Mois : avril 2025

Blockchain perso. La FIFA (Fédération Internationale de Football Association) a annoncé le lancement d’une nouvelle blockchain compatible avec l’Ethereum Virtual Machine (EVM) pour héberger sa collection de NFT (tokens non fongibles). Cette décision marque une étape importante dans l’adoption des technologies blockchain par les grandes organisations sportives.

La FIFA lance sa propre blockchain : adieu Algorand !

Sur le site consacré à sa collection NFT « FIFA Collect », la Fédération Internationale de Football Association a publié des précisions sur le transfert de ces tokens non fongibles depuis la blockchain publique Algorand (ALGO) vers sa propre blockchain, très simplement appelée « FIFA Blockchain ».

La migration des NFT de la FIFA vers la nouvelle blockchain ne semble pas être prévue avant au plus tôt le 20 mai 2025, avec la date exacte restant à confirmer. La FIFA a assuré aux détenteurs de NFT qu’ils recevraient des instructions claires sur les étapes à suivre pour effectuer cette transition.

Une fois la migration terminée, les wallets basés sur le réseau Algorand, tels que Pera et Defly, ne seront plus pris en charge. Les utilisateurs devront se tourner vers MetaMask ou d’autres portefeuilles compatibles avec l’EVM pour gérer leurs NFT.

La Fédération Internationale de Football mise elle-même sur le Web3

Le lancement de la FIFA Blockchain, et la migration de FIFA Collect vers cette nouvelle infrastructure propre, montrent clairement l’engagement de la Fédération envers la technologie des blockchains et le Web3.

En créant son propre réseau blockchain, cet acteur mondial du ballon rond cherche à offrir une expérience utilisateur améliorée tout en capitalisant sur la popularité croissante des NFT dans le monde du sport.

Avec ces initiatives, la Fédération de foot continue d’innover et de s’adapter aux nouvelles technologies pour offrir des expériences uniques aux fans de football du monde entier. Le lancement de la FIFA Blockchain pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère pour les NFT sportifs, si d’autres grands groupes (comme la NFL ou la NBA pour le football américain et le basketball par exemple) suivaient la même voie.

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Les acteurs de la finance s’amusent, assez régulièrement, à faire des prédictions sur certains actifs ou sur l’évolution des marchés financiers. L’un des sujets préférés, et notamment controversé, est la dynamique que bitcoin pourrait connaître quelques années plus tard, un jeu auquel s’est prêté le CEO du Crédit Agricole quelques années plus tôt avec un biais particulièrement négatif.

Philippe Brassac prédit un bitcoin qui s’effondre

Dans le cadre d’un article publié pour le média L’Opinion en 2021, le directeur général du Crédit Agricole s’est prononcé sur sa vision du futur aux côtés de 50 autres personnalités. Pour lui, le sujet intéressant à évoquer fut bitcoin. À l’époque, il se posa la question suivante :

Comment tant de personnes informées, sensées et éduquées ont pu se convaincre que la valeur du bitcoin ne pouvait que monter dès lors que le moindre doute provoquerait inéluctablement une prophétie autoréalisatrice inverse ?

Concrètement, pour lui, bitcoin devait valoir seulement un dollar au 30 avril 2025, soit quatre ans après s’être prononcé sur le sujet. À ce jour, l’adoption de bitcoin n’a jamais été aussi forte et son cours est parvenu à franchir les 110 00 dollars. Le moins qu’on puisse dire est que cette prédiction est totalement ratée. Pour lui, ce n’était qu’une question de temps avant une crise de confiance entraînant une chute brutale.

L’ironie du sort avec l’adoption institutionnelle

En l’espace de quatre ans, le chemin parcouru par le roi des cryptomonnaies fut très important. En effet, tel qu’évoqué à la fin de la partie précédente, l’adoption n’a jamais été aussi forte et rapide. Les institutionnels ont fait leur entrée sur le marché avec la création des premiers ETFs bitcoin spot et des flux entrants qui, à ce jour, selon Coinglass ne cessent d’augmenter pour apporter une pression acheteuse de plusieurs milliards de dollars.

