Catégorie : Non classé

Depuis quelques années, la communauté crypto relève des inquiétudes grandissantes concernant la menace quantique qui pèse sur l’écosystème. Avec des puissances de calculs allant au-delà de ce qu’on peut en tirer avec les machines traditionnelles, les acteurs de l’industrie travaillent d’ores et déjà sur les considérations techniques et les moyens de contrer cette menace.

L’arrivée du Solana Winternitz Vault marque une nouvelle étape dans le réseau

Quelques heures plus tôt, une nouvelle publication a eu lieu sur github au sein de laquelle est présentée par les développeurs Solana un coffre-fort qui est résistance aux attaques quantiques. Celui-ci s’intitule “Winternitz Vault“, basé sur des signatures uniques (WOTS) qui viennent accroître fortement la sécurité.

Pour y parvenir, selon le document GitHub, est mis en place un hash Keccak256 tronqué, permettant d’avoir 224 bits de résistance. Nous sommes sur un coffre-fort qui permet d’avoir une résistance aux menaces quantiques (dont l’algorithme de Grover, un algo de recherche découvert en 1996, bien plus efficaces que les algorithmes classiques que l’on connaît aujourd’hui).

En effet, les signatures Winternitz étant à usage unique, chaque signature d’un message amène à une révélation de 50 % de la clé privée, ce qui réduit les garanties en matière de sécurité. Dans ce cadre, pour chaque transaction, le coffre-fort en question est fermé puis un nouveau est ouvert avec une nouvelle clé.

Une menace qui est en approche ?

Ce programme Solana Winternitz n’en reste pas moins optimisé pour qu’il puisse fonctionner dans les limites des unités de calcul sur Solana et de la taille des instructions. D’après un professeur originaire du Venezuela, Jose Antonio Lanz, s’intéressant au sujet,

” Le coffre-fort existe actuellement en tant que fonctionnalité facultative, et ne requiert par une mise à jour de la sécurité du réseau, ce qui ne nécessite pas à un fork pour le moment. Cela signifie que les utilisateurs peuvent choisir de garder leurs fonds dans le coffre-fort Winternitz ou au sein de portefeuilles Solana traditionnels”.

Cette position optionnelle dans le choix de la protection des fonds s’explique par des considérations techniques, notamment la jeunesse des mesures mises en place via ce programme. D’autant plus, d’après Dean Little sur GitHub,

“Utilisez ce programme à vos risques et périls.”

La position repose également sur la temporalité des travaux sur l’informatique quantique. En effet, malgré de nombreuses menaces qui se multiplient et des avancées, notamment partagées par l’entreprise Alphabet, la menace reste tout de même lointaine et ne devrait pas impacter le marché crypto aussi vite que certains pensent.

Source : Medium

Sur le même sujet :

Selon cet expert chez VanEck, un ETF Solana pourrait être côté en 2025

Une année 2024 fructueuse : 15 milliards de dollars distribués sous forme d’airdrop

Cette personne vend ses 5 NFT Pudgy Penguins pour seulement 175 dollars

The post Solana, un réseau qui devient robuste face à la menace quantique ? appeared first on Cryptonews France.

Telegram permet désormais aux utilisateurs de convertir des cadeaux numériques en NFT sur la blockchain TON.
Les cadeaux convertis acquièrent des caractéristiques uniques et peuvent être échangés ou vendus aux enchères sous forme de NFT.
Le prix du TON augmente de 3 %, s’échangeant à 5,79 $, avec une croissance de 165 % depuis le début de l’année.

Toncoin (TON), la cryptomonnaie native de The Open Network (TON), connaît une forte activité alors que Telegram déploie sa dernière innovation.

L’application de messagerie populaire permet désormais aux utilisateurs de transformer des cadeaux numériques en NFT négociables sur The Open Network (TON), une initiative qui marque une nouvelle étape dans le parcours Web3 de Telegram.

Les utilisateurs de Telegram peuvent convertir des cadeaux numériques en NFT TON négociables

La nouvelle fonctionnalité, qui fait partie de la première mise à jour majeure de Telegram en 2025 , permet aux utilisateurs de transformer plus de 20 cadeaux existants, tels que Jelly Bunny, Santa Hat et Homemade Cake, en objets de collection uniques.

