Cryptomonnaies : comment cette élection va changer la crypto à jamais ?

Wall Street, la Sillicon Valley, peu importe d’où l’on regarde, les États-Unis sont un pôle majeur de la finance, de la technologie et de l’économie mondiale. Les échanges internationaux s’exécutent en dollars, les institutions américaines sont omniprésentes partout et globalement, lorsque l’Oncle Sam s’exprime, le monde écoute.

Cette place hégémonique de première économie mondiale n’est pas sans conséquence pour le reste du monde, et c’est d’autant plus vrai dans l’écosystème crypto.

Les actions réglementaires américaines et leur influence sur la crypto

Un jour, le département du trésor américain tape du poing et fait fermer le mixeur de cryptomonnaies Tornado Cash. Le lendemain, c’est au tour de la SEC de faire les gros yeux et d’intenter un procès à Binance. Le jour d’après, le plus gros gestionnaire de fonds au monde passe le pied dans la porte et nous offre le premier ETF spot sur Bitcoin.

Vous l’aurez compris, lorsqu’on parle de l’écosystème crypto, les États-Unis constituent clairement un hub majeur pour cette nouvelle industrie et chaque mouvement d’orteil de l’Oncle Sam est monitoré de près par les acteurs de ce nouveau marché. Et à raison, vous vous souvenez de ce qu’on appelle aujourd’hui l’opération Chokepoint 2.0 ?

Pour rappel, c’est une initiative visant à limiter l’accès au système financier américain aux entreprises ayant un lien avec les cryptos. Son objectif principal affiché est de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. La SEC de Gary Gensler a été un acteur majeur de cette opération, et tout ça a clairement jeté un froid sur l’écosystème ces dernières années.

Cela fait maintenant deux ans que les régulateurs américains font pression sur les banques pour qu’elles cessent de fournir des services aux entreprises crypto. On parle de fermetures de comptes, de refus de prêts et d’interdiction de transactions par exemple.

En gros, l’idée est de créer des goulots d’étranglement et d’asphyxier les entreprises qui fournissent des services liés aux actifs numériques. Ce n’est pas anodin et clairement, la présidence de Biden n’aura pas été de tout repos pour notre industrie.

Pour la petite histoire, la première opération Choke point provient du Department of Justice et a eu lieu en 2013, sous Obama, pour se terminer peu de temps après l’investiture de Donald Trump. Cette initiative visait les banques et l’opération Choke point 2.0 n’en est que la continuité, appliquée pour les cryptos, et sous le mandat de Joe Biden.

Si l’on met cela en relation avec les partis politiques des occupants du bureau ovale, on se rend compte que les deux opérations Choke point ont eu lieu sous des présidences démocrates, donc certains spéculent qu’une présidence républicaine changerait pas mal de choses à ce niveau-là. Ben oui, si l’on veut faire de gros raccourcis, les républicains sont tout de même davantage en faveur de tout ce qui touche de près ou de loin au monde financier, et les crypto ne dérogent pas à la règle.

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L’effet de l’oncle Sam sur les cryptomonnaies

Cela dit, les choses bougent, et même du côté des démocrates, on commence à voir des candidats pro-crypto, à l’image du neveu du célèbre John Fitzgerald Kennedy, Robert F. Kennedy Junior. Ce dernier a plusieurs fois affiché son enthousiasme vis-à-vis de Bitcoin et est souvent désigné comme le candidat pro-crypto par excellence. C’est un fervent défenseur de l’invention de Satoshi Nakamoto et un gros critique des MNBC, les fameuses monnaies numériques de banque centrale.

Ces dernières années, les cryptos sont devenues un véritable sujet de société et ont été plusieurs fois mises au centre du débat public et pas que les crypto d’ailleurs, mais aussi les MNBC les monnaies numériques de banques centrales.

C’est en partie pour ça que les prochaines élections présidentielles américaines sont attendues de pied ferme par l’écosystème. Le 25 janvier prochain, sur les marches du Capitoles, le prochain dirigeant de la Maison Blanche prononcera ces mots.

« Je jure solennellement que j’exercerai fidèlement la fonction de président des États-Unis, et que je préserverai, protégerai et défendrai, dans toute la mesure de mes moyens, la constitution des Etats-Unis. »

Une fois élu, le 47ᵉ président des États-Unis se retrouvera à la tête de l’une des premières puissances économiques mondiales et, évidemment, héritera de toutes les implications et les responsabilités qui vont avec. Comme toujours, lors d’une nouvelle investiture, la direction du pays s’en trouve chamboulée et de gros changements sont à prévoir dans à peu près tous les domaines. Les cryptos ne font pas exception et il est normal de se demander la direction que prendra le bureau ovale pour l’avenir de notre secteur préféré.

Les candidats à la présidentielle

Dans cette vidéo, j’ai décidé de vous faire un petit tour d’horizon sur ce que l’on est en droit d’attendre de cette élection qui s’annonce historique pour l’écosystème crypto. On va un peu voir comment se positionnent les deux candidats qui vont se disputer la place à la Maison-Blanche.

Vous le savez peut-être, les élections américaines ont un fonctionnement un peu différent de ce que l’on a l’habitude de voir en France. Bon, on ne va pas détailler l’ensemble du système politique américain non plus, ce n’est vraiment pas le sujet de cette vidéo. Ce que vous devez retenir, c’est que c’est avec un système de primaires que les américains décident des prochains candidats à l’élection présidentielle.

A l’heure où j’enregistre cette vidéo, la majorité des primaires sont passées et on sait d’ores et déjà que c’est Joe Biden qui fera campagne côté démocrates et Donald Trump côté républicains. A priori donc, Kennedy, notre candidat pro-crypto, n’a plus aucune chance d’accéder à la présidence. Dommage.

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La présidence américaine : un rôle clé

Pour comprendre en quoi la personne à la tête des États-Unis est importante pour les crypto, il faut revenir un peu sur les pouvoirs de celui qui siège à la Maison-Blanche. En substance, c’est lui qui promulgue les lois et qui décide de signer ou non une proposition du Congrès. En clair, si une loi ne plaît pas au président, celui-ci peut choisir de ne pas la signer et d’y apposer un veto.

Aussi, le président est chargé de nommer les têtes pensantes des différentes institutions des États-Unis, notamment la SEC ou la FED que vous connaissez bien. Vous avez pu l’observer, ces institutions ont un fort impact sur l’écosystème crypto et leur présidence est lourde de conséquences.

Gary Gensler, Jerome Powell, ou encore Michael Barr pour ne citer qu’eux ont eu un impact considérable sur l’écosystème crypto ces dernières années, et ils ont tous été nommés par la présidence des Etats-Unis.

Biden versus Trump : les scénarios potentiels

Joe Biden et Bitcoin : rencontre du 3ᵉ type

A priori, on part donc sur deux scénarios différents concernant l’avenir de notre industrie, et le premier, c’est une réélection de Joe Biden. On va voir comment ce dernier se positionne par rapport à tout ça.

Vous l’avez sans doute remarqué, l’administration de Biden ne porte pas forcément les crypto dans son cœur. Déjà, dès son investiture, Joe Biden a nommé Janet Yellen comme secrétaire du trésor américain. Cette dernière n’est autre que l’ancienne présidente de la FED, la banque centrale des Etats-Unis, et autant vous dire qu’elle est formellement opposée à l’avènement des crypto actifs.

