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C’est un détail historique : un Bitcoin vaut aujourd’hui davantage qu’un kilo d’or. Une bulle ? Non, et c’est ce que nous allons voir dans cette vidéo ! 👨‍🎓 Allez plus loin avec notre formation pour investir dans les crypto-monnaies : https://pro.cryptoast.fr/

Au programme :

– Présentation du Bitcoin, de la blockchain et des cryptomonnaies les plus connues

– Pourquoi le cours du Bitcoin a explosé en 2020 ?

– Quelles sont les meilleures pratiques pour acheter et vendre des cryptomonnaies ?

– Comment les sécuriser sur un coffre-fort électronique ?

– Les ICO ou comment des projets lèvent plusieurs centaines de millions de dollars en quelques heures

– La DeFi (finance décentralisée), un secteur en plein boom qui révolutionne la finance traditionnelle

– La folie des NFT, ces œuvres d’arts sur la blockchain qui se vendent à plusieurs dizaines de millions de dollars

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00:00 : Introduction

01:00 : Le Bitcoin s’arrache à prix d’or

02:18 : Bitcoin : de 3800 à 60000$ en 365 jours

10:13 : C’est quoi le Bitcoin ?

21:00 : C’est quoi la blockchain ?

25:34 : Présentation de 6 cryptomonnaies célèbres

32:10 : Mes 3 plateformes préférées pour acheter des cryptos

39:52 : Suivre ses investissements dans les crypto monnaies

41:04 : Sécuriser ses crypto dans des portefeuilles sécurisés

45:07 : Tout savoir sur la fiscalité pour déclarer ses crypto actifs en France

49:52 : Présentation des ICO, ces levées de fonds en cryptomonnaies

54:17 : Le phénomène DeFi : la finance décentralisée

58:49 : C’est quoi un NFT ? Et pourquoi tout le monde en parle ?

01:14:22 : Conclusion

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⚠️ DISCLAIMER

Tous les avis exposés dans cette vidéo ne sont que des avis personnels et ne constituent en aucun cas des conseils en investissement. Vous êtes la seule personne apte à prendre les décisions en ce qui concerne l’utilisation de votre argent et la gestion de vos investissements. Nous vous conseillons très fortement de toujours faire vos propres recherches avant d’investir de l’argent sur les marchés financiers, dans un actif numérique, dans un projet de levée de fonds (type ICO) ou dans toute autre forme d’investissement ayant un lien avec les crypto-actifs. Les cryptomonnaies sont des actifs très volatils et peu réglementés par nature. Il est important de comprendre que le prix de n’importe quelle monnaie numérique pourrait tomber à 0 € en quelques heures ou qu’une plateforme sur laquelle vous déposez vos fonds pourrait fermer du jour au lendemain sans que les jetons soient retournés aux investisseurs.

Les contempteurs d’un XRP “trop centralisé”, et d’une entreprise Ripple souvent qualifiée de “Peu transparente” voire suspectée de “s’enrichir sur le dos de millions de petits investisseurs” sont désormais renvoyés à leur chères études ! Dans une décision jurisprudentielle à application immédiate, la Haute cour de Justice du district du Delaware vient de faire savoir que non seulement la SEC – le gendarme financier américain – devait cesser toutes procédures à l’encontre de Ripple, mais que par une étonnante mécanique légale et monétaire, le XRP devenait de facto et par application immédiate, la monnaie officielle des USA, au même titre…que le dollar.

Tant de batailles perdues, mais Ripple gagne finalement la guerre monétaire

C’est une décision qui claque comme une revanche cinglante pour ceux qu’on qualifie, parfois avec un peu de moquerie et de condescendance, de “Ripple Army“, soit la communauté des milliers de petits investisseurs aussi las de ne pas voir leur actif favori s’envoler, que viscéralement convaincus par une idée simple : l’histoire finirait par donner raison à leur champion.

Produit monétaire trop en avance sur son temps pour être compris de la plèbe constituant l’essentiel de la communauté crypto ? Complot global franc-maçon ? influence des Bitcoiners maximalistes se sentant menacés – légitimement, on le comprend maintenant – dans leur position dominante ?

