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À l’occasion de la sortie de Cometh Beyond la nouvelle version du jeu blockchain Cometh qui intégrera un battle mode, un mode exploration et pleins d’autres surprises. On vous donne l’opportunité de conquérir un des vaisseaux qui se présente sous forme de NFT afin de tester le jeu par vous-même. En jouant à Cometh, les […]
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Investing.com – Le projet open source Wormhole, basé sur , a réussi à ajouter une autre fonctionnalité à son pont existant vers .
Désormais, les NFT peuvent également être échangés entre les deux blockchains. Ainsi, toute personne en possession de jetons non fongibles tels que CryptoPunks et CyberKongz peut désormais les transférer sur la blockchain Solana.
Un grand avantage vient des vitesses de transaction (environ une seconde), qui sont beaucoup plus élevées sur Solana, tandis que les frais baissent drastiquement par rapport à Ethereum. À l’inverse, il est également possible de miner de nouvelles NFT à moindre coût sur SOL, puis de transférer la collection vers des projets NFT Ethereum tels qu’OpenSeas, où elles peuvent être proposées à l’achat.
La première version de la passerelle NFT supporte initialement les jetons ERC-721 et SPL. Avec de nouvelles mises à niveau, d’autres jetons standard seront également disponibles pour le secteur NFT.
L’équipe de développement de Wormhole a également accordé une attention particulière à la sécurité des utilisateurs de NFT dans la mise à jour. Grâce à l’outil NFT Origin Verifier, il est possible de déterminer où un NFT a été créé à l’origine. Cela devrait permettre aux utilisateurs de ne pas se faire avoir par des fraudeurs qui copient des NFT connus et les exploitent à nouveau.
Les développeurs de la première version communautaire de la blockchain Solana – SafeCoin – travaillent aussi actuellement sur une mise à niveau de Wormhole. La nuit dernière, le lancement du jeton ESAFE ERC-20 a été annoncé.
Sur le Discord de SafeCoin, il est écrit :
« L’importance de cet événement ne peut être sous-estimée. C’est l’achèvement de la transition de SafeCoin vers la nouvelle chaîne, ainsi qu’une transition soutenue par SafeTrade vers un rôle très actif dans le secteur du defi. »
Le projet communautaire a ainsi posé les bases de l’interopérabilité avec Ethereum et tous les développements basés sur ce dernier. Pour l’instant, le nouveau jeton ESAFE soutenu à 1:1 est géré par l’équipe elle-même. Dans une phase ultérieure, cette tâche sera confiée à une organisation autonome décentralisée (DAO).
Jusqu’à présent, le projet est dans l’ombre de Solana, la blockchain dont presque personne ne connaissait l’existence il y a 15 mois. Cependant, il est tout à fait possible que SafeCoin soit bientôt le sujet de conversation de la ville.
« Ce n’était que la première des nombreuses annonces concernant les nombreuses possibilités qui seront à notre disposition dans un avenir proche avec SafeCoin. »
Et si vous pensez que SafeCoin est juste une copie de Solana avec un nom différent, vous vous trompez lourdement. Les développeurs ont réussi à améliorer le consensus de Solana à plusieurs reprises. Par conséquent, les exigences du système pour faire fonctionner un validateur sont beaucoup plus faibles. En outre, la sécurité de la procédure de consensus a été améliorée par rapport à l’original.
Solana est actuellement en hausse de 11,59 % avec un prix SOL de 146,39 $. Avec une capitalisation boursière de 43,2 milliards de dollars, son rival n’est pas loin derrière, à la sixième place du classement des crypto-monnaies, avec 46 milliards de dollars.
Le graphique quotidien montre que le support au retracement de Fibonacci de 61,8 pour cent (rallye de 66,28 $ à 215,19 $) à 123,16 Dollars sur une base de clôture quotidienne a tenu.
Le rallye des dernières 24 heures a même poussé le prix au-dessus du retracement de Fibonacci à 50 % de 140,73 $. Tant qu’il n’y a pas de chute en dessous de ce support, on peut s’attendre à un test du retracement de Fibonacci de 38,2 pour cent de 158,30 dollars. Au-dessus, la possibilité de nouveaux gains vers 180 dollars augmente.
