Paré au décollage – Cardano déploie le hard fork Mary et s’apprête à devenir une blockchain multi-actif

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Un concurrence sérieuse à Ethereum ? – Cela fait maintenant plusieurs mois que les aficionados de Cardano attendent ce moment, et il est enfin arrivé. Le hard fork Mary, qui introduit la possibilité de créer des jetons sur cette blockhain, a été déployé.

Cardano, un ETH-Killer ?

Lancé en 2018, Cardano est une blockchain concurrente à Ethereum. En effet, celle-ci ambitionne de créer un écosystème de smart contract similaire à Ethereum.

Il aura fallu attendre juillet 2020 pour voir le proof of Stake déployé sur Cardano via le hard fork Shelley. Sur ce point, Cardano a une longueur d’avance sur Ethereum. Cependant, certains éléments clés, tels que le multi-actif ou les smart contracts, manquaient toujours à l’appel.

Avec le déploiement du hard fork Mary le 1er mars, Cardano réduit l’écart en introduisant le multi-actif sur la blockchain.

1er mars 2021 : « une date historique »

« Historique », c’est le qualificatif utilisé par Charles Hoskinson, fondateur de Cardano, pour décrire le hard fork Mary. C’est effectivement le 1er mars que le hard fork sera présent sur le mainnet.

Après plusieurs mois de tests, celui-ci va permettre de créer d’autres jetons que l’ADA – jeton natif de la blockchain – sur Cardano. Pour faire simple, les utilisateurs pourront créer des jetons sur Cardano, de la même manière qu’il est possible de créer des ERC-20 sur Ethereum.

Contrairement à Ethereum, ces jetons ne nécessitent pas de smart contract pour être émis. Autre différence : les transactions entre jetons natifs à Cardano ne requièrent que peu de frais.

« Comme les tokens natifs ne nécessitent pas de smart contract pour transférer leur valeur, les utilisateurs pourront envoyer, recevoir et émettre leurs tokens, sans payer les frais de transaction requis pour un smart contract ou ajouter une logique de traitement des événements pour suivre les transactions. »

Déclaration de Tim Harrison, fondateur de Cardano

Grâce à cette mise à jour, Cardano pourrait voir fleurir les projets DeFi ou de NFT sur sa blockchain, au détriment d’autres blockchains à smart contracts.

Bien qu’il y ait un engouement fort autour de Cardano, il faudra désormais convaincre les développeurs de migrer vers lui. En l’état, rien ne garantit qu’ils passeront le pas, alors même que les smart contracts, permettant de développer des applications décentralisées comparables à la DeFi ou de la Binance Smart Chain, ne sont pas encore implémentés.

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Blockchain: comment les NFT deviennent-ils les objets de collection du futur?

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Ils sont des dizaines de milliers à se ruer sur la plateforme Top Shot, pour acheter en ligne des séquences vidéos de matches de basket, symbole du succès fulgurant des objets virtuels « NFT » auprès des collectionneurs, des fans de sport aux amateurs d’art. Pour le commun des mortels, c’est un clip d’une dizaine de secondes, qui montre une action spectaculaire de LeBron James, star de la ligue nord-américaine de basket NBA. Mais sur Top Shot, c’est un objet de collection, vendu lundi 208 000 dollars.

Cette séquence vidéo est un « NFT », un « non-fungible token », ou jeton non fongible: un objet virtuel à l’identité, l’authenticité et la traçabilité en théorie incontestables et inviolables, grâce à la technologie dite de la « blockchain », utilisée pour les cryptomonnaies telles le bitcoin, en plein essor. Lancée début octobre par la société Dapper Labs, en partenariat avec la NBA, Top Shot permet d’acheter et de vendre ces extraits vidéos, appelés « moments », à des prix variables selon leur rareté. Dapper Labs conçoit puis vend ces clips, dans des quantités variables allant d’un seul exemplaire à des centaines de « moments » identiques. Une fois sur la plateforme, ils peuvent changer de main, d’un collectionneur à l’autre, à l’infini.

