100 millions de dollars dérobés – Un butin NFT à relativiser

Ours et singes – La société d’analyse blockchain Elliptic émet un rapport sur les vols de tokens non fongibles (NFT), et les activités criminelles liées au secteur.

Un gros magot de la taille d’une goutte d’eau

En valeur absolue, le montant peut impressionner, mais en pourcentage, il s’agirait plutôt d’une goutte d’eau dans la mer. Selon le récent rapport d’Elliptic, plus de 100 millions de dollars de NFT ont été volés entre juillet 2021 et juillet 2022.

Néanmoins, ce chiffre ne représenterait que 0,65 % environ du volume global des transactions. Le total s’élève à 15,3 milliards de dollars approximativement au cours de cette période, selon les données du média The Block.

Vos NFT attire la convoitise des hackers

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Chapardage : bear market et singes NFT

L’hiver crypto a mis les cours dans le rouge sur les marchés. Malheureusement, le niveau d’activité des voleurs a atteint des records durant le bear market. Le vol le plus important en termes de valeur a eu lieu en mai dernier. 24 millions de dollars de NFT touchés.

Et deux mois plus tard, juillet a malheureusement enregistré un autre pic, qui fut celui du plus grand nombre de NFT dérobés. Les voleurs ont mis la main sur 4 600 NFT.

En matière de projets ciblés, les malfaiteurs ont apparemment une appétence particulière pour les singes. Entre juillet 2021 et juillet 2022, leurs méfaits ont visé 167 Bored Ape Yacht Club d’une valeur de plus de 43,6 millions de dollars. Ensuite, des Mutant Ape Yacht Club et des Azuki, pour respectivement 14,5 millions et 3,9 millions de dollars.

Blanchiment d’argent : plateformes et mixeurs

Le rapport d’Elliptic fournit également des données sur l’utilisation des NFT, en tant qu’outil de blanchiment d’argent. Depuis 2017, les plateformes auraient ainsi blanchi plus de 8 millions de dollars de fonds illicites.

À ce chiffre relativement bas, doivent s’ajouter les 328 millions de dollars qui ont transité par les mélangeurs de cryptomonnaies. Une partie pourrait être liée à des activités criminelles.

L’intérêt des hackers pour les NFT pourrait augmenter au fil du temps, au vu des perspectives optimistes quant à leur croissance durant les cinq prochaines années.

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Cash ou crypto ? Voici ce que préfèrent les détaillants asiatiques !

Les détaillants asiatiques continuent d’adopter massivement les paiements par blockchain et crypto. Les chiffres sont ahurissants, l’Asie est le continent qui dispose du plus grand nombre d’investissements dans l’industrie crypto. Il cumule à lui seul des ventes de NFT de 22 milliards de dollars en 2022, soit 35 % des ventes mondiales. De plus, 2023 pourrait être l’année des records pour les Asiatiques, avec des transactions qui surpasseront les 16 milliards de dollars. Une donnée intéressante, car elle pourrait inciter les magasins à se conformer aux paiements en cryptomonnaies. D’autant plus que les consommateurs asiatiques affectionnent particulièrement les transactions rapides, sécurisées et fiables. C’est justement ce que les blockchains peuvent offrir, il ne reste plus qu’aux magasins de suivre le pas.

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Les NFT des grandes marques ne connaissent pas la crise

Ces géants du web3 – Les ventes de tokens non fongibles (NFT) des grandes marques se chiffrent en dizaines voire en centaines de millions de dollars.

NFT : des millions de dollars dans les assiettes de Nike et ses pairs

Les marques réputées ont un bon coup de fourchette dans le web3. Selon les données de Dunes Analytics, les ventes de Nike, Gucci, Dolce & Gabbana, Adidas et Tiffany ont généré un revenu de 260 millions de dollars.

Le chiffre d’affaires de Nike dans ce domaine, monte à 185,3 millions de dollars, avec un volume de près de 1,3 milliard de dollars sur les marchés secondaires. Le géant du sport devance ainsi de loin, les autres grandes marques, qui ont tout de même engrangé des millions de dollars grâce aux NFT.