Pour vous rafraîchir la mémoire, c’est elle et son institution qui se sont attaqués à Tornado Cash par exemple, ou bien qui ont plusieurs fois demandé aux régulateurs d’agir contre les stablecoins et l’écosystème crypto de manière générale.

C’est aussi sous sa présidence, et celle de Biden, que l’on a assisté en mars 2022 à la révélation d’un ordre exécutif sur les actifs numériques. Étrangement, ce décret appelant à un développement responsable de ces nouveaux actifs n’est pas si anti-crypto que ça. Par exemple, le texte reconnaît l’extraordinaire croissance du secteur crypto, ainsi que l’attractivité de ses technologies pour les banquiers centraux de la planète.

Dans ce décret, on retrouve aussi une volonté de développer une monnaie numérique de Banque Centrale avec la FED aux commandes. Depuis, le gouvernement de Biden est resté très évasif sur la question d’une MNBC. Une des raisons est sans doute politique, le sujet a fait couler beaucoup d’encre et bon nombre de personnes ont pointé les aspects liberticides d’une telle mesure. Même si pour le moment aucun plan n’existe pour convertir le dollars en une monnaie numérique de banque centrale, il est probable que l’idée soit sur la table.

D’ailleurs, si le sujet des MNBC vous intéresse, n’hésitez pas à m’en parler dans les commentaires, je pourrais éventuellement en faire une vidéo, car le sujet est vraiment vaste et lourd de conséquences, particulièrement pour notre écosystème.

Bref, pour le président sortant, le plan a l’air plutôt clair. Globalement, les cryptos ne sont pas la priorité et il paraît plus enclin à pousser la réglementation et le développement d’une MNBC. En gros, ce n’est pas demain la veille que l’on pourra payer ses impôts en Bitcoin aux Etats-Unis. Enfin en tout cas, au niveau national, puisque certains états ont déjà franchi le pas comme le Colorado. Là-bas, vous pouvez payer certains services publics en crypto, comme pour les permis de conduire ou bien l’enregistrement de votre véhicule auprès des autorités par exemple.

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Trump, le Web3 est aussi un buisness

De l’autre côté, on a affaire à Donald Trump qui, en sa qualité d’homme d’affaires, a plutôt un gros passif dans l’écosystème crypto. Déjà en 2016, au moment de sa campagne pour les présidentielles, celui-ci appelait aux dons en crypto pour le financement des candidats.

En 2019, ce dernier déclarait ne pas être fan de Bitcoin et des autres cryptomonnaies qui, d’après lui, ne sont pas des monnaies et ne reposent sur rien. C’est la seule fois où Trump s’exprime publiquement au sujet des crypto au cours de son mandat présidentiel. Bon, on est habitué aux frasques de Donald Trump et il s’agit avant tout d’un politique et en ce sens, c’est bien de regarder ce qu’il dit, mais il faut aussi regarder ce qu’il fait.

En réalité, dès qu’il a quitté la Maison-Blanche, Trump a massivement investi dans les crypto et possède aujourd’hui un wallet conséquent. Si on se fie aux données récoltées par Arkham Intelligence, il posséderait pour environ 5 millions de dollars en crypto dont quasiment 1.5 million de dollars en Ethereum.

Il s’est aussi essayé aux NFT et en décembre 2022, on pouvait acheter des cartes à l’effigie de l’ancien président américain pour la modique somme de 99 dollars. Cette opération marketing lui aurait rapporté un petit million de dollars, rien que ça.

Ce que veut Trump, au fond, et il l’a dit plusieurs fois, c’est une hégémonie du dollar et pourtant, celui-ci est très peu optimiste sur l’avenir du billet vert. L’année dernière, il disait ceci :
“Notre monnaie s’effondre et ne sera bientôt plus l’étalon mondial, ce qui sera franchement notre plus grande défaite en 200 ans.

Évidemment, certains voient là dedans un message caché faisant référence à l’invention de Satoshi Nakamoto, mais c’est peu probable. Trump a déjà réitéré ses opinions par rapport à Bitcoin, et pour lui, c’est plutôt clair, il s’agit d’un scam. A moins que…

Il y a quelques semaines, une nouvelle déclaration de Trump a fait du bruit puisque cette fois, il se positionne du côté de Bitcoin et du secteur crypto. Sur FoxNews, il a déclaré voir de plus en plus de gens vouloir payer en bitcoin et trouver cela intéressant. Pour lui, il s’agit d’une forme de monnaie supplémentaire qui pourrait venir en complément du dollar américain.

Il a déclaré s’être amusé avec et même avoir gagné un peu d’argent avec tout ça. Toutes ces déclarations ressemblent à s’y méprendre à un soutien à peine déguisé pour le marché crypto, pas vrai ?

Dans un contexte de course à la présidentielle et avec le récent retour d’une certaine euphorie sur le marché, Donald Trump a saisi l’occasion de se mettre dans la poche une partie de l’écosystème crypto. Et oui, il ne faut pas oublier une chose, que ce soit Trump ou Biden, ces hommes sont en campagne et cherchent à rafler du lectorat.

Considérer Bitcoin comme une forme de monnaie au royaume du billet vert n’est vraiment pas anodin pour celui qui se positionne comme le potentiel futur président des Etats-Unis, surtout quand c’est fait à une heure de grande écoute.

Il faut aussi se dire une chose, c’est que les déclarations de Trump concernant Bitcoin et le dollar sont forcément teintées d’une certaine vision du monde. Dans notre cas, il est probable que Donald Trump saisisse assez bien les enjeux de la reine des cryptos et qu’il comprenne bien à quel point elle a le potentiel de disrupter le système financier mondial. Pour lui, le doute n’est plus permis, il semble convaincu que Bitcoin a le potentiel de déranger le dollar et de remettre en cause sa place hégémonique, et il est probable qu’il ne laisse pas une telle chose se produire.

Une autre possibilité, c’est que cette compréhension des choses le conduise à faire des États-Unis le pays du Bitcoin. Si vous ne pouvez pas lutter contre, adoptez-le ! D’ailleurs, malgré ses positions sur le dollar, il a déjà tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises concernant la dangerosité des monnaies numériques de banque centrale.

Pour lui, ces nouvelles monnaies numériques sont dangereuses et sont une menace pour le peuple américain. Est-ce qu’il dit ça pour se mettre du lectorat dans la poche et être en opposition avec les positions de son adversaire démocrate ? D’un côté, on a un Bitcoin qui se positionne comme un émancipateur des peuples mais qui se trouve être une menace pour le dollar, et de l’autre, une MNBC qui s’avère être une menace pour le peuple, mais qui serait nettement bénéfique à la conservation de l’hégémonie du billet vert.

Dans ce contexte, c’est difficile de dire quel camp Donald Trump choisira, mais il ne faut pas se leurrer, il ne fait clairement pas partie des personnes qui pourrait profiter d’une montée en puissance de Bitcoin et des crypto, au contraire.

Un autre point intéressant, c’est sa holding. Je vous en ai parlé tout à l’heure, celui-ci possède un bag conséquent d’ETH, et on pourrait se demander si cela ne va pas dans le sens de ses idées finalement. Après tout, la blockchain de Vitalik Buterin n’essaye pas de concurrencer le dollar, au contraire, elle cherche plutôt à travailler avec. Trump pourrait-il devenir un ETH maxi ? Difficile à dire, mais c’est sûr que cela serait beaucoup plus en accord avec ses positions.