Bien d’autres acteurs prennent également part à la course dans l’adoption de bitcoin. Pour les entreprises privées, bitcoin se positionne comme un actif idéal à intégrer dans la trésorerie. Par exemple, Strategy détient à ce jour 553 555 BTC. Les données de Bitwise démontrent que l’accumulation de bitcoin s’accélère progressivement. Le volume d’achat est quasiment 3 x plus élevé qu’au début d’année 2024.

Comme si cela ne suffisait pas, ce sont également les États qui souhaitent avoir une part du gâteau. Nous retrouvons les États-Unis à l’échelle fédérale qui ont mis en place une réserve stratégique en bitcoin avec, pour le moment, une stratégie d’acquisition passive résultant des avoirs d’ores et déjà obtenus dans des affaires judiciaires.

D’autres États, à leur échelle, avancent sur le sujet. Nous pouvons notamment évoquer l’Arizona avec le projet SB1025. Si la gouverneure Katie Hobbs signe le projet, cela permettrait à l’État d’acquérir 10 % de ses fonds dans du bitcoin. Une dynamique à surveiller attentivement puisqu’elle pourrait accélérer l’acquisition de BTC par d’autres acteurs.

Bitcoin n’est toujours pas mort et continuera d’exister

Bien que beaucoup de médias aient essayé de se prêter au jeu de la date à laquelle bitcoin cessera d’exister, cela fut constamment un échec. Au fur et à mesure, bitcoin a renforcé sa présence à l’échelle internationale dans le système financier traditionnel. Progressivement, les liens entre l’industrie crypto et la TradFi se renforcent.

Derrière sa philosophie, sa conception technique et les apports d’un point de vue économique, bitcoin continuera de perdurer, et ce, peu importe les évènements qui pourraient le toucher à l’avenir. Faire une prédiction pessimiste est contre-nature de ses caractéristiques mathématiques avec son système de rareté à 21 millions d’unités.

Si les prédictions à la baisse n’étonnaient pas quelques années plus tôt, notamment dans le secteur bancaire avec la défiance à l’encontre de cette nouvelle forme de monnaie, cela devrait diminuer dans le temps au fur et à mesure de l’intégration des acteurs financiers dans l’industrie.

Quoi qu’il en soit, pour d’autres acteurs, cette dynamique devrait amener le roi des cryptomonnaies à atteindre des niveaux qui, parfois, peuvent paraître bien trop optimistes selon certaines prédictions.

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Truth Social, the social media platform owned by Trump Media & Technology Group (DJT), which is majority-owned by U.S. President Donald Trump, is considering launching a cryptocurrency.

« As part of our rewards program, we’re exploring the introduction of a utility token with a Truth digital wallet that can initially be used to pay for Truth+ subscription costs, and later be applied to other products and services in the Truth ecosphere, » the company said in a letter to its shareholders on Tuesday.

DJT barely reacted to the news; the stock is down 0.52% in after-hours trading.

The company is also looking into launching exchange-traded funds (ETFs) that will combine equities with cryptocurrencies, the letter reiterated.

Trump’s entourage has released a panoply of crypto products over the years, including memecoins, NFT collections, and a DeFi protocol.

Read more: Trump Media Wants to Partner with Crypto.Com for ETP Issuance

Le géant des cartes bancaires Mastercard continue de se renouveler pour rester à la page. Son objectif actuel est clair : embrasser l’industrie crypto de la bonne manière et proposer de nouvelles solutions pour maintenir une position de leader dans la fourniture de services de paiements en ligne.

L’entreprise multiplie les collaborations avec des acteurs de l’industrie

Sur ces dernières années, Mastercard a progressivement mis un pied à terre dans le Web 3. Avec le développement de l’industrie des actifs numériques, beaucoup cherchent à dépenser leurs actifs dans les commerces du quotidien.

Dans ce cadre, beaucoup de plateformes et acteurs de l’écosystème ont lancé, au fur et à mesure, des cartes de crédits en partenariat avec l’entreprise, intégrant une conversion automatique du côté de l’acteur crypto en monnaie fiat.

