Le navigateur Opera intègre désormais les noms de domaines en .crypto

On chantera les louanges de la décentralisation afin d’œuvrer pour un web sans censureOpera intègre désormais nativement les sites .crypto. Le navigateur emprunte la voie du web décentralisé.

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Du lyrique à l’ère de la décentralisation

Le 28 avril 2021, le navigateur Opera annonce que ses utilisateurs, aussi bien sur Windows que Mac, Linux, ou encore iOS ou Android, pourront accéder plus facilement aux sites avec l’extension .crypto fournie par Unstoppable Domains. Les pages web décentralisées bénéficieront d’une visibilité accrue auprès de plus de 320 millions d’utilisateurs actifs mensuels du navigateur.

On rappellera que les pages .crypto sont intégrées nativement à Opera. Les internautes utilisant Opera n’auront ainsi pas à taper les adresses alphanumériques lourdes similaires à celles des portefeuilles cryptos. Ils auront simplement à renseigner l’adresse comme pour les sites classiques, dans la barre de navigation. Avant cette intégration native, les utilisateurs d’Opera devaient ajouter l’extension “Unstoppable extension“, disponible également pour Chrome et Brave, pour accéder aux sites .crypto ou .zil.

Les noms de domaines avec une extension .crypto sont mintés en tant que NFT sur Ethereum (ETH). Leurs créateurs disposent ainsi d’un contrôle total et des droits de propriété sur leurs pages. Certains noms de domaines tels que win.crypto, gambling.crypto, et hotels.crypto, se sont vendus chacun pour 100 000 $ en mars 2021. En 2020, la baleine ETH Maxstealth acquiert le nom de domaine chaud bouillant sex.crypto pour 230 ETHenviron 90 000 $ à l’époque. Outre ces exceptions, les noms de domaines d’Unstoppable Domains se vendent généralement à 40 $. Unstoppable Domains est notamment soutenu par le milliardaire BTC Tim Draper.

Et le bouton STOP ?

Opera prend en charge le protocole hypermedia P2P Interplanetary File System (IFPS). Ce dernier permet de stocker et de partager les données dans un système de fichiers distribué. Les utilisateurs d’Opera pourront donc récupérer les pages des sites .cryptos via un réseau décentralisé d’ordinateurs, plutôt que via un serveur dans le cloud.

Le web décentralisé permet théoriquement de lutter contre la censure. L’ICANN qui contrôle le registre des liaisons entre l’IP d’un site web et d’un nom de domaine, est impuissant contre les sites .crypto. Opera a cependant indiqué que certains de ses utilisateurs devront tout de même utiliser des VPN pour contourner les restrictions extérieures, même pour les sites décentralisés.

L’éducation reste la base : Opera offre certes une victoire importante au web décentralisé, il ne reste plus qu’à convaincre les utilisateurs de la valeur ajoutée d’un web décentralisé. Donald Trump s’est fait bannir des réseaux sociaux : faut-il applaudir ou s’inquiéter du pouvoir de certaines personnes, capables de museler les internautes en quelques clics ?

L’article Le navigateur Opera intègre désormais les noms de domaines en .crypto est apparu en premier sur Journal du Coin.

Ethereum s’envole au-dessus de 3000$ pour la première fois, quel objectif ? Par Investing.com

Ethereum s'envole au-dessus de 3000$ pour la première fois, quel objectif ?

Investing.com – , la seconde plus importantes cryptomonnaies par capitalisation derrière le , qui marque record sur record ces derniers jours, a dépassé pour la première fois le seuil de 3000$ dans la nuit de dimanche à lundi, avec pour l’instant un sommet historique à 3030$.

La paire ETH/USD affiche une hausse de près de 3% sur 24 heures au moment de la rédaction de cet article, et de près de 25% sur une semaine. Depuis le début de l’année, c’est plus de 300% que gagne cette cryptomonnaie, une performance 3 fois supérieure à celle du Bitcoin.

En ce qui concerne les raisons de cette hausse, on notera qu’une multitude de facteurs ont influencé la récente poussée de l’Ether. Il faut en effet rappeler que l’Ethereum, en plus d’être une cryptomonnaie à part entière, sert de plateforme à d’autres applications dans le monde des cryptomonnaies, notamment en ce qui concerne les deux dernières tendances à la mode : la DeFi et les NFT.

On notera également que l’on a pu apprendre la semaine dernière que la European Investment Bank allait émettre des obligations basées sur Ethereum.

Il faut aussi rappeler que des mises à jour du réseau Ethereum, récentes et à venir, contribuent également au climat positif.

Enfin, en ce qui concerne les seuils importants, 3100$ semble être le prochain objectif logique, tandis qu’à la baisse, le seuil de 3000$ pourrait devenir support. Un support graphique peut par ailleurs être repéré vers 2950$.

Cependant, compte tenu de l’ampleur du récent mouvement haussier, Ethereum pourrait descendre bien plus bas sans pour autant remettre en question le biais positif de fond. En réalité, l’étude du graphique journalier montre que la tendance de fond ne serait menacée qu’en cas de retour sous 2500$.

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Retrouver l’article original de Investing.com ici: Lien Source

Satoshi’s Games lance Elixir Marketplace pour les NFT basés sur les récompenses Bitcoin

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Jeux de Satoshi a dévoilé Marché des élixirs, un marché de jetons non fongibles (NFT) pour les jeux qui permettent aux joueurs de gagner des récompenses en fonction du Crypto-monnaie Bitcoin. La plate-forme fera partie d’une plus grande plate-forme de publication que les fabricants de jeux blockchain peuvent utiliser pour inciter les gens à jouer.

Le marché Elixir est maintenant disponible pour que les gens puissent échanger des articles du prochain titre de bataille royale de style dessin animé 3D de Satoshi’s Games, Light Nite, a déclaré Carlos Roldan, fondateur de la société basée à Alicante, en Espagne, dans un e-mail à GamesBeat. Tout cela fait partie de la tendance à la Économie des loisirs, où nous pourrions un jour gagner de l’argent en jouant à des jeux.

Roldan a déclaré que l’idée derrière la société il y a quelques années était de fournir des «micro-récompenses» liquides instantanées qui ont déclenché la création de la première plate-forme.

Comment ça fonctionne

Les NFT utilisent le registre sécurisé et transparent de la blockchain pour identifier de manière unique les éléments numériques, ce qui peut les rendre plus précieux. Les sociétés de jeux envisagent les NFT comme une nouvelle façon de gagner de l’argent tout en offrant aux joueurs l’avantage de pouvoir posséder les objets et de les acheter ou de les vendre.

En d’autres termes, les joueurs peuvent être payés pour jouer à des jeux. Dans Light Nite, les microtransactions Bitcoin ajoutent un nouveau niveau d’interaction, car les joueurs peuvent gagner du Bitcoin instantanément lorsqu’ils tirent sur des adversaires et retirent des soldes quand ils le souhaitent, a déclaré la société. Tous les objets du jeu ont une valeur réelle que les joueurs peuvent offrir ou échanger, leur permettant de se sentir en contrôle de leur monde de jeu, selon Satoshi’s Games.

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Ci-dessus: vous pourrez acheter et vendre des objets NFT dans Light Nite.

