.

Avec des tokens comme USDC et USDT en tête, ils servent désormais de pont entre la crypto et l’économie réelle, facilitant paiements, gestion de trésorerie et transferts internationaux, même si l’usage concret reste encore difficile à quantifier.

Sur le plan institutionnel, ces volumes records vont forcément attirer l’attention des régulateurs.

En Europe, le règlement MiCA, dont l’application complète est prévue pour 2026, imposera de nouvelles exigences de transparence et de gouvernance.

Et pour Ethereum, c’est une consécration : la blockchain s’impose comme une infrastructure universelle de règlement, bien au-delà des smart contracts ou des NFTs.

On parle désormais d’un véritable socle du dollar numérique.

L’avis de 21M  : l’avenir du monde financier s’écrit en stablecoins

21M est la communauté des investisseurs cryptos à l’origine du Club 25%, une stratégie conçue pour générer un rendement stable de 25% par an, pendant 10 ans, sans trading actif.

Comme ce mois d’octobre 2025 l’a démontré, les stablecoins ne sont plus un outil d’initiés, mais une couche essentielle de l’économie numérique mondiale.

Le défi, désormais, sera de convertir cette puissance transactionnelle en usages concrets (paiements, trésorerie, commerce international) tout en maintenant les garanties de transparence et de conformité qu’exige le monde institutionnel.

Le Club 25% n’est pas un pari : c’est une stratégie. Nous aidons les investisseurs à comprendre et exploiter ces canaux pour générer des revenus réguliers, transparents et durables.

Découvrez comment faire partie des premiers à profiter de cette nouvelle révolution financière

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Bearmarket pour les cryptomonnaies ? Les niveaux à surveiller sur bitcoin et ethereum

La situation est critique. L’ensemble de l’industrie évolue dans le rouge. Pendant que bitcoin se rapproche des 100 000 dollars, ethereum est aux porte des 3 000 dollars. Avec la chute des deux plus importants actifs du secteur, cela n’arrange en rien l’action de prix pour les altcoins. De plus en plus d’investisseurs estiment que le bearmarket est amorcé. Est-ce vrai ? Faisons un bilan sur la situation technique actuelle.

Retour du bitcoin à 70 000 dollars ? Un scénario envisageable ?

Le mois de novembre ne démarre pas dans les meilleures conditions. L’ensemble des actifs du secteur peinent à remonter la pente ou plutôt, chutent à toute vitesse sous d’anciens supports. Même les plus solides, tels que HYPE ou BNB, n’échappent pas à la situation actuelle.

Malgré des perspectives réglementaires favorables aux États-Unis, ainsi qu’un potentiel ETF BTC spot en Australie, le roi des cryptomonnaies n’est pas en capacité de regagner le pivot à plus de 110 000 dollars. Résultat ? Le cours accentue sa baisse, se retrouvant autour des 100 000 dollars. Ce que l’on constate, c’est un passage sous l’EMA 200 1D ainsi que la MA 100 3D. En perdant ces moyennes mobiles en HTF, les signaux convergent vers un seul scénario : une baisse prolongée du marché durant les prochains mois.

Toutefois, cela signifie réellement le début d’un marché baissier (également appelé BearMarket) ? D’après le graphique BTC/USD, la tendance sur l’unité 3D n’est pas neutre. Elle est devenue baissière, les acheteurs sont sur la touche et plusieurs niveaux clés ont été perdus. Pour obtenir une analyse affinée à ce sujet, nous vous invitons à consulter notre dernière analyse sur bitcoin en LTF.

En l’espèce, le niveau à 100 000 dollars est essentiel. Si le cours clôture sous ce seuil, cela ouvrira la voie aux 87 000 dollars (confluence avec l’EMA200) et aux 73 000 dollars dans un scénario baissier extrême : un retour sur les sommets de 2024 avec une baisse supplémentaire de 27 %. À éviter à tout prix pour ne pas faire face à un bain de sang sur les cryptomonnaies.

Malgré cette situation, d’autres projets émergent à ce jour et se construisent on-chain. C’est notamment le cas de Bitcoin Hyper, le premier Layer 2 BTC qui construit le futur de la BTCfi : memecoins, NFT, explorer et bien plus encore. Avec $HYPER en prévente, l’intérêt est double : s’exposer au roi des cryptomonnaies tout en capitalisant sur l’innovation on-chain.

Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.

Ethereum chute, les altcoins dans la même dynamique ?

La situation n’est pas bien meilleure pour ethereum. À la différence de bitcoin, ETH peine à inscrire de nouveau sommets sur le marché. Évoluant dans un range depuis le début d’année 2024 entre les 2 100 dollars et les 4 100 dollars, une sortie à eu lieu à deux reprises, à la fois sur la borne haute et la borne basse.

Ayant une grande influence sur les altcoins, cela n’est pas étonnant si ces derniers sont dans le rouge. Ethereum se rapproche dangereusement du pivot autour des 3 000 dollars, en confluence avec l’EMA200. Pour éviter un retour à 2 000 dollars, c’est la zone qu’il faut défendre impérativement.

Plus globalement, le bearmarket, bien qu’il soit dans la tête d’un grand nombre de personnes, il n’est pas vraiment confirmé. Bien que bitcoin et ethereum marquent une forte baisse, la situation en HTF (High Time Frame) reste rassurante.

Des supports sont perdus, mais l’espoir est là. Cependant, un scénario de rebond ne restera pas sur la table indéfiniment. Pour mettre un terme à ce qui se passe actuellement, ETH et BTC doivent rebondir au plus vite, dans l’idéal d’ici fin novembre. Sinon, cela s’annoncera compliqué.

Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés.

Pour aller plus loin sur le sujet :

Pourquoi le marché crypto est dans le rouge aujourd’hui ?

Strategy s’attaque à l’Europe avec une action en euros

Bitcoin se dirige à 80 000 dollars ? Les niveaux à surveiller pour la fin d’année 2025

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