Un marché à 1,8 milliard de dollars

Après des débuts en douceur, Top Shot a explosé depuis janvier, au point de générer plus de 200 millions de dollars de transactions depuis début 2021, a indiqué une porte-parole de Dapper Labs. Top Shot se rapprochait mercredi de la barre des 100 000 acheteurs, a-t-elle précisé. Le site de valorisation Momentranks estime le marché actuel à 1,8 milliard de dollars. Paradoxe, la plupart de ces extraits vidéo sont visibles gratuitement ailleurs sur internet, principalement sur YouTube. « Je comprends tout à fait la réaction initiale, qui est de dire ‘Je ne saisis pas’ ou ‘Ça a l’air débile’ », a écrit Jonathan Bales, qui a dépensé 35 000 dollars pour un « moment » et écrit une tribune de référence sur son blog Lucky Maverick.

« Mais il y a toute une génération de gens jeunes et intelligents qui ont grandi d’une façon totalement différente de vous et moi », ajoute-t-il. « Donc que nous comprenions ou non l’avenir est sans conséquence sur ce qu’il sera. » « J’ai ouvert un compte, et d’un seul coup, j’ai eu un déclic », se souvient Steve Poland, créateur du site Mighty Minted. « C’est ça, l’avenir. Ça va être ça, les objets de collection du futur. » Les amateurs voient dans les « NFT » une alternative à un marché de collection souvent non régulé et opaque, qu’il s’agisse de cartes de baseball ou de tableaux de maîtres. « La technologie est supérieure à celle du monde physique », avance Steve Poland. « Il y a de faux Picasso, de faux Van Gogh. Mais nous avons la confirmation que ceci est authentique. »

De violentes fluctuations comme pour les cryptomonnaies?

Jeudi, Christie’s a été la première grande maison d’enchères à mettre en vente une oeuvre « NFT », « The First 5 000 Days » de l’artiste numérique américain Beeple. C’est « un tournant pour l’avenir des nouveaux médias et même pour la façon de collectionner toute entière », a estimé Noah Davis, expert chez Christie’s, dans un communiqué. Quelques heures seulement après le début de la vente, à un prix d’ouverture de 100 dollars, l’oeuvre atteignait déjà 2,4 millions de dollars. La vente doit durer jusqu’au 11 mars. Noah Davis compare l’émergence de cette forme de collection à celle du street art, passé d’une pratique illégale et déconsidérée à un courant majeur de l’art contemporain en quelques décennies. L’art basé sur le « NFT » est, selon lui, « en passe de devenir la prochaine force perturbatrice du marché de l’art ».

Au-delà du marché de l’art, Steve Poland voit tous les grands sports se lancer. Jeudi, la plateforme française Sorare, consacrée au football, a annoncé avoir levé 50 millions de dollars auprès d’investisseurs. Acteur historique des cartes de collection, Panini a lui aussi créé un site qui fonctionne avec la blockchain. De manière générale, Steve Poland voit ce nouveau marché profiter d’abord aux marques fortes, comme la NBA, déjà bien connues du grand public et susceptibles d’inspirer confiance dans un univers complètement nouveau. Quant aux prix, faut-il craindre de violentes fluctuations, comme pour les cryptomonnaies? « Certains prix sont un peu fous » et « il y aura une correction à un moment donné », prévoit Steve Poland. « Mais pour moi, dans dix ans, les prix actuels sur Top Shot auront l’air bon marché. »

Grimes sold $6 million worth of digital art as NFTs

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Photo credit should read ROBYN BECK/AFP via Getty Images

Grimes is the latest artist to get in on the NFT gold rush, selling around $6 million worth of digital artworks after putting them up for auction yesterday.