Ces œuvres d’art animées et messages personnalisés, introduits en octobre 2024, peuvent désormais être échangés, vendus aux enchères ou offerts à nouveau au sein de l’écosystème de Telegram ou sur des marchés NFT externes comme Getgems. Pour convertir un cadeau en NFT, les utilisateurs doivent dépenser une petite quantité de Telegram Stars, la monnaie intégrée à l’application de la plateforme liée au Toncoin.

Une fois mis à niveau, chaque cadeau à collectionner acquiert des attributs exclusifs, notamment une apparence distincte, des couleurs d’arrière-plan, des icônes et un numéro unique, garantissant sa rareté et son individualité. Il convient de noter que le lancement de cadeaux à collectionner n’est pas la première incursion de Telegram dans la technologie blockchain.

Ces dernières années, Telegram a intégré plusieurs fonctionnalités crypto-compatibles, notamment TON Space, un portefeuille en libre-service, un navigateur intégré pour les sites Web décentralisés et Telegram Stars, qui permet aux utilisateurs d’acheter des biens numériques avec des devises fiat et de les convertir en Toncoin.

Ces initiatives, ainsi qu’un écosystème florissant de mini-jeux et d’applications, ont consolidé Telegram comme un acteur important dans l’espace Web3.

Le prix du Toncoin (TON) augmente

Après la sortie de la nouvelle fonctionnalité, le prix de Toncoin a rebondi après une légère baisse entre le 25 décembre et le 1er janvier. Malgré un retracement de 30 % par rapport à son sommet historique de 8,25 $ à la mi-2024, TON a gagné un impressionnant 165 % depuis le début de l’année, reflétant l’intérêt croissant pour son écosystème.

Le jeton, actuellement classé 15e plus grande crypto-monnaie par capitalisation boursière, se négocie à 5,79 $, en hausse de 3 % au cours des dernières 24 heures.

Les experts estiment que l’intégration des NFT par Telegram et son engagement à améliorer la blockchain The Open Network (TON) pourraient stimuler davantage l’adoption et la valeur marchande.

Un développeur principal de TON, connu sous le pseudonyme de Dr. Awesome Doge, a exprimé son optimisme quant au potentiel de la plateforme, soulignant sa base d’utilisateurs massive et la complexité croissante de ses applications.

Alors que Telegram continue d’innover, Toncoin semble prêt pour une croissance soutenue, soutenue par la convergence des médias sociaux et de la technologie blockchain.

The post Le prix du TON monte en flèche alors que Telegram permet la conversion de cadeaux en NFT sur The Open Network appeared first on CoinJournal.

Inoreader Pro plan is required to export RSS feeds.

If you are the owner of the feed, please consider upgrading to Pro.

En 2021, les NFTs étaient au cœur du marché haussier, disposant d’un cycle propre à eux-mêmes au sein duquel des collections ont atteint des valeurs historiques. En fin d’année 2024, une personne a vendu des NFTs avec un montant totalement différent du prix plancher. Revenons sur cet événement tragique.

Les Pudgy Penguins, la collection NFT du moment

Si vous accordez une attention particulière à l’écosystème NFT, vous devez sans doute être au courant des Pudgy Penguins, dont le prix plancher tourne actuellement aux alentours des 22,45 ETH avec un volume d’échange sur ces dernières 24 heures de 626,8 ETH (27 ventes ont eu lieu). En ce moment, le volume total sur cette collection NFT est supérieur à 450 000 ETH.

Pour les personnes qui suivent moins l’actualité, la collection est tout de même arrivée à leurs oreilles, cela résulte de l’airdrop ayant été réalisé en $PENGU, le jeton ayant été lancé par le projet en décembre dernier. Derrière de jeton réside la volonté, pour l’équipe, d’accroître la base d’utilisateurs et le nombre de personnes potentiellement intéressée par l’achat de l’un des NFTs.

Avec près de 5 000 détenteurs d’un Pudgy Penguins (et une hausse dans le temps du prix plancher (tel qu’on peut le voir avec le graphique ci-dessus), des déclinaisons ont eu lieu avec une sous-collection qui est Lil Pudgys. Pour cette collection, le prix plancher est de 2,42 ETH. Cela démontre l’intérêt accordé par la communauté à l’égard de ce projet.