Crédit d’image: Jeux de Satoshi

Le marché utilise la technologie du Sidechain liquide, qui est un réseau de règlement pour les commerçants et les bourses, permettant des transactions Bitcoin plus rapides et plus confidentielles et l’émission d’actifs numériques. Il utilise également le Lightning Network, un protocole de couche 2 qui peut fonctionner plus rapidement et offrir des paiements bidirectionnels, afin que les joueurs puissent apporter de l’argent dans et hors d’un réseau. Cela facilite le trading, comme les devises fortes dans un jeu gratuit.

Il utilise également le Système de fichiers interplanétaires, ou IPFS, pour stocker des images dans un réseau peer-to-peer. Et il utilise le Jetons d’authentification Lightning Service (LSAT), qui permet de suivre un enregistrement de propriété vérifiable à partir d’un actif, ainsi que la copropriété et d’autres événements authentifiés prouvables. Cela aide les jeux de Satoshi à reproduire le comportement des NFT et des crypto-collectibles via Bitcoin, a déclaré Roldan.

«Nous disons que nous reproduisons le comportement des normes NFT parce que nous pouvons fournir ces fonctionnalités de traçabilité, de copropriété authentifiée et de mécanismes d’échange prouvables et ajouter des fonctionnalités supplémentaires telles que la protection du contenu multimédia visuel lié au contrat d’émission de liquide», a déclaré Roldan.

Combiner tous ces services est ce qui est nécessaire pour rendre facile, rapide et peu coûteux l’échange d’articles sur la crypto-monnaie Bitcoin, qui a connu une explosion de valeur et est de plus en plus adoptée par le grand public. D’autres créant de tels marchés incluent bac à sable, Immuable X, et Jeux mythiques.

«Le choix du bitcoin est fort», a déclaré Roldan. «C’est maintenant et à notre avis ce sera jamais la crypto-monnaie la plus sûre, la plus liquide et la plus largement adoptée. Et étant donné que le Layer 2 Lightning Network est plus évolutif qu’Ethereum et parfaitement adapté aux micro-récompenses en raison de ses propriétés de coût instantané et quasi nul. Aucune autre plate-forme n’offre cet ensemble de fonctionnalités essentielles. »

Roldan a déclaré qu’il considérait Elixir comme le premier NFT basé sur Bitcoin, car tous les autres sont basés sur Ethereum ou d’autres blockchains.

«Lightning vient de naître à ce moment-là et avec lui la capacité d’effectuer des transactions d’un millionième de dollar instantanément et à un coût presque nul», a-t-il déclaré. «Cela a permis de nouveaux niveaux d’interaction et de confiance entre les joueurs et le studio. Des programmes de fidélité existent depuis longtemps dans les jeux ainsi que dans de nombreux autres secteurs. »

Il a ajouté: «Nous ne faisions que remplacer les monnaies douces par de très petites fractions de Bitcoin réel d’une manière qui compense les utilisateurs pour l’amélioration de leurs compétences dans le jeu. Ensuite, les skins réservés (NFT) sont arrivés à la blockchain Bitcoin via Liquid et avec eux, un excellent moyen pour les utilisateurs de contrôler leur économie Bitcoin et de passer facilement d’un jeu à l’autre simplement en vendant et en achetant des skins à tout moment. Les marchés basés sur des approvisionnements prouvables génèrent plus de confiance dans les utilisateurs et les fusées de mobilité avec lui. »

Light Nite est un jeu basé sur les récompenses

Monter la garde à Light Nite.

Ci-dessus: Monter la garde à Light Nite.

Crédit d’image: Jeux de Satoshi

Roldan a déclaré que le jeu Light Nite compte environ 3500 personnes qui ont précommandé le jeu. Il compte actuellement environ 1300 utilisateurs actifs par mois dans une version pré-alpha du jeu, et ces joueurs ont demandé à la société de les laisser échanger l’équipement de jeu symbolisé qu’ils acquièrent du jeu de tir à la troisième personne de la bataille royale.

«Les NFT de nos titres ne sont pas que des objets de collection», a déclaré Roldan. «Nous voulons que nos joueurs aient un meilleur contrôle et une plus grande propriété de leurs objets en jeu tout en étant en mesure de les utiliser sur le numérique.
champ de bataille. »

Light Nite de Satoshi’s Games permettra aux joueurs de collecter des Bitcoins le mieux qu’ils font dans le jeu. Ils peuvent également obtenir des équipements en jeu qui ont été jetés avec Liquid. Les NFT peuvent être gagnés en jouant, achetés ou échangés sur le marché Elixir. Les utilisateurs peuvent également retirer les NFT dans leur propre portefeuille s’ils préfèrent les garder.

Une plateforme de publication pour d’autres développeurs

Satoshi's Games veut que vous gagniez du Bitcoin en jouant à des jeux.

Ci-dessus: Satoshi’s Games veut que vous gagniez du Bitcoin en jouant à des jeux.

Crédit d’image: Jeux de Satoshi

Le marché Elixir fera éventuellement partie de la plus grande plate-forme de publication Elixir de Satoshi’s Games, qui devrait sortir plus tard cette année. La plate-forme permettra à tout développeur de publier des jeux avec des fonctionnalités telles que Bitcoin Micro-Rewards et la tokenisation des actifs. Ces fonctionnalités ont déjà été implémentées dans Light Nite, ce qui signifie que les fans du titre ont déjà accès au marché.

Les développeurs qui téléchargent leurs jeux sur la plate-forme Elixir choisiront s’ils veulent offrir des micro-récompenses sat, la tokenisation des actifs ou les deux, a déclaré Roldan.

Satoshi’s Games compte 15 personnes et a permis de collecter 1 million de dollars. L’entreprise a été fondée en 2018.

«Alors que nous publions Elixir, de nombreux développeurs comprendront immédiatement les avantages d’un nouveau modèle économique construit nativement sur la future monnaie numérique grand public, qui permet un niveau de liberté et de mobilité beaucoup plus élevé pour les utilisateurs», a déclaré Roldan.

Quant à la manière d’accéder à un marché de masse pour les jeux blockchain, Roldan a déclaré: «De nombreux studios de qualité se rendent déjà compte qu’il existe de nouvelles façons d’acquérir et de fidéliser des utilisateurs à un coût inférieur pour eux. Les joueurs réclament plus de liberté, plus de confiance et des récompenses plus ouvertes. Elixir permet aux studios d’offrir tout cela à leurs utilisateurs avec une rentabilité plus élevée, donc ce ne sera pas la technologie elle-même (assez transparente pour la plupart des utilisateurs) mais la commodité qui conduira le marché de masse dans cette tendance.

JeuxBeat

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Traduction de l’article de Dean Takahashi : Article Original

Le grand comparatif des technologies blockchain publiques ! (Partie 2)

Pour rappel, afin de réaliser ce comparatif, nous avons défini 5 critères que vous trouverez ci dessous. Après ça, les caractéristiques des blockchain publiques du marché n’auront plus de secrets pour vous ! 