Alors au final à quoi est-ce qu’on peut s’attendre en réalité ? Et bien comme toujours, c’est compliqué de prédire le futur. On ne sait pas vraiment à quelle sauce le marché des crypto risque d’être mangé au niveau des États-Unis.

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Les cryptomonnaies dans le temps de l’attente

Individuellement, les deux candidats à l’élection présidentielle paraissent tous deux plutôt en défaveur de l’écosystème. D’un côté on a Joe Biden, le président sortant, qui a plusieurs fois affiché son désamour pour les crypto et qui est ouvertement en faveur de la mise en place d’une monnaie numérique de Banque Centrale.

De l’autre, on a Donald Trump qui a affiché ouvertement son hostilité envers les MNBC tout en faisant des déclarations en faveur de l’invention de Satoshi Nakamoto. Au fond, tout cela n’est peut-être qu’une manœuvre politique, mais Trump semble tout de même un peu plus en accord avec les intérêts de la cryptosphère, ou tout du moins, il semble moins enclin à mener une guerre ouverte à l’écosystème, contrairement à l’administration Biden.

Du côté des citoyens américains familiers avec l’univers des crypto, il semble cependant que Trump soit favori dans cette élection, du moins, c’est ce que révèle un sondage commandité par Paradigm. Ce n’est pas difficile à comprendre. D’une part, l’ancien président milliardaire a très bien compris comment récupérer du lectorat et que ce soit pour les crypto ou d’autres sujets, il n’hésite pas à s’exprimer dessus pour attirer des électeurs. D’autres part, il y a probablement une sorte de lassitude liée à toutes les attaques qu’a essuyé notre écosystème ces dernières années. L’administration Biden n’a pas été tendre avec les crypto et probablement que cet état de fait joue en la défaveur du président sortant. Enfin, l’insatisfaction est grandissante concernant la situation économique et financière outre Atlantique. Les américains ne sont pas satisfaits des politiques menées par Biden, et probablement que du côté des investisseurs crypto, ce mécontentement résonne d’autant plus.

Peu importe qui se retrouve derrière le Bureau ovale, difficile de prédire à quoi ressemblera cette investiture pour l’écosystème. Le rôle des administrations est très important et en fonction du mandat, les pions pourraient bouger. On pourrait voir Gensler lâcher la direction de la SEC pour rejoindre les rangs du Trésor Américain à la place de Janet Yellen par exemple. A ce moment-là, il faudrait bien un remplaçant au poste de directeur de la SEC, et c’est le pari de Brian Armstrong, le CEO de Coinbase.

Pour lui, une victoire républicaine signerait probablement la fin de la SEC de Gensler et serait certainement bénéfique pour l’écosystème. Les cryptos sont devenues un vrai sujet pour la Maison-Blanche et en ce sens, il est probable que les choses bougent vraiment au cours du prochain mandat présidentiel. La course à une MNBC se fait plus intense que jamais, Bitcoin a infiltré la finance traditionnelle, les cryptos sont de plus en plus utilisées et les américains demandent globalement une législation plus claire du secteur. Le prochain président n’aura certainement pas le choix d’intégrer les actifs numériques dans son agenda, à voir ce que tout ça va donner.

En tout cas, votre avis m’intéresse et je serai curieux de voir quel candidat serait, selon vous, le plus favorable à l’écosystème crypto. N’hésitez pas à me donner votre point de vue et vos arguments en commentaire de cette vidéo, le débat est ouvert !

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Cryptomonnaies : ce candidat à la mairie de Londres propose de lancer un LONDON Coin

Vote to earn ? La création et l’utilisation des cryptomonnaies est en train de révolutionner de nombreux secteurs. Un changement de paradigme nommé Web 3, dont le but est de récompenser ses utilisateurs au lieu d’enrichir des GAFAM et autres multinationales nourries aux données personnelles. Des jetons aux utilités différentes, dont certains sont essentiellement associés à un protocole dont ils deviennent l’outil de monétisation dédié. Une idée qui semble avoir séduit le candidat à la mairie de Londres, Brian Rose. En effet, il propose de verser 100 £ à chaque londonien sous la forme d’un utility token soutenu par une taxe TradFi appliquée aux institutions financières de la ville. C’est-à-dire ?

LONDON Coin : l’utility token de la mairie de Londres ?

La politique et les cryptomonnaies sont en train d’opérer une sorte d’interconnexion inattendue, mais finalement assez naturelle. Et cela va bien au-delà d’un Donald Trump en train de faire la promotion de collection de NFT à son effigie ou de perdre des millions de dollars au cours de la correction actuelle du marché.

En effet, la véritable connexion entre ces deux univers se trouve bien plus au Salvador, dont la monnaie officielle est devenue le Bitcoin depuis septembre 2021. Une révolution toujours en cours, avec la récente émission d’une toute première dette (obligation) tokenisée via la plateforme Bitfinex.

Et que dire de ces « quasi-monnaies » créées en Argentine afin de s’opposer à la politique de son nouveau président, Xavier Milei ? Une nouvelle manière de contester – et de monétiser – une remise en cause du pouvoir en place qui pourrait bien tout changer.

Le candidat à la mairie de Londres Brian Rose propose de créer un LONDON Coin

Un mouvement de fond dans lequel on se demande s’il est possible d’inscrire l’apparition – pour le moment purement théorique – d’un prochain LONDON Coin. Le nom est encore présenté comme provisoire. Mais l’objectif de cette cryptomonnaie est quant à lui très clair dans l’esprit du candidat à la mairie londonienne, Brian Rose.

« Le LONDON Coin permettra aux Londoniens d’entretenir une véritable relation avec leur argent. Ils pourront le détenir, gagner des intérêts, le conserver, l’échanger, le mettre en jeu, tout cela à l’aide de protocoles financiers décentralisés directement depuis leur téléphone. »

Brian Rose

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Un projet d’éducation financière

Véritable utopie numérique ou nouveau shitcoin à vocation électorale ? La question mérite d’être posée, alors que Brian Rose annonce sa volonté d’offrir ce LONDON Coin à chaque habitant de Londres, pour un montant estimé à 100 £.

Comment cela pourrait-il être possible ou viable ? Grâce à une taxe TradFi de 1 % appliquée sur les bénéfices des plus importantes institutions financières implantées à Londres. Le tout afin d’alimenter les pools de liquidité nécessaires – estimés à 1 milliards de livres sterlings – pour faire vivre cette aventure numérique d’un nouveau genre.

« Imaginez chacun de nos neuf millions de citoyens, des jeunes aux vieux, des riches aux pauvres, des instruits aux non-instruits, tous capables de comprendre l’argent pour la toute première fois de leur vie. »

Brian Rose

L’utilité de ce LONDON Coin serait principalement liée aux paiements des dépenses municipales, comme par exemple le réseau des transport de Londres ou les factures et frais de stationnement locaux. Mais l’objectif est également de palier au « manque total d’éducation financière » des londoniens. Un véritable handicap, selon Brian Rose, auquel les écoles ne répondent « bizarrement » pas.

Simple effet d’annonce de campagne ou véritable projet crypto ambitieux, ce LONDON Coin mérite encore d’être précisé. Quoi qu’il en soit, le sujet des cryptomonnaies semble désormais jouer un rôle électoral de premier plan. Les londoniens seront seuls à décider du sérieux qu’il est nécessaire de donner à cette initiative.

