Partenariat Syntropy et Entain: le web3 ne laisse plus rien au hasard !

Shuffle up and deal Le protocole web3 Syntropy aurait-il décroché le jackpot ? A peine en avons-nous parlé dans nos colonnes que la compagnie annonce ce jour un partenariat d’envergure avec Entain, le géant mondial du jeu. A la clé, une première mise en pratique concrète d’un concept internet disruptif et innovant. Tandis que de nombreux projets originaux estampillés blockchain peinent à trouver leurs mises en applications, Syntropy fait une entrée remarquée dans l’économie réelle. Faites vos jeux.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Syntropy.

Entain, un cas d’école pour qu’advienne la révolution blockchain

Ainsi, le géant vient d’annoncer publiquement l’intégration du protocole Syntropy dans sa stratégie technologique globale. Pour mémoire, Entain est une société cotée à la Bourse de Londres. La propriétaire de marques reconnues telles que Bwin ou PartyPoker. Elle opère sous réglementation dans 31 pays et compte plus de 25 000 employés. Ceci explique son besoin critique d’améliorer la fiabilité et la sécurité de son réseau mondial, tout en en réduisant la latence.

A travers ce partenariat, il s’agit de mettre à profit une approche efficace et novatrice pour soutenir le développement de son activité à l’horizon du web3. Nous parlons de nouvelles opportunités ouvrant la voie aux divertissements dans le métavers, à l’utilisation des avantages inhérents aux NFT et à bien d’autres projets encore à découvrir.

Le partenariat marque une nouvelle etape dans le déploiement du web3

En effet, la société a su reconnaitre une opportunité de croissance majeure dans cet internet réhaussé. Dés lors, il lui fallait un partenaire à la hauteur de ses ambitions. Syntropy permet à Entain d’offrir aux utilisateurs la meilleure expérience possible en ligne. Sa solution améliore les performances du réseau, la sécurité et la facilité d’utilisation de ses services. Ainsi, le divertissement prendra résolument le virage de l’internet 3.0

Une trame web3 fonctionelle plus interactive et plus efficace

Tandis qu’ internet demeure centralisée, Syntropy élabore un protocole « layer 0 ». Il prétend ainsi définir les futurs standards de l’infrastructure Web3. La mission assumée de l’équipe est de rendre à l’Internet sa vision originale. Ceci grâce à la révolution décentralisée de la technologie blockchain.

Web1 faisait donc référence à la naissance de l’Internet, où les utilisateurs étaient principalement des consommateurs de contenu. Le Web 2 a fait passer l’internet des pages web statiques aux expériences interactives et aux contenus générés par les utilisateurs. Il a rendu possible Uber, Airbnb, Facebook et Instagram.

Demain, entre cryptage et routage optimisé, la surcouche que développe Syntropy nous remettra au centre du jeu. Elle procurera un service public distribué et sécurisé, accessible à tous et réellement respectueux des données privées.

Pour Entain, Syntropy transpose l’experience internet sur le web3

Avec Entain et Syntropy, le web3 prend vie

En effet, le Web 3 vient tout remettre en cause. Il fait de chaque utilisateur un maillon de la (block)chaine, et décentralise les flux. Internet devient ainsi une expérience ouverte, « trustless » et « permissionless ». Syntropy est un protocole de superposition à internet. Construit sur un modèle peer-to-peer, il permet à tous les nœuds du système de communiquer de manière décentralisée.

Les composants les plus fondamentaux de ce système sont désignés comme la technologie de « layer 0 ». Il s’agit notamment des méta-protocoles qui utilisent des langages neutres. Ils permettent d’exécuter sans limite le même programme sur différentes plates-formes physiques. Un « sur »internet qui augmente la sécurité et rend possible l’interaction décentralisée des appareils IoT, des apps, des dapps et des protocoles blockchains connectés au réseau. Et ce en garantissant un véritable contrôle des donnés personnelles.