Les recettes sur les NFT de Dolce & Gabbana s’élèvent à 25,6 millions de dollars, contre 12,6 millions de dollars pour Tiffany, qui n’a pourtant ouvert que récemment le minting de ses pendentifs personnalisés, aux détenteurs de CryptoPunks. Gucci et Adidas ferment la marche, avec des revenus respectifs de 11,6 millions de dollars et de 10,9 millions de dollars.

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Le web3 au profit des créateurs de contenu : entre vœux et faits

Ces chiffres reflètent l’appétit des cryptophiles pour les objets de collection NFT, un intérêt qui ne semble pas avoir faibli malgré les marchés cryptos baissiers.

Ces millions de dollars amassés par les grandes marques témoignent également de la capacité des géants à saisir les opportunités commerciales, créées par la blockchain et la sacro-sainte décentralisation.

Mais jusqu’à quel point le web3 est-il profitable aux créateurs de contenu indépendants, talentueux mais parfois ou souvent méconnus ?

Les géants se régalent ainsi des NFT, un secteur qui aurait de beaux jours devant lui, en grande partie grâce au soutien des métavers.

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Le volume du marché NFT continue de baisser : découvrez pourquoi

Nous sommes, comme certains aiment l’appeler, en plein hiver crypto avec des baisses record du Bitcoin qui aura entraîné tout le secteur dans sa chute ! Cette situation n’aura pas épargné l’univers des NFTs qui subie de plein fouet les fluctuations. On assiste à une baisse continue du nombre d’échanges effectués sur la Marketplace, et rien ne semble pouvoir relancer la machine. Selon les données du dashboard présentées par “The Block”, le volume du marché NFT a baissé d’environ 45% depuis le mois de juillet. Si le marché des NFTs est si tourmenté, c’est en partie dû à la conjoncture […]

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Votre NFT est-il réellement le vôtre ? Meta Hebdo

Mon précieux – Qui n’a pas contemplé son NFT amoureusement et béatement, heureux d’avoir son précieux jeton non fongible ? Une fois l’émoi des premiers instants passé, après avoir zoomé, dézoomé et analysé votre acquisition adorée, vous êtes satisfait de cette propriété authentique.

Mais, vous êtes vous demandé si ce NFT était vraiment le vôtre ? Le droit d’auteur donnant l’accès à la propriété intellectuelle des œuvres d’art, par exemple, vous est-il franchement expliqué ? Quel usage public pouvez-vous faire de votre NFT ? Quelle est la reconnaissance réelle de sa propriété et de son authenticité dans notre société ?

Acte de propriété du web 3, certificat d’authenticité du futur, les jetons non fongibles s’imposent comme la représentation authentique de notre image dans le metaverse. Outils clés, enjeux pour notre écosystème, promis à un avenir utilitaire pour nous tous, les conditions qui régissent leur utilisation sont encore floues. Une aubaine pour les géants du Web 2 qui comptent bien les adapter à leur économie.

À vos marques prêts ? NFT !

Les grandes marques sur le podium des ventes NFT

Les NFT sont probablement la technologie web 3 la plus utilisée par les géants du Web 2. En témoigne les données de Dune, société d’analyse blockchain :

« Tableau final des statistiques sur les marques» – Source : Dune

Dans ce tableau d’honneur, nous remarquons que les marques de sport et les marques de luxe tirent leur épingle du jeu. Nike, de son côté est premier haut la main. Le propriétaire des studios RTFKT a récolté cette dernière année 185,42 millions de dollars de revenus sur ses collections de NFT.

Ainsi, malgré l’ère glaciale qui s’abat sur l’écosystème crypto, ces différentes données nous montrent que l’année n’a pas été si mauvaise. Les marques ont su tirer profit des technologies web 3, elles ont porté les NFT. Le volume de trading des NFT sur les marketplaces Ethereum est à l’image de cette réussite.