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  1. Gouvernance : quel est le consensus de validation des blocs utilisé ? (Preuve de travail, preuve d’enjeu, preuve d’enjeu déléguée etc… ) 
  2. Performance : combien de transactions par seconde peuvent être supportées sur le réseau ? 
  3. Communauté : combien de nœuds actifs ? Quelle est la communauté de développeurs derrière la technologie ? 
  4. Smart contracts : est-ce que la technologie permet de déployer des smart contracts ? 
  5. Cas d’usage : quels sont les cas d’usage qui utilisent la technologie ? 

Polkadot

Relier les différentes blockchains entre elles, créer un véritable réseau unifié des différentes blockchains existantes. C’est la promesse du projet Polkadot lancé en 2017 après une ICO ayant permis de récolter plus de 140 millions de dollars en DOT, la cryptomonnaie du réseau Polkadot. Un montant complété par une seconde levée de fonds d’un montant de 44 millions de dollars. Parmi les membres fondateurs du projet, on retrouve Gavin Wood, éminent cofondateur d’Ethereum et qui est notamment l’inventeur du langage Solidity, le langage de code pour les développeurs sur Ethereum. 

Gouvernance : Sur Polkadot, le consensus de validation des blocs, pilier de la gouvernance du réseau est un dérivé du consensus de preuve d’enjeu ou “Proof of Stake” en anglais. Sur Polkadot on parle de preuve d’enjeu nominée ou “Nominated proof of Stake”. Ce consensus implique 4 types d’acteurs qui s’assurent que les transactions et que les nouveaux blocs soient correctement créés sur la blockchain. La première catégorie sont les nominateurs, ils sont en charge de désigner de bons validateurs, ceux-ci désignent la deuxième catégorie d’acteurs, ils sont chargés de valider les transactions sur le réseau et sont encouragés à le faire afin de ne pas perdre leurs DOT qui sont en jeu. Enfin, deux catégories d’acteurs complémentaires intitulées les Collecteurs et les Pêcheurs sont respectivement chargées de surveiller les éventuels mauvais comportement des validateurs sur le réseau. 

Performance : Grâce à son architecture spécifique impliquant une blockchain principale appelée “Relay Chain” dans le jargon Polkadot et des multiples chaînes y faisant référence appelées, elles, “Parachains”, le réseau Polkadot est en mesure de proposer des performances de hautes volées que l’on estime à environ 1000 transactions par seconde

Communauté : Gavin Wood, le cofondateur du projet aux côtés de Peter Czaban et Robert Habermeier met à profit son réseau dans l’écosystème blockchain pour permettre à Polkadot de disposer des ressources nécessaires. C’est pourquoi Polkadot peut se targuer de disposer des contributions de la Web3Foundation, dont Gavin Wood est le président ainsi que le fond d’investissement Parity Technologies. Au moment de la rédaction de cet article, on dénombre 297 validateurs sur le réseau pour près de 8000 nominateurs

Smart contracts : Sur Polkadot, les smart contracts ne sont pas embarqués nativement sur la blockchain, néanmoins, les parachains, qui font partie intégrante du réseau polkadot pourront elle intégrer des smart contracts. 

Cas d’usage : Des projets de premier ordre comme ChainLink (LINK) et Ocean Protocol utilisent la technologie Polkadot. Plus globalement les cas d’usages de Polkadot sont très nombreux puisque chaque Parachain du réseau peut développer un usage particulier comme la réalisation de transaction, la gestion des identités, la gestion des transactions entre IOT ou encore réaliser des ponts entre les réseaux blockchain existants. 

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Niveau de maturité globale de la blockchain publique Polkadot  : 3,4/5

Iota 

Fondé en 2015 à la suite d’une ICO ayant permis de lever près de 1337 Bitcoins, le projet Iota est lancé par ses fondateurs : David Sonstebo, Serguey Ivancheglo, Dominik Schiener et Serguei Popov. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le nom “Iota” ne fait pas référence au monde des IOT (Internet of things) mais à une unité de mesure très petite. Souvenez-vous de l’expression “ça ne bouge pas d’un yotta”. Même si nous intégrons le réseau Iota dans notre comparatif des blockchains, nous allons voir que celui-ci a un mode de fonctionnement particulièrement différent des autres réseaux. 

Gouvernance : Le consensus de validation des transaction utilisé sur IOTA est celui de la preuve de travail, néanmoins, attention, l’architecture de Iota n’est pas la même qu’une blockchain classique, il s’agit d’une architecture de type DAG (Directed Acyclic Graph). Ainsi l’ensemble des Iota ont déjà été créés, il n’y a pas de notion de minage dans le réseau Iota, chaque nœud du réseau est aussi un validateur des transactions ce qui améliore le caractère de décentralisation du réseau. 

Performance : Actuellement, le réseau Iota permet de soutenir environ 250 transactions par seconde. Il est important également de noter ici qu’il n’y a aucun frais de transaction sur le réseau. L’architecture Iota diffère de celle d’une blockchain où les blocs sont ajoutés les uns après les autres, chez Iota, chaque transaction permet d’en valider deux autres, ainsi, plus il y a de transaction, plus sa performance globale augmente. Le réseau devrait ainsi pouvoir supporter un maximum de 600 transactions par seconde

Communauté : Le développement du réseau Iota est principalement soutenu par la fondation Iota, basée à Berlin, elle regroupe une communauté de développeurs qui construisent le réseau. A la date de rédaction de cet article, on dénombre seulement 28 nœuds actifs sur Iota. 

Smart contracts : Le réseau Iota permet aux développeurs de réaliser des smart contracts au travers du “Iota smart contract protocol”. Une fois de plus, Iota à une approche différenciante sur le sujet des smart contracts. En effet, Iota offre une plus grande flexibilité en laissant le choix aux développeurs de définir leur langage de programmation ainsi que leurs machines virtuelles. Les smart contracts sur Iota peuvent être permissionnés, c’est-à dire que les groupes qui les développent peuvent choisir les nœuds qui valident les smart contracts. Ainsi les smart contracts ne nécessitent pas tous les nœuds du réseau pour fonctionner, ce qui améliore également la performance. Les smart contracts sur Iota ouvrent ainsi la voie vers des créations de plateforme de liquidité, plateforme NFT et tous autres usages utilisant les avantages des oracles Iota. 

Cas d’usage : Les cas d’usages du réseau Iota se concentrent actuellement autour des objets connectés et de la traçabilité que le réseau peut permettre d’apporter. Dans le secteur de l’automobile, Iota est déjà utilisé par Jaguar-Land Rover pour permettre aux véhicules de communiquer entre eux, de remonter de la donnée vérifiée sur le réseau et de gagner des cryptomonnaies en échange. Les secteurs de la supply chain, de la santé, du partage d’énergie et plus globalement des IOT industriels est un terrain de jeu que Iota cible en priorité.  

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Niveau de maturité globale de la blockchain publique Iota  : 3,2/5

Ripple

Ripplenet est le réseau blockchain développé par la société Ripple Labs présidée par Brad Garlinghouse. Les frontières entre le réseau reposant sur la cryptomonnaie XRP et la société Ripple Labs sont minces, c’est d’ailleurs tout le sujet des récentes accusations de la SEC à l’égard de la société Ripple. La promesse du projet derrière le réseau Ripple Net initié dès 2012 par Jed McCaleb est de considérablement augmenter la performance des échanges interbancaires en se positionnant comme un concurrent direct aux standards actuels que sont SWIFT et SEPA que vous connaissez sans doute. Vous l’avez compris, le réseau Ripple se différencie selon plusieurs points, regardons les en détail. 