Le partenariat de Syntropy avec Entain représente le début d’un changement de paradigme majeur. Désormais, il n’est pas rare de voir des entreprises adoptant les réseaux décentralisés basés sur la blockchain lors de leur transition vers le modèle Web3. Face à l’émergence d’exigences accrues en matière de performance réseau, Syntropy apporte une solution disruptive et efficace tout en préservant l’infrastructure existante. L’internet à nouveau au service du bien commun.

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L’Inde déteste les cryptomonnaies mais adore les taxer

Quand l’Etat se gave ! L’Inde aura bientôt un cadre fiscal sur les cryptomonnaies qui aura force de loi. Si les dispositions légales ont le mérite d’être claires, elles peuvent toutefois handicaper le développement de l’industrie crypto et blockchain.

La taxe du pêché : la fiscalité indienne controversée sur les cryptomonnaies

Le projet de loi de finances 2022 proposé par la ministre indienne des Finances, Nirmala Sitharaman, a été adopté le 25 mars 2022, par la chambre basse du Parlement. Il comprenait 39 amendements dont l’un sur la crypto concerne une taxe de 30 % sur les transactions d’actifs numériques, dont les tokens non fongibles (NFT).

Cette taxe de 30 % entrera vigueur à partir du 1er avril 2022. Elle sera applicable aux gains sur les cryptomonnaies. Les pertes en cas de chute de prix ne seront en outre pas déductibles.

Outre cette taxe de 30 %, les détenteurs de cryptomonnaies devront en plus, s’acquitter d’un impôt de 1% prélevé à la source. Cet impôt entrera en vigueur au 1er juillet 2022.

Ces dispositions fiscales n’ont cependant pas plu à certains législateurs qui souhaitent mettre en place un environnement favorable au développement des cryptomonnaies dans le pays. Le député Ritesh Pandey pense que cet impôt prélevé à la source va « entraver la façon » dont l’industrie blockchain « est faite ».

Un autre membre du parlement indien, le député Pinaki Misra, a également critiqué ces amendements rappelant qu’ « aujourd’hui, interdire les cryptomonnaies équivaut à interdire l’internet ». Cette augmentation des taxes à 30 % seraient selon le parlementaire, dûe au fait que le gouvernement part du principe selon lequel les cryptomonnaies sont « une sorte de péché ».

Les acteurs cryptos ont également exprimé leur désaccord quant à la nature de la réglementation sur le secteur en Inde. Le PDG de la bourse de cryptomonnaies indienne WazirX, Nischal Shetty, a évoqué la nécessité de « réglementer et de taxer les cryptomonnaies ». La règlementation « dans sa forme actuelle », fait néanmoins « plus de mal que de bien » à l’industrie.

Alors que l’Inde veut donc remplir les caisses de l’Etat grâce à ce cadre fiscal, en prenant le risque de pénaliser le développement de l’industrie blockchain et crypto, d’autres Etats préfèrent chouchouter les acteurs cryptos en leur accordant un cadeau fiscal.

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Un air de K-pop pour les NFT qui connaissent une adoption croissante en Corée du Sud

Des NFT aux présidentielles ! – La réputation de la Corée du Sud en tant que pionnier et leader de la recherche technologique se répand rapidement dans le domaine de la blockchain. L’adoption des tokens non fongibles (NFT) a explosé dans le petit pays d’Asie de l’Est. En 2020, la Corée du Sud figurait parmi les 10 premiers pays au monde dans l’indice mondial de l’innovation. Ce niveau d’innovation est flagrant pour les consommateurs mondiaux. Il est le fait des géants de la technologie comme Samsung et LG et des jeux-vidéos grâce notamment à l’éditeur Krafton.

Les NFT en vogue en Corée du Sud

Un grand nombre d’entreprises sud-coréennes se plongent désormais dans l’espace NFT. Certaines, très connues, proposent de nouvelles collections à leurs clients. D’autres lancent des divisions de leur entreprise dédiées au développement des NFT.