Peut-être un mélange de toutes ces raisons simultanément. Pour autant, on conviendra que seule une force aussi externe qu’implacable a pu être en mesure de maintenir sans relâche XRP sous le cours symbolique des 1$ aussi longtemps, alors même que l’ensemble du marketcap, des tenors du secteur aux plus improbables shitcoins sauvages, connaissait des hausses à plusieurs chiffres…

Mais les détenteurs d’une des devises numériques les plus mal-aimées de l’écosystème tiennent désormais leur revanche !

La SEC est humiliée, tombée sans gloire face à une juridiction du Delaware profond, plus habituée à arbitrer sur le prix du bétails que sur des sujets de géopolitique monétaire et qui, sans bien se rendre-compte de l’importance de sa décision, vient de faire du XRP l’équivalent du dollar (mais en plus rapide).

Le dollars disrupté par XRP ?

La procédure judiciaire et fiscale américaine étant de nature accusatoire (et non par inquisitoire, comme chez nous, les gens civilisés), la charge de la preuve est inversée dans le cadre des procédures impliquant l’Etat fédéral.

Ajoutez à cela une complexité propre au système américain et vous comprenez qu’un grand nombre de décisions, et plus encore les cheminement qui permettent leur naissance, sont contre-intuitives pour une cervelle européenne. En outre, ces circonvolutions propres à la logique yankee aboutissent régulièrement à des situations cocasses, parfois épineuses à résoudre.

Qui ne se souvient pas par exemple du fait que les Etats-Unis ont été dirigés pendant quelques jours par un dindon réglementairement élu en 1906 (puis par une barrique de porridge parlante jusqu’à récemment, même s’il s’agit d’une autre histoire) ?

Quoi qu’il en soit, seul importe le constat : par une décision rendue dans la nuit, et prise selon le communiqué en moins de 15 mns par un procureur stagiaire assisté du janitor local (réputé expérimenté), le Département de la Justice du Delaware a rendu une décision historique à deux points de vue :

• Elle annule et rend caduque l’ensemble des procédures initiées par la SEC (Security Exchange Commission) à l’encontre de la société Ripple (et ordonne au passage la dissolution de cette entité jugée fascisante aux yeux des véritables démocrates du Delaware)
• Elle décrète que désormais le XRP devient devise officielle américaine, aux côtés du dollar

Cette décision est statistiquement est judiciairement à la fois improbable, mais également impossible à défaire car de portée constitutionnelle à un niveau federal.

En effet, conformément au fameux et bien connu principe américain du nec furgitar sed lex craig wrightitus, la décision est réputée aussi inaliénable et impossible à défaire que si elle avait été émise par un des pères fondateurs de la nation en personne.

Pire : en l’état, rien n’indique que le XRP ne devrait pas littéralement remplacer le dollar (plutôt que de co-exister avec lui), tant l’actif numérique bât à plates coutures la devise historique de l’Oncle Sam sur tous les tableaux.

Le monde retient son souffle et rares sont ceux à oser encore prendre des positions officielles sur le sujet (le premier tweet d’Elon Musk est attendu fébrilement par sa communauté qui se verrait bien remplacer l’or physique par des NFT de DOGE). Ce qui est certain, c’est que le monde économique traditionnel commence à réagir, parfois de manière étonnante, ainsi qu’en attestent ces images de Wall Street ce matin.

L’article Exclusif : XRP (Ripple) devient seconde monnaie officielle des Etats-Unis aux côtés du dollar est apparu en premier sur Journal du Coin.

Retrouver l’article original de Chloé IPERT ici: Lien Source

Traduction de l’article de Dean Takahashi : Article Original

Traduction de l’article de Clark : Article Original

Aleph vient à la rescousse des NFT – Cela fait plusieurs mois que les NFT sont devenus le nouveau joujou de l’univers crypto. Malheureusement, les images qu’ils contiennent ne sont pas toujours stockées de manière décentralisée. Aleph compte ainsi remédier à ce problème avec un nouveau système de sauvegarde de ces tokens non fongibles.

Le problème caché des NFT

Le marché des NFT est littéralement en train de s’envoler sur Ethereum. Alors qu’ils ne générait que quelques millions de dollars de volume mensuels, l’ensemble des transaction atteint désormais des centaines de millions.

Cependant, un bon nombre d’internautes passent à côté du fonctionnement des NFT et mettent leurs œuvres d’art numériques en danger, sans le savoir. En effet, dans la plupart des cas, l’image liée à un NFT n’est pas directement stockée dans le jeton, car trop volumineuse.