Gouvernance : La validation des transactions sur le réseau Ripple n’implique pas de minage impliquant la création de nouveaux XRP. L’ensemble des 100 milliards de XRP ont déjà été pré minés dès le lancement du réseau. Le réseau Ripple dispose de son propre consensus de validation des transactions intitulé RPCA pour “Ripple Protocol Consensus Algorithm”. Le réseau Ripple est ouvert, ainsi chacun peut devenir un nœud du réseau et participer à la validation des transactions. Il est aussi possible de choisir une liste de nœuds de confiance qui seront en charge de valider les transactions sur le réseau. Pour ses clients Ripple maintient ainsi une liste de nœuds de confiance à privilégier pour valider les transactions. 

Performance : 1500, c’est le nombre de transactions que peut soutenir le réseau Ripple par seconde. Le tout avec un délai de réalisation de chaque transaction allant de 3 à 5 secondes. Cela positionne le réseau Ripple comme étant l’un des réseaux blockchain les plus performants, cela afin de proposer une solutions efficiente aux grands clients bancaires que cible Ripple. 

Communauté : Comme vous l’avez compris, bien qu’open source, le réseau Ripple net est développé par la société du même nom qui dénombre plus de 500 employés de par le monde ainsi que 9 bureaux positionnés à l’international. La communauté des utilisateurs du réseau s’est développée depuis une dizaine d’années. Ainsi, on dénombre à date de rédaction de cet article 928 nœuds actifs. 

Smart contracts : Le réseau Ripple n’intègre pas directement de possibilité de créer des smart contracts. Cependant, au sein de l’écosystème Ripple on trouve la start up codius qui développe depuis 2014, un environnement permettant de créer des smart contracts. Si les cas d’usages sont potentiellement infinis, peu de cas d’usages concrets ont vu le jour à l’heure actuelle. 

Cas d’usage : Le principal cas d’usage du réseau Ripple est d’augmenter la performance, la rapidité et de réduire les coûts de transactions des paiements interbancaires. Ripple network ambitionne ainsi de devenir un des plus gros réseaux de paiement du monde. Des banques mondiales de renom ont déjà adopté la technologie Ripple qui repose en partie sur le réseau Ripplenet comme Santander ou BBVA et bien d’autres, la liste est longue. 

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Niveau de maturité globale de la blockchain publique Ripplenet  : 3,2/5

Cosmos 

Le projet Cosmos est a été créé par Jae Knwon et Ethan Buchman qui se sont associé en 2015, c’est ensuite à partir de 2017 que le projet a véritablement décollé avec le succès d’une ICO ayant permis de lever près de 17 millions de dollars en seulement 30 minutes… 

Le réseau Cosmos vise à être un réseau de multiples réseaux de Blockchain reliées entre elles. L’objectif est de proposer aux développeurs une véritable boîte à outils leur permettant de donner naissance à des réseau blockchain publiques ou privés. Cosmos intègre ainsi des modules de consensus et de gouvernance clé en main. 

Gouvernance : Comme la plupart des réseaux blockchain de dernière génération, Cosmos s’est doté d’un mécanisme de consensus de preuve d’enjeu. En sommes, les 100 nœuds du réseaux qui “stake” le plus d’ATOMs, la cryptomonnaie native du réseau sont désignés comme étant les validateurs des transactions. Si ceux-ci agissent de manière malveillante lors des validations ils risquent ainsi de perdre tout ou partie de leurs Atoms mis sous séquestre. Il est important de noter ici que Cosmos a intégré au sein de son réseau la possibilité au protocole d’évoluer dans le temps, chaque évolution étant soumise au vote des membres du réseau. Ainsi cela doit permettre d’éviter un maximum les phénomènes de type “Forks” c’est-à-dire des scissions de la blockchain lorsque les communautés en place sur le réseau n’arrivent pas à s’entendre. 

Performance : C’est un des gros points forts du réseau Cosmos qui permet grâce à son architecture de réaliser jusqu’à 10 000 transactions par seconde avec une latence de seulement 1 à 2 secondes pour chacune des transactions réalisées. 

Communauté : Le réseau Cosmos et son protocole technologique nommé Tendermint est développé par la fondation “Interchain”, à la tête de celle-ci, on retrouve notamment les créateurs du projet et tout une équipe de développeurs.  Au total le réseau Cosmos devra pouvoir héberger près de 300 nœuds validateurs des transactions sur le réseau. 

Smart contracts : Pensé comme une boîte à outil idéale pour les développeurs de réseaux blockchain, Cosmos intègre plusieurs modules permettant de déployer des smart contracts. Il est ainsi possible de construire des smart contract sur les blockchains du réseau cosmos  avec le module “CosmWasm”, on peut également déployer des blockchains sur Cosmos qui peuvent supporter des smart contracts Ethereum grâce au module Ethermint. 

Cas d’usage : Il existe déjà plus de 240 applications construites sur le réseau cosmos, celles-ci sont répertoriées comme sur un véritable app store sur le site web du réseau cosmos. Ces applications se développent dans les domaines de la Finance, des réseaux sociaux ainsi que des NFT et des jeux vidéo. Bref, avec cet aperçu, le réseau Cosmos prouve une fois de plus sa capacité à donner les bons outils au développeurs. 

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Niveau de maturité globale de la blockchain publique Ripplenet  : 3,8/5

Conclusion : et si la course au prochain standard de blockchain publique ne faisait que commencer ?  

Comme on peut le voir dans ce comparatif, les réseaux de blockchain publiques sont désormais nombreux sur le marché, la plupart étant issus d’ICO réalisées autour de 2017, 4 ans plus tard ces réseaux commencent à disposer d’une certaine maturité. Tout cela alors que le réseau Ethereum, qui reste le standard actuel, peine à réaliser son mouvement vers Ethereum 2.0. Enfin, nous avons vu que parmi les réseaux que nous avons comparés, certains comme notamment IOTA sont des réseaux distribués mais qu’on ne peut pas nommer “Blockchain” en raison de leur architecture et de leur mode de fonctionnement. Un éclairage sur ce point pour replacer le concept de blockchain au sein des différents types de réseaux distribués que l’on peut rencontrer sera l’objet d’un prochain article. De plus, la saga du comparatif des blockchain publiques n’est pas totalement terminée, il nous manque notamment à observer le réseau Bitcoin qui, ont a tendance à l’oublier, est aussi un réseau blockchain publique.

Retrouver l’article original de Guillaume Moret Bailly ici: Lien Source

Après Bitcoin et Ethereum, les traders devraient-ils envisager d’investir dans les NFT?

2021 a vu l’émergence des jetons non fongibles [NFTs] qui pourrait transformer une œuvre d’art ou tout artefact en une entité numérique unique avec une propriété exclusive. Cela a pris d’assaut le monde de l’art et étant donné que le marché de la cryptographie et Bitcoin, en particulier, sont dans une course haussière, un grand intérêt a également été dirigé vers le marché de la cryptographie.