Volume de trading mensuel sur les marketplaces Ethereum – Source : Dune

Les NFT stars du monde réel …

Ce succès n’est pas visible uniquement sur les données de la blockchain. L’actualité est ponctuée de grandes marques qui lancent des collections de NFT. Les célébrités ne sont pas mises de côté. Paris Hilton, metaverse et NFT addict, a annoncé ces dernières semaines son partenariat avec The Sandbox. Au-delà des paillettes, la star offre une légitimité de plus au métavers pixelisé de Sebastien Borget, qui attire dans ses filets, la reine de Roblox.

La dernière actualité en date de ce genre reste tout de même le partenariat de Snoop Dogg avec Eminem. Les deux artistes vont maintenant faire le show dans Otherside, toujours avec Yuga Labs pour les MTV Music Awards. Ils présenteront leur titre « From the D 2 the LBC » à l’image de leur clip dans le métavers des singes ennuyeux. Par ailleurs, les concerts métavers auront à présent leur propre catégorie au MTV Music Awards.

… égéries du metaverse

Mais, ce n’est pas tout. L’usage de la marque n’est pas à sens unique, bien au contraire. De la même manière que l’on retrouve la marque BAYC dans le monde réel, on retrouve également la marque Snoop Dogg dans le métavers. Dans la saison 3 de The Sandbox, les premières épreuves consistent à chercher Steve Aoki et Snoop Dogg. La visite d’une galerie d’art NFT Bored Ape Yatch Club est également un passage obligatoire pour évoluer dans le jeu.

Le métavers se voit donc pris d’assaut. Il promet monts et merveilles via ces différents partenariats. Accrochées à cet écosystème qui vaut de l’or, comment ces grandes entreprises web 2 et web 3 défendent-t-elles les droits de leurs NFT ?

Snoop Dogg assortit à nos Crocs dans le metaverse de The Sandbox – Capture d’écran

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À quoi ça sert d’avoir un token non fongible si on ne peut rien faire avec ?

Est-on réellement propriétaire de son token ?

A priori, oui. Mais non. Un récent rapport de Galaxy Digital développe justement la question de la propriété dans le cadre des NFT de grandes marques. L’entière propriété de nos NFT n’étant d’après le rapport qu’illusoire.

En effet, l’image que nous possédons est-elle une œuvre artistique, le développement d’un projet ou la présentation d’un concept, par exemple, ou est-ce au contraire un simple jpeg ? Dès lors, il s’agit de comprendre la différence entre une licence d’utilisation NFT et la propriété intellectuelle liée au droit d’auteur. Dans ce sens le rapport choisit un exemple simple et pertinent. Lorsque l’on achète un DVD, le DVD nous appartient. Toutefois, pas le film. Il en est de même, de fait, pour les plus grandes collections de NFT.

Les licences : la loi des NFT

Les droits de nos NFT sont donc régis par des licences. Pour avoir un droit de propriété, il faut un accord entre le propriétaire de l’image et le titulaire du NFT. Il existe ainsi plusieurs types de licences, le rapport les classe comme suit :

« Droits commerciaux » : le NFT est alors une œuvre d’art monétisée, sans plafond et sans durée dans le temps. Aucun droit de propriété intellectuel l’accompagne (Azuki, l’écosystème BAYC) ;« droits commerciaux limités » : la monétisation est restreinte dans le temps, les revenus également sont encadrés ( Cryptokitties, Doodles NFT) ;« usage personnel » : droit d’affichage et monétisation du NFT restreinte, voire interdite (Time Pieces, Adidas Original) ; « Creative Commons » : le NFT est dans le domaine public. Le propriétaire possède alors un NFT qui appartient dans un sens à tous.

Propriété conditionnelle

Les droits de l’acheteur sur le NFT qu’il acquiert découlent ainsi de la licence d’utilisation et parfois même de conditions générales permises dans l’écosystème du projet. Par exemple, pour un jeu play to earn tel qu’Axie Infinity, une licence détermine l’utilisation des NFT dans un cadre particulier, notamment dans le cadre des concours de création de contenu.

Toutefois, l’usage du NFT dans le jeu et dans le monde d’Axie Infinity lui est déterminé par des conditions générales propres au jeu. Par exemple, lorsque l’on possède un NFT Axie Infinity, on peut le prêter. Cependant, on ne pourra pas le jouer comme on le souhaite. L’Axie risque en effet de partir dans la geôle des Axies soupçonnés de tricherie et bannis du jeu.