Il peut y avoir plusieurs raisons à l’empressement d’exposer les consommateurs de détail et le grand public aux NFT. Cela va au-delà de simples remerciements pour un achat. C’est en tout cas l’idée présentée par le responsable de la stratégie du projet KlayChicken NFT, Alex Lim. Selon lui, « les NFT font fureur, mais beaucoup de gens ne savent même pas pourquoi ».

« Le battage médiatique autour des NFT en Corée du Sud découle d’un mélange de sentiments… Je crois qu’au second semestre, le moment viendra où l’ensemble de l’industrie NFT sud-coréenne fera un bond en avant. »

Alex Lim, responsable de la stratégie de KlayChicken NFT

L’une des raisons favorisant ce saut quantique est l’absence de taxe sur les actifs numériques en Corée du Sud. La taxe sur la crypto a été retardée jusqu’en 2023 , mais le président Yoon Seok-Yeol pourrait encore retarder cette taxe jusqu’en 2024.

De plus, les NFT ne sont pas réglementés aussi rigoureusement que la cryptomonnaie l’est actuellement. Bien que les régulateurs financiers locaux de la Commission des services financiers (FSC) s’efforcent d’introduire de nouvelles règles, il n’en existe pas encore. Cela maintient le marché ouvert. De ce fait, le secteur possède une litanie de nouveaux marchés sur des exchanges tels que Upbit et Bithumb. D’autres sociétés telles que le géant du jeu Krafton profitent également de ce marché.

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De nombreux cas d’utilisation en faveur du marché des NFT

Le co-fondateur et PDG de l’accélérateur d’écosystème blockchain DeSpread, GM Chung, pense que les cas d’utilisation pratiques des NFT deviendront rapidement plus courants dans son pays.

« Auparavant, le phénomène d’achat de NFT pour la participation à une communauté était pratiqué. Mais récemment, l’expansion des services publics de NFT est considérée comme une raison majeure (de son augmentation des cas d’utilisation). »

GM Chung, co-fondateur et PDG de l’accélérateur d’écosystème blockchain DeSpread

Pendant sa campagne, le président Yoon a publié une collection NFT pour ses partisans. Ainsi, l’écosystème NFT leur permettait de ressentir un sentiment d’appartenance à sa cause. Le 18 mars 2022, l’université Hoseo a également délivré des diplômes sous forme de NFT à ses 2 830 diplômés. L’université a décidé de délivrer des NFT afin d’améliorer l’accessibilité et la commodité pour les étudiants et d’empêcher la falsification des diplômes.

Le mois dernier, le ministère coréen des Sciences et de la Planification future s’est engagé à soutenir le développement d’un métaverse national avec une subvention de 187,7 millions de dollars. De ce fait, les créateurs de contenu semblent récolter les fruits d’une demande accrue pour leurs services. Ainsi, ils peuvent développer des NFT pour un large éventail d’entreprises. Une simple recherche de « NFT » sur le principal site Web de recherche d’emploi JobKorea renvoie 753 postes à pourvoir.

Les actifs numériques conçus par ces créateurs se présentent le plus souvent sous la forme d’éléments ou de personnages de jeu. Cette familiarité avec les actifs numériques est la raison pour laquelle les coréens ont adopté les NFT si facilement. Les créateurs de contenu et les entreprises incluent désormais les NFT dans leurs business plans. En effet, les Coréens voient maintenant le « potentiel et l’utilité » des NFT et The Sandbox l’a bien compris.