Une vente aux enchères récente d’œuvres d’art de Beeple avec le PDG de Twitter – Jack Dorsey mettant aux enchères son tout premier tweet en tant que NFT, a ajouté à la fanfare qui l’entoure et l’a rendu assez courant.

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Source: LongHash

C’était aussi signalé qu’après avoir plongé les orteils dans Bitcoin et Ethereum, de nombreux investisseurs institutionnels considéraient désormais les NFT comme la prochaine forme d’investissement dont leurs portefeuilles pourraient bénéficier. Un récent rapport LongHash a souligné que,

«En plus des investissements artistiques susmentionnés et du financement de 250 millions de dollars de Coatue Management par le développeur NFT Dapper Labs, d’autres institutions prennent note de l’écosystème NFT. En février, les plateformes de trading d’art NFT Rarible et Async Art ont également reçu des millions de dollars de financement, avec la participation d’investisseurs bien connus.

Fait intéressant, dans un récent entrevue sur le podcast Unchained, Devin Finzer, cofondateur et PDG de la place de marché NFT OpenSea, a expliqué la croissance des NFT et les raisons pour lesquelles ils sont passés sous les projecteurs ces derniers mois, ainsi que ce à quoi s’attendre de ce secteur. Alors que la plupart des utilisateurs et investisseurs grand public ont peut-être rencontré le terme NFT au cours des 6 derniers mois, Finzer a souligné que les dernières années avaient joué un rôle crucial dans la construction de l’infrastructure nécessaire pour les NFT. Il a souligné,

«Mais vraiment, ces trois dernières années, il y a eu beaucoup d’activité et beaucoup de construction dans l’espace NFT. Cela a donc commencé avec CryptoKitties. Cela a également commencé avec des projets comme CryptoPunks. Mais à partir de là, il y avait tellement d’intérêt des premiers développeurs, que tous les outils autour des NFT se sont beaucoup améliorés. »

Cependant, avec la montée en flèche de l’intérêt, beaucoup ont été sceptiques à l’égard des NFT en général et l’ont appelé encore une autre bulle qui se produit de temps en temps. Finzer a souligné que qualifier la montée en flèche de l’intérêt de «  bulle  » est difficile à quantifier, contrairement au marché de la cryptographie dans lequel de telles allégations reposent sur une flambée des prix. Il a noté,

«Je pense qu’il est difficile de quantifier la bulle NFT. Avec les bulles de crypto-monnaie, vous pouvez indiquer le prix de l’éther et vous pouvez dire, «  le prix de l’éther est trop élevé  » ou quelque chose comme ça. Avec les NFT, ce n’est pas seulement le prix. »

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Source: DappRadar

Bien qu’il soit très discutable de savoir combien de temps la demande de NFT va durer, les données de marché fournies par DappRadar ont illustré la croissance substantielle de certains des marchés NFT populaires comme NBA TopShot, qui a connu une croissance stupéfiante au cours des 30 derniers jours seulement, avec son nombre d’utilisateurs est passé de 65,4K à environ 140K. Alors que les NFT ont gagné en popularité, Finzer a souligné qu’ils constituent toujours un environnement difficile pour les utilisateurs de naviguer et de fonctionner. Il a déclaré:

«Je pense que si vous regardez profondément dans l’espace NFT, vous vous rendez compte qu’il y a toute cette excitation, il y a tout ce volume, et toutes ces transactions se déroulant sur une expérience utilisateur très difficile à utiliser – pour la plupart. Certaines applications ont rendu cela plus facile, mais elles font des économies en termes de donner aux gens une sorte d’expérience NFT complète. « 


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Traduction de l’article de Jude Lopez : Article Original

Hebdo Crypto #144 – Les actualités cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 26/04 en bref – L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants.

Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur l’actualité de la semaine passée dans l’Hebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

L’actualité en bref

▶ Le protocole MakerDAO fait peau neuve. En plus d’ajouter de nouvelles cryptomonnaies utilisables dans la génération de DAI, celui-ci revoit son système de liquidation pour éviter de revivre les heures sombres du jeudi noir.

▶Le projet atypique Ampleforth décentralise sa gouvernance. Ainsi, le protocole vient de dévoiler le jeton FORTH, qui permettra à ses détenteurs de prendre part aux décisions relatives à l’évolution du protocole. 

▶Binance est sur tous les fronts, l’échange annonce une plateforme NFT. En parallèle du succès de la Binance Smart Chain, l’échange numéro 1 vient d’annoncer le lancement de Binance NFT.

▶L’EIP-1559 prévu pour le 14 juillet prochain. Le très débattu EIP-1559 d’Ethereum a finalement une date de sortie, à savoir le 14 juillet prochain lors du hard fork London. Espérons que ce hard fork ne soit pas le théâtre d’une nouvelle discorde.

▶BadgerDAO et RenVM s’associent pour créer Badger Bridge. Ce pont d’un nouveau genre, permettra de tokeniser des BTC depuis Bitcoin vers Ethereum, et déposer directement ces derniers dans les coffres-forts à rendement de BadgerDAO. 

 ▶ Nouvelle vidéo du Trading du Coin, idéal pour revoir ses stratégies en cette période de bull run. 

Les 5 métriques de la semaine

13 milliards de dollars, c’est le montant astronomique des liquidités déposées sur le protocole Aave. Un montant qui a quasiment doublé en une semaine, suite à l’annonce du lancement d’un programme de liquidity mining.

600 000$, c’est le montant de la donation effectuée par Vitalik Buterin, co-fondateur d’Ethereum, au fond humanitaire destiné à aider l’Inde dans la crise du covid. En effet, le pays est l’un des plus touchés, avec 300 000 nouveaux cas chaque jour.

4 milliards de dollars, c’est le montant des options Bitcoin qui ont expiré vendredi 30 avril. Au total, plus de 77 000 BTC ont été engagés dans ces options. 

10 ans, que Satoshi Nakamoto s’est subitement retiré du projet Bitcoin. Malgré toutes ces années, le secret autour du personnage reste intact. 

50 millions de dollars, c’est le montant qui a été dérobé au projet DeFi Uranium Finance. Après investigations, il semblerait que les soupçons portent sur l’un des membres de l’équipe du projet. 

(1/2)‼ Uranium migration has been exploited, the following address has 50m in it The only thing that matters is keeping the funds on BSC, everyone please start tweeting this address to Binance immediately asking them to stop transfers.

— Uranium Finance (@UraniumFinance) April 28, 2021

Le tweet de la semaine

Le tweet de la semaine revient à Lounès Ksouri. Après avoir demandé à la communauté de lui remonter des articles complets expliquant simplement le Bitcoin, sa publication s’est transformée en vraie mine d’or.

Quels articles (en français) bien écrits conseilleriez-vous à de la famille ou des amis intéressés à Bitcoin ?

Pour en apprendre plus sur ce qu’est vraiment Bitcoin, pour débunker les idées reçues assez classiques, l’aborder sous un nouvel angle ?

— Lounès Ksouri ☂ (@lounes_kmt) April 26, 2021

Bonne semaine sur le Journal du Coin ! 🙂

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est CTA-achat-Bitcoin-BTC-trop-tard.png.