Une stratégie réussie puisqu’elle permet à Mastercard de maintenir un positionnement à l’échelle internationale avec une présence dans plus de 70 millions de commerces. Par exemple, dans les partenariats qui se multiplient, Mastercard travaille désormais avec Metamask, Kraken, Bybit, Crypto.com et bien plus encore.

Mastercard s’ouvre à un système mondial en stablecoins

Le 28 avril, l’entreprise a publié un communiqué de presse dévoilant une nouvelle stratégie portant sur les stablecoins. Alors que l’entreprise considérait il y a peu de temps ce secteur comme un positionnement concurrentiel, la nouvelle annonce change la donne.

Par le biais de ses partenariats menés récemment avec OKX et Nuvei, Mastercard annonce la mise en place d’un système de bout-en-bout pour des transactions en stablecoins. L’objectif, pour l’entreprise, est de permettre aux commerçants et aux utilisateurs de faciliter l’usage des stablecoins. Concrètement, cela fonctionnera avec la participation de différentes parties :

Une porte d’entrée avec des acteurs comme Metamask, Bybit ou Binance pour activer la Mastercard.

Création d’un écosystème avec OKX pour faciliter les transferts et accéder aux fonds.

Payer les commerçants de n’importe quelle manière et permettre aux commerçants de recevoir des stablecoins tel que l’USDC avec Circle et Nuvei.

Des solutions complémentaires parallèles pour accélérer les transferts transfrontaliers.

Une concurrence qui s’accentue sur le marché des paiements

Si Mastercard prend ce cap, cela n’est pas anodin. Les stablecoins ne cessent d’inscrire de nouveaux sommets en atteignant à ce jour les 240 milliards de dollars de capitalisation. Ainsi, cette nouvelle forme d’actif est adoptée et vue par le grand public comme un moyen de transfert idéal, instantané et aux coûts réduits.

Avec le bras de fer ayant lieu entre Tether et Circle, le partenariat avec ce dernier est une petite victoire qui devrait accélérer la croissance du stablecoin USDC. À l’ère du développement des néobanques avec des solutions comme Trade Republic, Summeria ou Revolut ainsi que des solutions Web 3 comme SpacePay, il est obligatoire pour les opérateurs traditionnels de se mettre à la page en se plaçant sur un marché qui, à ce jour, est en pleine croissance.

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Viant Technology (DSP), an ad tech company, could unlock significant shareholder value by adopting a bitcoin (BTC) treasury strategy according to Eric Semler, the chairman of Semler Scientific (SMLR), the scientific-equipment maker that also adopted a bitcoin-buying policy.

Viant joins Zoom Communications (ZOOM) and Coursera, Inc. (COUR) on Semler’s list of “Zombie Zone” companies that, he says, have untapped capital and an urgent need to rethink strategic direction. Neither of the previous two followed his advice.

In a post on X, Semler highlighted Viant’s stock performance as a key indicator of investor skepticism toward the company’s long-term growth prospects. The shares are down 44% since the company’s 2021 IPO and slumped 50% in February alone.

Despite this, Viant maintains a strong financial foundation, including $205 million in net cash — about 25% of its $900 million market cap — and $34 million in free cash flow in 2024, with expectations for steady growth through 2028.

Viant faces intensifying competition from tech giants like Google and Amazon and the commoditization of demand-side platforms. Chris Vanderhook, one of the three brothers that founded the company, has publicly expressed enthusiasm for decentralized technologies, referencing crypto, blockchain, and NFTs as core to a “New Open Web” vision.

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Nike se retrouve en plein scandale après avoir fermé sa filiale NFT, RTFKT. Plusieurs investisseurs demandent 5 millions de dollars de dédommagements, dénonçant des pratiques commerciales trompeuses et une violation des lois sur la protection des consommateurs. RTFKT : Nike poursuivi pour 5 millions de dollars Un groupe d’investisseurs mené par Jagdeep Cheema a déposé…

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Les informations, qui n’étaient que des rumeurs jusque-là, viennent d’être confirmées par le propriétaire de Pudgy Penguins : le projet serait en train de collaborer avec le gouvernement américain. Bien qu’on n’en sache pas beaucoup sur le contenu de cette collaboration, la collection de NFT, tout comme le memecoin PENGU, s’envolent. On fait le point….