Une année 2024 qui se termine par une forte perte

Malheureusement, pour l’une des personnes de cet écosystème, l’année 2024 s’est conclue de la mauvaise manière. En effet, un utilisateur a listé 5 NFT Pudgy Penguins pour seulement 35 USDC chacun, avec quelques minutes d’intervalle entre chaque mise en vente.

Avec un prix plancher s’élevant actuellement à 79,321 dollars, la perte estimée se place à plus de 396 000 dollars, un montant astronomique qui démontre qu’une mauvaise erreur peut coûter particulièrement cher dans l’écosystème crypto.

D’une certaine manière, cela démontre que la navigation dans l’écosystème et la compréhension des plateformes d’échange est un point essentiel si l’on souhaite éviter de faire des erreurs et opérer une vente avec une mauvaise action. Dans ce cadre, se pose donc une question : est-ce que l’utilisateur souhaitait opérer un listing à 35 ETH plutôt que 35 USDC ? Cela semble être une histoire un peu trop belle (pour l’acquéreur). Au final, serions-nous sur une raison totalement différente pour une telle opération ?

Est-ce réellement une erreur dans la vente des NFTs ?

Premièrement, ce qu’il convient de noter, c’est que les NFTs en question ont été achetés par l’utilisateur 91DF06 dont le portefeuille n’existe que depuis quelques jours. En effet, lorsqu’on regarde sur etherscan, l’activité est particulièrement récente.

La récente activité du portefeuille et l’achat de 5 NFTs d’une aussi forte valeur à un prix dérisoire pose de réelles questions quant aux intentions qui se cachent derrière les échanges. Il est fort possible que ce soit un transfert des NFTs d’un portefeuille à un autre sans passer par la case du transfert de fonds. Cela peut avoir des avantages en matière d’anonymat ou de fiscalité tel qu’une vente en OTC qui se déroule hors de ces deux portefeuilles.

Quoi qu’il en soit, dans ce contexte, il convient d’écarter le scénario d’une erreur ayant été réalisée par un utilisateur. Ainsi, une analyse approfondie via des outils tels qu’Arkham Intelligence ou Bubblemap pourraient être l’occasion d’obtenir plus d’éléments sur cette affaire et d’essayer de déterminer des liens entre les deux portefeuilles.

Source : Magic Eden

Sur le même sujet :

Une année 2024 fructueuse : 15 milliards de dollars distribués sous forme d’airdrop

Pluie d’airdrops sur le marché crypto, une fin d’année fructueuse pour les investisseurs

Le Metaverse a-t-il toujours un avenir avec l’industrie crypto ?

The post Cette personne vend ses 5 NFT Pudgy Penguins pour seulement 175 dollars appeared first on Cryptonews France.

Un pingouin explosif. L’écosystème moribond des NFT semble inscrit aux abonnés absents de la tendance haussière qui ranime le secteur des cryptomonnaies depuis le début de l’année. Une fatalité face à laquelle le projet Pudgy Penguins semble avoir trouver une parade efficace. Car au lieu d’attendre un retour inespéré des investisseurs lessivés de 2021, pourquoi ne pas lancer un memecoin PENGU afin de surfer sur la tendance actuelle. Et le succès est tellement au rendez-vous que les volumes NFT sur Ethereum s’envolent !

PENGU : la pilule miracle de Pudgy Penguins ?

Pour ceux qui ne l’avaient pas encore compris, ce marché haussier sera celui des memecoins. Il suffit de voir comment leur essor à permis de faire exploser les volumes du réseau Solana (SOL), au point de rivaliser – toutes proportions gardées – avec Ethereum.

Même le layer 2 Base, de la plateforme Coinbase, semble tirer son succès de ces jetons hautement spéculatifs au point d’en faire l’arme secrète de sa décentralisation. Car la recette est finalement assez simple : il faut avoir des memecoins en stock pour intéresser les (nouveaux ?) investisseurs.

Pudgy Penguins (90d) – Opensea

La preuve la plus évidente de cette fin d’année reste le réveil improbable opéré par le projet de NFT Pudgy Penguins. Cela suite au lancement stratégique de son memecoin PENGU, largement distribué à sa communauté.

Et le succès a immédiatement été au rendez-vous. Au moins du côté des farmers d’airdrops et autres investisseurs en quête de cibles indiquées en lettres clignotantes sur les réseaux sociaux…

Un memecoin et ça repart !