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AdaSwap va créer une place de marché pour les NFT

AdaSwap, un protocole de finance décentralisée (DeFi) qui est basé sur Cardano (ADA), a annoncé que son équipe travaille actuellement sur la création d’une place de marché. Un mécanisme de vote incorporé à une catégorisation par niveau de ses utilisateurs sera mis en œuvre pour rendre la nouvelle place de marché pratique et accessible à […]

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Delta annonce un nouveau service pour aider les utilisateurs de NFT

Delta, une application de suivi des investissements qui permet aux utilisateurs de surveiller leurs portefeuilles d’actions et de cryptomonnaies entre maintenant dans le domaine des jetons non fongibles (NFT) avec ses services NFT Explorer. C’est une première dans l’histoire des NFT et de Delta. La vision de Delta pour l’avenir Récemment, dans un communiqué, Delta […]

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John Legend va créer une plateforme pour les NFT

Le célèbre chanteur, auteur-compositeur et producteur – John Legend – va lancer une plateforme de jetons non fongibles (NFT) pour les musiciens et les artistes. Ses partenaires dans cette initiative sont Chris Lin – l’homme en charge du service de musique numérique KKBOX, Kevin Lin – cofondateur de Twitch, et Matt Cheng – fondateur de […]

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Celestia : la blockchain modulaire atteint son sommet !

Un jour, treize thèmes Celestia fut d’abord connue sous le nom de LazyLedger. Aujourd’hui, c’est un projet qui s’appuie sur un réseau de consensus et de données modulaire. Sa conception vise à faciliter le déploiement à moindres frais d’une blockchain. Pour démocratiser ce concept, Celestia organise un sommet qui traitera des problématiques se situant à l’intersection de la blockchain et de l’architecture modulaire.

Blockchain modulaire : un sprint d’apprentissage aux Pays-Bas

L’avenir des blockchains est modulaire ! Et ceux qui partagent cette vision doivent noter dans leur agenda la date du 21 avril 2022. En effet, ce jour là aura lieu à Amsterdam le Modular Summit. Un évènement co-organisé par Celestia et la société d’investissement Maven 11 Capital.

Site web du Modular Summit de Celestia

Plus de trente intervenants prendront la parole. Parmi eux se trouvent des noms associés à des projets cryptos majeurs comme le cofondateur de Solana (SOL), Anatoly Yakovenko, ou encore le co-fondateur de Polygon Technology, Anurag Arjun. Les personnalités emblématiques de Celestia comme ses co-fondateurs, Mustafa Al-Bassam et John Adler, figurent bien évidemment dans cette liste des speakers.

L’évènement sera donc l’occasion d’en apprendre plus sur les blockchains modulaires. Treize conférences se succèderont dans la journée. S’y discuteront par exemple la question des couches modulaires. Les problématiques liées à la conception et au design modulaire dans l’écosystème de la blockchain seront aussi abordées.

Save the date ! Celestia donne rendez-vous le 21 avril 2022, aux personnes désireuses d’approfondir leurs connaissances sur l’articulation entre l’architecture modulaire et la blockchain. Les Sommets se succèdent dans l’industrie. Moins de deux mois après le Modular Summit, la communauté crypto se retrouvera sur lîle de Tahiti pour participer au PICS, un Sommet crypto pour parler de bitcoin (BTC), de NFT, de Web3, etc. tout en profitant pleinement, en mode touriste cryptophile, de cette destination paradisiaque.

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Un NFT Bored Apes vendu pour une poignée de cacahuètes

À une unité prèsÀ cause d’une simple erreur de virgule, le propriétaire d’un Bored Ape Yacht Club avait vendu son NFT en décembre 2021, pour seulement 0,75 ETH, soit une bouchée de pain au vu de la valeur des œuvres de la collection. Ce type de mésaventure n’est pas un cas isolé. Un autre propriétaire de NFT vient en effet de rejoindre le club de ceux qui ont cédé leurs avoirs à un prix dérisoire.

La grande braderie des NFT : un BAYC et un Mutant Ape pour des prunes

Le propriétaire du Bored Ape Yacht Club #835 portant le pseudo « cchan » a vendu son NFT, le 28 mars 2022, pour seulement 115 DAI115 $ – soit 99,9 % de moins que le prix plancher actuel des œuvres de la collection. Il avait acheté son Bored Ape Yacht Club pour 16 ETH en août 2021.