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La stabilité du Shiba Inu est en question ; NuggetRush, est-ce une porte d’entrée pour des gains significatifs ?

La communauté de Shiba Inu (SHIB) est enthousiasmée par un récent partenariat avec K9 Finance.
NuggetRush (NUGX) continue de susciter davantage d’attention à l’approche du lancement officiel de son jeu de minage.
La valeur de NUGX a également augmenté de 100 % avant sa cotation officielle.

Le taux de combustion croissant de Shiba Inu (SHIB) coïncide avec l’enthousiasme suscité par l’activité croissante de la DeFi sur son réseau. Cependant, les analystes débattent des perspectives de croissance de SHIB du deuxième trimestre de 2024.

NuggetRush est un jeu minier qui vient de réaliser une prévente exceptionnelle, vendant plus de 270 millions de pièces. De nombreux analystes s’attendent à une croissance accrue en raison de l’enthousiasme suscité par les récompenses en or. NUGX, peut-il surpasser les autres jetons de jeu en 2024 ? Découvrons ce qu’en pensent les investisseurs.

Le taux de combustion de Shiba Inu monte en flèche au milieu des prochains services de jalonnement liquide

Shiba Inu (SHIB) attire davantage l’attention des investisseurs au cours de la deuxième semaine du mois d’avril suite à l’augmentation du taux de combustion des jetons. Le retour du Bitcoin à 69 000 $ a accru la demande pour les meilleures pièces de mème comme Shiba Inu. Cela a coïncidé avec une forte augmentation des brûlures de jetons dans l’écosystème de Shiba Inu (SHIB) en 2024.

SHIB s’échangeait à 0,00003282 $ le 10 mars. Son prix a chuté de 17,1 % pour passer à 0,00002718 $ le 23 mars. SHIB a bondi de 13,13 % à 0,00003075 $ le 28 mars. puis a chuté de 8,29 % à 0,0000282 $ le 7 avril.

L’écosystème de Shiba Inu (SHIB) bénéficiera bientôt de services de jalonnement liquide grâce à une collaboration avec K9 Finance DAO. Le partenariat aidera Shiba Inu à concrétiser son objectif d’augmentation de l’utilité et de l’adoption dans le monde réel.

De plus, les analystes affirment que l’augmentation de l’activité de la DeFi sur Shiba Inu pourrait faire grimper la valeur de SHIB de 19,92 % à 0,00003382 $. Cela pourrait faire de SHIB l’un des altcoins les plus optimistes du secteur des pièces de mème.

NuggetRush défie The Sandbox avec une augmentation de 100 % de la valeur des jetons

NuggetRush (NUGX) a rejoint l’industrie du jeu avec brio après une méga prévente qui a permis de récolter plus de 3,75 millions $. Les aventures minières du projet ont surpris les joueurs de blockchain puisque NuggetRush (NUGX) promet de l’or et des NFT. Les joueurs relèveront des défis impliquant la construction et la gestion de méga-opérations minières.

Vous commencerez avec du terrain et des machines de base. Au fur et à mesure que vous relevez des défis et gagnez des récompenses, vous pouvez investir dans l’expansion de vos opérations en achetant plus d’équipement et de terrains. Avec une opération minière plus importante, vous bénéficiez d’un accès à davantage de récompenses de jeu, notamment des NFT, des fonds et des pierres précieuses rares.

De plus, vous bénéficiez d’augmentations de l’efficacité minière, ce qui augmente votre éligibilité aux récompenses. NuggetRush (NUGX) permettra aux joueurs de recruter des travailleurs et d’acheter de nouveaux équipements. Ces actifs font également partie des objets de collection de valeur dans le jeu minier. Vous pouvez mettre à niveau les personnages et les machines qui se présentent sous forme de NFT pour augmenter leur efficacité dans le jeu.

NuggetRush (NUGX) offre de nombreuses façons de tirer profit du jeu minier. Ces méthodes incluent l’échange de NFT entre pairs sur le marché de la plateforme. Le trading d’actifs améliorés offre des rendements plus élevés aux joueurs.

Les joueurs peuvent également jalonner leurs NFT et gagner une valeur financière pouvant atteindre 20 % APY. L’un des avantages du jalonnement de NFT de NuggetRush est qu’il permet aux joueurs de gagner de l’argent en conservant leurs actifs au lieu de les vendre. L’ICO de NuggetRush (NUGX) vient de se terminer, vendant 271 millions de jetons en prévente.

Le chiffre d’affaires total généré s’est élevé à 3,75 millions $. La valeur de NUGX a également grimpé de 100 %, atteignant 0,020 $ à la fin de sa prévente. Certains analystes s’attendent à ce que NuggetRush (NUGX) devienne l’un des jeux de NFT les plus populaires d’ici la fin de l’année.

Pour plus de mises à jour sur NuggetRush, visitez le site Web de NuggetRush.

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Les altcoins préférés au 2ème trimestre de 2024 : FLOKI (FLOKI), Cardano (ADA) et Rebel Satoshi Arcade (RECQ)

FLOKI, Cardano et Rebel Satoshi Arcade sont des altcoins que les investisseurs ont massivement accumulés ce trimestre.
Leurs perspectives haussières et leurs concepts uniques en font des altcoins prometteurs à conserver.
En tant que nouveau jeton, Rebel Satoshi Arcade présente un potentiel de hausse important, alimentant l’intérêt des investisseurs.

Les investisseurs attendent ce moment depuis des années : un nouveau marché haussier. Le marché a retesté les niveaux observés pour la dernière fois lors du marché haussier de 2021, signalant le début d’un nouveau cycle. Pour déterminer les investissements les plus intéressants, nous avons suivi ce qu’achètent les investisseurs avisés – en suivant la piste de l’argent.

Certains des altcoins privilégiés par les investisseurs avisés ce trimestre incluent FLOKI (FLOKI), Cardano (ADA) et Rebel Satoshi Arcade (RECQ). Ces altcoins pourraient avoir un potentiel de hausse important et tous les trois ont des concepts uniques. Si les prévisions haussières s’avèrent exactes, ces crypto-monnaies pourraient être parmi les meilleures pièces à acheter actuellement.

Rebel Satoshi Arcade (RECQ) : la tendance du moment

Rebel Satoshi Arcade (RECQ) est une nouvelle crypto-monnaie émergente qui suscite tout un buzz. Sa prévente a suscité un énorme enthousiasme à la lumière du succès explosif de Rebel Satoshi (RBLZ), le jeton de gouvernance au sein de son écosystème à double jeton. Pour ceux qui ont raté la prévente de RBLZ, cela représente une seconde chance de réaliser des gains significatifs.

C’est plus qu’un simple mème ; sa mission est de remodeler le monde des crypto-monnaies, en particulier les secteurs des mèmes et de la GameFi. Dans un esprit d’unité et de défi, il vise à faire pencher la balance vers la décentralisation et l’autonomisation individuelle, comme en témoigne son approche communautaire.

Représentant le meilleur des mondes du jeu et des mèmes, les investisseurs ont manifesté un vif intérêt. Au sein de son écosystème des jeux, il y aura une sélection de jeux d’arcade gratuits (F2P), payants (P2P) et play-to-earn (P2E) — tous les besoins en matière de jeux seront satisfaits. Le jeu sera aussi amusant que gratifiant, faisant de l’écosystème un lieu incontournable, les récompenses de participation étant la cerise sur le gâteau.