Le marché des NFT a connu un regain d’intérêt notable au début de l’année, principalement porté par l’apparition du réseau Bitcoin comme un nouvel acteur improbable de cet écosystème avec ses Ordinals.

Toutefois, l’euphorie est rapidement retombée, suite à l’installation prolongée du BTC sous les 70 000 $. Avec comme conséquence notable, un réseau Solana (SOL) furtivement plus performant que le leader Ethereum dans le domaine.

Volumes NFT par blockchain – The Block Data

Mais la réalité du marché se mesure bien plus comme une course de fond. Et le réseau Ethereum a rapidement repris le dessus. Notamment suite au lancement du jeton PENGU, comme moteur d’un retour en force de ses volumes en cette fin d’année.

En effet, le volume des transactions sur sa blockchain a bondi à 186 millions de dollars la semaine dernière. Ce qui représente une augmentation significative de 67 % par rapport à la précédente (111 millions de dollars). Avec la collectioin Pudgy Penguins comme principal catalyseur, mais également les séries Azuki (23 millions de dollars) et Doodle (17 millions de dollars).

Ce regain d’intérêt est toutefois à prendre en compte comme une conséquence directe du lancement annoncé du jeton PENGU. En effet, la récente hausse du floor price de la collection Pudgy Penguins (29 ETH) est déjà en train de s’essouffler. Mais cela souligne un maintien actif de l’importante dominance du réseau Ethereum dans cette partie NFT toujours en cours.

L’article Un memecoin et ça repart ! Le jeton PENGU ranime les volumes NFT sur Ethereum est apparu en premier sur Journal du Coin.

Depuis plusieurs années maintenant, les airdrops, ces distributions parfois généreuses de jetons, ont transformé le paysage crypto en offrant d’incroyables opportunités à la fois pour les projets et leurs utilisateurs. Mais derrière cette nouvelle manière de se faire connaître et de récompenser les participants, se cache une véritable bataille contre les « tricheurs » qui utilisent des bots et des comptes multiples pour maximiser leurs gains, au détriment de la communauté et des projets. C’est là qu’intervient Anima. Ce projet vise à construire des communautés Web3 de confiance, exemptes de robots et d’utilisateurs frauduleux. Découvrez comment cette initiative révolutionnaire combat les pratiques malhonnêtes et protège la valeur des airdrops.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Anima.

Estimated reading time: 6 minutes

Le contexte dans lequel intervient Anima

Initiés par Uniswap en 2020, les airdrops sont l’un des moyens privilégiés par les projets web3 pour récompenser leur communauté. Ce mode de fonctionnement très populaire présente en effet des avantages non négligeables pour les utilisateurs comme pour les projets. Les premiers voient atterrir dans leur portefeuille des sommes parfois très conséquentes (voir l’airdrop très récent d’Hyperliquid), tandis que les seconds profitent d’une publicité énorme (et d’une « carotte ») attirant encore plus d’utilisateurs.

Bien entendu, ces flots de jetons tombés du ciel suscitent des convoitises. Certains imaginent des moyens pour en récolter un maximum en « trichant ». Ils développent des bots pour interagir à leur place avec les protocoles.Cela leur permet d’utiliser plusieurs comptes pour toucher plusieurs allocations, etc… En plus de récupérer des jetons qui auraient dû être versés à d’autres utilisateurs, ils revendent bien souvent les tokens qu’ils touchent immédiatement après les avoir reçus, faisant alors baisser les cours et pénalisant le projet et l’ensemble de sa communauté.

Une question de justice

Anima propose des outils anti-sybil. Ils permettent d’identifier les portefeuilles gérés par des utilisateurs humains et uniques. L’objectif est que les projets puissent distribuer leurs airdrops à leur véritable communauté, plutôt qu’à une poignée de développeurs ayant créé une armée de robots et captant à eux seuls 25% des tokens distribués.

Une redistribution qui permet une répartition équitable de la valeur concédée par les protocoles, et qui surtout bloque les bots à l’entrée. Une solution pour réserver ce partage à des utilisateurs investis qui passent du temps à découvrir et soutenir les différents projets. Les outils anti-sybil garantissent ainsi plus de récompenses pour chaque participant réel.

À l’heure où la protection de la vie privée est une priorité pour tous, Anima est conscient que les utilisateurs web3 ne souhaitent pas forcément que l’on puisse remonter à leur véritable identité. Les solutions qu’ils apportent permettent donc de prouver que vous êtes un être humain unique sans avoir à révéler qui vous êtes.