Par Marco Oehrl
Retrouver l’article original de Investing.com ici: Lien Source
Selon la nouvelle analyse, 90 % des tokens non fongibles sont “inutiles et insignifiantes” comme les ventes massives brossent un tableau trompeur.
Au cours de la mania NFT récente, qui s’est étendue de fin juillet à début septembre, un certain nombre de ventes NFT de premier ordre ont fait les manchettes dans tous les médias, convainquant tout le monde que l’échange NFT récompenserait les investisseurs patients. Cependant, l’analyse plus approfondie révèle que la majorité des NFT sont “inutiles” et que l’échange est peu liquide.
Les données recueillies auprès le principal échange NFT, OpenSea, révèlent que plus de 73 % des NFT n’ont effectué qu’une seule transaction au cours des trois derniers mois. Cela signifie que la majorité des investisseurs qui ont risqué d’investir dans des articles numériques n’ont pas été en mesure de revendre leurs NFT. En d’autres termes, ils se sont retrouvés coincés avec quelque chose que personne ne veut.
L’échange des tokens non fongibles est dominé par des œuvres proéminentes et très chères. Selon un récent rapport de Bloomberg, 3% des collections NFT représentaient 97% de l’argent injecté sur l’échange, soit plus de 3 milliards de dollars au mois d’août.
Gauthier Zuppinger, cofondateur de NonFungible.com, un site qui suit les objets de collection numériques, a mentionné cette statistique et déclaré que la majorité des NFT n’ont pas de valeur.
“Peut-être que 90 % des collections frappées aujourd’hui sont totalement inutiles et insignifiantes”.
S’agissant des histoires de ceux qui ont réussi à acquérir un NFT à un prix bas mais vendu à un prix saisissant, Zuppinger dit qu’ils ont juste eu de la chance. Selon lui, c’est “un petit morceau de la communauté et des gens extrêmement chanceux ou bien informés”.
Vers la mi-août, le PDG d’Art Block Erick Calderon a affirmé que les NFT de l’entreprise se vendent à une vitesse fulgurante.
“Maintenant, chaque fois que nous publions quelque chose, cela ressemble à cette baisse parce qu’elle se vend instantanément”.
Ce n’était qu’une des histoires liées à la demande exceptionnelle d’objets numériques. La situation autour de projets plus populaires comme CryptoPunks et Bored Ape Yacht Club était encore plus intense, où des investisseurs acceptaient de payer des millions pour une pièce.
Toutefois, par rapport aux pics d’août, l’activité de l’échange a chuté de plus de 80 %. Cela a convaincu Dennis Porter, un vétéran crypto et animateur de balados, que “le marché NFT est mort”. Il a récemment écrit sur Twitter:
“Comme je l’ai prédit (malgré les réactions violentes de tout le monde, y compris les bitcoiners), l’échange NFT est mort. Le prix moyen des NFT a chuté de plus de 99%. La mort liquide est arrivée. Pas désolé d’avoir nommé ce marché une fraude.”
Selon Zuppinger, le succès dans la monde NFT est directement lié à l’obtention d’informations exactes au bon moment. “99%, c’est à être dans le bon cercle, avoir la bonne information au bon moment. Dans l’espace NFT, vous vivez avec cette frustration constante que vous avez raté une chance de gagner 1 milliard de dollars”, a déclaré M. Zuppinger.
Malgré la popularité des échanges NFT, les experts tendent à prédire que la trading NFT ne sera plus profitable pour les investisseurs. Nous attendons de voir si ces déclarations auront un effet sur la communauté crypto.
Je suis convaincu que les cryptomonnaies nous ouvrent des perspectives inédites extraordinaires que je ne veux rater sous aucun prétexte ! J’essaie d’enrichir en permanence mes compétences en la matière et de partager avec vous tout ce que j’apprend avec mes followers et mes heures passées à explorer cet univers.
DISCLAIMER
Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.