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Les plaignants accusent Nike de promouvoir des titres non enregistrés.
Les NFT liés à RTFKT sont passés de 8 000 $ à 16 $ après la clôture.
Un procès met en évidence l’incertitude juridique autour des NFT en tant que valeurs mobilières.

Nike fait face à un recours collectif de 5 millions de dollars qui affirme que la société a induit les investisseurs en erreur en faisant la promotion de jetons non fongibles (NFT) liés à sa plateforme RTFKT avant de la fermer brusquement.

Déposée devant le tribunal fédéral de Brooklyn le 25 avril, la plainte accuse Nike d’avoir orchestré un « rug pull » en commercialisant massivement ses NFT sur le thème des baskets, en encourageant l’investissement, puis en fermant la plateforme en janvier 2025.

L’affaire met en évidence les tensions croissantes autour de la classification des NFT en tant que valeurs mobilières et intervient dans un contexte de forte baisse de la valeur du marché des NFT, les ventes totales ayant chuté de 63 % en glissement annuel au premier trimestre.

Nike accusé de vendre des NFT non enregistrés

Le groupe de recours collectif, dirigé par Jagdeep Cheema, allègue que Nike a utilisé sa notoriété de marque et sa force marketing pour promouvoir des NFT qui fonctionnaient comme des titres non enregistrés.

Selon le procès, Nike a encouragé les achats en liant la valeur des NFT aux efforts promotionnels continus de l’entreprise, ce qui a conduit les investisseurs à s’attendre à une augmentation de la valeur des actifs directement liée au succès de la marque.

La plainte soutient que les investisseurs ont subi des « préjudices importants » après la fermeture de RTFKT par Nike, détruisant ainsi la valeur des jetons. La plainte affirme également que Nike a violé les lois sur la protection des consommateurs et la concurrence des États.

Elle réclame 5 millions de dollars de dommages et intérêts, invoquant des manquements liés à la commercialisation de titres non enregistrés et à l’incapacité de protéger les intérêts des investisseurs après la fermeture de RTFKT.

Cette affaire met notamment en évidence l’incertitude juridique entourant les NFT.

Bien qu’un tribunal américain n’ait pas encore statué définitivement sur la question de savoir si les NFT sont des valeurs mobilières, OpenSea, une importante place de marché NFT, a fait valoir dans une lettre du 9 avril adressée à la Securities and Exchange Commission que les NFT ne devraient pas être soumis à la réglementation des valeurs mobilières.

Malgré ce débat plus large, les plaignants soutiennent que le tribunal n’a pas besoin de régler le statut de valeur mobilière des NFT pour se prononcer sur les actes répréhensibles présumés de Nike.

La valeur des NFT Nike chute après la fermeture de RTFKT

Nike a acquis RTFKT Studios, une entreprise de baskets virtuelles et d’objets de collection, en 2021.

Suite à l’acquisition, Nike a lancé la collection NFT « CryptoKick », qui s’échangeait initialement à un prix moyen de 3,5 Ether (environ 8 000 $) lors de sa cotation sur OpenSea le 18 avril 2022.

Cependant, après que Nike a fermé RTFKT en janvier 2025, le prix moyen de ces NFT a chuté de façon spectaculaire.

Le 21 avril, les jetons CryptoKick de Nike s’échangeaient à environ 0,009 Ether, soit environ 16 $.

Le procès soutient que cet effondrement de valeur a directement nui aux investisseurs qui ont acheté des NFT dans l’espoir de participer ultérieurement aux défis et aux quêtes de RTFKT, un élément clé commercialisé comme une raison d’investir dans les jetons.

Les plaignants affirment que la fermeture a supprimé les fonctionnalités utilitaires promises qui sous-tendaient la proposition de valeur des NFT, laissant les investisseurs sans accès aux opportunités de récompenses et d’engagement précédemment promues.