Anima mène la résistance anti-bots

Les solutions apportées par Anima

Le Proof of Personhood et les Soulbound Tokens

Anima permet de générer des Soulbound Tokens (SBT). Il s’agit de NFT non transférables, liés de manière permanente à un portefeuille spécifique.

Pour obtenir un SBT d’Anima vous devez prouver votre humanité. Pas besoin de fournir votre pièce d’identité comme pour la plupart des KYC. Ici, vous devrez simplement scanner votre visage à l’aide de votre téléphone ou de la caméra de votre webcam.

Après vous avoir identifié en tant qu’humain, Anima construit un graphe facial de votre visage. Il s’agit d’un graphe vectoriel crypté qui présente l’avantage de ne pas contenir d’information biométrique. Il permet de prouver que vous êtes à la fois humain et unique, mais ne permet pas de reconstituer votre visage.

Ce graphe représente votre Proof of Personhood (PoP) ou preuve d’humanité en français. Grâce à lui, vous pouvez minter un SBT qui est lié à votre adresse sur la blockchain.

La réputation on-chain

Évidemment, si les SBT étaient valables indéfiniment, il serait encore facile de tricher. Certains demanderaient certainement à leur grand-mère ou à leurs cousins non-utilisateurs du web3 de faire la démarche à leur place pour pouvoir gérer plusieurs wallet. D’ailleurs il existe un marché noir sur lequel s’échangent des identités valides à grande echelle … Mais Anima pense à tout !

Générer votre NFT de réputation est très simple

Premièrement, les SBT deviennent inactifs au bout d’un mois. De sorte que l’utilisateur est inviter à repasser un PoP challenge une fois par mois s’il souhaite prouver qu’il est toujours l’heureux propriétaire de son wallet. Ceci complique donc grandement la tâche à ceux qui voudraient utiliser des SBT liés au visage d’autres personnes.

Deuxièmement, Anima permet de renouveler le mint du SBT toutes les deux semaines pour le faire évoluer. Chaque nouveau mint démontre que vous restez actif on-chain et augmente le niveau de votre SBT. Associé à toutes les autres données on-chain liées à votre adresse (historique de transaction, tokens détenus, votes, staking, interactions avec des dApps…) les distributeurs d’airdrops peuvent ainsi très simplement identifier les membres actifs les plus anciens et les plus engagés de leur communauté, et les récompenser en conséquence.

Enfin, Anima propose des outils permettant aux projets de créer leurs propres quêtes anti-bot, leur offrant la possibilité de sélectionner eux-mêmes les critères qu’ils souhaitent retenir.

Anima, un protocole qui a déjà fait ses preuves

Si c’est la première fois que vous entendez parler d’Anima, sachez que le protocole n’est pas tout jeune et a déjà été utilisé par de nombreux projets.

Avec plus de 150 000 détenteurs de SBT mintés sur diverses blockchains, Anima a déjà été utilisé par plus de 140 projets dont Phaver, Alpha Mind, Playbux, Linea, LibertAI, Nekodex, PrivadoID, Perpetual Protocol, StarkNet ID, Sunflower Land, The Sandbox et Scribe.

Anima est développé par l’équipe de la société Synaps

De plus, Anima a été lancé par Synaps, une entreprise déjà spécialisée dans l’identité en ligne et notamment dans les solutions de KYC. L’entreprise a contribué à vérifier l’identité des investisseurs dans plus de 600 ventes privées et compte des projets web3 de renom parmi sa clientèle tels que Just Mining, Deskoin ou encore Polkastarter et Solanium.

Si le concept vous intéresse, n’hésitez pas à aller minter dès à présent votre SBT. En le faisant évoluer, vous pourriez avoir droit à une allocation plus importante du prochain airdrop que vous recevrez !

L’article Anima : la fin des airdrops distribués aux bots est apparu en premier sur Journal du Coin.

1ᵉʳ juillet 2024 – BTC : 62734 $ – ETH : 3435 $. Depuis que Donald Trump a déclaré vouloir « être le président de la crypto », les choses s’accélèrent à Washington et cela force les Démocrates à se positionner sur le sujet. Mais avec la SEC qui multiplie les procédures contre les entreprises crypto du pays, le camp Biden a bien du mal à rassurer le secteur. De l’autre côté de l’Atlantique, c’est l’Allemagne qui va s’attirer les risées de la cryptosphère en bradant 50 000 BTC à un prix pas forcément pertinent. C’est l’été en France, mais l’actualité continue sur la planète crypto !