Modifiables et adaptables en fonction des besoins d’un projet ces licences sont donc la preuve d’une propriété limitée et parfois détournée de nos NFT. Certains géants ne se gênent d’ailleurs pas pour modifier assez brutalement les conditions de propriété de leurs NFT. Yuga Las par exemple, a décidé 6 mois après le rachat de CryptoPunks de ne plus accorder la propriété intellectuelle aux NFT à crête. Le projet Moonbirds a également décidé de changer sa licence. Noms d’oiseaux et autres piaillements se sont alors répandus sur Twitter. Face aux faits, au rapport ensuite de conclure par ce constat :

« En conséquence, pour la grande majorité des projets NFT, posséder le NFT ne signifie pas que vous possédez le contenu numérique correspondant qui s’affiche lorsque vous synchronisez votre portefeuille avec OpenSea. Ce contenu, en fin de compte, est détenu et conservé par le propriétaire du droit d’auteur associé à ce contenu numérique, généralement le projet NFT. »

NFT 2.0 ou NFT 3.0 ?

Des NFT à la mode Web 2

À l’origine née avec la philosophie Web 3 qui voyait une propriété entière gravée sur la blockchain, les NFT ont ainsi développé des cas d’usage. Ils sont aussi devenus de plus en plus populaires. Objet de collection, œuvre d’art, parcelle numérique, certificats sont autant d’utilisations que nous pouvons voir des jetons non fongible.

Et pourtant, avec l’intérêt progressif des géants du Web 2 pour le Web 3, la propriété d’un NFT dans toute son entièreté n’est donc pas une évidence. Elle est régie par une régulation qui menace la sphère crypto et entache les principes de créations des jetons non fongible. La rareté et l’authenticité semblent ainsi galvaudées, bafouées. Là où l’inédit devrait avoir une place entière pour l’acheteur, c’est finalement l’émetteur qui parait réellement détenir la rareté du NFT. Or, et ne l’oublions jamais, c’est la rareté qui fait la valeur de l’offre et la puissance de la demande.

Enfermés dans leur corset, les NFT ne pouvent vivre dans l’écosystème que sous condition. Ils souffrent alors du carcan du web 2. En outre, la régulation semble de plus en plus resserrer les liens. Aussi, des partenariats tels que celui de Snoop Dogg et Eminem que nous évoquions au début de cet article, et la présence de Snoop Dogg dans le métavers sont probablement encadrés par des conditions commerciales et régis par des lois issues de l’utilisation de l’Internet 2.0.

Des NFT dans les nuages

Au-delà de la technique, les différents accords sont nécessaires à l’heure actuelle pour permettre à l’écosystème de se développer. Cela rappelle les accords complexes et restrictifs des conditions d’utilisation propres au sites internet phares du web 2.

L’utilisation des métadonnées des NFT questionnent aussi. En effet, l’utilisation d’un cloud, même si indispensable avec les technologies actuelles pose des limites à une approche Web 3 des NFT. Il ne s’agit pas alors d’accabler les projets. Toutefois, les métadonnées constituant l’image de nos NFT sont stockées sur des serveurs tels que ceux d’Amazon Web service, contrairement au contrat de notre NFT qui lui est sur la blockchain.

Ainsi l’impulsion originelle, l’acte créatif et le contrat sur la blockchain sont issus des principes du web 3. Toutefois, le stockage des métadonnées dans le cloud lui est typiquement un usage web 2 des données. Les blockchains Ethereum ou encore Solana sont par exemple, au grand désarroi de certains membres de la communauté crypto, dans ce cas. Si nous schématisons, nous traitons les NFT façon web 2.

La décentralisation, colonne vertébrale des NFT

Les projets NFT s’efforcent ainsi de développer des droits autour de leur NFT. Le rapport de Galaxy Digital met d’ailleurs en avant les efforts de la collection World of Women, qui dans sa licence donne les droits de propriété à ses détenteurs. Les limites du rapport de Galaxy Digital se dessinent alors dans ce constat.