L’article Hebdo Crypto #144 – Les actualités cryptomonnaies de la semaine est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le fonds Andreessen Horowitz (a16z) veut lancer un fonds crypto de 1 milliard de $


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Le fonds de capital risque américain vient d’annoncer sa volonté de créer un troisième fonds d’investissement spécialisé en cryptoactifs, deux fois plus gros que celui existant précédemment.


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Un fond d’investissement opérant dans l’écosystème crypto actif

Fondé en 2009 par Ben Horowitz et Marc Andreessen, le fonds californien fut l’un des premiers investisseurs importants dans le monde des crypto-actifs avec Ripple, Coinbase ou CryptoKitties, par les créateurs de Flow (Dapper Labs), et fut un soutien du projet de Facebook, Libra, aujourd’hui un peu délaissé et renommé Diem

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Il est donc logique pour celui-ci de continuer d’investir dans ce domaine porteur après la création en 2018 de son premier fonds, a16z crypto, ayant levé 300 millions de dollars, puis en 2020 de son deuxième fonds, ayant lui levé pour 450 millions de dollars 

Bigger, Faster, Stronger :   

L’objectif de ce troisième fond : investir dans des projets et start-up en lien avec les cryptosactifs. Pour cela Andressen souhaite lever entre 800 millions et 1 milliards auprès des investisseurs. 

Le timing de cette levée de fonds n’est pas anodin. Les investisseurs traditionnels s’intéressent de plus en plus aux cryptos actifs et leurs utilisations, le bull run est toujours présent et Coinbase vient de faire son entrée en bourse. Une introduction qui n’est pas pour déplaire au fonds. 

Coinbase rentre en bourseCoinbase rentre en bourse

Un investissement dans Coinbase gagnant 

Coinbase est actuellement valorisée pour près de 60 milliards de dollars sur le marché boursier américain. Son action le $COIN s’échangeant pour environ 300$. 

Un franc succès pour Andreessen ayant investi dès 2013 dans l’exchange, et rejoint son conseil d’administration en 2017. Le fonds possède des actions à hauteur de plus de 11,2 milliards de dollars, et en a vendu pour près de 120 millions de dollars lors de l’introduction publique en direct listing. 

Un marché des levées de fonds concurrentiel

Mais a16z n’est pas le seul fond à vouloir sa part du gâteau. 

En mars 2021, le fonds Dragonfly Capital a levé près de 225 millions de dollars auprès d’investisseur pour son second fonds d’investissement DragonFly Fund II dans l’objectif d’investir dans la Finance Décentralisée (DeFi), les Non Fungible Tokens, (NFT), les solutions Layer 2 sur Ethereum et les infrastructures de finance centralisée. Une décision dans la logique de son premier fonds DragonFly ayant investi dans Maker ou Compound

Par ailleurs, Pantera Capital, un fond d’investissement spécialisé dans les cryptos actifs ayant plus de 600 millions de dollars sous gestion à annoncé dans son rapport de 2020 présenté devant la Securities and Exchanges Commission (SEC), l’AMF américain, que son fonds Pantera Venture Fund III avait levé pour plus de 164 millions de dollars auprès de 200 investisseurs. Un fonds ayant récemment  investi dans 1inch.

Le monde des cryptos actifs n’en finit plus d’attirer des capitaux de plus en plus importants. Après l’annonce de la levée de fonds de Consensys a laquelle participe JP Morgan, l’annonce de a16z de créer le plus gros fond à objectif crypto actifs, ou l’annonce du célèbre fonds Ark Invest de l’achat pour près de 356 millions de dollars d’action de Coinbase, les investisseurs institutionnels sont de plus en plus nombreux à vouloir profiter de cette nouvelle ruée vers l’or. Et ils ont bien compris que durant cette période faste, le vendeur de pioche gagne plus que le chercheur d’or. Alors autant miser sur le bon vendeur. 

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Hello there ! Intéressé par l’univers des cryptos-actifs, je suis passé de simples présentations powerpoints à mes amis à la rédaction d’articles sur internet. L’univers des cryptos est tellement vaste qu’il me permet de lier plusieurs de mes passions alors pourquoi ne pas les partager avec vous ?

“Cryptos toujours pareil ! Boom Boom dans les oreilles !” Satoshi Gesaffelstein

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Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Erwan Gallo ici: Lien Source

Blockchain, 58 champs d’application, la révolution ne fait que commencer !

Récit d’une histoire qui ne fait que commencer.

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La Blockchain : histoire d’une incroyable côte de popularité 

l'évolution de l'argentl'évolution de l'argent

Aussi loin que l’on remonte à l’histoire de la Blockchain, on arrive toujours au même point de départ : le cas d’usage des cryptomonnaies et notamment le célèbre livre blanc de Satoshi Nakamoto sur le Bitcoin qui viendra sceller un nouveau concept et une nouvelle manière de voir les interactions et donc les transactions.

Pour autant, il est important de revenir aux fondamentaux et de décrypter ensemble l’histoire de la blockchain à travers les âges jusqu’à son épopée contemporaine depuis quelques années.

L’histoire de la blockchain remonte à 1991 et l’introduction d’une solution informatique par les chercheurs Stuart Haber et W. Scott Stornetta : elle permettait tout simplement l’horodatage de documents numériques afin qu’ils ne soient ni altérés, ni antidatés. Et tenez vous bien, le solution utilisait déjà une blockchain sécurisée cryptographique servant à sécuriser les données. L’année suivante, l’arbre de Merkle (présenté ci-dessous) permet de passer une étape et de permettre à plusieurs documents d’être rassemblés en un seul bloc. Mais le brevet expira en 2004, soit 4 ans avant la création de Bitcoin.

Schéma montrant l'arbre de MerkelSchéma montrant l'arbre de MerkelArbre de Merkel

Puis, les années s’enchaînent jusqu’à l’arrivée des premiers protocoles blockchain

  • en 2004 d’abord, avec le RPoW (Preuve de Travail Réutilisable) introduit par l’informaticien Hal Finney qui résolut le problème de la double dépense grâce à un système reposant sur un token preuve de travail et non fongible, enregistré sur la “blockchain” et permettant à n’importe quel utilisateur à travers le monde de vérifier son exactitude et son intégrité, en temps réel ; 
  • en 2008, évidemment, avec l’introduction par le mystérieux Satoshi Nakamoto du whitepaper de Bitcoin, un système de paiement électronique décentralisé de pair-à-pair. La différence avec le RPoW résidant dans le fait que les Bitcoin sont minés, en tant que récompense en utilisant la preuve de travail, et les transactions sont ensuite validées par les nœuds décentralisés du réseau. En 2009 le premier bloc Bitcoin fut miné et Satoshi offrait une récompense de 50 Bitcoin. Le premier destinataire ne fut autre qu‘Hal Finney, qui perçut tout de même 10 Bitcoins, imaginez son prix aujourd’hui ;
  • En 2013, Vitalik Buterin, célèbre fondateur d’Ethereum lançait à son tour une nouvelle plateforme informatique distribuée et basée sur la Blockchain et surtout dotée d’une nouvelle fonctionnalité de script : le smart contract. Ce processus permet notamment à des développeurs de créer et publier des applications appelées DApps et il en existe aujourd’hui des centaines : des plateformes de réseaux sociaux, de paris ou encore d’échanges financiers totalement décentralisés.