Aux États-Unis, la SEC fait son baroud d’honneur pendant que la campagne bat son plein

En ce début d’été, le candidat Républicain ne perd pas une occasion de dire tout le bien qu’il pense de Bitcoin et des cryptos, même s’il mélange un peu les genres avec une nouvelle collection de NFT ! Mais le « président de la crypto » va faire un gros coup en participant, quelques jours seulement après une tentative d’assassinat, à la conférence Bitcoin à Nashville où il adressera un message extrêmement bullish à tout l’écosystème. Pendant ce temps-là, le camp Biden essaye de recoller les morceaux avec l’industrie crypto mais le mal est fait.

En plus, la SEC poursuit ses opérations anti crypto avec plusieurs procédures en cours cet été-là : deux contre les exchanges Binance et Coinbase, une contre la société Consensys et même une autre contre la banque Silvergate. Enfin, seule lueur d’espoir dans le paysage américain, les ETF Ethereum sont enfin disponibles à Wall Street le 21 juillet et leur lancement est prometteur.

Après Bitcoin, c’est au tour d’Ethereum d’avoir ses ETF à Wall Street

L’Allemagne vend 50 000 BTC sous les risées de la cryptosphère et Metaplanet les rachète !

Mais laissons là l’Oncle Sam et sa vie politico-économique pour aller faire un tour chez nos cousins germains qui se retrouvent dans une situation un peu grotesque. En effet, dès le début du mois de juillet, les petits malins de la blockchain observent des mouvements du côté de Bitcoin et on soupçonne alors la vente imminente de 50 000 BTC. Elle sera confirmée quelques jours plus tard et Berlin subira alors les quolibets d’une partie de la cryptosphère qui s’interroge sur la pertinence du timing d’une telle vente.

Poursuivons enfin beaucoup plus à l’est du monde pour se pencher sur un petit nouveau dans le paysage crypto : Metaplanet. A priori, cette entreprise japonaise spécialisée dans l’hôtellerie n’a pas grand-chose à voir avec la crypto et pourtant elle va devenir en quelques mois la nouvelle coqueluche des aficionados de Bitcoin et pour cause ! Elle a décidé d’investir une large partie de sa trésorerie et de ses fonds propres en BTC, un peu à l’instar de MicroStrategy. Elle avait amorcé le mouvement au printemps dernier, mais elle va amplifier ses achats à la faveur de l’été.

États-Unis, Allemagne et Japon sont donc notre tiercé du mois du juillet alors que dans la torpeur estivale, l’actualité ralentit un peu. Rendez-vous très vite pour la suite de notre Récap Crypto 2024 avec le mois d’août où il sera question d’une certaine Kamala Harris qui débarque au dernier moment pour remplacer un Joe Biden diminué et visiblement fatigué.

L’article Les États-Unis avec la SEC et l’Allemagne avec ses bitcoins font l’actualité estivale – Rétro crypto juillet 2024 est apparu en premier sur Journal du Coin.

En janvier 2024, l’agrégateur de DEX Jupiter a lancé son jeton de gouvernance. Ce lancement a été accompagné d’un airdrop communautaire massif. Si bien, que Jupiter a lancé ce qu’on a alors appelé la airdrop season. Désormais, un an après ce premier airdrop, Jupiter revient avec une nouvelle distribution massive.

Un nouvel airdrop pour Jupiter

Lors du premier airdrop, la plateforme Jupiter avait dévoilé que d’autres airdrops étaient à venir. Ainsi, début décembre, la gouvernance décentralisée a finalement validé une proposition visant à définir le cadre de distribution du prochain airdrop. De ce fait, nous apprenions alors que Jupiter prévoyait deux airdrops, pour janvier 2025 et 2026. En pratique, ces airdrop s’inscrivent dans la campagne Jupuary.

Le 26 décembre, en pleine digestion des repas de Noël, le compte Jupiter Uplink a publié un premier aperçu de la distribution de l’airdrop à venir.