A series of 10 pieces — some one of a kind, others with thousands of copies — went up for sale on Nifty Gateway on February 28th. The highest-selling piece was a one-of-a-kind video called “Death of the Old” that involves flying cherubs, a cross, a sword, and glowing light that’s set to an original song by Grimes. The winning bidder took it for nearly $389,000.

The bulk of the sales came from two pieces with thousands of copies available that sold for $7,500 each. The works, titled “Earth” and “Mars,” are both short videos featuring their titular planet with a giant cherub over it holding a weapon, also set to original music. Nearly 700 copies were sold for a total of $5.18 million before sales closed.

If you’re totally perplexed as to what’s happening here, welcome to the party. After slowly growing in popularity over the past several months, NFTs exploded over the past week or so as the hot new tech thing. The tech — which stands for “non-fungible token” — allows buyers to purchase ownership of a digital good, usually an image, animation, or video, in the form of a unique digital token living on a blockchain.

NFTs allow buyers to support artists, but it also gives buyers a couple things in return. Buyers may not get to hang these digital pieces on their wall, but they might get bragging rights for purchasing a famous work like Nyan Cat or something from a popular artist like Grimes. NFTs are also a speculative asset, and many marketplaces have popped up that offer the ability to resell them — theoretically for a lot more, so long as the hype around NFTs continues.

Grimes isn’t the only artist to have made out big on NFTs already. The digital artist Beeple sold $3.5 million worth of art through Nifty Gateway last year. The artist behind Nyan Cat made around $600,000. And the electronic musician 3LAU reportedly made more than $11 million from album sales and digital goods just this weekend.

Nifty Gateway said that an undisclosed percentage of Grimes’ sales would go to Carbon180, a nonprofit focused on removing carbon from the atmosphere. The donations may be meant to address one of the major problems that NFTs share with other blockchain technologies — they’re hugely inefficient in their electricity use.

Each of the works is part of Grimes’ “WarNymph” collection, made in collaboration with her brother Mac Boucher. Grimes debuted War Nymph in 2019 and initially used the “digital persona” slash “alternative psyche” to promote her album Miss Anthropocene. War Nymph’s appearance has changed over time, morphing into the vaguely demonic winged baby seen in these NFTs last January, shortly before she confirmed her pregnancy.

Correction March 1st, 11:15PM ET: Yesterday was February 28th, not November 28th, as this article very clearly misstated.

What are NFTs? | Boing Boing

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Sean Bonner wrote a good introductory piece to NFTs (non-fungible tokens), which can be used to sell and trade digital works of art. Sean (who is selling NFTs of his cool glitched photography) got me interested in making some NFTs of my own, which I’m calling ottomatika. I just released 10 of them at 0.02 ETH each.

From Sean’s piece:

An artist can « tokenize » a piece of work and then sell it, and the buyer can prove that what they just bought is the original thing sold by the artist. And because the blockchain is public, every time that artwork changes hands it’s recorded in a public ledger and at any point someone can verify the piece is legitimate and trace the chain of custody all the way back to the artist who originally released it. (Or the impersonator, as the case may be) Like an old library check out card, the blockchain records who owned it for how long, and if it was given to them or if they bought it, and if they did how much they paid. Which is a fascinating way to track value fluctuation (hopefully appreciation) over time.

I think this is one of the biggest and most important details – whoever originally creates the NFT is hard coded into the ledger and can specify a royalty that they should receive anytime the work is sold in the future. Traditionally secondary market sales happen like this: Andy makes a painting and asks Larry to sell it for him. Larry has a gallery and sells Andy’s painting to Kirk. Andy typically gets 50% of that sale. So if Kirk bought it for $1000, Andy just made $500. Larry did too, but that’s a different story. Anyway, say 10 years later Andy has become a much more popular artist and Kirk decides to sell that painting and asks Christie to sell it for him, Christie will take a 20% fee for doing that and 80% will go to Kirk. Andy gets nothing. So if Christie sells that painting for $1M, Kirk makes $799,500, Christie makes $200,000, but Andy gets nothing. He’s still only got that original $500 from Larry. However if that painting was an NFT, and Andy is the one who made it Andy could specify that anytime that work is ever sold in the future, he gets a % of that sale.