Le BAYC #835 – Source : OpenSea

cchan qui possédait également le Mutant Ape #11670, a aussi vendu ce NFT à seulement 25 DAI25 $ – au même acheteur, alors que le prix plancher pour les œuvres de la collection s’élève à 22,6 ETH, soit environ 76 000 $.

cchan a-t-il intentionnellement bradé ses NFT ? Son geste peut avoir plusieurs explications. Il a peut-être commis une erreur qui lui a coûté cher, confondant le DAI et l’ETH. L’acheteur des NFT a fait des offres en DAI, sur plusieurs Bored Apes. cchan est-il alors tombé dans ce piège, croyant effectivement que les offres qu’il allait accepter, étaient libellées en ETH ?

La thèse de l’erreur est peu plausible, car cchan devait approuver son portefeuille pour pouvoir utiliser le DAI. Il aurait donc dû être alerté et n’aurait pas ainsi pu commettre par mégarde une telle bourde.

Un membre du Bored Ape Yacht Club a indiqué avoir contacté cchan, qui aurait déclaré qu’ « il n’était pas au courant de la situation ». Cette réponse suggère que le compte de cchan a été piraté.

L’histoire de cchan rappelle celle d’un propriétaire d’un caillou sous forme d’un NFT qui a perdu plus d’un million de dollars à cause d’une simple erreur d’unité. Un piratage ou une seconde d’inattention coûte malheureusement cher aux personnes qui utilisent la blockchain pour réaliser des transactions qui sont quasi impossibles à annuler.

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La Deutsche Bank mise sur les NFT d’Instragram pour une adoption de masse

Buzz NFT – Mark Zuckerberg avait révélé lors de l’évènement South by South West, qui s’est tenu en mars 2022 à Austin au Texas, que les tokens non fongibles (NFT) pourraient bientôt débarquer sur Instagram. La Deutsche Bank place de grands espoirs dans ce projet qui serait un effet de levier important pour l’adoption grand public des NFT.

Le trésor caché des profils NFT sur Instagram : 1 000 milliards de dollars et des poussières

La Deutsche Bank a indiqué dans son rapport du 27 mars 2022, que l’intégration des jetons non fongibles à Instagram pourrait rendre ces derniers mainstream. Instagram devrait en effet, abaisser les barrières à l’entrée concernant les NFT, en simplifiant le processus d’achat et de vente de ces derniers.

Grâce à sa forte notoriété, Instagram contribuera en outre à la légitimation des NFT. Cette légitimité est nécessaire pour crédibiliser le secteur, convaincre les plus hésitants et les aider à effectuer leurs premiers pas dans les NFT sur une plateforme familière.

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Les équipes de Meta travailleraient actuellement sur une fonctionnalité qui permettrait aux utilisateurs d’Instagram de mettre en avant leurs NFT sur leur profil.

Les banques à l’affût du phénomène NFT

Le rapport de la Deutsche Bank a également mentionné les chiffres saillants sur les NFT. Le marché des NFT serait en « mode hypercroissance », générant environ 25 milliards de dollars de volume de transactions en 2021, enregistrant ainsi une croissance d’environ 250 fois plus importante par rapport au volume de 2020.

Quant à la valeur du marché total disponible pour les NFT en général, la Deutsche Bank estime qu’il dépassera à terme les 1 000 milliards de dollars.

Instagram n’est pas le seul réseau social, ou de manière générale la seule application du web2, à pousser les NFT vers leur audience. Twitter a d’ailleurs devancé le réseau social de Mark Zuckerberg sur ce terrain. La messagerie Line particulièrement populaire au Japon, a quant à elle, des plans ambitieux qui devraient permettre aux NFT de conquérir le marché asiatique.

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