Retrouver l’article original de Jean-Louis Lefevre ici: Lien Source
Le marché des NFT est en pleine expansion. Il ne se passe pas une semaine sans qu’il fasse parler de lui suite à une vente importante ou une déclaration d’une personnalité. Justement, ces derniers jours, un célèbre rappeur a dévoilé être un (grand) fan des NFT. Snoop Dogg, une baleine NFT ! Cela faisait un certain temps que le mystère planait concernant un compte Twitter répondant au nom de « Cozomo de’ Medici » ! Au-delà du nom faisant référence au héros de Florence, le mystère portait sur son identité puisque ce compte est en possession de plusieurs millions de […]
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By Harry Alford, Business Development Manager, Coinbase Cloud
Where Web 1.0 was the Static Web, and Web 2.0 is the Social Web, Web 3.0 will be the Decentralized Web. It will move us from a world where communities contribute but don’t own or profit to one where they can through collaboration. By breaking away from traditional business models centered around benefiting the corporation, Web3 foretells the possibility of community-centered economies of scale. This collaborative spirit, and its associated incentive mechanisms, attracts some of the most talented and ambitious developers working in technology today, unlocking projects never previously possible.
Web3, as Ki Chong Tran once said, is “the next major iteration of the Internet, which promises to wrest control from the centralized corporations that today dominate the web.” Web3-enabled collaboration is made possible by decentralized networks that no single entity controls. What might we expect in these nascent developmental stages of a technology that is collaborative instead of competitive?
In closed-source business models, users trust a business’s people to manage funds and execute services. With open-source projects, users trust the technology to perform these tasks. In Web2, the bigger network wins. In Web3, whoever builds the biggest network together wins.
In a decentralized world, not only is participation open to all, the incentive structure is designed so that the more people who participate, the more everybody succeeds.
Linux, the open-source software created in 1991 that is behind a majority of Web2’s websites, was paradigm-shifting for how the Internet (Web2) was developed and provides a clear example of how collaborative processes have the power to drive the future of all technology development. Linux wasn’t developed by an incumbent tech giant, but by a group of volunteer programmers utilizing networked collaboration. Networked collaboration is when autonomous people freely share information without central control, supported instead by code or blockchains.
In The Cathedral And The Bazaar, author Eric S. Raymond shares his observations of the Linux kernel development process and his experiences managing open source projects. During the rise of the Internet, Raymond depicts a time when the popular mindset was to develop complex operating systems carefully coordinated by a small, exclusionary group of people — “cathedrals.” Cathedrals are the traditional corporations and financial institutions, with long releases that take even longer to perfect.
Linux evolved in a completely different way according to Raymond, explaining, “quality was maintained not by rigid standards or autocracy but by the naively simple strategy of releasing every week and getting feedback from hundreds of users within days, creating a sort of Darwinian selection on the mutations introduced by developers. To the amazement of almost everyone, this worked quite well.” This Linux development model, or “bazaar” model as Raymond terms it, assumes that “bugs are generally shallow phenomena” when exposed to an army of hackers without significant coordination.
The open development policy of Linus Torvalds, who conceived the Linux kernel, was far from cathedral-building. Linus’s users were his co-developers. Cultivating a community while leveraging collaboration scales innovation up to a degree of intensity matching the users’ complexity. Linus did a lot of things right, like releasing early and often, growing a beta list of users, sending announcements encouraging participation, and he listened to (and gave credit to) beta testers.
As Linux represents software built by networked participants rather than a single cathedral, Web3 represents an Internet run by vast swathes of networked participants instead of Web2’s version dominated by a controlling few.
Crypto is a technology model for building projects where the user is centered rather than the companies. The incentives for making something secure and usable are made possible by everyone. One area where every user maintains some level of participation is on proof-of-stake protocols — which are also the fastest growing industry sector. Upgrades to the Ethereum network could turn crypto staking into a $40 billion industry by 2025, according to JPMorgan. With proof of stake, there are levels of participation that prevent the “cathedral” from happening.
Even though there’s a team behind every chain, ultimately, the design of a decentralized network means that they will not have absolute control. At different levels of participation, multiple groups of users play critical roles in harmony with key features like governance and scalability.
As developers transition away from proof of work for greater power efficiency and scalability more protocols will implement a version of proof of stake, in which users stake tokens (cryptocurrency) to run validators for a particular network. Whether service providers or retail users, commercial or institutional, users are incentivized to secure the network by locking up tokens and are rewarded in the form of the network’s native tokens. Validators can be slashed for misbehavior like double signing blocks or downtime. Penalties include loss of existing funds and missing out on future rewards. Staking is your voice, good behavior is encouraged to increase the number of participating users, and the network can flourish securely without the need for centralized control.