Après ces étapes cruciales, la Blockchain a continué son chemin, que ce soit dans l’univers des cryptomonnaies, premier “vrai” cas d’usage éprouvé mais aussi dans de nombreux secteurs d’activité : on pense notamment à la logistique, au luxe, à l’agroalimentaire, au secteur public ou encore au transport. Des dizaines de secteurs dans lesquels les caractéristiques de transparence, d’authenticité, de sécurité de la Blockchain ont permis d’entrevoir une nouvelle manière de penser les échanges et les transactions.

Enfin, la Blockchain est devenue au fil des ans un sujet d’intérêt pour les entreprises, des grands groupes aux PME en passant par les startup. Du buzz produit en 2017 par le Bitcoin, aux déploiements que l’on observe aujourd’hui dans de multiples secteurs, la technologie est en train de se frayer un chemin parmi les incontournables du monde de demain et risquerait bien de suivre le même chemin qu’internet il y a quelques années. La Blockchain dispose également d’un atout indéniable qui en fait aussi un énorme potentiel : sa capacité à s’intégrer dans les systèmes d’information et à s’interfacer avec d’autres technologies telles que l’IA ou l’IoT qui renforce une fois de plus son intérêt.

Selon le dernier rapport sorti par CB Insight, deux tendances majeures sont observées au sein des entreprises aujourd’hui vis-à-vis de cette technologie en vogue : 

  • Les investissements annuels dans les entreprises blockchain ont plus que doublé en 2020 par rapport à 2017
  • Les dépenses dans des solutions Blockchain devraient atteindre les 16 Milliards de dollars d’ici à 2023
schéma montrant la hype cycle blockchainschéma montrant la hype cycle blockchain

Le secteur de la blockchain semble donc être un secteur en pleine expansion qui n’a pas fini de se développer. Même si la crise de la Covid-19 a pu bouleverser certaines industries, on observe que la blockchain s’est aussi retrouvée sous le feu des projecteurs comme dans la problématique de traçabilité et d’authentification des vaccins ou du pass sanitaire. 

Analysons maintenant de plus près les grandes tendances parmi les 58 champs d’application de la blockchain analysés dans ce rapport et synthétisés par Cointribune.

Des secteurs moteurs déjà fortement acculturés

Si certains secteurs sont, depuis les débuts, fortement impactés par la Blockchain, on pense notamment à la Banque et la Finance, d’autres commencent à s’y mettre aussi largement : on peut penser aux transports, à la santé, au secteur public ou encore à la logistique. Le point de départ de ces entreprises est généralement le même : elles cherchent à apporter plus de transparence et de confiance dans l’écosystème numérique dans lequel nous évoluons, voire même à booster leur performance et innover dans de nouveaux champs d’application comme c’est le cas dans le secteur public par exemple ou les infrastructures.

cas d'usage de la blockchaincas d'usage de la blockchain

D’ailleurs, selon le dernier rapport publié par Flexera et listant les grandes tendances en matière de développement technologique et donc de dépense dans des solutions innovantes, 38% des entreprises souhaitent investir dans la blockchain.

Parmi les industries les plus connues, on pense notamment à la Finance et la Banque de façon plus large : aujourd’hui, les institutions financières innovent, cherchent à disrupter leur marché et utilisent ainsi la blockchain comme outil de désintermédiation entre les différentes parties prenantes. Par exemple le Crédit Suisse a conclu un partenariat avec Paxos afin de gérer les transactions boursières aux Etats-Unis par le biais de la blockchain. On peut également citer Ripple, que nous avions eu l’occasion d’étudier à plusieurs reprises dans Cointribune et qui a déjà conclu un partenariat avec plus de 300 clients dans lesquels se trouvent aussi bien des institutions financières que des particuliers. Enfin, la problématique des KYC sont aujourd’hui au centre des attentions des institutions financière, et la blockchain pourrait bien aider à développer la connaissance client. Également, le crowdfunding, les fonds d’investissement, l’audit ou encore le secteur de l’assurance utilisent largement les avantages de la blockchain tout comme les solutions de trading ou de finance décentralisée qui ont su tirer leur épingle du jeu dans un environnement décentralisé.

Dans le top 10 des secteurs bénéficiant pleinement des avantages de la Blockchain on retrouve évidemment le secteur du transport et des nouvelles mobilités : dans un marché de l’automobile fortement impacté par la crise sanitaire, on peut citer le projet Xceed mené par Renault et IBM ou encore le partenariat entre Daimler et Ocean Protocol, un exchange de données décentralisées basé à Singapour. 

image montrant une voiture connectéeimage montrant une voiture connectée

L’avantage considérable de la blockchain dans l’industrie auto se trouve dans la sécurisation et la traçabilité de la supply chain notamment, afin d’éviter tout risque de contrefaçon ou d’erreur humaine dans le processus. Également, la blockchain peut apporter de la traçabilité dans le processus de rappel des véhicules qui représente plus de 13 millions de véhicules sur la première moitié de 2020. Enfin, dans le domaine de la revente de véhicules ou du leasing, l’entreprise estonienne Car-Vertical a par exemple inventé une solution basée sur la blockchain permettant de mieux tracer et identifier l’historique de chaque véhicule afin de garantir à l’utilisateur une pleine connaissance et transparence des informations. 

Sans oublier le secteur de l’aéronautique à la fois du point de vue des compagnies aériennes comme AirFrance qui déploie son premier pass sanitaire sur la blockchain afin de garantir le respect des normes sanitaires, ou Singapore Airlines Kris Pay, un wallet digital permettant de cumuler des points de fidélités (miles) et de les convertir en cryptomonnaies pouvant être dépensées chez les partenaires. Enfin le domaine de l’aérospatiale où plus de 60% des entreprises implémentent actuellement une blockchain.

Parmi les autres secteurs déjà bien acculturés à la blockchain et ayant déjà éprouvé des projets concrets on peut citer : 

  • l’infrastructure : l’IoT industrielle est très porteur, on pense notamment au lancement récent des projets NetObjex et Helium dans le secteur de la smart city, des transports connectés et de l’infrastructure ; l’imprimante 3D également où la blockchain sert à éliminer toute faille de sécurité ou encore protéger la propriété intellectuelle ;
  • l’immobilier : afin de garantir le transfert de propriété ou d’authentifier la vente d’un bien. Equisafe, une jeune pousse française s’est d’ailleurs imposée sur le marché en tokenisant les actifs immobiliers, mais on compte aussi Ubiquity qui offre une plateforme blockchain SaaS pour les sociétés financières, de titres et de prêts hypothécaires ;
  • la santé : sous le feu des projecteurs avec la pandémie que nous traversons, la santé est sans doute l’un des secteurs avec le plus de potentiel pour le développement de la blockchain. De la traçabilité des vaccins ou des médicaments, à la sécurisation des données de santé en passant par la certification et l’authentification de brevets dans le cadre de la recherche médicale, les cas d’usage sont nombreux.