« L’équipe a décidé d’opter pour une répartition entre Utilisateurs & Stakers et Carottes & Bons Chats. De cette façon, nous essayons d’apprécier tout le monde dans le Jupiverse ! »

Ainsi, les 700 millions de jetons JUP seront partagés en deux catégories : 

500 millions JUP pour les swapers et stakers ;

200 millions de JUP pour les Carrots et les Good Cats.

À savoir que ces paramètres sont sujets à modification, en fonction des retours communautaires.

Détail de l’allocation

Une fois n’est pas coutume, pour être éligible, il fallait avoir utilisé le protocole Jupiter au cours de l’année.

Ainsi, 425 millions de jetons JUP seront distribués aux utilisateurs ayant réalisé des swaps sur Jupiter. En pratique, les allocations se feront selon 5 rangs, déterminés par les volumes de swaps des utilisateurs. Par conséquent, les récompenses pour les traders vont de 50 à 20 000 JUP.

À noter que les utilisateurs des autres services, perps, DCA, Limit, disposeront d’un bonus.

« Si vous utilisez des Perps, des DCA, les ordres limits ou des VA, une allocation supplémentaire vous sera attribuée si le seuil minimum est atteint. »

Vous pouvez consulter votre volume sur Jupiter via le dashboard Dune de Hitmonleecrypto.

De leur côté, les stakers ne sont pas laissés pour compte. En effet, 37,5 millions de jetons seront alloués aux stakers et 37,5 millions de JUP supplémentaires aux utilisateurs ayant voté via la DAO du protocole.

Enfin, des jetons seront utilisés via des mécaniques d’incitation tout au long de l’année 2025. Par exemple, 50 à 200 JUP seront distribués aux wallets qui vont claim, puis stake leurs JUP via l’application mobile.

Désormais, les utilisateurs attendent avec impatience la date de distribution de cet airdrop. L’année dernière, il avait été distribué le 31 janvier, qui sait, cela sera peut-être la même date cette année.

La semaine dernière, un autre airdrop a fait mouche sur Solana. En effet, le projet de NFT Pudgy Penguins a lancé son jeton PENGU sur la blockchain Solana. Ce lancement a été accompagné d’un airdrop massif pour les utilisateurs.

L’article Solana : Jupiter dévoile les détails de son airdrop de janvier 2025 est apparu en premier sur Journal du Coin.

Regulatory overhaul in America and a thawing of crypto antagonism globally in 2025 will usher in a new generation of decentralized capital formation, which was first popularized in 2017 as “ICOs” (initial coin offerings).

During the 2010s, crypto hadn’t settled on a productive use case for Bitcoin and altcoins until Ethereum smart contracts enabled early-stage teams to raise capital from supporters dispersed around the world. We saw Ethereum bootstrap a global decentralized computer which spawned DeFi, NFTs and various crypto primitives funded by less than $20 million raised from a global community.

Many other projects soon followed suit and we observed a new dynamic in which raising early-stage capital from a decentralized community almost always resulted in more value-add for the project and entrepreneurs than even the best, most well-intentioned venture capitalists could offer. With a decentralized investor group, entrepreneurs get free evangelists, beta testers and code contributors — i.e. free work that contributed to the project at hand. Also, the shorter liquidity time frame allowed for better risk-return profiles for early-stage investors.

Unfortunately, ICOs were slowly choked off and signalled as “not in compliance” with regulations that were never exactly spelled out. By 2020, they had slowed to a trickle and 88% of ICO tokens were trading at below issuance price.

Fast forward to 2025 and we can see the convergence of some important inputs that allow for the re-emergence of compelling investment opportunities, but with very different characteristics from ICO 1.0.

The ingredients of ICO 2.0

1. Updated regulatory stance

I predict that value accrual will be a fundamental part of the “why” of investing in tokens this time around. Entrepreneurs and investors in the space have matured and are ready to collectively admit that there is an expectation of profit with most tokens. In fact, one could argue that the obfuscation of how token holders would be compensated as a hand-wavey attempt to sidestep the Howey test was the primary problem the first time around.

KYC/AML will be focused on on-ramps and off-ramps such as exchanges and L2 bridges, and reasonably concentrate at the point of realization of gains back into fiat, which is the appropriate light touch that should satisfy reasonable regulators.