Bien que certains projets, tels que les CryptoPunks, stockent les images grâce à leur hash, la majeure partie des NFT voient leurs œuvres stockés hors de la blockchain. Le recours à IPFS, un protocole de stockage décentralisé, est donc devenu la solution la plus courante. Pire encore : les images de certains NFT sont stockées sur des serveurs centralisés, comme ceux d’AWS.

Cela pose un problème de taille. En effet, si pour une raison quelconque, l’image venait à disparaître de IPFS ou AWS, le NFT perdrait tout son intérêt, car il ne n’aurait plus d’image liée.

Une solution de stockage imparable made by Aleph

Heureusement, le projet Aleph, spécialisé dans le stockage de donnée de manière décentralisée et résistante à la censure, a imaginé une solution de sauvegarde des NFT pour éviter ce problème.

« Elle [la solution] vous permet de sauvegarder les NFT en quelques clics. Et le plus beau, c’est que la sauvegarde réside sur notre solution de stockage décentralisée imparable, ce qui signifie que personne ne peut y mettre fin »

Annonce d’Aleph sur Medium

Quoi qu’il en soit, ce service n’est encore disponible que pour les principales plateformes d’échange de NFT : Rarible, SuperRare et OpenSea.

Décidément, malgré l’essor des NFT, il s’agit encore d’un concept jeune qui a besoin d’être mieux travaillé. Heureusement, cette proposition d’Alpeh peut se révéler vitale pour les collectionneurs de tokens non fongibles, ne souhaitant pas voir leurs précieux JPEG disparaitre dans la nature.

L’article Aleph décidé à résoudre le (très) gros problème des NFT avec son Application Décentralisée (Dapp) est apparu en premier sur Journal du Coin.

Selon plusieurs spécialistes, les NFT seront la prochaine grande révolution du monde des jeux vidéo. En effet, ceux-ci permettent de garantir l’authenticité d’un objet virtuel, sa traçabilité et son historique, ce qui peut enrichir l’expérience des gamers. De plus, le caractère unique du NFT offre une certaine assurance au joueur, car il peut à tout […]

L’article Illuvium, le successeur de Pokémon avec des NFT !? est apparu en premier sur CoinTribune.

ConsenSys, une société spécialisée dans le développement de produits avec la blockchain Ethereum (ETH), vient de lancer Palm, une sidechain dédiée aux tokens non fongibles (NFTs). Soutenue par le portefeuille MetaMask, Palm pourrait aider l’écosystème Ethereum à concurrencer la blockchain Flow développée par Dapper Labs.

L’article ConsenSys lance Palm, une sidechain Ethereum dédiée aux NFTs – Un futur concurrent pour Flow ? est apparu en premier sur Cryptoast.

Retrouver l’article original de Alexis Patin ici: Lien Source

Le géant américain du minage américain Marathon Digital vient de faire savoir qu’il s’assurerait dorénavant que les bitcoins produits par ses pool miniers soient parfaitement conformes aux standards des régulateurs US. Une recherche de conformité et une volonté de montrer patte blanche aux institutionnels aux conséquences potentiellement énormes et qui pourrait déboucher à terme sur une scission radicale du marché entre les BTC respectables…et les autres

Marathon Blockchain et la course au Bitcoin

Le nom de baptême de Marathon Digital ne doit bien évidemment rien au hasard et permet de comprendre à quel point l’entreprise a compris que l’aventure Bitcoin se jouerait dans la durée et pas en cherchant à courir sans relâche derrière la dernière tendance à la mode.

Et ce que Marathon Digital a également parfaitement compris c’est que, loin de la prime jeunesse tumultueuse de Bitcoin entre tendance libertarienne et ambiance cypherpunk, les enjeux économiques sont devenus tels, qu’il est impossible désormais de ne pas composer avec les Etats et les régulateurs.

C’est donc dans cette dynamique que la société vient de faire savoir qu’elle produirait désormais des BTC “propres”, autrement dit conformes aux standards les plus élevés en matière de conformité et de respect des réglementations américaines en matière de traçabilité.

Dans le détails, les nouveaux bitcoins émis seront aux standards de l‘Office of Foreign Asset Control (OFAC) et de la nomenclature AML (anti-blanchiment).