La prévente a récemment débuté mais a vu ses jetons se vendre rapidement. Lors de la première étape de l’ICO, un jeton coûte seulement 0,0037 $. Son potentiel de hausse important – l’un de ses plus grands attraits – alimente le taux de participation massif en prévente, qui devrait être multiplié par 70 après le lancement.

FLOKI (FLOKI) : une pièce de mème prometteuse

FLOKI (FLOKI) fait partie des meilleures pièces de mème du marché. Cependant, c’est plus qu’un simple mème ; cela évolue pour être plus que simplement amusant. L’écosystème propose, entre autres, des utilitaires de DeFi, un métavers de NFT et des NFT. Par conséquent, il se positionne comme l’une des meilleures pièces dans lesquelles investir – un mélange de mèmes et d’utilité.

Le premier trimestre a été impressionnant et, avec de nouvelles hausses attendues, les investisseurs avisés ont doublé leur mise ce trimestre. Il était à l’avant-garde des derniers mèmes fous, juste après les pièces de mème de Solana au cœur de la tendance comme dogwifhat (WIF) et Bonk (BONK).

Les analystes sont confiants dans sa progression au-delà du sommet historique actuel (ATH) dans les mois à venir. Pour tirer le meilleur parti de ce marché haussier, FLOKI fait partie des meilleures crypto-monnaies dans lesquelles investir – ne les manquez pas.

Cardano (ADA) : un favori des investisseurs

Cardano (ADA) est une crypto-monnaie soutenue par un utilitaire qui joue un rôle essentiel dans le monde des crypto-monnaies. Sa valeur dépend principalement de ses applications réelles en tant que plateforme de contrats intelligents et de blockchain. Son ascension au statut de l’un des meilleurs altcoins est due à son adoption croissante et à son intérêt institutionnel.

Bien qu’il ait enregistré des performances médiocres au premier trimestre de l’année, Cardano a montré un potentiel remarquable, attirant l’attention des investisseurs. Ses fondamentaux solides, associés à son important potentiel de hausse, compte tenu de son ridicule sous-évaluation, ont alimenté l’intérêt des investisseurs.

Alors qu’il se dirige vers 1 $ et espère atteindre son plus haut historique (ATH), Cardano est l’une des meilleures crypto-monnaies dans lesquelles investir. Vous pouvez surfer sur cette vague prometteuse en ajoutant ADA à votre portefeuille de crypto-monnaies – WAGMI.

Conclusion

Les altcoins pour lesquels les investisseurs ont montré un vif intérêt ce trimestre sont FLOKI, Cardano et Rebel Satoshi Arcade, que certains analystes considèrent comme l’une des meilleures ICO.

Leurs perspectives prometteuses cette année en font des investissements intéressants, notamment RECQ. Vous pouvez devenir l’un des premiers à adopter cet altcoin prometteur en participant dès maintenant à la prévente.

Pour les dernières mises à jour et plus d’informations sur $RECQ, visitez le site Web officiel de Rebel Satoshi ou contactez Rebel Red via Telegram.

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Hémorragie sur MarginFi : 200 millions de dollars retirés dans une guerre fratricide

MaginFi dans la tourmente. MarginFi est une plateforme de lending déployée sur la blockchain Solana. Il y a plusieurs mois, le protocole a lancé un système de point en prévision de l’airdrop de son jeton MRGN. Suite à des déboires initiés sur les réseaux sociaux, le protocole a enregistré plus de 200 millions de dollars de retraits.

Fuite massive des fonds sur MarginFi

Lundi 1er avril, le protocole MarginFi atteignait un nouveau record avec 881 millions de dollars de TVL. Alors aux portes du milliard de dollars, le protocole vient de connaître d’importants déboires.

Entre le 9 et le 12 avril, le protocole a enregistré d’importants retraits sur sa plateforme. Ainsi, 280 millions de dollars ont été retirés par les utilisateurs. Désormais, le protocole comptabilise 522 millions de dollars de TVL.

Chute de la TVL sur le protocole MarginFi – Source : DefiLlama.

Comme souvent dans notre écosystème, cet événement a débuté sur le réseau social X (anciennement Twitter).

Ainsi, de nombreux utilisateurs se sont attaqués à Edgar Pavlovsky, alors CEO du protocole, le pressant de lancer le jeton MRGN après avoir mené une campagne de pointe pendant plusieurs mois.

Cela a engendré de nombreuses conversations houleuses sur le réseau social. Finalement, le 10 avril, M. Pavlovsky a annoncé sa démission de son poste de CEO et son départ du projet MarginFi.

Edgar Pavlovsky annonce sa démission.

Cette décision est alors justifiée par l’intéressé par des discordes à la fois internes et externes au projet.

SolBlaze s’attaque au protocole de lending

En pratique, le départ d’Edgar Pavlovsky fait également suite à une publication incendiaire de la part d’un autre protocole de l’écosystème : SolBlaze.

En effet, quelques heures avant l’annonce, le protocole SolBlaze a annoncé suspendre l’émission de jetons BLZE jusqu’ici alloués au protocole MarginFi.

D’après la publication partagée sur X, MarginFi aurait violé les règles de l’émission des jetons BLZE en ne distribuant pas leur allocation aux utilisateurs de la plateforme.

SolBlaze accuse MarginFi.

« Au cours des trois derniers cycles d’émissions (trois semaines), marginfi n’a pas réussi à charger les émissions BLZE allouées dans leur système de récompenses pour que les utilisateurs puissent les réclamer, et les BLZE envoyées à la suite de l’allocation des émissions restent dans le multisig de leur équipe. »

De surcroît, le protocole accuse MarginFi d’avoir empoché personnellement l’allocation destinée aux fournisseurs de liquidités. Évidemment, c’est cette publication qui aura mis le feu aux poudres.

De son côté, MarginFi a nié les accusations. Ainsi, Mac Brennan a déclaré sur X que MarginFi n’avait pas distribué l’allocation des jetons BLZE pendant 3 jours et non 3 semaines. Selon lui, cela est dû à la « congestion de la chaîne et à la priorité donnée à la sécurité des utilisateurs ».

Retour à la normale, mais lendemain difficile pour MarginFi

Finalement, le 11 avril, le protocole SolBlaze est revenu sur ses accusations. Ainsi, après investigations, il semblerait que MarginFi ait manqué à la distribution des jetons BLZE pendant 8 jours. Pas 3 semaines, mais pas 3 jours non plus.

« La raison de l’écart entre les 8 jours signalés par marginfi et les 3 semaines d’écart dans les transactions sur la chaîne entre le portefeuille d’émissions de marginfi et le système de récompenses des utilisateurs est que le système de récompenses de marginfi a suralloué BLZE, de sorte que les récompenses ont continué à fonctionner un peu plus longtemps. »

Désormais, ce sera à la DAO de BlazeSol de décider si elle souhaite reprendre son partenariat avec MarginFi.

De son côté, MarginFi a annoncé que les utilisateurs seraient remboursés des allocations qui n’ont pas été distribuées en temps et en heure. Quoi qu’il en soit, l’impact que cela a eu sur la TVL de MarginFi et sa réputation pourrait bien ne jamais se résorber.