En effet, prenons un peu de recul. Au-delà du NFT en lui-même et des licences qui l’entourent, ils peuvent permettre un accès à la décentralisation. Preuve de gouvernance, preuve d’appartenance à une communauté, passe-droit pour obtenir des rendements en cryptomonnaies.. Le NFT, semble au contact de l’écosystème et surtout du metaverse prendre une autre dimension et apporter des droits participatifs.

Otherside, le métavers des singes Bored Ape propose une utilisation des NFT au sein d’un univers et d’un écosystème qui inclut une DAO. Grâce à cette gouvernance permise par la détention d’un NFT, l’avenir du projet se construit avec la communauté. The Sandbox et Decentraland eux insistent sur l’importance de la création. Ainsi, dans The Sandbox la propriété intellectuelle sur les parcelles appartient au metaverse. Toutefois, les concepteurs de NFT et de jeux gardent le droit d’auteur sur leur création.

L’arrivée des GaFam dans notre écosystème a ainsi proposé une utilisation centralisée et désuète des NFT. Toutefois, et restons réalistes, plus la décentralisation sera régulée, plus elle sera compliquée à appliquer telle qu’elle devrait l’être. Face à ces différents constats, il semble évident que les détenteurs de NFT devront se battre pour conserver leurs droits sur ce qui leur appartient. Les machines de guerre du Web 2 sous couvert de licences compliquées et pas forcément explicites, gardent une main mise sur leurs collections. Des accords d’adaptation des technologies du web 2 à celles du web 3 paraissent nécessaires. Ainsi, l’écosystème NFT pourra se développer sereinement.

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Ethereum 2.0 : comment The Merge va changer la DeFi et les dApps sur le réseau (Décryptage)

“The Merge” – le passage de la preuve de travail à la preuve d’enjeu – représente un changement de paradigme majeur pour l’écosystème n°1 en matière de smart contracts et d’applications décentralisées. Changer un élément aussi important que l’algorithme de consensus, en cours de route, sur un réseau qui sécurise autant de liquidités est un numéro d’équilibriste incroyable. Toute la forêt de dApps et de smart contrats de la DeFi, jeux et NFT doit rester active sur la blockchain Ethereum – et être rétro-compatible suite à la mise à jour. Il s’agit ni plus ni moins d’un tournant dans l’histoire […]

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Metaverse : Pékin annonce son plan de développement sur 2 ans

Pékin prend très au sérieux le metaverse en lançant un plan d’innovation et développement sur 2 ans. Pour cela, la ville compte traquer toutes les tendances liées aux technologies NFTs et les insérer dans leur système d’éducation et de tourisme. Pour réaliser cet objectif, la ville de Pékin s’est fixé un délai relativement court de deux années. Nous devrions donc assister à une modification en profondeur des secteurs visés avec un passage à la version web3. Ce plan est relativement complexe, puisqu’il demande que tous les districts participent à l’effort communément. À terme, le passage au metaverse devrait permettre de […]

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Solana Summer Shandy : la bière aux plus de 40 références Web3 et NFTs

Après les téléphones et la boutique de centre commercial, il existe désormais une bière sur le thème de l’écosystème Solana (SOL). Les équipes de barrelDAO ont effectivement fait brasser des bières, dont le visuel des canettes rend hommage à diverses collections NFTs et projets Web3 de cette blockchain.

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Eminem et Snoop Dog vont rapper leur titre NFT au VMAs

L’univers NFT gagne les plus hautes sphères artistiques avec le nouveau titre d’Eminem et Snoop Dog aux VMAs. Leur musique “From the D to the LBC’ se démarque pour son clip sensationnel basé sur les NFTs de BAYC. Les rappeurs ont révélé le titre ce 24 juin 2022 et comptabilisent presque 50 millions de vues pour 2 millions de likes. Ce franc-succès leur aura valu une nomination au MTV Music Awards pour ce 28 août 2022. Mais pour leur représentation, ces derniers auront opté pour une mise en scène particulière. Les deux artistes s’inspirent du tout nouveau concept des fondateurs […]

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