Since proof of stake protocols are in relatively early-stage development and are newer than proof of work protocols like Bitcoin, frequent upgrades take place. Operators and co-developers are relied upon for network updates and proposals. For instance, Polkadot, a Web3 platform, is a sharded protocol that enables blockchain networks to operate together seamlessly. Polkadot utilizes user-driven governance to upgrade the network. The loose coordination is “on-chain and enacted autonomously, ensuring that Polkadot’s development reflects the values of the community and avoids stagnation.” When the network sees limitations of current staking parameters, they impose restrictions to ensure the stability of the network. The community changes the terms of service, not the company.
Rewards are the incentive mechanism for people who run nodes, but not every chain draws users for the primary purpose of making a financial return. There needs to be memetics, culture, socialization, and purpose for people to use the network. Blockchains will continue to be abstracted away in Web3. The millions of customers buying NFTs from OpenSea, the first NFT marketplace to pass $1 billion in monthly trading volume, probably don’t care that it supports Polygon, “a popular Layer 2 Ethereum blockchain that boasts a more energy-efficient structure that will allow OpenSea to entirely eliminate gas fees for creators, buyers, and sellers on that blockchain,” according to Techcrunch. Nor do they ultimately care that Degenerate Ape Academy is built on Solana, a proof-of-stake blockchain. The collectors only care about adding rare pictures of cartoon apes to their portfolios. They participate in what offers the memetic value to them that is created by other users on top of the underlying protocol. Unbeknownst to most crypto gamers and art collectors, the more usage there is, the stronger the network becomes.
While abstraction might temporarily bring new users into the space, institutional users want to be reassured for the long-term by solid technology, which means, in some cases, the blockchain supports cathedrals. Provenance is a proof-of-stake blockchain network developed by Figure, a home equity line of credit originator, to help financial service industry needs by providing a ledger, registry, and exchange across multiple financial assets and markets. The chain is run and operated by large financial institutions like Franklin Templeton and Caliber Home Loans.
Financial institutions, despite their traditional practices of centralizing control, are incentivized to run nodes because they receive transaction fees. They’re also incentivized to participate because certain aspects of their business are cheaper using Web3 and blockchain technology than through their old Web2 processes. Even as a cathedral, they have unique incentives powered by a proof of stake protocol.
As decentralized teams play less of a role in managing the protocols, the individual participants manage the protocol requiring only minor organization. However, participants will still need to be incentivized to participate in securing, using, and building on the protocol. All of these examples amplify what makes the bazaar and Web3’s networked collaboration so successful — an alliance of autonomous users receiving constant stimulation while working towards a common goal.
In this case, the medium is the blockchain: network that stores, transfers, and exchanges value. As Raymond stated, “Linus was keeping his hackers/users constantly stimulated and rewarded — stimulated by the prospect of having an ego-satisfying piece of the action. Rewarded by the sight of constant (even daily) improvement in their work.”
Linux was a catalyst for the creative thinking that’s manifesting itself in Web3, today and in its exciting future. Cathedrals, however, still exist and it’s unclear if Web2 will fully transition to Web3. How can technology truly belong to the people and Web3 be wholly driven by networked collaboration? Does it have to be zero-sum? It’s a leap of faith. Cathedrals that enable rent-seeking behavior, and are so ingrained in Web2 economic and business models, will need to continue to embrace the bazaar, bending towards how these communities work from the bottom-up, not top-down.
Web3 might not be the final answer, but it’s the current iteration, and innovation isn’t always obvious in the beginning. Loot “started with lists of fictional gear, aided by ample decentralized imagination.” As long as talented builders are incentivized to collaborate, Web3 can open up a whole new world we’ve never dreamed possible.
The bazaar model partially remade the commercial software world in its image like crypto’s networked collaboration will inevitably do to traditional business models. Centralized organizations will not win without embracing decentralization to some degree, and those that do will be decades ahead of their competition while possibly doing some good.
Networked collaboration harnesses the brainpower of communities and has plausible promise. We’ve seen an explosion of interest in crypto that continues to parallel, if not follow, the principles laid out by Linus Torvalds. The future of the Internet will belong to the “people who leave behind the cathedral and embrace the bazaar.”