Outre plaire aux régulateurs de tout poils, le communiqué de Marathon se veut très clair sur un sujet qu’il considère comme relevant de la géopolitique et de la souveraineté américaine :

« L’importance géopolitique du déplacement des pools miniers vers l’Amérique du Nord ne peut être sous-estimée. Le bitcoin n’est désormais pas différent de toute autre matière première stratégique ou de terre rare. En fait, étant donné le nombre d’entreprises qui tirent parti du potentiel et de la promesse du bitcoin, à la fois pour les avantages du registre distribué et comme réserve et couverture contre l’inflation, le bitcoin a peu de pairs en ce qui concerne son importance pour les intérêts à long terme des États-Unis. »

Communiqué de Marathon Digital

Concrètement, Marathon indique que le déploiement d’une licence exclusive DMG Digital (dont le détail n’est pas explicité pour l’heure) permettra de s’assurer de la parfaite virginité et conformité des nouveaux BTC produits par les fermes américaines. En outre, il est précisé que d’autres acteurs américains du minage se joindront à la démarche dans les prochaines semaines. C’est donc une mouvement général et coordonné qui semblent s’amorcer sous nos yeux.

Or, outre s’assurer la bienveillance des autorités de contrôle et de régulation, cette nouvelle approche pourrait avoir des implications majeures pour le marché du Bitcoin dans son ensemble.

Vers l’émergence de différentes catégories de bitcoins ?

Sans faire injure au lecteur, il n’est pas inutile de rappeler que si les bitcoins ne sont par formellement différentiables entre-eux (contrairement aux tokens NFT, dont l’unicité est une caractéristique centrale), la nature même de la blockchain permet de retracer sans mal le “CV” d’un bitcoin, depuis son bloc d’origine au moment de son minage, jusqu’à l’instant présent.

Il est ainsi possible d’établir une cartographie fine du circuit de n’importe quel bitcoin, et si les wallets sont le plus souvent pseudonymes (c’est à dire non-associés à une identité formelle), il n’empêche qu’il est possible de déterminer que tel ou tel coin a pu par exemple servir à des transactions illicites sur le Dark Web en 2014, ou provenir d’un piratage d’exchange il y a 2 ans.

Autrement dit, si un BTC équivaut à n’importe quel autre de ses 19 millions de camarades déjà minés, il n’empêche que certains se traînent un CV encombrant. Et si les services de mixage permettent théoriquement de brouiller les pistes en offrant une nouvelle jeunesse à un actif dont on souhaiterait gommer le passé, l’utilisation de l’outils en lui-même demeure visible pour peu qu’on y mette un peu de moyen. Certaines sociétés s’en sont d’ailleurs fait une spécialité comme Chainalysis qui vient de boucler une énorme levée de fonds.

Quoi qu’il en soit, les régulateurs et les états, aux même titre que les investisseurs institutionnels sont tout autant allergiques aux BTC entachés d’un passif louche que de ceux étant passés à la moulinette de l’anonymisation, initiative étonnamment plus perçue comme une volonté de dissimuler un méfait que comme une simple garantie de protection de la confidentialité élémentaire des transactions.

Marathon Digital ouvre donc la voie à une nouvelle ère. Une ère ou co-existeront peut-être deux catégories de BTC : ceux laissés à l’état sauvage, aux pedigrees douteux, et les autres, “virginaux” et exempts de tout soupçons, frappés dans des mines conformes… et américaines.

A ce stade, vous anticipez déjà la suite du scénario : assorties de leur certificat de bonne conduite les plaçant au dessus de tout soupçon, ces nouvelles pièces pourraient bien se retrouver au passage assorties d’une “prime” à l’achat, voire pourquoi pas évoluer à terme dans un marché secondaire dédié où régneront bonnes manières et acheteurs accrédités. On pensera à cet égard à la récente mise aux enchères par la France de plus de 600 bitcoins, les lots ayant globalement été adjugés au dessus du cours du marché.

Certains avaient alors émis l’hypothèse que les acheteurs ne voyaient peut-être pas d’objection à “sur-payer” des BTC, ces derniers étant rendus en quelques sorte respectables par le fait d’être vendus par un état.

Il est difficile de déterminer avec précision les implications à terme sur l’écosystème de l’initiative de Marathon Digital. Ce qui est en revanche certain, c’est qu’à partir du 1er mai prochain, les 107 000 ASICS de l’entreprise ne mineront plus que du “Bitcoin propre”… selon une définition établie par les Etats-Unis.

L’article “Bitcoin vierge” : Le modèle américain qui pourrait fracturer le marché crypto est apparu en premier sur Journal du Coin.