Blockchain: comment les NFT deviennent-ils les objets de collection du futur?

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Ils sont des dizaines de milliers à se ruer sur la plateforme Top Shot, pour acheter en ligne des séquences vidéos de matches de basket, symbole du succès fulgurant des objets virtuels « NFT » auprès des collectionneurs, des fans de sport aux amateurs d’art. Pour le commun des mortels, c’est un clip d’une dizaine de secondes, qui montre une action spectaculaire de LeBron James, star de la ligue nord-américaine de basket NBA. Mais sur Top Shot, c’est un objet de collection, vendu lundi 208 000 dollars.

Cette séquence vidéo est un « NFT », un « non-fungible token », ou jeton non fongible: un objet virtuel à l’identité, l’authenticité et la traçabilité en théorie incontestables et inviolables, grâce à la technologie dite de la « blockchain », utilisée pour les cryptomonnaies telles le bitcoin, en plein essor. Lancée début octobre par la société Dapper Labs, en partenariat avec la NBA, Top Shot permet d’acheter et de vendre ces extraits vidéos, appelés « moments », à des prix variables selon leur rareté. Dapper Labs conçoit puis vend ces clips, dans des quantités variables allant d’un seul exemplaire à des centaines de « moments » identiques. Une fois sur la plateforme, ils peuvent changer de main, d’un collectionneur à l’autre, à l’infini.

Un marché à 1,8 milliard de dollars

Après des débuts en douceur, Top Shot a explosé depuis janvier, au point de générer plus de 200 millions de dollars de transactions depuis début 2021, a indiqué une porte-parole de Dapper Labs. Top Shot se rapprochait mercredi de la barre des 100 000 acheteurs, a-t-elle précisé. Le site de valorisation Momentranks estime le marché actuel à 1,8 milliard de dollars. Paradoxe, la plupart de ces extraits vidéo sont visibles gratuitement ailleurs sur internet, principalement sur YouTube. « Je comprends tout à fait la réaction initiale, qui est de dire ‘Je ne saisis pas’ ou ‘Ça a l’air débile’ », a écrit Jonathan Bales, qui a dépensé 35 000 dollars pour un « moment » et écrit une tribune de référence sur son blog Lucky Maverick.

« Mais il y a toute une génération de gens jeunes et intelligents qui ont grandi d’une façon totalement différente de vous et moi », ajoute-t-il. « Donc que nous comprenions ou non l’avenir est sans conséquence sur ce qu’il sera. » « J’ai ouvert un compte, et d’un seul coup, j’ai eu un déclic », se souvient Steve Poland, créateur du site Mighty Minted. « C’est ça, l’avenir. Ça va être ça, les objets de collection du futur. » Les amateurs voient dans les « NFT » une alternative à un marché de collection souvent non régulé et opaque, qu’il s’agisse de cartes de baseball ou de tableaux de maîtres. « La technologie est supérieure à celle du monde physique », avance Steve Poland. « Il y a de faux Picasso, de faux Van Gogh. Mais nous avons la confirmation que ceci est authentique. »

De violentes fluctuations comme pour les cryptomonnaies?

Jeudi, Christie’s a été la première grande maison d’enchères à mettre en vente une oeuvre « NFT », « The First 5 000 Days » de l’artiste numérique américain Beeple. C’est « un tournant pour l’avenir des nouveaux médias et même pour la façon de collectionner toute entière », a estimé Noah Davis, expert chez Christie’s, dans un communiqué. Quelques heures seulement après le début de la vente, à un prix d’ouverture de 100 dollars, l’oeuvre atteignait déjà 2,4 millions de dollars. La vente doit durer jusqu’au 11 mars. Noah Davis compare l’émergence de cette forme de collection à celle du street art, passé d’une pratique illégale et déconsidérée à un courant majeur de l’art contemporain en quelques décennies. L’art basé sur le « NFT » est, selon lui, « en passe de devenir la prochaine force perturbatrice du marché de l’art ».

