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Une nouvelle forme de gagner de l’argent grâce au jeu a secoué le monde du jeu NFT. Pour les nouveaux venus sur la plate-forme, NFT signifie « jeton non fongible », qui peut aller d’une œuvre d’art à une pièce de monnaie. Avec la nouvelle approche du jeu NFT – CGU, ou Crypto Gaming United – le fondateur Sergio Sergienko reprend le concept et l’améliore en offrant une véritable chance aux joueurs de réaliser un profit réel simplement en jouant à un jeu.

Initialement lancé en Australie et aux Philippines, Sergienko pense que le nouveau concept « Play-to-earn » transforme le monde du jeu NFT en une proposition plus attrayante, en particulier pour les joueurs du monde en développement. Alors, qui est Sergienko et pourquoi CGU est-il un développement important dans le monde du NFT et de la crypto-monnaie ?

Qui est Sergio Sergienko ?

Sergio Sergienko est un nom respecté sur les marchés de la crypto-monnaie et de la blockchain. Son projet le plus connu avant CGU est la start-up Chrono.Tech. Depuis son siège de Sydney, Chrono.Tech permet aux futurs collaborateurs et responsables RH de se mettre en relation, simplifiant ainsi le processus et réduisant ainsi les coûts de recrutement.

Qu’est-ce que la pensée derrière l’UGT ?

Pionnier du jeu NFT, Sergienko défend le concept selon lequel les personnes sont payées en crypto-monnaie pour jouer à des jeux. UGT et son concept « Play-to-earn » ajoute une nouvelle dimension à la plate-forme NFT et offre un plus grand attrait pour le joueur dans le monde en développement. Sergio explique :

« J’ai toujours adhéré au principe selon lequel les gens devraient être payés en crypto-monnaie pour le temps qu’ils passent à travailler. C’était le principe de base de la start-up Chrono.Tech. Et lorsque nous avons ajouté une section de jeu au système, la croissance était folle – notre trafic a triplé.

« J’ai réalisé que cette approche pouvait séduire la sphère NFT. L’idée est que les gens obtiennent des jetons SLP pour leur temps dans le jeu, puis ils peuvent les échanger contre de la crypto-monnaie ou les vendre à d’autres participants.

Cependant, la véritable évolution de CGU est que les joueurs n’ont plus à acheter de personnages. Habituellement, un nouveau joueur dans la sphère NFT doit payer environ 2000 $ pour entrer, pour lequel il réclame un personnage. Sergienko a reconnu cela comme un obstacle pour beaucoup, donc avec CGU, le personnage de «super-héros» est effectivement embauché par le joueur. Cela signifie qu’ils peuvent commencer à gagner immédiatement. Le joueur prend 45% des gains un jour donné, le reste étant pris pour maintenir et faire fonctionner la plate-forme, et comme retours pour les investisseurs.

Comment les joueurs des économies en développement profitent-ils du jeu ?

Alors que le revenu n’est pas énorme – un nouveau joueur, par exemple, peut gagner 10 à 15 $ par jour – pour les joueurs du monde en développement, le concept « Play-to-earn » est une méthode bienvenue pour gagner de l’argent supplémentaire là où les salaires sont bas. Comme l’explique Sergienko :

« Nous recherchons des personnes qui souhaitent augmenter leurs revenus d’au moins 10 $ par jour, ce qui, pour de nombreuses personnes dans les pays en développement, est un revenu raisonnablement élevé, difficile à obtenir même avec un emploi à temps plein. « 

L’UGT sera déployée dans d’autres pays dans certaines régions d’Afrique et d’Asie, et avec un investissement initial de 5 millions de dollars, l’avenir s’annonce prometteur pour cette approche innovante des jeux NFT.

Ayant reçu un investissement de 5 millions de dollars lors d’un cycle de financement de démarrage en 2021, CGU est bien équipée pour s’étendre à d’autres pays dans certaines régions d’Afrique et d’Asie et capitaliser sur les guildes de jeu à l’avenir. CGU termine actuellement son plan pré-IDO pour lever 10 000 000 $ et se prépare pour la vente publique de jetons IDO en octobre.

Solana Labs Co-Founder and CEO Anatoly Yakovenko recently explained how the small-staffed project has managed to become a powerhouse in the crypto space. 

During a recent interview with Cointelegraph at the SALT Conference 2021, Yakovenko said that his project was focused on increasing speed in order to meet the demands of scale necessary for crypto adoption to become ubiquitous.

Yakovenko said of SOL, which was recently clocked at 200,000 transactions per second (TPS) by a third-party validator, that as the hardware gets better for crypto projects, the “capacity goes up.”

Solana, which relies upon a development team of sixty volunteers, has managed to explode since being released onto the market in March 2020. The network hosts more than 400 projects, with many non-fungible tokens (NFTs) and decentralized finance (DeFi) applications. 

Yakovenko told Cointelegraph that the team’s project was “not super big” compared to other decentralized organizations, and that the developers were working pro bono. 

He said of the team:

They may have quit their job at Google, or whatever […] They are going to build a company. It’s going to be a Web 3.0 application. Maybe it’s financial, maybe it’s art-based. They will raise capital and build it on Solana. Solana is effectively that layer that is supplying financial infrastructure. 

Yakovenko continued, saying Solana had been built from day one for speed and was distinguished from other proof-of-stake (PoS) networks by its optimization for the specific use case of online trading in order to support platforms making millions of transactions per day. 

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