La semaine dernière, le protocole Solana a été au cœur de l’attention et cette fois pour de bonnes raisons. En effet, la plateforme de trading de NFT Tensor a annoncé le lancement de son jeton TNSR et la distribution de son airdrop.

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MetaMask intègre une fonctionnalité pour ne manquer aucun airdrop crypto

Une bonne nouvelle pour les farmeurs d’airdrops. Malgré les reproches qui peuvent lui être faits, MetaMask reste le wallet le plus utilisé dans la DeFi. Fréquemment, Consensys, l’entreprise à l’origine du wallet améliore ce dernier pour coller avec les besoins actuels. Ainsi, à l’ère de la airdrop season, MetaMask se met à la page.

MetaMask vous aide à ne manquer aucun airdrop

Dans le monde des airdrops, le farming, à savoir interagir avec les protocoles, pourrait bien être la partie la plus simple. En effet, lorsqu’on se positionne sur des dizaines d’airdrops, il peut s’avérer difficile de garder une trace de ces derniers.

Pire encore, il peut arriver que par manque de suivi, nous passions à côté d’un airdrop car nous ne l’avons pas réclamé à temps. 

MetaMask compte bien résoudre ce problème avec sa dernière mise à jour. Ainsi, le 9 avril, MetaMask a annoncé une nouvelle intégration permettant de réclamer facilement les airdrops et NFT auxquels vous pourriez être éligible.

En pratique, cette fonctionnalité est permise par l’intégration de l’API  de Daylight, qui s’occupe d’effectuer les vérifications nécessaires pour l’éligibilité aux airdrops.

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Comment utiliser cette fonctionnalité ?

Pour utiliser cette nouvelle fonctionnalité, il faut se rendre dans la section « Explore » du portfolio MetaMask que vous pouvez trouver ici : https://portfolio.metamask.io/explore.

Vous y verrez un petit encart qui liste l’ensemble des airdrops auxquels vous pourriez être éligible.

Interface pour vérifier l’éligibilité aux airdrops sur MetaMask.

À noter que pour l’instant cette fonctionnalité supporte les blockchains Ethereum, Optimism, Arbitrum, Base, Zora et Polygon. D’autres pourraient rejoindre cette liste dans les mois à venir.

Une mine d’or pour les NFT

En parallèle, ce partenariat entre MetaMask et Daylight introduit également un explorateur de NFT.

Toujours sur l’interface de portfolio de MetaMask, l’application vous propose des recommandations de NFT à minter.

Pour ce faire, Daylight va vérifier de nombreux paramètres pour savoir si : 

Votre adresse figure sur la liste d’autorisation ;

Vous détenez le jeton requis ;

Vous détenez un jeton apparenté ;

Le NFT a été créé par un créateur dont vous avez déjà mint un NFT ;

Le NFT a été mint par quelqu’un que vous suivez sur Farcaster ;

Il a été mint par un influenceur ;

Est en vogue parmi les détenteurs d’une collection NFT populaire ;

Fabriqué par un créateur populaire.

Enfin Daylight étudie également les tendances on-chain afin de trouver de nouveaux NFT en vogue qui pourrait être minté.

On le sait, MetaMask est sur tous les fronts. Ainsi, en mars dernier, nos confrères de CoinDesk ont dévoilé un projet de carte bancaire dans lequel le wallet serait impliqué. De son côté, Consensys l’entreprise à l’origine de MetaMask n’avait pas souhaité apporter de commentaires.

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TRAC : l’indexation décentralisée sur Ordinals

L’écosystème Bitcoin est témoin d’une révolution avec l’émergence d’Ordinals. Un procédé qui permet de doter chaque “Satoshi” d’un numéro séquentiel et de données uniques. Cette distinction ouvre la voie à l’identification et au suivi précis de ces unités et des informations qu’ils contiennent, transformant le concept de fongibilité sur Bitcoin.

Une adresse Bitcoin affiche, en effet, uniquement le solde du compte. Les ordinaux offrent la capacité de marquer et suivre des satoshis spécifiques. Ils introduisent ainsi une forme jusque-là inédite de non-fongibilité au sein de la blockchain originelle. Cette véritable révolution pave la voie pour le développement de services inimaginables sur Bitcoin, autrefois réservés aux autres blockchains.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec TRAC.

Montée en Puissance des NFT Bitcoin avec le Protocole Ordinals

Les Ordinaux ont insufflé une nouvelle vie au potentiel de Bitcoin pour les NFT, initialement exploré par le protocole Colored Coins en 2012. Celui-ci permettait d’assigner une couleur à certains bitcoins et de pouvoir les suivre tout au long de leur immortalité. Il était ainsi possible de savoir précisément quel portefeuille détenait ces bitcoins. 

Un protocole précurseur du concept de NFT sur Bitcoin, mais qui se limitait au tracking d’un bitcoin entier. A ceci, le protocole Ordinals a apporté un changement fondamental, permettant à chaque satoshi (la plus petite unité de bitcoin) d’être suivi individuellement, et doté de propriétés uniques à travers des inscriptions. Cela permet ainsi de distinguer un satoshi d’un autre, transformant les unités autrefois interchangeables en NFT bien distincts. Il n’a alors pas fallu attendre longtemps pour voir l’écosystème Ordinals prendre beaucoup d’ampleur.

Janvier 2024 a marqué un mois record pour les NFT sur bitcoin, avec plus de 58 millions d’inscriptions. Ordinals facilite cela en attribuant un numéro à chaque satoshi, dans l’ordre où ils sont minés. Les utilisateurs peuvent alors associer des données à ces satoshis, créant des inscriptions permanentes et immuables sur la blockchain. Cette approche unique signifie que l’intégralité des métadonnées d’un NFT existe directement sur la blockchain Bitcoin. 

Cette immuabilité contraste avec les NFT classiques (format ERC-721) qui reposent sur des smart-contracts, utilisés sur d’autres réseaux blockchains. Dans ce cas, les métadonnées sont stockées off-chain. Cela constitue finalement une rupture avec l’idée initiale de NFT immuables, puisqu’ils peuvent être modifiés. L’essor des tokens au standard BRC-20 est également lié au développement du protocole Ordinals.

Un an d’inscriptions sur Bitcoin — Source : Dune.

TRAC Systems : un écosystème d’innovation sur Ordinals

Alors que les ordinaux ont posé les bases d’un avenir construit sur Bitcoin, le besoin de nouveaux services pour développer cet écosystème naissant est également apparu.

C’est ainsi qu’a été créé Trac Systems, un projet communautaire porté par BennyTheDev et son équipe. Leur objectif est de favoriser le développement de l’écosystème Ordinals. Le tout, sans faire de compromis sur la liberté et la dépendance aux entités centralisées. L’écosystème TRAC est riche et diversifié, englobant plusieurs protocoles clés tels que Tap protocol, Trac Core, et PIPE, chacun jouant un rôle crucial dans la vision globale de TRAC.

Tap protocole, la finance sur Ordinals

Tap est un protocole basé sur l’inscription, conçu pour faciliter le développement de la finance sur Ordinals (OrdFi). Il se distingue par sa flexibilité et ses fonctionnalités exclusives, permettant des opérations directement sur Bitcoin sans recourir à des couches supplémentaires.