This article was originally published in TechCrunch.
Web3 Will Be Driven By Crypto’s Networked Collaboration was originally published in The Coinbase Blog on Medium, where people are continuing the conversation by highlighting and responding to this story.
Selon la nouvelle analyse, 90 % des tokens non fongibles sont “inutiles et insignifiantes” comme les ventes massives brossent un tableau trompeur. Au cours de la mania NFT récente, qui s’est étendue de fin juillet à début septembre, un certain nombre de ventes NFT de premier ordre ont fait les manchettes dans tous les médias, […]
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Nous sommes le 24 septembre et voici c’est notre rubrique traditionnelle “NFT du jour”, dans laquelle nous vous parlons des œuvres d’art numérique qui ne sont probablement pas à la mode, mais qui sont assez profondes et méritent d’être appréciées. Pour consulter l’édition précédente, veuillez suivre le lien. Alors, c’est parti! Tantôt des personnes, tantôt […]
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La plateforme de crypto-monnaie utilisera ces fonds pour faire progresser son produit de finance décentralisée (DeFi) en tant que service sur lequel elle travaille.
L’activité crypto dans la région asiatique a été entravée par la répression des plateformes d’actifs digitaux et des entités liées aux crypto-monnaies en Corée et par la répression des sociétés de minage en Chine. Cela n’a toutefois pas empêché les entreprises d’investir dans des plateformes opérant dans la région. La plateforme de garde et de gestion d’actifs digitaux Cobo, basée à Singapour, a révélé hier qu’elle avait réalisé un tour de financement de série B de 40 millions de dollars à une valorisation non divulguée.
Cette levée de fonds a été menée par A&T Capital, IMO Ventures et DST Global. Elle fait suite à un tour de financement de série A de 13 millions de dollars réalisé en octobre 2018 que DHVC et Wu Capital ont mené. La start-up a révélé qu’elle dirigerait le capital de ce dernier financement vers le développement de son offre de finance décentralisée (DeFi) qui, selon la firme, sera un guichet unique pour les investisseurs institutionnels.
Selon la société de gestion de crypto actifs, le produit donnera aux institutions un accès aux protocoles DeFi, leur permettant d’obtenir des rendements de manière conforme mais simple. Cobo a expliqué son offre, ajoutant que les clients institutionnels n’auraient pas à faire face aux complexités liées à l’exposition aux projets DeFi.
Cobo, qui a débuté en tant que fournisseur d’infrastructures blockchain, a travaillé à la relocalisation complète de son siège social de la capitale chinoise à Singapour. La société a ajouté qu’une fraction du financement sera consacrée à l’obtention de licences et d’autorisations pour l’entrée du produit sur le marché. Essentiellement, le financement aidera l’entreprise à respecter les directives en vigueur, notamment en matière de lutte contre le blanchiment d’argent.
« Avec l’intérêt pour la révolution crypto qui monte en flèche dans toute l’Asie, il est grand temps de développer les infrastructures blockchain pour répondre à la demande croissante, d’autant que nous constatons un enthousiasme grandissant parmi les institutions », a observé Mao Shixing, cofondateur de Cobo. « Dans le passé, nous avons vu les applications cryptos évoluer du Bitcoin à la DeFi et maintenant aux NFT. En temps voulu, je prévois même que les métaverses seront les prochains à être développés sur la blockchain. Ainsi, pour l’avenir, nous avons mis en place l’infrastructure de base qui nous permettra de servir 1 000 investisseurs institutionnels. »
L’offre de Cobo est le premier produit DeFi en tant que service (DaaS). L’entreprise propose également divers services, dont la conservation, le staking et le trading de crypto-monnaies. Actuellement, elle sert plus de 300 clients institutionnels sur le marché de l’Asie-Pacifique. Parmi ses clients figurent le pool de minage de crypto-monnaies F2Pool, la plateforme de trading de dérivés d’actifs digitaux Deribit et la plateforme de trading d’actifs digitaux BitMart. Depuis sa création en 2017, elle a réalisé des transactions pour un montant total de 20 milliards de dollars et possède actuellement près d’un milliard de dollars d’actifs en dépôt.