Les ventes sur le marché des NFT chutent de 63 % début 2025

La baisse de la valeur des NFT de Nike s’est produite parallèlement à un effondrement plus large du marché des NFT.

Les données montrent que les ventes mondiales de NFT ont chuté à 1,5 milliard de dollars de janvier à mars 2025, soit une baisse de 63 % par rapport aux 4,1 milliards de dollars du même trimestre de 2024.

Cette contraction reflète un scepticisme croissant parmi les investisseurs quant à la valeur à long terme des NFT, en particulier des projets étroitement liés au battage médiatique suscité par les marques.

La situation de Nike s’ajoute à une série de controverses qui remettent en question les hypothèses sur la durabilité des marchés d’actifs numériques.

Alors que les débats autour de la classification réglementaire des NFT se poursuivent, des cas comme le procès Nike peuvent tester de nouveaux arguments juridiques sans attendre des décisions formelles sur le statut du droit des valeurs mobilières.

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Just (don’t) do it. En janvier dernier, le géant de la chaussure de sport Nike annonçait la fermeture de sa plateforme RTFKT, spécialisée dans les NFT et cette décision provoquait alors la colère de nombreux utilisateurs qui ont décidé de porter plainte contre la marque. Ils reprochent à la marque à la virgule d’avoir carrément orchestré un rug pull, une arnaque où les créateurs d’un projet NFT disparaissent avec l’argent des investisseurs. On fait le point sur ces graves accusations.

Nike accusé de rug pull

La plainte, déposée le 25 avril au tribunal fédéral de Brooklyn, affirme que Nike a causé des « dommages importants » en fermant RTFKT après avoir promu ses NFT thématiques autour de ses baskets iconiques. Les plaignants estiment que ces NFT étaient en réalité des titres financiers non enregistrés, ce qui constitue une violation des lois sur les valeurs mobilières.

« Parce que les NFT de Nike tiraient leur valeur du succès d’un promoteur et d’un projet donné – ici, Nike et ses efforts de marketing – les investisseurs ont acheté cet actif numérique dans l’espoir que sa valeur augmenterait à l’avenir à mesure que le projet gagnerait en popularité sur la base de la marque Nike. »

Déclaration extraite du dépôt de plainte – Source : justice US

Les plaignants réclament donc 5 millions de dollars de dommages et intérêts, affirmant que Nike a enfreint les lois sur la protection des consommateurs et les lois sur la concurrence déloyale.

Le lancement de la collection en 2021 avait suscité beaucoup d’espoir… – Source : Compte X

Des NFT considérés comme des titres financiers ?

Cette affaire soulève une question juridique importante : les NFT sont-ils des titres financiers ? Aux États-Unis, la réponse n’est pas encore claire. Dans une lettre adressée à la SEC le 9 avril, la plateforme OpenSea qui proposait les NFT à la vente, a demandé à l’organisme de réglementation d’exclure les NFT des lois fédérales sur les valeurs mobilières, arguant qu’ils ne répondent pas à la définition légale d’un titre financier.

Dans le cas de Nike, les plaignants soutiennent que la cour n’a pas besoin de statuer sur le statut légal des NFT pour traiter leur plainte. Ils assurent que Nike a utilisé sa marque emblématique et sa puissance marketing pour promouvoir des titres financiers non enregistrés, ce qui aurait trompé les investisseurs.

Le marché des NFT a connu une forte baisse au premier trimestre 2025, avec des ventes plongeant de 63 % par rapport à l’année précédente. La fermeture de RTFKT par Nike est un coup dur supplémentaire pour ce secteur déjà en difficulté.

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Le projet Pengu est l’un des grands gagnant du regain de forme du marché crypto. Le $PENGU a rebondi de plus de 250% après avoir chuté d’environ 90% en début d’année. Dans le même temps, les NFT Pudgy Penguins enregistraient un rebond de 18,43% en sept jours. Nous avons demandé aux IA DeepSeek et ChatGPT…

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