En offrant des possibilités de déploiement de tokens à grande échelle pour des coûts réduits, Tap permet la distribution d’airdrop ou l’envoi de transactions multiples selon des conditions prédéfinies. Et de part ses autres fonctionnalités, le protocole rend tout simplement possible la DeFi sur Ordinals (OrdFi) . Ces innovations ont pour but d’attirer le développement d’applications sur Bitcoin similaire à celles que l’on a connu pendant le DeFi Summer sur Ethereum. Parmi les cas d’utilisations que permet Tap, on retrouve ainsi :

Le bridge ;

Le swap ;

Le Staking ;

Le gaming (en tant que convertisseurs de points vers des tokens) ;

Le déploiement d’airdrops ou de transactions multiples (via la fonction multi-send) ;

Le trading en peer-2-peer, sans middlemen, avec des frais réduits ;

La gestion de la gouvernance (à venir).

En élargissant considérablement le champ des possibles pour les développeurs, Tap pose ainsi une nouvelle pierre dans le développement de cet écosystème. Son intégration avec Trac Core et Pipe Protocol, deux autres solutions développées par Trac Systems, permet une synergie renforçant les fonctionnalités et l’impact global de l’écosystème pour les utilisateurs de Bitcoin.

Trac Core, l’indexation décentralisée

Trac Core est une solution d’indexation décentralisée qui vise à préserver la liberté des utilisateurs. En effet, les trackers supervisant les inscriptions et les échanges ont introduit un autre conflit avec l’éthos décentralisé du roi des cryptomonnaies. La question qui se pose maintenant est de savoir si toute cette décentralisation a un sens quand les plateformes qui retranscrivent les transactions et les actifs possédés sont, elles, gérées de façon totalement centralisée ?

Pour offrir un écosystème plus libre, Trac propose une solution qui utilise la méthode du “tapping” pour tracker les données. Ainsi, n’importe qui pourra à l’avenir se connecter à Trac et l’utiliser. Les utilisateurs et développeurs disposeront ainsi d’une alternative aux trackers actuels, très centralisés. Dans un premier temps, Trac se déploiera sur BRC-20, avant de s’étendre à d’autres protocoles. D’autres fonctionnalités viendront également enrichir le tracking et la mesure.

Chez les développeurs et les utilisateurs, l’existence même de Trac permet d’envisager des solutions de DeFi ou de GameFi totalement décentralisées. Des équipes porteuses de projet peuvent désormais sérieusement considérer l’option de construire des applications sur Ordinals en s’appuyant sur Trac pour le suivi des tokens et de la progression. À ce titre, l’un des aspects les plus excitants de Trac est sa capacité à offrir aux développeurs de jeux des opportunités pour la gestion automatisée et le suivi décentralisé des progrès, deux atouts majeurs pour l’engagement utilisateur.

Trac, la seule solution d’indexation décentralisée sur Bitcoin – Source : Trac

Pipe, la solution pour gérer les NFTs

Pipe est un protocole au sein de l’écosystème Trac, utilisant la structure des Unspent Transaction Outputs (UTXOs) de Bitcoin pour gérer les transactions et le suivi des tokens et des NFTs.

En plus de ses fonctionnalités fondamentales basées sur les UTXOs, Pipe propose d’autres capacités en incorporant des caractéristiques avancées destinées à la gestion des NFT à grande échelle, parmis lesquelles:

Art : Pipe supporte l’achat, la vente ou le transfert d’œuvres d’art numériques.

NFT : Il permet la création et la gestion de NFTs, de façon plus efficiente que le standard BRC-20

Inscription : Les utilisateurs peuvent inscrire des données sur une transaction Bitcoin, par exemple pour prouver l’authenticité d’un token ou d’une œuvre

Transfert : Pipe facilite le transfert d’UTXOs, qui peuvent représenter divers actifs, y compris de l’art numérique et des NFTs.

Fort soutien et calendrier riche en innovation

C’est l’entreprise Trac Systems qui assure la direction stratégique de Trac Core, Pipe et Tap. Une équipe soutenue par un investissement de 4,2 millions de dollars de la part de Sora Ventures. Des projets existants tels que bitmap.land et OrdGames intègrent quant à eux déjà Trac pour la gestion de leurs actifs, témoignant de la qualité et de la robustesse du protocole.

Pour suivre les dernières nouveautés, les développements de Trac Systems et de ses projets, nous vous recommandons leur Twitter. De nombreuses informations sur l’écosystème Trac s’y trouvent. S’agissant de projets qui pourraient bien devenir des incontournables, rester au fait de leur actualité pourrait s’avérer rentable.

L’idée derrière Trac Systems est donc bien plus que celles de simples outils. C’est une avancée essentielle pour la communauté Bitcoin. En offrant une plateforme qui respecte et renforce les principes de décentralisation et d’accessibilité, Trac joue un rôle clé dans la démocratisation de l’utilisation des Ordinals. Un phénomène en 2023, et probablement rien qu’au début de son adoption s’il poursuit son incroyable croissance.

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MetaMask intègre un nouvel outil pour vérifier votre éligibilité aux airdrops et aux NFT

Bonne nouvelle pour les chasseurs d’airdrops et les amateurs de NFT ! Le célèbre portefeuille crypto MetaMask s’associe à Daylight pour proposer une fonctionnalité inédite : la vérification de votre éligibilité aux Airdrops et aux mint de NFT

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Donald Trump a « perdu » 2,3 millions $ sur ses cryptomonnaies

Le « 45e » dans le même bateau que la cryptosphère ? Malgré une succession de plus hauts historiques (ATH) sur Bitcoin au début du mois de mars 2024, cela fait maintenant presque un mois que le marché des cryptomonnaies connait une phase de correction. Et Ethereum et les altcoins en ont encore plus souffert que le roi des cryptos. Et, de façon un peu plus inattendue, l’ancien et 45e président des États-Unis, Donald Trump, a vu lui aussi son portfolio crypto s’effondrer, de quelques millions de dollars.

Donald Trump, un multi-millionnaire en cryptos qui perd gros quand le marché baisse

Si un récent sondage des Américains semble démontrer que l’ancien président Donald Trump est nettement plus apprécié par les possesseurs de cryptomonnaies que l’actuel président Joe Biden, ce n’est peut-être pas que pour la guerre sans merci que ce dernier mène contre le secteur depuis 4 ans.

En effet, Donald Trump se trouve lui aussi être propriétaire de crypto-actifs. Et subit donc les véritables montagnes russes des cours ce jeune marché, encore soumis à une forte volatilité. Car entre les revenus cryptos issus de ses séries de tokens non fongibles (NFT), et les memecoins qu’il a reçus (sans rien demander), comme les tokens MAGA ($TRUMP) notamment.

Mais, comme pour l’ensemble de la cryptosphère, tous ces altcoins de Donal Trump ont bien souffert de la récente phase de respiration (baissière) du marché crypto. Bien qu’il s’agisse de moins-values latentes (donc virtuelles et temporaires), on parle là de millions de dollars.

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Le patrimoine crypto de l’ancien président US baisse de 2,3 millions de dollars

La plateforme Arkham Intelligence avait précédemment repéré les deux principaux wallets sur Ethereum (ETH) et Polygon (MATIC) du 45e président des États-Unis (voir la capture d’écran ci-dessous).

Si Donald Trump est aujourd’hui toujours à la tête de près de 6,2 millions de dollars de cryptomonnaies, son portfolio avait atteint un pic à 8,5 millions de dollars le 5 mars dernier.