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Le jeton Loud Market (LOUD) a connu un rallye épique avec une hausse de 597 % au cours des dernières 24 heures.
Le jeton Loud Market se trade actuellement à 0,19 $ au moment de la rédaction de cet article. Le coin a connu une énorme poussée avec des gains de 597% en une journée. Le jeton a augmenté de façon constante au cours des 24 dernières heures, accompagné de volumes croissants. Le jeton LOUD pourrait être multiplié par 2 ou 3 à partir de son niveau de prix actuel si les haussiers parviennent à maintenir cette hausse à l’avenir.
Un compte de trading est nécessaire pour acheter des crypto-monnaies. Pour enregistrer un nouveau compte, sélectionnez un courtier/une plateforme d’échange approprié(e) et soumettez vos coordonnées telles que votre nom, votre e-mail et votre numéro de téléphone. La plateforme vous contactera bientôt par e-mail et vous demandera des informations supplémentaires qui sont nécessaires pour se conformer à la réglementation sur la connaissance du client (KYC). Évitez d’utiliser les plateformes d’échanges décentralisées, car elles ne sont pas réglementées. Pour vous aider, nous avons sélectionné deux des meilleures plateformes où vous pouvez trader en toute simplicité.
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Le réseau Loud Market est une place de marché NFT pour les musiciens et les artistes. Il leur permet de vendre directement des disques et des œuvres d’art sans l’intervention d’un tiers. Le réseau LOUD offre également la possibilité de demander des redevances sur les ventes futures. La vente peut se faire aux enchères ou à un prix fixé à l’avance.
Le jeton Loud Market a connu un énorme rallye avec des gains records au cours des dernières 24 heures. Les haussiers ont pris le contrôle total de la situation et ce rallye actuel pourrait alimenter les prix vers la région de 0,3 $ et au-delà. Les premiers utilisateurs pourraient être récompensés par des gains importants si les haussiers continuent à propulser le prix du jeton LOUD à l’avenir.
Le coin a le potentiel de se redresser à court terme si les baleines conservent leur intérêt.
Cet article est uniquement informatif – aucun de ses contenus ne doit être interprété comme un conseil financier ou d’investissement.
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L’accord permet à la Dubai World Trade Centre Authority (DWTCA) d’accorder des autorisations et des licences aux fournisseurs de trading de crypto-monnaies.
La Securities and Commodities Authority (SCA) des Émirats arabes unis a conclu un accord avec la Dubai World Trade Centre Authority (DWTCA) dans le cadre duquel cette dernière soutiendra et encouragera le trading de crypto actifs.
Selon un communiqué publié par la SCA le 22 septembre, l’accord permettra à la DWTCA de travailler à une réglementation adéquate du marché des crypto actifs. L’autorité de Dubaï aura également le pouvoir de surveillance concernant « l’offre, l’émission, la cotation » des crypto-monnaies au sein de sa zone franche, a indiqué l’agence des valeurs mobilières dans le communiqué.
La DWTCA est désormais censée travailler dans un cadre établi dans ses opérations quotidiennes concernant les crypto actifs, y compris dans la délivrance de licences aux sociétés financières qui cherchent à offrir des services de crypto actifs.
De son côté, la SCA surveillera et continuera de réglementer les marchés financiers du pays. Il s’agira notamment de s’assurer que les investisseurs bénéficient d’une protection adéquate et d’inspecter tous les prestataires de la zone franche de Dubaï.
Cet accord intervient alors que les Émirats arabes unis se positionnent comme l’une des destinations les plus dynamiques en matière d’adoption de crypto-monnaies, ce qui renforce l’attrait de Dubaï en tant que pôle commercial et financier mondial.
Le directeur général de la DWTCA, Helal Saeed Almarri, a indiqué dans une déclaration que la collaboration entre l’organisme de Dubaï et l’autorité de régulation des marchés du pays contribuait à faire de la ville un centre d’innovation.
Il a ajouté que l’accord s’inscrit également dans le cadre de la stratégie blockchain des Émirats, les Émirats devenant une destination mondiale pour la recherche sur la blockchain. Il a également souligné la croissance de l’espace des jetons non fongibles (NFT) comme un attrait clé pour les investisseurs.
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