Au-delà du marché de l’art, Steve Poland voit tous les grands sports se lancer. Jeudi, la plateforme française Sorare, consacrée au football, a annoncé avoir levé 50 millions de dollars auprès d’investisseurs. Acteur historique des cartes de collection, Panini a lui aussi créé un site qui fonctionne avec la blockchain. De manière générale, Steve Poland voit ce nouveau marché profiter d’abord aux marques fortes, comme la NBA, déjà bien connues du grand public et susceptibles d’inspirer confiance dans un univers complètement nouveau. Quant aux prix, faut-il craindre de violentes fluctuations, comme pour les cryptomonnaies? « Certains prix sont un peu fous » et « il y aura une correction à un moment donné », prévoit Steve Poland. « Mais pour moi, dans dix ans, les prix actuels sur Top Shot auront l’air bon marché. »

Mary, la mise à jour de Cardano (ADA), arrive

Le fondateur de Cardano Charles Hoskinson. Mary, la mise à jour de Cardano (ADA) arrive, apportant au réseau des jetons natifs, de type finance décentralisée (DeFi) ainsi que des jetons non fongibles (NFT). Nous vous avons récemment présenté ce projet ici.
« Mary » est presque arrivée, tout comme les actifs natifs selon le tweet du 1er mars de la

Première vente d’album sous forme de NFT : 3LAU récolte 11,7 millions de dollars

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3LAU, célèbre DJ américain, a fait parler de lui suite à une vente aux enchères particulièrement originale. L’artiste a vendu l’un de ses albums pour un total de 11,7 millions de dollars en le divisant en 33 NFT, chacun offrant un contenu unique aux acheteurs.

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Les entreprises vont se transformer grâce à l’industrie crypto

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Les générations futures ne connaîtront-elles pas les délices de la complexité des dossiers de crédit bancaire ? Mark Cuban estime que les cryptomonnaies sont en train de changer le fonctionnement de base des entreprises. La DeFi est encore jeune, mais elle a déjà réussi à éliminer les frictions des prêts bancaires.

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L’enfer des crédits bancaires

Pour Mark Cuban, les cryptomonnaies vont transformer fondamentalement le fonctionnement des entreprises. 

Il a indiqué lors d’une interview avec Jason Calacanis d’Angel Podcast que la blockchain et la DeFi sont sur le point de révolutionner de nombreuses industries. 

Selon Cuban, les entreprises et les particuliers se rendront compte qu’ils peuvent accéder à un système financier simplifié sans les tracas inhérents aux opérations bancaires traditionnelles, au fur et à mesure que la DeFi se développe et devient plus conviviale. 

Le milliardaire a notamment pointé du doigt les difficultés pour contracter un crédit bancaire : “Pour moi, obtenir un prêt de la banque est un tracas… quel que soit le montant de mes actifs”. 

Il a souligné la facilité des prêts DeFi : “vous allez sur Compound, j’utilise Aave, et vous y mettez juste l’argent et si je veux emprunter 2 500 USD, cela me prend moins de 15 secondes”. 

Pas de démocratisation sans simplification

Bitcoin (BTC) peut aujourd’hui être utilisé à titre de garantie pour des emprunts DeFi. L’Ether (ETH) permet de profiter des fonctionnalités offertes par les réseaux – contrats intelligents, etc. 

Bitcoin et l’Ether sont alors plus que des monnaies. De plus en plus de projets DeFi voient le jour et participent à la tokénisation croissante du monde physique. 

Les tokens NFT permettent à la DeFi de s’attaquer à des secteurs qui, traditionnellement, sont pourtant considérés comme éloignés de la finance – art, gaming, etc.

La DeFi ambitionne de démocratiser le système financier ; son adoption est pour le moment compliquée par la complexité – réelle ou supposée – des protocoles DeFi. 