Une chute de plus de 27% de sa valeur globale qui s’explique, d’une part par la baisse des ethers sur cette période, des environs des 4000 dollars à moins de 3500 dollars (-12,5%), et d’autre part, par la dégringolade du memecoin MAGA, qui est lui est passé d’un pic à 11 dollars à désormais 5,6 dollars aujourd’hui (une chute de près de -49%).

Les wallets cryptos de Donald Trump subissent eux aussi la correction du marché. – Source : arkhamintelligence.com

Sur les dernières 24 heures avant la rédaction du présent article, les statistiques d’Arkham Intelligence indiquent même encore une moins-value latente de près de 175 000 dollars pour l’ancien président des États-Unis. Si la prochaine élection présidentielle US, qui se tiendra dans moins de 7 mois (début novembre 2024), promet déjà d’être haut en couleur de manière générale, le sort de Bitcoin et des crypto-actifs pourrait bien s’y jouer également, au moins sur le sol de l’Oncle Sam.

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SKATE PROTOCOL : unifier toutes les blockchains

L’écosystème blockchain s’étend maintenant à travers une multitude de layer-1 et de layer-2. Les utilisateurs des protocoles subissent désormais les frais et aux délais des bridges. Dans ce contexte, Range Protocol devient “Skate”. Une solution innovante, conçue pour surmonter les défis majeurs imposés par cette diversité croissante. Skate se veut compatible avec tous les réseaux blockchain, selon les usages et les besoins. Le protocole promet de transformer radicalement la manière dont les applications décentralisées interagissent à travers les différents écosystèmes. Cela afin de résoudre les problèmes de liquidités et d’expérience utilisateur. Découvrons ensemble cette évolution qui pourrait changer beaucoup de choses.

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S’attaquer à la fragmentation des applications

Actuellement, les applications décentralisées (dApps) sont isolées du fait d’un déploiement sur leurs blockchains respectives. Selon le CEO de Range Protocol, cette fragmentation des différentes instances d’une même application pose problème. D’abord pour le développement de l’écosystème mais aussi pour l’expérience utilisateur. 

En effet, les applications ne peuvent communiquer directement entre elles à travers les blockchains. Elles obligent donc les utilisateurs à réaliser eux-mêmes de multiples opérations. Cela prend évidemment du temps, mais surtout, cela représente un coût superflu et un impact néfaste sur l’efficience du capital.

Combien de fois nous sommes nous retrouvés à calculer la meilleure manière d’envoyer des fonds sur le réseau Solana en partant de notre wallet Arbitrum afin d’acquérir le dernier shitcoin à la mode ? Une problématique résolue grâce aux solvers qui vont éliminer définitivement cette friction.

Une seule instance pour tous les réseaux blockchain

Une question de survie pour les protocoles

Un constat partagé par les développeurs qui sont obligés de concevoir des solutions spécifiques pour chaque blockchain hébergeant leurs applications, layer-1 et layer-2 compris. Des spécificités qui ralentissent la progression des équipes dans le développement de leur produit final et fonctionnel. Elles sont ainsi forcées d’allouer des ressources importantes sur des tâches à faible valeur ajoutée. Evidemment, elles souhaiteraient plutôt concentrer leurs moyens sur la construction et le déploiement de solutions concrètes pour l’écosystème.

C’est pour résoudre ce problème de “fragmentation des applications” que la “Skate” voit le jour. Une évolution naturelle de la plateforme pionnière dans la fourniture de liquidité qu’était Range Protocol. Elle se présente comme un protocole de type “hub-and-spoke” (désigne une architecture mettant en œuvre un point de connexion central qui peut atteindre chacune des terminaisons situées à la périphérie) au niveau de la couche d’application. 

Skate a pour ambition d’offrir la capacité aux applications de s’exécuter sur des milliers de chaînes à partir d’une plateforme unique. Skate ne se contente pas d’adresser les défis actuels du paysage multi-chaînes. Sa conception est issue d’une approche centrée sur l’intention pour minimiser les risques et les délais. Cela laisse envisager un avenir où les développeurs et les utilisateurs pourront interagir avec une interface unique, indépendamment de la chaîne sous-jacente.

De la Duplication à l’unification : Skate

Skate se distingue comme l’unique solution de couche d’application dans l’écosystème à offrir une intégration profonde de l’interopérabilité dès sa conception. Le protocole est totalement agnostique à la chaîne sur laquelle l’application sera diffusée. Cela grâce à son exécution sur sa propre Machine Virtuelle. Skate transcende le besoin de déploiements dupliqués. Le protocole offre une plateforme unifiée pour le développement et la maintenance de contrats intelligents.

Une application sur Skate peut exécuter des transactions sur des milliers de blockchains

Pour le CEO, la clé de la réussite à venir de Skate réside dans l’intégration de l’interopérabilité au cœur de la couche d’application. Cela renverse l’approche traditionnelle qui veut qu’une équipe construise d’abord une application, puis se préoccupe de l’interopérabilité à travers les blockchains dans un second temps. En proposant une plateforme pensée et optimisée à cette fin, Skate élimine la nécessité de faire transiter les actifs d’un réseau à l’autre. Une amélioration de l’expérience utilisateur qui repose sur un écosystème complet où transactions et informations circulent en arrière-plan. Ainsi, l’utilisateur n’a qu’à réaliser ses transactions sans se soucier de la blockchain sur laquelle sont situés ses actifs.

D’autre part, Skate assurera le lien entre toutes les blockchains en se positionnant comme un “Fast Finality Network”, sécurisé par le service de validation active (AVS) d’Eigen Layer. Cela permet ainsi l’envoi de preuves d’état par Skate avec un minimum de suppositions requises pour un énorme gain de temps.

Sécuriser l’Avenir Modulaire avec le Soutien des Pionniers du Web 3

Le lancement de Skate bénéficie d’un fort soutien de la part des leaders du Web 3. En témoigne la collaboration avec des entités comme A41, Vertex, Navi, et Galxe. Le tour de financement initial a réuni 3,75 millions de dollars. Dirigé par HashKey Capital et Nomad Capital, il témoigne de la confiance dans la vision et la capacité de Skate à apporter des réponses efficaces aux développeurs et aux utilisateurs de la DeFi, de la GameFi, de NFTs, etc…

La solution a déjà convaincu de grands noms de l’écosystème

“Notre mission avec Skate est de briser les barrières existantes dans l’écosystème blockchain, en permettant une nouvelle vague d’applications décentralisées qui peuvent interagir de manière transparente à travers un large spectre de chaînes. En rassemblant la communauté autour de cette vision, nous posons les bases d’un écosystème Web 3 plus unifié, efficace et accessible à tous.”

Siddharth Lalwani, cofondateur et CEO de Range Protocol

Skate a déjà lancé son premier testnet sur le Optimism Bedrock Tech Stack. Le projet prévoit un déploiement du mainnet sur le réseau EigenLayer dans l’année avec un pool d’exécutants déterminé. 

Alors que nous nous dirigeons vers un futur où les frontières entre les chaînes deviennent de plus en plus floues, Skate et EigenLayer se positionnent comme les piliers de cet avenir modulaire. Une garantie que les besoins fondamentaux des utilisateurs et des développeurs seront satisfaits avec efficacité et sécurité. Si vous souhaitez en apprendre plus sur de Stake, vous pouvez consulter leur site, et pour vous tenir au courant de leur actualité ou utiliser leurs futurs testnets pour farmer les récompenses, suivez leur X.

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