Enfin, le Secteur Public et notamment la e-démocratie représente une manne encore trop peu explorée pour la blockchain : de la sécurisation des votes en passant par l’identité numérique sécurisée, de plus en plus de gouvernements se penchent sur la question.

De nouveaux secteurs avec des opportunités inattendues

Au-delà des secteurs déjà bien identifiés, la blockchain peut aussi se targuer de mener sa petite révolution dans des domaines beaucoup moins attendus et pour le moins originaux. 

Regardons quelques exemples qui devraient vous faire sourire.

Dans les enquêtes judiciaires menées par la Police ou la Gendarmerie, la gestion de la preuve sur toute la chaîne pénale par exemple est un enjeu clé auquel peut répondre la blockchain en permettant une traçabilité de bout en bout. Également, la capacité à remonter des filières pour arrêter les malfaiteurs : on pense à Chainalysis qui a permis au gouvernement américain d’arrêter la tête de pont de l’un des plus gros ransomwares de l’histoire : Netwalker.

Les services postaux risquent bien eux aussi de connaître leur disruption : la poste américaine est d’ailleurs en train de sérieusement s’intéresser aux bienfaits de la blockchain pour créer un système de tracking permettant aux postiers de gagner du temps et de réduire les coûts. Ils ont notamment entrepris un projet en 2020 de QR Code adossé à un token.

Le recyclage et plus largement l’économie circulaire bénéficient aussi de plus en plus des avantages de la blockchain. En effet, un projet nommé ReciChain et mené par IBM et BASF (producteur allemand de produits chimiques) a lancé un projet de recyclage de plastique basé sur la blockchain et permettant de tracer l’ensemble du cycle de vie du plastique.

Que cela vous surprenne ou non, même la pêche trouve son intérêt dans la blockchain : afin de rendre plus soutenable, éco-responsable et conforme cette industrie, la technologie peut permettre aux autorités de mieux tracer les poissons mais aussi de vérifier le butin du retour de la pêche pour les professionnels. De près ou de loin on sait aussi que la blockchain permet de tracer et de montrer en toute transparence la provenance des poissons comme le saumon par exemple, de la pêche à l’assiette pour remettre de la confiance pour le consommateur.

L’art, largement popularisé avec le boom des NFT est aussi un secteur en plein essor pour la technologie blockchain : de la traçabilité et l’authentification des oeuvres d’art, en passant par la tokenisation et enfin les NFT, il ne serait pas étonnant de voir éclore d’autres Beeple à l’avenir.

Last but not least, et pour finir sur une note de douceur : la blockchain disrupte aussi le marché du cannabis. Depuis sa légalisation au Canada l’industrie du cannabis commence à investir largement dans les technologies. Mile High Labs, un fabricant de CBD, a par exemple opéré un partenariat avec Chain.io afin de créer un système de tracking basé sur la blockchain pour la supply chain dans le but de suivre l’ensemble de la chaîne mais aussi de se mettre en conformité avec le régulateur. 

image montrant le canabis sur la blockchainimage montrant le canabis sur la blockchain

Nous l’avons vu, la blockchain n’est pas que la technologie sous-jacente aux cryptomonnaies, et ne constitue pas qu’une technologie isolée applicable seulement à quelques secteurs. C’est une idéologie et une philosophie, mais aussi un procédé informatique qui promettent de disrupter l’ensemble de la société et du monde économique à la manière d’internet il y a quelques années. Qui saura saisir ce virage ?

Retrouver l’article original de Karen Jouve ici: Lien Source

Amnesia, el ritmo Balear en Decentraland


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Le monde était-il « plus réel » avant la pandémie de la covid-19 ? Decentral Games (DG) et Amnesia nouent un partenariat pour faire danser les cryptophiles.


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Remplir les caisses en s’amusant

Le 26 avril 2021, le casino Decentral Games et le club Amnesia annoncent leur nouveau partenariat, et le lancement de 2 pistes de danse virtuelles Amnesia, baptisées “Amnesia Experience” et “Amnesia Hype”.

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Les 2 entreprises s’attendent à générer des revenus importants en 2021 grâce à cette collaboration, et via principalement la vente de billets, les NFTs, et la publicité.

Ils prendront chacun 45 % des bénéfices, les 10 % restants seront attribués à un organisateur d’événements anonyme, négociant actuellement avec Decentral Games et Amnesia.

L’Ibiza clubbing without Ibiza s’inscrit dans une tendance qui a motivé les loisirs monnayables, notamment les casinos et les jeux, à plonger virtuel.

Ça va mixer !

Decentral Games prévoit d’offrir aux fêtards des événements musicaux en temps réel, avec des flux en direct de DJ célèbres.

Il présentera la piste de danse virtuelle comme un site en ligne attrayant que les annonceurs pourront louer.

Une boutique Amnesia sera lancée au sein du club. Des NFTs liés à la musique électronique, des autographes de DJ, et des accessoires de jeu adaptés au metaverse, y seront vendus.

Le fondateur et CEO de Decentral Games, Miles Anthony, a indiqué que “la façon dont les gens assistent aux événements musicaux a changé de nos jours”.

Il a ajouté qu’il avait observé une hausse du nombre de personnes rejoignant la communauté Decentral Games lors du récent évènement avec un DJ NIGHTMARE en live.

Anthony s’attend à “battre le record du nombre d’utilisateurs” avec le prochain évènement sur le thème d’Atari, avec une prestation en direct du DJ Dillon Francis.

La liste complète de DJs et d’artistes vedettes devrait bientôt sortir. Les détenteurs de tokens DG auront l’opportunité de les rencontrer et de les “saluer“.

Rideau sur les cryptomonnaies, aussi bien spéculatives qu’utilitaires : il faudra faire ses adieux aux initiatives qui ont bousculé des pratiques traditionnelles. Les autorités des régulations US devraient vraiment réfléchir à 2 fois avant d’envisager des restrictions majeures, alors que les cryptomonnaies et la blockchain vont jusqu’à innover le secteur des lois. En attendant la réouverture des clubs, Decentral Games et Amnesia ont trouvé un moyen de faire bouger les gens, dans un monde virtuel. Les bénéfices eux seront par contre bien réels pour les initiateurs du projet.

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La mode c’est bien, mais la blockchain c’est l’avenir, on est d’accord non ?! C’est une super opportunité et un secteur en pleine évolution ! Au quotidien, mon travail c’est d’essayer de vulgariser au mieux les cryptos/blockchain qui paraissent pour beaucoup trop techniques.

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Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Zoé De La Roche ici: Lien Source

Syscoin LUX entre en ligne: Blockchain Foundry a lancé la nouvelle génération de technologie Blockchain pour les NFT, les paiements ultra-rapides et la sécurité

C’est officiel: le très attendu Syscoin LUX est en ligne! La dernière version de la plate-forme Syscoin, construite en collaboration avec Blockchain Foundry et Syscoin Foundation, introduit plusieurs innovations de pointe, faisant de Syscoin l’une des meilleures et des plus futures plates-formes décentralisées pour les jetons fongibles et non fongibles, les paiements et les non- respect de la garde. Syscoin LUX vous apporte: Next-Gen […]

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