2. Market turnover

We are seeing the rapid decline of certain mid-market companies that could remake their business models by becoming community-led and decentralized. For example, mid-size media companies including newspapers and magazines are an obvious business model that could be greatly improved by the use of a token economy to drive citizen journalists towards greater professionalism.

3. Crypto’s progression

In 2017 we had ICO-click-races on very rough UI/UX interfaces, pre-launch SAFT (Simple Agreement for Future Tokens) rounds going to a handful of VCs and years of waiting until a live network launch. No one should be surprised then that the majority of ICO projects died. The Darwinian nature of any emerging technology is such that most will perish but the few that survive go on to create great value (spoiler alert: >90% of AI projects are going away as well).

Crypto now has decent on-boarding and good user-facing apps, and most importantly, the community has shown an uncanny ability to publicly call out nonsense and root out bad actors far better than government oversight ever has. The light of open decentralized ledgers is a particularly strong disinfectant.

Implications and predictions

So what does all this mean for the crypto community?

This new wave of decentralized capital formation will dwarf the approximately $20 billion of capital allocated in ICO 1.0 in 2017 and 2018. Over the coming years, we will see hundreds of billions in total capital formation across DeFi, NFTs, RWAs and a plethora of other crypto primitives.

M&A activity will represent a significant component of on-chain capital formation activity. Whether it is traditional businesses getting serious about crypto and buying up lost ground, like the Stripe-Bridge deal or EVM L2s joining forces as they recognize that only a handful will survive to be significant, we will see billions of dollars worth of M&A activity in the coming year.

In addition, mid-market Web2 and legacy companies will seek to reinvent their business model now that they can use token-incentivization under less hostile circumstances. We are seeing companies in energy, media, art and cellular communications get serious about token-incentivization to turn their value chain into an open marketplace, as well as rapidly acquire customers and use cheap(er) labour.

I am also optimistic that regenerative financing, blending a capitalistic mandate and philanthropic mandate, will find its place. And I am very excited about how crypto can change paradigms in bridging reasonable returns on capital with social goals in more compelling ways than we’ve seen to date.

I predict that we will see a range of novel ways to choose ICO participants, whether as a reward to LPs, relying on reputation based on on-chain activity or via the usage of certain proofs. The byproduct of this is that we will see better balance between retail and institutional/VC investors.

Finally, as always with crypto, we will continue to see relentless innovation and new ideas that give rise to more early stage funding opportunities. Many exciting new teams clearly see that AI’s natural transaction medium will be via crypto and are preparing accordingly. AI agents will bootstrap themselves with token-backed fundraising mechanisms that blend debt and equity principles.

Overall, I am optimistic that the crypto community has internalized the lessons learned along the stoic path of evolution to this point. As a litany of opportunities for capital allocation emerge next year, I encourage everyone in crypto to be vocal and open in highlighting due diligence red flags and bend the arc of this industry towards open access, fair launches and projects that are forthright in accruing value to token holders.

Fair launches are a superior path forward and we should all work towards more equitable and transparent fundraising practices. There are still many issues to resolve and there will be some spectacular failures as we move forward, but decentralized capital formation is crypto’s original killer app, and it deserves to continue to evolve.

The X account of Animoca Brands co-founder Yat Siu, one of CoinDesk’s Most Influential 2024, was compromised and used to promote a fictitious token, the company said in a post on the social media platform.

Animoca, a metaverse and gaming venture capital firm, posted a warning on its own account at 01:36 UTC on Thursday saying Siu’s account had been compromised and the company was not introducing an official token or non-fungible token (NFT).

The exploit was probably perpetrated through a phishing email that purported to come from X and be related to copyright infringement, according to ZachXBT. The crypto exploit investigator posted on Tuesday about several similar attacks that took place over the past month, allowing the perpetrators to get away with about $500,000 at the time.

The false post from Siu’s account promoted a token named MOCA on the Solana blockchain, according to a screenshot posted by ZachXBT.

Moca Foundation, a « community-owned foundation that aims to supercharge Mocaverse’s network effects, » has its own Moca Coin (MOCA), which it describes as an « omni-chain network token. » Mocaverse is an account and ID management system in which both Animoca and Siu personally have a stake,

According to a post from Mocaverse, control of Siu’s account has been secured by X, which is in the process of verifying ownership. Related accounts remain untouched.

« There is no compromise on Animoca Brands, Moca Network or MOCA Foundation official handles, and there are strict security measures in place, » it said.