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L’utilisation de ces derniers n’est pas forcément intuitive et nécessite un minimum de connaissances dans les différents mécanismes des cryptomonnaies et de la blockchain. 

Certains ont du mal à imaginer le monde d’avant Internet, les futures générations auront du mal à imaginer le monde d’avant les cryptomonnaies. Les protocoles DeFi devraient faciliter sur le moyen et le long terme l’accès aux crédits pour les entreprises et les particuliers. Fini le temps où “j’ai une bonne idée mais je n’ai pas de capital” fut l’excuse la plus courante pour les individus qui hésitaient à se lancer dans l’entrepreneuriat. 

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Litecoin, welcome in the Silver Age

Retrouver l’article original de Zoe De la Roche ici: Lien Source

Plateforme NFT20 – Le DEX spécialisé dans le domaine des jetons NFT

Plateforme NFT20 - Le DEX spécialisé dans le domaine des jetons NFT

La folie actuelle autour des jetons non fongibles (NFT) donne lieu à de nombreux développements annexes. Et c’est tout un écosystème en relation à ces cryptomonnaies un peu spéciales qui est en train de voir le jour. Le tout porté par un succès qui ne semble pas souffrir de la baisse des marchés. Et des […]

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Une œuvre digitale adjugée à 6,6 millions $

Ph. ETX Daily Up

Grâce à Beeple, il est désormais possible de traduire en chiffres le boom du crypto-art. Une œuvre de l’artiste digital américain, intitulée « CROSSROADS », a récemment été vendue pour 6,6 millions de dollars sur la plateforme Nifty Gateway. Une somme inédite pour une création purement numérique. 

Lorsqu’on s’intéresse au crypto-art, un nom revient systématiquement : Beeple. Cet artiste américain, Mike Winkelmann de son vrai nom, est devenu la figure de proue de l’art numérique grâce à ses créations futuristes et hallucinatoires, où il mêle critique du monde de l’art et humour Web. « Il fait une variété d’oeuvres d’art de m*rde à travers une variété de médias. Certaines sont correctes, mais la plupart sont juste vraiment nulles. Il s’efforce de les rendre moins nulles tous les jours, alors soyez indulgent avec lui… », peut-on lire sur son site officiel. 

Si l’artiste se montre critique vis-à-vis de son travail, il s’est attiré le soutien d’une communauté grandissante d’amateurs d’art, qui n’hésitent plus à dépenser des sommes importantes pour acquérir l’une de ses œuvres digitales. L’une d’entre elles, « CROSSROADS », a été vendue pour 6,6 millions de dollars sur Nifty Gateway, une plateforme qui ambitionne de démocratiser les jetons non fongibles (NFT). Comme pour toutes ses créations, Beeple a encrypté sa signature dans « CROSSROADS » en utilisant la blockchain, et a intégré des données uniques à l’œuvre qui empêchent sa duplication. 

Quand le digital s’invite chez Christie’s

Selon Nifty Gateway, la vente de « CROSSROADS » marque un tournant historique pour l’art numérique. Elle a eu lieu quelques jours avant qu’une autre œuvre de Beeple fasse son apparition sur le marché, mais cette fois chez Christie’s. « Everydays – The First 5000 Days » est une mosaïque colorée composée de 5000 images entièrement digitales aux proportions diverses, que l’artiste américain a réalisées au cours des 13 dernières années.

Bien que les enchères pour la pièce commencent à 100 dollars, elles ont déjà atteint 2,4 millions de dollars. Un montant qui témoigne de l’engouement des collectionneurs pour ce pan encore assez marginal du marché de l’art. « Je pense que nous allons constater une explosion non seulement de nouvelles œuvres, mais aussi de nouveaux collectionneurs et je me sens honoré de prendre part à ce mouvement », avait déclaré Beeple en amont du lancement de la vente en ligne. Il semblerait qu’il ait vu juste.